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Bill Ryan sur Freedom Central

16 novembre 2009

PDF de l'interview (22 pages)

Cette page est la traduction, par The Avalon Translation Project,
d'une publication du site originel de Project Camelot.



BILL RYAN (BR) : C’est un paradoxe. J’aime la manière dont David Icke l’a expliqué samedi : nous sommes amour infini, conscience infinie, et provisoirement en train d’expérimenter à quoi cela ressemble d’être ici, les pieds sur terre, à essayer de comprendre tout ça. Et ce que nous faisons ici, c’est participer à des jeux ; nous sommes seulement en train de participer à des jeux.


Non pas que le fait soit sans intérêt, mais que peut faire d’autre pendant toute l’éternité un être spirituel et enjoué, sinon participer à des jeux ? C’est une bonne façon d’apprendre ; tout ceci n’est qu’un grand stage.

Et donc c’est un paradoxe car ce jeu semble important, tout comme il semble important à des écoliers qui jouent dans la cour de récréation et participent à un jeu où quelqu’un essaie de les pourchasser, et qu’ils essaient de l’attraper ou de s’enfuir ; eux aussi cherchent à comprendre tout ça.

Ou bien c’est seulement une autre forme de jeu, comme d’être dans un film. Cela semble important, mais le paradoxe, c’est que ça ne l’est pas.

Donc j’éprouve du plaisir à faire semblant de croire que c’est important – mais ça ne l’est pas – parce que je sais qui je suis. C’est ce qui nous donne notre sentiment de sécurité. S’ils me tuent, je m’en moque. Je reviendrai. Cela n’a aucune importance. J’aime la réplique de Star Wars où Obi-Wan Kenobi dit à Darth Vader : Si vous me tuez, je serai encore plus puissant que vous pouvez l’imaginer.

MELANI de FREEDOM CENTRAL (FC) : Mm… intéressant.

BR : Et donc, voilà pourquoi il est très important de ne pas tomber dans le piège qui nous est tendu, intentionnellement, et qui consiste à croire que nous sommes petits, mortels, sans pouvoir, des morceaux de bidoche provisoirement animés et que, lorsque c’est terminé, eh bien, c’en est fini. Et il nous faut dans l’intervalle nous battre pour survivre, nous préoccuper de notre nourriture, de nous vêtir, de nous réchauffer, et aussi de tout ce qui se situe à la base de la Pyramide des besoins de Maslow.

La vraie vérité est ailleurs, et c’est pourquoi, comme l’a affirmé David Icke dans chacun de ses exposés de cette année, c’est pourquoi il commence par parler de la réalité fondamentale : qui nous sommes est le plus important des secrets.

Les universités détruisent la connaissance et les religions détruisent la spiritualité. Voici où nous en sommes aujourd’hui.

Il ne s’agit pas de croire en n’importe quoi. Il faut se placer au-dessus de ça et, quand on est là-haut et qu’on regarde l’ensemble [de ce qui se passe] en bas, après avoir décollé et atteint les nuages… Et c’est ce que nous pouvons appeler, à défaut d’un meilleur mot, le royaume spirituel, et non pas le royaume astral, où l’on parle de fantômes, de goules et d’êtres interdimensionnels, qui participent à des jeux tout comme nous le faisons ici-bas ; seulement, on ne les voit pas. C’est la même chose ; la seule différence c’est que, pour nous, ils n’appartiennent pas au monde physique.

Mais quand on se situe au-dessus de ça, alors on regarde tout ce qui est en bas et on constate qu’en fait on ne regarde qu’un jeu de réalité virtuelle. Voilà pourquoi ça n’a pas d’importance.

Mais quand vous et moi jouons sur notre ordinateur à un jeu de réalité virtuelle, ou que nous allons voir le film 2012, nous ressentons les choses dans notre corps, de manière viscérale – ça paraît important. C’est comme lorsque nous voulons gagner ou, si nous sommes spectateurs, que quelqu’un d’autre gagne, mais ça n’est qu’un jeu. Tout n’est qu’un jeu. Donc, je prends plaisir au jeu.

Voici une sorte de déclaration personnelle : ce qui me donne de la force dans ce jeu, ou du moins j’en ai l’impression, c’est de savoir qui je suis, parce que ça, c’est mon port d'attache. C’est là où on revient. C’est là où on rentre une fois le film terminé et puis on en parle, on y réfléchit et on se dit : Hé, c’était bien – je vais recommencer ça la semaine prochaine.

C’est pourquoi la bagarre ne marche pas, parce que se bagarrer, c’est continuer le jeu. Nous nous battons depuis des millions, des milliards, des billions, peut-être des trillions d’années. Et tout ça ne sert qu’à prolonger le jeu.

Il ne s’agit donc que d’une variation sur ce qu’a dit Einstein : Un problème ne peut pas être résolu par le niveau de conscience qui est à l’origine du problème. Il nous faut nous élever au-dessus de ça. Et son application à notre situation, c’est qu’on ne peut pas résoudre le problème de la Planète Terre en étant un être humain… seulement en étant un être humain, parce que c’est là le niveau de conscience qui a créé le problème.

On ne peut résoudre ce problème qu’en adoptant un point de vue spirituel. L’amour est universel, et nous ne devons jamais oublier cette capacité que nous avons tous en tant qu’êtres spirituels.

David Icke l’a dit à sa manière. Il regarde les Illuminati, les Reptiliens, les mangeurs d’enfants, les tortionnaires, les bellicistes et il dit : Je les plains. Ils se sont égarés. Ce sont des êtres spirituels qui ont oublié qui ils sont. Ils participent à un jeu et ils ne peuvent pas s’en extraire.

A un autre niveau, ils ont toutes sortes de capacités, ils ont des milliards de dollars, des pouvoirs psychiques, et ils bénéficient de l’aide des mauvais extraterrestres. Mais ils ne savent pas qui ils sont en réalité. Ils ne peuvent pas non plus s’extraire de leur piège, parce qu’ils jouent aussi à ça depuis des millions d’années.

Tout ça existe depuis toujours, ou presque. Mais c’est sans importance… Qu’allons-nous faire d’autre pendant toute cette éternité ? Vous voyez ? C’est amusant, et il faut le voir comme quelque chose d’amusant.

Voici pourquoi je prends plaisir à mon travail : c’est un jeu. Mais un jeu très sérieux, voyez-vous. Si on me plaçait un pistolet sur la tempe, je ne sais pas trop ce que je ferais, savez-vous ?

FC : [Melani rit.]

Mon corps serait effrayé, parce que le corps n’est qu’un animal, tout comme la voiture que nous conduisons, et les animaux paniquent quand on les menace. Mon corps serait probablement effrayé.

En tant qu’être spirituel, je penserais : Je me demande à quoi ça va ressembler, d’entrer dans la lumière. Vous voyez ?

FC : Donc, de toute évidence, toute la recherche en elle-même est importante pour les gens. Je désire vraiment me concentrer là-dessus. Vous dites que vous comprenez et savez qui vous êtes. Est-ce que c’est également lié à la connaissance de vos vies passées et à leur influence sur votre vie actuelle ?

BR : Oui, bien sûr ! J’ai passé des centaines d’années au Tibet et suis venu en Occident en 1850. Je suis né dans une famille victorienne à Londres, et à l’époque ça semblait une bonne idée. Je connais beaucoup de gens qui viennent d’autres cultures, de cultures chamaniques, ou d’autres planètes. Ça n’a pas grande importance.

Mais nous ne parlons pas de cette réalité verrouillée, programmée, comme dirait David Icke, qu’est notre actuel monde occidental post-industriel, un monde placé sous un contrôle pesant, tandis que notre spiritualité a en fait reculé d’un pas par rapport à celle des aborigènes, du bushman ou celle des chamans d’Amérique du Sud qui comprennent exactement ce qu’il en est et ce, depuis des milliers d’années, savez-vous.

Je suis donc venu en Occident. Ça semblait à l’époque une bonne idée. En méditant au Tibet j’ai glané l’information que ces types là-bas avaient besoin d’aide. Je ne sais pas où ils sont, mais c’est là que j’irai la prochaine fois, parce qu’ils ont besoin d’aide.

J’ai reçu un vrai choc, parce que c’est ce qui arrive à tous ceux qui viennent d’ailleurs. D’où vous venez est sans importance. Quand vous entrez dans cette réalité et que vous recevez un coup sur la tête, c’est un grand moment, et beaucoup de gens ne réussissent pas au cours de leur première vie. C’est plus difficile qu’ils le pensent.

Je n’ai pas réussi au cours de cette première vie-là, je veux dire qu’elle a été plutôt tragique et que toutes sortes de choses étranges me sont arrivées et j’en ressentais l’aspect théâtral, mais ce n’est que du théâtre. Ça dure l’espace d’une vie, et puis après ? OK. On recommence. Redémarrage. Ctrl-Alt-Suppr. Redémarrage. Retour. Recommencez. Vous voyez ?

Et j’ai finalement réussi mon coup cette fois-ci. J’avais un certain nombre d’éléments ; depuis cette époque-là je sais qui j’ai été. Je vis des périodes d’aventure. Ce n’est pas tout à fait le sujet de cette interview. Je pourrais continuer longtemps.

FC : Non, j’adore. Continuez, je vous en prie.

BR : Mais vous voyez, si nous explorons nos vies passées, c’est de nouveau du théâtre, pour ainsi dire. Du genre : Oh mon Dieu, j’étais Cléopâtre ; ou bien : Oh mon Dieu, j’étais ce sale type ; ou bien : J’étais ce bon…

Aucune importance. C’est fini. C’est sans importance, mais ça peut nous permettre de mieux comprendre des habitudes que nous reproduisons dans cette vie, qui proviennent d’un programme lié à une ancienne situation que nous croyons retrouver.

Voici pourquoi les gens ont peur de se noyer. Pourquoi ? Parce qu’ils se sont trouvés dans leur vie précédente confrontés à une sale situation liée à l’eau. A l’âge de trois ans, ils ont peur de l’eau. Pourquoi ? Parce que c’est déjà arrivé.

Et une grande part de ce que nous créons est liée à nos réactions mentales, pas à nos réactions spirituelles, parce que nous emportons notre mentalité avec nous. Ma définition du « mental » est légèrement différente de celle de David Icke, mais là aussi c’est une autre histoire. Nous entrons ici dans la sémantique.

Mais une grande part de ce que nous nous concoctons, quand nous remettons les pièces sur l’échiquier avant une nouvelle partie dans une autre vie, provient en quelque sorte du passé. Et c’est là sa seule importance : pour faire place nette. Et non parce qu’[on a découvert] : Oh, je faisais ce métier-là. Ça, c’est vraiment intéressant. C’est passionnant et je vais écrire un livre là-dessus.

Ce n’est pas important ! Si on le découvre, c’est pour pouvoir l’oublier et lâcher prise, pour ne plus être influencé par lui aujourd’hui, pour être totalement libre, afin que pouvoir faire de vrais choix, maintenant, dans cette vie-ci.

Et c’est pourquoi… et une fois de plus, nous ergotons… Mais peu importe la technique de nettoyage – la régression peut faire l’affaire ; beaucoup d’autres pratiques également. On peut même y parvenir par la méditation. Voici pourquoi nous remémorer le passé est efficace, non pas pour que nous nous souvenions, mais pour que nous puissions lâcher prise.

En voilà la clé, parce qu’alors seulement il devient possible d’être véritablement dans l’ici-maintenant. C’est lorsque vous vous êtes débarrassé de ces fers pesants à vos pieds. que vous bénéficiez de tout votre pouvoir. Et nombre de ces entraves ont en fait leur origine dans le passé.

Voilà ce que nous voyons ici sur la Terre, toutes ces choses bien réelles : de très mauvaises gens empêtrés dans leur propre karma, qui ont leur propre passé, leur propre piège, qui jouent à leur propre jeu, avec leurs propres objectifs, et leur propre origine. Il y en a aussi qui sont venus d’ailleurs.

Ce n’est que la suite d’une même chose, c’est pourquoi ce que dit David Icke est exact : vous n’allez pas régler ça en manifestant dans la rue. Vous n’allez pas régler le problème en prenant cent mille assassins chinois et en les assassinant tous.

Ça ne fait que pérenniser les choses. Lutter ne marche pas.

Ce que fait Projet Camelot, c’est apporter aux gens des connaissances qu’on ne nous a PAS données à l’école, que les parents ne donnent pas à leurs enfants, que nous ne trouvons pas dans les journaux – et c’est ce que vous faites ici dans votre travail – et nous devons connaître la vérité sur l’endroit où nous nous trouvons, parce que si… Nous sommes ici à Zürich. Si nous voulons aller en voiture à Paris, et que nous avons une carte devant les yeux, il nous faut savoir où nous sommes, sinon nous n’allons jamais prendre la bonne route pour aller là où nous voulons aller.

Il faut éviter d’être prisonnier de ses intentions, et de se retrouver ainsi dépendant de ses intentions, et au contraire faire de ses intentions le produit de son propre désir d’atteindre un résultat.

Cette intention… On ne peut pas se faire une tasse de thé, ou se lever le matin, ou répondre au téléphone. Une fois de plus, c’est un aspect du paradoxe. Au niveau le plus élevé possible, ces choses sont sans importance. Que vous preniez ou non une tasse de thé le matin n’a pas d’importance. Que vous répondiez ou non au téléphone, non plus. Il est sans importance que le monde explose en 2012. Et puis après ? Nous trouverons bien une autre planète pour revenir. C’est sans importance !

En revanche, dans le contexte du jeu, c’est vraiment important, et vous ne pouvez pas jouer si vous n’avez pas d’intentions. Il est très important de bien distinguer ces deux réalités, et elles coexistent dans un paradoxe qui fonctionne.

Vous avez demandé à Ruth quel conseil je donnerais aux gens. En ce qui me concerne personnellement, je leur recommanderais absolument de trouver qui ils sont – parce que, si on ne le sait pas vraiment, on ne possède pas cette réserve de force et de certitude qui permettra de faire face à n’importe quelle situation. Même si on se retrouve avec un révolver sur la tempe ou une aiguille dans le bras, on sait qui on est.

Deuxièmement, je dirais qu’il est utile de savoir d’où on vient, parce que ça peut aider à comprendre selon quels programmes on fonctionne dans cette vie, des programmes inconscients et qu’on a soi-même librement choisis.

Il faut être capable de faire la séparation. Autrement, si on a une envie, sans savoir d’où elle est venue, on ne sait pas s’il s’agit d’un ancien programme ou bien d’un choix vraiment intelligent.

Troisièmement, je dirais : ne luttez pas.

Quatrièmement, il faut comprendre que ces gens ont besoin d’aide, sans condescendance. Il y a dans l’ensemble du monde des gens qui font un travail réellement spirituel. Le mot « travail » s’applique ici, parce que ça prend du temps, ça nécessite de la concentration, ça nécessite de l’énergie. Il faut s’isoler ; il faut faire ce qu’on fait, quelle que soit cette activité.

Il y a tout un tas de façons de le faire, je le fais, et Kerry aussi. Beaucoup des gens que je connais le font. Ils gèrent des problème dans l’univers non-physique, où ces jeux n’ont pas cours.

Il existe un grand nombre d’êtres non-physiques qui ont besoin d’être soignés ! Ils sont perturbés. Ils ont besoin de parler à quelqu’un. Quelque chose s’est produit il y a un milliard d’années, et ils sont encore en colère. Mais ils n’ont personne à qui parler.

FC : Est-ce qu’ils nous manipulent en faisant ça ?

BR : Oui, bien sûr. Ils ressortent leur colère comme le ferait un gamin des rues à l’enfance malheureuse, et ils s’emploient à tout démolir. Ce gamin a probablement besoin d’aide. Il n’a pas besoin d’aller en prison. Il a besoin de quelqu’un à qui parler. D’un ami. Que quelqu’un lui dise : Tu sais quoi ? Tu es un être merveilleux. Tu as eu une fichue expérience, raconte-moi ça. Qu’est-ce qui t’est arrivé à l’époque ? Est-ce que ton père abusait de toi ? Ton grand frère te tapait dessus ? Qu’est-ce qui t’est arrivé qui t’a mis si en colère ?

Il peut très bien commencer à aller aux fonds des choses, parce que c’est son passé. Or, on peut communiquer avec ces êtres non-physiques aussi facilement qu’avec le gamin des rues si on peut les amener à parler. Ils ont des problèmes. Ils sont paumés. !

Ils sont en colère, ils sont bouleversés, on leur a fait des choses. Ils sont dans un cycle d’abus qui ne se produit qu’à un niveau physique, où on a quelqu’un qui, abusé sexuellement par ses parents, devient alors celui qui cause des sévices à ses propres enfants. Ça se transmet.

Ils le transmettent, parce qu’ils se mettent en tête qu’ils sont les gagnants du jeu. Du genre : J’ai perdu la partie, donc il faut que j’adopte une stratégie gagnante. Quelle est la stratégie gagnante ? Je deviens le bourreau et je gagne ! Ils voient les choses comme ça. Voilà comment ces situations se perpétuent.

Et les choses se passent exactement de la même manière dans l’univers non-physique. Il faut communiquer télépathiquement avec ces êtres. Il y a une façon de faire. On peut utiliser des machines à biorésonance ou le faire en état de méditation. On peut s’occuper de ces gars-là, et je connais des gens qui travaillent beaucoup dans ce domaine.

Ce qui est vraiment important, c’est que tous ceux qui présentent les informations dans le secteur où vous et moi, nous intervenons, beaucoup de… Nous faisons partie d’une vaste équipe : Projet Camelot, David Icke ; nos amis David Wilcock, Alex Collier, George Green ; tout un tas de gens, y compris des gens que je ne connais pas. Tous ont une profonde orientation spirituelle – tous.

Nous avons rencontré Patrick Geryl. Lui se trompe, parce qu’il n’a pas d’orientation spirituelle. C’est un scientifique. Il essaie de comprendre les choses en utilisant les mathématiques. Il n’y arrivera jamais. Ça ne marche pas comme ça.

Bill Deagle – nous avons parlé avec Bill Deagle une heure et demie hier soir. C’est quelqu’un de profondément spirituel. Kerry aussi.

Nous avons parlé de notre grand ami Bob Dean. C’est vraiment un homme formidable, formidable. Toutes les personnes avec lesquelles nous parlons, et c’est presque le lien qui les relie, tous sont profondément spirituels.

Vous avez parlé avec David Icke. Il commence son exposé de sept heures en expliquant en quoi nous sommes tous conscience universelle et amour infini. Quelle sorte de message spirituel est-ce là ? Nous avons besoin d’en savoir plus.

Et donc tous ceux qui travaillent dur en tant qu’éducateurs pour … Je ne sais pas quels mots utiliser ici… pour éveiller les gens, mais pour leur rappeler ce qu’ils savent déjà.

