La Torture de Credo Mutwa
et le vol du Collier des Mystères
Afrique du Sud, 22 août 2010
DAVID
ICKE (DI): Bonjour. Je suis dans la maison de Credo Mutwa, un homme
fantastique qu’il a été mon privilège de connaître depuis une très
longue période de temps. Un Zoulou Sanusi ... ce que quelques personnes
connaissent mieux sous le nom de chaman ; Credo est un haut chaman.
Cet homme est une bibliothèque sur pattes quand nous en venons à la
connaissance africaine, et quiconque ayant lu mes livres, ou ayant vu
mes conférences, verra combien d'informations cet homme a à partager
avec le monde.
Un des artefacts qui a été mis en évidence plusieurs fois dans mes
livres, parce que je pense qu’il est si significatif, est un objet
appelé le Collier des Mystères. C'est celui avec tous ces symboles qui
en pendent, qui raconte l'histoire de l'humanité et l'histoire de
l'Afrique. La figure extraterrestre et la figure de femme humaine, et
le croisement entre les deux, toute cette histoire que j'ai racontée
plusieurs fois, grâce à Credo qui l’a partagée avec moi.
Bien, je dois vous dire, ce ... collier, qui est mentionné il y a cinq
cents ans dans des comptes rendus et Credo dit qu’il a mille ans ou
plus, n'est maintenant plus en sa possession. Il a été emmené loin de
lui, au Swaziland, par des gens qui ... l'ont torturé, en effet, luis
ôtant ses ongles, ou essayant de le faire, et certains menaçant même de
le tuer.
Bien, Credo a survécu, grâce à Dieu, mais le collier est toujours avec
ces vermines, et quiconque étant derrière et orchestrant ces voyous.
Si vous avez des informations sur son emplacement, contactez-moi s'il
vous plaît à cette adresse électronique, DavidIckeContact@aol.com,
tout en un mot, DavidIckeContact@aol.com,
et tenez-moi au courant par le biais d’informations que vous pourriez
avoir, sur l'emplacement de cet artefact étonnant.
Et maintenant, écoutons Credo nous raconter l'histoire de ce qui lui
est arrivé et combien ce collier est important à ses yeux ... et en
effet, l'histoire de l'humanité en général.
Credo, pouvez-vous nous raconter l'histoire de ce qui s’est passé,
quand tout ceci a-t-il commencé. Dites-nous ce qui est arrivé, du
début, menant jusqu'ici.
CREDO MUTWA (CM) : Oui monsieur. J'ai été à plusieurs reprises appelé
au téléphone par un jeune homme, qui me harcelait vraiment. Ce jeune
homme a dit qu'il continuait à avoir des rêves sur comment je devais le
conduire au Swaziland. Sur comment il avait de grands ancêtres,
desquels il voulait de l'aide.
Il nous a téléphoné chaque nuit jusqu'à ce que je sois devenu très
fâché. Ensuite, il s'est fait des amis qui ont continué à me harceler,
en son nom. Et à la fin, ils m’ont rapporté, qu’il a été dit par les
blancs que je suis un traître, qui prend la connaissance noire, et la
remet aux ennemis blancs du peuple noir. J'ai dit, « C'est absurde ».
L'insinuation a même continué comme quoi je n'étais même pas un Zoulou.
Le tribalisme et le racisme sont répandus en Afrique du Sud
aujourd'hui. Les gens peuvent être tués comme des chiens, si leur
lignée ou tribu, ou leur famille sont dans le doute.
J'ai dit à ce jeune homme, « Que voulez-vous
vraiment de moi ?
Que voulez-vous ? »
Il a dit, « Je veux vous voir. Je veux que vous nous donniez le collier
de la connaissance secrète. »
J'ai dit, « Vous êtes fous. Je ne vais pas à la partie avec cette
chose. Je ne sais pas qui vous a parlé de cela. »
Il a dit, « Mais vous le montrez aux gens du peuple blanc. Nous, qui
sommes noirs comme vous, vous nous discriminez. »
Et voici comment tout ceci a commencé, monsieur. J'ai décidé
d'affronter ces gens. Il s'est avéré qu'ils étaient plusieurs. J'ai
décidé d'affronter ces gens, et l'âne généreux et idiot que je suis, a
prit le Collier des Mystères et la Canne des Grands-Pères avec lui.
DI : Et vous êtes monté dans un train pour le Swaziland.
CM : oui, monsieur, j’y suis allé. Et ils m'ont rencontré là. Et ils
... m'ont emmené dans leur maison. Je ne savais pas que j'allais faire
face à cette foule, monsieur. Je ne savais pas que j'allais être jugé
comme un criminel. C'est là qu’ils ont commencé à m’arracher les ongles
des mains.
DI : Ils ont arraché vos ongles ?
CM : Oui.
DI : Qu'est-il arrivé ?
CM : Vous savez monsieur, c'était de la cruauté pure et dure. Ils ont
voulu voir. En fait, ces gens avaient été envoyés pour me tuer, par une
personne blanche. Les blancs qui leur avaient offert beaucoup d'argent
contre ce collier.
