Richard Hoagland -
Transcription de l'interview - 3ème partie
Richard Hoagland : Dark Mission -
Troisième partie
Albuquerque, Nouveau Mexique, Décembre 2007 Cliquez icipour la version PDF
de cette interview
Cette page est une version reformatée d'un
publication originale de Project Camelot (en anglais)
Kerry Cassidy: La dernière fois
que nous
vous avons rendu visite, nous n'avons pas fait d'interview, mais vous
faisiez une vidéo nommée Kokopelli, et vous reveniez juste d'une
conférence à Palm Springs dans le sud.
Richard Hoagland:
Joshua Tree
KC
: Oui, vous aviez donné une conférence sur vos conclusions au sujet
de ce qui se passe en ce moment.
RH
: C'était une conférence de 4 jours avec de nombreux autres chercheurs.
KC
: David Wilcock était là.
RH
: David y était, son ami aussi, Jean David Morton était là, l'un de mes
chercheurs sur la Lune, Steve Troy y était, et Ken Johnston aussi.
KC
: J’aurais vraiment voulu y aller, mais je n'ai pas pu. Nous avons été
enchantés de découvrir que vous vous penchez maintenant sur ce qui
advient à la planète, alors que nous entrons dans les incertitudes du
futur à partir 2008. Nous sommes à l'aube de 2012 et au-delà.
Nous avons compris qu'il y a une évidence sur laquelle vous travaillez.
Je pense que David Wilcock a collaboré avec vous pour l'un des articles
sur votre site : Le jour interplanétaire après-demain [en 2004].
Cet article commence par documenter les changements qui se produisent
sur d'autres planètes, c'est à dire pas seulement notre Terre, en
termes de réchauffement et autres changements associés.
Ce
que nous voulions vous demander c’est: Qu'avez-vous trouvé ?
RH:
La façon dont je m'y suis intéressé, et qui relie ces deux sujets
apparemment dissemblables, est partie de la question : qu’a fait la
NASA pendant toutes ces années sans vouloir nous le dire, et
qu’arrivera-t-il en 2012, ce qui s’avère avoir une connexion critique
très importante.
Souvenez-vous,
au départ j'étudiais un ensemble de ruines,... même si la NASA disait
que ce n'était pas des ruines, mais simplement un jeu d'ombres et de
lumières. Des éléments de cette étude ont été publiés dans « Les Monuments de Mars » et sont
repris en détail dans le chapitre 2 de mon livre « Dark Mission », nous sommes tombés
sur ces données de physique, des données que nous sommes supposé
ignorer.
L'autre
soir au téléphone, une personne « bien informée » m'a dit et c'est une
citation exacte – c'est si frappant et si important que je comprenne
bien, parce que ça illustre ce qui se passe dans les coulisses depuis
toutes ces années au sujet du fait qu'ils ne nous disent pas la vérité
: On m'a dit qu'ils abandonneraient
plutôt une ville américaine au terrorisme nucléaire plutôt que
d'abandonner cette physique-là.
C'est
la physique de l'anti-gravité et de la soi-disant énergie libre, et
même la physique de la conscience et de la vie elle même. Tout est lié
au fait qu'il y a environ une centaine d'années, quand Maxwell écrivait
ses équations et les nouveaux fondements pour la théorie
électromagnétique, en Angleterre, la physique a pris un mauvais
tournant, de façon radicale.
Rétrospectivement,
et j'ai retourné cela dans les deux sens – nous en parlons dans le
chapitre 2 – ce n'était pas un mauvais tournant pris par des personnes
qui auraient été trompées, auraient fait des erreurs ou ne savaient pas
ce qu'elles faisaient. Cela a été un détournement conscient de la
vérité, fait par des personnes qui ont manipulé la science et les
scientifiques, en contrôlant la presse spécialisée, en créant le
procédé de révision par les pairs (peer-review),
en supprimant systématiquement les études publiées non désirées, en
attaquant la réputation des scientifiques qui ne suivraient pas la voie
étroite et droite.
Un
rassemblement conscient de la communauté scientifique, en vue de
l'écarter des technologies et d'une compréhension fondamentale de la
physique qui aurait libéré l'humanité entière. En d'autres termes: le
contrôle.
Souvenez-vous,
j'en suis arrivé là en étudiant un tas de ruines sur une autre planète.
Au moyen de la géométrie et d'étapes très intéressantes dont je vous
fais grâce maintenant car elles se trouvent dans les deux livres. J'ai
réalisé que nous avions, sur la surface d'une autre planète, une
physique complète, un point de vue d'une toute autre manière de
regarder le monde, la réalité; de ce qui réellement contrôle absolument
tout, y compris notre technologie que nous considérons comme allant de
soi et dont nous pensons qu'elle fonctionne d'une certaine façon, quand
en réalité, elle fonctionne sur des principes différents, parfois un
peu, et parfois drastiquement différents.
C’est
donc dans ce contexte que je commence à observer les ruines de Mars,
puis j'élargis mes recherches sur les ruines sur la Lune, avec ses
petits tessons de verre, et j'ai la confirmation que tout cela est
vrai. Tout ce que je dis depuis tant d'années et que la NASA nous cache.