Vous voyez, les mots rappeler et se souvenir sont des mots importants, parce qu’on ne peut pas vous rappeler quelque chose que vous ne savez pas déjà. Vous ne pouvez pas re-connaître quelque chose que vous ne connaissez pas déjà. C’est de là que vient le mot : re-connaître.

C’est pourquoi lorsqu’on lit des livres comme celui de Ruth, ou beaucoup, beaucoup d’autres livres – certaines personnes ont d’autres points de référence, telles que The Law of One [appelée aussi Ra Material – « la Loi de Un » ou « Les enseignements de Ra » –NdT]. Ils en lisent une page puis réagissent par : Ahhh ! Maintenant je comprends.

Mais il ne s’agit pas d’informations nouvelles – ce sont d’anciennes informations qu’ils se rappellent. Voyez-vous, à mon avis personnel, nous n’évoluons pas, nous recouvrons. Je pense qu’il s’agit d’un profond manque de compréhension qu’on retrouve dans beaucoup d’enseignements spirituels, où nous sommes censés passer de l’amibe à un être plus ou moins spirituel. Non-non-non.

Nous étions tous des dieux. Nous avons débuté en tant que dieux. Nous sommes tous des êtres déchus. Nous sommes tous des êtres à caractère divin qui ont oublié qui ils sont et c’est donc ce que nous retrouvons, ce que nous recouvrons, nous sommes en train de sortir de notre trou boueux à la force des poignets, nous nous décrassons, nous nous débarrassons de tout ça, et nous nous rappelons qui nous étions.

Il s’agit donc d’un processus de récupération et pas du tout d’une évolution. Parler d’une évolution, c’est jeter le discrédit sur qui nous étions en réalité, parce que nous avons débuté en tant que dieux. Voyez-vous ? Il manque là une orientation fondamentale.

Chacun a sa pierre de touche, son propre germe de cristal, qui lui permettra de lancer ce processus de réappropriation de soi. Il n’existe pas de réponse exacte. La réponse qui vous convient peut très bien se révéler impropre ou peu viable pour quelqu’un d’autre. Il nous faut trouver par nous-mêmes nos propres réponses.

Là encore, en faisant allusion à ce que David Icke disait il y a quelques jours, voici pourquoi je n’irai jamais à l’encontre de l’intuition de quelqu’un d’autre. Si votre intuition vous exhorte à lire The Law of One et que vous en tirez profit, eh bien je vous conseillerai de continuer à faire ce qui marche.

Si quelqu’un d’autre me dit : Bon, j’ai pris The Law of One et je n’ai pas pu en comprendre un mot, je dirai : OK. Ce n’est pas le bon livre. Trouvez autre chose.

Il faut être un miroir et renvoyer l’image, il faut répondre : votre mission ici est peut-être ou même probablement différente de la mienne. N’essayez pas de faire comme moi, soyez vous-même. Et la raison pour laquelle vous devez essayer d’en savoir plus sur vous-même, de redécouvrir votre force, de regarder votre passé, de méditer, de vous souvenir par tous les moyens appropriés de la raison de votre présence ici – c’est que vous avez un travail à y faire.

Selon The Law of One, vous êtes ce qu’on appelle un Wanderer [un Vagabond – NdT]. Il y a beaucoup, beaucoup de termes pour qualifier ça. Il y a trois ou quatre semaines, Dolores Cannon a fait une merveilleuse prestation à Coast to Coast [un radio talk-show de fin de soirée aux USA et au Canada, traitant souvent de sujets paranormaux ou conspirationnistes – NdT, d’après Wikipédia] quand elle a fait allusion à eux sous le nom de Volunteers [volontaires, bénévoles – NdT].

C’est un mot très simple. Nous sommes des volontaires en provenance de tout l’univers, de différentes dimensions, de différentes planètes, peut-être de différentes cultures, même sur la planète Terre. Un peu comme : OK. Je vais essayer d’aider ce mouvement-ci parce que ces types ont besoin d’un coup de main.

Et des gens demandent : Et moi, où devrais-je aller ? En Australie ? Au Canada ? Pourriez-vous m’indiquer un endroit sûr ? Devrais-je aller au Pérou ? Ou bien au… ? Autrement dit : Bon, l’endroit où je devrais aller pourrait être différent de là où vous devriez aller, entre autres parce que vous devez peut-être y rencontrer quelqu’un ou que vous avez quelque chose à y faire.

Vous ne savez pas en quoi consiste votre plan de vie et tout le monde en a un. Vous pensez que vous êtes arrivé(e) ici sans plan de vie ? Vous en avez un et tout le monde en a un. Tout ceux qui regardent cette vidéo en ont un.

C’est cool de savoir en quoi consiste son plan de vie. Si on ne le sait pas, c’est seulement parce qu’on ne se le rappelle pas, et la manière d’arriver à le comprendre – ce n’est pas vraiment un problème – c’est de dire : Oh, je me souviens. On le re-connaîtra le moment venu.

Un des indicateurs de son plan de vie est le fait de ressentir de l’énergie. On commence à y réfléchir et on se dit : Ouah ! J’ai vraiment envie de faire ça ! Ça donne de l’énergie, rien que d’y penser.

Et, savez-vous, le mot travail est un mot relativement récent. Son sens réel, c’est « ce qu’on ne veut pas faire ». Les animaux ne travaillent pas. Ils se contentent d’exister.

Aux Îles Marquises, un groupe d’îles françaises du Pacifique-Sud, le mot travail n’existe pas dans la langue locale. Ils attrapent un poisson, allument un feu, construisent une hutte, s’abritent de la pluie, vont chasser, ils chantent une chanson. Ils ne travaillent pas.

Pourquoi travaillons-nous ? Si nous travaillons, c’est parce que quelqu’un a une idée de la façon dont nous devons structurer nos activités : par le travail.

Nous ne travaillons pas ! Nous vivons. Et en ce qui me concerne, je suis souvent le plus heureux  - et je ne vais même pas utiliser le mot travail ici - je suis souvent le plus heureux lorsque je suis le plus actif. Et ma propre définition du travail, dans mon cas, n’est pas : Ah, je me sens sur un petit nuage, je suis heureux, assis devant un gin and tonic – c’est une métaphore – à regarder le coucher du soleil.

Personnellement, je trouve ça rasoir. Pour moi le bonheur, c’est une direction, un processus dynamique. C’est d’être branché sur quelque chose qu’on veut faire, ou qu’on veut accomplir. Il ne s’agit pas d’une intention inébranlable, du genre : Bon, je vais maintenant tuer quelqu’un, je vais le faire et je me suis verrouillé sur cet objectif.

Mais c’est un but, et nous sommes tous venus ici avec un but, et quand nous œuvrons à ce but, nous n’avons plus le sentiment de travailler, mais un sentiment de joie.

Pour sûr, notre corps se fatigue. Nous parlions hier avec David Icke, et il était absolument épuisé, mais également rempli de joie par ce qu’il fait, car il a été éveillé afin de faire ce qu’il est venu faire ici.

Ce que vous et moi pouvons faire… Ce qui, je pense, se produit dans ce mouvement que nous appelons le « Ground Crew » [l’équipe au sol (aviation) – NdT], c’est que ses membres commencent à se rendre compte de ce qu’ils veulent faire. Lors de la réunion du Ground Crew que nous aurons ici à Zürich dans une semaine, il ne s’agira pas de cadrer les participants, mais de les inspirer.

Dire : OK. Je ne vais pas me substituer à vous. Que voulez-vous faire ? Vous voulez mettre sur pied une épicerie coopérative ? Alors qui veut aider cette personne ? Qui est preneur ? Celui qui lève la main en premier est celui qui devrait l’aider.

Il ne s’agit pas de faire des gens en une sorte d’armée de militants. Il s’agit de s’autoriser à comprendre ce qu’on est vraiment venu faire ici. Ce processus de compréhension, je pense, fait partie du processus d’éveil sur lequel vous avez interrogé Ruth, un processus d’éveil qui est en cours. Je ne le comprends pas, mais il est en train de se produire.

Tous les gens avec lesquels nous parlons, tous ceux que nous rencontrons au cours de nos voyages, tous ceux auxquels nous parlons et qui ont voyagé et qui nous renseignent sur les colloques auxquels ils ont assisté, [montrent] que ce phénomène arrive sous forme de vague. Une vague d’expansion de la conscience.

Une fois de plus, j’adhère totalement à la façon de voir de David Icke : que ce phénomène tracasse vraiment beaucoup les Pouvoirs en Place, sinon ils n’auraient pas besoin de nous verrouiller autant. Voilà pourquoi ils veulent nous implanter des micro-puces sous la peau, ou nous contrôler, nous empêcher de voyager, ou de communiquer, voilà pourquoi ils espionnent nos conversations, ou pourquoi ils essaient de nous inoculer un produit qui va compromettre l’efficacité de ce véhicule, dont nous dépendons tous ici, dans cette réalité, pour nous déplacer.

Ils n’ont pas le choix. Ils doivent faire tout cela parce qu’ils n’ont pas d’autre possibilité. Et qu’est-ce que cela nous apprend sur les limites imposées par la boîte dans laquelle ils se trouvent ?

J’adore la manière dont David Icke décrit les choses, et mon point de vue, c’est : OK, je suis d’accord avec lui. Les choses peuvent se compliquer, elles peuvent devenir vraiment intéressantes, ou plus difficiles ; nous pouvons nous retrouver avec toutes sortes de problèmes que nous n’avions pas rencontrés jusqu’alors dans notre vie.

Mais dans une autre partie de son exposé, David Icke a raconté comment, il y a 19 ans, un médium lui avait dit qu’une des nombreuses choses qui se produiraient au cours du développement de cette vague de prise de conscience, serait la nécessité de nous organiser en groupes. Parce qu’ensemble, nous serons plus forts sur les plans logistique et pratique.

Il nous faut former des communautés. Il nous faut organiser des collectifs capables de gérer la logistique, juste parce que, sur la planète Terre, il nous est nécessaire de garder notre corps en vie. Il nous faut de la nourriture, il nous faut de l’eau, de la chaleur, un abri, de la protection.

Mais il n’est pas nécessaire qu’on nous plante des aiguilles dans le corps. Ni qu’on nous vaporise des choses dans l’atmosphère sous forme de chemtrails. Il se passe tout un ensemble de choses. Notre esprit est influencé électroniquement. Au niveau physique, on nuit à notre corps.

Et ensemble il y a des moyens de nous soutenir les uns les autres. Il existe des antidotes à tout cela. Nous pouvons nous en protéger par des moyens technologiques et nous aurons besoin de nous entraider quand la pression commencera à réellement, à vraiment monter en puissance.

Tous ceux que nous connaissons nous disent que ça commencera par être pire avant de s’améliorer et je suis d’accord avec ça. Je ne sais pas à quel point ce sera grave, ni quand et comment les événements se dérouleront. Je pense que ça va devenir difficile. Il ne s’agit pas de la fin du monde, ni de la fin du genre humain.

Je pense qu’il s’agit vraiment du stage le plus étonnant et qu’il est corsé. Et à la fin de tout ça nous allons émerger dans ce qui sera pour l’espèce humaine un nouveau départ merveilleux.

Mais entre temps… Je ne sais pas combien de temps ça va durer, deux, trois ou dix ans. Mais je pense qu’après ça nous aurons émergé et qu’alors se déroulera un fantastique processus de convalescence. Je veux être là pour voir ça, parce que, à mon avis, ce sera passionnant.

Hier soir nous parlions avec Bill Deagle, qui disait penser que la période concernée pourrait bien s’étendre jusqu’à 2019. Il ne croit pas non plus à 2012. Mais d’ici là, il pourrait y avoir pas mal de choses à régler.

FC : Pour en revenir au fait que chacun doit trouver ce pour quoi il est venu ici – comme je le dis, on en arrive à s’écrier : Oui, oui, voilà ce que je veux faire ! C’est exactement ce qui s’est passé quand j’ai commencé à regarder Project Camelot. Je parle sérieusement, et j’ai déjà raconté à Kerry que ça m’avait fait perdre plusieurs semaines de ma vie. Avec pour résultat, que je savais ce que je devais faire.

Je suis venue à votre colloque du 1er août, à Amsterdam, je vous ai parlé, et je crois que mon mari vous a dit : Comment faites-vous ce que vous faites ? Et il a parlé avec vous de manière personnelle. Après quoi, à ce colloque, nous savions exactement ce qu’il nous restait à faire.

J’avais l’expérience des médias, et j’ai pensé : D’accord, je pense que c’est un domaine dans lequel je pourrais facilement pénétrer. Je ne vais pas me tracasser pour l’argent. Je ne vais pas me tracasser pour mon salaire, ou ma grosse maison ; je vais simplement le faire parce que j’ai l’impression que c’est la chose au monde que je préfère.

Et c’est ce que je pense encore malgré tout ce qui nous est arrivés en diverses occasions, nos informations confisquées par les Pouvoirs en Place, ou autres incidents.

Je crois qu’il est très important que les gens s’éveillent et se rendent compte que nous avons tous un rôle à jouer et qu’ils doivent chercher à comprendre en quoi il consiste, pour quelle raison ils sont venus ici, ce qu’ils ont choisi de faire une fois ici, et pourquoi ils ne le font pas.

BR : Oui, si vous sautez de la falaise, les anges vous rattraperont toujours, mais vous ne le saurez qu’à ce moment-là.

FC : Oui, c’est très vrai, et ils nous ont rattrapés. Nous avons eu beaucoup, beaucoup de chance !

BR : Absolument. Donc, c’est une question de confiance. C’est une question de courage. Il s’agit d’oser croire qu’on peut se réaliser entièrement – et je ne veux pas avoir l’air d’un chef militaire américain en disant ça, vous savez.

Mais en fait, avant d’entrer dans cette phase de ma vie où je travaillais jour et nuit sur Projet Camelot, j’étais spécialiste en team building, et en développement personnel. J’ai l’expérience du grand air ; j’emmenais autrefois des gens en montagne. J’ai commencé ma carrière à l’âge de 21 ou 22 ans, dans les écoles d’Outward Bound [organisme qui propose des expéditions – NdT].

C’est ce que, dans un paradigme plus ancien, on aurait appelé de la « formation du caractère » en langage militaire britannique officiel. Mais, ce dont il s’agit en fait, c’est d’un terrain de jeu où personne ne risque rien, mais qui donne l’occasion d’apprendre ce qu’on est réellement capable de faire.

Je travaillais autrefois avec des jeunes délinquants qui descendaient des falaises en rappel et nous allions dans les montagnes et vivions sous la tente. Et ils vivaient des expériences qui les transformaient, parce qu’ils ne s’étaient jamais rendu compte qu’ils étaient capables de faire ça. Les gens ont la capacité de tout faire. Les gens sont capables de faire tellement plus que ce qu’on leur permet de savoir !

Richard Branson, connu de beaucoup de gens comme étant le fondateur de Virgin, un énorme empire financier en Grande-Bretagne… [Bill rit] … et je ne conseille pas particulièrement de faire ça, mais une des choses qui l’ont mené sur sa voie c’est que, lorsqu’il était petit enfant, sa mère, au lieu de lui dire : descends tout de suite de cet arbre ! lui disait : Grimpe plus haut ! Grimpe plus haut ! Tu es capable d’aller plus haut. Je parie que tu ne peux pas atteindre cette branche ! Va tout en haut de cet arbre !

Et le petit Richard grimpait, et il avait très peur. Il montait jusqu’en haut de l’arbre et sa mère lui disait : C’est merveilleux ! Tu es un garçon vraiment courageux ! Tu peux faire des choses que personne d’autre ne peut faire ! Tu es extraordinaire ! Tu es le meilleur garçon au monde ! Maintenant il est milliardaire.

Sa mère –- et on enferme maintenant les gens pour ça – emmenait ce petit gamin, le larguait dans un autre quartier et lui disait : Voyons maintenant si tu es capable de retrouver le chemin de la maison. Et le petit Richard errait dans les rues, sans savoir ce qui se passait, frappait à une porte et disait : Je suis perdu.

FC : [Rires de Melani]

BR : OK ? ET ensuite la personne ramenait le petit Richard à son point de départ et sa mère lui disait : Merveilleux ! Tu as résolu le problème ! Tu as très bien réussi ! Tu es extraordinaire ! Tu sais tout faire ! Et il est milliardaire et ça, parce que sa mère était complètement dingue.

FC : Elle l’a bien formé, n’est-ce pas ?

BR : Oui. Absolument. Mais la plupart des mères disent maintenant à leurs enfants : Ne sors pas par la porte de devant, parce qu’il va t’arriver quelque chose de terrible. Ne parle pas à cet inconnu parce qu’il va te faire quelque chose de terrible. Ne prends pas de risques.

J’ai un ami en Angleterre qui était autrefois mon compagnon de cordée, parce que j’ai fait beaucoup de montagne dans ma vie. Il s’appelle Paul. C’est quelqu’un de formidable. Beaucoup de gens terminent leur lettre par « Prends soin de toi ! ». Lui, il les termine par : « Prends des risques ! »

FC : J’aime ça ! [Elle rit.]

BR : N’est-ce pas formidable ? On devrait nous dire : La vie est un risque ! La vie… tout ce que vous faites est un risque. Quand on attrape le bus ou qu’on prend la voiture pour aller quelque part, il y a un risque. Quand vous prendrez l’avion pour rentrer en Hollande, il y aura un risque.

Quand vous vous engagez auprès de votre mari, de votre partenaire, Richard, il y a un risque. Publier cette vidéo représente un risque. La vie est pleine de risques. Vous n’allez pas vous en sortir vivante.

FC : Oui.

BR : Vous n’allez sortir de la vie vivante. La vie est risquée, donc appréciez-la.

FC : Donnez-moi encore quelques précisions de base sur Projet Camelot et comment vous avez débuté, ce qui vous a encouragé à vous lancer dans ce périple.

BR : Mm. [Profond soupir]… Bien. Cette pause vient de ce que je réfléchis au degré de précision que je dois utiliser.

FC : Consacrez-y le temps que vous voulez.

BR : Choisissez le mot que vous voulez : je suis un Vagabond, je suis un Volontaire. C’est ce que je suis venu faire ici, j’en suis à peu près certain.

Et comme le reconnaîtront beaucoup de ceux qui regardent cette vidéo, et vous aussi, quand vous finissez par penser : OK, je suis maintenant arrivé(e) à ce que je désire vraiment faire, vous faites le point sur votre vie et vous vous rendez compte que l’ensemble des expériences que vous avez vécues, même celles qui ne vous ont pas semblé particulièrement agréables à l’époque, faisaient toutes partie de ce programme de formation que vous aviez choisi dans votre plan de vie.

Du genre : Voici pourquoi j’ai fait ceci ! Voici pourquoi j’ai fait cela ! Voilà pourquoi j’ai vécu ça ! Voilà pourquoi j’ai passé deux ans avec cette personne infecte. Voici pourquoi j’ai passé un an et demi dans ce fichu emploi. Voilà pourquoi j’ai choisi ce fichu parent, etc., parce que ça m’a fait ce que je suis aujourd’hui, et ça m’aide maintenant à faire le travail, avec ces capacités que j’ai acquises.

