La
Mission Anglo-Saxonne :
Interview Audio du Témoin
Janvier 2010
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Début de l'interview
Bill Ryan (B): Je veux vous remercier d’être venu de l’avant avec des informations
très importantes qui doivent être partagées. Je viens d’en lire le résumé.
C’est notre travail ici chez Project Camelot de vous assister à rejoindre les
personnes suffisamment conscientisées pour comprendre ce que vous avez à leur
dire, et pourquoi c’est important. Ils pourront mettre cette information en
perspective avec les autres informations qu’ils détiennent déjà.
Et pour vous introduire à tout ceci, je me demandais si vous pourriez
dire ce que vous pouvez sur votre histoire, vos antécédents. Tous simplement,
de façon générale, ce que vous considérez prudent de partager avec nous sur
ce qui vous a mis en position d’obtenir les informations que vous allez nous
révéler.
Témoin (T): Ok. Bien, les informations que j’ai déjà partagées avec vous
ne sont pas, je pense, de nature à faire trembler la terre. Je sens qu’il s’agit
de choses que beaucoup de gens auront déjà comprises grâce à la quantité d’éléments
qui circulent pour le moment sur l’internet.
Ce qui fait la particularité de ce que je vous apporte et qui doit selon
moi être partagé, c’est qu’il s’agit d’informations obtenues de première main
qui vous est transmise librement afin que vous puissiez l’utiliser et vous
informer. Cela constitue, au départ, ma position.
En ce qui me concerne, j’ai passé beaucoup de temps dans l’armée, puis
j’ai occupé un poste sénior à la City de Londres, et au sein des deux institutions
j’ai été très bien mis au courant des événements que l’on préparait secrètement,
au nom d’un groupe de gens – je ne peux pas dire que c’est au nom d’une nation
ou d’une communauté car ce n’est certainement pas le cas – mais cela a certainement
à voir avec un groupe de gens dont les intérêts sont connus d’eux seuls et
ce qu’ils font pour inciter une série d’événements à se produire.
En rétrospective, je constate qu’ils ont clairement eu beaucoup de succès
dans leurs agissements. Et je sens, grâce à ce que je sais, que le temps leur
est compté.
Donc la trame temporelle que je vais décrire est quelque peu… et c’est
là un titre adéquat, vraiment, parce qu’une trame temporelle débute quelque
part et prend fin quelque part, et ces gens le savent très bien.
Nous nous approchons à l’heure actuelle d’une période critique, et c’est
ce dont tout le monde parle actuellement. J’en suis très conscient. Mais l’information
que j’apporte vient mettre de la chair sur les os, et permettre à d’autres
personnes de les prendre en considération.
Quant à la véracité de ce qui suit, je peux seulement vous dire que ce
que j’amène est véridique, bien que beaucoup pourraient penser qu’il s’agit
d’une perception. Cela ne me dérange pas non plus. Mais cela a été mon expérience,
et c’est cette expérience que je m’apprête à partager avec vous.
B: Oui. Ce qui serait bien, ce serait de différencier l’information obtenue
de première main, c’est-à-dire provenant de rencontres physiques avec certains
de ces individus, et l’information obtenue de façon plus subjective et en laquelle
vous croyez également. Il est important de distinguer la provenance de chacune
des informations. Par ailleurs, pour vous et pour beaucoup d’autres qui liront
ceci, nous avons pour le moment un ensemble cohérent, n’est-ce-pas ?
T: Oui. Je pense que c’est important. Je pense que tout apport de cette
nature se doit d’être cohérent. Bien sûr, il y a aussi un élément de subjectivité;
je veux dire, on ne peut nier cela. Mais, vous savez, le tout pourrait être
considéré comme subjectif, mais il y a également mon point de vue en tant que
témoin. J’espère parvenir à décrire les choses de façon à ce que les gens puissent
voir au travers de ma subjectivité et aller au cœur des choses.
B: Bien. Maintenant, pourriez-vous détailler un peu ce groupe auquel vous
faites allusion ? Porte-t-il un nom ? Les lecteurs pourraient-ils reconnaître
ce groupe en recoupant l’information ?
T: J’ai moi-même éprouvé des difficultés à décrire ces gens. Je les ai
nommés “Bande de Frères”. Je les ai aussi appelés “sur-gouvernement”. Je pourrais
les appeler d’autres noms, certains dérogatoires, ce qui serait bien mérité.
[rires] Mais je crois que la meilleure façon compréhensible de les décrire
serait qu’ils sont comme un sur-gouvernement, parce que c’est ce qu’ils font.
B: Parlez-vous des Anglais ou du monde entier ?
T: La rencontre dont je vais vous parler était entièrement anglaise, et
certains d’entre eux seraient immédiatement reconnaissables au Royaume-Uni.
Les gens d’ailleurs qui liront ceci devront effectuer quelques recherches sur
ceux-ci. Mais certains d’entre eux sont des personnages connus de la nation.
B: Sont-ils des personnages politiques ? Ou des personnes appartenant
à la noblesse, pour ainsi dire ?
T: Oui, il y a pas mal d’aristocratie présente, et certains proviennent
carrément de l’aristocratie. J’en ai identifié un comme étant un politicien
sénior. Deux autres étaient des personnages séniors de la police et un autre
venait de l’armée. Tous deux sont connus sur le plan national et sont des personnages
clés qui conseillent le gouvernement actuel.
B: Et, dans la mesure où il y a une composante politique à tout cela,
les deux partis politiques sont-ils représentés ?
T: Non, cette composante politique sénior appartient au parti de droite
en Angleterre, le Parti Conservateur.
B: Pour le bénéfice des lecteurs américains, ce serait l’équivalent du
Parti Républicain.
T: Oui.
B: Bien. Donc, il s’agit d’un groupe d’initiés qui fonctionne en Angleterre
comme le gouvernement secret américain, ce que les lecteurs américains reconnaîtront
par analogie. Vous parlez de politiciens toujours influents qui agissent derrière
les coulisses, qui ont des liens avec la police, des liens avec l’armée. Y
a-t-il ici des liens avec l’armée américaine également ?
T: Oui.
B: Ok.
T: Un personnage militaire important, pour le moment retraité, mais toujours
actif à conseiller le gouvernement.
B: Ok. Connaissez-vous, ou avez-vous entendu des discussions sur la participation
des autorités de l’église ou du Vatican ou de toute autre religion du monde
? Faisaient-ils partie de la planification stratégique de tout ceci ?
T: Non. Pas du tout, mais je sais que l’Église d’Angleterre, en particulier,
est totalement complice de tout ce qui se passe.
B: Ok. Et vous savez cela à cause des relations étroites qu’entretiennent
les personnages séniors de l’Église d’Angleterre avec ce groupe que vous avez
rencontré à la City de Londres ?
T: Absolument. Il ne faut pas être un expert judiciaire pour s’en rendre
compte. Cela se passe au grand jour.
B: Ok. Est-ce que tout ceci est de nature fondamentalement maçonnique
(la Franc-maçonnerie) ?
T: Absolument. C’est l’évidence même. Tous sont contrôlés par ce processus,
par le processus maçonnique, ensuite ils se rencontrent.
C’est une chose que les gens doivent comprendre. Il existe des niveaux
dans la maçonnerie. Vous savez, la plupart des maçons ne savent vraiment pas
grand chose, et la majorité d’entre eux accomplissent du bon travail et bénéficient
en retour de l’appartenance à un genre de “club”, si on veut. Mais cela passe
par différents niveaux. Certains les appellent “degrés”. Mais il y a un annuaire
(“Who’s Who”). C’est-à-dire à qui peut-on se fier, qui peut-on réunir, qui
détient du pouvoir, qui va probablement développer plus de pouvoir.
