Cette page est la traduction, par The Avalon Translation Project,
d'une publication du site originel de Project
Camelot.
BILL RYAN (BR): C’est
un
paradoxe. J’aime la manière
dont David Icke l’a expliqué samedi : nous sommes amour infini,
conscience
infinie, et provisoirement en train d’expérimenter à quoi cela
ressemble d’être
ici, les pieds sur terre, à essayer de comprendre tout ça. Et ce que
nous
faisons ici, c’est participer à des jeux ; nous sommes
seulement en train
de participer à des jeux.
Non pas que le fait soit sans intérêt, mais que peut faire d’autre
pendant
toute l’éternité un être spirituel et enjoué, sinon participer à des
jeux ? C’est une bonne façon d’apprendre ; tout ceci n’est
qu’un
grand stage.
Et donc c’est un paradoxe car ce jeu semble important, tout comme il
semble
important à des écoliers qui jouent dans la cour de récréation et
participent à
un jeu où quelqu’un essaie de les pourchasser, et qu’ils essaient de
l’attraper
ou de s’enfuir ; eux aussi cherchent à comprendre tout ça.
Ou bien c’est seulement une autre forme de jeu, comme d’être dans un
film. Cela
semble important, mais le paradoxe, c’est que ça ne l’est pas.
Donc j’éprouve du plaisir à faire semblant de croire que c’est
important – mais
ça ne l’est pas – parce que je sais qui je suis. C’est ce qui nous
donne notre sentiment
de sécurité. S’ils me tuent, je m’en moque. Je reviendrai. Cela n’a
aucune
importance. J’aime la réplique de Star
Wars où Obi-Wan Kenobi dit à Darth Vader : Si
vous me tuez, je serai encore plus puissant que vous pouvez
l’imaginer.
MELANI de FREEDOM CENTRAL (FC):
Mm… intéressant.
BR : Et donc,
voilà pourquoi il est très important de ne pas tomber dans
le piège qui nous est tendu,
intentionnellement, et qui consiste à croire
que nous sommes petits, mortels, sans pouvoir, des morceaux de bidoche
provisoirement animés et que, lorsque c’est terminé, eh bien, c’en est
fini. Et
il nous faut dans l’intervalle nous battre pour survivre, nous
préoccuper de
notre nourriture, de nous vêtir, de nous réchauffer, et aussi de tout
ce qui se
situe à la base de la Pyramide des besoins de Maslow.
La vraie vérité est ailleurs, et c’est pourquoi, comme l’a affirmé
David Icke
dans chacun de ses exposés de cette année, c’est pourquoi il commence
par
parler de la réalité fondamentale : qui
nous sommes est le plus important des secrets.
Les universités détruisent la connaissance et les religions détruisent
la
spiritualité. Voici où nous en sommes aujourd’hui.
Il ne s’agit pas de croire en n’importe quoi. Il faut se placer
au-dessus de ça
et, quand on est là-haut et qu’on regarde l’ensemble [de ce qui se
passe] en
bas, après avoir décollé et atteint les nuages… Et c’est ce que nous
pouvons
appeler, à défaut d’un meilleur mot, le royaume
spirituel, et nonpas le royaume
astral, où l’on parle de
fantômes, de gouleset d’êtres
interdimensionnels, qui participent à des jeux tout comme nous le
faisons
ici-bas ; seulement, on ne les voit pas. C’est la même
chose ; la
seule différence c’est que, pour nous, ils n’appartiennent pas au monde
physique.
Mais quand on se situe au-dessus de ça, alors on regarde tout ce qui
est en bas
et on constate qu’en fait on ne regarde qu’un jeu de réalité virtuelle.
Voilà
pourquoi ça n’a pas d’importance.
Mais quand vous et moi jouons sur notre ordinateur à un jeu de réalité
virtuelle, ou que nous allons voir le film 2012,
nous ressentons les choses dans notre corps, de manière viscérale – ça
paraît
important. C’est comme lorsque nous voulons gagner ou, si nous sommes
spectateurs, que quelqu’un d’autre gagne, mais ça n’est qu’un jeu. Tout
n’est
qu’un jeu. Donc, je prends plaisir au jeu.
Voici une sorte de déclaration personnelle : ce qui me donne de la
force
dans ce jeu, ou du moins j’en ai l’impression, c’est de savoir qui je
suis,
parce que ça, c’est mon port d'attache. C’est là où on revient. C’est
là
où on
rentre une fois le film terminé et puis on en parle, on y réfléchit et
on se
dit : Hé, c’était bien – je vais
recommencer ça la semaine prochaine.
C’est pourquoi la bagarre ne marche pas, parce que se bagarrer, c’est
continuer
le jeu. Nous nous battons depuis des millions, des milliards, des
billions,
peut-être des trillions d’années. Et tout ça ne sert qu’à prolonger le
jeu.
Il ne s’agit donc que d’une variation sur ce qu’a dit Einstein : Un problème ne peut pas être résolu par le
niveau de conscience qui est à l’origine du problème. Il nous faut
nous
élever au-dessus de ça. Et son application à notre situation, c’est
qu’on ne peut
pas résoudre le problème de la Planète Terre en étant un être humain…
seulement
en étant un être humain, parce que c’est là le niveau de conscience qui
a créé
le problème.
On ne peut résoudre ce problème qu’en adoptant un point de vue
spirituel.
L’amour est universel, et nous ne devons jamais oublier cette capacité
que nous
avons tous en tant qu’êtres spirituels.
David Icke l’a dit à sa manière. Il regarde les Illuminati, les
Reptiliens, les
mangeurs d’enfants, les tortionnaires, les bellicistes et il dit :
Je les plains. Ils se sont égarés. Ce sont
des êtres spirituels qui ont oublié qui ils sont. Ils participent à un
jeu et
ils ne peuvent pas s’en extraire.
A un autre niveau, ils ont toutes sortes de capacités, ils ont des
milliards de
dollars, des pouvoirs psychiques, et ils bénéficient de l’aide des
mauvais
extraterrestres. Mais ils ne savent pas qui ils sont en réalité. Ils ne
peuvent
pas non plus s’extraire de leur piège, parce qu’ils jouent aussi à ça
depuis
des millions d’années.
Tout ça existe depuis toujours, ou presque. Mais c’est sans importance…
Qu’allons-nous faire d’autre pendant toute cette éternité ? Vous
voyez ? C’est amusant, et il faut le voir comme quelque chose
d’amusant.
Voici pourquoi je prends plaisir à mon travail : c’est un jeu.
Mais un jeu
très sérieux, voyez-vous. Si on me plaçait un pistolet sur la tempe, je
ne sais
pas trop ce que je ferais, savez-vous ?
FC :[Melani rit.]
Mon corps serait effrayé, parce que le corps n’est qu’un animal, tout
comme la
voiture que nous conduisons, et les animaux paniquent quand on les
menace. Mon
corps serait probablement effrayé.
En tant qu’être spirituel, je penserais : Je me
demande à quoi ça va ressembler, d’entrer dans la lumière. Vous
voyez ?
FC : Donc, de toute évidence,
toute la recherche en elle-même est importante pour les gens. Je désire
vraiment me concentrer là-dessus. Vous dites que vous comprenez et
savez qui
vous êtes. Est-ce que c’est également lié à la connaissance de vos vies
passées
et à leur influence sur votre vie actuelle ?
BR : Oui, bien sûr ! J’ai
passé des centaines d’années au Tibet et suis venu en Occident en 1850.
Je suis
né dans une famille victorienne à Londres, et à l’époque ça semblait
une bonne
idée. Je connais beaucoup de gens qui viennent d’autres cultures, de
cultures
chamaniques, ou d’autres planètes. Ça n’a pas grande importance.
Mais nous ne parlons pas de cette réalité verrouillée, programmée,
comme dirait
David Icke, qu’est notre actuel monde occidental post-industriel, un
monde placé
sous un contrôle pesant, tandis que notre spiritualité a en fait reculé
d’un
pas par rapport à celle des aborigènes, du bushman ou celle des chamans
d’Amérique du Sud qui comprennent exactement ce qu’il en est et ce,
depuis des
milliers d’années, savez-vous.
Je suis donc venu en Occident. Ça semblait à l’époque une bonne idée.
En
méditant au Tibet j’ai glané l’information que ces types
là-bas avaient besoin d’aide. Je ne sais pas où ils sont,
mais c’est là que j’irai la prochaine fois, parce qu’ils ont besoin
d’aide.
J’ai reçu un vrai choc, parce que c’est ce qui arrive à tous ceux qui
viennent
d’ailleurs. D’où vous venez est sans importance. Quand vous entrez dans
cette
réalité et que vous recevez un coup sur la tête, c’est un grand moment,
et
beaucoup de gens ne réussissent pas au cours de leur première vie.
C’est plus
difficile qu’ils le pensent.
Je n’ai pas réussi au cours de cette première vie-là, je veux dire
qu’elle a
été plutôt tragique et que toutes sortes de choses étranges me sont
arrivées et
j’en ressentais l’aspect théâtral, mais ce n’est que du théâtre. Ça
dure
l’espace d’une vie, et puis après ? OK. On recommence.
Redémarrage.
Ctrl-Alt-Suppr. Redémarrage. Retour. Recommencez. Vous voyez ?
Et j’ai finalement réussi mon coup cette fois-ci. J’avais un certain
nombre
d’éléments ; depuis cette époque-là je sais qui j’ai été. Je vis
des
périodes d’aventure. Ce n’est pas tout à fait le sujet de cette
interview. Je
pourrais continuer longtemps.
FC : Non, j’adore. Continuez,
je vous en prie.
BR : Mais vous voyez, si nous
explorons nos vies passées, c’est de nouveau du théâtre, pour ainsi
dire. Du
genre : Oh mon Dieu, j’étais
Cléopâtre ; ou bien : Oh
mon Dieu, j’étais ce sale type ; ou bien : J’étais
ce
bon…
Aucune importance. C’est fini. C’est sans importance, mais ça peut nous
permettre de mieux comprendre des habitudes que nous reproduisons dans
cette
vie, qui proviennent d’un programme lié à une ancienne situation que
nous
croyons retrouver.
Voici pourquoi les gens ont peur de se noyer. Pourquoi ? Parce
qu’ils se
sont trouvés dans leur vie précédente confrontés à une sale situation
liée à
l’eau. A l’âge de trois ans, ils ont peur de l’eau. Pourquoi ?
Parce que
c’est déjà arrivé.
Et une grande part de ce que nous créons est liée à nos réactions
mentales, pas à nos réactions
spirituelles, parce que nous emportons notre mentalité avec nous.
Ma
définition du « mental » est légèrement différente de celle
de David
Icke, mais là aussi c’est une autre histoire. Nous entrons ici dans la
sémantique.
Mais une grande part de ce que nous nous concoctons, quand nous
remettons les
pièces sur l’échiquier avant une nouvelle partie dans une autre vie,
provient
en quelque sorte du passé. Et c’est là sa seule importance : pour
faire
place nette. Et non parce qu’[on a découvert] : Oh,
je faisais ce métier-là. Ça, c’est vraiment intéressant. C’est
passionnant et je vais écrire un livre là-dessus.
Ce n’est pas important ! Si on le découvre, c’est pour pouvoir
l’oublier
et lâcher prise, pour ne plus être influencé par lui aujourd’hui, pour
être
totalement libre, afin que pouvoir faire de vrais
choix, maintenant, dans cette vie-ci.
Et c’est pourquoi… et une fois de plus, nous ergotons… Mais peu importe
la
technique de nettoyage – la régression peut faire l’affaire ;
beaucoup
d’autres pratiques également. On peut même y parvenir par la
méditation. Voici
pourquoi nous remémorer le passé est efficace, non pas pour que nous
nous
souvenions, mais pour que nous puissions lâcher prise.
En voilà la clé, parce qu’alors seulement il devient possible d’être
véritablement dans l’ici-maintenant. C’est lorsque vous vous êtes
débarrassé de
ces fers pesants à vos pieds. que vous bénéficiez de tout votre
pouvoir. Et nombre
de ces entraves ont en fait leur origine dans le passé.
Voilà ce que nous voyons ici sur la Terre, toutes ces choses bien
réelles : de très mauvaises gens empêtrés dans leur propre karma,
qui ont
leur propre passé, leur propre piège, qui jouent à leur propre jeu,
avec leurs
propres objectifs, et leur propre origine. Il y en a aussi qui sont
venus
d’ailleurs.
Ce n’est que la suite d’une même chose, c’est pourquoi ce que dit David
Icke
est exact : vous n’allez pas régler ça en manifestant dans la rue.
Vous
n’allez pas régler le problème en prenant cent mille assassins chinois
et en les
assassinant tous.
Ça ne fait que pérenniser les choses. Lutter ne marche pas.
Ce que fait Projet Camelot, c’est apporter aux gens des connaissances
qu’on ne
nous a PAS données à l’école, que les parents ne donnent pas à leurs
enfants, que
nous ne trouvons pas dans les journaux – et c’est ce que vous faites
ici dans
votre travail – et nous devons connaître la vérité sur l’endroit où
nous nous
trouvons, parce que si… Nous sommes ici à Zürich. Si nous voulons aller
en
voiture à Paris, et que nous avons une carte devant les yeux, il nous
faut
savoir où nous sommes, sinon nous n’allons jamais prendre la bonne
route pour
aller là où nous voulons aller.
Il faut éviter d’être prisonnier de ses intentions, et de se retrouver
ainsi dépendant
de ses intentions, et au contraire faire de ses intentions le produit
de son
propre désir d’atteindre un résultat.
Cette intention… On ne peut pas se faire une tasse de thé, ou se
lever le
matin, ou répondre au téléphone. Une fois de plus, c’est un aspect
du
paradoxe. Au niveau le plus élevé possible, ces choses sont sans
importance.
Que vous preniez ou non une tasse de thé le matin n’a pas d’importance.
Que
vous répondiez ou non au téléphone, non plus. Il est sans importance
que le
monde explose en 2012. Et puis après ? Nous trouverons bien une
autre
planète pour revenir. C’est sans importance !
En revanche, dans le contexte du jeu, c’est vraiment important, et vous
ne
pouvez pas jouer si vous n’avez pas d’intentions. Il est très important
de bien
distinguer ces deux réalités, et elles coexistent dans un paradoxe qui
fonctionne.
Vous avez demandé à Ruth quel conseil je donnerais aux gens. En ce qui
me
concerne personnellement, je leur recommanderais absolument de trouver qui ils sont – parce que, si on ne le sait
pas vraiment, on ne possède pas cette réserve de force et de certitude
qui
permettra de faire face à n’importe quelle situation. Même si on se
retrouve
avec un révolver sur la tempe ou une aiguille dans le bras, on sait qui
on est.
Deuxièmement, je dirais qu’il est utile de savoir d’où on vient, parce
que ça
peut aider à comprendre selon quels programmes on fonctionne dans cette
vie,
des programmes inconscients et qu’on a soi-même librement choisis.
Il faut être capable de faire la séparation. Autrement, si on a une
envie, sans
savoir d’où elle est venue, on ne sait pas s’il s’agit d’un ancien
programme ou
bien d’un choix vraiment intelligent.
Troisièmement, je dirais : ne luttez pas.
Quatrièmement, il faut comprendre que ces gens ont besoin d’aide, sans
condescendance. Il y a dans l’ensemble du monde des gens qui font un
travail
réellement spirituel. Le mot « travail » s’applique ici,
parce que ça
prend du temps, ça nécessite de la concentration, ça nécessite de
l’énergie. Il
faut s’isoler ; il faut faire ce qu’on fait, quelle que soit cette
activité.
Il y a tout un tas de façons de le faire, je le fais, et Kerry aussi.
Beaucoup
des gens que je connais le font. Ils gèrent des problème dans l’univers
non-physique, où ces jeux n’ont pas cours.
Il existe un grand nombre d’êtres non-physiques qui ont besoin d’être
soignés ! Ils sont perturbés. Ils ont besoin de parler à
quelqu’un.
Quelque chose s’est produit il y a un milliard d’années, et ils sont
encore en
colère. Mais ils n’ont personne à qui parler.
FC : Est-ce qu’ils nous manipulent
en faisant ça ?
BR : Oui, bien sûr. Ils
ressortent leur colère comme le ferait un gamin des rues à l’enfance
malheureuse, et ils s’emploient à tout démolir. Ce gamin a probablement
besoin
d’aide. Il n’a pas besoin d’aller en prison. Il a besoin de quelqu’un à
qui
parler. D’un ami. Que quelqu’un lui dise : Tu sais
quoi ? Tu es un être merveilleux. Tu as eu une fichue
expérience, raconte-moi ça. Qu’est-ce qui t’est arrivé à
l’époque ? Est-ce
que ton père abusait de toi ? Ton grand frère te tapait
dessus ?
Qu’est-ce qui t’est arrivé qui t’a mis si en colère ?
Il peut très bien commencer à aller aux fonds des choses, parce que
c’est son
passé. Or, on peut communiquer avec ces êtres non-physiques aussi
facilement
qu’avec le gamin des rues si on peut les amener à parler. Ils ont des
problèmes.
Ils sont paumés. !
Ils sont en colère, ils sont bouleversés, on leur a fait des choses.
Ils sont
dans un cycle d’abus qui ne se produit qu’à un niveau physique, où on a
quelqu’un qui, abusé sexuellement par ses parents, devient alors celui
qui cause
des sévices à ses propres enfants. Ça se transmet.
Ils le transmettent, parce qu’ils se mettent en tête qu’ils sont les
gagnants
du jeu. Du genre : J’ai perdu la
partie, donc il faut que j’adopte une stratégie gagnante. Quelle est la
stratégie gagnante ? Je deviens le bourreau et je gagne !
Ils
voient les choses comme ça. Voilà comment ces situations se perpétuent.
Et les choses se passent exactement de la même manière dans l’univers
non-physique.
Il faut communiquer télépathiquement avec ces êtres. Il y a une façon
de faire.
On peut utiliser des machines à biorésonance ou le faire en état de
méditation.
On peut s’occuper de ces gars-là, et je connais des gens qui
travaillent
beaucoup dans ce domaine.
Ce qui est vraiment important, c’est que tous ceux qui présentent les
informations dans le secteur où vous et moi, nous intervenons, beaucoup
de…
Nous faisons partie d’une vaste équipe : Projet Camelot, David
Icke ;
nos amis David Wilcock, Alex Collier, George Green ; tout un tas
de gens,
y compris des gens que je ne connais pas. Tous ont une profonde
orientation
spirituelle – tous.
Nous avons rencontré Patrick Geryl. Lui se trompe, parce qu’il n’a pas
d’orientation spirituelle. C’est un scientifique. Il essaie de
comprendre les choses
en utilisant les mathématiques. Il n’y arrivera jamais. Ça ne marche
pas comme
ça.
Bill Deagle – nous avons parlé avec Bill Deagle une heure et demie hier
soir.
C’est quelqu’un de profondément spirituel. Kerry aussi.
Nous avons parlé de notre grand ami Bob Dean. C’est vraiment un homme
formidable, formidable. Toutes les personnes avec lesquelles nous
parlons, et
c’est presque le lien qui les relie, tous sont profondément spirituels.
Vous avez parlé avec David Icke. Il commence son exposé de sept heures
en
expliquant en quoi nous sommes tous conscience universelle et amour
infini.
Quelle sorte de message spirituel est-ce là ? Nous avons besoin
d’en savoir
plus.
Et donc tous ceux qui travaillent dur en tant qu’éducateurs pour … Je
ne sais
pas quels mots utiliser ici… pour éveiller les gens, mais pour leur
rappeler ce
qu’ils savent déjà.
Vous voyez, les mots rappeler et se
souvenir sont des mots importants,
parce qu’on ne peut pas vous rappeler quelque chose que vous ne savez
pas déjà.
Vous ne pouvez pas re-connaître
quelque chose que vous ne connaissez pas déjà. C’est de là que vient le
mot : re-connaître.