Sur le moment, on ne comprend pas ce qui se passe. Nous pensons : Oh là là ! Pourquoi est-ce que je fais ça ? Tout ça fait partie d’un plan.

Maintenant je reconnais qu’une grande partie de ce que j’ai expérimenté m’a en fait amené là. J’ai passé les huit premières années de ma vie en Afrique. J’ai travaillé dans les écoles de Outward Bound. J’étais formateur en leadership et team building. Ma mère était écrivaine et elle m’a préparé à l’écriture et à parler en public. Elle était auteur. Elle disait toujours que je devrais écrire un livre. Je ne l’ai pas encore fait, mais il y en a un en réserve, vous pensez bien, ce n’est qu’une question de temps.

Au cours de ma carrière de conseiller en gestion, j’ai appris à traiter avec des cadres, comment se comporter avec des responsables, comment gérer les réunions de grandes multinationales, comment présenter… Vous savez, c’est comme si tout ceci entrait en jeu.

J’en suis donc arrivé à ne voir en ceci qu’un merveilleux terrain de jeu où je peux déployer tous ces savoir-faire et capacités. A l’époque, je croyais n’être un humain qui essayait de tout faire fonctionner. Mais voilà la raison de tout ça.

J’ai vécu il y a 20 ans une expérience d’enlèvement, qui est en elle-même une très longue histoire, dont je ne comprends pas tout. Et beaucoup de ceux qui ont vécu une expérience de « contacté-enlevé » ne la comprennent pas non plus.

Plutôt que de me dire : Oh mon Dieu ! Il m’est arrivé quelque chose de terrible et ces type ont abusé de moi et m’ont extrait de ma tente dans l’Himalaya en décembre à 7000 m d’altitude… On m’a enlevé de ma tente. Ce n’était pas une opération militaire. On m’a fait flotter au milieu de la nuit au-dessus du glacier alors que la température tournait autour de -40°C ou -50°C [-40°F ou -50°F également ! – NdT].

FC : Etiez-vous conscient lorsque c’est arrivé ? L’avez-vous vu ?

BR : Oui, mais je ne pouvais pas bouger, j’étais paralysé. Il s’agit d’une expérience d’abduction classique dans un endroit plutôt inhabituel.

C’est une histoire très, très compliquée impliquant le facteur temps et je n’en comprends toujours pas les tenants et les aboutissants, mais je suis aussi certain qu’on peut l’être que ce qui s’est passé faisait partie d’un plan. Cela faisait partie d’un plan lié à mon activité actuelle. C’est… Je ne comprends pas ce qu’ils faisaient. Il s’agissait probablement d’une mise à jour de logiciel. Il y a probablement eu une quelconque mise à niveau.

Je pense que certains des enlèvements qui ont eu lieu sont probablement des mises à niveau de logiciels ou de matériel. Je ne peux pas le prouver. C’est seulement une idée stupide à moi, mais c’est la façon dont j’ai résolu cette situation, provisoirement, dans mon cas.

J’avais à l’époque une petite amie nommée Angie, qui… Cela a été une histoire très, très étrange, et j’ai vécu un certain nombre d’expériences bizarres qui m’ont conduit à conclure qu’elle n’était pas totalement humaine, au sens habituel du terme. En fait, je ne sais pas exactement ce que je veux dire par là, mais il y avait certainement quelque chose en elle qui n’était pas humain.

FC : S’agit-il de celle qui a grandi, d’à peu près 2 pieds [60 cm - NdT] d’un jour à l’autre ?

BR : Elle a grandi de 2 pouces et demi [6,5 cm] d’un jour à l’autre, pas de 2 pieds !

FC : Oh, d’accord ! [Elle rit.]

BR : De deux pouces et demi. Je ne sais pas si c’était d’un jour à l’autre, mais sans aucun doute en l’espace de deux semaines. Je veux dire, vous savez, ça fait partie de ce qu’on considère comme impossible médicalement.

Et de temps à autre, elle me disait des choses qui semblaient venir d’ailleurs. Ce qu’elle me disait ne semblaient pas provenir de cette petite jeune fille de 26 ans au métier ordinaire, qui ressemblait, dans la rue, à n’importe quelle jeune fille de 26 ans. Elle disait parfois des choses qui semblaient vraiment venir d’ailleurs.

Et je me rappelle une des choses qu’elle m’a dites un matin au petit déjeuner. Imaginez, nous avions le café et les toasts sur la table, et tout à coup elle lève les yeux vers moi et me dit : La Terre est un endroit magnifique, et ce ne sera pas toujours le cas.

Et moi : Quoi ? Et puis elle s’est remise en mode « petite jeune fille de 26 ans » et elle n’a même pas reconnu avoir dit ça. Bon.

Elle racontait des choses comme ça. Elle me disait : Tu es quelqu’un de très spécial. Nous ne serons pas toujours ensemble, mais je t’aimerai toujours. Et elle me le répétait tout le temps. Elle disait : Tu es très spécial, tu es très spécial.

Au départ, je pensais qu’elle se montrait juste gentille. Maintenant je pense qu’elle essayait de me dire que je suis très spécial, d’une manière ou d’une autre. Je ne veux pas dire que je suis le seul à être très spécial ; il y a des dizaines de milliers de gens qui sont très, très spéciaux.

Quand elle m’a quitté, elle m’a dit : J’ai terminé ce que j’avais à faire dans ta vie.

FC : Comment avez-vous géré ça ?

BR : Je n’ai pas pu. Je n’ai pas pu gérer ça. J’étais anéanti. Je n’avais aucun cadre de références auquel me raccrocher.

Il m’a fallu du temps pour comprendre que sa présence dans ma vie faisait partie de cette préparation. J’avais à l’époque la profonde sensation d’être impliqué dans quelque chose d’important et d’ignorer totalement de quoi il s’agissait. Je pensais : Mon Dieu, j’ai été choisi dans un but précis. Pourquoi cette expérience avec cette fille ? Pourquoi est-elle entrée dans ma vie ?

J’ai vécu une expérience similaire avec mon meilleur ami d’alors, avec lequel j’étais allé faire de la montagne au Népal, là où j’ai été enlevé de ma tente. Lui aussi faisait partie de ceux-là. C’est tout simplement… c’est impensable.

Il me racontait des choses. Je me souviens d’une fois où je faisais l’idiot ; je ne me rappelle plus des circonstances. Il a parlé avec moi. C’était mon meilleur copain. A l’époque où j’allais encore au pub, je descendais au pub avec lui. Je faisais de la montagne avec lui. C’était un type formidable. Il s’appelait Dave.

Il me parlait et sa voix a changé. Il me disait : Tu es complètement déséquilibré. Il a continué : Je ne sais pas d’où [me] viennent ces mots, mais tu es complètement déséquilibré. Je veux dire qu’il s’agit de mon ami. Il ne m’a jamais rien dit de tel, ni avant ça, ni après. Et il avait raison. Je menais une vie complètement déséquilibrée en ce temps-là, et on était en train de me reprendre en main.

Alex Collier, lors de son apparition à Los Angeles, au moment où il est sorti de sa retraite – pour de bon, j’espère – et qu’il est venu parler, a fait un exposé très, très puissant.

FC : C’est bien vrai.

BR : Lui aussi est un homme très évolué spirituellement. Il a introduit cette idée, en la présentant comme une question ouverte adressée à tous ceux qui l’écoutaient à ce moment-là : Accepteriez-vous de vous laisser guider par une race extraterrestre ?

Et on nous a demandé, on m’a demandé, tenez, hier : Où sont les ET bienveillants ? Où sont-ils ? Nous sommes cernés par ces Reptiliens. Où sont les Bons ? Ohé, montrez-vous, on a besoin de vous !

Eh bien, peut-être jouent-ils le rôle de guides, assis ici-même et en ce moment, à attendre que nous nous éveillions à la réalité... Il nous suffit peut-être de demander. Nous n’osons pas demander : Je suis insignifiant. Je ne suis qu’un pauvre humain. Je n’y comprends rien.

Du genre : OK. Nous avons conclu un accord. Je reconnais que je suis prêt à apprendre. J’aimerais me réveiller le matin avec une idée très claire sur quelque chose qui me paraît confus.

Cela ne ressemble pas à une intention, c’est juste : Voilà où je veux… Maintenant, il y a des gens qui parlent de poser cette question à leur Moi Supérieur, et c’est une autre technique, très, très valable. Ruth et moi en parlons constamment. Nous disons : OK, qu’en dit notre Moi Supérieur ? Notre Moi Supérieur peut souvent nous apporter un très bon renseignement.

Mais nous pouvons aussi faire appel à nos amis. Nous avons un ami commun… nous ne pouvons peut-être pas le nommer sans sa permission, mais il se tourne constamment vers ses guides. Ce sont ses guides qui lui ont suggéré très fortement que vous examiniez votre moteur après qu’on l’a saboté. Et voilà ! Il avait raison ! D’où venait cette indication !?

De quelqu’un qui observe, de quelqu’un qui regarde l’ensemble, et qui nous dit : Hé ! Nous pouvons vous conseiller si vous êtes prêts à vous ouvrir et à nous écouter.

Ce sont des êtres désincarnés, ou des êtres avec un corps physique, de leur point de vue mais désincarnés du nôtre, parce que nous faisons ici allusion à des réalités et des dimensions qui se chevauchent.

J’ai vu un être dans ma chambre il y a 20 ans, au moment de toute cette histoire avec Angie. Il s’est manifesté sous la forme d’une sorte d’hologramme. Il semblait apparaître et s’effacer progressivement. Mais il était réel, bien réel. Bon, je suis sûr qu’à ses propres yeux il était un être charnel, mais je le voyais comme une sorte d’hologramme. Il m’est apparu, très consistant d’aspect, m’a regardé cinq secondes environ, puis s’est re-dématérialisé.

Jake Simpson, le contact « de l’intérieur » que nous avons à Projet Camelot, nous a dit que les militaires de certains pays ont maîtrisé cette technologie – parce qu’il ne s’agit que d’une technologie – et qu’ils peuvent traverser les murs. Leurs super-soldats peuvent traverser les murs.

Il a appelé ça du changement de phase. Vous changez de phase… Je ne sais pas ce que ça veut dire ! Vous changez la phase de ces nuages d’électrons, de ces possibilités quantiques et de cet espace vide que nous appelons la matière, si bien qu’ils se déplacent les uns à travers les autres.

Pourquoi pas ? La seule raison pour laquelle deux choses entrent en collision et rebondissent, c’est parce que vous avez une apparence de force par le truchement de diverses réactions électromagnétiques qui se déroulent au niveau quantique. Je ne dis pas ceci dans le but d’être techniquement exact.

Vous avez l’interaction nucléaire forte, l’interaction nucléaire faible, l’interaction électromagnétique et vous avez la gravitation – pour autant que je m’en souvienne, voici les quatre forces de base. Et la combinaison de ces quatre éléments a pour résultat l’apparence solide des objets, et le fait que ma main ne peut pas traverser le mur.

J’ai parlé à quelqu’un qui avait assisté à une soirée où se trouvaient des gens apparemment liés aux Illuminati. Parmi beaucoup d’autres choses, ils s’adonnent à la magie noire. Ils peuvent faire plein de trucs. Et en fin de compte, parce que toute chose est une expression solide de la pensée ou de la spiritualité, suivant le mot que vous voulez utiliser, nous pouvons de fait transcender ça sans haute-technologie.

Et donc il a observé la démonstration d’une personne qui faisait traverser le mur à sa main. Pfouittt, comme un effet spécial dans un film, droit dedans, droit dehors. Et on peut faire de la bi-localisation, ou bien de la lévitation.

Si vous lisez cet étonnant livre que j’ai lu il y a longtemps et auquel David Icke a fait allusion dans son exposé, The Holographic Universe, de Michael Talbot, vous y trouverez plusieurs chapitres sur les miracles du passé.

David Icke parle de la marche sur le feu. Il existe de nombreux exemples attestés de gens en état d’extase religieuse -  fondamentalement un état de transe, une sorte d’état altéré [de la conscience]
-  dont la peau n’est pas brûlée par le contact de fers chauffés au rouge ; ils ont de gros crochets plantés en eux, et lorsqu’on les leur retire du corps, il ne demeure soudain plus aucune blessure.

Il existe de nos jours ces chirurgiens psychiques des Philippines, qui peuvent pénétrer le corps d’un patient, extraire une tumeur, la retirer, et hop, le corps se guérit tout seul, puis ils mettent la tumeur dans un bocal. Pas d’anesthésique, ni rien d’autre, ils se contentent d’atteindre la tumeur et de la retirer. Ce sont les chirurgiens psychiques des Philippines.

Dans ses livres, Supernature et Lifetide, Lyall Watson en parle beaucoup. Ils sont nombreux aux Philippines.

FC : Ouah !

BR : La dernière fois que j’en ai entendu parler, ils étaient à peu près 20. Il existe un gars au Brésil dont le nom peut se traduire, je crois, par « Jean de Dieu ». Il traite jusqu’à quelque 3 000 patients par jour. Ils forment une très longue queue ; ça prend environ dix secondes par personne. Il leur dit : OK, vous, vous avez besoin de ceci. Vous, vous avez besoin de ça. Vous, vous avez besoin de ceci.

Et parfois il prend une lame de rasoir rouillée, il les ouvre avec sa lame de rasoir rouillée, sans anesthésique ni rien d’autre. Il dit seulement : Bien, OK, [Bill émet un bruit de tranchage], il retire quelque chose, et c’est fini. OK. Bien. Suivant ! Et ensuite il n’y a pas de blessure, il n’y a absolument rien, et ils vont bien.

FC : C’est incroyable !

BR : Et il s’appelle : « Jean de Dieu ». J’aimerais vraiment aller le voir. Je veux dire qu’on peut le trouver sur Internet. Vous pouvez le payer, vous pouvez faire des excursions, vous pouvez aller le voir, et ensuite faire partie des 3 000 patients. Et s’il vous traite avec la lame de rasoir rouillée, vérifiez que vous avez votre caméra.

FC : [Melani rit.]

BR : Tout cela témoigne du fait que, comme le dirait Michael Talbot, nous vivons dans un univers holographique.

FC : Oui.

BR : Et nous en sommes arrivés là parce que j’étais en train de vous parler de mon ami qui racontait sa soirée avec ces étranges personnages illuminati, où il traverse le mur avec sa main. Et avant ça, nous parlions de cet Etre qui s’est matérialisé dans ma chambre. Et avant encore, nous parlions de chercher de l’aide chez nos amis éthériques qui sont aussi dans ce monde non-physique.

Mais tout ceci, si vous le voyez comme un holodeck dans Star Trek, où on trouve toutes ces choses-là, l’ensemble de ce que vous voyez dépend, comme le dirait encore David Icke, de la station radio sur laquelle vous êtes calé. Il s’agit de métaphores. Il vous faut groker – comprendre intuitivement - ceci, ces concepts.

Vous vous apercevez qu’il y a suffisamment d’espace pour que tout ce que vous souhaitez dans la vie puisse se produire. Les miracles deviennent possibles. Les coïncidences n’existent pas. On peut planifier sa propre vie. Vous pouvez rencontrer la personne que vous avez besoin de rencontrer. Et si vous voulez appliquer ceci au niveau physique, vous pouvez entrer dans un "vire-matière" (jump-room), et finir sur Mars, parce qu’il ne s’agit que d’une application de plus de la magie pratique.

Il ne se passe pas grand-chose de toute façon, il ne s’agit que d’un rêve. Faites-en un rêve éveillé, et après vous pourrez faire tout ce que vous voulez. Des gens le font.

Les mystiques tibétains – et j’ai passé des siècles à les fréquenter, et j’en faisais même partie, je crois, à un moment donné – possédaient ces capacités. Ils peuvent faire des tas de trucs, là-bas. Ça n’a jamais été réellement exporté en Occident.

A l’Ouest, nous dépendons beaucoup de la technologie. Nous existons de manière très, très contrôlée. On nous ment, on nous contrôle, on nous manipule, dès notre naissance. Et nous nous croyons la race la plus avancée sur Terre, alors qu’en fait, nous sommes vraiment la plus primitive.

C’est là où je me situe différemment, et il s’agit d’un bond ici : j’adore la manière dont Richard Dolan, au colloque Camelot de Los Angeles et dans d’autres exposés qu’il a faits, montre de façon très, très convaincante, que le simple fait qu’une civilisation soit techniquement évoluée, ne signifie pas qu’elle sache ce qui se passe. Ni qu’elle soit spirituellement avancée. Ni qu’elle va dépasser le stade de la simple bienveillance.

Et il utilise cet exemple étonnant : en supposant que nous ayons une machine à remonter le temps, nous pourrions revenir en arrière de 1000 ans et parler à des gens de l’an Mil, on pourrait amener sa caméra, son portable. Peut-être même sa voiture. Et son mobile.

Ils verraient toute cette technologie incroyable qui, pour eux, serait de la magie. Ils vous diraient : Vous êtes des êtres si évolués, que vous devez avoir résolu tous les problèmes qui existaient chez vous, d’où que vous veniez. Vous devez tous être bons. Vous devez tous ressembler à des anges. Vous devez avoir résolu les problèmes de la guerre, de la pauvreté et de la maladie, avec la technologie que vous avez.

Cette logique ne fonctionne pas. Elle ne fonctionne pas. Le simple fait d’avoir de beaux jouets capables de faire des choses qui ressemblent à de la magie, ne signifie pas que nous avons atteint un niveau avancé de spiritualité. Cela signifie seulement qu’on a de beaux jouets, et certains des extraterrestres sont pareils.

Ce qu’il y a de faux dans cette hypothèse, c’est que le simple fait qu’ils volent partout, qu’ils utilisent des engins qui ne ressemblent pas à des fusées, qu’ils paraissent pouvoir aller dans d’autres dimensions et faire de beaux trucs avec tous leurs jouets, ne signifie pas qu’ils soient des êtres évolués d’un point de vue spirituel. Ni qu’ils soient bons. Ni qu’ils soient amicaux. Ni qu’ils n’aient pas leurs propres problèmes.

Cela signifie seulement qu’il s’agit d’êtres qui évoluent dans cet univers en jouant comme nous à des jeux. Ils ont leur propre karma, leur propre passé, leurs propres plans, leurs propres objectifs. Ils peuvent faire avec nous, ou nous faire, des chose pour nous inimaginables et il est extrêmement dangereux de les imaginer tous sages et tous bons. Ce pourrait ne pas être le cas.

Je voulais simplement glisser un mot là-dessus, parce que c’est extrêmement important, puisque nous parlons technologie.