Et ces gens s’attirent mutuellement et se réunissent sous une cause unique.
Mais il ne s’agit plus exactement d’une cause maçonnique, vous savez. Cela
peut s’y apparenter, mais ce n’est pas la même chose.
B: Pourriez-vous expliquer cela un peu plus clairement ?
T: Bien, je pense que la meilleure façon d’expliquer cela est la suivante:
La maçonnerie (Franc-maçonnerie) constitue, à ma connaissance, un véhicule
pour ces gens. Elle leur permet de se réunir tranquillement, en secret, à huis
clos, de se connaître, de se sentir en sécurité sachant que ce qui est dit
dans ces rencontres ne sort pas du groupe. Il y a donc cet élément maçonnique
présent, mais les choses évoluent vers un niveau entièrement différent.
Maintenant, dans ce qui a trait à la rencontre dont je vais vous parler,
je ne considère même pas que ces gens appartiennent à un niveau important –
il était assez important pour moi à l’époque – mais ils discutaient de choses
déjà acceptées, planifiées et dictées. Ils se rencontraient vraiment pour partager
de l’information, voir comment allaient les choses et ce qu’il fallait faire
pour les remettre sur la bonne voie.
B: Alors les choses avaient déjà été décidées à un niveau supérieur à
celui-ci. C’est ce que vous nous dites ?
T: C’était très clair. D’après ce que j’ai entendu, il ne s’agissait pas
d’un groupe de décideurs. Ils constituaient plutôt un groupe d’action. C’étaient
des gens qui avaient besoin de se rencontrer de temps à autre pour discuter
de ce qu’il fallait faire, ou de ce qui se faisait et de ce qui devrait se
faire. Puis ils se dispersaient et retournaient faire ce qu’ils devaient faire,
à la suite de ces rencontres.
B: Ok. Et vous avez assisté à une rencontre ?
T: Seulement une.
B: Quel était alors votre rôle ?
T: C’était par pur accident! Je pensais qu’il s’agissant d’une rencontre
trimestrielle normale parce que, en regardant la liste des courriels, laquelle
comprenait des noms familiers, mon nom y était. Mais à l’époque, comme j’occupais
une position sénior à la City, je pensais qu’il était très normal que l’on
m’ait assigné à ce genre de rencontre.
Donc, en me rendant à la rencontre, il ne s’agissait pas du même lieu
de rendez-vous qu’auparavant. C’était une chambre de commerce de la City [livery
company], ce qui était inhabituel, mais pas suffisamment pour se poser des
questions. Je suis allé à la rencontre et ce n’était pas le genre de rencontre
auquel je m’attendais. Je crois que si j’y fus invité… c’était à cause de la
position que j’occupais, qu’ils croyaient que j’étais l’un d’eux.
B: Alors vous avez été accepté parce que l’on vous connaissait déjà. On
vous considérait comme quelqu’un de fiable.
T: Absolument. Oui. J’étais fiable. J’étais un exécutant. J’étais une
personne qui, à mon niveau dans l’organisation, faisait avancer les choses.
B: Ok.
T: Et c’est ainsi que l’on me voyait. Beaucoup me connaissaient depuis
un certain temps, même les plus âgés. Je veux dire, nous nous appelions par
nos prénoms. Et aussi j’étais régulièrement invité à diverses fonctions, des
fonctions sociales, ce genre de chose qui fait que j’étais familier avec certains
d’entre eux, et que certains d’entre eux étaient devenus très familiers avec
moi.
Alors, c’était confortable, très professionnel, rien d’extraordinaire,
quoiqu’une petite musique commençait à résonner dans ma tête quant à ce qu’ils
préparaient et ce qu’ils faisaient et le type de décisions qu’ils prenaient,
que pour la plupart, j’ignorais. Cela semblait inhabituel, mais une partie
de moi-même voulait comme ignorer ce qui se passait.
B: Est-ce que vous nous dites que dans cette rencontre les participants
vous étaient pour la plupart familiers et que vous aviez participé à d’autres
rencontres avec eux auparavant; mais que ceci était une rencontre différente
à cause du lieu différent, de l’agenda différent bien que les délégués de la
rencontre étaient pratiquement les mêmes ? C’est bien cela que vous nous dites
?
T: Non, pas exactement. Je connaissais la plupart des participants à cette
réunion, mais pas tous. Il y avait environ 25 à 30 personnes à cette rencontre.
Et c’était plutôt informel, vous savez, des gens qui faisaient ou refaisaient
connaissance comme des gens ordinaires. Il n’y avait là rien d’inhabituel.
Ce n’est que lorsque certains sujets commencèrent à être abordés que mon étonnement
se manifesta par rapport à ce qui était dit.
B: Est-ce que c’était une rencontre avec des chaises autour d’une table,
avec des prises de notes et des verres d’eau, ce genre ce choses ?
T: Non, rien de semblable. Il n’y avait pas de prise de notes – rien.
C’était vraiment une rencontre à huis clos avec des gens qui s’interrompaient
mutuellement, certains qui retenaient l’audience, clamant leurs préoccupations,
passant à d’autres sujets qu’ils croyaient intéresser les autres.
Et ensuite décrivant, ce que je ne peux qu’énoncer que comme une “trame
temporelle des événements” dont ils anticipaient la venue, ou qui étaient en
cours, et beaucoup de préoccupations parce qu’ils ne l’étaient pas. Et ce qui
devait se produire dans la trame temporelle des événements et qui ne s’était
pas produit, et les actions à prendre afin que ceux-ci se produisent.
Et c’est alors que les choses prirent un tournant surréaliste – parce
que je n’avais jamais été en compagnie de gens pareils parlant de cette façon.
Maintenant, le groupe de gens avec lesquels j’étais le plus familier,
ceux qui effectuent le travail à la City, appartiennent à plusieurs comités
financiers bien connus; certains de ces comités sont très divers mais ils appartiennent
tous à la même organisation. Ce sont des gens que l’on ne remarque pas; la
plupart des gens ne savent pas qui ils sont. Je les connais. Je les connais
de vue, je connais leurs noms. Je les connais par leurs agissements.
Ce sont les autres qui étaient présents à ce moment qui m’ont surpris.
Trois d’entre eux en particulier. Il y avait d’autres personnes présentes qui
étaient à leur type de niveau et que je ne pouvais pas identifier, trois personnes
importantes, certainement.
B: Ok, maintenant quand cette rencontre a-t-elle eu lieu ? Mettons-y une
date.
T: Ok. Nous parlons de 2005. C’était après l’élection générale de mai
– lorsque Blair fut réélu. La rencontre a incontestablement eu lieu au cours
du mois de juin de cette année.
B: Pouvons-nous dire officiellement que c’était en juin ?
T: Juin 2005 est correct. Oui.
B: Très bien. Maintenant pourriez-vous expliquer ce dont il a été question
dans cette rencontre ?
T: Bien, comme je l’ai mentionné, je fus très surpris de voir la quantité
de gens présents. La rencontre comprenait des discussions couvrant des sujets
ou des choses qui se passaient dans le monde à ce moment-là, et il y avait
une grande discussion sur la sécurité à l’intérieur du pays. Et l’une des trois
personnes clés a assumé ce rôle depuis… et continue de l’assumer pour le moment.
Il est là maintenant. Il occupe cette position à l’heure qu’il est.