C’est pourquoi lorsqu’on lit des livres comme celui de Ruth, ou
beaucoup,
beaucoup d’autres livres – certaines personnes ont d’autres points de
référence,
telles que The Law of One [appelée
aussi Ra Material – « la Loi de Un »
ou « Les enseignements de Ra » –NdT]. Ils en lisent une page
puis
réagissent par : Ahhh !
Maintenant je comprends.
Mais il ne s’agit pas d’informations nouvelles
– ce sont d’anciennes informations qu’ils se rappellent. Voyez-vous, à
mon avis
personnel, nous n’évoluons pas, nous recouvrons.
Je
pense
qu’il
s’agit
d’un
profond
manque
de
compréhension
qu’on
retrouve
dans
beaucoup
d’enseignements
spirituels,
où
nous
sommes
censés
passer
de
l’amibe
à
un être plus ou
moins
spirituel. Non-non-non.
Nous étions tous des dieux. Nous avons débuté en tant que dieux. Nous
sommes
tous des êtres déchus. Nous sommes tous des êtres à caractère divin qui
ont
oublié qui ils sont et c’est donc ce que nous retrouvons, ce que nous
recouvrons,
nous sommes en train de sortir de notre trou boueux à la force des
poignets,
nous nous décrassons, nous nous débarrassons de tout ça, et nous nous
rappelons
qui nous étions.
Il s’agit donc d’un processus de récupération et pas du tout d’une
évolution. Parler
d’une évolution, c’est jeter le discrédit sur qui nous étions en
réalité, parce
que nous avons débuté en tant que dieux. Voyez-vous ? Il manque là
une
orientation fondamentale.
Chacun a sa pierre de touche, son propre germe de cristal, qui lui
permettra de
lancer ce processus de réappropriation de soi. Il n’existe pas de
réponse
exacte. La réponse qui vous convient peut très bien se révéler impropre
ou peu
viable pour quelqu’un d’autre. Il nous faut trouver par nous-mêmes nos
propres
réponses.
Là encore, en faisant allusion à ce que David Icke disait il y a
quelques
jours, voici pourquoi je n’irai jamais à l’encontre de l’intuition de
quelqu’un
d’autre. Si votre intuition vous exhorte à lire The Law of
One et que vous en tirez profit, eh bien je vous
conseillerai de continuer à faire ce qui marche.
Si quelqu’un d’autre me dit : Bon,
j’ai pris The Law of One et je n’ai
pas pu en comprendre un mot, je dirai : OK. Ce
n’est pas le bon livre. Trouvez autre chose.
Il faut être un miroir et renvoyer l’image, il faut répondre : votre
mission
ici
est
peut-être
ou
même
probablement
différente
de
la mienne.
N’essayez pas de faire comme moi, soyez vous-même. Et la raison pour
laquelle
vous devez essayer d’en savoir plus sur vous-même, de redécouvrir votre
force,
de regarder votre passé, de méditer, de vous souvenir par tous les
moyens
appropriés de la raison de votre présence ici – c’est que vous avez un
travail à
y faire.
Selon The Law of One, vous êtes ce
qu’on appelle un Wanderer [un
Vagabond – NdT]. Il y a beaucoup, beaucoup de termes pour qualifier ça.
Il y a
trois ou quatre semaines, Dolores Cannon a fait une merveilleuse
prestation à
Coast to Coast [un radio talk-show de fin de soirée aux USA et au
Canada,
traitant
souvent de sujets paranormaux ou conspirationnistes – NdT, d’après
Wikipédia]
quand elle a fait allusion à eux sous le nom de Volunteers
[volontaires, bénévoles – NdT].
C’est un mot très simple. Nous sommes des volontaires en provenance de
tout
l’univers, de différentes dimensions, de différentes planètes,
peut-être de
différentes cultures, même sur la planète Terre. Un peu comme : OK. Je vais essayer d’aider ce mouvement-ci
parce que ces types ont besoin d’un coup de main.
Et des gens demandent : Et moi, où
devrais-je aller ? En Australie ? Au Canada ?
Pourriez-vous
m’indiquer un endroit sûr ? Devrais-je aller au Pérou ? Ou
bien
au… ? Autrement dit : Bon,
l’endroit où je devrais aller pourrait être différent de là où vous
devriez
aller, entre autres parce que vous devez peut-être y rencontrer
quelqu’un ou
que vous avez quelque chose à y faire.
Vous ne savez pas en quoi consiste votre plan de vie et tout le monde
en a un.
Vous pensez que vous êtes arrivé(e) ici sans plan de vie ? Vous en
avez un
et tout le monde en a un. Tout ceux qui regardent cette vidéo en ont un.
C’est cool de savoir en quoi consiste son plan de vie. Si on ne le sait
pas,
c’est seulement parce qu’on ne se le rappelle pas, et la manière
d’arriver à le
comprendre – ce n’est pas vraiment un problème – c’est de dire : Oh, je me souviens. On le re-connaîtra
le moment venu. Un des indicateurs de son plan de vie est le fait de
ressentir de l’énergie.
On commence à y réfléchir et on se dit :
Ouah ! J’ai vraiment envie de faire ça ! Ça donne de
l’énergie,
rien que d’y penser.
Et, savez-vous, le mot travail est un
mot relativement récent. Son sens réel, c’est « ce qu’on ne veut
pas
faire ». Les animaux ne travaillent
pas. Ils se contentent d’exister.
Aux Îles Marquises, un groupe d’îles
françaises du Pacifique-Sud, le mot travail
n’existe pas dans la langue locale. Ils attrapent un poisson, allument
un feu,
construisent une hutte, s’abritent de la pluie, vont chasser, ils
chantent une
chanson. Ils ne travaillent pas.
Pourquoi travaillons-nous ? Si nous
travaillons, c’est parce que quelqu’un a une idée de la façon dont nous
devons
structurer nos activités : par le travail.
Nous ne travaillons pas ! Nous vivons.
Et
en
ce
qui
me
concerne,
je
suis
souvent
le
plus
heureux
-
et je ne vais même pas utiliser le mot travail ici -
je suis souvent le plus
heureux lorsque je suis le plus actif. Et
ma propre définition du travail, dans mon cas, n’est pas : Ah, je me sens sur un petit nuage, je suis
heureux, assis devant un gin and tonic – c’est une métaphore – à regarder le coucher du soleil.
Personnellement, je trouve ça rasoir. Pour moi le bonheur, c’est une
direction,
un processus dynamique. C’est d’être branché sur quelque chose qu’on
veut
faire, ou qu’on veut accomplir. Il ne s’agit pas d’une intention
inébranlable,
du genre : Bon, je vais maintenant
tuer quelqu’un, je vais le faire et je me suis verrouillé sur cet
objectif.
Mais c’est un but, et nous sommes tous venus ici avec un but, et quand
nous
œuvrons à ce but, nous n’avons plus le sentiment de travailler, mais un
sentiment de joie.
Pour sûr, notre corps se fatigue. Nous parlions hier avec David Icke,
et il
était absolument épuisé, mais également rempli de joie par ce qu’il
fait, car
il a été éveillé afin de faire ce qu’il est venu faire ici.
Ce que vous et moi pouvons faire… Ce qui, je pense, se produit dans ce
mouvement que nous appelons le « Ground Crew » [l’équipe au
sol
(aviation) – NdT], c’est que ses membres commencent à se rendre compte
de ce
qu’ils veulent faire. Lors de la réunion du Ground Crew que nous aurons
ici à
Zürich dans une semaine, il ne s’agira pas de cadrer les participants,
mais de
les inspirer.
Dire : OK. Je ne vais pas me
substituer à vous.Quevoulez-vous
faire ? Vous voulez mettre
sur pied une épicerie coopérative ? Alors qui veut aider cette
personne ? Qui est preneur ? Celui qui lève la main en
premier
est celui qui devrait l’aider.
Il ne s’agit pas de faire des gens en une sorte d’armée de militants.
Il s’agit
de s’autoriser à comprendre ce qu’on est vraiment venu faire ici. Ce
processus
de compréhension, je pense, fait partie du processus d’éveil sur lequel
vous
avez interrogé Ruth, un processus d’éveil qui est en cours. Je ne le
comprends
pas, mais il est en train de se produire.
Tous les gens avec lesquels nous parlons, tous ceux que nous
rencontrons au
cours de nos voyages, tous ceux auxquels nous parlons et qui ont voyagé
et qui
nous renseignent sur les colloques auxquels ils ont assisté, [montrent]
que ce
phénomène arrive sous forme de vague. Une vague d’expansion de la
conscience.
Une fois de plus, j’adhère totalement à la façon de voir de David
Icke : que
ce phénomène tracasse vraiment beaucoup les Pouvoirs en Place, sinon
ils
n’auraient pas besoin de nous verrouiller autant. Voilà pourquoi ils
veulent
nous implanter des micro-puces sous la peau, ou nous contrôler, nous
empêcher
de voyager, ou de communiquer, voilà pourquoi ils espionnent nos
conversations,
ou pourquoi ils essaient de nous inoculer un produit qui va
compromettre
l’efficacité de ce véhicule, dont nous dépendons tous ici, dans cette
réalité,
pour nous déplacer.
Ils n’ont pas le choix. Ils doivent faire tout
cela parce qu’ils n’ont pas d’autre possibilité. Et qu’est-ce que cela
nous apprend
sur les limites imposées par la boîte dans laquelle ils se
trouvent ?
J’adore la manière dont David Icke décrit les choses, et mon point de
vue,
c’est : OK, je suis d’accord
avec lui. Les choses peuvent se
compliquer,
elles peuvent devenir vraiment intéressantes, ou plus difficiles ;
nous
pouvons nous retrouver avec toutes sortes de problèmes que nous
n’avions pas
rencontrés jusqu’alors dans notre vie.
Mais dans une autre partie de son exposé, David Icke a raconté comment,
il y a
19 ans, un médium lui avait dit qu’une des nombreuses choses qui se
produiraient au cours du développement de cette vague de prise de
conscience, serait
la nécessité de nous organiser en groupes. Parce qu’ensemble, nous
serons plus
forts sur les plans logistique et pratique.
Il nous faut former des communautés. Il nous faut organiser des
collectifs
capables de gérer la logistique, juste parce que, sur la planète Terre,
il nous
est nécessaire de garder notre corps en vie. Il nous faut de la
nourriture, il
nous faut de l’eau, de la chaleur, un abri, de la protection.
Mais il n’est pas nécessaire qu’on nous plante des aiguilles dans le
corps. Ni
qu’on nous vaporise des choses dans l’atmosphère sous forme de
chemtrails. Il
se passe tout un ensemble de choses. Notre esprit est influencé
électroniquement. Au niveau physique, on nuit à notre corps.
Et ensemble il y a des moyens de nous soutenir les uns les autres. Il
existe
des antidotes à tout cela. Nous pouvons nous en protéger par des moyens
technologiques et nous aurons besoin de nous entraider quand la
pression
commencera à réellement, à vraiment monter en puissance.
Tous ceux que nous connaissons nous disent que ça commencera par être
pire
avant de s’améliorer et je suis d’accord avec ça. Je ne sais pas à quel
point
ce sera grave, ni quand et comment les événements se dérouleront. Je
pense que
ça va devenir difficile. Il ne s’agit pas de la fin du monde, ni de la
fin du
genre humain.
Je pense qu’il s’agit vraiment du stage le plus étonnant et qu’il est
corsé. Et
à la fin de tout ça nous allons émerger dans ce qui sera pour l’espèce
humaine
un nouveau départ merveilleux.
Mais entre temps… Je ne sais pas combien de temps ça va durer, deux,
trois ou
dix ans. Mais je pense qu’après ça nous aurons émergé et qu’alors se
déroulera
un fantastique processus de convalescence. Je veux être là pour voir
ça, parce
que, à mon avis, ce sera passionnant.
Hier soir nous parlions avec Bill Deagle, qui disait penser que la
période
concernée pourrait bien s’étendre jusqu’à 2019. Il ne croit pas non
plus à
2012. Mais d’ici là, il pourrait y avoir pas mal de choses à régler.
FC : Pour en revenir au fait que
chacun doit trouver ce pour quoi il est venu ici – comme je le dis, on
en arrive
à s’écrier : Oui, oui, voilà ce que je
veux faire ! C’est exactement ce qui s’est passé quand j’ai
commencé à
regarder Project Camelot. Je parle sérieusement, et j’ai déjà raconté à
Kerry
que ça m’avait fait perdre plusieurs semaines de ma vie. Avec pour
résultat,
que je savais ce que je devais faire.
Je suis venue à votre colloque du 1er août, à Amsterdam, je
vous ai
parlé, et je crois que mon mari vous a dit : Comment
faites-vous ce que vous faites ? Et il a parlé avec
vous de manière personnelle. Après quoi, à ce colloque, nous savions
exactement
ce qu’il nous restait à faire.
J’avais l’expérience des médias, et j’ai pensé : D’accord,
je
pense
que
c’est
un
domaine
dans
lequel
je
pourrais
facilement
pénétrer.
Je
ne
vais
pas
me
tracasser
pour
l’argent.
Je
ne vais pas me
tracasser pour mon salaire, ou ma grosse maison ; je vais
simplement le
faire parce que j’ai l’impression que c’est la chose au monde que je
préfère.
Et c’est ce que je pense encore malgré tout ce qui nous est arrivés en
diverses
occasions, nos informations confisquées par les Pouvoirs en Place, ou
autres
incidents.
Je crois qu’il est très important que les gens s’éveillent et se
rendent compte
que nous avons tous un rôle à jouer et qu’ils doivent chercher à
comprendre en
quoi il consiste, pour quelle raison ils sont venus ici, ce qu’ils ont
choisi
de faire une fois ici, et pourquoi ils ne le font pas.
BR : Oui, si vous
sautez de la falaise, les anges vous rattraperont
toujours, mais vous ne le saurez qu’à ce moment-là.
FC : Oui, c’est très vrai, et
ils nous ont rattrapés. Nous avons eu beaucoup, beaucoup de
chance !
BR : Absolument. Donc, c’est
une question de confiance. C’est une question de courage. Il s’agit
d’oser
croire qu’on peut se réaliser entièrement – et je ne veux pas avoir
l’air d’un
chef militaire américain en disant ça, vous savez.
Mais en fait, avant d’entrer dans cette phase de ma vie où je
travaillais jour
et nuit sur Projet Camelot, j’étais spécialiste en team building, et en
développement personnel. J’ai l’expérience du grand air ;
j’emmenais
autrefois des gens en montagne. J’ai commencé ma carrière à l’âge de 21
ou 22
ans, dans les écoles d’Outward Bound [organisme qui propose des
expéditions –
NdT].
C’est ce que, dans un paradigme plus ancien, on aurait appelé de la
« formation du caractère » en langage militaire britannique
officiel.
Mais, ce dont il s’agit en fait, c’est d’un terrain de jeu où personne
ne
risque rien, mais qui donne l’occasion d’apprendre ce qu’on est
réellement
capable de faire.
Je travaillais autrefois avec des jeunes délinquants qui descendaient
des
falaises en rappel et nous allions dans les montagnes et vivions sous
la tente.
Et ils vivaient des expériences qui les transformaient, parce qu’ils ne
s’étaient jamais rendu compte qu’ils étaient capables de faire ça. Les
gens ont
la capacité de tout faire. Les gens
sont capables de faire tellement plus que ce qu’on leur permet de
savoir !
Richard Branson, connu de beaucoup de gens comme étant le fondateur de Virgin, un énorme empire financier en
Grande-Bretagne… [Bill rit] …
et je ne conseille pas particulièrement de faire
ça, mais une des choses qui l’ont mené sur sa voie c’est que, lorsqu’il
était
petit enfant, sa mère, au lieu de lui dire : descends
tout de suite de cet arbre ! lui disait : Grimpe
plus
haut !
Grimpe
plus
haut !
Tu
es
capable
d’aller
plus
haut.
Je
parie
que
tu
ne
peux
pas
atteindre
cette
branche !
Va
tout
en haut de cet arbre !
Et le petit Richard grimpait, et il avait très peur. Il montait
jusqu’en haut
de l’arbre et sa mère lui disait : C’est
merveilleux ! Tu es un garçon vraiment courageux ! Tu peux
faire des
choses que personne d’autre ne peut faire ! Tu es
extraordinaire ! Tu
es le meilleur garçon au monde ! Maintenant il est
milliardaire.
Sa mère –- et on enferme maintenant les gens pour ça – emmenait ce
petit gamin,
le larguait dans un autre quartier et lui disait : Voyons
maintenant
si
tu
es
capable
de
retrouver
le
chemin
de
la
maison.
Et le petit Richard errait dans les rues, sans savoir ce qui se
passait,
frappait à une porte et disait : Je
suis perdu.
FC :[Rires de Melani]
BR : OK ? ET ensuite la
personne ramenait le petit Richard à son point de départ et sa mère lui
disait : Merveilleux ! Tu as
résolu le problème ! Tu as très bien réussi ! Tu es
extraordinaire ! Tu sais tout faire ! Et il est
milliardaire et ça,
parce que sa mère était complètement dingue.
FC : Elle l’a
bien
formé, n’est-ce pas ?
BR : Oui.
Absolument. Mais la plupart des mères disent maintenant à leurs
enfants : Ne sors pas par la porte
de devant, parce qu’il va t’arriver quelque chose de terrible. Ne parle
pas à
cet inconnu parce qu’il va te faire quelque chose de terrible. Ne
prends pas de
risques.
J’ai un ami en Angleterre qui était autrefois mon compagnon de cordée,
parce
que j’ai fait beaucoup de montagne dans ma vie. Il s’appelle Paul.
C’est quelqu’un
de formidable. Beaucoup de gens terminent leur lettre par « Prends
soin de
toi ! ». Lui, il les termine par : « Prends des
risques ! »
FC : J’aime ça ! [Elle
rit.]
BR : N’est-ce pas
formidable ? On devrait nous dire : La vie est
un risque ! La vie… tout
ce que vous faites est un risque. Quand on attrape le bus ou qu’on
prend la
voiture pour aller quelque part, il y a un risque. Quand vous prendrez
l’avion
pour rentrer en Hollande, il y aura un risque.
Quand vous vous engagez auprès de votre mari, de votre partenaire,
Richard, il
y a un risque. Publier cette vidéo représente un risque. La vie est
pleine de
risques. Vous n’allez pas vous en sortir vivante.
FC : Oui.
BR : Vous n’allez sortir de la
vie vivante. La vie est risquée, donc appréciez-la.
FC : Donnez-moi encore quelques
précisions de base sur Projet Camelot et comment vous avez débuté, ce
qui vous
a encouragé à vous lancer dans ce périple.
BR : Mm. [Profond soupir]… Bien.
Cette pause vient de ce que je réfléchis au degré de précision que je
dois
utiliser.
FC : Consacrez-y le temps que
vous voulez.
BR : Choisissez le mot que vous
voulez : je suis un Vagabond, je
suis un Volontaire. C’est ce que je
suis venu faire ici, j’en suis à peu près certain.
Et comme le reconnaîtront beaucoup de ceux qui regardent cette vidéo,
et vous
aussi, quand vous finissez par penser : OK, je suis
maintenant arrivé(e) à ce que je désire vraiment faire,
vous faites le point sur votre vie et vous vous rendez compte que
l’ensemble des
expériences que vous avez vécues, même celles qui ne vous ont pas
semblé particulièrement
agréables à l’époque, faisaient toutes partie de ce programme de
formation que
vous aviez choisi dans votre plan de vie.
Du genre : Voici pourquoi j’ai fait ceci ! Voici pourquoi
j’ai fait
cela ! Voilà pourquoi j’ai vécu ça ! Voilà pourquoi j’ai
passé deux
ans avec cette personne infecte. Voici pourquoi j’ai passé un an et
demi dans
ce fichu emploi. Voilà pourquoi j’ai choisi ce fichu parent, etc.,
parce que ça
m’a fait ce que je suis aujourd’hui, et ça m’aide maintenant à faire le
travail,
avec ces capacités que j’ai acquises.