FC : Je vois. Bon, dans le même style, j’aimerais parler d’êtres extraterrestres, vivant ou non sur Terre. Que se passe-t-il en réalité ? Qui dirige cette planète ? Et [elle rit] quand vont-ils se montrer et nous faire connaître leur présence ?

BR : Voilà plusieurs questions qui vous paraissent simples.

FC : Oui.

BR : [Il soupire] Je ne sais pas. Ça semble bouger. Laissons les choses se produire en leur temps.

Larry King, dans son émission d’interviews Larry King Live, a accueilli cette année plus d’invités parlant d’OVNI et d’extraterrestres que jamais auparavant. Pourquoi ? Intéressant !

L’an dernier, l’astronome en chef du Vatican, dont je ne me souviens plus du nom, a déclaré publiquement – je paraphrase – : Si les extraterrestres existent, nous devons nous rappeler qu’ils sont nos frères et nos sœurs devant Dieu. C’est arrivé sans prévenir. D’où est-ce que c’est venu et pourquoi a-t-il dit ça ?

La semaine dernière, si je me souviens bien, le même gars a animé un colloque de cinq jours sur la réalité éventuelle de la vie extraterrestre.

Autre chose intéressante qui s’est produite : la NASA a annoncé la présence d’eau sur la Lune, suite à l’expérience de crash sur notre satellite de la sonde spatiale LCROSS.

Richard Hoagland, que nous connaissons, est quelqu’un d’intéressant, ayant des théories intéressantes. Ce n’est pas un imbécile. Nous l’aimons bien ; c’est un type intelligent. Il apporte beaucoup d’éléments intéressants à ces débats. A Coast to Coast, il a prédit que le prochain coup dans ce jeu d’échecs serait qu’ils annonceraient la présence d’eau sur la Lune, parce que c’est une des choses qui… Ça correspond à introduire ces idées. Ça correspond à dire : Oh, il y a de l’eau sur la Lune.

OK. La plupart des gens se rendent compte que là où il y a de l’eau, il pourrait y avoir de la vie. Prochaine étape : ils vont trouver quelque chose d’autre. Donc, ça vient.

Clay et Sean Pickering, deux chercheurs basés à New-York. Ce qu’ils nous ont dit n’est pas nouveau, dans la mesure où cela a déjà été rapporté. Par Michael Salla. On en a déjà parlé sur le Open Minds Forum.

Il y a eu un petit peu d’effervescence il y a 18 mois, lorsqu’ils ont annoncé avoir été contactés par une source de l’US Navy divulguant l’existence de réunions aux Nations Unies, [notamment] d’une réunion à huis clos camouflée, mais dont le but était en réalité de préparer la divulgation internationale de la réalité extraterrestre. Il y a ensuite eu d’autres réunions dans d’autres endroits.

En partant du principe que s’il doit y avoir Divulgation à la population du monde, il faut que les Américains soient en accord avec les Russes, les Chinois, les Allemands, les Français, les Britanniques, les Sud-Africains, les Australiens, et tous les autres, sur la façon de présenter l’histoire. Prenez l’Afrique du Sud…

Si le président américain fait une déclaration, immédiatement après la presse sud-africaine va poser la même question au président d’Afrique du Sud, lui demandant : Que savez-vous là-dessus ? Il faut qu’il donne la même réponse. Sinon, on a un vrai problème, parce que des gens vont donner des versions différentes.

Quelle version donner, que raconter, et comment le dire, c’est apparemment discuté en haut lieu et ça l’est depuis au moins 18 mois et probablement depuis plus longtemps, beaucoup plus longtemps.

Lorsque Clay et Sean Pickering nous ont contactés – c’est sur le site de Project Camelot – ils ont fait allusion à notre entretien avec Stephen Greer. Nous avons eu beaucoup de réactions intéressantes là-dessus. Certains n’ont vraiment pas aimé : Comment pouviez-vous défier ce type ? Vous montrer si agressif ? Etre si en désaccord avec lui, alors qu’il s’agissait seulement d’une interview ?

Clay et Sean Pickering ont dit : C’est la meilleure interview que vous ayez jamais faite, parce que son niveau de passion, de désaccord et d’intelligence du débat, d’intelligence passionnée du débat, reflète exactement la réalité existant à huis clos au plus haut niveau de décision.

Ils ont ajouté : C’est tout à fait représentatif de l’angoisse existentielle, du désaccord et de l’inquiétude qui règnent parmi les braves gens situés au plus haut niveau de décision.

Ils ne connaissent pas non plus les réponses à ces questions. Ils ne savent pas en qui avoir confiance. Ni quoi dire. Ni comment interpréter une situation où quelqu’un dirait : Je suis un extraterrestre – voici de la technologie : nous vous la donnons parce que nous vous aimons bien.

Je dis bien sûr ça sur le ton de la plaisanterie, mais comment pouvons-nous comprendre les objectifs de ces gens, et en être sûrs ? Certains d’entre eux seront authentiquement amicaux, d’autres pourront ne pas l’être.

Il est extrêmement important de prendre les bonnes décisions à ce sujet et extrêmement important de donner au public des informations exactes. Quels que soient les gens qui poussent à cette Divulgation – qui, je le crois, est en route. Quelque chose est en route. Nous ne savons pas quand, ni quoi, ni quelle pourcentage de vérité elle contiendra.

Quand nous lui avons parlé à la fin de juin cette année, Pete Peterson nous a raconté avoir été informé par sa propre source… Maintenant, permettez-moi de revenir un peu en arrière ici, parce que c’est devenu sur Internet une rumeur plutôt incontrôlable.

Je vais me contenter de répéter exactement ce qu’il a dit. Qu’une de ses sources lui a annoncé qu’on avait réservé une plage de temps à la télévision sur de nombreuses chaînes, le 27 novembre, au cours de laquelle Obama prévoyait de faire une déclaration. Juste après, Pete Peterson a ajouté : Le fait que ce soit prévu ne signifie pas que cela va se produire. Nous lui en avons parlé récemment et il nous a dit qu’à son avis, c’était du 50/50. Ce n’est que son estimation personnelle.

C’était le renseignement auquel David Wilcock faisait allusion quand il s’est retrouvé dans une situation très délicate à Coast to Coast. Nous adorons David, c’est un grand ami à nous, il peut savoir des choses que nous ne connaissons pas. Mais suite à ce que Pete Peterson nous a tous dits en même temps, je n’aurais pas affirmé les choses avec autant de force que l’a fait David.

Le problème, quand on fait une prédiction de ce genre, c’est que – tout comme Blossom Goodchild l’an dernier – vous vous retrouvez un peu bête si vous vous trompez. Donc je tiens à présenter ceci avec tous les avertissements possibles, car qui sait si cela va arriver le 27 novembre ?

On peut penser que, s’ils avaient l’intention de se préparer à ça, ils devraient aller plus loin que simplement dire qu’ils ont trouvé de l’eau sur la Lune.

Plusieurs autres étapes intermédiaires semblent prévues avant qu’ils annoncent quoi que ce soit. Clay and Sean Pickering nous informent que les débats passionnés à huis clos se poursuivent, et qu’ils sont loin d’être terminés.

Mon sentiment personnel, et je tiens à le dire au micro, c’est que nous n’allons rien entendre le 27 novembre. J’adorerais me tromper, mais je crois qu’il est trop tôt. Je pense que cela aurait pu être un signe prometteur.

Il se peut que le moment ait bien été réservé, mais qui sait combien d’autres réservations prévisionnelles ont été effectuées pour les prochains mois ? Nous ne disposons pas de cette information. Pete Peterson ne le sait pas non plus. Il ne faisait que rapporter ce qu’on lui avait dit.

Ça vient, on ne sait pas quand, on ne sait pas ce qu’on va nous dire, et il y a des gens dans le mouvement pour la Divulgation qui disent : Bien. Notre longue bataille de 30, 40, 50 ans, depuis Roswell, va se terminer dès que le président ou quelqu’un d’autre fera sa déclaration au Corps de Presse de la Maison Blanche.

Et je dirais : Bon, en fait, ça pourrait n’être que le début, parce que nous ne savons pas ce qu’ils vont dire. Ni comment certaines des questions vont être présentées. Ni ce qui se produira après ça. Cela pourrait conduire à un nouveau jeu, ponctué par des : Oh mon Dieu ! Ils nous ont dit ceci, et nous savons que ce n’est pas vrai.

Dans le monde entier, tous croient que le bien sort de la bouche du Président. Maintenant nous avons un nouveau niveau de problème à gérer : ce qui est vrai, ce qui n’est pas vrai, ce qu’on a rapporté, ce que les gens croient, comment les gens réagissent à ça, et pourquoi ils font tout ça.

Il faut voir l’ensemble comme un jeu d’échecs, et une partie d’échecs peut se jouer de manières très différentes. Cela pourrait se révéler être une diversion qui passionnerait les gens pendant plusieurs mois, le temps qu’on divulgue tout ça, pendant que, par ailleurs, ils implantent tranquillement leurs micro-puces…

Mon idée, c’est qu’un moyen formidable de détourner l’attention du débat sur la grippe porcine [l’(A)H1N1 – NdT] serait d’annoncer l’existence des extraterrestres. Du jour au lendemain, le problème de savoir s’il faut ou non vacciner les enfants perd de son importance. Il devient beaucoup plus intéressant et racoleur de parler de ce nouveau sujet. C’est justement ce qu’ils pourraient être en train de faire.

Tant de choses se déroulent simultanément en ce moment. Le film 2012 est sorti il y a quelques jours seulement. Je ne l’ai pas encore vu. On me dit qu’il n’est pas très bon, mais qu’il est très spectaculaire. Mais il n’est pas sorti par hasard, et il y a certainement derrière, la volonté de nous effrayer, parce que la peur nous rend plus faciles à manipuler.

Il faut imaginer ce qu’ils pensent. Ce sont des gens très malins. Rien ne se produit par hasard. Il peut y avoir toute une série d’éléments trompeurs destinés à nous perturber, nous faire réfléchir, nous inquiéter et peut-être même à nous faire réagir contre quelque chose par ici, tandis qu’autre chose se passe très tranquillement par là. Il nous faut être suffisamment intelligents pour essayer d’anticiper en quoi consistent ces petits jeux. Une fois de plus, j’utilise le terme de « jeu » en connaissance de cause, parce qu’il faut voir les choses sous cet angle.

Quand notre interview de Deagle, celle d’hier soir, sera publiée – et j’espère le faire cet après-midi, parce que c’est très, très important - il propose un scénario de ce nous pourrions vivre différent, non seulement jusqu’à 2012, mais peut-être jusqu’à aussi tard que 2019. Il ne pense pas du tout que tout va soudain mal tourner en décembre 2012.

C’est un homme très intelligent, que Deagle. Il est certain que Patrick Geryl et Cliff High ont tout faux. Il dit qu’il y aura probablement une période d’activité solaire très intense qui entraînera des répercussions physiques sur notre planète et que la croûte terrestre se déplacera.

Voilà une théorie intéressante – pas de déplacement des pôles – mais la croûte terrestre est un peu comme la peau qui se forme sur le lait chaud. Elle donne l’impression d’être solide, mais en fait elle peut se déplacer. Elle ne se casse pas, mais elle peut le faire, et elle flotte en quelque sorte sur cette surface visqueuse qu’est le magma brûlant situé sous la croûte.

Il affirme que, d’après ses calculs et des sources bien informées, il se produira vraisemblablement un déplacement progressif de la croûte, pendant plusieurs mois, à l’allure d’un homme qui marche.

D’un point de vue géologique, c’est très, très rapide, mais pas de quoi en faire un bon film-catastrophe, parce que les continents vont commencer à se repositionner à la vitesse d’environ deux kilomètres à l’heure, l’allure de la marche, à peu près.

Mais au bout de trois mois, tout sera à un endroit un peu différent. Puis le temps commencera à changer, les calottes polaires vont fondre, et le niveau de la mer se stabiliser. Il dit que le Japon va probablement disparaître, et toutes sortes d’autres choses assez pénibles, mais ce ne sera pas la fin du monde. Il y aura, comme conséquence, des problèmes dans la répartition de la nourriture.

Il y aura probablement des éjections de masse coronale qui affecteront ou influenceront tout ce qui fonctionne par électromagnétisme.

Nous avons à Camelot nos propres sources bien informées. En avril dernier [2009], nous avons entendu parler, par l’épouse d’un ingénieur électricien qu’on avait soudain renseigné, qu’il avait trois ou quatre ans devant lui pour éviter à tous les transformateurs de Grande-Bretagne de griller.

Nous avons correspondu avec la femme de ce gars. Il y a eu échange de plusieurs e-mails sur une période de 3 ou 4 jours, parce qu’il était absent.

Et elle nous a dit : Ecoutez, je ne peux pas répondre à vos questions, parce que je ne suis pas scientifique, mais je les lui poserai dès son retour.

Et nous n’avons rien eu de plus – tout paraissait vrai, mais nous ne pouvons que le supposer – nous ne pouvions que supposer que le gars, de retour chez lui, ait dit : Bon sang, mais qu’est-ce que tu fais ? On ne peut en parler à personne ! Ça serait trop dangereux, et on m’a menacé. Tu ne peux pas faire ça. Tu n’aurais pas dû parler à ces gens-là.

Et nous avons entendu parler par d’autres gens de choses très similaires. Bill Deagle confirme cela. Il y a dans le monde entier des ingénieurs électriciens travaillant dans le domaine public, qu’on a mis en garde contre des événements qui pourraient éventuellement se produire.

Et les plans de réduction de la population… [Bill rit] C’est vraiment un vaste sujet, très difficile à traiter de façon linéaire. Les plans de réduction de la population sont fondamentalement… Voyez-vous, la question qui crève les yeux, c’est : Ecoutez, s’ils vont subir d’importants bouleversements terrestres et la désorganisation des infrastructures et de la production de la nourriture, tout ceci mettra en danger la vie ou causera la mort de beaucoup de gens. Pourquoi s’inquiètent-ils donc de la réduction simultanée de la population mondiale par des moyens artificiels, comme ils le font ?

La réponse de Deagle à tout ceci c’est que, fondamentalement, il s’agit d’une question de synchronisation. Ils essaient de deviner quand ces événements se dérouleront. Il faut qu’ils réduisent la population mondiale avant l’arrivée de ça, car sinon leur propre survie pourrait être mise en cause par l’agitation créée par la présence de trop de gens autour d’eux, qui se livreraient à des actes imprévisibles.

Mais tout d’abord, ils ne tiennent pas à se débarrasser des gens trop rapidement - une des raisons qui peuvent expliquer pourquoi ils ne l’ont pas fait jusqu’à présent -  parce qu’ils veulent maintenir leur base de fabrication, dont ils dépendent, à cause des gadgets qu’ils utilisent pour les maintenir en vie dans leurs bases souterraines… quelqu’un les fabrique ; ils ne les produisent pas dans leurs propres usines. C’est vous et moi qui les fabriquons, métaphoriquement parlant.

Donc il faut que les gens qui travaillent dans les usines du monde entier puissent maintenir leur production. Il s’agit donc de garder les choses en fonctionnement le plus longtemps possible, et juste avant l’arrêt de la musique - c’est une métaphore - ils vont dire : OK les gars, on n’a plus besoin de vous. Maintenant nous commençons de réduire la population mondiale. Puis c’est le début des bouleversements terrestres, et ils vont tous se réfugier sous terre ; et puis ils ont aussi leur Plan B : les bases sur la Lune et sur Mars.

Selon Deagle, tout ceci peut ne commencer à se concrétiser qu’à partir de 2019. Il ne croit pas du tout à l’histoire de 2012, et moi non plus. Je soupçonne que cette affaire de 2012 est avant tout faite pour nous égarer, et la sortie même de ce film de Roland Emmerich confirme à mes yeux que c’est très vraisemblablement le cas. Du genre : Bon. S’il dit ça, c’est donc que quelque chose d’autre va arriver. Entre temps, on attend de nous que nous y croyions tous.

Mais il se passe quelque chose. Vous et moi, ainsi qu’un tas d’autres gens qui vont voir ce film en ce moment, se préoccupent de comprendre ce qu’il en est. Nous ne saisissons pas l’occasion pour proclamer que Bill Deagle a raison, mais il est très, très intelligent et très, très bien intentionné. Il possède ses propres sources d’information parmi les initiés, et ce qu’il décrivait – nous [l’]aurons [dans] cette audio d’une heure et demie, publiée sur notre site juste après, si ce n’est avant cette vidéo-ci ; le genre de chose qu’il faut réécouter 3 ou 4 fois, tellement c’est dense – ce qu’il décrivait m’a paru vrai. Ça m’a paru vrai.

Il ne s’agit pas d’un désastre, mais d’un grand bouleversement. Cela se produit tous les 11 500 ans, et ça ressemble à ce qu’on lit dans les légendes, comme celles de l’Atlantide, du Déluge, et autres. Des tas de choses se sont produites. Mais il ne s’est pas agi d’un grand coup de balai ; seulement d’une petite remise à zéro et d’un peu de réorganisation. Et une grande part de la haute technologie de l’époque a disparu.

Ceci est bien sûr également en corrélation avec ce que dit depuis longtemps Hoagland, et c’est très, très intéressant. Il affirme qu’il se trouve des tas de ruines sur Mars et sur d’autres lunes rocheuses - qu’il y a d’incroyables structures sur Iapetus, une des lunes de… est-ce Saturne ou Jupiter ? je ne peux pas me le rappeler. [NdE : Saturne]

Tout le Système Solaire semble jonché d’artéfacts de différentes sortes. Mais [Hoagland] dit que cela provient seulement des humains d’autrefois. Il affirme que ce ne sont pas les extraterrestres qui ont construits tout ça – mais nous. Il s’agit de notre Histoire ! Nous ne connaissons pas notre propre Histoire. Des choses très, très intéressantes.

Maintenant, bien sûr, il s’y trouve aussi probablement des bases ET. Nous avons entendu parler par « Henry Deacon » (Arthur Neumann) de la base martienne occupée conjointement par les militaires humains, ou les services humains de renseignements militaires, nommez-les comme vous voulez. Mais il y a là d’autres extraterrestres également. Il y a de la vie et des gens, vous savez, partout.

Mais un grand nombre des choses qui sont là-bas, affirme Hoagland, viennent de nous, autrefois. Nous y sommes allés et nous y avons laissé nos ruines. Je ne sais pas ce qu’il en est. C’est une thèse passionnante, et Deagle n’est pas… Mettons les choses au point : Deagle n’est pas en désaccord là-dessus. Nous désirons vraiment signaler aux gens les travaux de Bill Deagle.

Beaucoup de gens disent que c’est un marchand de peur, même chose pour David Icke. Et en fait j’ai présenté David samedi en disant de lui qu’il faisait partie des personnes les plus positives, optimistes, et courageuses auxquelles on pourrait songer. Et lui, dit que l’idée que tout ceci pourrait mal se terminer ne lui vient pratiquement jamais à l’esprit. Bill Deagle réagit exactement pareil.