Le grand sujet à l’époque était l’Irak. Cela faisait partie de leur agenda,
et, de façon surprenante, on parlait beaucoup de l’Iran.
Et ce qui m’a surpris au point de me faire hausser les sourcils fut la
mention ouverte – c’étaient des gens qui parlaient confortablement entre eux,
sans cris ou argumentations – mais qui parlaient confortablement de la réticence
d’Israël à frapper et à provoquer l’Iran à initier une action armée. Cela m’a
fait dresser les poils du dos.
Et il apparaissait que le gouvernement israélien était lié à ce qui se
passait là-bas et qu’il avait un rôle à jouer qui lui était dicté de l’extérieur
des frontières israéliennes. Un an plus tard, Israël attaquait les bases du
Hezbollah appuyées par l’Iran qui étaient au Liban.
Et la seconde chose dont je me souviens fut la réticence des japonais
à créer la pagaille dans les secteurs financiers chinois.
Je ne comprenais vraiment pas pourquoi ils en parlaient ni pourquoi cela
avait de l’importance. Ce que j’ai cru comprendre c’est que le gouvernement
japonais, ou ceux du Japon, étaient forcés ou ordonnés de faire quelque chose
qui allait endommager ou ralentir la montée de la Chine vers un statut de grande
puissance financière.
On a mentionné que la Chine connaissait une croissance trop rapide et
que le bénéficiaire principal de cette croissance était l’armée chinoise, qui
se modernisait, principalement par l’argent qu’ils obtenaient du marché mondial.
Et puis il y a des choses… et c’est là que je ne peux m’empêcher d’être
subjectif, Bill. Parce qu’à l’époque, je me rappelle m’être senti malade et
extrêmement anxieux d’entendre ce qui était dit.
Je me trouvais en périphérie de cette rencontre et je pouvais sentir l’anxiété
monter en moi du fait des sujets qui étaient abordés. Cela ne nous était pas
annoncé. C’étaient des choses qu’ils connaissaient déjà.
Alors cette discussion ouverte sur l’utilisation d’armes biologiques,
où et quand elles allaient être utilisées et la synchronisation. La synchronisation
semblait toujours constituer l’élément critique.
Puis, on se concentra sur la façon dont il fallait engager l’Iran militairement
afin de provoquer la réaction désirée de la part de la Chine.
Il y avait une claire expectative à inciter l’Iran à entamer un conflit
armé avec l’Occident, avec la Chine qui irait aider l’Iran. Par cette incitation,
soit l’Iran, soit la Chine utiliserait une arme nucléaire tactique.
Et, comme je le mentionnais, ces gens ne prenaient pas les décisions.
Ils discutaient quelque chose qui avait déjà été planifié, et ils partageaient
simplement leurs informations entre eux. Et il est devenu clair à la lumière
de ces discussions que le sujet principal de cette réunion était de savoir
quand cela allait se produire.
D’autres discussions portaient sur les finances, les ressources, la protection
des avoirs, un contrôle de ces ressources et le rapatriement de ces avoirs
périphériques. Et si vous le voulez, Bill, je peux continuer cette chaîne d’événements.
B: Je serai heureux que vous y alliez de façon la plus détaillée qu’il
vous sera possible.
T: Ok. Maintenant, comme je le mentionnais, il leur était nécessaire que
les Chinois ou les Iraniens se rendent coupables d’être les premiers à utiliser
des armes nucléaires afin de justifier l’étape suivante.
Maintenant j’ai déjà spécifié que ceci est anecdotique et ne peut être
confirmé. Cependant les informations provenant de cette rencontre, et aussi
d’ailleurs, indique de façon positive que les Iraniens possèdent déjà effectivement
l’arme nucléaire tactique. Ils ne sont pas en train de la développer. Ils la
possèdent.
B: Certains disent qu’ils pourraient peut-être l’avoir obtenue des Russes.
Avez-vous une idée à ce sujet ?
T: Je crois que cela provient des Chinois.
B: Des Chinois… Ok.
T: Parce que la technologie chinoise a été utilisée, depuis plusieurs
années, dans leurs systèmes de missiles. Ils obtiennent aussi de la technologie
de missiles des Russes, mais c’est surtout des systèmes de missiles sol-air,
et ce genre de choses – des armes défensives. L’armement missile tactique est
une technologie qui leur vient de Chine.
B: Est-ce que votre passé militaire vous confère une expertise à ce sujet
?
T: Oui. C’est le cas.
B: Ok, cela signifie qu’au cours de cette réunion où vous pouviez entendre
ces informations, vous pouviez porter votre casquette militaire, avec votre
expérience militaire, et comprendre sur le plan stratégique et tactique ce
dont on parlait et pourquoi ?
T: Oh, absolument. J’aurais même pu m’embarquer dans des conversations
et corriger leur terminologie en pensant qu’ils ne la possédaient pas bien,
mais ils la décrivaient du mieux qu’ils pouvaient.
B: Bien.
T: Alors oui, j’ai une bonne connaissance de ce type d’armes, et des systèmes
d’armement en général.
B: Les systèmes d’armement en général, bien sûr. Ok, revenons où vous
en étiez, il y avait cette note en bas de page où vous racontiez, de façon
anecdotique, ce que vous ressentiez, mais que vous étiez également certain,
selon votre opinion, que l’Iran possédait couramment des capacités nucléaires.
T: Oui, je vais le mentionner ici avant que cela ne m’échappe, Bill. Ceci
est anecdotique en ce sens que la discussion ne mentionnait pas que l’Iran
ne possédait pas le nucléaire. La discussion allait dans le sens où les Iraniens
avaient ce type d’armes, plutôt que de ne pas en avoir. Je pense que la distinction
aurait été faite à ce moment – s’ils n’en avaient pas eu. Il n'a pas été mentionné
qu'ils N'EN AVAIENT PAS. Cela tendait vers le fait qu’ils avaient déjà ce type
d’armement.
B: Je comprends. Maintenant, sans vouloir vous faire dévier de votre chemin,
j’y vois une analogie potentielle avec la situation irakienne, dans laquelle
les gouvernements et les militaires occidentaux, qu’ils aient dit la vérité
ou non, avançaient volontiers que les capacités militaires irakiennes étaient
bien plus grandes qu’elles ne l’étaient en réalité. Pourrait-il y avoir une
désillusion similaire en ce qui a trait à la capacité de l’Iran ? Ou bien pensez-vous
qu’ils savaient vraiment ce que les Iraniens possèdent et ce qu’ils sont en
mesure de faire ?
T: Il est naturel de faire la comparaison avec l’Irak. Dans le contexte
présent cependant, cela pourrait s’avérer trompeur.
C’est essentiellement l’Occident qui a appuyé l’Irak lors du conflit Iran-Irak.
« L’Occident » inclut Israël, alors la possibilité que l’Irak obtienne l’arme
nucléaire sans l’avoir produite eux-mêmes, mais en l’ayant importée, s’avérait
extrêmement faible.
D’un autre côté, il y a l’Iran. Maintenant l’Iran est appuyée par la Chine,
puis ensuite par les Russes; et par d’autres pays également. Le marché militaire
est très ouvert et il peut inclure aussi bien la France qui exporte ses armes
de façon très indépendante là où elle le peut.
B: Oui.
T: Même en défiant les conventions actuelles en ce qui a trait à la vente
d’armes à l’étranger. Mais ça va un peu au delà de cela. Nous parlons d’un
pays qui a été très bien utilisé par un autre durant toute sa période révolutionnaire
– où il a été considéré comme un adversaire par tous les états occidentaux,
ainsi que par les états du Golfe.