Sur le moment, on ne comprend pas ce qui se passe. Nous pensons : Oh là là ! Pourquoi est-ce que je fais
ça ? Tout ça fait partie d’un plan.
Maintenant je reconnais qu’une grande partie de ce que j’ai expérimenté
m’a en
fait amené là. J’ai passé les huit premières années de ma vie en
Afrique. J’ai
travaillé dans les écoles de Outward Bound. J’étais formateur en
leadership et team
building. Ma mère était écrivaine et elle m’a préparé à l’écriture et à
parler
en public. Elle était auteur. Elle disait toujours que je devrais
écrire un livre.
Je ne l’ai pas encore fait, mais il y en a un en réserve, vous pensez
bien, ce
n’est qu’une question de temps.
Au cours de ma carrière de conseiller en gestion, j’ai appris à traiter
avec
des cadres, comment se comporter avec des responsables, comment gérer
les
réunions de grandes multinationales, comment présenter… Vous savez,
c’est comme
si tout ceci entrait en jeu.
J’en suis donc arrivé à ne voir en ceci qu’un merveilleux terrain de
jeu où je
peux déployer tous ces savoir-faire et capacités. A l’époque, je
croyais n’être
un humain qui essayait de tout faire fonctionner. Mais voilà la raison
de tout
ça.
J’ai vécu il y a 20 ans une expérience d’enlèvement, qui est en
elle-même une
très longue histoire, dont je ne comprends pas tout. Et beaucoup de
ceux qui
ont vécu une expérience de « contacté-enlevé » ne la
comprennent pas
non plus.
Plutôt que de me dire : Oh mon
Dieu ! Il m’est arrivé quelque chose de terrible et ces type ont
abusé de
moi et m’ont extrait de ma tente dans l’Himalaya en décembre à 7000 m
d’altitude… On
m’a enlevé de ma tente. Ce n’était pas une opération militaire. On m’a
fait
flotter au milieu de la nuit au-dessus du glacier alors que la
température
tournait autour de -40°C ou -50°C
[-40°F ou -50°F
également ! – NdT].
FC : Etiez-vous conscient
lorsque c’est arrivé ? L’avez-vous vu ?
BR : Oui, mais je ne pouvais
pas bouger, j’étais paralysé. Il s’agit d’une expérience d’abduction
classique
dans un endroit plutôt inhabituel.
C’est une histoire très, très compliquée impliquant le facteur temps et
je n’en
comprends toujours pas les tenants et les aboutissants, mais je suis
aussi
certain qu’on peut l’être que ce qui s’est passé faisait partie d’un
plan. Cela
faisait partie d’un plan lié à mon activité actuelle. C’est… Je ne
comprends
pas ce qu’ils faisaient. Il s’agissait probablement d’une mise à jour
de
logiciel. Il y a probablement eu une quelconque mise à niveau.
Je pense que certains des enlèvements qui ont eu lieu sont probablement
des
mises à niveau de logiciels ou de matériel. Je ne peux pas le prouver.
C’est
seulement une idée stupide à moi, mais c’est la façon dont j’ai résolu
cette
situation, provisoirement, dans mon cas.
J’avais à l’époque une petite amie nommée Angie, qui… Cela a été une
histoire
très, très étrange, et j’ai vécu un certain nombre d’expériences
bizarres qui
m’ont conduit à conclure qu’elle n’était pas totalement humaine, au
sens
habituel du terme. En fait, je ne sais pas exactement ce que je veux
dire par
là, mais il y avait certainement quelque chose en elle qui n’était pas
humain.
FC : S’agit-il de celle qui a
grandi, d’à peu près 2 pieds
[60 cm - NdT] d’un jour à l’autre ?
BR : Elle a grandi de 2 pouces et demi
[6,5 cm]
d’un jour à l’autre, pas de 2 pieds !
FC : Oh, d’accord ! [Elle
rit.]
BR : De deux pouces et demi. Je
ne sais pas si c’était d’un jour à l’autre, mais sans aucun doute en
l’espace
de deux semaines. Je veux dire, vous savez, ça fait partie de ce qu’on
considère comme impossible médicalement.
Et de temps à autre, elle me disait des choses qui semblaient venir
d’ailleurs.
Ce qu’elle me disait ne semblaient pas provenir de cette petite jeune
fille de
26 ans au métier ordinaire, qui ressemblait, dans la rue, à n’importe
quelle
jeune fille de 26 ans. Elle disait parfois des choses qui semblaient
vraiment venir
d’ailleurs.
Et je me rappelle une des choses qu’elle m’a dites un matin au petit
déjeuner.
Imaginez, nous avions le café et les toasts sur la table, et tout à
coup elle
lève les yeux vers moi et me dit : La
Terre est un endroit magnifique, et ce ne sera pas toujours le cas.
Et moi : Quoi ? Et puis
elle s’est remise en mode « petite jeune fille de 26 ans » et
elle
n’a même pas reconnu avoir dit ça. Bon.
Elle racontait des choses comme ça. Elle me disait : Tu
es
quelqu’un
de
très
spécial.
Nous
ne
serons
pas
toujours
ensemble,
mais
je
t’aimerai
toujours. Et elle me le répétait tout le temps.
Elle
disait : Tu es très spécial, tu es
très spécial.
Au départ, je pensais qu’elle se montrait juste gentille. Maintenant je
pense
qu’elle essayait de me dire que je suis très spécial, d’une manière ou
d’une
autre. Je ne veux pas dire que je suis le seul à être très
spécial ; il y
a des dizaines de milliers de gens qui sont très, très spéciaux.
Quand elle m’a quitté, elle m’a dit : J’ai
terminé ce que j’avais à faire dans ta vie.
FC : Comment avez-vous géré
ça ?
BR : Je n’ai pas pu. Je n’ai
pas pu gérer ça. J’étais anéanti. Je n’avais aucun cadre de références
auquel
me raccrocher.
Il m’a fallu du temps pour comprendre que sa présence dans ma vie
faisait
partie de cette préparation. J’avais à l’époque la profonde sensation
d’être
impliqué dans quelque chose d’important et d’ignorer totalement de quoi
il
s’agissait. Je pensais : Mon Dieu, j’ai
été choisi dans un but précis. Pourquoi cette expérience avec cette
fille ? Pourquoi est-elle entrée dans ma vie ?
J’ai vécu une expérience similaire avec mon meilleur ami d’alors, avec
lequel
j’étais allé faire de la montagne au Népal, là où j’ai été enlevé de ma
tente.
Lui aussi faisait partie de ceux-là. C’est tout simplement… c’est
impensable.
Il me racontait des choses. Je me souviens d’une fois où je faisais
l’idiot ; je ne me rappelle plus des circonstances. Il a parlé
avec moi.
C’était mon meilleur copain. A l’époque où j’allais encore au pub, je
descendais au pub avec lui. Je faisais de la montagne avec lui. C’était
un type
formidable. Il s’appelait Dave.
Il me parlait et sa voix a changé. Il me disait : Tu
es complètement déséquilibré. Il a continué : Je
ne sais pas d’où [me] viennent ces mots,
mais tu es complètement déséquilibré. Je veux dire qu’il s’agit de
mon ami.
Il ne m’a jamais rien dit de tel, ni avant ça, ni après. Et il avait
raison. Je
menais une vie complètement déséquilibrée en ce temps-là, et on était
en train
de me reprendre en main.
Alex Collier, lors de son apparition à Los Angeles, au moment où il est
sorti
de sa retraite – pour de bon, j’espère – et qu’il est venu parler, a
fait un
exposé très, très puissant.
FC : C’est bien vrai.
BR : Lui aussi est un
homme très évolué spirituellement. Il a introduit
cette idée, en
la présentant comme une question ouverte adressée à tous ceux qui
l’écoutaient
à ce moment-là : Accepteriez-vous de
vous laisser guider par une race extraterrestre ?
Et on nous a demandé, on m’a demandé, tenez, hier : Où
sont
les
ET
bienveillants ?
Où
sont-ils ?
Nous
sommes
cernés
par
ces
Reptiliens.
Où
sont
les
Bons ?
Ohé,
montrez-vous,
on
a
besoin
de
vous !
Eh bien, peut-être jouent-ils le rôle de guides, assis ici-même et en
ce
moment, à attendre que nous nous éveillions à la réalité... Il nous
suffit peut-être
de demander. Nous n’osons pas demander : Je suis
insignifiant. Je ne suis qu’un pauvre humain. Je n’y comprends
rien.
Du genre : OK. Nous avons conclu un
accord. Je reconnais que je suis prêt à apprendre. J’aimerais me
réveiller le
matin avec une idée très claire sur quelque chose qui me paraît confus.
Cela ne ressemble pas à une intention, c’est juste : Voilà
où je veux… Maintenant, il y a des gens qui parlent de poser
cette question à leur Moi Supérieur, et c’est une autre technique,
très, très
valable. Ruth et moi en parlons constamment. Nous disons : OK, qu’en dit notre Moi Supérieur ?
Notre Moi Supérieur peut souvent nous apporter un très bon renseignement.
Mais nous pouvons aussi faire appel à nos amis. Nous avons un ami
commun… nous
ne pouvons peut-être pas le nommer sans sa permission, mais il se
tourne
constamment vers ses guides. Ce sont ses guides qui lui ont suggéré
très
fortement que vous examiniez votre moteur après qu’on l’a saboté. Et
voilà ! Il avait raison ! D’où venait cette indication !?
De quelqu’un qui observe, de quelqu’un qui regarde l’ensemble, et qui
nous
dit : Hé ! Nous pouvons vous
conseiller si vous êtes prêts à vous ouvrir et à nous écouter.
Ce sont des êtres désincarnés, ou des êtres avec un corps physique, de
leur
point de vue mais désincarnés du nôtre, parce que nous faisons ici
allusion à
des réalités et des dimensions qui se chevauchent.
J’ai vu un être dans ma chambre il y a 20 ans, au moment de toute cette
histoire avec Angie. Il s’est manifesté sous la forme d’une sorte
d’hologramme.
Il semblait apparaître et s’effacer progressivement. Mais il était
réel, bien
réel. Bon, je suis sûr qu’à ses propres yeux il était un être charnel,
mais je
le voyais comme une sorte d’hologramme. Il m’est apparu, très
consistant
d’aspect, m’a regardé cinq secondes environ, puis s’est
re-dématérialisé.
Jake Simpson, le contact « de l’intérieur » que nous avons à
Projet
Camelot, nous a dit que les militaires de certains pays ont maîtrisé
cette
technologie – parce qu’il ne s’agit que d’une technologie – et qu’ils
peuvent
traverser les murs. Leurs super-soldats peuvent traverser les murs.
Il a appelé ça du changement de phase.
Vous changez de phase… Je ne sais pas ce que ça veut dire ! Vous
changez
la phase de ces nuages d’électrons, de ces possibilités quantiques et
de cet espace
vide que nous appelons la matière, si bien qu’ils se déplacent les uns
à
travers les autres.
Pourquoi pas ? La seule raison pour laquelle deux choses entrent
en
collision et rebondissent, c’est parce que vous avez une apparence de
force par
le truchement de diverses réactions électromagnétiques qui se déroulent
au
niveau quantique. Je ne dis pas ceci dans le but d’être techniquement
exact.
Vous avez l’interaction nucléaire forte, l’interaction nucléaire
faible, l’interaction
électromagnétique et vous avez la gravitation – pour autant que je m’en
souvienne, voici les quatre forces de base. Et la combinaison de ces
quatre
éléments a pour résultat l’apparence solide des objets, et le fait que
ma main
ne peut pas traverser le mur.
J’ai parlé à quelqu’un qui avait assisté à une soirée où se trouvaient
des gens
apparemment liés aux Illuminati. Parmi beaucoup d’autres choses, ils
s’adonnent
à la magie noire. Ils peuvent faire plein de trucs. Et en fin de
compte, parce
que toute chose est une expression solide de la pensée ou de la
spiritualité,
suivant le mot que vous voulez utiliser, nous pouvons de fait
transcender ça
sans haute-technologie.
Et donc il a observé la démonstration d’une personne qui faisait
traverser le
mur à sa main. Pfouittt, comme un effet spécial dans un film, droit
dedans,
droit dehors. Et on peut faire de la bi-localisation, ou bien de la
lévitation.
Si vous lisez cet étonnant livre que j’ai lu il y a longtemps et auquel
David
Icke a fait allusion dans son exposé, The
Holographic Universe, de Michael Talbot, vous y trouverez plusieurs
chapitres sur les miracles du passé.
David Icke parle de la marche sur le feu. Il existe de nombreux
exemples
attestés de gens en état d’extase religieuse - fondamentalement
un état de transe, une sorte
d’état altéré [de la conscience]
- dont
la peau n’est pas brûlée par le contact de fers chauffés au
rouge ; ils
ont de gros crochets plantés en eux, et lorsqu’on les leur retire du
corps, il
ne demeure soudain plus aucune blessure.
Il existe de nos jours ces chirurgiens psychiques des Philippines, qui
peuvent pénétrer
le corps d’un patient, extraire une tumeur, la retirer, et hop, le
corps se guérit
tout seul, puis ils mettent la tumeur dans un bocal. Pas
d’anesthésique, ni rien
d’autre, ils se contentent d’atteindre la tumeur et de la retirer. Ce
sont les
chirurgiens psychiques des Philippines.
Dans ses livres, Supernature et Lifetide,
Lyall
Watson
en
parle
beaucoup.
Ils
sont
nombreux
aux
Philippines.
FC : Ouah !
BR : La dernière fois que j’en
ai entendu parler, ils étaient à peu près 20. Il existe un gars au
Brésil dont
le nom peut se traduire, je crois, par « Jean de Dieu ». Il
traite
jusqu’à quelque 3 000 patients par jour. Ils forment une très
longue
queue ; ça prend environ dix secondes par personne. Il leur
dit : OK, vous, vous avez besoin de ceci. Vous, vous
avez besoin de ça. Vous, vous avez besoin de ceci.
Et parfois il prend une lame de rasoir rouillée, il les ouvre avec sa
lame de
rasoir rouillée, sans anesthésique ni rien d’autre. Il dit
seulement : Bien, OK, [Bill émet un bruit de
tranchage], il retire quelque chose, et c’est fini. OK.
Bien.
Suivant ! Et ensuite il n’y a pas de blessure, il
n’y a absolument rien, et ils vont bien.
FC : C’est incroyable !
BR : Et il s’appelle :
« Jean de Dieu ». J’aimerais vraiment aller le voir. Je veux
dire
qu’on peut le trouver sur Internet. Vous pouvez le payer, vous pouvez
faire des
excursions, vous pouvez aller le voir, et ensuite faire partie des
3 000
patients. Et s’il vous traite avec la lame de rasoir rouillée, vérifiez
que
vous avez votre caméra.
FC :[Melani rit.]
BR : Tout cela témoigne du fait
que, comme le dirait Michael Talbot, nous vivons dans un univers
holographique.
FC : Oui.
BR : Et nous en sommes arrivés
là parce que j’étais en train de vous parler de mon ami qui racontait
sa soirée
avec ces étranges personnages illuminati, où il traverse le mur avec sa
main.
Et avant ça, nous parlions de cet Etre qui s’est matérialisé dans ma
chambre.
Et avant encore, nous parlions de chercher de l’aide chez nos amis
éthériques
qui sont aussi dans ce monde non-physique.
Mais tout ceci, si vous le voyez comme un holodeck dans Star
Trek, où on trouve toutes ces choses-là, l’ensemble de ce
que vous voyez dépend, comme le dirait encore David Icke, de la station
radio
sur laquelle vous êtes calé. Il s’agit de métaphores. Il vous faut groker – comprendre intuitivement -
ceci, ces concepts.
Vous vous apercevez qu’il y a suffisamment d’espace pour que tout ce
que vous
souhaitez dans la vie puisse se produire. Les miracles deviennent
possibles.
Les coïncidences n’existent pas. On peut planifier sa propre vie. Vous
pouvez
rencontrer la personne que vous avez besoin de rencontrer. Et si vous
voulez
appliquer ceci au niveau physique, vous pouvez entrer dans un
"vire-matière" (jump-room), et finir sur Mars, parce
qu’il ne s’agit que d’une application de plus de la magie pratique.
Il ne se passe pas grand-chose de toute façon, il ne s’agit que d’un
rêve.
Faites-en un rêve éveillé, et après vous pourrez faire tout ce que vous
voulez.
Des gens le font.
Les mystiques tibétains – et j’ai passé des siècles à les fréquenter,
et j’en
faisais même partie, je crois, à un moment donné – possédaient ces
capacités.
Ils peuvent faire des tas de trucs, là-bas. Ça n’a jamais été
réellement
exporté en Occident.
A l’Ouest, nous dépendons beaucoup de la technologie. Nous existons de
manière
très, très contrôlée. On nous ment, on nous contrôle, on nous manipule,
dès
notre naissance. Et nous nous croyons la race la plus avancée sur
Terre, alors
qu’en fait, nous sommes vraiment la plus primitive.
C’est là où je me situe différemment, et il s’agit d’un bond
ici :
j’adore la manière dont Richard Dolan, au colloque Camelot de Los
Angeles et
dans d’autres exposés qu’il a faits, montre de façon très, très
convaincante,
que le simple fait qu’une civilisation soit techniquement évoluée, ne
signifie
pas qu’elle sache ce qui se passe. Ni qu’elle soit spirituellement
avancée. Ni
qu’elle va dépasser le stade de la simple bienveillance.
Et il utilise cet exemple étonnant : en supposant que nous ayons
une
machine à remonter le temps, nous pourrions revenir en arrière de 1000
ans et
parler à des gens de l’an Mil, on pourrait amener sa caméra, son
portable.
Peut-être même sa voiture. Et son mobile.
Ils verraient toute cette technologie incroyable qui, pour eux, serait
de la
magie. Ils vous diraient : Vous êtes
des êtres si évolués, que vous devez avoir résolu tous les problèmes
qui
existaient chez vous, d’où que vous veniez. Vous devez tous être bons.
Vous
devez tous ressembler à des anges. Vous devez avoir résolu les
problèmes de la
guerre, de la pauvreté et de la maladie, avec la technologie que vous
avez.
Cette logique ne fonctionne pas. Elle ne fonctionne pas. Le simple fait
d’avoir
de beaux jouets capables de faire des choses qui ressemblent à de la
magie, ne
signifie pas que nous avons atteint un niveau avancé de spiritualité.
Cela signifie
seulement qu’on a de beaux jouets, et certains des extraterrestres sont
pareils.
Ce qu’il y a de faux dans cette hypothèse, c’est que le simple fait
qu’ils
volent partout, qu’ils utilisent des engins qui ne ressemblent pas à
des
fusées, qu’ils paraissent pouvoir aller dans d’autres dimensions et
faire de
beaux trucs avec tous leurs jouets, ne signifie pas qu’ils soient des
êtres
évolués d’un point de vue spirituel. Ni qu’ils soient bons. Ni qu’ils
soient
amicaux. Ni qu’ils n’aient pas leurs propres problèmes.
Cela signifie seulement qu’il s’agit d’êtres qui évoluent dans cet
univers en
jouant comme nous à des jeux. Ils ont leur propre karma, leur propre
passé,
leurs propres plans, leurs propres objectifs. Ils peuvent faire avec
nous, ou
nous faire, des chose pour nous inimaginables et il est extrêmement
dangereux de
les imaginer tous sages et tous bons. Ce pourrait ne pas être le cas.
Je voulais simplement glisser un mot là-dessus, parce que c’est
extrêmement
important, puisque nous parlons technologie.