C'était un cauchemar. Mais les circonstances m'ont sauvé au-delà de la
douleur épouvantable que j’ai éprouvé.
DI : Vous me disiez que quelqu'un s’est assis sur votre main et
qu’ensuite quelqu'un d'autre tirait...
CM : J’étais assis...
DI : ... arrachait vos ongles.
CM : ... J'étais assis sur la chaise, monsieur, quand ce garçon s’est
assis sur mon bras. C'était une de ces, vous savez ces chaises en
osier.
DI : Oui.
CM : Et celui-ci s’est assis sur mon bras et soudainement j'ai senti
une douleur épouvantable. Il tirait mes ongles avec des tenailles. Mais
il a cassé l'ongle en deux endroits.
J'ai dit, « Vous voulez me tuer, n'est-ce pas ? C'est pourquoi vous
m'avez emmené ici. Mais laissez-moi vous dire que je suis un Sanusi. Je
suis un descendant d'Ungoza. Je suis un descendant de Sifele. Je suis
un Zoulou pur-sang. Et je n'ai pas peur de mourir. »
« Laissez-moi vous dire, que vous, qui enlevez les ongles de mes
doigts, êtes malades. Il y a quelque chose de malade en vous. Vous êtes
très, très près de la mort. »
Il a commencé à crier, disant « Quoi ?! Quoi ?! » J'ai dit, « Vous êtes
près de la mort. »
Je pouvais voir des ombres dans ses yeux. Je pouvais voir quelque chose
d'autre. Je sentais une odeur étrange : l'odeur d'une personne qui est
phase terminale de la maladie du Sida.
J'ai dit, « Touchez un autre ongle de mon doigt et vous allez mourir,
déféquant comme un chien. Continuez, faites-le. »
Alors a commencé un tumulte terrible. Certains ont dit que l'on devrait
me poignarder à mort. J'ai dit, « Poignardez-moi à mort, dans deux
heures, un d'entre vous mourra, et ce quelqu’un c'est vous. »
Il a commencé à crier, et à courir hors de la maison, et il ... c'était
juste un vacarme, monsieur. Je regrette que vous n’ayez pas été là pour
voir. Les gens se disputaient les uns avec les autres à ce moment.
Certains ont dit, « Laissez cet homme s’en aller. Vous ne pouvez pas
voir qu'il a un mauvais esprit ? Comment a-t-il su que vous alliez
avoir un tel mal d'estomac ? Comment a-t-il su que vous avez attrapé le
Sida ? »
J'ai dit, « Je peux voir. Tuez-moi. Je n'ai pas peur. Je n'ai aucun ami
ici. Continuez. »
Ils ont pris le collier. J'étais trop faible pour l'enlever. Ils ont
pris le collier et le bâton et le matin suivant, j'ai été très, très
malade. Un groupe des femmes m'a escorté à la station. J'ai été mis
dans le train, elles ont essayé d'être agréables avec moi, mais j'étais
juste ... J'étais hors de ce monde. Je ne savais plus ce qui arrivait.
DI : Et ils ont gardé le Collier des Mystères.
CM : Oui, monsieur.
DI : Le collier de la Connaissance.
CM : Oui, monsieur.
DI : Et vous n'avez aucune idée d’où il pourrait se trouver ?
CM : Non parce que je ne suis pas parti d‘ici depuis lors, monsieur.
DI : Qu’est que ce collier signifie pour vous ?
CM : Monsieur, ces colliers ... sont la Bible du peuple noir. Ces
colliers sont ... nous avons appris d'eux. Des choses que vous
n'apprenez dans aucune école ... des blancs.
Ces colliers sont vivants, monsieur. Ils ont été faits par des femmes.
C'est pourquoi ils sont en cuivre. Le cuivre est un métal féminin.
C'est pourquoi ils sont faits de pierre verte, la jadéite, qui a été
aussi manipulée par des femmes.
DI : Et c'est très ancien, n'est-ce pas ?
CM : Il l’est, monsieur. Il l’est.
DI : Il me semble que vous m'avez dit une fois que vous pensiez qu’il
avait au moins mille ans.
CM : Oui, monsieur. Oui, monsieur. Oui.
DI : Et quel effet cela a-t-il eu sur vous ? Je veux dire, comment cela
vous a-t-il fait vous sentir depuis ... parce que je sais que nous
avons parlé de cela à plusieurs reprises...
CM : Je suis brisé. Vous savez, Mr David, mon coeur est brisé,
monsieur. J’estime avoir fait une chose stupide, et je devrais avoir
payé pour cela de ma propre vie. Imaginez perdre une chose comme cela
des mains de porcs ivres.
DI : Mais vous ne saviez pas, n'est-ce pas ?
CM : Non. J'ai pensé qu’ils étaient des gens de famille royale. J'ai
pensé qu'ils étaient des gens bons. J'ai pensé qu'ils étaient des
adultes, Sangomas et Inyangas. Mais ils n’étaient que de jeunes voyous.
DI : Et que... vous m'avez dit qu'il y avait une personne blanche à
l'arrière-plan. Etes-vous...
CM : Oui, monsieur.