B: Vous voulez dire que l’Iran est utilisé par la Chine ?
T: La Chine. Oui. Ils s’utilisent l’un l’autre, bien sûr. L’économie de
la Chine est en pleine expansion. Je ne sais pas si elle a atteint ou non son
plateau, et je ne parle pas de cela. Mais la quantité d’armements et le niveau
d’expertise technique que l’Iran reçoit des militaires chinois – il semble
inconcevable que des armes nucléaires n’aient pas été incluses dans des paquets
allant vers l’Iran; qu’ils soient sous le contrôle direct de la Garde Révolutionnaire
Iranienne ou à la fois sous le contrôle chinois et iranien. On ne peut en être
sûr.
Mais pour revenir à ce que je disais, à cette rencontre, on assumait –
très clairement – que les Iraniens avaient de telles armes en leur possession
parce que personne n’a dit le contraire.
B: Compris. Et vous allez continuer à élaborer la façon dont cette collaboration
entre l’Iran et la Chine va être utilisée pour attaquer la Chine – parce que
la Chine demeure le principal objectif. C’est bien cela ?
T: Exactement. La Chine constitue le principal objectif depuis au moins
le milieu des années ’70 – et encore, cette information est de troisième main,
donc je ne peux pas vous donner une évidence de première main – mais cela a
toujours été au sujet de la Chine. Cela a toujours été la Chine qui constitue
le grand objectif dans cette trame temporelle.
B: Mm hm.
T: C’est après la Chine qu’ils en ont maintenant, et tout consistera en
la façon d’inciter et de créer le scénario où de type de – bien, ça va être
la guerre, Bill; il va y avoir une guerre – comment peut-on faire comprendre
ça et rendre ça crédible pour tous ceux qui vivent en Occident ?
Et la façon de rendre cela crédible est qu’un état comme l’Iran soit utilisé
comme bouc émissaire à utiliser l’arme nucléaire afin de provoquer un échange.
B: Et l’entière justification de tout cela est d’amener la Chine à la
guerre, mais pourquoi ?
T: La Chine viendra alors à l’aide de l’Iran, très rapidement. On en parle
comme une “route vers Jérusalem”, comme on dit. Cela ne devrait pas nous surprendre
si la Chine avait sa propre “route vers Jérusalem” pour ainsi dire, car c’est
là que se trouve le pétrole – leur approvisionnement vital – et c’est là que
leur puissance pourrait s’étendre encore plus qu’aujourd’hui.
B: Je n'ai pas compris ce que vous vouliez dire par Jérusalem. Est-ce
une métaphore en parlant de l’Iran ?
T: Oui. C’est ma métaphore. Quoique je ne l’aie pas mentionné avant, vous
savez, ils parlent de “la route vers Jérusalem”. Des gens comme Benjamin Netanyahu
l’utilisent beaucoup. Obama l’utilise. Le président chinois Hu Jintao l’utilise
aussi, je crois. Ils se sont servis de cette métaphore.
B: Je n’étais pas au courant.
T: Oui, ils l’ont dit. C’est la route. Ne passe-t-elle pas par Téhéran,
en un sens ? Et ne repasse-t-elle pas par Téhéran, en revenant ?
B: Ok. Donc vous vous servez de cela essentiellement comme métaphore pour
désigner un objectif à atteindre.
T: C’est cela.
B: Ok. Donc, ce vous nous dites c’est qu’un plan à long terme a été décidé
il y a assez longtemps pour mettre une situation en place, pour établir l’échiquier
global afin qu’il y ait une guerre avec la Chine. C’est ce que vous racontez.
T: En un mot, oui. Vous avez compris. Il s’agit d’une série complète d’événements,
dont plusieurs sont déjà réalisés. Et j’insiste encore pour dire que le temps
constitue un facteur essentiel.
B: Qu’est-ce qui s’est déjà produit, qu’est-ce qui doit encore se produire,
et quel est le déroulement éventuel du plan qu’ils préconisent si tout se passe
comme ils le veulent ?
T: Bien, le plan est de mettre encore une fois le feu aux poudres au Moyen
Orient, mais de façon tellement spectaculaire que les conflits précédents du
Moyen Orient paraîtraient insignifiants.
Cela impliquera l’utilisation d’armes nucléaires et, une fois de plus,
on veut créer une atmosphère de chaos et de peur extrême, non seulement en
Occident, mais dans le monde entier, et ainsi pouvoir mettre en place un gouvernement
totalitaire unifié pour tout l’Occident; et pour faire cela, la Chine doit
être éliminée, politiquement et socialement.
B: Alors ce qu’ils veulent, c’est faire d’une pierre deux coups. Ils se
serviront de cela comme justification pour ériger ce que l’Internet appelle
un Gouvernement Mondial Unique, sauf qu’il n’inclura pas la Chine. Vous parlez
d’une alliance étroite des nations de l’Occident face à cette nouvelle menace.
T: Il s’agit spécifiquement des nations occidentales, mais je crois que
l’on doit y inclure le Japon également.
B: Et la Russie ? Où se situera la Russie ?
T: Je crois que la Russie est aussi un joueur, mais je n’ai aucune évidence.
Pour une raison ou une autre, la Russie n’a pas son mot à dire ici; c’est moi
qui suppose que le gouvernement russe actuel fonctionne main dans la main avec
les acteurs de contrôle qui sont ici en Occident.
B: Hm. Alors vous nous dites ça parce qu’au cours de cette réunion à laquelle
vous avez assisté, la Russie n’était pas mentionnée comme étant un facteur
majeur ?
T: Non, pas du tout. La seule façon dont on l’a abordée était toute cette
idée de créer une condition de chaos dans le monde entier. Cela signifiait
l’utilisation plus tardive d’armes biologiques, des manques globaux de nourriture
qui allaient affecter les pays vulnérables autour du globe, suivis par des
maladies et des famines massives.
La seule mention qu’on ait fait de la Russie en est une que je ne peux
expliquer, mais peut-être que quelqu’un d’autre pourrait le faire. Je n’y ai
rien compris. Mais au sein de cette rencontre quelqu’un a dit : “inciter la
Chine à attaquer la Russie orientale”. Maintenant, il m’est impossible d’en
dire plus à ce sujet – je ne le sais tout simplement pas.
B: Ok. Revenons à ce que je disais il y a une minute, c’est-à-dire de
faire une pierre deux coups. Un des objectifs donc est d’établir une alliance
unifiée des pays de l’Ouest avec une sorte de « connotation de guerre d’urgence
» totalitaire, avec un aspect de fort contrôle. Et l’autre aspect est de vraiment
mettre le feu aux poudres pour faire démarrer cette guerre, laquelle provoquera
toutes sortes de formes de chaos et vraisemblablement un très grand nombre
de morts.
T: Oui.
B: Dans la population chinoise ? Ou partout sur la planète ? Cela fait-il
partie du plan de réduction de la population ? Qu’avez-vous entendu à ce sujet
?
T: Bien, on a parlé des agents biologiques qui allaient être utilisés,
on les décrivait comme ressemblant à la grippe et cela allait se répandre comme
un feu de forêt. Maintenant, ce n’est pas au cours de cette rencontre que cela
fut mentionné, mais je sais qu’ils vont attaquer les gens de façon génétique,
pas tout le monde à la fois. Comment cela va-t-il se passer… ? Je ne sais vraiment
pas, je ne suis pas généticien. On doit supposer que c’est lié à l’ADN d’une
certaine façon.