Alors
la question se pose : Si nous nous
penchons sur des civilisations anciennes sur d'autres planètes, et qui
ne sont plus là ... qu'est-il arrivé ? Je veux dire, s'ils
avaient ce pouvoir magique presque divin, pourquoi ne sont-ils plus là
? En tant que leurs derniers descendants vivants, avec le schéma qu'ils
sont nous et nous sommes eux, pourquoi sommes-nous dans cet état si
désastreux ?
Nous
combattant les uns les autres pour quelques barils, alors que l'univers
qui nous entoure pourrait nous fournir de l'énergie en quantité
illimitée pour construire des choses à une échelle ahurissante comme
celles que l'on peut trouver juste à coté sur la Lune.
Il
a dû se passer quelque chose.
Cela
me fait penser : Nous savons, d'après l'histoire terrestre, que la vie
ne se poursuit pas indéfiniment. En fait il se produit des évènements
graves. Aux gens, aux villes, aux nations et aux civilisations. Des
évènements arrivent, s'amenuisent, et disparaissent. Comme dans
Shakespeare, les sept âges de l'homme.
Début, milieu et fin.
Donc,
peu importe à quel point les types qui ont créé cela étaient
incroyables, si cela devait se terminer, et on dirait bien que cela
s’est passé, de nombreuses fois, de façon catastrophique... Si
vous regardez ce qu'il y a sur Mars, il est évident qu'il y a eu une
catastrophe planétaire gigantesque qui a balayé tout ça et l'a enterré
sous des kilomètres de boue et de sédiments, qui depuis, s'érodent.
Nous
voyons des traces de bâtiments sortir du sol. Dans leurs écrits, les
Russes eux-mêmes parlent de villes englouties sous les sables de Mars;
ils en parlent dans leurs médias scientifiques principaux.
Alors,
vous voyez tout ça, et je me dis : Est-ce
que ça pourrait arriver ici de nouveau ?
Tout
ce que nous voyons autour de nous, New-York, les gratte-ciels, la
technologie extraordinaire d'Apollo, tout ce que nous prenons pour
argent comptant, alors que nous croyons que nous sommes sur cette voie
éternelle qu'est le futur; tout cela pourrait-il se terminer ? Est-ce
qu'aujourd'hui nous pourrions traverser des cataclysmes comme ce que
ces gens sur Mars ont connu ? … Vu qu'ils ne sont plus là.
C'est ce qui m'a entrainé à analyser des registres anciens. Il y a des
choses étonnantes en Egypte et je peux les montrer. Je les ai dans ma
base de données. Elles prouvent vraiment que nous ne sommes pas les
premiers.
Il
y a un parallèle inquiétant entre le visage de Mars et ceux des masques
des pharaons d'Egypte, y compris leur coiffe à rayures, appelée Manes.
Si nous regardons les premières versions des images du visage de Mars,
par Viking, on y voit des rayures latérales des deux cotés de l'endroit
sur lequel se trouve le visage. Ce qui m'a mis sur la piste d'une
connexion égyptienne.
Abydos, actuellement sur l'écran, est un
cas particulier. D'ailleurs, dans la mythologie Stargate, de la série télévisée,
c'est une planète cruciale, on peut se poser la question : Que savent
ces gens et depuis quand le savent-ils ?
Faites
une avance rapide du film, vous voyez des gens comme Vladimir Avinski
qui est un chercheur russe. De son coté, en 1984, il a publié dans
Soviet Life Magazine une chronologie de son enquête sur Cydonia. Il
termine en nommant le visage de Mars : « le Sphynx martien ».
Avance
rapide sur le film. Quand Errol Torun a rejoint mon équipe de
recherche, nous avons réalisé qu'il y avait un lien mathématique exquis
entre l'emplacement des ruines sur Mars et l'emplacement des ruines en
Egypte. En fait, je m'en souviens très bien, le cosinus de l'un
équivalait le sinus de l'autre.
Les
chances que cela se produise sont de 1 sur 7000. Autrement dit, chaque
partie importante du Sphinx ou des pyramides sur deux planètes
différentes connaissant l'emplacement exact de l'autre et ceci avec une
chance de 1 sur 7000. Ce n'est pas un hasard. Comme George Noory le dit
: je ne crois pas aux coïncidences.
George a raison, ce n'est pas une coïncidence.
Plus
vous fouillez dans l'histoire de l'Egypte, les hiéroglyphes,
l'architecture, tout ce qui est égyptien, en fait, ce sur quoi se
basent les Francs-maçons pour leur savoir; vous trouvez cette
incroyable connexion subliminale avec Mars.
Quand
je regarde une civilisation disparue sur une autre planète, où il n'y a
aucune vérité matérielle venant du lieu même, si je peux y trouver des
connections où il y a une possibilité de vérité, sur le sol même, j'y
consacre toute mon attention.
Le
résultat : il y a dans la mythologie et dans l'architecture, les
mathématiques et la géométrie, ceci à tous les niveaux, une
connexion profonde entre les monuments de Mars et les monuments de la
Terre, particulièrement en Egypte. Ce que j'appelle dans « Les Monuments de Mars » : la
connexion terrienne.
Vous
pouvez aller lire dans les livres, c'est documenté avec des photos, des
équations, tout y est. Cependant, cela m'a conduit à réellement
m'intéresser à certaines petites choses en Egypte. Il se peut qu'il y
ait des archives actuelles, un indice d'une civilisation de pointe qui
serait allée sur Mars et aurait construit ce que nous voyons.