Mais, pas plus que David Icke, il ne dit pas que nous n’allons pas passer par de sales moments. Il se peut que nous passions par de sales moments. Et des gens auront peut-être à abandonner leur corps et à en récupérer un autre ailleurs.

Mais ça n’est pas la fin de la partie, et ça ne suffit pas à en faire un film-catastrophe ; cela produit beaucoup de drames, quantité de bouleversements, et pas mal d’événements intéressants.

Mais, dans l’ensemble, après ça, se trouve en réalité l’occasion pour la race humaine d’émerger dans ce que beaucoup, beaucoup de médiums ont vu, après tout ce chaos, comme une forme d’Age d’Or.

Un des messages que j’aimerais communiquer ici, c’est que, si tout ça devait être une terrible et horrible histoire, je ne serais pas ici. Je le sais. Je ne serais pas venu ici en 1953 pour faire ce que je fais en ce moment. Je serais parti dans une autre planète… Je veux dire qu’il y a des tas d’endroits merveilleux là-bas, où on prend son pied à des tas d’activités différentes.

Je suis ici parce qu’il y a de fortes chances que ce jeu se termine bien. Entre temps, on s’amuse bien, c’est intéressant, on apprend des choses, c’est un stage pour vous et pour moi, et pour tout le monde. Je suis vraiment content d’avoir été volontaire pour ça, mais je n’ai pas signé pour que ça se termine mal.

Et tous les enfants merveilleux qui arrivent, et qu’ils essaient de manipuler avec de la Ritaline et avec toutes ces drogues et toutes ces… Vous savez, ces « enfants indigo », ils arrivent par vagues, par vagues ! La cavalerie arrive ! Ce sont des petits enfants qui courent partout. La cavalerie est là !

Nous recevons des lettres, nous recevons des e-mails adressés à Projet Camelot. Nous recevons de plus en plus de lettres de gens de plus en plus jeunes, des adolescents, de jeunes adultes, et ils font preuve d’un niveau de conscience et de connaissances dans leur compréhension que j’étais loin d’avoir à leur âge.

A 20 ans, et même à 30 ans, j’ignorais tout de ce qui se passait ! J’essayais de comprendre. Et ces jeunes-là sont déjà à pied d’œuvre. Certains d’entre eux ont une mauvaise orthographe, mais ça n’est pas le plus important !

Tant de gens nous disent : Je sais qu’il y a une raison à ma présence ici. Je veux trouver pourquoi je suis ici. Je comprends toutes ces informations. Vos informations m’ont aidé(e) à m’éveiller. Elles m’ont aidé(e) à me rendre compte que je suis ici [pour]… C’est ce que de plus en plus de gens nous disent, et ils sont de plus en plus jeunes.

Et bien sûr nous travaillons au sein d’une équipe plus vaste. Vous allez, vous aussi, commencer à recevoir ce type de message, si ce n’est pas déjà fait.

FC : Oui. Mm-hm.

BR : Et il y a des gens qui travaillent dans le monde entier, dans différentes cultures, de différentes manières, et tout ceci est en train de se produire. C’est un mouvement. C’est un mouvement.

Et tous ces gamins ne seraient pas ici si cela ne débouchait sur rien, si le jeu était fixé d’avance, s’il était truqué. Ils seraient allés à une autre table, dans une autre planète. Ils feraient autre chose. Ils ne seraient pas ici. Ils sont ici parce qu’il y a de fortes chances… parce que c’est bien, parce que nous travaillons ensemble, parce qu’ils peuvent renouer avec des gens avec lesquels ils ont prévu de renouer les contacts.

Beaucoup d’entre nous se connaissaient déjà, d’avant. C’est pourquoi, j’en suis sûr, depuis que avez commencé à faire ce que vous faites, vous tombez sur des gens que vous n’avez rencontré qu’hier ou avant-hier et vous vous dites : Bon sang, j’ai l’impression de l’avoir connu toute ma vie !

Ça arrive constamment ! Et la raison en est que ce ne sont pas des inconnus, mais de vieux amis. Vous avez un contrat ; vous rencontrer et travailler ensemble fait partie de votre plan de vie, parce que vous l’avez déjà fait de nombreuses fois. La raison pour laquelle c’est cool de travailler avec des gens, c’est que c’était déjà cool la fois d’avant. Donc nous recommençons.

Ça ressemble à une longue série de films, où on retrouve le même personnage, confronté à un problème différent, et on y va ! Savez-vous ? Et c’est vraiment comme ça.

Et ça, pour moi, c’est un des plus importants messages d’espoir, le fait que toute cette cavalerie ne s’investirait pas ici s’il n’y avait aucun espoir. Ils s’impliquent ici parce que quelque chose de réellement valable pourrait en sortir.

Je pense que rien n’est fixé. Il n’est pas prévu que tout se terminera bien. Ni que tout se terminera mal. Mais c’est un jeu passionnant. Et mon message à tous ceux qui regardent ceci, qui ressentent que ce que je leur raconte leur dit quelque chose… que si vous regardez cette vidéo en ce moment, c’est qu’il y a probablement une raison. Rien ne se produit par accident. Si vous vous prenez en train de penser : Que devrais-je faire en ce moment ? Que devrais-je donc faire en ce moment ? [Il rit] Même si votre langue, c’est l’allemand, et que vous êtes passionné par le livre de Ruth, eh bien voilà un bon début.

Quelle que soit l’activité qui vous attire en ce moment, elle pourrait bien être ce pour quoi vous êtes venu ici. Soyez intelligent, soyez prudent, soyez en règle avec les gens, soyez conscient de toutes les entourloupes que vous pouvez commettre, mais suivez votre instinct. Si vous passez votre temps à tout planifier de façon logique, vous n’irez nulle part. Il vous faut vous jeter à l’eau. Les anges vous récupéreront parce qu’ils existent.

FC : Bravo. Excellent ! Merci, Bill. Je voudrais simplement revenir sur la question : Qui dirige réellement cette planète ? S’agit-il des Reptiliens ?

BR : [Il rit]

FC : Qui ?.. Que se passe-t-il ?

BR : OK. OK. Qui dirige la planète ? Les Anunnaki font partie du tableau. Les Anunnaki sont des gens intéressants. Il y a un tas de choses que j’ignore sur eux. Ils semblent un bon exemple de ce dont je parlais tout à l’heure où, plutôt que de se dire : Oh, mon Dieu, ce sont des gens que nous devons adorer/révérer, sinon il va falloir nous battre, ou nous en faire bien voir, ou que nous devons calmer, ou avec lesquels nous devons négocier, il se peut qu’ils soient en fait venus ici avec un problème.

Il y a des renseignements de diverses sources, y compris provenant de mes propres informations, qui me paraissent vraies – et j’en ai entendu parler ailleurs – indiquant qu’ils pourraient avoir perdu leur planète. Parce qu’il s’est passé des sales trucs là-bas. Notre univers est violent.

Quelle que soit la race d’êtres, pour n’importe quelle race évoluée, perdre sa planète est un sacré problème à résoudre. C’est comme une personne qui perd sa maison dans un tremblement de terre et qui erre en se demandant où habiter. Elle pense : Oh, voici une belle maison, et en voilà une autre, mais toutes les belles maisons sont déjà habitées, vous savez.

Voici une très mauvaise analogie. On ne peut tout simplement pas squatter une belle maison vide. Toutes les belles planètes sont déjà occupées. Des gens, ou des êtres, les habitent apparemment déjà.

Il est possible – et je le présente comme une hypothèse – qu’ils soient en train de travailler en tant que race sur un problème de karma historique. Supposons qu’une planète ait été détruite, cette race ne pouvait alors aller nulle part ; mais parce qu’auparavant ils n’avaient pas été gentils pour les autres, personne ne veut les accueillir comme réfugiés. Alors, ils ont un problème.

D’après ce qu’ont dit Clay et Sean Pickering… en fait, ils ne savent rien des Anunnaki, tout ça est très compartimenté. Je pense qu’au moins certains des Anunnaki, ou ceux qu’on appelle les Anunnaki, sont des Reptiliens. Et rappelez-vous que le mot « Anunnaki », tel qu’il est traduit par Sitchin, signifie simplement « ceux qui sont venus du ciel sur la Terre ». C’est une sorte de terme générique pour « extraterrestres » et, de fait, pour « visiteurs ». Ils ne se nomment pas eux-mêmes « Anunnaki ». Je ne sais pas quel nom ils se donnent.

Il est possible qu’il s’agisse de réfugiés cherchant un endroit à squatter, un endroit où prendre le pouvoir, des gens avec lesquels négocier, un rôle à jouer, un endroit où vivre – je ne sais pas.

Si nous imaginons qu’une race a perdu sa planète, ces gens-là risquent d’être profondément traumatisés, d’être séparés en différents groupes, d’être en désaccord entre eux sur ce qu’ils devraient faire. Certains de ces êtres, de ces gens, pourraient dire : OK, nous devrions demander de l’aide. D’autres pourraient dire : Non, nous sommes une race de guerriers. Allons envahir ces gens-là. Nous les méprisons de toute façon, et de plus, nous aimons bien leur domaine.

[Rire de Melani]

On nous a raconté que les Anunnaki s’étaient divisés en différentes factions, et ils ne s’entendent pas forcément bien entre eux. Certains peuvent très bien être amicaux. D’autres pas.

J’ai rencontré Barbara Lamb, une thérapeute qui travaille avec les contactés. Elle est très respectée ; c’est une personne formidable. Je l’ai rencontrée en février à Los Angeles. Elle m’a raconté qu’un Reptilien s’était matérialisé dans sa chambre, physiquement, qu’il lui avait tenu la main pendant deux minutes, l’avait regardée dans les yeux, et il l’a informée qu’il avait été élevé dans le cadre d’un programme de communication avec les gens, des gens sélectionnés, pour apporter le message que tous n’étaient pas inamicaux. C’était son rôle, et Barbara Lamb l’a compris parce qu’elle a entendu parler de tous ces témoignages.

Vous savez, ça n’est pas parce que quelqu’un mesure 8 pieds [ 2,45 m – NdT]  qu’il est musclé, vert, avec des écailles… Je veux dire, je ne sais pas à quoi ils ressemblent. Ils ont probablement l’air assez effrayant. Mais ça ne veut pas dire que ce ne sont pas des gens sympathiques.

Comme le dit Ruth, le résultat final, une fois que vous débrouillez toute la pagaille que nous avons ici à ce niveau de réalité, nous sommes tous conscience infinie. Même un méchant Reptilien mangeur de bébés. Eux aussi sont conscience infinie. Ils ont seulement oublié qui ils sont, tout comme vous et moi, peut-être.

Il y a donc ici place pour la compassion. C’est là où s’imbrique cette histoire d’amour infini. Vous voyez, il y a place pour la compassion, et se rendre compte que ces types ont peut-être un gros problème. La plupart des gens qui font quelque chose d’antisocial, de violent ou de méchant, essaient seulement de résoudre un problème.

Si quelqu’un vous met un couteau sous la gorge dans une ruelle sombre et vous vole votre portefeuille, il essaie simplement de résoudre un problème. Si quelqu’un bombarde un autre pays, c’est juste qu’il essaie de résoudre un problème. Si quelqu’un s’empare d’une planète, c’est juste pour essayer de résoudre un problème. Si votre partenaire vous crie après, vous jette une assiette à la figure dans la cuisine par ce qu’il/elle est bouleversé(e), c’est juste qu’il/elle essaie de résoudre un problème.

C’est de l’automédication : ils accomplissent quelque chose qui les font se sentir mieux. Donc le mal que font les gens n’est qu’un moyen de résoudre un problème. La seule chose c’est que, habituellement, lorsque le résultat en est négatif pour quelqu’un d’autre, cela ne résout pas définitivement le problème, la solution n’est que très provisoire. On a juste l’impression de résoudre le problème. En fait tout n’est pas fini.

C’est la nature du karma. Le karma, c’est d’essayer de résoudre un problème en en créant un autre, qui en crée un autre, qui en crée un autre… et la chose ne s’arrête jamais. Il faut s’élever à un niveau supérieur pour comprendre comment traiter vraiment ces problèmes, et ne pas essayer de les résoudre en réagissant, réagissant… Bon, j’arrête là.

Mais c’est ici où la compassion intervient, et plutôt que de combattre ces types, il nous faut comprendre qu’ils sont peut-être ici parce qu’ils essaient de résoudre un problème, et de le faire d’une manière pas nécessairement bonne pour leur karma, ni pour nous physiquement.

Maintenant, vous m’avez demandé qui tire les ficelles. Il est très évident pour moi que des entités reptiliennes agissent par derrière, ou à l’intérieur de personnages importants et influents dans ce grand jeu d’échecs qu’est la géopolitique moderne ; de même que dans le monde des médias alternatifs.

Si des Reptiliens sont suffisamment malins pour s’emparer d’un corps humain, au degré métaphorique que vous voulez – ils peuvent se placer derrière eux dans une autre dimension ; être une sorte de walk-in, où ils disent : OK, dégage, je prends ton corps maintenant – et ils ont l’aspect d’un humain, mais ce qu’ils étaient avant ça était complètement différent. Ceci peut arriver à tout moment de la vie. Il n’est pas nécessaire d’être né ici.

Cela peut se produire avec les politiques, avec les banquiers, avec les industriels, avec les ufologues. Et, si nous ne faisons pas attention, cela pourrait en théorie vous arriver, ou m’arriver. Si vous considérez que ces êtres ont la capacité et l’aptitude stratégique de calculer : OK, quelle position devrions-nous occuper sur cet échiquier ? Ils vont ensuite prendre position et prendre possession de gens. Il est tout à fait logique de penser que s’ils peuvent le faire, ils le feront.

Et non seulement les méchants occupent des positions et des corps, mais les bons aussi. Qui pensez-vous que nous sommes ? Je racontais précédemment comment j’ai vécu longtemps au Tibet. Je crois être sur cette planète depuis… Je n’ai pas de souvenirs remontant à plus de 2000 ans, mais je suis peut-être venu un peu en avance, juste pour m’habituer. Si je suis arrivé sur Terre, venant d’ailleurs, passant du temps au Tibet pour piger le fonctionnement, un très bon endroit pour y faire son installation, avant de vraiment commencer à s’impliquer.

Je n’en suis pas certain, mais je sais que des gens sont arrivés directement ici ; que c’est leur première vie. Je leur ai parlé.

J’ai eu une autre petite amie. C’est une histoire que je n’ai pas encore racontée publiquement. Je ne donnerai pas son nom, car il se pourrait facilement qu’elle regarde ceci. J’ai eu une autre petite amie, venue ici des Pléiades, il y a deux vies – pas la vie dernière. En d’autres termes, cette vie est sa seconde vie en tant qu’humaine. Lors de sa vie précédente, tout comme nous, elle a passé un sale, vraiment sale moment. Oui, vraiment un sale moment. Parce que, si vous venez d’ailleurs, c’est dur. Notre planète est dure ! [Il rit] La vie n’est pas facile ici.

Spécialement si on a l’habitude d’autres fonctionnements, d’autres niveaux de technologie, d’autres capacités qu’on peut avoir et qu’on est obligé d’abandonner ici, parce qu’ici ça ne marche pas comme ça, un corps humain, un cerveau humain, parce que le cerveau est l’interface.

Le cerveau est lié à la télépathie, même s’il s’agit d’une capacité fondamentalement spirituelle. Matériel et logiciels fonctionnent ensemble. On peut avoir des logiciels perfectionnés, mais si le matériel ne suit pas, le logiciel ne marchera pas. Donc, c’est lié.

Tout ça fait partie de votre question sur qui dirige la planète. Il se déroule un jeu en coulisse – je n’utiliserai pas le terme de « guerre » - Il y a des bons aliens et des méchants aliens et, plus que probablement, ils assument la condition humaine et tirent les ficelles. Et ils se pourchassent probablement.

Quand Bob Dean dit que des aliens à l’aspect humain parcourent les couloirs du Pentagone, et qu’on pourchasse certains d’entre eux… ce qui nous a été dit par notre source surnommée « John Robie », d’après un personnage de film [NdE : de To Catch a Thief] parce que nous aimons donner comme pseudonymes des noms de personnages de films – il s’agissait de Tony Dodd, maintenant décédé. C’était un ufologue britannique très connu, très respecté, un homme formidable. Je ne l’ai jamais rencontré personnellement.

Il a énormément communiqué avec nous. Il disait qu’on pourchasse ces types. Ce qu’il ne nous a jamais dit précisément – probablement parce qu’il ne l’a jamais su – c’est si c’étaient les bons qui étaient pourchassés par les méchants, ou l’inverse. Vous voyez ?

FC : Les mauvais chassés par les bons ?

BR : Ou bien l’inverse.

FC : Oh…

BR : Ou peut-être même les deux. Qui sait ce qui se passe là-bas ? C’est juste l’idée que Tony Dodd nous a rapportée sur le site sous le nom de John Robie, confirmée par Bob Dean, disant qu’il existe une race – c’est proche de ce que Bob Dean a dit de mémoire - c’est-à-dire qu’il a entendu parler d’une race qui nous ressemblait exactement. On ne les remarquerait pas s’ils montaient dans le train juste après nous. Ni si on les rencontrait à une soirée. Ni si on travaillait pour eux ou avec eux, ou s’ils travaillaient pour nous, ou s’ils cherchaient à travailler dans les services secrets militaires. On ne les remarquerait pas. Ils sont tout simplement humains !

Et, pendant que j’en parle, voici quelque chose que « Henry Deacon » (Arthur Neumann) a très souvent répété. Il disait : Ce sont des humains ! Il y a des gens là-bas. Ils sont simplement comme nous. Certains sont un petit peu différents, une peau légèrement différente, certains sont grands, d’autres petits, certains ont des yeux de forme différente.

Mais bon sang, ça existe aussi sur Terre ! Pourquoi croyez-vous que nous avons l’air si différents ? C’est parce que nous avons des composants génétiques provenant de toutes ces autres races différentes et elles sont toutes légèrement différentes. Mais fondamentalement, avec peut-être l’éventuelle exception, ils ont tous deux bras, deux jambes, une tête, deux oreilles, deux yeux, un nez, une bouche, un cerveau qui est là-haut, et ils ont leur propre système de chakras et leur propre métabolisme.

Mais ils sont très humains d’aspect. Cela semble être le modèle de base, du moins pour cette galaxie, à part peut-être une ou deux exceptions. Et si certains de ces humains sont si semblables à nous au point qu’on ne peut pas faire la différence, je suis certain qu’ils sont ici. Ce sont probablement de très braves volontaires qui font leur propre boulot, et si l’un d’entre eux regarde cette vidéo, qu’il vienne nous contacter, parce que nous aimerions vous interviewer ! [Bill rit]

FC : Je souhaite personnellement interviewer un Reptilien… s’il peut parler !