DI : De quoi s’agissait-il ?
CM : Je ne sais pas, Mr David. Mais je peux dessiner cet homme blanc.
DI : Que faisait-il ? Qu’était-il...
CM : Il était avec eux. Ils ont semblé boire ou quelque chose
d’approchant. Mais cet homme blanc, monsieur, il ... il n'était pas
juste un emballage blanc. Il ... il avait un but derrière lui.
Et j'ai remarqué une autre chose : c'était lui qui semblait tenir tant
au collier. Il a semblé devenir dingue, si vous voyez ce que je veux
dire.
DI : Et il a semblé être l’orchestrateur de tout cela, n'est-ce pas ?
CM : Oui, monsieur.
DI : Et eux, ils ne paraissaient pas m’apprécier, pour quelque raison,
vous me disiez.
CM : Monsieur ?
DI : Ils ne m’aimaient pas beaucoup, pour quelque raison.
CM : Oui. Ils m'ont demandé, où vous étiez. J’ai dit, « Je
ne
sais pas. Angazi. [mot Zoulou pour « je ne sais pas »] Je ne sais pas
où se trouve Mr David Icke. »
Ils ont dit, « Mais il ne vous écrit pas ? » J'ai
dit, « Vous
pouvez fouiller dans mon bureau de poste. Je ne possède même pas de
téléphone portable. J'ai seulement un vrai téléphone. »
DI : Et quel était leur problème avec moi, alors ?
CM : je ne sais pas, monsieur. Mais d'une façon ou d'une autre, ils
avaient peur de vous. C'est très drôle, Mr David. J'ai demandé, «
Avez-vous jamais vu M. David Icke ? » Ils ont dit, « Non ». J'ai dit, «
Alors pourquoi êtes-vous tant effrayés par lui ? »
Il ne m'a pas répondu.
DI : J’étais le « Satan Blanc », selon eux ?
CM : Monsieur ?
DI : « Satan Blanc », ne m’ont-ils pas appelé ainsi ?
CM : Oui, le diable blanc.
DI : Le diable blanc.
CM : Mmh.
DI : Parce que, je le devine, vous partagez des informations avec moi,
et c’est supposé être réservé à un groupe de personnes au lieu de tout
le monde.
CM : Mais monsieur, est là quelque chose qui m’a vraiment, vraiment
inquiété. J'y ai seulement pensé ensuite.
Mr David, ces gens, ces noirs étaient des noirs ordinaires, le regard
malade. Mais ce Blanc ... non, monsieur. Laissez-moi ... laissez-moi
essayer de mettre ça au point.
Il semblait ... il était plus petit que vous, et il m’a semblé ne pas
être tout à fait humain. Vous voyez ?
DI : Comment voulez-vous dire ?
CM : Il semblait ... quel est le, quel est le mot anglais ... il
ressemblait à une fée, Mr David Icke.
DI : Mm-hm.
CM : Il semblait être un homme anormal [peu clair, ressemble à « jigjig
»]. Il était quelque chose entre un garçon et un homme. Vous savez, il
avait des dents saillantes. Et quand il a parlé, il a semblé tordre sa
bouche d'une certaine façon. Il n'était pas sexuellement normal.
Je ne suis pas juge des blancs, mais il y avait quelque chose de très
étrange émanant de cet homme.
DI : Que diriez-vous maintenant, aux personnes qui ont le Collier des
Mystères ? Que leur diriez-vous ?
CM : Je dis, « Vous avez volé quelque chose qui vient des dieux
anciens. Vous avez pris quelque chose que même moi n’avais aucun droit
de posséder. On m'a donné cette chose pour que j’en sois le gardien.
J'ai juré ... vous avez pris cette chose, comme des voleurs dans la
nuit. Dans peu de temps, quelque chose d'intéressant va arriver à
chacun d'entre vous. Je vois l’un d'entre vous mort sous une voiture
bleue. C’est vous, avec les dents saillantes. Vous, qui n'avez jamais
parlé, qui avez parlé avec un son sifflant ... » Comme si ses dents
étaient un peu ivres.
DI : Et s'ils veulent éviter cela, ils doivent le rendre.
CM : Ils feraient mieux de le rendre. Ils feraient mieux de le rendre.
Cela je le jure par les seins de ma mère. Le Collier des Mystères
n'appartient à personne. Même pas à moi, qui en suis le gardien.
« Rendez-le. Vous avez été envoyés pour l'emporter. Vous avez été
envoyés par quelqu'un. Qui il est, je ne le sais pas, mais je rêverai
d'eux et je saurai qui ils sont. Vous m'avez appelé un vendu, un
traître, qui lèche les derrières d'hommes blancs. Vous êtes les
traîtres.’
Annonce écrite à la fin de la vidéo :
Si vous savez QUOI QUE CE SOIT du vol de cet artefact sans prix,
antique, de valeur inestimable pour l'histoire de l'Afrique et du genre
humain - mais très probablement maintenant dans les mains d’hommes
blancs seulement intéressées par l’argent ... contactez s'il vous plaît
DavidIckeContact@aol.com en
toute confiance.
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