Bien
que maintenant je ne pense pas que ce soit le cas. Il y a trop de
choses là-bas qui n'ont pas été rétro-conçues mais viennent de la
civilisation de Mars, dont on voit les ruines, et qui pourrait avoir
envoyé des réfugiés, des colons sur Terre. Alors, on aurait un
développement indépendant d'une civilisation évoluée, nous verrions
alors sur Terre les traces de cette ascendance dans les monuments.
Voici
Abydos, ce qui frappe, c'est le temple de Seti I qui était l'un des
pharaons de la renaissance. Il se situe dans le milieu de
l'histoire égyptienne, environ 1500 ans av. J.C. Il a apporté un
vrai renouveau. Il s’est intéressé aux origines de sa culture, de sa
civilisation ; il avait le pouvoir, l'argent et la capacité d'ordonner
à ses gens de trouver ce qu'il y avait de mieux, et de construire des
monuments qui affirmeraient la grandeur des pères fondateurs anciens de
la culture égyptienne.
Il
a construit ce temple à Abydos, et ce qui me frappe, c'est que quand on
regarde la façade, eh bien qu’est-ce que ça vous rappelle ? Pour moi,
c'est moderne, ça n'a pas l'air ancien. En fait, c'est très moderne. Ça
a l'air d'un grand immeuble massif à 5 cotés, [comme celui] de l'autre
coté du Potomac, appelé le Pentagone.
Quand
vous regardez le Pentagone au niveau du sol, ça ressemble à ceci y
compris les colonnes qui sont faites en béton, celles-ci sont faites en
pierre. Quand vous entrez, là, c’est la surprise. Parce qu'à
l'intérieur, sur le haut des linteaux qui soutiennent le toit, et l'un
d'eux en particulier, vous voyez cette frise étonnante de ce qui
rappelle au début des hiéroglyphes mais en fait, sont des appareils de
haute technologie, comme un hélicoptère, un tank, l'évidence d'un
vaisseau spatial anti-gravité avec une queue, et un propulseur tout
terrain, je veux dire, on dirait exactement ce qu'utilisait Luke dans Star Wars , d'accord ?
Il y a aussi des choses qui se rapportent à l'iconographie. Des
lettres, peut être une sorte de hiéroglyphe qui n'a pas l'air égyptien.
Et ce que j'ai fait : c'est comparer.
Maintenant,
quiconque regarde ceci se dit : Oh
mon Dieu, vous voulez dire que les Egyptiens ont eu des chars de
combat, des hélicoptères Cobra ? Non, ce n'est pas ce que nous
disons. Ce que je dis, c'est : voilà le tank Abrams comparé à ce tank
là. Ce que je veux dire, c’est que la culture ancienne, menée par Seti
I qui s'est tournée vers ses propres archives secrètes, ses propres
textes sacrés, sa documentation de ce qu'on appelle en égyptien « la première fois ». C'est la
chronique d'une ère extraordinaire qui s'est déroulée avant la
civilisation égyptienne, alors contemporaine. Seti I a érigé un
mémorial aux gens étonnants qui ont construit et préservé tout cela.
Donc,
je pense qu'il a construit un musée, un mémorial à la technologie du
temps d'avant – la première fois. Le Shemsuhor, les disciples d'Horus,
qui représentaient la lignée de prêtres qui conservaient les traces. Si
l'on observe la chronologie de Manatho, son calendrier, l'on voit ces
énormes laps de temps que les égyptologues conventionnels considèrent
comme anodins ou bien comme des erreurs de calcul de cycles lunaires
durant des années, et d’autres non-sens. Mais, l'on parle de périodes
dans le temps qui sont équivalentes à 10, 20 ou 30 mille ans d'un coup.
Si vous remonter complètement l’horloge, cette époque pourrait très
bien avoir été contemporaine de ceux qui ont construit ce que l'on voit
sur Mars.
Le
point d'ancrage de la véritable science, c'est quand vous regardez le
plateau de Giza et que vous voyez les pyramides du dessus. Il faut voir
la reconstruction de Bauval et Hancock, des étoiles et de la ceinture
d'Orion, imiter l'emplacement de la pyramide sur le plateau. Voyez
comment ces pyramides sont alignées, presque, mais pas exactement, sur
le vrai nord.
Si
vous prenez une simple pendule, les plaques tectoniques de géologie
standard, et que vous remontez la pendule de la plaque tournante en
Afrique, à cause de la physique de la planète sous le plateau de Giza,
et la période dans le temps à laquelle Cydonia a été construite est la
même : un quart de million d'années. Ce qui veut dire que nous avons là
une civilisation incroyable, qui est venue et qui a disparu.
Kerry:
Parle-t-on de l'Atlantide ?
Richard:
Métaphoriquement, oui. En d'autres termes, si vous lisez Platon,
l'histoire actuelle de l'Atlantide, je pense que les spécialistes – et
c'est mon opinion personnelle – ont ciblé leur recherches de façon trop
étroite sur un lieu, une île, une nuit et une catastrophe. Platon
écoutait les prêtres égyptiens, il a obtenu tout ce qu'il savait de
l'Atlantide des types même qui ont fait cela. Il parlait d'une ère,
d'une civilisation et d'une culture, pas d'un petit morceau de terre où
un groupe d'hommes a vraiment foiré et a été puni par les dieux.