B: Mm hm.
T: Et les différences que l’on trouve dans l’ADN. Ces différences ont
été identifiées et des virus peuvent être mis au point qui peuvent tuer une
personne très rapidement.
B: Et ces virus peuvent atteindre des cibles précises, c’est bien ce que
vous nous dites ?
T: Oui.
B: De façon à pouvoir atteindre un type racial donné, ou peut-on être
encore plus précis ?
T: Un type racial. J’en suis tout-à-fait certain. Ils parlent de l’extinction
de toute une partie de la race humaine, et d’accomplir cela de façon génétique.
B: Vraiment ? Est-ce qu’il a été fait mention de cela au cours de cette
rencontre, dans ces termes précis ?
T: Pas exactement. C’est ma propre terminologie. Mais c’est ainsi que
l’on en a parlé, et à mon souvenir, cela a été exprimé de cette façon et c’est
comme cela que je l’ai interprété.
B: Ok.
T: Mais c’est incontestablement ce à quoi cela faisait allusion.
B: Parlaient-ils de la nécessité de se débarrasser des Chinois parce qu’ils
constituent un groupe majeur qui refuse de se joindre aux plans globaux ? Ou
bien est-ce un prétexte pour réduire drastiquement la population mondiale,
incluant celle des pays occidentaux ?
T: Bien, c’est une très bonne question et autant que je sache, c’est une
question hypothétique. Ici non plus je ne peux pas vous donner de réponse.
De mon point de vue personnel, il semblerait assurément que l’on envisage une
diminution de la population mondiale et de la réduire en une quantité facile
à contrôler pour ce gouvernement à venir, afin qu’il puisse maintenir le contrôle
qu’il souhaite avoir. Sinon, il ne le pourrait pas.
Cela me rend malade d’en parler maintenant, vraiment. Cela me rend absolument
malade que l’on puisse aller de l’avant et accomplir ces objectifs; que l’on
parle réellement de cela. On veut ramener la population à un “niveau gérable”.
B: Pouvez-vous citer une référence entendue lors de cette réunion concernant
ces niveaux, ou des chiffres, ou des pourcentages, ou quoi que ce soit de tangible
dont vous puissiez vous souvenir ?
T: Oui. On parle d’environ la moitié.
B: Wow. C’est beaucoup de monde.
T: Oui. En effet.
B: Ok.
T: C’est une réduction de moitié.
B: Alors c’est plus que les Chinois, donc. Cela répond à la question,
n’est-ce pas ?
T: Bien, dans un échange nucléaire – et je crois qu’il y aura un échange
nucléaire limité – il y aura une sorte de cessez-le-feu. On en a parlé; ils
anticipent un cessez-le-feu rapide, mais pas avant que des millions ne soient
déjà morts, principalement au Moyen Orient.
Donc on parle probablement d’Israël ici, la population d’Israël sacrifiée.
Également des endroits comme la Syrie, le Liban, probablement l’Irak, certainement
l’Iran, vous savez, les villes et les grandes villes, les centrales énergétiques
et ainsi de suite, tout ce genre de choses. Et puis un cessez-le-feu avant
que ça ne devienne global.
B: Un cessez… ? Wow. Désolé, je vous interromps, je m’excuse. Un cessez-le-feu
avant un engagement global ?
T: Oui, c’est comme une sorte de jeu de poker dans lequel ils savent à
l’avance les cartes qui vont être jouées. Ils savent ce qui va se jouer. Ils
connaissent ce scénario qui peut être amené à devenir réel et ce scénario peut
également être clôturé par un cessez-le-feu. Donc nous aurons un cessez-le-feu,
et c’est durant la période de ce cessez-le-feu que les événements vont vraiment
commencer à décoller.
B: Savez-vous comment ?
T: Oui. C’est à ce moment que l’on va utiliser les armes biologiques.
B: Oh…
T: Ceci va créer les conditions où les armes biologiques pourront être
utilisées. Et ici il faut nous imaginer un monde, après une guerre nucléaire,
ou une guerre nucléaire limitée, le chaos, l’écroulement financier, des gouvernements
totalitaires se mettant en place.
B: Et beaucoup de dommages aux infrastructures.
T: Des gens qui vivront dans la peur totale et la panique – c’est ce qui
va suivre. Nous aurons un scénario… et on en a également parlé, et je vais
vous détailler de quelle façon les gens deviendront plus faciles à contrôler,
sans que personne ne vienne s’opposer à ce qui va se passer, parce que leur
propre sécurité viendra tout juste d’être placée fermement dans les mains de
ceux qui prétendent pouvoir au mieux les protéger.
Et c’est au sein du chaos post-nucléaire que ces armes biologiques seront
déployées de sorte qu’aucune structure, aucun filet de sauvetage ne pourra
protéger quiconque de ce type d’impact biologique.
Il faut également mentionner, pour ceux d’entre nous qui ne sont pas au
courant, que les armes biologiques sont tout aussi efficaces que les armes
nucléaires; il leur faut juste un peu plus de temps – c’est tout.
B: Oui. Maintenant, le déploiement d’armes biologiques suivant un cessez-le-feu,
est-ce une action qui a lieu secrètement, par exemple des gens vont soudainement
se trouver malades et personne ne saura d’où ça vient ? Ou bien s’agit-il d’un
déploiement d’armes à découvert qui rend les choses très évidentes ?
T: Je ne pense pas que ce serait à découvert, parce que les Chinois vont
être frappés par la grippe! Donc il y aura une épidémie mondiale de grippe,
peut-être, avec un pays comme la Chine – ou bien uniquement en Chine parce
que la Chine fut mentionnée – ce pays étant celui qui en souffrira le plus.
B: Ok. Maintenant, si vous étiez un commandant militaire chinois, que
feriez-vous dans une situation pareille ? On suppose que vous exerceriez des
représailles ?
T: Oui en effet. Le type de représailles que les forces armées chinoises
pourraient exercer n’est pas la même chose que ce que l’Occident peut faire.
Le type d’armes que l’Occident peut déployer très, très rapidement dépasse
de loin ce qui est pour le moment à la portée des forces armées chinoises –
quoiqu’ils s’améliorent avec le temps.
Mais quand je parle de la Chine, je parle de l’Armée de Libération du
Peuple, l’Armée du Peuple, qui se rassemblerait assez rapidement, nous avons
alors des mouvements de troupes massifs, en quelque sorte, dans des zones où
ils pourront engager le combat avec les troupes opposées.
Et c’est ce type d’échange qui deviendra nucléaire… c’est pourquoi je
le mentionnais au tout début… il y aura d’abord une guerre conventionnelle,
puis cela dégénérera rapidement vers une guerre nucléaire avec l’Iran ou la
Chine que l’on provoquera à utiliser l’arme nucléaire en premier, car ils ne
pourront pas se défendre de façon adéquate face à ce que l’Occident peut leur
opposer en termes d’armement conventionnel, sans se servir les premiers du
nucléaire.
B: Ok. Donc les Chinois se verront obligés d’effectuer une attaque préventive.
T: Oui, toutes leurs options leur seront retirées… leurs options de représailles
leur seront enlevées assez rapidement et ils n’auront pas le temps de récupérer.
B: Ok, maintenant ce que vous nous décrivez là, c’était la situation avant
le cessez-le-feu, lorsque la Chine allait être incitée à utiliser des armes
nucléaires.
T: Je pense qu’il vaut mieux regarder cela par étapes. Donc nous parlions
d’une sorte de guerre conventionnelle; cette guerre provoque alors l’utilisation
de l’arme nucléaire par les Chinois ou les Iraniens.