BR : Ahhh oui, Il vous faudrait probablement un intermédiaire pour capter leur contact télépathique. Un des éléments, qui remonte à… Cette interview ne va pas en ligne droite, mais ce que nous ont raconté Clay et Sean Pickering, qu’ils ont appris en détail par leur source de l’US Navy, c’est que le programme de Divulgation concerne deux races extraterrestres. Ils ne savaient rien des autres. Ils disaient que personne ne savait ce que faisaient les Gris. ils s’occupent de leurs propres affaires. « Henry Deacon » nous l’a dit. Il a dit : Nous ne savons pas ce que font ces types-là. Ils s’occupent de leurs propres affaires. Très intéressant.

Il a parlé [=la source de Clay et Sean Pickering] d’une race reptilienne soumise à une autre race, une forme de vie fondée sur le silicium, qui n’est PAS humanoïde. Qu’elle possède d’extraordinaires capacités, mais qui nous est si étrangère, dans tous les sens du terme, qu’il est très difficile de comprendre ce qu’ils veulent, comment ils fonctionnent, de savoir quoi que ce soit d’eux, parce qu’il s’agit d’un paradigme entièrement différent.

Ce sont juste des cristaux ! Ils sont faits de cristaux ! Fondamentalement, ce sont des cristaux qui peuvent apparemment bouger, léviter et communiquer télépathiquement, ils peuvent changer de forme, parce qu’ils peuvent, tout comme on peut s’y attendre de la part d’un gros cristal, produire une excroissance, qui fait aussi partie du cristal.

Je ne connais pas grand-chose là-dessus, et c’est une histoire très curieuse, ils n’aiment pas l’environnement de la Terre, parce qu’il ne convient pas bien à leur corps. C’est donc une nouveauté pour les ufologues, pour l’ufologie. Et ils [Clay et Sean Pickering] ont eu du mal à faire passer leur récit, parce que tout le monde dit : Oh, c’est stupide ; ça ne tient pas debout. Donc, peu de gens les croient.

Mais leur source, leur source de l’US Navy, appartient à une équipe de six, qui ont subi des modifications par chirurgie, un processus apparemment très traumatisant. Ils ont subi ces modifications par chirurgie afin de pouvoir communiquer avec ces êtres, et il a eu de profonds échanges avec eux.

Mais une des raisons du débat sur la confiance qu’on peut leur accorder [à ces extraterrestres cristallins], est due au fait qu’ils répondent rarement aux questions, et ne révèlent presque rien. Les gens se sentent néanmoins excessivement bien en leur présence et ces êtres semblent bienveillants, mais ils pratiquent aussi beaucoup la rétention d’informations.

Mais ce sont des aliens ! Que peut-on tirer de ça ? Tout le monde s’évertue à comprendre. Personne ne sait. D’autres renseignements dans cette longue interview [de Clay et Sean Pickering] de quatre heures.

La race qui leur est soumise est reptilienne. Il dit que leur source pense que ces derniers ont subi une extinction de masse, qu’ils ont perdu leur planète. Il dit – quand je dis « il », je fais allusion à leur source ; nous ne l’avons pas rencontrée directement, on nous a invités à le faire, nous ne l’avons pas rencontrée. – il dit que tout ce que les Reptiliens veulent faire, c’est se promener.

Tout ce qu’ils veulent faire, c’est se promener. Ils passent leur vie dans de grands vaisseaux, Ils n’ont pas de planète… apparemment. Ça correspond. Ça semble correspondre.

A quoi ressemblent-ils ? Il a dit d’imaginer un tyrannosaurus rex miniature : de grandes dents, une queue, des écailles. Ils pèsent 500 kg (1000 livres), font 2,50 m de haut (8 pieds). Ils ont beaucoup, beaucoup de force. C’est une race de guerriers. Ils sont très intelligents. Ils sont impitoyables.

Une autre de nos sources a décrit ainsi ces êtres : imaginez-les avec les instincts et le degré éthique de responsabilité d’un crocodile, mais d’un crocodile hautement intelligent. Ils ne pensent pas comme les humains.

Pour faire de nouveau allusion à David Icke, David Icke qui, il y a quelques jours, en référence également à ces êtres, disait d’eux : Ils fonctionnent par le mental, ils fonctionnent selon un programme, ils feront tout ce qui est opportun, tout ce qui est pratique, tout ce qui est dans leur propre intérêt, et ils ne possèdent aucune empathie, aucune compassion.

Il semble que derrière tout ça – et là nous revenons à ce que disait Ruth, et qui est tout à fait vrai – derrière tout ça existe une sorte de cycle de mauvais traitements qui a fait d’eux ce qu’ils sont… Ce sont des durs de durs. Nous avons aussi des gamins comme ça, enfin presque. Certains. Vous n’avez pas envie de vous approcher d’eux par nuit noire, vous préféreriez être en présence d’un crocodile. Il y en a comme ça.

Mais derrière ça, il y a une expérience qu’ils ont vécu et qui les a rendus comme ça. Ils ont vécu de sales moments, et ils ont réagi de cette manière-là. Ils essaient de survivre dans un monde qu’ils pensent leur être hostile. Ce n’est que leur réaction. Ils essaient de résoudre leur propre problème en se comportant d’une certaine façon. Peut-être.

La différence entre ces Reptiliens et le Tyrannosaurus Rex est que… si vous vous rappelez l’aspect d’un T-Rex, ils possèdent ces petits vestiges de bras ; quant à ces gars-là ils ont de plus longs bras aux doigts très habiles. Donc, ils peuvent fabriquer des outils, voyez-vous.

Si on pense à l’évolution d’une espèce biologique, il faut qu’on passe par la phase de la fabrication d’outils. C’est la raison pour laquelle les dauphins n’ont pas produit de haute technologie : ils ne peuvent pas fabriquer d’outils. Ils ne possèdent ni doigts, ni mains. Tout ce qu’ils peuvent faire, c’est produire des bruits et jouer à des jeux compliqués et nager dans la mer. Ils ne seront jamais une race industrielle, ni électronique, parce qu’il faut passer par la phase de la fabrication d’outils.

Et les [Reptiliens] sont passés par cette phase de la fabrication d’outils. Ils sont hautement intelligents, hautement capables, post-industriels. Ils peuvent se déplacer dans l’espace, ils savent tout faire.

Ce que je ne sais pas, c’est s’ils sont la même chose que les Anunnaki. Ce que nous savons réellement des Anunnaki… J’ai eu une passionnante conversation là-dessus avec David Icke. Je ne cesse de parler de David Icke, parce que c’est un point de référence que beaucoup de ceux qui regardent cette vidéo connaîtront, et reconnaîtront, et que j’ai eu une conversation passionnante avec David. Je lui racontais tout ce que nous avions entendu dire sur les Reptiliens et les Anunnaki, et il nous racontait ce qu’il savait, et ça coïncidait totalement.

Une de leurs caractéristiques, c’est que lorsqu’ils sont en contact, en contact physique, ils ne révèlent pas à quoi ils ressemblent. Ils considèrent leur apparence d’une manière rituelle, ou qui est devenue rituelle, comme sacrée. Selon leur coutume, selon leur rituel et selon leur mode de fonctionnement rigide, on ne peut pas jeter un regard à leur visage, nous ne pouvons pas le faire, les humains ne peuvent pas regarder leur visage. Cela ne se fait pas.

Et « Henry Deacon » (Arthur Neumann), qui a physiquement rencontré ces personnages, en chair et en os – il n’a jamais vu leur visage parce qu’ils portent des manteaux et des coiffures et autres choses bizarres de ce genre… C’est ce qu’ils font. Ils sont très cérémonieux. C’est une ancienne culture où le rituel est présent dans tout ce qu’ils font. Pourquoi pas ? Ils peuvent faire tout ce qu’ils veulent. Ce sont des aliens.

Et quand David Icke décrivait le rituel, le statut et le sentiment d’importance évidente attribués à la royauté, « Les Rois de Droit Divin » et le reste, tout ceci nous vient des Anunnaki. C’est de cette manière-là qu’ils se considèrent.

Et quand on les rencontre, cela équivaut à rencontrer un roi ou une reine. On doit parler d’une certaine manière, il faut éviter de regarder, tenir les mains d’une certaine façon, on doit les aborder d’une certaine manière. On doit tout faire d’une certaine façon. Sinon, dit notre source… Je ne pense pas qu’il plaisantait en disant : Si vous ne faites pas les choses comme il faut, vous finissez dans leur assiette.

[Il rit.] On dirait qu’il y a une certaine façon de faire les choses ici. On doit se montrer déférent, on doit… Mais ce qui est vraiment, vraiment intéressant c’est que, si Clay et Sean Pickering parlent du même groupe, et ils décrivent ces types avec précision – on peut les imaginer quand ils les décrivent ; ils les décrivent de manière vivante - ces gens-là sont soumis aux êtres à base de silicium. Et on peut émettre l’hypothèse que ces êtres-là les ont sauvés quand ils ont détruit leur planète. Ils fonctionnent donc, pour ainsi dire, en symbiose.

Tout ce que j’ai dit ici soulève un nombre énorme de questions, et je n’en connais pas la réponse. Je ne sais pas [par exemple] si ces Reptiliens peuvent changer de forme.

La race à base de silicium peut apparemment changer de forme, mais il ne le font pas physiquement ; ils affectent la perception par l’intermédiaire du cerveau ou du mental des observateurs. Donc quand ce gars, quand la source, a croisé pour la première fois une de ces choses, si je me souviens bien, il était en compagnie d’un groupe de gens dans une salle et il annonçait qu’il allait assister à une réunion importante.

Il s’est mêlé aux gens de cette salle et il a été briefé cinq minutes par un officier supérieur, jusqu’à ce que ce dernier se transforme en ce gros cristal… parce qu’il ne s’agissait pas du tout d’un officier ! Ils avaient cru voir un officier.

Et, vraiment intéressant, tous les gens de ce groupe n’ont pas vu tout à fait la même chose, parce qu’il s’agissait d’une perception mentale. Et cela les a complètement perturbés. Ils sont tous partis dans une autre salle comparer leurs impressions. : Eh bien, c’est ce que j’ai vu. Qu’avez-vous vu ? Bon, il portait des chaussures marron. Non, faux, ses chaussures étaient noires. Vous imaginez… Il mesurait deux mètres. Non, pas du tout, il était très petit. Imaginez ça.

Mais les hommes ont vu une personne. Et le reste est en rapport avec ce qu’ils s’attendaient en quelque sorte à voir. Il s’agissait d’une réponse individualisée à un stimulus visuel, sensitif ou auditif qui leur était présenté. Mais la forme de vie à base de silicium ne peut maintenir ce stimulus que pendant cinq minutes, avant de retomber dans son état réel, qui est physique.

La question immédiatement posée à leur source a été : Bon, est-ce qu’il s’agit d’une sorte d’hologramme, d’une illusion, ou bien de… ?

Et la réponse : Non, c’est un être absolument physique. C’est un caillou. Un caillou en complet-veston.

Vraiment une chose bizarre, savez-vous. Il a dit : C’est un caillou ! [Riant] Il ne pouvait pas… C’est donc un gros machin cristallin. Tout droit sorti d’un mauvais film de science-fiction. Ce n’est pas ce à quoi on s’attend. Mais ils ont la capacité d’influencer pendant de courts instants la manière dont on les perçoit. Un truc fascinant. Absolument fascinant.

Et les Reptiliens - s’il s’agit du même groupe de Reptiliens - leur sont soumis. Le groupe des êtres à base de silicium ne semble pas traîner sur la Terre. Ils sont là-bas, quelque part.

Et personne ne sait d’où ils sont. Voilà un autre problème. Ils ne répondent pas aux questions sur leur lieu d’origine. Il faudrait que je réécoute l’interview, mais la réponse, me semble-t-il, est du genre : Vous ne comprendriez pas. Ce qui n’aide pas beaucoup. C’est peut être vrai, mais ça n’aide pas beaucoup.

Il peut exister différents embranchements chez les Reptiliens, mais les reptiliens sont un thème [récurrent]. Ils reviennent constamment sur le tapis. Il y a des gens qui les ont rencontrés, des gens qui ont été contactés par eux, des gens comme Barbara Lamb qui ont vécu des expériences, il y a les expériences de changements de forme.

Dans notre plus récente interview de Jordan Maxwell – que Dieu le bénisse – il est parti en disant : On ne devrait pas persécuter David Icke pour ce qu’on appelle ses « idées loufoques ». Il a absolument raison. J’ai reçu les mêmes témoignages. Ce sont des témoignages séparés.

Et puis il a raconté l’histoire incroyable d’une jeune fille qu’on avait laissée seule à la maison dans une base militaire américaine – c’est du Hitchcock tout pur, ou peut-être en pire – elle regarde dans la glace ; derrière elle, il y a un être reptilien qui sort du placard et se dirige vers elle en effleurant la moquette !

Et elle a 12 ans… Je crois que c’est la fille d’un officier américain ; la maison est entourée de gardes, parce que l’homme était au courant du danger potentiel, sans bien en connaître la nature. Et cette chose est sortie d’un placard ! Il a laissé de grosses traces d’ongles sur la porte - c’est tout droit sorti d’un mauvais film - puis a disparu. La fille était complètement paniquée, et Jordan a recueilli l’histoire de la fille elle-même, devenue entre temps une femme.

C’est arrivé sur une base militaire américaine. Cela arrive constamment, les militaires ne peuvent pas l’empêcher. Ces êtres entrent simplement dans un portail dimensionnel, ils peuvent contrôler où ils apparaissent. Voici pourquoi ils apparaissent dans des placards ou des drôles d’endroits de ce genre, sinon ils arriveraient en plein milieu d’une cocktail party. Ça, ça ne marche pas. Ou bien en pleine rue, ou en plein milieu d’une galerie marchande. Non, ils apparaissent toujours dans des placards ou des trucs comme ça. Ou bien des recoins, des sous-sols, etc. Ils peuvent contrôler leur lieu et leur moment d’apparition.

Et le reste du temps, ils sont ici à manipuler une des pièces de l’échiquier, un personnage important dont le rôle est d’influencer d’autres gens. C’est donc une stratégie parfaite. Voilà pourquoi certains d’entre eux sont des politiques, ou des industriels, ils sont probablement présents dans les médias et dans la recherche ufologique.

Si j’étais un Reptilien avec ce genre d’objectif, voilà exactement les pièces que j’habiterais. C’est tout à fait logique, et il y a de quoi faire un excellent film.

FC : Oui, n’est-ce pas ?

BR : OK.

FC : Dites-moi : mangent-ils réellement les enfants ?

BR : Il y a des gens qui disent que oui. Dans sa conférence au Granada Forum 2006, Bill Deagle dit à un moment : Je pourrais vous dire ce qu’ils font, mais je ne vous le dirai pas, parce que sinon je m’effondrerais.  Bill Deagle est un homme bien. Il ne pouvait pas parler de ce qu’il savait. Il ne pouvait pas parler de ce qu’il savait. Il était en plein milieu d’un exposé.

« Henry Deacon » (Arthur Neumann) nous a raconté que, sur son lieu de travail, un lieu de travail classé secret, que nous pouvons situer, il a assisté à une réunion d’information entièrement consacrée au sujet, et il l’a quittée parce qu’il ne pouvait plus encaisser ça. Il nous a raconté avoir été étonné par deux choses : d’abord par le fait que tout le monde était simplement assis là, à écouter ça et à prendre des notes. Et ensuite parce que personne ne l’a empêché de sortir de la salle.

FC : Que lui ont-ils dit ?

BR : Il procédait par allusions appuyées. Comme beaucoup d’initiés qui ont des choses importantes à dire, il en parle de façon indirecte. Et il a attiré notre attention sur cette histoire alors que nous étions assis avec lui au restaurant à parler de tout ça. Nous avons passé des heures et des heures avec lui, nous l’avons rencontré en de très nombreuses occasions, et nous dînions ensemble. Et il faisait allusion à une nouvelle, à une nouvelle de science fiction que j’ai lue il y a très longtemps, mais je sais plus si elle est de Philip K. Dick ou de Heinlein, ou de quelqu’un d’autre, mais son titre c’était To Serve Man [Mot-à-mot : « Pour servir l’homme » – NdT] [NdE : l’auteur était Damon Knight].

Voici l’histoire. Et c’était une nouvelle plutôt stupide, et la plupart des nouvelles de science-fiction font environ 12 pages, elles sont très distrayantes et se terminent par une chute comique, et il y en a peut-être 20 dans un livre. Cette histoire s’appelait To Serve Man.

Et les gens disaient : Oh, c’est formidable – ils sont venus ici pour nous servir. Ils viennent ici pour nous aider, nous assister. Et en fin de compte ce que tout cela signifiait c’est qu’ils allaient nous servir sur un plat. Un très mauvais jeu de mots, il est vrai.

Et « Henry » (Arthur) y faisait des allusions précises en regardant le menu à ce fameux repas, mais ni moi, ni Kerry ne comprenions. Nous ne comprenions pas de quoi il voulait parler. Et il continuait. Il devenait de plus en plus insistant, jusqu’à finir par tout nous expliquer par le menu. Quand il s’est rendu compte que nous avions compris qu’au moins certains des aliens étaient anthropophages, il a ajouté : OK, je n’ai plus besoin d’en parler.

 

Cela semble être un thème récurrent. Un des problèmes dans ce domaine de recherche – et c’est vrai aussi pour le président de n’importe quel pays annonçant à la presse : Oh mais si, Roswell, c’était vrai. - c’est qu’au bout d’une demi-heure, d’une heure, de deux heures, de deux jours ou de deux semaines, quelqu’un va lui poser la question : Eh bien, nous avons entendu parler de ceci. Est-ce vrai ? Voyez-vous. Et on en arrive à des choses peu ragoûtantes. On en arrive à des sujets que personne ne veut aborder.

Nos recherches nous amènent à ces sujets-là. Elles nous mènent à ce que font les Illuminati, à ce qui se passe au Vatican, à ce que font les reptiliens, à des sujets extrêmement déplaisants où jamais… Je ne veux pas aborder ces sujets-là. Ça ne paraît plus du tout distrayant, vraiment, quand on regarde tous ces trucs. On pense : Oh bon sang, je ne veux pas m’occuper de ça. Ce n’est pas joli joli !

Mais si on souhaite être un chercheur vraiment, vraiment honnête, il faut suivre la trace des données. C’est ce que fait David Icke, ou Bill Deagle, mais tout le monde ne le fait pas. Certains disent : Nan, je ne vais pas m’occuper de ça. Je ne vais parler que des gentils aliens. Ou bien : Je vais seulement parler des bouleversements terrestres – je ne vais pas du tout parler des aliens. Ou encore : Je ne vais parler que de ce que font les politiques, ou de l’économie.