L'Atlantide est un concept, pas un lieu. Pour moi, l'Atlantide c'est le
temps d'avant, qui a peut-être vu des hommes qui pouvaient aller et
revenir sur la Lune, de même que sur Mars. Alors étalons tout ce que
nous avons trouvé des lunes des autres planètes, au prix de très gros
efforts avec la base de données de la NASA. Et qui attend d'être
confirmé par un programme spatial honnête qui donnera un jour la vérité.
Ce
qui nous amène à la question inévitable : Si tout cela a existé et a
maintenant entièrement disparu, qu'est-il arrivé ? La réponse, pour la
physique, est que la physique peut se tromper. Et peut se tromper de
beaucoup. Elle peut se tromper à l'échelle du système solaire. C'est
pour cela que nous voyons Mars en ruine, des ruines terribles.
C'est
pour cela que nous voyons des ruines et pas des gratte-ciel, que l'on
peut reconnaître instantanément sur la Lune. Ce qui soulève une autre
question : Cela peut-il arriver ici ?
Cette
question dirige notre regard sur le coté, vers le calendrier maya parce
que les Mayas – l'une de ces anciennes cultures contemporaines des
types qui ont construit ce mémorial – ont dans leur propres textes : Il y aura une date et un temps quand tout
ceci disparaîtra, et quelque chose de totalement neuf renaîtra.
Alors
est-ce juste une métaphore ? Cela s'applique-t-il à la conscience ? Un
nouveau regard sur le monde ? Un new
age insouciant et planant ? Nous allons tous nous aimer un de
ces jours ?
Ou
bien y a t-il une possibilité que dans cette physique, il y ait un
ensemble de bombes à retardement ?
Si
on ne prend pas ce savoir, cette science, cette technologie, toutes les
opérations classifiées des opérations secrètes (blacks ops) sur lesquelles ils sont
assis depuis plus de 50 ans, nous allons être dans la panade quand le
jour du Jugement Dernier, le 21 décembre 2012, arrivera, nous ne sommes
absolument pas préparés à ce qui pourrait arriver.
La
politique, c’est 99% de perception. Dans mon esprit, il y a ici deux
questions. L'une : que va-t-il vraiment arriver ? Et je travaille avec
Enterprise et des chercheurs comme Joseph Farrell et d'autres, pour
comprendre et saisir la physique.
L'autre
est politique : Ceux qui ont le contrôle et nous ont empêché de
connaître notre véritable Histoire, à quoi s'attendent-ils ? Et que
font-ils pour se préparer, sans rien nous dire d'ailleurs ?
Il
y a la physique. Nous avons des indications très intéressantes de
vortex hyperdimensionnels qui sont en alignement dans la galaxie. Ils
se forment tous les 26.000 ans et ont un effet réel physique. La
question, c’est : à quel point ? Nous avons aussi une preuve que les «
initiés », les Rockefellers, les Bilderbergers, les milliardaires, tous
ces groupes savent quelque chose, ou plus exactement, ils pensent
qu'ils savent quelque chose et ils ont pris les devants depuis ces 100
dernières années pour être prêts.
C'est
ce qui m'intéresse vraiment. Et c'était si cool quand j’ai compris
cela, et que j'ai été en mesure de l'exposer comme lors de la
conférence de Joshua Tree, qui n'était d’ailleurs pas le premier
endroit ou je le faisais. J'ai donné plusieurs conférences, pour le
même style de public, afin de voir comment les gens vont se lever et
applaudir quand ils verront ces données.
Quand
Christophe Colomb a pris la mer en 1492, une des choses qu'il a
rapportée est le calendrier maya, les Codices
Mayas. On nous a dit qu'ils avaient brûlé, n'est-ce pas ? C’est
faux ! Je pense qu'ils étaient séquestrés dans les archives du Vatican.
Quelle personne saine d'esprit détruirait de l'information ? Oublions
le fait qu'ils ne soient pas religieux, qu'ils préfèrent sauver leur
peau, qu'ils cherchent à avoir l'avantage sur la société, la politique,
et les peuples : c'est juste pour tout contrôler.
La
dissimulation, signifie, que s'ils ont brûlé, personne ne peut plus les
consulter – donc vous pouvez les voir en secret – voilà, je pense que
tous les codices que les érudits n'ont pas, sont retournés au Vatican.
Pourquoi je sais cela ? Parce que la seule façon dont ça aurait pu
marcher, c'est en 1582, quand le Pape Grégoire nomme un disciple
allemand pour diriger le concile qui réformera le calendrier. En effet,
les saisons ne correspondent plus avec Pâques et Noël, ni la
résurrection du Christ et tout ça. On ne peut pas avoir Noël en
juillet, or, c'est ce qui se passe à cette période là.
Donc,
il faut réformer l'ancien calendrier julien et Grégoire place Clavius,
le génie allemand mathématicien, pour présider cette sorte de « comité
présidentiel », afin qu'il recommande les changements nécessaires dans
le calendrier.
Quand tout a été dit et fait, ils se sont retrouvés avec un calendrier
qui réajustait les dates, les saisons, les périodes, et ramenaient tout
bien synchro. C'est le calendrier grégorien, le nôtre actuellement; ça
a pris du temps pour filtrer parmi les diverses parties de la
Chrétienté et les différentes régions du monde non chrétiennes en 1583.