FC : Je vois. Bon, dans le même
style, j’aimerais parler d’êtres extraterrestres, vivant ou non sur
Terre. Que
se passe-t-il en réalité ? Qui dirige cette planète ? Et [elle rit] quand vont-ils se montrer et
nous faire connaître leur présence ?
BR : Voilà plusieurs questions
qui vous paraissent simples.
FC : Oui.
BR :[Il soupire] Je ne
sais pas. Ça semble bouger. Laissons les choses
se produire en leur temps.
Larry King, dans son émission d’interviews Larry
King Live, a accueilli cette année plus d’invités parlant d’OVNI et
d’extraterrestres que jamais auparavant. Pourquoi ?
Intéressant !
L’an dernier, l’astronome en chef du Vatican, dont je ne me souviens
plus du
nom, a déclaré publiquement – je paraphrase – : Si les
extraterrestres existent, nous devons nous rappeler qu’ils sont
nos frères et nos sœurs devant Dieu. C’est arrivé sans prévenir.
D’où
est-ce que c’est venu et pourquoi a-t-il dit ça ?
La semaine dernière, si je me souviens bien, le même gars a animé un
colloque
de cinq jours sur la réalité éventuelle de la vie extraterrestre.
Autre chose intéressante qui s’est produite : la NASA a annoncé la
présence d’eau sur la Lune, suite à l’expérience de crash sur notre
satellite
de la sonde spatiale LCROSS.
Richard Hoagland, que nous connaissons, est quelqu’un d’intéressant,
ayant des
théories intéressantes. Ce n’est pas un imbécile. Nous l’aimons
bien ;
c’est un type intelligent. Il apporte beaucoup d’éléments intéressants
à ces
débats. A Coast to Coast, il a prédit que le prochain coup dans ce jeu
d’échecs
serait qu’ils annonceraient la présence d’eau sur la Lune, parce que
c’est une
des choses qui… Ça correspond à introduire ces idées. Ça correspond à
dire : Oh, il y a de l’eau sur la
Lune.
OK. La plupart des gens se rendent compte que là où il y a de l’eau, il
pourrait y avoir de la vie. Prochaine étape : ils vont trouver
quelque
chose d’autre. Donc, ça vient.
Clay et Sean Pickering, deux chercheurs basés à New-York. Ce qu’ils
nous ont
dit n’est pas nouveau, dans la mesure où cela a déjà été rapporté. Par
Michael
Salla. On en a déjà parlé sur le Open Minds Forum.
Il y a eu un petit peu d’effervescence il y a 18 mois, lorsqu’ils ont
annoncé
avoir été contactés par une source de l’US Navy divulguant l’existence
de
réunions aux Nations Unies, [notamment] d’une réunion à huis clos
camouflée,
mais dont le but était en réalité de
préparer la divulgation internationale de la réalité extraterrestre. Il
y a ensuite
eu d’autres réunions dans d’autres endroits.
En
partant du principe que s’il doit y avoir Divulgation à la population
du monde,
il faut que les Américains soient en accord avec les Russes, les
Chinois, les
Allemands, les Français, les Britanniques, les Sud-Africains, les
Australiens,
et tous les autres, sur la façon de présenter l’histoire. Prenez
l’Afrique du
Sud…
Si le président américain fait une déclaration, immédiatement après la
presse
sud-africaine va poser la même question au président d’Afrique du Sud,
lui
demandant : Que savez-vous
là-dessus ? Il faut qu’il donne la même réponse. Sinon, on a
un vrai
problème, parce que des gens vont donner des versions différentes.
Quelle version donner, que raconter, et comment le dire, c’est
apparemment
discuté en haut lieu et ça l’est depuis au moins 18 mois et
probablement depuis
plus longtemps, beaucoup plus longtemps.
Lorsque Clay et Sean Pickering nous ont contactés – c’est sur le site
de
Project Camelot – ils ont fait allusion à notre entretien avec Stephen
Greer.
Nous avons eu beaucoup de réactions intéressantes là-dessus. Certains
n’ont
vraiment pas aimé : Comment pouviez-vous
défier ce type ? Vous montrer si agressif ? Etre si en
désaccord avec
lui, alors qu’il s’agissait seulement d’une interview ?
Clay et Sean Pickering ont dit : C’est
la meilleure interview que vous ayez jamais faite, parce que son niveau
de
passion, de désaccord et d’intelligence du débat, d’intelligence
passionnée du
débat, reflète exactement la réalité existant à huis clos au plus haut
niveau
de décision.
Ils ont ajouté : C’est tout à fait
représentatif de l’angoisse existentielle, du désaccord et de
l’inquiétude qui
règnent parmi les braves gens situés au plus haut niveau de décision.
Ils ne connaissent pas non plus les réponses à ces questions. Ils ne
savent pas
en qui avoir confiance. Ni quoi dire. Ni comment interpréter une
situation où
quelqu’un dirait : Je suis un extraterrestre
– voici de la technologie : nous vous la donnons parce que nous
vous
aimons bien.
Je dis bien sûr ça sur le ton de la plaisanterie, mais comment
pouvons-nous
comprendre les objectifs de ces gens, et en être sûrs ? Certains
d’entre
eux seront authentiquement amicaux, d’autres pourront ne pas l’être.
Il est extrêmement important de prendre les bonnes décisions à ce sujet
et
extrêmement important de donner au public des informations exactes.
Quels que
soient les gens qui poussent à cette Divulgation – qui, je le crois,
est en
route. Quelque chose est en route. Nous ne savons pas quand, ni quoi,
ni quelle
pourcentage de vérité elle contiendra.
Quand nous lui avons parlé à la fin de juin cette année, Pete Peterson
nous a
raconté avoir été informé par sa propre source… Maintenant,
permettez-moi de
revenir un peu en arrière ici, parce que c’est devenu sur Internet une
rumeur
plutôt incontrôlable.
Je vais me contenter de répéter exactement ce qu’il a dit. Qu’une de
ses
sources lui a annoncé qu’on avait réservé une plage de temps à la
télévision
sur de nombreuses chaînes, le 27 novembre, au cours de laquelle Obama
prévoyait
de faire une déclaration. Juste après, Pete Peterson a ajouté : Le fait que ce soit prévu ne signifie pas
que cela va se produire. Nous lui en avons parlé récemment et il
nous a dit
qu’à son avis, c’était du 50/50. Ce n’est que son estimation
personnelle.
C’était le renseignement auquel David Wilcock faisait allusion quand il
s’est
retrouvé dans une situation très délicate à Coast to Coast. Nous
adorons David,
c’est un grand ami à nous, il peut savoir des choses que nous ne
connaissons
pas. Mais suite à ce que Pete Peterson nous a tous dits en même temps,
je
n’aurais pas affirmé les choses avec autant de force que l’a fait David.
Le problème, quand on fait une prédiction de ce genre, c’est que – tout
comme
Blossom Goodchild l’an dernier – vous vous retrouvez un peu bête si
vous vous
trompez. Donc je tiens à présenter ceci avec tous les avertissements
possibles,
car qui sait si cela va arriver le 27 novembre ?
On peut penser que, s’ils avaient l’intention de se préparer à ça, ils
devraient aller plus loin que simplement dire qu’ils ont trouvé de
l’eau sur la
Lune.
Plusieurs autres étapes intermédiaires semblent prévues avant qu’ils
annoncent
quoi que ce soit. Clay and Sean Pickering nous informent que les débats
passionnés à huis clos se poursuivent, et qu’ils sont loin d’être
terminés.
Mon sentiment personnel, et je tiens à le dire au micro, c’est que nous
n’allons rien entendre le 27 novembre. J’adorerais me tromper, mais je
crois
qu’il est trop tôt. Je pense que cela aurait pu être un signe
prometteur.
Il se peut que le moment ait bien été réservé, mais qui sait combien
d’autres
réservations prévisionnelles ont été effectuées pour les prochains
mois ?
Nous ne disposons pas de cette information. Pete Peterson ne le sait
pas non
plus. Il ne faisait que rapporter ce qu’on lui avait dit.
Ça vient, on ne sait pas quand, on ne sait pas ce qu’on va nous dire,
et il y a
des gens dans le mouvement pour la Divulgation qui disent : Bien. Notre longue bataille de 30, 40, 50
ans, depuis Roswell, va se terminer dès que le président ou quelqu’un
d’autre
fera sa déclaration au Corps de Presse de la Maison Blanche.
Et je dirais : Bon, en fait, ça
pourrait n’être que le début, parce que nous ne savons pas ce
qu’ils vont
dire. Ni comment certaines des questions vont être présentées. Ni ce
qui se
produira après ça. Cela pourrait conduire à un nouveau jeu, ponctué par
des : Oh mon Dieu ! Ils nous
ont dit ceci, et nous savons que ce n’est pas vrai.
Dans le monde entier, tous croient que le bien sort de la bouche du
Président.
Maintenant nous avons un nouveau niveau de problème à gérer : ce
qui est
vrai, ce qui n’est pas vrai, ce qu’on a rapporté, ce que les gens
croient,
comment les gens réagissent à ça, et pourquoi ils font tout ça.
Il faut voir l’ensemble comme un jeu d’échecs, et une partie d’échecs
peut se
jouer de manières très différentes. Cela pourrait se révéler être une
diversion
qui passionnerait les gens pendant plusieurs mois, le temps qu’on
divulgue tout
ça, pendant que, par ailleurs, ils implantent tranquillement leurs
micro-puces…
Mon idée, c’est qu’un moyen formidable de détourner l’attention du
débat sur la
grippe porcine [l’(A)H1N1 – NdT] serait d’annoncer l’existence des
extraterrestres.
Du jour au lendemain, le problème de savoir s’il faut ou non vacciner
les
enfants perd de son importance. Il devient beaucoup plus intéressant et
racoleur de parler de ce nouveau sujet. C’est justement ce qu’ils
pourraient
être en train de faire.
Tant de choses se déroulent simultanément en ce moment. Le film 2012 est sorti il y a quelques jours
seulement. Je ne l’ai pas encore vu. On me dit qu’il n’est pas très
bon, mais
qu’il est très spectaculaire. Mais il n’est pas sorti par hasard, et il
y a certainement
derrière, la volonté de nous effrayer, parce que la peur nous rend plus
faciles
à manipuler.
Il faut imaginer ce qu’ils pensent. Ce sont des gens très malins. Rien
ne se
produit par hasard. Il peut y avoir toute une série d’éléments
trompeurs
destinés à nous perturber, nous faire réfléchir, nous inquiéter et
peut-être même
à nous faire réagir contre quelque chose par ici, tandis qu’autre chose
se passe
très tranquillement par là. Il nous faut être suffisamment intelligents
pour
essayer d’anticiper en quoi consistent ces petits jeux. Une fois de
plus,
j’utilise le terme de « jeu » en connaissance de cause, parce
qu’il
faut voir les choses sous cet angle.
Quand notre interview de Deagle, celle d’hier soir, sera publiée – et
j’espère
le faire cet après-midi, parce que c’est très, très important - il
propose un
scénario de ce nous pourrions vivre différent, non seulement jusqu’à
2012, mais
peut-être jusqu’à aussi tard que 2019. Il ne pense pas du tout que tout
va
soudain mal tourner en décembre 2012.
C’est un homme très intelligent, que Deagle. Il est certain que Patrick
Geryl
et Cliff High ont tout faux. Il dit qu’il y aura probablement une
période
d’activité solaire très intense qui entraînera des répercussions
physiques sur
notre planète et que la croûte terrestre se déplacera.
Voilà une théorie intéressante – pas de déplacement des pôles – mais la
croûte
terrestre est un peu comme la peau qui se forme sur le lait chaud. Elle
donne
l’impression d’être solide, mais en fait elle peut se déplacer. Elle ne
se
casse pas, mais elle peut le faire, et elle flotte en quelque sorte sur
cette
surface visqueuse qu’est le magma brûlant situé sous la croûte.
Il affirme que, d’après ses calculs et des sources bien informées, il
se
produira vraisemblablement un déplacement progressif de la croûte,
pendant
plusieurs mois, à l’allure d’un homme qui marche.
D’un point de vue géologique, c’est très, très rapide, mais pas de quoi
en
faire un bon film-catastrophe, parce que les continents vont commencer
à se
repositionner à la vitesse d’environ deux kilomètres à l’heure,
l’allure de la
marche, à peu près.
Mais au bout de trois mois, tout sera à un endroit un peu différent.
Puis le
temps commencera à changer, les calottes polaires vont fondre, et le
niveau de
la mer se stabiliser. Il dit que le Japon va probablement disparaître,
et
toutes sortes d’autres choses assez pénibles, mais ce ne sera pas la
fin du monde.
Il y aura, comme conséquence, des problèmes dans la répartition de la
nourriture.
Il y aura probablement des éjections de masse coronale qui affecteront
ou
influenceront tout ce qui fonctionne par électromagnétisme.
Nous avons à Camelot nos propres sources bien informées. En avril
dernier
[2009], nous avons entendu parler, par l’épouse d’un ingénieur
électricien
qu’on avait soudain renseigné, qu’il avait trois ou quatre ans devant
lui pour
éviter à tous les transformateurs de Grande-Bretagne de griller.
Nous avons correspondu avec la femme de ce gars. Il y a eu échange de
plusieurs
e-mails sur une période de 3 ou 4 jours, parce qu’il était absent.
Et elle nous a dit : Ecoutez, je ne
peux pas répondre à vos questions, parce que je ne suis pas
scientifique, mais
je les lui poserai dès son retour.
Et nous n’avons rien eu de plus – tout paraissait vrai, mais nous ne
pouvons
que le supposer – nous ne pouvions que supposer que le gars, de retour
chez lui,
ait dit : Bon sang, mais qu’est-ce que
tu fais ? On ne peut en parler à personne ! Ça serait trop
dangereux,
et on m’a menacé. Tu ne peux pas faire ça. Tu n’aurais pas dû parler à
ces
gens-là.
Et nous avons entendu parler par d’autres gens de choses très
similaires. Bill
Deagle confirme cela. Il y a dans le monde entier des ingénieurs
électriciens
travaillant dans le domaine public, qu’on a mis en garde contre des
événements
qui pourraient éventuellement se produire.
Et les plans de réduction de la population… [Bill rit] C’est
vraiment
un vaste
sujet, très difficile à traiter de façon linéaire. Les plans de
réduction de la
population sont fondamentalement… Voyez-vous, la question qui crève les
yeux,
c’est : Ecoutez, s’ils vont subir d’importants
bouleversements terrestres et la désorganisation des infrastructures et
de la
production de la nourriture, tout ceci mettra en danger la vie ou
causera la
mort de beaucoup de gens. Pourquoi s’inquiètent-ils donc de la
réduction
simultanée de la population mondiale par des moyens artificiels, comme
ils le
font ?
La réponse de Deagle à tout ceci c’est que, fondamentalement, il s’agit
d’une
question de synchronisation. Ils essaient de deviner quand ces
événements se
dérouleront. Il faut qu’ils réduisent la population mondiale avant
l’arrivée de
ça, car sinon leur propre survie pourrait être mise en cause par
l’agitation créée
par la présence de trop de gens autour d’eux, qui se livreraient à des
actes
imprévisibles.
Mais tout d’abord, ils ne tiennent pas à se débarrasser des gens trop
rapidement - une des raisons qui peuvent expliquer pourquoi ils ne
l’ont pas
fait jusqu’à présent - parce qu’ils
veulent maintenir leur base de fabrication, dont ils dépendent, à cause
des
gadgets qu’ils utilisent pour les maintenir en vie dans leurs bases
souterraines… quelqu’un les fabrique ; ils ne les produisent pas
dans
leurs propres usines. C’est vous et moi qui les fabriquons,
métaphoriquement
parlant.
Donc il faut que les gens qui travaillent dans les usines du monde
entier
puissent maintenir leur production. Il s’agit donc de garder les choses
en
fonctionnement le plus longtemps possible, et juste avant l’arrêt de la
musique
- c’est une métaphore - ils vont
dire : OK les gars, on n’a plus
besoin de vous. Maintenant nous commençons de réduire la population
mondiale.
Puis c’est le début des bouleversements terrestres, et ils vont tous se
réfugier sous terre ; et puis ils ont aussi leur Plan
B : les bases sur la Lune et sur Mars.
Selon Deagle, tout ceci peut ne commencer à se concrétiser qu’à partir
de 2019.
Il ne croit pas du tout à l’histoire de 2012, et moi non plus. Je
soupçonne que
cette affaire de 2012 est avant tout faite pour nous égarer, et la
sortie même de
ce film de Roland Emmerich confirme à mes yeux que c’est très
vraisemblablement
le cas. Du genre : Bon. S’il dit ça,
c’est donc que quelque chose d’autre va arriver. Entre temps, on
attend de
nous que nous y croyions tous.
Mais il se passe quelque chose. Vous et moi, ainsi qu’un tas d’autres
gens qui vont
voir ce film en ce moment, se préoccupent de comprendre ce qu’il en
est. Nous
ne saisissons pas l’occasion pour proclamer que Bill Deagle a raison,
mais il
est très, très intelligent et très, très bien intentionné. Il possède
ses
propres sources d’information parmi les initiés, et ce qu’il décrivait
– nous
[l’]aurons [dans] cette audio d’une heure et demie, publiée sur notre
site juste après, si ce n’est avant cette vidéo-ci ; le genre de
chose qu’il
faut réécouter 3 ou 4 fois, tellement c’est dense – ce qu’il décrivait
m’a paru
vrai. Ça m’a paru vrai.
Il ne s’agit pas d’un désastre, mais d’un grand bouleversement. Cela se
produit
tous les 11 500 ans, et ça ressemble à ce qu’on lit dans les
légendes,
comme celles de l’Atlantide, du Déluge, et autres. Des tas de choses se
sont
produites. Mais il ne s’est pas agi d’un grand coup de balai ;
seulement d’une
petite remise à zéro et d’un peu de réorganisation. Et une grande part
de la
haute technologie de l’époque a disparu.
Ceci est bien sûr également en corrélation avec ce que dit depuis
longtemps
Hoagland, et c’est très, très intéressant. Il affirme qu’il se trouve
des tas
de ruines sur Mars et sur d’autres lunes rocheuses - qu’il y a
d’incroyables
structures sur Iapetus, une des lunes de… est-ce Saturne ou
Jupiter ? je
ne peux pas me le rappeler. [NdE : Saturne]
Tout le Système Solaire semble jonché d’artéfacts de différentes
sortes. Mais
[Hoagland] dit que cela provient seulement des humains d’autrefois. Il
affirme
que ce ne sont pas les extraterrestres qui ont construits tout ça –
mais nous.
Il s’agit de notre Histoire !
Nous ne connaissons pas notre propre Histoire. Des choses très, très
intéressantes.
Maintenant, bien sûr, il s’y trouve aussi probablement des bases ET.
Nous avons
entendu parler par « Henry Deacon » (Arthur Neumann) de la
base
martienne occupée conjointement par les militaires humains, ou les
services
humains de renseignements militaires, nommez-les comme vous voulez.
Mais il y a
là d’autres extraterrestres également. Il y a de la vie et des gens,
vous
savez, partout.
Mais un grand nombre des choses qui sont là-bas, affirme Hoagland,
viennent de
nous, autrefois. Nous y sommes allés et nous y avons laissé nos ruines.
Je ne
sais pas ce qu’il en est. C’est une thèse passionnante, et Deagle n’est
pas…
Mettons les choses au point : Deagle n’est pas en désaccord
là-dessus.
Nous désirons vraiment signaler aux gens les travaux de Bill Deagle.
Beaucoup de gens disent que c’est un marchand de peur, même chose pour
David Icke.
Et en fait j’ai présenté David samedi en disant de lui qu’il faisait
partie des
personnes les plus positives, optimistes, et courageuses auxquelles on
pourrait
songer. Et lui, dit que l’idée que tout ceci pourrait mal se terminer
ne lui
vient pratiquement jamais à l’esprit. Bill Deagle réagit exactement
pareil.