B: Ok.
T: Probablement par l’Iran qui voudra empêcher l’escalade. Puis, il est
question d’un échange de missiles suivi d’un cessez-le-feu avant que le conflit
ne déborde de sa région géographique.
B: À quoi cela ressemble-t-il ? Est-ce que cela devient global ? Par exemple,
parle-t-on d’armes nucléaires sur le territoire américain, en Europe, et ainsi
de suite ?
T: Non. On n’a pas mentionné de guerre nucléaire globale.
B: Ok.
T: C’était géographiquement confiné au Moyen Orient.
B Ok. Donc certains pourraient référer cela à la guerre d’Armageddon,
la guerre prophétisée.
T: Oui. C’est vrai. Pour ceux qui regardent de ce côté, vous savez, cela
met certainement l’emphase sur une période de temps où ce type d’événement
va se produire. Mais probablement pas comme ils le pensent, parce que je ne
saurais trop insister là-dessus: en général, les gens seront dans tel un état
de panique et de peur qu’ils en viendront à vouloir un gouvernement fort, partout.
On ne les appellera pas des gouvernements totalitaires; ce seront des
gouvernements militaires avec des gouvernements civils toujours en place, mais
en mode redondant. Les militaires décideront de tout – comme un général en
Afghanistan, ou auparavant en Iraq. Le général commandant occupe toute la scène.
C’est lui qui décide.
Donc, nous devons imaginer ce type d’événement dans un pays où il y a
un gouvernement militaire civil qui prend toutes les décisions, et un soi-disant
gouvernement élu qui est quasi-redondant. Le gouvernement militaire fournira
la sécurité aux gens qui vivent dans ces pays qui doivent encore être affectés
par ce type de contre-attaque.
B: Ok. Au mieux de votre connaissance, quand cette séquence d’événements
se produira-t-elle ?
T: Au mieux de ma connaissance… 18 mois. C’est assurément avant 2012.
B: Ok.
T: Ou autour de 2012, au cours de cette année.
B: Maintenant quelqu’un qui lirait ceci pourrait se demander : Ok, donc
c’est ce qu’ils discutaient en 2005. Comment pouvez-vous savoir si ce plan
est toujours en voie de réalisation, que les choses n’ont pas radicalement
changé, qu’ils ne l’ont pas complètement abandonné, que l’on n’a pas fait complètement
demi-tour ? Qu’est-ce qui vous rend si certain que c’est encore en voie de
réalisation ?
T: À cause des événements qui ont eu lieu depuis 2005. Je pense que c’est
sans doute la façon la plus cohérente de voir les choses. Nous avons déjà eu
une soi-disant crise financière. Ce n’était pas une crise du tout. C’était
une centralisation des pouvoirs financiers. C’est ce qui est arrivé. C’est
certainement arrivé aux États-Unis. C’est très certainement arrivé au Royaume-Uni.
C’est très certainement arrivé en France et en Allemagne. Donc tous les joueurs
clés du monde occidental ont centralisé leurs avoirs financiers.
B: En a-t-on parlé à cette réunion ?
T: Oui! Une grande partie de la rencontre a été consacrée à la façon dont
cela allait se passer. Rappelez-vous où la rencontre a eu lieu – dans la City
de Londres. Cette ville est indiscutablement le centre financier du monde.
B: Donc vous nous dites que tout cela s’est produit selon le déroulement
de leur plan.
T: C’est exact – et tous les préparatifs qui devaient être mis en place
avant ce type de conflit, ont également été mis en place.
B: Comme quoi ? De quoi parlez-vous ?
T: Bien, nous parlons d’instances majeures qui prennent le pouvoir. Prenons
ici un exemple, même si la plupart de gens au Royaume-Uni ne sont pas au courant.
L’industrie anglaise de la sécurité privée emploie environ 500.000 personnes,
ce qui est de loin supérieur à l’armée anglaise. L’armée anglaise est nettement
plus petite. Elle emploie à peine environ 200.000 personnes. Nous parlons de
500.000 personnes qui travaillent actuellement dans l’industrie de la sécurité
privée.
Maintenant, avant 2005, tout cela n’était pas réglementé. Il n’existait
pas d’entraînement pour eux. Cette force de personnes n’était pas unifiée.
Et en coulisses – et c’est quelque chose dont les gens devraient être conscients,
surtout ceux qui vivent au Royaume-Uni – il y a eu la Loi de l’Industrie de
la Sécurité Privée de 2001.
Maintenant, cette loi signifiait que quiconque travaillait dans ce secteur
privé devait suivre un entraînement donné. Ils devaient également être contrôlés
par la police. Ce qui a un certain sens au niveau civil, que des gens qui travaillent
dans ces domaines de sécurité et de responsabilité soient contrôlés par la
police. [Avec] ces vérifications par la police… on trouve tout. Il ne s’agit
pas seulement de savoir si vous avez commis un crime ou non. Croyez-moi, vous
pouvez trouver beaucoup plus que cela sur une personne via un contrôle de police.
Et puis, il y a l’entraînement. L’entraînement tourne autour de la gestion
de conflit : que faire en temps de conflit, comment le gérer, comment le contrôler.
Et ensuite on leur enseigne comment utiliser la force de façon contrôlée. Et
cela continue dans cette direction.
B: Donc vous parlez du contrôle des problèmes de désordre civil et ainsi
de suite. C’est une préparation à cela.
T: En effet. Prenez les manifestations qui ont eu lieu après l’invasion
de l’Iraq en 2003, ici au Royaume-Uni et en Europe de l’Ouest et aussi aux
États-Unis, mais principalement en Europe de l’Ouest. Cela a été comme un soulèvement
de masse contre la guerre en Irak. Cela ne se répètera pas. Cela ne se répètera
plus.
Mais les gens de cette industrie doivent être autorisés légalement à pouvoir
faire leur travail parce qu’ils travailleront à protéger des avoirs, donc ils
feront toujours leur travail. Et à l’heure actuelle pendant que nous discutons,
l’Association de l’Industrie de la Sécurité demande et obtient plus de pouvoirs
encore que ceux qui lui ont déjà été accordés. Ils ont déjà la permission d’opérer
légalement au sein d’un environnement civil. Maintenant ils obtiennent les
pouvoirs policiers additionnels dont ils ont besoin.
Et ce n’est pas seulement pour ceux de l’industrie de la sécurité anglaise;
c’est également ceux que l’on appelle “officiers civils de mesures coercitives”
(civilian enforcement officers): des préposés au stationnement, ce genre de
choses; des officiers de police communautaire; ceux qui aident la police à
faire leur travail ; ils obtiennent des pouvoirs, liés aux responsabilités,
qui sont requis pour leur permettre de faire leur travail effectivement. Donc
nous parlons de pouvoir d’arrestation, de pouvoir de détention; nous allons
dans ces directions. Et c’est ce qui va se produire.
B: Est-ce qu’à votre connaissance cela se produit également dans d’autres
pays occidentaux ?
T: Bien, cela s’est déjà produit dans d’autres pays occidentaux, comme
la France et l’Allemagne, où vous avez plusieurs forces de police travaillant
de concert. Vous n’avez pas une force de police, que vous pouvez identifier
et dont vous pouvez dire: Bien, ils sont de la police. Ils ont d’autres agences
et ils détiennent tous des pouvoirs similaires.