Il a été avancé de 11 jours.
Observons
la synchronisation des deux calendriers, maya et grégorien, et cette
date très cruciale de 2012. Selon l'observatoire naval des Etats-Unis,
vous pouvez consulter leur site – Google est votre ami – vous trouvez
que le moment magique, l'instant où le monde change, d'après les Mayas,
ne prend pas fin mais – change – de façon radicale. C'est le 21
décembre 2012 à 11.11 heures. Temps universel.
Il
est impossible que ce soit fortuit car 11 :11 est un code pour la
physique que nous avons décodé à partir des monuments de Mars. C'est
une longue histoire et nous n'avons pas le temps ici, mais elle se
trouve sur le Site Enterprise, ainsi que dans les livres.
L'essentiel est: aucune chance que Clavius, avec son héritage d'une
société secrète allemande, ait pu calculer ceci sans une source
indépendante de connaissances beaucoup plus sophistiquées.
J'ai
eu un professeur de mathématiques, Che du Département de l'Université
de Fairleigh Dickinson, qui a consigné par écrit qu'il n'avait aucune
idée de la façon dont Clavius avait fait pour arriver à cela. C'est
bougrement trop précis. Je suppose donc que ce sont les codices
secrets, rapportés par Colomb, séquestrés au Vatican, avec le
calendrier maya qui leur ont permis d'ajuster le calendrier grégorien
pour qu'il corresponde pile à 11.11, le matin du 21 décembre 2012.
Kerry:
Qu'arrive-t-il ?
Richard:
J'avais peur que vous me demandiez ça.
Je ne sais pas.
Kerry:
Travaillez-vous là-dessus ?
Richard:
J'y travaille bien sûr, c'est en cours. Je ne sais pas. Je ne vais pas
m'asseoir et vous raconter ce que je ne sais pas. Je peux vous dire ce
que je soupçonne.
Puisque
les implications sont si graves et que l'ampleur des efforts accomplis
par les «méchants », si grande, ma conviction est que ce ne sera pas
une partie de plaisir pour beaucoup de gens. Je ne peux pas compter
là-dessus pour l'instant.
Cela
pourrait changer radicalement, et de diverses façons. L'une d'entre
elles concerne les types des projets secrets (black projects), qui
jouent avec leurs jouets secrets, vaisseaux, programme spatial secret,
ils vont et viennent, pillent la Lune, trouvent des bibliothèques, et
font Dieu sait quoi là-bas. Si tout d'un coup, ils se rendent compte
que cette technologie s'applique à tous les mondes, qu'il y a une
physique ici qui peut littéralement prendre le contrôle de la planète
et prévenir des évènements néfastes... ce serait vraiment cool...
Ce
qui pourrait nous entraîner vers la fin, serait qu'il y ait un
véritable problème pour lequel nous n'ayons aucune solution.
Heureusement, d'après des tas de preuves, et d'après les personnes qui
viennent vous parler, tous les initiés sont au courant. C'est
uniquement nous, les pions de l'extérieur, qui ne sommes pas supposés
savoir quoi que ce soit. Ce qui veut donc dire, qu'il n'y a rien à
inventer, tout ce qui est nécessaire est redirigé de là-bas (quoiqu'ils fassent avec) à ici, ce qui est le problème
planétaire.
Notre
boulot est d'obtenir que des initiés comprennent qu'il n'y a aucune
échappatoire pour eux; qu'ils sont coincés comme nous tous. Nous sommes
tous dans le même bateau parce que le mensonge est différent à chaque
niveau. Même si on leur a dit qu'ils ont une porte de sortie, c'est
probablement faux. Ont-ils des familles, des oncles et des tantes, des
chiens et chats, des crédits immobiliers et tout ce genre de choses ?
Ils seront ici quand arrivera ce qui arrivera en 2012, basé sur une
physique présente ici sur Terre que je peux documenter.
Kerry:
Nous connaissons un scientifique qui nous a parlé brièvement. Il dit
qu'il y aura trois évènements entre maintenant [fin 2007] et 2012.
C'est un scientifique respectable parmi ses pairs, quelqu'un que vous
pourriez connaître, et peut-être lui avez-vous déjà parlé. Nous
l'ignorons, ne pouvant le nommer.
Il
dit que l'un des évènements est : Une projection massive de la couronne
solaire.
Bill:
Le deuxième est un basculement du pôle magnétique, et finalement, une
inversion des pôles. Il ajoute que cela va commencer en 2009 et
culminer en 2012. Il ne pouvait rien ajouter, étant contraint au
silence par une habilitation de sécurité nationale. Nous étions les
premières personnes à qui il a parlé en dehors de la communauté de la
Sécurité Nationale, depuis ces sept dernières années.
KC
: Il nous a fait une faveur. Nous avons reçu son e-mail et avons entamé
un petit dialogue. Maintenant, toutes sortes de personnes nous
approchent, certaines viennent des projets secrets, pour dévoiler des
secrets, d'autres sont des observateurs à distance (remote-viewers),
etc. Ils ont tous des informations sur ce qui pourrait bien arriver
entre maintenant et 2012.