Mais, pas plus que David Icke, il ne dit pas que nous n’allons pas
passer par
de sales moments. Il se peut que nous passions par de sales moments. Et
des
gens auront peut-être à abandonner leur corps et à en récupérer un
autre
ailleurs.
Mais ça n’est pas la fin de la partie, et ça ne suffit pas à en faire
un
film-catastrophe ; cela produit beaucoup de drames, quantité de
bouleversements, et pas mal d’événements intéressants.
Mais, dans l’ensemble, après ça, se trouve en réalité l’occasion pour
la race
humaine d’émerger dans ce que beaucoup, beaucoup de médiums ont vu,
après tout
ce chaos, comme une forme d’Age d’Or.
Un des messages que j’aimerais communiquer ici, c’est que, si tout ça
devait
être une terrible et horrible histoire, je ne serais pas ici. Je le
sais. Je ne
serais pas venu ici en 1953 pour faire ce que je fais en ce moment. Je
serais
parti dans une autre planète… Je veux dire qu’il y a des tas d’endroits
merveilleux là-bas, où on prend son pied à des tas d’activités
différentes.
Je suis ici parce qu’il y a de fortes chances que ce jeu se termine
bien. Entre
temps, on s’amuse bien, c’est intéressant, on apprend des choses, c’est
un
stage pour vous et pour moi, et pour tout le monde. Je suis vraiment
content
d’avoir été volontaire pour ça, mais je n’ai pas signé pour que ça se
termine
mal.
Et tous les enfants merveilleux qui arrivent, et qu’ils essaient de
manipuler
avec de la Ritaline et avec toutes ces drogues et toutes ces… Vous
savez, ces
« enfants indigo », ils arrivent par vagues, par
vagues ! La
cavalerie arrive ! Ce sont des petits enfants qui courent partout.
La
cavalerie est là !
Nous recevons des lettres, nous recevons des e-mails adressés à Projet
Camelot.
Nous recevons de plus en plus de lettres de gens de plus en plus
jeunes, des
adolescents, de jeunes adultes, et ils font preuve d’un niveau de
conscience et
de connaissances dans leur compréhension que j’étais loin d’avoir à
leur âge.
A 20 ans, et même à 30 ans, j’ignorais tout de ce qui se passait !
J’essayais de comprendre. Et ces jeunes-là sont déjà à pied d’œuvre.
Certains
d’entre eux ont une mauvaise orthographe, mais ça n’est pas le plus
important !
Tant de gens nous disent : Je sais qu’il y a une raison à ma
présence ici.
Je veux trouver pourquoi je suis ici. Je comprends toutes ces
informations. Vos
informations m’ont aidé(e) à m’éveiller. Elles m’ont aidé(e) à me
rendre compte
que je suis ici [pour]… C’est ce que de plus en plus de gens nous
disent, et
ils sont de plus en plus jeunes.
Et bien sûr nous travaillons au sein d’une équipe plus vaste. Vous
allez, vous
aussi, commencer à recevoir ce type de message, si ce n’est pas déjà
fait.
FC : Oui. Mm-hm.
BR : Et il y a des gens qui
travaillent dans le monde entier, dans différentes cultures, de
différentes
manières, et tout ceci est en train de se produire. C’est un mouvement.
C’est
un mouvement.
Et tous ces gamins ne seraient pas ici si cela ne débouchait sur rien,
si le
jeu était fixé d’avance, s’il était truqué. Ils seraient allés à une
autre
table, dans une autre planète. Ils feraient autre chose. Ils ne
seraient pas
ici. Ils sont ici parce qu’il y a de fortes chances… parce que c’est
bien,
parce que nous travaillons ensemble, parce qu’ils peuvent renouer avec
des gens
avec lesquels ils ont prévu de renouer les contacts.
Beaucoup d’entre nous se connaissaient déjà, d’avant. C’est pourquoi,
j’en suis
sûr, depuis que avez commencé à faire ce que vous faites, vous tombez
sur des
gens que vous n’avez rencontré qu’hier ou avant-hier et vous vous
dites : Bon sang, j’ai l’impression de l’avoir connu
toute ma vie !
Ça arrive constamment ! Et la raison en est que ce ne sont pas des
inconnus, mais
de vieux amis. Vous avez un contrat ; vous rencontrer et
travailler
ensemble fait partie de votre plan de vie, parce que vous l’avez déjà
fait de
nombreuses fois. La raison pour laquelle c’est cool de travailler avec
des
gens, c’est que c’était déjà cool la fois d’avant. Donc nous
recommençons.
Ça ressemble à une longue série de films, où on retrouve le même
personnage,
confronté à un problème différent, et on y va ! Savez-vous ?
Et c’est
vraiment comme ça.
Et ça, pour moi, c’est un des plus importants messages d’espoir, le
fait que
toute cette cavalerie ne s’investirait pas ici s’il n’y avait aucun
espoir. Ils
s’impliquent ici parce que quelque chose de réellement valable pourrait
en
sortir.
Je pense que rien n’est fixé. Il n’est pas prévu que tout se terminera
bien. Ni
que tout se terminera mal. Mais c’est un jeu passionnant. Et mon
message à tous
ceux qui regardent ceci, qui ressentent que ce que je leur raconte leur
dit quelque chose… que si vous regardez
cette vidéo en ce moment, c’est qu’il y a probablement une raison. Rien
ne se
produit par accident. Si vous vous prenez en train de penser : Que devrais-je faire en ce moment ?Que
devrais-je donc faire en ce
moment ? [Il rit] Même si votre langue, c’est l’allemand, et que vous êtes passionné par le
livre de Ruth, eh bien voilà un bon début.
Quelle que soit l’activité qui vous attire en ce moment, elle pourrait
bien
être ce pour quoi vous êtes venu ici. Soyez intelligent, soyez prudent,
soyez
en règle avec les gens, soyez conscient de toutes les entourloupes que
vous
pouvez commettre, mais suivez votre instinct. Si vous passez votre
temps à tout
planifier de façon logique, vous n’irez nulle part. Il vous faut vous
jeter à
l’eau. Les anges vous récupéreront parce qu’ils existent.
FC : Bravo. Excellent !
Merci, Bill. Je voudrais simplement revenir sur la question : Qui
dirige
réellement cette planète ? S’agit-il des Reptiliens ?
BR :[Il rit]
FC : Qui ?.. Que se
passe-t-il ?
BR : OK. OK. Qui dirige la
planète ? Les Anunnaki font partie du tableau. Les Anunnaki sont
des gens
intéressants. Il y a un tas de choses que j’ignore sur eux. Ils
semblent un bon
exemple de ce dont je parlais tout à l’heure où, plutôt que de se
dire : Oh, mon Dieu, ce sont des gens que nous
devons adorer/révérer, sinon il va falloir nous battre, ou nous en
faire bien
voir, ou que nous devons calmer, ou avec lesquels nous devons négocier,
il
se
peut
qu’ils
soient
en
fait
venus
ici
avec
un
problème.
Il y a des renseignements de diverses sources, y compris provenant de
mes
propres informations, qui me paraissent vraies – et j’en ai entendu
parler
ailleurs – indiquant qu’ils pourraient avoir perdu leur planète. Parce
qu’il
s’est passé des sales trucs là-bas. Notre univers est violent.
Quelle que soit la race d’êtres, pour n’importe quelle race évoluée,
perdre sa
planète est un sacré problème à résoudre. C’est comme une personne qui
perd sa
maison dans un tremblement de terre et qui erre en se demandant où
habiter.
Elle pense : Oh, voici une belle
maison, et en voilà une autre, mais toutes les belles maisons sont
déjà
habitées, vous savez.
Voici une très mauvaise analogie. On ne peut tout simplement pas
squatter une
belle maison vide. Toutes les belles planètes sont déjà occupées. Des
gens, ou
des êtres, les habitent apparemment déjà.
Il est possible – et je le présente comme une hypothèse – qu’ils soient
en
train de travailler en tant que race sur un problème de karma
historique.
Supposons qu’une planète ait été détruite, cette race ne pouvait alors
aller
nulle part ; mais parce qu’auparavant ils n’avaient pas été
gentils pour
les autres, personne ne veut les accueillir comme réfugiés. Alors, ils
ont un
problème.
D’après ce qu’ont dit Clay et Sean Pickering… en fait, ils ne savent
rien des
Anunnaki, tout ça est très compartimenté. Je pense qu’au moins certains
des
Anunnaki, ou ceux qu’on appelle les Anunnaki, sont des Reptiliens. Et
rappelez-vous que le mot « Anunnaki », tel qu’il est traduit
par
Sitchin, signifie simplement « ceux qui sont venus du ciel sur la
Terre ». C’est une sorte de terme générique pour
« extraterrestres » et, de fait, pour
« visiteurs ». Ils ne
se nomment pas eux-mêmes « Anunnaki ». Je ne sais pas quel
nom ils se
donnent.
Il est possible qu’il s’agisse de réfugiés cherchant un endroit à
squatter, un
endroit où prendre le pouvoir, des gens avec lesquels négocier, un rôle
à
jouer, un endroit où vivre – je ne sais pas.
Si nous imaginons qu’une race a perdu sa planète, ces gens-là risquent
d’être
profondément traumatisés, d’être séparés en différents groupes, d’être
en
désaccord entre eux sur ce qu’ils devraient faire. Certains de ces
êtres, de
ces gens, pourraient dire : OK, nous
devrions demander de l’aide. D’autres pourraient dire : Non, nous sommes une race de guerriers.
Allons envahir ces gens-là. Nous les méprisons de toute façon, et de
plus, nous
aimons bien leur domaine.
[Rire de Melani]
On nous a raconté que les Anunnaki s’étaient divisés en différentes
factions,
et ils ne s’entendent pas forcément bien entre eux. Certains peuvent
très bien
être amicaux. D’autres pas.
J’ai rencontré Barbara Lamb, une thérapeute qui travaille avec les
contactés.
Elle est très respectée ; c’est une personne formidable. Je l’ai
rencontrée en février à Los Angeles. Elle m’a raconté qu’un Reptilien
s’était
matérialisé dans sa chambre, physiquement, qu’il lui avait tenu la main
pendant
deux minutes, l’avait regardée dans les yeux, et il l’a informée qu’il
avait
été élevé dans le cadre d’un programme de communication avec les gens,
des gens
sélectionnés, pour apporter le message que tous n’étaient pas
inamicaux. C’était
son rôle, et Barbara Lamb l’a compris parce qu’elle a entendu parler de
tous
ces témoignages.
Vous savez, ça n’est pas parce que quelqu’un mesure 8 pieds [ 2,45 m –
NdT] qu’il est musclé, vert, avec des
écailles… Je
veux dire, je ne sais pas à quoi ils ressemblent. Ils ont probablement
l’air
assez effrayant. Mais ça ne veut pas dire que ce ne sont pas des gens
sympathiques.
Comme le dit Ruth, le résultat final, une fois que vous débrouillez
toute la
pagaille que nous avons ici à ce niveau de réalité, nous sommes tous
conscience
infinie. Même un méchant Reptilien mangeur de bébés. Eux aussi sont
conscience
infinie. Ils ont seulement oublié qui ils sont, tout comme vous et moi,
peut-être.
Il y a donc ici place pour la compassion. C’est là où s’imbrique cette
histoire
d’amour infini. Vous voyez, il y a place pour la compassion, et se
rendre
compte que ces types ont peut-être un gros problème. La plupart des
gens qui
font quelque chose d’antisocial, de violent ou de méchant, essaient
seulement
de résoudre un problème.
Si quelqu’un vous met un couteau sous la gorge dans une ruelle sombre
et vous
vole votre portefeuille, il essaie simplement de résoudre un problème.
Si
quelqu’un bombarde un autre pays, c’est juste qu’il essaie de résoudre
un
problème. Si quelqu’un s’empare d’une planète, c’est juste pour essayer
de
résoudre un problème. Si votre partenaire vous crie après, vous jette
une assiette
à la figure dans la cuisine par ce qu’il/elle est bouleversé(e), c’est
juste
qu’il/elle essaie de résoudre un problème.
C’est de l’automédication : ils accomplissent quelque chose qui
les font
se sentir mieux. Donc le mal que font les gens n’est qu’un moyen de
résoudre un
problème. La seule chose c’est que, habituellement, lorsque le résultat
en est
négatif pour quelqu’un d’autre, cela ne résout pas définitivement le
problème,
la solution n’est que très provisoire. On a juste l’impression de
résoudre le
problème. En fait tout n’est pas fini.
C’est la nature du karma. Le karma, c’est d’essayer de résoudre un
problème en
en créant un autre, qui en crée un autre, qui en crée un autre… et la
chose ne
s’arrête jamais. Il faut s’élever à un niveau supérieur pour comprendre
comment
traiter vraiment ces problèmes, et ne pas essayer de les résoudre en
réagissant, réagissant… Bon, j’arrête là.
Mais c’est ici où la compassion intervient, et plutôt que de combattre
ces
types, il nous faut comprendre qu’ils sont peut-être ici parce qu’ils
essaient
de résoudre un problème, et de le faire d’une manière pas
nécessairement bonne
pour leur karma, ni pour nous physiquement.
Maintenant, vous m’avez demandé qui tire les ficelles. Il est très
évident pour
moi que des entités reptiliennes agissent par derrière, ou à
l’intérieur de personnages importants et influents dans ce grand
jeu d’échecs qu’est la géopolitique moderne ; de même que dans le
monde
des médias alternatifs.
Si des Reptiliens sont suffisamment malins pour s’emparer d’un corps
humain, au
degré métaphorique que vous voulez – ils peuvent se placer derrière eux
dans
une autre dimension ; être une sorte de walk-in,
où ils disent :
OK, dégage, je prends ton corps maintenant – et ils ont l’aspect
d’un
humain, mais ce qu’ils étaient avant ça était complètement différent.
Ceci peut
arriver à tout moment de la vie. Il n’est pas nécessaire d’être né ici.
Cela peut se produire avec les politiques, avec les banquiers, avec les
industriels, avec les ufologues. Et, si nous ne faisons pas attention,
cela pourrait
en théorie vous arriver, ou m’arriver. Si vous considérez que ces êtres
ont la
capacité et l’aptitude stratégique de calculer : OK,
quelle position devrions-nous occuper sur cet échiquier ? Ils
vont ensuite prendre position et prendre possession de gens. Il est
tout à fait
logique de penser que s’ils peuvent le faire, ils le feront.
Et non seulement les méchants occupent des positions et des corps, mais
les
bons aussi. Qui pensez-vous que nous sommes ? Je racontais
précédemment
comment j’ai vécu longtemps au Tibet. Je crois être sur cette planète
depuis…
Je n’ai pas de souvenirs remontant à plus de 2000 ans, mais je suis
peut-être
venu un peu en avance, juste pour m’habituer. Si je suis arrivé sur
Terre,
venant d’ailleurs, passant du temps au Tibet pour piger le
fonctionnement, un
très bon endroit pour y faire son installation, avant de vraiment
commencer à
s’impliquer.
Je n’en suis pas certain, mais je sais que des gens sont arrivés
directement
ici ; que c’est leur première vie. Je leur ai parlé.
J’ai eu une autre petite amie. C’est une histoire que je n’ai pas
encore
racontée publiquement. Je ne donnerai pas son nom, car il se pourrait
facilement qu’elle regarde ceci. J’ai eu une autre petite amie, venue
ici des
Pléiades, il y a deux vies – pas la vie dernière. En d’autres termes,
cette vie
est sa seconde vie en tant qu’humaine. Lors de sa vie précédente, tout
comme
nous, elle a passé un sale, vraiment sale moment. Oui, vraiment un sale
moment.
Parce que, si vous venez d’ailleurs, c’est dur. Notre planète est
dure ! [Il rit] La vie n’est pas facile ici.
Spécialement si on a l’habitude d’autres fonctionnements, d’autres
niveaux de
technologie, d’autres capacités qu’on peut avoir et qu’on est obligé
d’abandonner ici, parce qu’ici ça ne marche pas comme ça, un corps
humain, un
cerveau humain, parce que le cerveau est l’interface.
Le cerveau est lié à la télépathie, même s’il s’agit d’une capacité
fondamentalement spirituelle. Matériel et logiciels fonctionnent
ensemble. On
peut avoir des logiciels perfectionnés, mais si le matériel ne suit
pas, le
logiciel ne marchera pas. Donc, c’est lié.
Tout ça fait partie de votre question sur qui dirige la planète. Il se
déroule
un jeu en coulisse – je n’utiliserai pas le terme de
« guerre »
- Il y a des bons aliens et des
méchants aliens et, plus que probablement, ils assument la condition
humaine et
tirent les ficelles. Et ils se pourchassent probablement.
Quand Bob Dean dit que des aliens à l’aspect humain parcourent les
couloirs du
Pentagone, et qu’on pourchasse certains d’entre eux… ce qui nous a été
dit par
notre source surnommée « John Robie », d’après un personnage
de film
[NdE : de To Catch a Thief] parce
que nous aimons donner comme pseudonymes des noms de personnages de
films – il
s’agissait de Tony Dodd, maintenant décédé. C’était un ufologue
britannique
très connu, très respecté, un homme formidable. Je ne l’ai jamais
rencontré
personnellement.
Il a énormément communiqué avec nous. Il disait qu’on pourchasse ces
types. Ce
qu’il ne nous a jamais dit précisément – probablement parce qu’il ne
l’a
jamais
su – c’est si c’étaient les bons qui étaient pourchassés par les
méchants, ou
l’inverse. Vous voyez ?
FC : Les mauvais chassés par
les bons ?
BR : Ou bien l’inverse.
FC : Oh…
BR : Ou peut-être même les
deux. Qui sait ce qui se passe là-bas ? C’est juste l’idée que
Tony Dodd
nous a rapportée sur le site sous le nom de John Robie, confirmée par
Bob Dean,
disant qu’il existe une race – c’est proche de ce que Bob Dean a dit de
mémoire
- c’est-à-dire qu’il a entendu parler
d’une race qui nous ressemblait exactement. On ne les remarquerait pas
s’ils montaient
dans le train juste après nous. Ni si on les rencontrait à une soirée.
Ni si on
travaillait pour eux ou avec eux, ou s’ils travaillaient pour nous, ou
s’ils
cherchaient à travailler dans les services secrets militaires. On ne
les
remarquerait pas. Ils sont tout simplement humains !
Et, pendant que j’en parle, voici quelque chose que « Henry
Deacon »
(Arthur Neumann) a très souvent répété. Il disait : Ce
sont
des
humains !
Il
y
a
des
gens
là-bas.
Ils
sont
simplement
comme
nous.
Certains
sont
un
petit
peu
différents,
une
peau légèrement
différente, certains sont grands, d’autres petits, certains ont des
yeux de
forme différente.
Mais bon sang, ça existe aussi sur Terre ! Pourquoi
croyez-vous que
nous avons l’air si différents ? C’est parce que nous avons des
composants
génétiques provenant de toutes ces autres races différentes et elles
sont
toutes légèrement différentes. Mais fondamentalement, avec peut-être
l’éventuelle
exception, ils ont tous deux bras, deux jambes, une tête, deux
oreilles, deux
yeux, un nez, une bouche, un cerveau qui est là-haut, et ils ont leur
propre
système de chakras et leur propre métabolisme.
Mais ils sont très humains d’aspect. Cela semble être le modèle de
base, du
moins pour cette galaxie, à part peut-être une ou deux exceptions. Et
si
certains de ces humains sont si semblables à nous au point qu’on ne
peut pas
faire la différence, je suis certain qu’ils sont ici. Ce sont
probablement de
très braves volontaires qui font leur propre boulot, et si l’un d’entre
eux
regarde cette vidéo, qu’il vienne nous contacter, parce que nous
aimerions vous
interviewer ! [Bill rit]
FC : Je souhaite personnellement
interviewer un Reptilien… s’il peut parler !