Mais si on regarde ceci de suffisamment haut, on voit que tous ces éléments sont liés, même les sales trucs. Et c’est là où, de nouveau, quand on en revient à la déclaration d’ouverture de David, et à celle de Ruth, si on maintient le cap, [c’est-à-dire] que nous sommes infiniment capables, infiniment merveilleux, des êtres infiniment beaux et spirituels, et que tout le reste n’est qu’illusion, drame, et jeu, maya, alors on peut le gérer. Oh, OK. [Il claque des doigts.] vous savez, ça n’est pas très agréable, mais [il claque des doigts] c’est juste une des choses qui, dans un rêve, semblent un petit peu... beurk, vous savez, et puis on avance.

C’est la seule manière de gérer ça. Comment on peut communiquer ça à des gens qui n’ont pas le même point de vue, je ne sais pas.

FC : Vous arrive-t-il de tomber sur des désinformateurs, quand vous interviewez des gens ? Des gens qui essaient de vous fourguer délibérément de la désinformation ? Comment parvenez-vous à les repérer, et comment vous assurez-vous de vos témoins ?

BR : Hmm. Quelle question ! Je ne crois pas, je ne pense pas – je choisis ici mes mots soigneusement – je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de désinformation volontaire dans aucune de nos interviews.

Je précise : cela ne signifie pas que nous croyons que tout ce que nous rapportons est correct. Certaines choses doivent être fausses, parce que certaines personnes se contredisent les unes les autres. Vous avez Dan Burisch qui dit que seules trois races nous visitent, et Clifford Stone dit qu’il y en a 57 et peut-être plus. Il est fatal que quelqu’un se trompe.

Mais tous deux croient avoir raison. Tous deux croient réellement avoir raison. Et une chose que je tiens à dire ici de Dan Burisch, c’est qu’il croit tout ce qu’il nous a raconté. Il ne nous ment pas. Il le croit, ce qui ne veut pas dire que ce soit vrai.

Comme l’a dit Richard Hoagland dans son interview, à nous et à d’autres : Le mensonge est différent à tous les niveaux. Et pourquoi ne croirions-nous pas que la désinformation s’exerce aussi parmi les « insiders » ?

Une des choses qu’ils font, et j’ai appris ça il y a très longtemps, c’est que… - laissez-moi réfléchir à un exemple. Je retourne en fait à l’histoire de Serpo, parce que c’est là où des gens ont commencé à m’aider à comprendre ceci. Par exemple, si une source dit : Douze personnes ont participé à cette mission ; puis une autre source, bien informée, ajoute : Dix personnes ont participé à cette mission ; une autre source : Six personnes ont participé à cette mission, et qu’il s’agit de renseignements officieux, ça n’est pas vraiment important, ce ne sont que quelques informations.

Ensuite, si l’un quelconque de ces renseignements sort, ils savent qui est à l’origine de la fuite. Si c’est l’histoire où six personnes participent à la mission qui se répand sur Internet, ils savent que c’est le gars à qui on avait raconté qu’ils étaient six, qui est responsable de la fuite, parce que c’est passé par son canal, voyez-vous.

Ils font de même avec les documents. Si vous interrogez Bob et Ryan Wood, de Majestic Documents, ils vous diront que [ces gens-là] font de même avec les documents. Ils introduisent volontairement des fautes d’orthographe ou des coquilles dans les documents officiels ; et il y aura des fautes différentes et des coquilles différentes dans les différents documents donnés à différentes personnes, de façon qu’en cas de fuite, ils puissent en retrouver l’origine. C’est si malin, si simple. Ils le font exprès, voyez-vous. Ils le font exprès. [NdE : on appelle en anglais ce procédé de différenciation des documents la « salaison » des documents ; c’est pratique courante dans la communauté du renseignement.]

Il en existe donc différents niveaux. Il y a bien sûr, chez les « insiders », d’autres raisons de désinformer les gens pour les perturber. Quelqu’un de troublé est plus facile à contrôler. Ils le font avec nous, ils se le font entre eux, aux niveaux subalternes. Il y a ici un nombre énorme de niveaux. Et les types du haut essaient de contrôler les gars du bas et de les faire courir dans différentes directions.

Une des choses que raconte Bill Deagle, et il le dit depuis sa conférence au Granada Forum 2006, c’est qu’il a commencé à pouvoir se forger une vue d’ensemble, parce qu’en tant que médecin, il prenait soin des gens, physiquement, dans beaucoup de ces lieux classés secrets. Il fallait que quelqu’un prenne soin d’eux. C’était lui le médecin. Il travaillait là, à l’intérieur, et il parlait à quelqu’un qui ne savait pas ce qui se passait dans la pièce d’à côté, dans cet établissement classé secret. Mais le gars de la pièce d’à côté était celui que Deagle venait juste de voir, son rendez-vous médical précédent, et le gars lui avait raconté son histoire.

Si bien que Deagle obtenait tous ces éléments de tous ces gens auxquels il parlait – parce que tout le monde parle à son médecin. Il pouvait donc dire au gars qui était dans son cabinet : Ah, vous ne savez pas ce que fait le type d’à côté ? Je lui ai parlé, tiens, hier. Voici ce qu’il m’a dit.

Et donc Deagle commençait à avoir une idée d’ensemble ici. Et ce n’est qu’une petite anecdote qui montre à quel point les choses sont compartimentées.

Bien avant Camelot, c’était en 2000 – c’est une histoire captivante que je n’ai jamais rendue publique - bien avant Camelot, j’étais en vacances en Thaïlande. Je suis allé en Thaïlande un certain nombre de fois ; j’ai quelques amis là-bas, et j’ai rencontré un gars des Black Ops [les Opérations Secrètes – NdT]. En fait il y a pas mal de ces gars dans le coin. C’est là où il vont quand ils sont en cavale, ou quand ils essaient de se cacher, ou quand ils essaient de croire que le reste du monde n’existe pas.

Ce type avait travaillé pour Bell Labs. Une histoire captivante. J’ai compris que c’était un type inhabituel, parce qu’il me parlait comme le ferait un physicien titulaire d’un doctorat. Je ne savais absolument rien de lui.

Mais je lui ai finalement demandé : Bon, dans quelle université êtes-vous allé ? Qu’est-ce que vous faisiez ?

Il m’a répondu : Venez avec moi. Et nous nous sommes promenés le long de la plage.

Il m’a dit : Je ne suis jamais allé en fac.

Et j’ai trouvé ça absolument impossible à croire.

Il m’a dit : Au lycée, pour mon « thème », j’étais avec plusieurs autres gars… et j’aimerais pouvoir me rappeler exactement ce qu’il m’a raconté. Il a fabriqué une sorte de pistolet-laser fonctionnant au plasma sous vide, ou quelque chose comme ça. C’était un « thème » de physique pour le lycée. Ça ressemble à ce qu’on trouve dans ces stupides film de Disney. Il avait 17 ans. C’était un gamin. Il a fabriqué cet engin, qui était une arme à la « Star Wars » classée secrète, il a fabriqué cet objet incroyable.

La conséquence immédiate [toc-toc-toc, Bill tape sur la table] : quelqu’un de la NSA [l’Agence Nationale pour la Sécurité – NdT] a frappé à la porte et lui a dit : Vous êtes un garçon intelligent, nous pouvons faire quelque chose pour vous, signez ici. Nous allons vous donner beaucoup d’argent et tout ce que vous désirez. Nous prendrons votre éducation à notre charge.

Il a 17 ans. Un garçon intelligent.

Il répond : OK. Pas de problème !

C’est incidemment ce qui est arrivé aussi à Dan Burisch. La même histoire. Presque.

Ils le mettent donc au travail chez Bell Labs, et ils lui disent : Nous vous enseignerons ce que vous voulez. Vous disposez du budget que vous désirez. Nous voulons simplement que vous appreniez des choses, que vous progressiez, et que vous inventiez des trucs. Le rêve pour un jeune scientifique.

Mais ce qu’ils font des gens à Bell Labs – et c’est le but de cette histoire – il dit que quand on traverse [le bâtiment] pour rejoindre son lieu de travail, ils vous mettent des œillères spéciales qui rendent flou tout ce qui vous entoure, de façon à ce qu’on ne puisse voir que les abords immédiats et qu’ainsi on ne bute sur rien ou qu’on évite de se cogner dans une porte, mais qu’on puisse voir le bouton de la porte quand on l’ouvre.

On ne peut rien voir d’autre, tout est flou. Donc, lorsqu’on traverse tous ces autres bureaux et laboratoires, on ne peut pas voir ce qui s’y passe. On ne peut pas voir ce qui est écrit au mur, ni qui est présent, ni ce qu’ils font, mais on peut atteindre la porte. Et tous ces gars-là ont ces œillères quand ils se déplacent, et ils les enlèvent lorsqu’ils sont sur leur lieu de travail. Et alors, [Bill claque des doigts] vous êtes à votre place.

Et tout comme Dan Burisch l’a décrit dans le cas de S-4, il y a des lignes peintes au sol qu’on peut également voir et on suit donc ces couloirs comme un tram, et si on s’en éloigne, toutes les sonneries commencent à retentir, parce qu’on a un gadget à la cheville, et immédiatement après, on est cerné par des vigiles, parce qu’on a quitté ses lignes de tram. Et si on s’en éloigne vraiment et qu’on continue à le faire, ils vous descendent sur-le-champ, parce qu’ils savent qu’il y a quelque chose de grave. Ça se passe comme ça.

Il nous a raconté que c’était l’environnement dans lequel ils travaillaient et qu’il est parti parce qu’il ne voulait pas travailler dans un endroit pareil. On se sent totalement menacé, constamment … Et même s’il a pu jouer avec des appareils à antigravitation et le reste, après un moment, ça n’était plus drôle. Une histoire très, très intéressante.

Je suis en fait retourné là-bas pour le retrouver, mais je n’y suis pas arrivé. Il était parti ailleurs. Il avait disparu. Il fait partie de ces gens qui s’en vont, parce que beaucoup de ces types des Black Ops s’en vont… Ils souffrent vraiment. Voilà une autre histoire que je ne vous ai jamais racontée.

Voyez-vous, si ces choses viennent à vous, si vous faites un travail, ces informations viennent à vous, et parfois elles arrivent vraiment trop tôt et vous ne savez pas quoi en faire.

J’avais 18 ans, je faisais du stop dans le nord du Canada. C’était dans le nord de la Colombie Britannique, lors de mes premières vacances universitaires. J’avais 18 ans et je faisais un trajet de 200 milles [env. 360 km] avec un scientifique qui me parlait, comme on parle à un autostoppeur anonyme. Je n’ai jamais su son nom, il n’a jamais su le mien. Il m’a parlé. Pendant 200 milles il m’a sorti ce qu’il avait sur le cœur, parce qu’il faisait des recherches sur l’implantation de puces électroniques dans le cerveau des gens. C’était en 1972… Il travaillait pour les militaires canadiens. Il était perturbé. Il ne savait pas quoi faire.

Je ne me souviens pas de grand-chose – je n’avais que 18 ans ; j’étais un gamin ! J’ignorais ce qui se passait. J’ai pensé : Ouah, ce type me parle de tous ces trucs ! Il est dingue ou quoi ? J’ai écouté attentivement et tout ce que je me suis rappelé, après 200 milles, c’est qu’il me parlait des expériences qu’on lui faisait faire, de placer des puces électroniques dans le cerveau des gens pour contrôler leur comportement.

Bien des années plus tard, j’en suis à : OK, maintenant je me souviens… OK, ceci correspond à ça, cela correspond à ceci… Mais ces gars sont perturbés, voyez-vous. Réellement très perturbés.

Ce que Peterson nous a dit, Pete Peterson, que Dieu le bénisse, c’est quelqu’un de bien. Ce sont tous des hommes bien, les gens auxquels nous avons parlé… Et c’est le contexte de votre question. Peterson nous a dit qu’il nous parlait parce qu’il n’aimait pas ce sentiment de… voici une citation exacte : Il n’aimait pas le sentiment d’avoir à prendre trois bains par jour pour ne pas avoir l’impression d’être couvert d’excréments.

Dès qu’on pénètre un peu dans leur vie… Peterson a plus de 70 ans maintenant. C’est un homme très sympathique, et il réalisé beaucoup de choses. Ils ont tous fait des trucs avec lesquels ils doivent [continuer à] vivre.

Jake Simpson – je suis sûr d’avoir le droit de dire ça -  C’est également un homme admirable ; c’est vraiment un de nos bons amis. Ils font tout ce profilage psychologique, ils réussissent des tests, et ils obtiennent de partir pour certaines missions, etc., etc. Il dit qu’il a raté un certain test, qui a bloqué à un moment sa carrière dans le renseignement militaire. Le test qu’il a loupé… c’était un test de profil psychologique, ce n’était pas un vrai test, mais ils ont déterminé qu’il serait incapable de tuer un enfant.

FC : Oh, mon Dieu !

BR : Et donc il n’a pas participé à certaines missions. Il y a des choses qu’on ne lui avait pas… Je veux dire, qu’il soit béni, parce qu’il était incapable de tuer un enfant, dans ce monde que nous habitons, fait d’espionnage, de contre[-espionnage] militaire… Dans ce monde, ces gens qui, souvent… Ce sont des braves gens et ils entrent dans ces programmes. Ils ne savent pas. On ne leur dit pas tout au départ. Ils ne savent pas ce qu’on va leur demander de faire.

« Henry Deacon » (Arthur Neumann) nous a dit… Il y a des choses là-bas dont il ne vous a pas parlé, voyez-vous. Il y a des choses là-bas dont il ne peut pas parler, parce qu’il ne peut pas se résoudre à en parler, et nous ne savons pas de quoi il s’agit, parce qu’il ne nous en a jamais parlé !

Il existe des vétérans de Mars tout comme il existe des vétérans du Vietnam. Non pas à cause d’une bataille, mais seulement parce que les gens… ils font une période de service sur Mars. Ils passent un certain temps à travailler, sur un projet, puis ils vont sur Mars et en reviennent, et ils y retournent, et des tas de trucs de ce genre. Et puis, peut-être, on les mute sur un autre projet. C’est un terme à moi, ça, « vétéran de Mars ».

Il nous a dit que plus tard, après avoir fait tous ces trucs sur Mars, il travaillait avec un gars sur un petit projet classifié, à l’intérieur du NOAA, la National Oceanic and Atmospheric Administration. C’est comme la NASA, mais c’est la NOAA. C’est un organisme public, mais ils ont aussi des projets classés secrets. C’est au moment où il nous a dit avoir entendu parler du « second soleil » qui arrivait. Il est tombé là-dessus à la NOAA. Ils le suivent à la trace. Je ne sais pas s’il s’agit d’un problème grave ou non, nous a-t-il dit, mais il est là, quelque part. Il n’en savait pas vraiment beaucoup là-dessus, mais il a ajouté qu’ils en parlaient parfois.

Et il y avait cet autre type qui travaillait là et qui, coïncidence, s’est trouvé être un vétéran de Mars. Il avait aussi fait sa période sur Mars. Et « Henry » (Arthur) raconta que ces deux hommes allaient dans leur bureau, fermaient leur porte à clé, et pleuraient ensemble. Il ne nous a jamais dit pourquoi. Il ne pouvait pas le dire. Je ne sais pas pourquoi ! Je ne sais pas pourquoi ! Kerry et moi essayons depuis deux ans de deviner. Nous l’ignorons ! Nous l’ignorons.

Cela pourrait ne pas avoir d’importance, et nous n’avons jamais harcelé « Henry » à propos de ça. Il y a des moments où… vous lui posez des questions, et elles glissent. Il change de sujet ou bien il ne veut pas répondre. Mais tous ceux qui ont participé à ces programmes ont souffert. Ce sont des gens qui souffrent.

« Henry » nous a également raconté qu’un matin il a été impliqué dans l’opération 11–Septembre. Nous en avons beaucoup parlé. C’est juste une bonne… C’est juste une histoire intéressante à raconter parce que, en tant que spécialiste en électronique, parmi les travaux qu’on lui avait confié, il devait mettre sur pied le système de commande dont le résultat final a été ces deux avions envoyés s’écraser dans les Tours Jumelles – le téléguidage de cette maquette d’avion à des milliers de kilomètres de distance. Il en a mis sur pied la partie électronique. Il nous a tout raconté là-dessus.

Mais comme c’est le cas de la plupart des gens dans ces projets, il ne savait pas sur quoi il travaillait. Il travaillait seulement sur un système de commande. Il ne savait pas à quoi ça allait servir. Ils ne le lui ont pas dit. Pourquoi faire ? Le « besoin d’en connaître »...

Mais le matin avant les événements du 11 septembre, lui et ses collègues ont été briefés. Le briefing portait sur : A la télévision aujourd’hui, vous allez voir tout un tas de choses très dramatiques, mais ne vous tracassez pas de ça, parce qu’il ne s’agit que d’un de nos projets.

Et il a dit qu’une des chose qui l’avait choqué – et ça rappelle un peu son autre témoignage, celui du briefing auquel il avait assisté – il a dit que ce qui l’avait stupéfié, c’est que tous les autres ont répondu : OK, et ils sont juste repartis travailler.

Et lui pensait : Oh mon Dieu, sur quoi travaillons-nous ? Le résultat va être la mort de milliers de gens et la destruction de ces deux bâtiments, et Dieu sait quoi encore !

Puis il s’est passé quelques heures au cours desquelles il s’est rendu compte qu’il avait la possibilité de tout saboter. Parce qu’il travaillait sur le système de commande, il pouvait facilement inclure quelque chose dans le logiciel qui aurait fait rater leur objectif à ces avions – et il ne l’a pas fait. Et il doit vivre avec ça. Il doit vivre avec le fait qu’il aurait pu éviter le 11-Septembre. Il aurait pu faire plonger ces avions dans l’Hudson, et ils n’ont pas plongé. Et lui, il doit vivre avec ça.

Vous et moi, et tous ceux qui regardent ceci, ne peuvent s’imaginer ce que c’est que d’avoir à porter ça dans son âme. Et c’est pour cette raison qu’ils parlent, voyez-vous. Voilà pourquoi ils parlent. Ils parlent pour essayer de purger leur âme. Ils essaient de se racheter pour ce qu’ils pensent avoir fait. Et dans ce milieu-là il n’y a pas d’échappatoire.

Voici pourquoi nous sommes protégés. Voici pourquoi vous êtes peut-être également protégés, ou que vous pouvez parvenir à l’être au fur et à mesure de votre implication, parce qu’en ce qui concerne certains de ces gars, ils ne peuvent rien dire là où ils sont. Ils ne peuvent pas s’exprimer. Ils ne peuvent pas téléphoner à leur journal local et cracher leur histoire, ni vous appeler ou m’appeler. Il ne peuvent pas faire ça parce que, s’ils bougent, c’en est fini d’eux. Ou de leurs enfants. Ou c’en est fini de quelque chose. Il n’est pas malin de leur part de faire ça.