Nous
rentrons de Russie où nous avons eu une entrevue avec Boriska, l'enfant
qui se souvient d'une vie passée sur Mars. Il a commencé à parler à
l'âge de 7 ans, nous mettrons cette interview en ligne sous peu.
Boriska dit très simplement que Moscou sera inondée par les eaux, et
que cela arrivera en 2009. A l'âge de 11 ans, il ne sait pas pourquoi
ou comment. Il sait juste que cela arrivera.
Nous
obtenons toutes sortes de preuves. Il y a des preuves de bases
souterraines, de préparatifs pour sauvegarder des groupes de personnes
en des lieux sécurisés, et de laisser le reste des gens, environ les
deux tiers de la population, sur le bas coté de la route.
RH:
C'est probablement sous-estimé, et très largement.
KC:
Nous sommes désolés d'envisager que cela soit possible, ou qu'un
cataclysme si massif frappe la Terre de telle façon que ces évènements
vont causer une destruction totale et la fin de la vie humaine.
RH
: Ce n'est pas la fin de la vie humaine, c'est la fin de ce cycle de
civilisation. Nous continuerons, la race humaine continuera. Si les
preuves du passé sont correctes, et elles le sont, il y aura un nouveau
cycle, un nouveau milieu de cultures et de civilisations, et nous
serons les mythes de leurs esprits et de l'esprit de leurs scribes, et
un jour, ils auront développé le vol spatial et ils iront sur la Lune.
Il y aura des gens qui leur cacheront la vérité, et le cycle se
perpétue ad nauseam, à moins
que nous y mettions un point final ici.
La
règle du jeu, pour nous tous qui en regardons les multiples facettes,
est que nous devons tous combiner nos forces, nos ressources, notre
base de connaissance, et notre bonne volonté, et par dessus tout vous
engager tous à changer le script. Les outils sont là maintenant, je
sais que les outils sont là, quoiqu'il advienne, nous pouvons
l'affronter parce que la physique est si extraordinaire.
Le
problème, c'est la volonté politique et spirituelle.
C'est
un petit groupe, qui souhaite, dans le pire des scénarios, notre
disparition à tous. Donc ils ne règlent rien, ils ne bougent pas le
petit doigt. En fait, ils perpétuent l'illusion, le mensonge n'étant
pas le même pour tous, que rien ne peut être fait. D'après mes
recherches on peut accomplir beaucoup de choses.
Cela
peut s'arrêter, et changer. La première règle pour conquérir un ennemi
– et pour eux, nous sommes l'ennemi – est de les rendre conquérants
d'eux-mêmes, vous faites qu'ils laissent tomber et cessent de
combattre. Vous leur dites que c'est sans espoir. Souvenez-vous des
types dans Star Trek, le
Borg. Les combattre est futile, résister est futile. Et bien non, ça ne
l'est pas. C'est un autre niveau du mensonge.
KC
: De quelle sorte de physique ou de technologie parlez-vous ? Ce sont
les voyages temporels ? Je suis sûre que c'est de la physique
hyperdimensionnelle. Que voyez-vous comme solution ? Je sais que vous
travaillez avec David Wilcock, et il est très positif envers le futur;
cet état d'esprit positif vient-il des recherches auxquelles vous avez
collaboré ? Ou est-ce parce qu'il partage certaines de vos sources ?
RH
: Un peu des deux. La raison pour laquelle j'étais intrigué par Wilcock
est qu'il arrivait aux mêmes conclusions que les nôtres, de façon
indépendante, et j'aime les confirmations de source indépendante. C'est
le cœur vivant de la science véritable. Lorsque quelqu'un que vous ne
connaissez pas vous présente une base de données et, oh mon Dieu, elle
ressemble à la vôtre et vous n'en avez jamais discuté auparavant. C'est
ainsi que nous en sommes venus à collaborer. Nous avons travaillé
ensemble. Nous avons développé et réuni nos sources d'information, nous
avons publié nos travaux afin de les faire connaître.
Quand
à ce qu'il faut faire, même parmi les plus brillants des initiés qui
sont dans le coup, je ne suis pas certain qu'il y en ait un qui sache
exactement ce qui se produira. J'ai trouvé tant d'exemples où des gens
travaillent en ignorant les textes anciens et en n'ayant aucune idée de
la véritable physique derrière tout cela.
Ils
ont pu dépenser des fortunes, des milliards de dollars. Ils ont pu
construire leurs villes souterraines gigantesques dans l'Oural et la
Russie. Ils ont pu construire leur banque de semences en Norvège. Je
veux dire, tout cela est là, on peut voir tout ce qu'ils font pour être
prêts. Mais, supposons qu'ils soient évincés, supposons qu'ils ne
lisent pas la physique correctement parce qu'ils ne savent pas qu'il y
a une physique.
C'est
tellement compartimenté que les physiciens qui développent ces
vaisseaux cool, ou bien des
sources d'énergie, ne parlent pas aux politiciens qui prennent d'autres
décisions. Souvenez-vous, c'est secret. Ils préfèrent abandonner une
grande ville américaine, plutôt que de divulguer le secret de cette
physique car, s'ils le font, ils perdent tout contrôle.
Leur
paradigme, la raison de leur existence, n'est que contrôler. Ils ne
peuvent pas dire "peut-être que nous
nous sommes trompés, que nous n'avons pas compris correctement".