BR : Ahhh oui, Il vous faudrait
probablement un intermédiaire pour capter leur contact télépathique. Un
des
éléments, qui remonte à… Cette interview ne va pas en ligne droite,
mais ce que
nous ont raconté Clay et Sean Pickering, qu’ils ont appris en détail
par leur
source de l’US Navy, c’est que le programme de Divulgation concerne
deux races
extraterrestres. Ils ne savaient rien des autres. Ils disaient que
personne ne
savait ce que faisaient les Gris. ils s’occupent de leurs propres
affaires.
« Henry Deacon » nous l’a dit. Il a dit :
Nous ne savons pas ce que font ces types-là. Ils s’occupent de leurs
propres affaires. Très intéressant.
Il a parlé [=la source de Clay et Sean Pickering] d’une race
reptilienne
soumise à une autre race, une forme de vie fondée sur le silicium, qui
n’est
PAS humanoïde. Qu’elle possède d’extraordinaires capacités, mais qui
nous est
si étrangère, dans tous les sens du terme, qu’il est très difficile de
comprendre ce qu’ils veulent, comment ils fonctionnent, de savoir quoi
que ce
soit d’eux, parce qu’il s’agit d’un paradigme entièrement différent.
Ce sont juste des cristaux ! Ils sont faits de cristaux !
Fondamentalement, ce sont des cristaux qui peuvent apparemment bouger,
léviter
et communiquer télépathiquement, ils peuvent changer de forme, parce
qu’ils
peuvent, tout comme on peut s’y attendre de la part d’un gros cristal,
produire
une excroissance, qui fait aussi partie du cristal.
Je ne connais pas grand-chose là-dessus, et c’est une histoire très
curieuse,
ils n’aiment pas l’environnement de la Terre, parce qu’il ne convient
pas bien
à leur corps. C’est donc une nouveauté pour les ufologues, pour
l’ufologie. Et
ils [Clay et Sean Pickering] ont eu du mal à faire passer leur récit,
parce que
tout le monde dit : Oh, c’est
stupide ; ça ne tient pas debout. Donc, peu de gens les
croient.
Mais leur source, leur source de l’US Navy, appartient à une équipe de
six, qui
ont subi des modifications par chirurgie, un processus apparemment très
traumatisant. Ils ont subi ces modifications par chirurgie afin de
pouvoir
communiquer avec ces êtres, et il a eu de profonds échanges avec eux.
Mais une des raisons du débat sur la confiance qu’on peut leur accorder
[à ces
extraterrestres cristallins], est due au fait qu’ils répondent rarement
aux
questions, et ne révèlent presque rien. Les gens se sentent néanmoins
excessivement bien en leur présence et ces êtres semblent
bienveillants, mais
ils pratiquent aussi beaucoup la rétention d’informations.
Mais ce sont des aliens ! Que
peut-on tirer de ça ? Tout le monde s’évertue à comprendre.
Personne ne
sait. D’autres renseignements dans cette longue interview [de Clay et
Sean
Pickering] de quatre heures.
La race qui leur est soumise est reptilienne. Il dit que leur source
pense que
ces derniers ont subi une extinction de masse, qu’ils ont perdu leur
planète.
Il dit – quand je dis « il », je fais allusion à leur
source ;
nous ne l’avons pas rencontrée directement, on nous a invités à le
faire, nous
ne l’avons pas rencontrée. – il dit que tout ce que les Reptiliens
veulent
faire, c’est se promener.
Tout ce qu’ils veulent faire, c’est se promener. Ils passent leur vie
dans de
grands vaisseaux, Ils n’ont pas de planète… apparemment. Ça correspond.
Ça semble
correspondre.
A quoi ressemblent-ils ? Il a dit d’imaginer un tyrannosaurus rex
miniature : de grandes dents, une queue, des écailles. Ils pèsent
500 kg (1000 livres), font 2,50 m de haut (8 pieds). Ils ont beaucoup,
beaucoup de force. C’est une race de guerriers. Ils sont très
intelligents. Ils
sont impitoyables.
Une autre de nos sources a décrit ainsi ces êtres : imaginez-les
avec les
instincts et le degré éthique de responsabilité d’un crocodile, mais
d’un
crocodile hautement intelligent. Ils ne pensent pas comme les humains.
Pour faire de nouveau allusion à David Icke, David Icke qui, il y a
quelques
jours, en référence également à ces êtres, disait d’eux : Ils fonctionnent par le mental, ils
fonctionnent selon un programme, ils feront tout ce qui est opportun,
tout ce
qui est pratique, tout ce qui est dans leur propre intérêt, et ils ne
possèdent
aucune empathie, aucune compassion.
Il semble que derrière tout ça – et là nous revenons à ce que disait
Ruth, et
qui est tout à fait vrai – derrière tout ça existe une sorte de cycle
de
mauvais traitements qui a fait d’eux ce qu’ils sont… Ce sont des durs
de durs.
Nous avons aussi des gamins comme ça, enfin presque. Certains. Vous
n’avez pas
envie de vous approcher d’eux par nuit noire, vous préféreriez être en
présence
d’un crocodile. Il y en a comme ça.
Mais derrière ça, il y a une expérience qu’ils ont vécu et qui les a
rendus
comme ça. Ils ont vécu de sales moments, et ils ont réagi de cette
manière-là. Ils
essaient de survivre dans un monde qu’ils pensent leur être hostile. Ce
n’est
que leur réaction. Ils essaient de résoudre leur propre problème en se
comportant d’une certaine façon. Peut-être.
La différence entre ces Reptiliens et le Tyrannosaurus Rex est que… si
vous
vous rappelez l’aspect d’un T-Rex, ils possèdent ces petits vestiges de
bras ; quant à ces gars-là ils ont de plus longs bras aux doigts
très
habiles. Donc, ils peuvent fabriquer des outils, voyez-vous.
Si on pense à l’évolution d’une espèce biologique, il faut qu’on passe
par la phase
de la fabrication d’outils. C’est la raison pour laquelle les dauphins
n’ont
pas produit de haute technologie : ils ne peuvent pas fabriquer
d’outils.
Ils ne possèdent ni doigts, ni mains. Tout ce qu’ils peuvent faire,
c’est
produire des bruits et jouer à des jeux compliqués et nager dans la
mer. Ils ne
seront jamais une race industrielle, ni électronique, parce qu’il faut
passer
par la phase de la fabrication d’outils.
Et les [Reptiliens] sont passés par cette phase de la fabrication
d’outils. Ils
sont hautement intelligents, hautement capables, post-industriels. Ils
peuvent
se déplacer dans l’espace, ils savent tout faire.
Ce que je ne sais pas, c’est s’ils sont la même chose que les Anunnaki.
Ce que
nous savons réellement des Anunnaki… J’ai eu une passionnante
conversation
là-dessus avec David Icke. Je ne cesse de parler de David Icke, parce
que c’est
un point de référence que beaucoup de ceux qui regardent cette vidéo
connaîtront, et reconnaîtront, et que j’ai eu une conversation
passionnante
avec David. Je lui racontais tout ce que nous avions entendu dire sur
les
Reptiliens et les Anunnaki, et il nous racontait ce qu’il savait, et ça
coïncidait totalement.
Une de leurs caractéristiques, c’est que lorsqu’ils sont en contact, en
contact
physique, ils ne révèlent pas à quoi ils ressemblent. Ils considèrent
leur
apparence d’une manière rituelle, ou qui est devenue rituelle, comme
sacrée. Selon
leur coutume, selon leur rituel et selon leur mode de fonctionnement
rigide, on
ne peut pas jeter un regard à leur visage, nous ne pouvons pas le
faire, les
humains ne peuvent pas regarder leur visage. Cela ne se fait pas.
Et « Henry Deacon » (Arthur Neumann), qui a physiquement
rencontré
ces personnages, en chair et en os – il n’a jamais vu leur visage parce
qu’ils
portent des manteaux et des coiffures et autres choses bizarres de ce
genre…
C’est ce qu’ils font. Ils sont très cérémonieux. C’est une ancienne
culture où
le rituel est présent dans tout ce qu’ils font. Pourquoi pas ? Ils
peuvent
faire tout ce qu’ils veulent. Ce sont des aliens.
Et quand David Icke décrivait le rituel, le statut et le sentiment
d’importance
évidente attribués à la royauté, « Les Rois de Droit Divin »
et le
reste, tout ceci nous vient des Anunnaki. C’est de cette manière-là
qu’ils se
considèrent.
Et quand on les rencontre, cela équivaut à rencontrer un roi ou une
reine. On
doit parler d’une certaine manière, il faut éviter de regarder, tenir
les mains
d’une certaine façon, on doit les aborder d’une certaine manière. On
doit tout
faire d’une certaine façon. Sinon, dit notre source… Je ne pense pas
qu’il
plaisantait en disant : Si vous ne
faites pas les choses comme il faut, vous finissez dans leur assiette.
[Il rit.] On dirait qu’il y a une
certaine façon de faire les choses ici. On doit se montrer déférent, on
doit…
Mais ce qui est vraiment, vraiment intéressant c’est que, si Clay et
Sean
Pickering parlent du même groupe, et ils décrivent ces types avec
précision –
on peut les imaginer quand ils les décrivent ; ils les décrivent
de manière
vivante - ces gens-là sont soumis aux êtres à base de silicium. Et on
peut
émettre l’hypothèse que ces êtres-là les ont sauvés quand ils ont
détruit leur
planète. Ils fonctionnent donc, pour ainsi dire, en symbiose.
Tout ce que j’ai dit ici soulève un nombre énorme de questions, et je
n’en
connais pas la réponse. Je ne sais pas [par exemple] si ces Reptiliens
peuvent
changer de forme.
La race à base de silicium peut apparemment changer de forme, mais il
ne le
font pas physiquement ; ils affectent la perception par
l’intermédiaire du
cerveau ou du mental des observateurs. Donc quand ce gars, quand la
source, a
croisé pour la première fois une de ces choses, si je me souviens bien,
il
était en compagnie d’un groupe de gens dans une salle et il annonçait
qu’il
allait assister à une réunion importante.
Il s’est mêlé aux gens de cette salle et il a été briefé cinq minutes
par un
officier supérieur, jusqu’à ce que ce dernier se transforme en ce gros
cristal…
parce qu’il ne s’agissait pas du tout d’un officier ! Ils avaient cru voir un officier.
Et, vraiment intéressant, tous les gens de ce groupe n’ont pas vu tout
à fait
la même chose, parce qu’il s’agissait d’une perception mentale. Et cela
les a
complètement perturbés. Ils sont tous partis dans une autre salle
comparer
leurs impressions. : Eh bien, c’est
ce que j’ai vu. Qu’avez-vous vu ? Bon, il portait des chaussures
marron.
Non, faux, ses chaussures étaient noires. Vous imaginez… Il mesurait deux mètres. Non, pas du tout,
il était très petit. Imaginez ça.
Mais les hommes ont vu une personne. Et le reste est en rapport avec ce
qu’ils
s’attendaient en quelque sorte à voir. Il s’agissait d’une réponse
individualisée à un stimulus visuel, sensitif ou auditif qui leur était
présenté. Mais la forme de vie à base de silicium ne peut maintenir ce
stimulus
que pendant cinq minutes, avant de retomber dans son état réel, qui est
physique.
La question immédiatement posée à leur source a été : Bon,
est-ce
qu’il
s’agit
d’une
sorte
d’hologramme,
d’une
illusion,
ou
bien
de… ?
Et la réponse : Non, c’est un être absolument
physique. C’est un caillou. Un caillou en complet-veston.
Vraiment une chose bizarre, savez-vous. Il a dit : C’est
un
caillou ![Riant]
Il ne pouvait pas… C’est donc un gros machin cristallin. Tout droit
sorti d’un
mauvais film de science-fiction. Ce n’est pas ce à quoi on s’attend.
Mais ils
ont la capacité d’influencer pendant de courts instants la manière dont
on les
perçoit. Un truc fascinant. Absolument fascinant.
Et les Reptiliens - s’il s’agit du même
groupe de Reptiliens - leur sont soumis. Le groupe des êtres à base de
silicium
ne semble pas traîner sur la Terre. Ils sont là-bas, quelque part.
Et personne ne sait d’où ils sont.
Voilà un autre problème. Ils ne répondent pas aux questions sur leur
lieu
d’origine. Il faudrait que je réécoute l’interview, mais la réponse, me
semble-t-il, est du genre : Vous ne
comprendriez pas. Ce qui n’aide pas beaucoup. C’est peut être vrai,
mais ça
n’aide pas beaucoup.
Il peut exister différents embranchements chez les Reptiliens, mais les
reptiliens sont un thème [récurrent]. Ils reviennent constamment sur le
tapis.
Il y a des gens qui les ont rencontrés, des gens qui ont été contactés
par eux,
des gens comme Barbara Lamb qui ont vécu des expériences, il y a les
expériences de changements de forme.
Dans notre plus récente interview de Jordan Maxwell – que Dieu le
bénisse – il
est parti en disant : On ne devrait
pas persécuter David Icke pour ce qu’on appelle ses « idées
loufoques ». Il a absolument raison. J’ai reçu les mêmes
témoignages. Ce
sont des témoignages séparés.
Et puis il a raconté l’histoire incroyable d’une jeune fille qu’on
avait laissée
seule à la maison dans une base militaire américaine – c’est du
Hitchcock tout
pur, ou peut-être en pire – elle regarde dans la glace ; derrière
elle, il
y a un être reptilien qui sort du placard et se dirige vers elle en
effleurant la
moquette !
Et elle a 12 ans… Je crois que c’est la fille d’un officier
américain ; la
maison est entourée de gardes, parce que l’homme était au courant du
danger
potentiel, sans bien en connaître la nature. Et cette chose est sortie
d’un
placard ! Il a laissé de grosses traces d’ongles sur la porte -
c’est tout droit sorti d’un mauvais film - puis
a disparu. La fille était complètement paniquée, et Jordan a recueilli
l’histoire de la fille elle-même, devenue entre temps une femme.
C’est arrivé sur une base militaire américaine. Cela arrive
constamment, les
militaires ne peuvent pas l’empêcher. Ces êtres entrent simplement dans
un portail
dimensionnel, ils peuvent contrôler où ils apparaissent. Voici pourquoi
ils
apparaissent dans des placards ou des drôles d’endroits de ce genre,
sinon ils
arriveraient en plein milieu d’une cocktail party. Ça, ça ne marche
pas. Ou
bien en pleine rue, ou en plein milieu d’une galerie marchande. Non,
ils
apparaissent toujours dans des placards ou des trucs comme ça. Ou bien
des
recoins, des sous-sols, etc. Ils peuvent contrôler leur lieu et leur
moment
d’apparition.
Et le reste du temps, ils sont ici à manipuler une des pièces de
l’échiquier,
un personnage important dont le rôle est d’influencer d’autres gens.
C’est donc
une stratégie parfaite. Voilà pourquoi certains d’entre eux sont des
politiques, ou des industriels, ils sont probablement présents dans les
médias
et dans la recherche ufologique.
Si j’étais un Reptilien avec ce genre d’objectif, voilà exactement les
pièces
que j’habiterais. C’est tout à fait logique, et il y a de quoi faire un
excellent film.
FC : Oui, n’est-ce pas ?
BR : OK.
FC : Dites-moi :
mangent-ils réellement les enfants ?
BR : Il y a des gens qui disent
que oui. Dans sa conférence au Granada Forum 2006, Bill Deagle dit à un
moment : Je pourrais vous dire ce
qu’ils font, mais je ne vous le dirai pas, parce que sinon je
m’effondrerais.
Bill Deagle est un homme bien. Il ne pouvait pas parler de ce qu’il
savait. Il
ne pouvait pas parler de ce qu’il savait. Il était en plein milieu d’un
exposé.
« Henry Deacon » (Arthur Neumann) nous a raconté que, sur son
lieu de
travail, un lieu de travail classé secret, que nous pouvons situer, il
a
assisté à une réunion d’information entièrement consacrée au sujet, et
il l’a
quittée parce qu’il ne pouvait plus encaisser ça. Il nous a raconté
avoir été
étonné par deux choses : d’abord par le fait que tout le monde
était simplement
assis là, à écouter ça et à prendre des notes. Et ensuite parce que
personne ne
l’a empêché de sortir de la salle.
FC : Que lui ont-ils dit ?
BR : Il procédait par allusions
appuyées. Comme beaucoup d’initiés qui ont des choses importantes à
dire, il en
parle de façon indirecte. Et il a attiré notre attention sur cette
histoire
alors que nous étions assis avec lui au restaurant à parler de tout ça.
Nous
avons passé des heures et des heures avec lui, nous l’avons rencontré
en de
très nombreuses occasions, et nous dînions ensemble. Et il faisait
allusion à
une nouvelle, à une nouvelle de science fiction que j’ai lue il y a
très
longtemps, mais je sais plus si elle est de Philip K. Dick ou de
Heinlein, ou
de quelqu’un d’autre, mais son titre c’était To Serve Man [Mot-à-mot :
« Pour
servir
l’homme »
–
NdT]
[NdE :
l’auteur
était
Damon
Knight].
Voici l’histoire. Et c’était une nouvelle plutôt stupide, et la plupart
des
nouvelles de science-fiction font environ 12 pages, elles sont très
distrayantes et se terminent par une chute comique, et il y en a
peut-être 20
dans un livre. Cette histoire s’appelait To
Serve Man.
Et
les gens disaient : Oh, c’est
formidable – ils sont venus ici pour nous servir. Ils viennent ici pour
nous aider,
nous assister. Et en fin de compte ce que tout cela signifiait
c’est qu’ils
allaient nous servir sur un plat. Un très mauvais jeu de mots, il est
vrai.
Et « Henry » (Arthur) y faisait des allusions précises en
regardant
le menu à ce fameux repas, mais ni moi, ni Kerry ne comprenions. Nous
ne
comprenions pas de quoi il voulait parler. Et il continuait. Il
devenait de
plus en plus insistant, jusqu’à finir par tout nous expliquer par le
menu.
Quand il s’est rendu compte que nous avions compris qu’au moins
certains des
aliens étaient anthropophages, il a ajouté : OK, je
n’ai plus besoin d’en parler.
Cela
semble être un thème récurrent. Un des problèmes dans ce domaine de
recherche –
et c’est vrai aussi pour le président de n’importe quel pays annonçant
à la
presse : Oh mais si, Roswell,
c’était vrai. - c’est qu’au bout
d’une demi-heure, d’une heure, de deux heures, de deux jours ou de deux
semaines, quelqu’un va lui poser la question : Eh
bien, nous avons entendu parler de ceci. Est-ce vrai ?
Voyez-vous.
Et on en arrive à des choses peu ragoûtantes. On en arrive à des sujets
que
personne ne veut aborder.
Nos recherches nous amènent à ces sujets-là. Elles nous mènent à ce que
font
les Illuminati, à ce qui se passe au Vatican, à ce que font les
reptiliens, à
des sujets extrêmement déplaisants où jamais… Je ne veux pas aborder
ces sujets-là.
Ça ne paraît plus du tout distrayant, vraiment, quand on regarde tous
ces
trucs. On pense : Oh bon sang, je ne
veux pas m’occuper de ça. Ce n’est pas joli joli !
Mais si on souhaite être un chercheur vraiment, vraiment honnête, il
faut
suivre la trace des données. C’est ce que fait David Icke, ou Bill
Deagle, mais
tout le monde ne le fait pas. Certains disent : Nan,
je ne vais pas m’occuper de ça. Je ne vais parler que des gentils
aliens. Ou bien : Je vais
seulement parler des bouleversements terrestres – je ne vais pas du
tout parler
des aliens. Ou encore : Je ne
vais parler que de ce que font les politiques, ou de l’économie.