Mais ces pouvoirs à l’intérieur de l’industrie de sécurité anglaise n’existent
simplement pas encore pour le moment. Par ailleurs, ils existent déjà aux États-Unis
et c’est essentiellement un modèle américain qui est utilisé ici.
B: Ok. Maintenant, avant d’aller dans ces détails, vous nous parliez de
trame temporelle – et je vous demandais quelle serait votre réponse si on vous
demandait comment vous pouvez être si certain que le plan était toujours en
voie d’être réalisé, même si la réunion que vous décrivez a eu lieu il y a
quatre ans.
T: Presque cinq ans maintenant.
B: Presque cinq. Oui.
T: Oui. Tout ce que je peux dire, Bill, c’est de prendre en considération
ce que j’ai mentionné, et si cela en réveille certains – alors ils peuvent
vérifier par eux-mêmes la véracité de mes dires, s’ils le désirent.
B: Oui.
T: Tout n’est pas caché. Ils n’ont pas la capacité de tout cacher. Et
alors, il est possible d’assembler les pièces du puzzle et de constater que
tout cela est très crédible.
B: Oui. Je dois admettre, c’est très crédible, cela donne à réfléchir.
Au tout début de notre conversation, vous nous disiez que… c’est moi qui paraphrase…
vous disiez que selon leur point de vue, c’était une course contre la montre.
Pourquoi ?
T: Beaucoup de choses vont se produire dans les prochaines années, qui
ont trait au pouvoir. Il y en a, pour être honnête avec vous, que je ne comprends
pas vraiment. Mais d’après ce que je comprends, il y a beaucoup de négociations
de pouvoir qui ont lieu pour le moment, et c’est essentiellement autour du
fait que ceux qui contrôlent la plus grande partie de la société non seulement
depuis des siècles, mais depuis des millénaires, souhaitent que leur contrôle
se poursuive. Et, dans ce but, une séquence d’événements doit être manufacturée.
Ce que je viens de vous décrire en constitue probablement la première partie.
Alors nous allons entrer dans cette guerre, puis après cela… et je ne
peux pas vous donner un échéancier précis du déroulement de ce qui va se produire…
il va y avoir un événement géophysique sur terre qui va tous nous affecter.
Maintenant, à ce moment-là, nous viendrons tous de passer par une guerre
nucléaire et bactériologique. Si cela se produit, la population de la Terre
aura été drastiquement réduite. Lorsque cet événement géophysique aura lieu,
le reste de la population sera probablement diminué de moitié. Et ce sont ceux
qui survivront qui détermineront qui s’emparera du monde et du reste de sa
population pour l’amener dans l’ère suivante.
Donc nous parlons d’une ère post-cataclysmique. Qui dirigera ? Qui contrôlera
? Tout tourne autour de cela. Et c’est pourquoi ils agissent de façon si acharnée
pour que ces choses se déroulent selon un échéancier établi. Sinon, ils vont
tout perdre.
B: Ok. Laissez-moi me faire l’avocat du diable ici. Parlez-moi à partir
de votre point de vue de militaire expérimenté, celui qui est familier avec
le mode de réflexion militaire. Pourquoi doit-il y avoir une guerre et l’établissement
d’un gouvernement totalitaire, et une atmosphère de terreur, et ainsi de suite,
pourquoi a-t-on besoin de tout cela s’il va y avoir un événement géophysique
majeur, comme celui que vous décrivez, qui va endommager l’infrastructure plus
qu’elle ne le sera déjà, qui va engendrer une forte mortalité, résulter en
une quantité d’urgences de toutes sortes de par le monde, des tremblements
de terre, des tsunamis, et Dieu sait quoi ? Ces derniers événements pourraient
à eux seuls justifier l’imposition d’une loi martiale dans la plupart des pays,
des états d’urgence et ces mêmes factions pourraient facilement justifier le
fait d’assumer le pouvoir dans des urgences semblables. Pourquoi la partie
‘guerre’ dans le scénario ? Je ne comprends pas cela.
T: Je pense qu’il vous faut regarder les choses d’un point de vue différent.
Après un événement cataclysmique, il n’y aura plus, ou peu, de structure. Et
s’il n’y a pas de structure, cela signifie qu’il faut en remettre une en place.
Une structure doit être en place avant que ces événements ne se produisent,
avec une relative certitude qu’elle y survivra – de sorte qu’elle puisse atterrir
sur ses deux pieds le jour suivant, et ensuite demeurer au pouvoir et tout
simplement détenir le pouvoir dont elle jouissait précédemment.
B: Donc, c’est une justification pour renforcer les parties critiques
de l’infrastructure, qui en temps normal civil ne seraient pas aussi fortes,
en réalité en préparation au cataclysme. C’est cela que vous nous dites ?
T: En effet. Et j’entre dans une zone subjective où mon point de vue ne
vaut pas plus que celui d’un autre, mais j’ai l’impression, et ce n’est là
que mon intuition, que tout est prêt maintenant. Que leur pouvoir est bien
solidifié. Et la seule façon de le renforcer c’est de créer les circonstances
nécessaires, donc un conflit.
Et nous pouvons revoir nos leçons d’histoire. Chaque guerre a rempli un
objectif. À part la souffrance humaine qui s’y vit, cela a toujours atteint
un but. Et le but est toujours en faveur du vainqueur.
Donc nous examinons ce régime totalitaire, et je crois que de toute façon
il est déjà totalitaire. Je veux dire, nous n’avons pas du tout de démocratie.
Personne ne peut parler. Tout a déjà été décidé au-dessus de la tête des gens.
Nous n’avons aucune importance, c’est un fait. Nous n’avons vraiment aucune
importance. Ils sont importants, et leur pouvoir est important, et c’est tout
ce qui compte. Et je crois que si vous pouviez voir l’esprit de quelqu’un qui
opère de cette façon, vous comprendriez ce qu’ils font et pourquoi ils veulent
contrôler la partie finale et retrouver intact leur pouvoir à la fin, car on
peut survivre à cet événement géophysique.
B: Avez-vous des indications sur la date des événements ? Cela implique,
d’après ce que vous dites, qu’ils s’attendent à quelque chose en 2012. Est-ce
que c’est un événement de 2012 ?
T: Non, ceci n’est pas vraiment centré sur le 21 décembre 2012. Je n’ai
aucune idée sur ce qui pourrait se produire à cette date.
Je soupçonne fortement que cela pourrait être quelque chose d’autre, peut-être
quelque chose de bien pour tous. Je ne sais vraiment pas. Mais, certainement,
autour de cette période nous serons au cœur d’un conflit qui durera aussi longtemps
qu’il faudra. Mais nous parlons de quelques années après 2012 quand cet événement
géophysique aura lieu. Je crois que cela aura lieu de mon vivant.
B: Ok. Revenons un peu sur le déroulement d’événements que vous décrivez:
l’échange nucléaire suivi du cessez-le-feu, puis l’utilisation d’armes biologiques…
ce que vous nous racontez c’est qu’il va en résulter un tel chaos qu’il faudra
à l’humanité une génération pour reconstruire tout cela. Durant cette période,
il y aura une sorte de lourde infrastructure totalitaire pour gérer cette urgence
et cette reconstruction. Et alors, à peu près à ce moment, il y aura cet événement
géophysique majeur ; c’est pourquoi ils doivent commencer le plus tôt possible.
C’est bien cela ?
T: C’est correct. C’est cela.
B: Pensez-vous qu’ils savent quand cela va se produire ? Ou bien est-ce
que vous croyez qu’ils pensent que cela va se produire “n’importe quand” ?