Donc ce qu’ils font, très discrètement, c’est quelque chose de très, très indirect, qui nous aide, vous et moi à faire avancer l’histoire. Ils nous encouragent, voyez-vous. Ils nous encouragent. Beaucoup de gens nous encouragent. Nous le savons. On nous a dit qu’un certain nombre de gens – les « White Hats » font tout leur possible, de l’intérieur, pour nous aider, vous et moi, mais aussi beaucoup d’autres, à accomplir notre tâche.

Maintenant, la partie d’échecs se poursuit parce que, comme ils savent que ceci se produit, alors bien sûr, cette désinformation arrive au goutte à goutte.

J’utilise donc ceci seulement en guise d’exemple parce que ça me vient à l’esprit. Nous avons ensuite rencontré Pete Peterson des heures et des heures et il nous a raconté tout un tas de choses incroyables, qui ne sont pas toutes dans la vidéo, puis nous avons discuté un certain nombre de fois avec lui au téléphone. Et là, parfois, il nous disait – je ne vais pas du tout entrer dans les détails ici – dans certaines de ces conversations, il disait : Je viens d’entendre parler de ça par un de mes copains. Je viens d’entendre parler de ça par un de mes amis de l’intérieur.

Nous ne savons pas s’il faut croire ça, non pas parce que lui nous apporte nécessairement des renseignements faux, mais parce qu’alors il devient un problème à leurs yeux. Mais en même temps, ils essaient de… Je veux dire qu’il nous faut réfléchir à la manière des militaires. On doit penser en barbouze. Voir les choses comme si vous étiez de l’autre côté de l’échiquier à essayer d’imaginer quoi faire.

Ils savent que Pete Peterson est encore en contact avec nous. Ils ne vont pas lui loger une balle dans la tête, ce serait confirmer tout ce qu’il nous a raconté, donc pour eux c’est la dernière chose à faire. Mais ils essaient de voir s’ils peuvent trafiquer un peu tout ça. Ils le font en lui apportant quelques petites miettes de renseignements, en espérant qu’il y croira, et qu’il nous en parlera, en espérant que nous y croirons et que nous en parlerons ensuite.

Il nous faut donc utiliser une sorte de filtre. Et, revenons à l’histoire de Clay et Sean Pickering, certains parmi les ufologues laissent ça de côté parce qu’ils ne pensent pas pouvoir relier cette information sur la forme de vie à base de silicium à ce qu’ils ont entendu par ailleurs. Ils ont peur qu’il s’agisse d’une très complexe, très subtile manœuvre de désinformation destinée à causer des bagarres chez les ufologues.

Ça se produit constamment, ils utilisent des gens crédules, des gens qui croient à l’histoire, parce qu’une source convaincue de ce qu’elle dit va être beaucoup plus efficace qu’une personne à qui on a ordonné de mentir, voyez-vous.

Une personne convaincue de ce qu’elle dit va être beaucoup plus crédible, et elle dira : Eh bien, je crois réellement cette information, et j’ai des documents, j’ai parlé avec Untel, et je l’ai aussi entendu dire par quelqu’un d’autre, et je pense que c’est réellement ce qui se passe. Et tout ce qu’ils disent est vrai.

Et ils sont absolument crédibles. Ils vous regardent droit dans les yeux. On sent que ce sont des gens bien, on sent qu’ils sont honnêtes, et on ne sait toujours pas si l’information est vraie. C’est le problème. Parce que nous n’en connaissons pas la provenance.

Et ce que nous faisons, je veux dire, tout ce que nous pouvons faire si quelqu’un nous raconte quelque chose, c’est de dire : Bien. Comment avez-vous su ça ? Qui vous l’a raconté ? En êtes-vous sûr ? Vous tenez ça d’une seule source ? En avez-vous entendu parler de deux personnes différentes ? Vous en avez entendu parler il y a combien de temps ? Que s’est-il passé juste avant qu’on vous en parle ?

Nous essayons de tâter le terrain, et ce que je fais personnellement, dès que je le peux, au moment où j’écris un reportage, c’est de toujours dire, de toujours placer des petits avertissements, et je cherche à saisir toutes les occasions d’expliquer – Kerry et moi le faisons tous les deux : Voici ce qu’on nous a dit. Nous croyons que la personne qui nous l’a racontée, est sincère. Il se peut que cette information ne soit pas vraie.

Et cela nous ramène à cette histoire du 27 novembre. Il y a toutes sortes d’avertissements là, voyez-vous. Mais le problème – et c’est le problème que nous avons dans notre travail – c’est que, malgré nos avertissements, malgré ceux de Pete Peterson, et le fait que nous pensons : Eh bien, je n’en sais rien, mais c’est ce qu’il a dit, et ça serait cool si c’était vrai… tout ceci se trouve copié et recopié, envoyé par e-mail, ça atterrit sur le blog de quelqu’un d’autre, et une autre personne encore en parle à une émission radio, etc., etc. et après on entend : C’est ce que dit Projet Camelot, et le 28 novembre, nous passerons pour des menteurs.

Et pourtant , nous n’en sommes pas. Nous ne sommes que des reporters – des rapporteurs. Mais nous essayons de le faire en étant aussi responsables que possible. Nous ne sommes pas comme Fox News, qui dit : Nous rapportons, vous décidez. Vous savez, nous ne … Nous assumons ici toutes nos responsabilités. Mais en même temps, nous nous employons à rassembler tout ce que nous pensons être des informations crédibles. Nous pouvons en quelque sorte voir des tendances se dessiner. Nous essayons de dire aux gens : Nous pensons voir ceci se dessiner, mais peut-être voyez-vous quelque chose d’autre. Vérifions tout cela.

Nous apprenons tous les jours. Nous savons que certaines de nos informations ne sont pas correctes, parce qu’elles ne peuvent pas l’être, parce que nous faisons se contredire des gens. Nous pensons que 80 à 90 % de nos informations sont exactes. Avant je disais 95 % ; je pense maintenant que c’est entre 80 et 90 %. Cela fait un sacré paquet de bonnes informations.

Nous faisons attention à ne pas nous faire refiler des trucs idiots. Les gens nous envoient constamment des trucs idiots par e-mail. Parce qu’il est facile à un gamin de nous écrire une histoire qui ne tient pas debout et de nous dire : Hé, je suis un lanceur d’alertes.

Parfois c’est pratiquement évident. Vous savez, quand une personne vous raconte qu’elle est docteur ès sciences et qu’elle ne connaît même pas son orthographe, on se dit : OK. Cherchez l’erreur.

Et, au même moment, on reçoit un de ces petits messages, et nous utilisons là notre intuition, pour ce qu’elle vaut. Kerry et moi utilisons tous deux notre intuition. Quand nous pensons tous les deux : Il y a quelque chose d’important ici. Il y a quelque chose d’important ici, nous avons tendance à la suivre. Puis nous consacrons une partie de notre temps à vérifier.

Il est très important de ne pas être trop direct avec les gens ; je veux dire que si quelqu’un dit – il s’agit d’une histoire inventée, d’un exemple inventé - Si quelqu’un nous a écrit : J’ai été dans une base martienne. N’importe qui peut dire ça.

Alors, plutôt que de dire : Oh, c’est ce que nous a raconté « Henry Deacon ». Est-ce que c’est vrai ? Le gamin du sous-sol qui raconte une blague, répondra : Oui, c’est vrai. Voyez-vous ?. Ce n’est pas une très bonne question. Il faut poser des questions ouvertes. Il faut demander : A quoi cela ressemble-t-il ? Qu’avez-vous vu ? On ne leur pose pas des questions destinées à confirmer quelque chose, parce que tout ce qu’ils feront, c’est répondre : oui. Etc., etc.

Nous nous trouvons parfois face à des informations que nous ne croyons pas du tout, et il y a des gens parmi les chercheurs que nous ne… nous ne croyons pas leurs renseignements, parce que quelque chose cloche.

Nous pouvons nous-mêmes commettre des erreurs. Il nous est peut-être arrivé de croire des informations inexactes. Nous avons par exemple beaucoup de renseignements sur Dan Burisch. Les gens disent : C’est un menteur, il est dingue, vous savez, il est ceci, il est cela.

Ce n’est pas un menteur et il n’est pas dingue. Ses renseignements ne sont pas tous corrects, j’en suis certain.

Mais c’est un brave type. Il est étroitement surveillé. On l’a retourné contre nous, et ça parce que nous avons marché sur les pieds de quelqu’un après le colloque de Zürich. Nous ne savons pas ce que nous avons fait pour écraser ces pieds-là, mais Dan Burisch est maintenant cloîtré par un groupe de gens qui nous considèrent comme des ennemis. Mais nous ne sommes pas des ennemis. Nous continuerons à présenter ses informations avec toute l’honnêteté intellectuelle dont nous sommes capables.

C’est un âpre champ de bataille. On gagne des amis, on en perd ; on perd le contact avec les gens. Mais nous croyons vraiment savoir qui est un brave type et qui n’en est pas un. Nous pensons pouvoir faire la différence, vous aussi probablement.

Une chose qu’on nous a racontée… ça nous complique la vie, mais c’est aussi une des choses qui nous stimulent. Une source très amicale et bien informée nous a dit : Ecoutez, n’essayez jamais de prouver quoi que ce soit. N’essayez jamais de prouver quoi que ce soit.

Et en fait à l’époque, cela ne paraissait pas… puisque de toute manière nous n’essayions pas de prouver quoi que ce soit. Nous n’avons pas de documents. Nous n’avons pas d’alien dans le placard, que nous pouvons amener en fauteuil roulant devant la caméra, en disant : Regardez donc. Nous n’avons rien de tel. Nous ne possédons pas de photos convaincantes. Nous n’avons pas de déclarations écrites sous serment de qui que ce soit. Nous n’avons rien.

Tout ce que nous avons, ce sont des témoignages, et nous essayons de constituer un tableau. Nous essayons de reconstituer cette mosaïque, pour que les gens puissent voir les choses par eux-mêmes, afin qu’ils puissent relier ça à leur propre expérience.

Mais il y a un point très subtil ici, parce que des gens disent : Vous dites que vous ne pouvez rien prouver ! Vous venez avec tous ces trucs et vous n’avez pas un seul document, pas une photo, pas une seule déclaration écrite sous serment, rien. Alors, vous ne pouvez absolument rien prouver !

Et, outre le fait que nous n’avons pas ces choses-là, nous ne les cachons pas ni quoi que ce soit d’autre, mais c’est là le fusible qui nous permet de continuer à travailler.

En réalité, il s’agissait de Hal Puthoff, du Dr. Hal Puthoff, le très célèbre physicien, et le gars qui dirigeait le programme sur la vision extrasensorielle au SRI [ex-Stanford Research Institute, maintenant une entreprise – NdT] - je le considère comme un ami, je l’ai rencontré deux ou trois jours, un homme formidable. Et il a été le premier à nous dire : Ecoutez, c’est très important. Il est important pour les autorités de maintenir la possibilité d’un démenti plausible.

Il nous a déclaré qu’ils voulaient que ces informations sortent, mais avec amortisseur dans le système. Ils veulent vraiment que toutes ces histoires d’extraterrestres, d’enlèvements, de matériel électronique militaire, et ces histoires de… ils veulent que tout ça passe progressivement dans la culture populaire, mais sans qu’il y ait de preuves du tout.

Parce que cela signifierait que des gens verraient leur réalité quotidienne sérieusement menacée, s’il existait une photo d’alien, ou un document convaincant avec la signature de Kennedy, disant : J’allais faire ça, signé, daté de la veille de son assassinat etc. La conséquence en serait alors des gens en état de choc, se jetant par les fenêtres, des troubles de l’ordre public, des répercussions économiques, bla bla bla, ce qui déstabiliserait les gouvernements parce que, tout d’un coup, les gens recevraient ça en pleine figure, et ils savent… et puis la question religieuse, pour l’amour de Dieu, y songez-vous ?

Donc la possibilité d’un démenti plausible reste constamment présente parce que personne n’est forcé d’accepter ce à quoi il ne veut pas croire. Si les gens ne veulent pas y croire, ils peuvent toujours dire : Cette personne est dingue. Bill Ryan est dingue. Mel est dingue [Melani, de Freedom Central]. Alex Jones est dingue. David Icke est dingue. C’est là leur amortisseur, et il peuvent continuer à vivre leur vie et le monde peut continuer à tourner normalement.

Mais les gens qui peuvent assumer, disent : Vous savez quoi ? J’ai l’impression que c’est vrai. Je n’ai pas besoin de preuves ; je vais simplement commencer à y réfléchir, et ça coïncide avec ce que l’autre gars a dit.

Voici pourquoi c’est important, et jouable, et ça fonctionne au goutte à goutte. Nous sommes en réalité non seulement protégés par les « White Hats », mais également utiles aux « Black Hats », parce qu’ils ont un problème.

Ils ont un problème parce qu’ils chapeautent tout ça. Il faut que ça sorte, pour ainsi dire. Cela fait des dizaines d’années qu’ils ont un programme en place, où ils sèment ces informations dans la culture populaire ; dès 1952 ou une autre année, lorsqu’ils ont tourné la première version du film Le Jour où la Terre s’arrêta.

Ils ont essayé alors de raconter un peu au monde ce qui se passait en réalité. Et depuis, nous avons… Demandez à n’importe quel gamin ou ado qui regarde des films si les extraterrestres existent, et ils vous regarderont comme si vous étiez demeurés. Bien sûr qu’ils existent ! C’est évident ! Ils voient des dessins animés là-dessus depuis qu’ils ont 4 ans ; ça fait partie de leur réalité. Ils pensent que les gens qui n’y croient pas sont des demeurés, voyez-vous. Donc ça fonctionne, et ça fait partie de la culture populaire. Ils ont semé tout ça.

Nous leur sommes extrêmement utiles. Parce que nous contribuons à ce processus. Nous n’avons jamais fait partie du plan, mais cela ne signifie pas qu’ils ne soient pas enchantés de l’occasion que nous leur avons fournie en apparaissant sur scène. On ne nous a pas manipulés pour le faire.

Mais cela montre à quel point tout s’emboîte. Si cela leur permet de vraiment résoudre leur problème et de rendre le monde capable d’encaisser la Divulgation, et nous faisons d’une certaine manière partie de leur stratégie parce que quelqu’un a réellement envie de faire une déclaration pour annoncer la vérité, alors je suis tout à fait heureux d’être partie prenante. On ne nous utilise pas, pour autant qu’on sache, mais si c’est la vérité, c’est la vérité et donc, allons-y.

Entre temps, bien sûr, ils lisent nos e-mails. Ils sont probablement en train d’écouter cette conversation, ils vont regarder cette vidéo et analyser ce que je sais. Ils vont essayer de comprendre ce que je dis, ce que je ne dis pas, quelqu’un va évaluer si je suis une personne responsable. Ils continuent à mettre à jour mon profil, ils vont essayer de savoir si je suis fiable, ils vont voir ce qu’ils peuvent me jeter d’autre dans les jambes, pour que je… ou nous jeter. Quand je dis « me jeter », je ne parle que de moi parce que Kerry n’est pas ici.

C’est ce qu’ils nous font tout le temps. Et dans la mesure où nous leur sommes utiles, ils vont nous autoriser à continuer. Je crois que nous leur rendons un fier service.

Ils veulent savoir à qui nous parlons. Ils lisent tous nos mails. Ils évaluent qui s’éveille. Mais c’est inévitable. C’est inévitable. Le seul moyen de l’éviter totalement, c’est de se cacher dans un trou, de cesser de communiquer, et d’aller faire autre chose tout le reste de sa vie. Et ce n’est non plus ce qui est prévu, voyez-vous. Il nous faut travailler avec eux.

Il s’agit donc d’une sorte de symbiose, voyez-vous. Une sorte d’écosystème, où les requins, les souris, les éléphants, les lions, les tigres et les serpents – où tous ces animaux-là vivent ensemble dans cet écosystème. Et c’est grosso modo ce qui se passe sur Terre en ce moment. Ceci dit, il s’agit d’une vraie métaphore, mais cet écosystème semble évoluer dans une certaine direction.

Entre temps, tout paraît se mettre en place : l’énergie et l’information coulent à flots, et tout ceci se déroule sur fond d’immense tapisserie cosmique, en liaison avec l’augmentation de la prise de conscience. La conscience a besoin d’informations, pour avoir quelque chose à traiter, afin que les gens puissent sortir de leur confusion.

Les gamins qui arrivent dans ce monde se disent : Bon sang, que se passe-t-il ? Ah, maintenant je sais pourquoi je suis ici. Maintenant je sais de quel jeu il s’agit. Maintenant je sais où sont les pièces du jeu d’échecs. Maintenant je sais à quoi faire confiance et de quoi me méfier.

Et tout le monde essaie de comprendre, ça fait partie intégrante de l’apprentissage, ça fait partie de leurs responsabilités, de leur responsabilité individuelle, que d’utiliser ce stage et d’en tirer ce qu’ils peuvent.

Avec, en toile de fond, tout un tas de méchants qui ont peut-être, ou peut-être pas, perdu leur planète il y a terriblement longtemps, et qui essaient de nous contrôler parce qu’ils sont effrayés du pouvoir que nous possédons en tant que conscience infinie. Comme ils disent… comme le dit le type au début du troisième film de Bourne : Ça ne s’invente pas ! Merveilleux ! Quel…

C’est comme David Icke : Pour rien au monde, je n’aimerais être ailleurs, faire autre chose, à une autre époque. Nous vivons une époque fantastique ! Et c’est l’endroit rêvé. Là où les choses se passent. Nous sommes aux premières loges.

Et si certains, parmi ceux qui regardent, se demandent si c’est bien ici qu’il faut être, je vous défie de trouver quoi que ce soit d’autre, où que ce soit, qui soit plus distrayant que ce qui se passe en ce moment. Et c’est l’occasion de changer les choses.

FC : Très bien. OK. Dans le même registre, Bill, merci infiniment de nous avoir consacré votre temps, et ce fut un très grand plaisir de parler avec vous et de vous soutirer toutes les étonnantes informations que vous possédez. J’espère sincèrement que nous aurons très bientôt l’occasion de bavarder de nouveau ensemble, car je suis certaine que vous avez encore bien d’autres choses à nous dire. Je vous remercie donc de nous avoir accordé votre temps.

BR : Ce fut un grand plaisir pour moi.

FC : Merci.

16 novembre 2009

Cliquez ici pour l’interview vidéo

** Transcription fournie par les membres bénévoles et durs à la tâche de l’Equipe de Transcription de Divine Cosmos/Project Camelot. Toutes les transcriptions qu’on trouve sur les deux sites ont été réalisées ces années dernières par l’Equipe de Transcription. Nous ressemblons à des fourmis : nous sommes peut-être invisibles, mais nous créons de bonnes transcriptions pour votre plaisir et pour votre réflexion. **







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Bill Ryan

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