Mais si on regarde ceci de suffisamment haut, on voit que tous ces
éléments
sont liés, même les sales trucs. Et c’est là où, de nouveau, quand on
en
revient à la déclaration d’ouverture de David, et à celle de Ruth, si
on
maintient le cap, [c’est-à-dire] que nous sommes infiniment capables,
infiniment
merveilleux, des êtres infiniment beaux et spirituels, et que tout le
reste
n’est qu’illusion, drame, et jeu, maya,
alors on peut le gérer. Oh, OK. [Il
claque des doigts.] vous savez, ça n’est pas très agréable, mais [il
claque des
doigts] c’est juste une des choses qui, dans un rêve, semblent un petit
peu...
beurk, vous savez, et puis on avance.
C’est la seule manière de gérer ça. Comment on peut communiquer ça à
des gens
qui n’ont pas le même point de vue, je ne sais pas.
FC : Vous arrive-t-il de tomber
sur des désinformateurs, quand vous interviewez des gens ? Des
gens qui
essaient de vous fourguer délibérément de la désinformation ?
Comment
parvenez-vous à les repérer, et comment vous assurez-vous de vos
témoins ?
BR : Hmm. Quelle question !
Je ne crois pas, je ne pense pas – je choisis ici mes mots
soigneusement – je
ne crois pas qu’il y ait beaucoup de désinformation volontaire dans
aucune de
nos interviews.
Je précise : cela ne signifie pas que nous croyons que tout ce que
nous
rapportons est correct. Certaines choses doivent
être fausses, parce que certaines personnes se contredisent les unes
les autres.
Vous avez Dan Burisch qui dit que seules trois races nous visitent, et
Clifford
Stone dit qu’il y en a 57 et peut-être plus. Il est fatal que quelqu’un
se
trompe.
Mais tous deux croient avoir raison. Tous deux croient réellement avoir
raison.
Et une chose que je tiens à dire ici de Dan Burisch, c’est qu’il croit
tout ce
qu’il nous a raconté. Il ne nous ment pas. Il le croit, ce qui ne veut
pas dire
que ce soit vrai.
Comme l’a dit Richard Hoagland dans son interview, à nous et à
d’autres : Le mensonge est différent à tous les
niveaux. Et pourquoi ne croirions-nous pas que la désinformation
s’exerce
aussi parmi les « insiders » ?
Une des choses qu’ils font, et j’ai appris ça il y a très longtemps,
c’est que…
- laissez-moi réfléchir à un exemple. Je retourne en fait à l’histoire
de
Serpo, parce que c’est là où des gens ont commencé à m’aider à
comprendre ceci.
Par exemple, si une source dit : Douze
personnes ont participé à cette mission ; puis une autre
source, bien
informée, ajoute : Dix personnes ont
participé à cette mission ; une autre source : Six personnes ont participé à cette mission,
et qu’il s’agit de renseignements officieux, ça n’est pas vraiment
important,
ce ne sont que quelques informations.
Ensuite, si l’un quelconque de ces renseignements sort, ils savent qui
est à
l’origine de la fuite. Si c’est l’histoire où six personnes participent
à la
mission qui se répand sur Internet, ils savent que c’est le gars à qui
on avait
raconté qu’ils étaient six, qui est responsable de la fuite, parce que
c’est
passé par son canal, voyez-vous.
Ils font de même avec les documents. Si vous interrogez Bob et Ryan
Wood, de
Majestic Documents, ils vous diront que [ces gens-là] font de même avec
les
documents. Ils introduisent volontairement des fautes d’orthographe ou
des
coquilles dans les documents officiels ; et il y aura des fautes
différentes et des coquilles différentes dans les différents documents
donnés à
différentes personnes, de façon qu’en cas de fuite, ils puissent en
retrouver
l’origine. C’est si malin, si simple. Ils le font exprès, voyez-vous.
Ils le
font exprès. [NdE : on appelle en anglais ce procédé de
différenciation
des documents la « salaison » des documents ; c’est
pratique
courante dans la communauté du renseignement.]
Il en existe donc différents niveaux. Il y a bien sûr, chez les
« insiders », d’autres raisons de désinformer les gens pour
les
perturber. Quelqu’un de troublé est plus facile à contrôler. Ils le
font avec
nous, ils se le font entre eux, aux niveaux subalternes. Il y a ici un
nombre
énorme de niveaux. Et les types du haut essaient de contrôler les gars
du bas
et de les faire courir dans différentes directions.
Une des choses que raconte Bill Deagle, et il le dit depuis sa
conférence au
Granada Forum 2006, c’est qu’il a commencé à pouvoir se forger une vue
d’ensemble, parce qu’en tant que médecin, il prenait soin des gens,
physiquement, dans beaucoup de ces lieux classés secrets. Il fallait
que
quelqu’un prenne soin d’eux. C’était lui le médecin. Il travaillait là,
à
l’intérieur, et il parlait à quelqu’un qui ne savait pas ce qui se
passait dans
la pièce d’à côté, dans cet établissement classé secret. Mais le gars
de la pièce
d’à côté était celui que Deagle venait juste de voir, son rendez-vous
médical
précédent, et le gars lui avait raconté son histoire.
Si bien que Deagle obtenait tous ces éléments de tous ces gens auxquels
il
parlait – parce que tout le monde
parle à son médecin. Il pouvait donc dire au gars qui était dans son
cabinet : Ah, vous ne savez pas ce
que fait le type d’à côté ? Je lui ai parlé, tiens, hier. Voici ce
qu’il
m’a dit.
Et donc Deagle commençait à avoir une idée d’ensemble ici. Et ce n’est
qu’une petite
anecdote qui montre à quel point les choses sont compartimentées.
Bien avant Camelot, c’était en 2000 – c’est une histoire captivante que
je n’ai
jamais rendue publique - bien avant Camelot, j’étais en vacances en
Thaïlande.
Je suis allé en Thaïlande un certain nombre de fois ; j’ai
quelques amis
là-bas, et j’ai rencontré un gars des Black Ops [les Opérations
Secrètes –
NdT]. En fait il y a pas mal de ces gars dans le coin. C’est là où il
vont
quand ils sont en cavale, ou quand ils essaient de se cacher, ou quand
ils
essaient de croire que le reste du monde n’existe pas.
Ce type avait travaillé pour Bell Labs. Une histoire captivante. J’ai
compris
que c’était un type inhabituel, parce qu’il me parlait comme le ferait
un
physicien titulaire d’un doctorat. Je ne savais absolument rien de lui.
Mais je lui ai finalement demandé : Bon,
dans quelle université êtes-vous allé ? Qu’est-ce que vous
faisiez ?
Il m’a répondu : Venez avec moi.
Et nous nous sommes promenés le long de la plage.
Il m’a dit : Je ne suis jamais allé
en fac.
Et j’ai trouvé ça absolument impossible à croire.
Il m’a dit : Au lycée, pour mon
« thème », j’étais avec plusieurs autres gars… et
j’aimerais
pouvoir me rappeler exactement ce qu’il m’a raconté. Il a fabriqué une
sorte de
pistolet-laser fonctionnant au plasma sous vide, ou quelque chose comme
ça.
C’était un « thème » de physique pour le lycée. Ça ressemble
à ce
qu’on trouve dans ces stupides film de Disney. Il avait 17 ans. C’était
un
gamin. Il a fabriqué cet engin, qui était une arme à la « Star
Wars »
classée secrète, il a fabriqué cet objet incroyable.
La conséquence immédiate [toc-toc-toc,
Bill
tape
sur
la
table] :
quelqu’un
de la NSA [l’Agence Nationale pour la Sécurité – NdT] a frappé à la
porte et
lui a dit : Vous êtes un garçon
intelligent, nous pouvons faire quelque chose pour vous, signez ici.
Nous
allons vous donner beaucoup d’argent et tout ce que vous désirez. Nous
prendrons votre éducation à notre charge.
Il a 17 ans. Un garçon intelligent.
Il répond : OK. Pas de
problème !
C’est incidemment ce qui est arrivé aussi à Dan Burisch. La même
histoire.
Presque.
Ils le mettent donc au travail chez Bell Labs, et ils lui disent : Nous vous enseignerons ce que vous voulez.
Vous disposez du budget que vous désirez. Nous voulons simplement que
vous
appreniez des choses, que vous progressiez, et que vous inventiez des
trucs.
Le rêve pour un jeune scientifique.
Mais ce qu’ils font des gens à Bell Labs – et c’est le but de cette
histoire –
il dit que quand on traverse [le bâtiment] pour rejoindre son lieu de
travail,
ils vous mettent des œillères spéciales qui rendent flou tout ce qui
vous
entoure, de façon à ce qu’on ne puisse voir que les abords immédiats et
qu’ainsi on ne bute sur rien ou qu’on évite de se cogner dans une
porte, mais
qu’on puisse voir le bouton de la porte quand on l’ouvre.
On ne peut rien voir d’autre, tout est flou. Donc, lorsqu’on traverse
tous ces
autres bureaux et laboratoires, on ne peut pas voir ce qui s’y passe.
On ne
peut pas voir ce qui est écrit au mur, ni qui est présent, ni ce qu’ils
font,
mais on peut atteindre la porte. Et tous ces gars-là ont ces œillères
quand ils
se déplacent, et ils les enlèvent lorsqu’ils sont sur leur lieu de
travail. Et
alors, [Bill claque des doigts] vous
êtes à votre place.
Et tout comme Dan Burisch l’a décrit dans le cas de S-4, il y a des
lignes
peintes au sol qu’on peut également voir et on suit donc ces couloirs
comme un
tram, et si on s’en éloigne, toutes les sonneries commencent à
retentir, parce
qu’on a un gadget à la cheville, et immédiatement après, on est cerné
par des
vigiles, parce qu’on a quitté ses lignes de tram. Et si on s’en éloigne
vraiment et qu’on continue à le faire, ils vous descendent
sur-le-champ, parce
qu’ils savent qu’il y a quelque chose de grave. Ça se passe comme ça.
Il nous a raconté que c’était l’environnement dans lequel ils
travaillaient et qu’il
est parti parce qu’il ne voulait pas travailler dans un endroit pareil.
On se
sent totalement menacé, constamment … Et même s’il a pu jouer avec des
appareils à antigravitation et le reste, après un moment, ça n’était
plus
drôle. Une histoire très, très intéressante.
Je suis en fait retourné là-bas pour le retrouver, mais je n’y suis pas
arrivé.
Il était parti ailleurs. Il avait disparu. Il fait partie de ces gens
qui s’en
vont, parce que beaucoup de ces types des Black Ops s’en vont… Ils
souffrent
vraiment. Voilà une autre histoire que je ne vous ai jamais racontée.
Voyez-vous, si ces choses viennent à vous, si vous faites un travail,
ces informations
viennent à vous, et parfois elles arrivent vraiment trop tôt et vous ne
savez
pas quoi en faire.
J’avais 18 ans, je faisais du stop dans le nord du Canada. C’était dans
le nord
de la Colombie Britannique, lors de mes premières vacances
universitaires. J’avais
18 ans et je faisais un trajet de 200 milles [env. 360 km] avec un
scientifique
qui me parlait, comme on parle à un autostoppeur anonyme. Je n’ai
jamais su son
nom, il n’a jamais su le mien. Il m’a parlé. Pendant 200 milles il m’a
sorti ce
qu’il avait sur le cœur, parce qu’il faisait des recherches sur
l’implantation
de puces électroniques dans le cerveau des gens. C’était en 1972… Il
travaillait pour les militaires canadiens. Il était perturbé. Il ne
savait pas
quoi faire.
Je ne me souviens pas de grand-chose – je n’avais que 18 ans ;
j’étais un
gamin ! J’ignorais ce qui se passait. J’ai pensé : Ouah, ce type me parle de tous ces
trucs ! Il est dingue ou quoi ? J’ai écouté attentivement
et tout
ce que je me suis rappelé, après 200 milles, c’est qu’il me parlait des
expériences qu’on lui faisait faire, de placer des puces électroniques
dans le
cerveau des gens pour contrôler leur comportement.
Bien des années plus tard, j’en suis à : OK,
maintenant je me souviens… OK, ceci correspond à ça, cela
correspond à ceci… Mais ces gars sont perturbés, voyez-vous.
Réellement
très perturbés.
Ce que Peterson nous a dit, Pete Peterson, que Dieu le bénisse, c’est
quelqu’un
de bien. Ce sont tous des hommes bien, les gens auxquels nous avons
parlé… Et
c’est le contexte de votre question. Peterson nous a dit qu’il nous
parlait
parce qu’il n’aimait pas ce sentiment de… voici une citation
exacte : Il n’aimait pas le sentiment d’avoir à
prendre trois bains par jour pour ne pas avoir l’impression d’être
couvert d’excréments.
Dès qu’on pénètre un peu dans leur vie… Peterson a plus de 70 ans
maintenant.
C’est un homme très sympathique, et il réalisé beaucoup de choses. Ils
ont tous
fait des trucs avec lesquels ils doivent [continuer à] vivre.
Jake Simpson – je suis sûr d’avoir le droit de dire ça - C’est
également un homme admirable ;
c’est vraiment un de nos bons amis. Ils font tout ce profilage
psychologique,
ils réussissent des tests, et ils obtiennent de partir pour certaines
missions,
etc., etc. Il dit qu’il a raté un certain test, qui a bloqué à un
moment sa
carrière dans le renseignement militaire. Le test qu’il a loupé…
c’était un
test de profil psychologique, ce n’était pas un vrai test, mais ils ont
déterminé qu’il serait incapable de tuer un enfant.
FC : Oh, mon Dieu !
BR : Et donc il n’a pas
participé à certaines missions. Il y a des choses qu’on ne lui avait
pas… Je
veux dire, qu’il soit béni, parce qu’il était incapable de tuer un
enfant, dans
ce monde que nous habitons, fait d’espionnage, de contre[-espionnage]
militaire… Dans ce monde, ces gens qui, souvent… Ce sont des braves
gens et ils
entrent dans ces programmes. Ils ne savent pas. On ne leur dit pas tout
au
départ. Ils ne savent pas ce qu’on va leur demander de faire.
« Henry Deacon » (Arthur Neumann) nous a dit… Il y a des
choses
là-bas dont il ne vous a pas parlé, voyez-vous. Il y a des choses
là-bas dont
il ne peut pas parler, parce qu’il ne peut pas se résoudre à en parler,
et nous
ne savons pas de quoi il s’agit, parce qu’il ne nous en a jamais
parlé !
Il existe des vétérans de Mars tout comme il existe des vétérans du
Vietnam.
Non pas à cause d’une bataille, mais seulement parce que les gens… ils
font une
période de service sur Mars. Ils passent un certain temps à travailler,
sur un
projet, puis ils vont sur Mars et en reviennent, et ils y retournent,
et des
tas de trucs de ce genre. Et puis, peut-être, on les mute sur un autre
projet.
C’est un terme à moi, ça, « vétéran de Mars ».
Il nous a dit que plus tard, après avoir fait tous ces trucs sur Mars,
il
travaillait avec un gars sur un petit projet classifié, à l’intérieur
du NOAA,
la National Oceanic and Atmospheric Administration. C’est comme la
NASA, mais
c’est la NOAA. C’est un organisme public, mais ils ont aussi des
projets
classés secrets. C’est au moment où il nous a dit avoir entendu parler
du
« second soleil » qui arrivait. Il est tombé là-dessus à la
NOAA. Ils
le suivent à la trace. Je ne sais pas s’il s’agit d’un problème grave
ou non,
nous a-t-il dit, mais il est là, quelque part. Il n’en savait pas
vraiment
beaucoup là-dessus, mais il a ajouté qu’ils en parlaient parfois.
Et il y avait cet autre type qui travaillait là et qui, coïncidence,
s’est
trouvé être un vétéran de Mars. Il avait aussi fait sa période sur
Mars. Et
« Henry » (Arthur) raconta que ces deux hommes allaient dans
leur
bureau, fermaient leur porte à clé, et pleuraient
ensemble. Il ne nous a jamais dit pourquoi. Il ne pouvait pas le dire.
Je ne
sais pas pourquoi ! Je ne sais pas pourquoi ! Kerry et moi
essayons
depuis deux ans de deviner. Nous l’ignorons ! Nous l’ignorons.
Cela pourrait ne pas avoir d’importance, et nous n’avons jamais harcelé
« Henry » à propos de ça. Il y a des moments où… vous lui
posez des
questions, et elles glissent. Il change de sujet ou bien il ne veut pas
répondre. Mais tous ceux qui ont participé à ces programmes ont
souffert. Ce
sont des gens qui souffrent.
« Henry » nous a également raconté qu’un matin il a été
impliqué dans
l’opération 11–Septembre. Nous en avons beaucoup parlé. C’est juste une
bonne…
C’est juste une histoire intéressante à raconter parce que, en tant que
spécialiste en électronique, parmi les travaux qu’on lui avait confié,
il
devait mettre sur pied le système de commande dont le résultat final a
été ces
deux avions envoyés s’écraser dans les Tours Jumelles – le téléguidage
de cette
maquette d’avion à des milliers de kilomètres de distance. Il en a mis
sur pied
la partie électronique. Il nous a tout raconté là-dessus.
Mais comme c’est le cas de la plupart des gens dans ces projets, il ne
savait
pas sur quoi il travaillait. Il travaillait seulement sur un système de
commande. Il ne savait pas à quoi ça allait servir. Ils ne le lui ont
pas dit.
Pourquoi faire ? Le « besoin d’en connaître »...
Mais le matin avant les événements du 11 septembre, lui et ses
collègues ont
été briefés. Le briefing portait sur : A
la télévision aujourd’hui, vous allez voir tout un tas de choses très
dramatiques, mais ne vous tracassez pas de ça, parce qu’il ne s’agit
que d’un
de nos projets.
Et il a dit qu’une des chose qui l’avait choqué – et ça rappelle un peu
son
autre témoignage, celui du briefing auquel il avait assisté – il a dit
que ce
qui l’avait stupéfié, c’est que tous les autres ont répondu : OK, et ils sont juste repartis
travailler.
Et lui pensait : Oh mon Dieu, sur
quoi travaillons-nous ? Le résultat va être la mort de milliers de
gens et
la destruction de ces deux bâtiments, et Dieu sait quoi encore !
Puis il s’est passé quelques heures au cours desquelles il s’est rendu
compte
qu’il avait la possibilité de tout saboter. Parce qu’il travaillait sur
le
système de commande, il pouvait facilement inclure quelque chose dans
le
logiciel qui aurait fait rater leur objectif à ces avions – et il ne
l’a pas
fait. Et il doit vivre avec ça. Il doit vivre avec le fait qu’il aurait
pu
éviter le 11-Septembre. Il aurait pu faire plonger ces avions dans
l’Hudson, et
ils n’ont pas plongé. Et lui, il doit vivre avec ça.
Vous et moi, et tous ceux qui regardent ceci, ne peuvent s’imaginer ce
que
c’est que d’avoir à porter ça dans son âme. Et c’est pour cette raison
qu’ils
parlent, voyez-vous. Voilà pourquoi ils parlent. Ils parlent pour
essayer de
purger leur âme. Ils essaient de se racheter pour ce qu’ils pensent
avoir fait.
Et dans ce milieu-là il n’y a pas d’échappatoire.
Voici pourquoi nous sommes protégés. Voici pourquoi vous êtes peut-être
également protégés, ou que vous pouvez parvenir à l’être au fur et à
mesure de
votre implication, parce qu’en ce qui concerne certains de ces gars,
ils ne
peuvent rien dire là où ils sont. Ils ne peuvent pas s’exprimer. Ils ne
peuvent
pas téléphoner à leur journal local et cracher leur histoire, ni vous
appeler
ou m’appeler. Il ne peuvent pas faire ça parce que, s’ils bougent, c’en
est
fini d’eux. Ou de leurs enfants. Ou c’en est fini de quelque chose. Il
n’est
pas malin de leur part de faire ça.