Personne, parmi les initiés ne m'a appelé pour dire « Hey, Hoagland, que penses-tu réellement
qu'il va se produire ? » A moins que vous deux ne travailliez
pour eux, dans ce cas, c'est une technique élégante !
L'essentiel
est qu'il faut « penser nombres » et là, les nombres me disent deux
choses. La première, ce n'est pas une date. Ça n'arrivera pas au
douzième coup de minuit le 21 décembre 2012; ou bien à 11h11 du matin.
Ça fait partie d'un rituel synchronisé et cela renforce le fait que
tout ceci est basé sur la physique car le code est : 11 :11.
11
:11 est actuellement – je vous donne la réponse, puis vous pouvez la
retourner et rétro-concevoir comment nous en sommes arrivés là – 11 :11
est le code de 19, 5 qui est la clé géométrique de la physique
ascendante de chaque planète dans le système solaire. Cela nous dit...
c'est comme le Swastika, c'est comme une autre façon [version]
d'imprimer quelque chose, qui est réellement basée sur la physique.
Basée sur la physique hyperdimensionnelle.
Il
y a deux façons d'employer cette physique pour éviter ce qui vient.
S’il y a quelque chose de néfaste qui vient, l’une est de type
technologique. Je soupçonne fortement que HAARP, en fait, est l'une des
technologies positives protégée par tous les mensonges stupides
proférés à son encontre. Le scénario le pire, le contrôle des esprits,
le bombardement de rayons sur les gens, non, tout ça, c'est pour
protéger le véritable objectif de HAARP : essayer de travailler avec
des plasmas dans l’ionosphère. Les plasmas sont la clé du contrôle des
ondes de torsion, et ces ondes sont une manifestation éthérique en 3D
de la physique hyperdimensionnelle dans cette dimension.
Vous
avez un émetteur énorme, multi gigawatt qui travaille avec des plasmas,
en haut, aux pôles.
En ce moment, les Russes sont très intéressés par les deux pôles.
Ils
ont envoyé une expédition au pôle nord. Poutine a fait quelque chose de
curieux cet été et ils ont aussi envoyé un agent de renseignement pas
si secret, chargé de leur service de renseignement au pôle sud.
Pourquoi tout ça ? C'est parce que les pôles sont le secret du contrôle
de la Terre au cas où elle bascule sur son axe.
Quelqu'un
quelque part travaille en ce moment sur une technologie qui éviterait
le scénario le plus sombre. Ah, bonne nouvelle. Ils habitent ici, ils
cherchent à régler le problème, et je peux montrer d'autres aspects de
HAARP, mais nous n'en avons pas le temps. Ils sont sur le web dans Dark
Mission. C’est si cool d’affirmer qu'un groupe [de gens] est en train
de chercher une solution pour nous tous. C'est seulement avec la
technologie que nous voyons. Nous ne savons pas ce qui se passe dans
les coulisses, c'est confidentiel.
Comme
je disais à un néoconservateur, il y a des années, quand j'avais eu
cette discussion avec lui – et c'est vraiment étonnant parce que c'est
quelqu'un qui vit, c'est un banquier de très haut niveau... suivez
l'argent – il habite juste à coté de George Bush, à Houston. C'est
évident qu'il est intimement mêlé à ce genre de conversations. Il y a
quelques années déjà, je lui avais exposé ce à quoi je m'attendais, et
il m'a regardé et dit : « Mais vous
réalisez Hoagland, que vous n'aurez aucun mérite pour cela. »
J'ai dit « Quoi ! ? » Il
répond « Il faut que ce soit fait en
secret, personne ne doit jamais savoir. » Je lui ai répondu « Au diable
le mérite, je le ferai. »
Donc,
les choses se font. On a pas à savoir ce qui se passe, on n'a pas
besoin des détails. Il faut simplement savoir que quelqu'un s'occupe de
nous. Il y a une composante, souvenez-vous, c'est une vraie chasse
gardée, et ils sont tous en guerre les uns avec les autres et une
petite voix murmure : « Mon Dieu, ma
femme n'a pas de ticket, peut-être que je devrais faire quelque chose,
pour la planète parce qu'elle va se retrouver coincée ici. »
L'autre
piste, la plus intéressante pour moi, je m'en aperçois peu à peu, est
la piste de la conscience.
Art,
George et moi-même, avons fait des expériences d'états de conscience
dans l'émission Coast to Coast
durant des années. Nous avons démontré qu'un groupe de personnes qui se
concentrent sur un même objectif, exerce réellement une force invisible
et indéfinissable qui affecte la réalité en 3D.
Je suis ici en partie à cause de cette technologie de concentration,
expérimentée avec Art et son audience. Lors de ma crise cardiaque en
1999, avec le recul, je peux dire que pendant la première semaine si
critique, quand Art dirigeait la concentration de son audience vers
moi, il y avait une différence. Je crois sincèrement que cette
intervention, dans les premiers jours a été cruciale, pour me faire
traverser cet état critique. Ensuite, les compléments nutritionnels sur
le long terme, et toutes ses autres recommandations m'ont fait
recouvrer une parfaite santé, sans plus aucun problème dix ans plus
tard.