Donc ce qu’ils font, très discrètement, c’est quelque chose de très,
très
indirect, qui nous aide, vous et moi à faire avancer l’histoire. Ils
nous
encouragent, voyez-vous. Ils nous encouragent. Beaucoup de gens nous
encouragent. Nous le savons. On nous a dit qu’un certain nombre de gens
– les
« White Hats » font tout leur possible, de l’intérieur, pour
nous
aider, vous et moi, mais aussi beaucoup d’autres, à accomplir notre
tâche.
Maintenant, la partie d’échecs se poursuit parce que, comme ils savent
que ceci
se produit, alors bien sûr, cette désinformation arrive au goutte à
goutte.
J’utilise donc ceci seulement en guise d’exemple parce que ça me vient
à
l’esprit. Nous avons ensuite rencontré Pete Peterson des heures et des
heures
et il nous a raconté tout un tas de choses incroyables, qui ne sont pas
toutes
dans la vidéo, puis nous avons discuté un certain nombre de fois avec
lui au
téléphone. Et là, parfois, il nous disait – je ne vais pas du tout
entrer dans
les détails ici – dans certaines de ces conversations, il disait : Je viens d’entendre parler de ça par un de
mes copains. Je viens d’entendre parler de ça par un de mes amis de
l’intérieur.
Nous ne savons pas s’il faut croire ça, non pas parce que lui
nous apporte nécessairement des renseignements faux, mais parce
qu’alors il devient un problème à leurs yeux. Mais en même temps, ils
essaient
de… Je veux dire qu’il nous faut réfléchir à la manière des militaires.
On doit
penser en barbouze. Voir les choses comme si vous étiez de l’autre côté
de
l’échiquier à essayer d’imaginer quoi faire.
Ils savent que Pete Peterson est encore en contact avec nous. Ils ne
vont pas
lui loger une balle dans la tête, ce serait confirmer tout ce qu’il
nous a
raconté, donc pour eux c’est la dernière chose à faire. Mais ils
essaient de
voir s’ils peuvent trafiquer un peu tout ça. Ils le font en lui
apportant
quelques petites miettes de renseignements, en espérant qu’il y croira,
et
qu’il nous en parlera, en espérant que nous y croirons et que nous en
parlerons
ensuite.
Il nous faut donc utiliser une sorte de filtre. Et, revenons à
l’histoire de
Clay et Sean Pickering, certains parmi les ufologues laissent ça de
côté parce
qu’ils ne pensent pas pouvoir relier cette information sur la forme de
vie à
base de silicium à ce qu’ils ont entendu par ailleurs. Ils ont peur
qu’il
s’agisse d’une très complexe, très subtile manœuvre de désinformation
destinée
à causer des bagarres chez les ufologues.
Ça se produit constamment, ils utilisent des gens crédules, des gens
qui
croient à l’histoire, parce qu’une source convaincue de ce qu’elle dit
va être
beaucoup plus efficace qu’une personne à qui on a ordonné de mentir,
voyez-vous.
Une personne convaincue de ce qu’elle dit va être beaucoup plus
crédible, et
elle dira : Eh bien, je crois
réellement cette information, et j’ai des documents, j’ai parlé avec
Untel, et
je l’ai aussi entendu dire par quelqu’un d’autre, et je pense que c’est
réellement ce qui se passe. Et tout ce qu’ils disent est vrai.
Et ils sont absolument crédibles. Ils vous regardent droit dans les
yeux. On
sent que ce sont des gens bien, on sent qu’ils sont honnêtes, et on ne
sait
toujours pas si l’information est vraie. C’est le problème. Parce que
nous n’en
connaissons pas la provenance.
Et ce que nous faisons, je veux dire, tout ce que nous pouvons faire si
quelqu’un nous raconte quelque chose, c’est de dire : Bien.
Comment
avez-vous
su
ça ?
Qui
vous
l’a
raconté ?
En
êtes-vous
sûr ?
Vous
tenez
ça
d’une
seule
source ?
En
avez-vous
entendu
parler
de
deux
personnes différentes ? Vous en avez
entendu parler
il y a combien de temps ? Que s’est-il passé juste avant qu’on
vous en
parle ?
Nous essayons de tâter le terrain, et ce que je fais
personnellement, dès
que je le peux, au moment où j’écris un reportage, c’est de toujours
dire, de
toujours placer des petits avertissements, et je cherche à saisir
toutes les
occasions d’expliquer – Kerry et moi le faisons tous les deux : Voici ce qu’on nous a dit. Nous croyons que
la personne qui nous l’a racontée, est sincère. Il se peut que cette
information
ne soit pas vraie.
Et cela nous ramène à cette histoire du 27 novembre. Il y a
toutes sortes
d’avertissements là, voyez-vous. Mais le problème – et c’est le
problème que
nous avons dans notre travail – c’est que, malgré nos avertissements,
malgré
ceux de Pete Peterson, et le fait que nous pensons : Eh
bien,
je
n’en
sais
rien,
mais
c’est
ce
qu’il
a
dit,
et
ça
serait
cool
si
c’était
vrai… tout ceci se trouve copié et recopié, envoyé
par
e-mail, ça atterrit sur le blog de quelqu’un d’autre, et une autre
personne
encore en parle à une émission radio, etc., etc. et après on
entend : C’est ce que dit Projet Camelot, et le
28 novembre, nous passerons pour des menteurs.
Et pourtant , nous n’en sommes pas. Nous ne sommes que des reporters –
des
rapporteurs. Mais nous essayons de le faire en étant aussi responsables
que
possible. Nous ne sommes pas comme Fox News, qui dit :
Nous rapportons, vous décidez. Vous savez, nous ne … Nous
assumons ici toutes nos responsabilités. Mais en même temps, nous nous
employons à rassembler tout ce que nous pensons être des informations
crédibles. Nous pouvons en quelque sorte voir des tendances se
dessiner. Nous
essayons de dire aux gens : Nous
pensons voir ceci se dessiner, mais peut-être voyez-vous quelque chose
d’autre.
Vérifions tout cela.
Nous apprenons tous les jours. Nous savons que certaines de nos
informations ne
sont pas correctes, parce qu’elles ne peuvent pas l’être, parce que
nous
faisons se contredire des gens. Nous pensons que 80 à 90 % de nos
informations
sont exactes. Avant je disais 95 % ; je pense maintenant que c’est
entre
80 et 90 %. Cela fait un sacré paquet de bonnes informations.
Nous faisons attention à ne pas nous faire refiler des trucs idiots.
Les gens
nous envoient constamment des trucs idiots par e-mail. Parce qu’il est
facile à
un gamin de nous écrire une histoire qui ne tient pas debout et de nous
dire : Hé, je suis un lanceur d’alertes.
Parfois c’est pratiquement évident. Vous savez, quand une
personne vous
raconte qu’elle est docteur ès sciences et qu’elle ne connaît même pas
son
orthographe, on se dit : OK. Cherchez
l’erreur.
Et, au même moment, on reçoit un de ces petits messages, et nous
utilisons là
notre intuition, pour ce qu’elle vaut. Kerry et moi utilisons tous deux
notre
intuition. Quand nous pensons tous les deux : Il y a
quelque chose d’important ici. Il y a quelque chose d’important
ici, nous avons tendance à la suivre. Puis nous consacrons une
partie de
notre temps à vérifier.
Il est très important de ne pas être trop direct avec les gens ;
je veux
dire que si quelqu’un dit – il s’agit d’une histoire inventée, d’un
exemple
inventé - Si quelqu’un nous a écrit : J’ai
été dans une base martienne. N’importe qui peut dire ça.
Alors, plutôt que de dire : Oh,
c’est ce que nous a raconté « Henry Deacon ». Est-ce que
c’est
vrai ? Le gamin du sous-sol qui raconte une blague,
répondra : Oui, c’est vrai. Voyez-vous ?. Ce
n’est pas une très bonne question. Il faut poser des questions
ouvertes. Il
faut demander : A quoi cela
ressemble-t-il ? Qu’avez-vous vu ? On ne leur pose pas
des
questions destinées à confirmer quelque chose, parce que tout ce qu’ils
feront,
c’est répondre : oui. Etc., etc.
Nous nous trouvons parfois face à des informations que nous ne croyons
pas du
tout, et il y a des gens parmi les chercheurs que nous ne… nous ne
croyons pas
leurs renseignements, parce que quelque chose cloche.
Nous pouvons nous-mêmes commettre des erreurs. Il nous est peut-être
arrivé de
croire des informations inexactes. Nous avons par exemple beaucoup de
renseignements sur Dan Burisch. Les gens disent : C’est
un
menteur,
il
est
dingue, vous savez, il est ceci, il
est cela.
Ce n’est pas un menteur et il n’est pas dingue. Ses renseignements ne
sont pas
tous corrects, j’en suis certain.
Mais c’est un brave type. Il est étroitement surveillé. On l’a retourné
contre
nous, et ça parce que nous avons marché sur les pieds de quelqu’un
après le
colloque de Zürich. Nous ne savons pas ce que nous avons fait pour
écraser ces
pieds-là, mais Dan Burisch est maintenant cloîtré par un groupe de gens
qui
nous considèrent comme des ennemis. Mais nous ne sommes pas des
ennemis. Nous
continuerons à présenter ses informations avec toute l’honnêteté
intellectuelle
dont nous sommes capables.
C’est un âpre champ de bataille. On gagne des amis, on en perd ;
on perd
le contact avec les gens. Mais nous croyons vraiment savoir qui est un
brave
type et qui n’en est pas un. Nous pensons pouvoir faire la différence,
vous
aussi probablement.
Une chose qu’on nous a racontée… ça nous complique la vie, mais c’est
aussi une
des choses qui nous stimulent. Une source très amicale et bien informée
nous a
dit : Ecoutez, n’essayez jamais de
prouver quoi que ce soit. N’essayez jamais de prouver quoi que ce soit.
Et en fait à l’époque, cela ne paraissait pas… puisque de toute manière
nous
n’essayions pas de prouver quoi que ce soit. Nous n’avons pas de
documents.
Nous n’avons pas d’alien dans le placard, que nous pouvons amener en
fauteuil roulant
devant la caméra, en disant : Regardez
donc. Nous n’avons rien de tel. Nous ne possédons pas de photos
convaincantes. Nous n’avons pas de déclarations écrites sous serment de
qui que
ce soit. Nous n’avons rien.
Tout ce que nous avons, ce sont des témoignages, et nous essayons de
constituer
un tableau. Nous essayons de reconstituer cette mosaïque, pour que les
gens
puissent voir les choses par eux-mêmes, afin qu’ils puissent relier ça
à leur
propre expérience.
Mais il y a un point très subtil ici, parce que des gens disent : Vous dites que vous ne pouvez rien
prouver ! Vous venez avec tous ces trucs et vous n’avez pas un
seul
document, pas une photo, pas une seule déclaration écrite sous serment,
rien.
Alors, vous ne pouvez absolument rien prouver !
Et, outre le fait que nous n’avons pas
ces choses-là, nous ne les cachons pas ni quoi que ce soit d’autre,
mais c’est
là le fusible qui nous permet de continuer à travailler.
En réalité, il s’agissait de Hal Puthoff, du Dr. Hal Puthoff, le très
célèbre
physicien, et le gars qui dirigeait le programme sur la vision
extrasensorielle
au SRI [ex-Stanford Research Institute, maintenant une entreprise –
NdT] - je le
considère comme un ami, je l’ai rencontré deux ou trois jours, un homme
formidable. Et il a été le premier à nous dire : Ecoutez,
c’est
très
important.
Il
est
important
pour
les
autorités
de
maintenir
la
possibilité
d’un
démenti
plausible.
Il nous a déclaré qu’ils voulaient
que ces informations sortent, mais avec amortisseur dans le système.
Ils
veulent vraiment que toutes ces histoires d’extraterrestres,
d’enlèvements, de
matériel électronique militaire, et ces histoires de… ils veulent que
tout ça
passe progressivement dans la culture populaire, mais sans qu’il y ait
de
preuves du tout.
Parce que cela signifierait que des gens verraient leur réalité
quotidienne sérieusement
menacée, s’il existait une photo d’alien, ou un document convaincant
avec la
signature de Kennedy, disant : J’allais
faire ça, signé, daté de la veille de son assassinat etc. La
conséquence en
serait alors des gens en état de choc, se jetant par les fenêtres, des
troubles
de l’ordre public, des répercussions économiques, bla bla bla, ce qui
déstabiliserait les gouvernements parce que, tout d’un coup, les gens
recevraient ça en pleine figure, et ils savent… et puis la question
religieuse,
pour l’amour de Dieu, y songez-vous ?
Donc la possibilité d’un démenti plausible reste constamment présente
parce que
personne n’est forcé d’accepter ce à quoi il ne veut pas croire. Si les
gens ne
veulent pas y croire, ils peuvent toujours dire : Cette
personne
est
dingue.
Bill
Ryan
est
dingue.
Mel
est
dingue
[Melani,
de
Freedom
Central].
Alex
Jones
est
dingue.
David
Icke
est
dingue.
C’est là leur amortisseur, et il peuvent continuer à vivre leur vie et
le monde
peut continuer à tourner normalement.
Mais les gens qui peuvent assumer, disent : Vous
savez quoi ? J’ai l’impression que c’est vrai. Je n’ai pas
besoin de preuves ; je vais simplement commencer à y réfléchir, et
ça
coïncide avec ce que l’autre gars a dit.
Voici pourquoi c’est important, et jouable, et ça fonctionne au goutte
à
goutte. Nous sommes en réalité non seulement protégés par les
« White
Hats », mais également utiles aux « Black Hats », parce
qu’ils
ont un problème.
Ils ont un problème parce qu’ils chapeautent tout ça. Il faut que ça
sorte,
pour ainsi dire. Cela fait des dizaines d’années qu’ils ont un
programme en
place, où ils sèment ces informations dans la culture populaire ; dès
1952 ou une
autre année, lorsqu’ils ont tourné la première version du film Le Jour où la Terre s’arrêta.
Ils ont essayé alors de raconter un peu au monde ce qui se passait en
réalité.
Et depuis, nous avons… Demandez à n’importe quel gamin ou ado qui
regarde des
films si les extraterrestres existent, et ils vous regarderont comme si
vous
étiez demeurés. Bien sûr qu’ils existent ! C’est évident !
Ils voient
des dessins animés là-dessus depuis qu’ils ont 4 ans ; ça fait
partie de
leur réalité. Ils pensent que les gens qui n’y croient pas sont des
demeurés,
voyez-vous. Donc ça fonctionne, et ça fait partie de la culture
populaire. Ils
ont semé tout ça.
Nous leur sommes extrêmement utiles. Parce que nous contribuons à ce
processus.
Nous n’avons jamais fait partie du plan, mais cela ne signifie pas
qu’ils ne
soient pas enchantés de l’occasion que nous leur avons fournie en
apparaissant
sur scène. On ne nous a pas manipulés pour le faire.
Mais cela montre à quel point tout s’emboîte. Si cela leur permet de
vraiment résoudre
leur problème et de rendre le monde capable d’encaisser la Divulgation,
et nous
faisons d’une certaine manière partie de leur stratégie parce que
quelqu’un a
réellement envie de faire une déclaration pour annoncer la vérité,
alors je
suis tout à fait heureux d’être partie prenante. On ne nous utilise
pas, pour
autant qu’on sache, mais si c’est la vérité, c’est la vérité et donc,
allons-y.
Entre temps, bien sûr, ils lisent nos e-mails. Ils sont probablement en
train
d’écouter cette conversation, ils vont regarder cette vidéo et analyser
ce que
je sais. Ils vont essayer de comprendre ce que je dis, ce que je ne dis
pas, quelqu’un
va évaluer si je suis une personne responsable. Ils continuent à mettre
à jour
mon profil, ils vont essayer de savoir si je suis fiable, ils vont voir
ce
qu’ils peuvent me jeter d’autre dans les jambes, pour que je… ou nous
jeter.
Quand je dis « me jeter », je ne parle que de moi parce que
Kerry
n’est pas ici.
C’est ce qu’ils nous font tout le temps. Et dans la mesure où nous leur
sommes
utiles, ils vont nous autoriser à continuer. Je crois que nous leur
rendons un
fier service.
Ils veulent savoir à qui nous parlons. Ils lisent tous nos mails. Ils
évaluent
qui s’éveille. Mais c’est inévitable. C’est inévitable. Le seul moyen
de l’éviter
totalement, c’est de se cacher dans un trou, de cesser de communiquer,
et
d’aller faire autre chose tout le reste de sa vie. Et ce n’est non plus
ce qui
est prévu, voyez-vous. Il nous faut travailler avec eux.
Il s’agit donc d’une sorte de symbiose, voyez-vous. Une sorte
d’écosystème, où
les requins, les souris, les éléphants, les lions, les tigres et les
serpents –
où tous ces animaux-là vivent ensemble dans cet écosystème. Et c’est
grosso
modo ce qui se passe sur Terre en ce moment. Ceci dit, il s’agit d’une
vraie
métaphore, mais cet écosystème semble évoluer dans une certaine
direction.
Entre temps, tout paraît se mettre en place : l’énergie et
l’information
coulent à flots, et tout ceci se déroule sur fond d’immense tapisserie
cosmique, en liaison avec l’augmentation de la prise de conscience. La
conscience a besoin d’informations, pour avoir quelque chose à traiter,
afin
que les gens puissent sortir de leur confusion.
Les gamins qui arrivent dans ce monde se disent : Bon
sang, que se passe-t-il ? Ah, maintenant je sais pourquoi je
suis ici. Maintenant je sais de quel jeu il s’agit. Maintenant je sais
où sont
les pièces du jeu d’échecs. Maintenant je sais à quoi faire confiance
et de
quoi me méfier.
Et tout le monde essaie de comprendre, ça fait partie intégrante de
l’apprentissage, ça fait partie de leurs responsabilités, de leur
responsabilité individuelle, que d’utiliser ce stage et d’en tirer ce
qu’ils
peuvent.
Avec, en toile de fond, tout un tas de méchants qui ont peut-être, ou
peut-être
pas, perdu leur planète il y a terriblement longtemps, et qui essaient
de nous
contrôler parce qu’ils sont effrayés du pouvoir que nous possédons en
tant que
conscience infinie. Comme ils disent… comme le dit le type au début du
troisième film de Bourne : Ça ne
s’invente pas !
Merveilleux ! Quel…
C’est comme David Icke : Pour rien
au monde, je n’aimerais être ailleurs, faire autre chose, à une autre
époque. Nous
vivons une époque fantastique ! Et c’est l’endroit rêvé. Là où les
choses
se passent. Nous sommes aux premières loges.
Et si certains, parmi ceux qui regardent, se demandent si c’est bien
ici qu’il
faut être, je vous défie de trouver quoi que ce soit d’autre, où que ce
soit,
qui soit plus distrayant que ce qui se passe en ce moment. Et c’est
l’occasion
de changer les choses.
FC : Très bien. OK. Dans le
même registre, Bill, merci infiniment de nous avoir consacré votre
temps, et ce
fut un très grand plaisir de parler avec vous et de vous soutirer
toutes les
étonnantes informations que vous possédez. J’espère sincèrement que
nous aurons
très bientôt l’occasion de bavarder de nouveau ensemble, car je suis
certaine
que vous avez encore bien d’autres choses à nous dire. Je vous remercie
donc de
nous avoir accordé votre temps.
**
Transcription fournie
par les membres bénévoles et durs à la tâche de l’Equipe de
Transcription de Divine
Cosmos/Project Camelot. Toutes les transcriptions qu’on trouve sur les
deux
sites ont été réalisées ces années dernières par l’Equipe de
Transcription.
Nous ressemblons à des fourmis : nous sommes peut-être invisibles,
mais
nous créons de bonnes transcriptions pour votre plaisir et pour votre
réflexion. **
Soutenez
Project Avalon -
faites un don :
Merci de votre aide.
Votre générosité nous permet de poursuivre notre tâche