J'ai
donc pensé, pour des raisons personnelles évidentes : « Et si nous pouvions maitriser cette
technologie, ce lien invisible de l'esprit pour travailler sur ce
problème. » Nous avons tranquillement discuté avec George, de la
façon dont nous conduirions d'autres expériences contrôlées. Il y en a
eu une récemment : une horloge de compte à rebours est installée et
George demande à l'audience de se concentrer dessus à différentes
heures et justement, les EGG de Princeton, ces générateurs de nombre
aléatoire installés par le projet « conscience » à l'université de
Princeton, montrent qu'il y a un effet à l'heure prévue et dans les
délais, lorsque les participants se concentrent sur l'expérience dans
les temps impartis.
Supposons
que nous devions présenter nos expériences pour un média grand public
(émission spéciale de télévision, théâtre...) C'est l'énoncé de
l'expérience telle que nous la concevons. Ce sont des portes d'entrée
vulnérables ou une intervention serait utile. Nous donnons aux gens
simplement la base de données, indiquant que si cela a marché ici, cela
peut marcher ailleurs.
Dans le processus, nous habilitons démocratiquement la population
ordinaire du monde entier à mettre, ensemble, leurs différences. Nous
nous concentrons ensemble, en tant que famille humaine collectivement
pour résoudre potentiellement le plus grand problème de l'histoire de
l'humanité dans cette itération du monde. Supposons que cela fonctionne.
Voici
notre défi. C'est pour cela que je fais ce que je fais. C'est pour cela
que j'ai écrit le livre.
KC
: C'est très impressionnant, en un sens Ingo Swan était capable
d'affecter avec son esprit, cette chose avec l'aide du Sandford Research Institute...
RH
: Les expériences du magnétomètre. En fait il s'est amusé avec et tout
le monde était troublé.
KC
: C'était sensé être impossible.
RH
: Ce sont les torsions. Tout ça, c'est sur les ondes de torsions. Les
Russes, quand ils étaient des Soviétiques, avaient cinquante années de
données qui montrent que c’est de la physique réelle, qui, je le
répète, a été supprimée du monde occidental. J'essaie de réunir ces
deux cultures.
N'est-il
pas intéressant de voir que nous ayons eu tant de réactions positives
lors de notre conférence de presse nationale du Club de la Presse à
Washington D.C. ? Quatre services de presse russes sont venus. Nous en
avons eu un autre, russe également, qui est venu ici, assis avec moi,
et l'écran qui montre cette recherche qui sera diffusée sur NTV, le
réseau télévisuel commercial le plus important en Russie, chez 120
millions de Russes dans les prochains jours.
Nous
pouvons construire des ponts entre deux cultures qui possèdent une base
de données qui démontre que c'est de la science véritable, de la
physique véritable. Ça ne pourra pas disparaître, à la condition que
les gens ordinaires oublient les autorités qui leur ont menti, et
portent leur attention sur ceux qui essaient de leur montrer des
éléments de vérité.
Les
gens doivent faire leurs propres recherches. Vous ne pouvez pas vous
asseoir, m'écouter et me croire. Vous ne le devriez pas. Vous avez
Internet, vous avez Google. Google est votre ami. Vous pouvez établir
des corrélations à l'aide de recoupements de multiples sources et
obtenir un tableau conséquent de faits vérifiables et si c'est vrai,
vous ne pouvez pas rester dans votre canapé et regarder la télévision.
Vous devez vous lever et agir... car 2012 arrive
KC:
Merci beaucoup, Richard Hoagland. Cela a été vraiment fabuleux, Camelot
vous remercie et espère revenir pour une entrevue avec vous et Farrell
pour la suite.
Postface
L'un des problèmes de publier un livre tel que Dark Mission, c'est la
crédibilité. Quand vous présentez des revendications basées sur des
preuves, y compris des revendications basées sur les données d'une
source de la NASA telle que Ben Johnston, elles seront toujours
vulnérables aux interprétations de tous et particulièrement aux
attaques qui pointent le doigt vers la crédibilité de vos sources.
Depuis
quelques heures, sur Amazon.com, on peut trouver une critique de Dark Mission publiée par un ancien
responsable de vol de la NASA, qui, non seulement affirme que la
majeure partie de ce que nous avons écrit est correct, mais qui m'a
également révélé ceci : Durant les années où j'étais l'invité de Coast to Coast, ou Art Bell, je parlais des diverses
activités de la NASA, et les équipes de vol écoutaient mes exposés, les
responsables en ayant fait eux-mêmes une compilation pour la
bibliothèque du Centre Spatial Johnson.
Ensuite, après environ dix ans, la bande a disparu. Cet ancien
responsable de vol en était troublé et s'est mis à la recherche de la
bande. Puis, il a été prié de cesser les recherches, sous peine de
pénalité. Pénalité non spécifiée.
James Oberg, l'actuel défenseur de la NASA, qui avait vigoureusement
attaqué Ben Johnston, a écrit une réponse sur Amazon, revendiquant que
cette personne faisait des assertions non fondées, qu'en fait c'était
du vent... et quelque heures plus tard, il a publié une deuxième
critique où il affirme qu'en fait, ce responsable de vol est tout à
fait ce qu'il prétend être.
Il y a des changements...
Soutenez Project Camelot -
faites un don :
Donations are not tax deductible for U.S. citizens.
Merci de votre aide.
Votre générosité nous permet de poursuivre notre tâche