T: Oui. Je pense qu’ils ont une bonne idée de quand cela doit arriver.
Je ne sais pas quand. Cependant, j’ai cette nette impression que cela va avoir
lieu durant ma vie, disons d’ici les 20 prochaines années. Vous pourriez probablement
avancer un peu la date – entre maintenant et dix ans; entre maintenant et cinq
ans.
B: Hm.
T: Vous savez, je ne le sais vraiment pas. J’aimerais bien le savoir.
C’est quelque chose que j’aimerais vraiment savoir, mais nous venons d’entrer
dans la période dans laquelle cet événement géophysique est sur le point de
se produire, quand on considère la période de temps qui s’est écoulée depuis
le dernier évènement qui s’est produit il y a environ 11.500 ans, et cela se
produit de façon cyclique à peu près tous les 11.500 ans. Cela doit arriver
de nouveau, bientôt.
B: Oui.
T: En a-t-on parlé durant cette rencontre ?
T: Non, on n’en n’a pas parlé ouvertement. Laissez-moi vous résumer ce
qui fut discuté à la réunion:
L’Iran sera attaqué, probablement endéans les 18 mois. La Chine viendra
en aide à l’Iran, pour protéger ses propres intérêts. Des armes nucléaires
seront utilisées par l’Iran ou par la Chine, suite à la provocation d’Israël
à en faire usage les premiers. Une bonne partie du Moyen-Orient sera détruite.
Des millions de gens mourront dans un très court lapse de temps. Et, pour une
raison ou une autre, il y a ce détail, sans que je puisse l’expliquer: la Chine
avancera de force dans certaines parties de la Russie afin d’étendre ses lignes
de cessez-le-feu. Ensuite, des armes biologiques seront déployées à l’encontre
de la Chine. La Chine va “attraper froid”.
Et, selon ma propre compréhension, il existe une sorte d’alliance maléfique
avec des extraterrestres (ET) depuis 50 ans impliquant le Royaume-Uni, les
États-Unis et d’autres puissances occidentales, et ceci inclut le Japon.
Et, lorsque nous parlons d’une alliance ET maléfique, c’est dans le contexte
des projets noirs, et ceci est un échange de technologies qui est en cours
depuis assez longtemps. Alors il y a ici une implication certaine, que je ne
peux moi-même expliquer complètement.
Et je comprends également qu’il y a des entités ET plus humanitaires et
altruistes qui œuvrent à l’encontre de cette trame temporelle et qui maintiennent
un équilibre précaire sans intervenir eux-mêmes directement. Une fois de plus
je suis incapable de l’expliquer mais j’ai l’intuition que cela fonctionne,
et il y a d’autres aspects de mon expérience qui m’amènent à affirmer cela
– mais c’est une autre histoire.
Donc, nous parlons des puissances occidentales qui cherchent une ‘guerre
parfaite’ – ce qu’ils font depuis tout le vingtième siècle jusqu’à aujourd’hui,
parce que cette trame temporelle remonte assez loin dans le passé. Alors cette
trame temporelle est en cours depuis des décennies ou des siècles.
Et je pense également qu’il est très important d’associer cette trame
temporelle avec son autre référence que j’ai entendue plusieurs fois: elle
s’appelle LA MISSION ANGLO-SAXONNE. Je pense que c’est important à ajouter
l’ajouter parce que cela peut dit quelque chose à certains et je ne pense pas
que cela ait été mentionné auparavant.
B: J’ai déjà entendu cette expression. Sans vouloir dériver, ce que j’ai
contre cela – et vraiment je commence à comprendre et c’est effrayant, d’après
ce que vous dites – la raison pour laquelle on l’appelle la Mission Anglo-Saxonne
c’est parce qu’à la base, le plan consiste à éliminer les Chinois de sorte
qu’après le cataclysme, une fois les choses reconstruites, ce seront les Anglo-saxons
qui seront en position de reconstruire et d’hériter la nouvelle Terre, avec
personne d’autre aux alentours. Est-ce que c’est correct ?
W: Je ne sais vraiment pas si c’est exact, mais j’aurais tendance à être
d’accord avec vous. Durant tout le vingtième siècle au moins, et même avant,
au 19ième et au 18ième siècle, l’histoire a été majoritairement dominée par
l’Occident et par l’hémisphère Nord de la planète. D’autres ont essayé mais
ont échoué.
Et nous pouvons affirmer que la première guerre mondiale et la seconde
guerre mondiale furent des guerres manufacturées. J’en suis tout-à-fait certain.
Et elles ont été utilisées comme étapes à franchir pour en arriver là où ils
en sont. N’importe quel historien vous le dira: si cela ne s’était pas produit,
ceci ne serait pas arrivé. Nous n’aurions pas eu les Nations Unies; les États-Unis
d’Amérique ne seraient pas devenus une superpuissance en un lapse de temps
si court. Ils sont devenus une superpuissance en quatre années de guerre. Et
ils ont terminé avec des armes nucléaires.
Je pense que les gens devront intégrer ceci à leurs propres agendas. Il
n’y a aucun doute possible que l’Occident soit devenu la puissance prépondérante
dans le monde.
B: En rétrospective, on peut apercevoir comme une stratégie à long terme
qui s’étend depuis plusieurs générations, même si à l’époque, on ne pouvait
pas voir la forêt à cause des arbres.
T: C’est dans la nature des gens – vraiment. Vous savez, nous vivons seulement
nos propres vies avec celles de nos familles et ceux qui nous sont proches
et nous faisons de notre mieux. Ce n’est pas très souvent que nous levons la
tête au dessus du parapet pour jeter un bon coup d’œil afin de voir ce qui
se passe vraiment. Nous ne sommes pas très habiles en cela, j’en ai peur.
J’en suis un bon exemple. J’ai été impliqué dans tellement de choses,
j’y ai plongé la tête et je me suis concentré sur ce que je faisais, tout en
ignorant ce qui se passait ; peut-être que je niais inconsciemment ce qui se
passait jusqu’à ce que j’aie vraiment quelque chose à dire à ce sujet.
B: Oui. Sur une note plus personnelle, ce doit être difficile de vivre
avec cette expérience personnelle d’avoir écouté ces conversations sachant
que ce n’était pas de la fantaisie parce que vous les entendiez en discuter,
et en rire.
T: Bien, c’était très informel. Je veux dire, ils se sentaient très à
l’aise de parler de cela.
Comment mieux vous décrire ces gens dont je vous parle ? Je parle d’individus
qui dégagent de la puissance. Ils engendrent la peur. Ils exigent obéissance
et, par Dieu, ils l’obtiennent! Et par leur façon de parler, ils dictent leurs
volontés aux gouvernements soi-disant élus que nous avons au parlement ou à
Washington ou à Berlin ou à Paris. Ces gens dégagent cette sorte de puissance,
qu’est-ce que je peux dire d’autre ?
Je suis sûr que d’autres que moi ont rencontré ce type d’individus dans
leur vie. Il n’y pas un atome de compassion dans leur corps. Ils ne reflètent
aucune forme de chaleur spirituelle. Ils sont froids, calculateurs. Pour utiliser
une expression d’ici, “le beurre ne fondrait pas dans leur bouche”.
B: Il y a plusieurs personnes qui supposent qu’à un certain niveau, peut-être
pas le niveau des gens de votre réunion, mais à un certain niveau, dans ce
gouvernement derrière les coulisses qui orchestre tout ce plan, se trouve une
intelligence non-humaine.
Et l’un des arguments en ce sens c’est qu’il faut beaucoup de réflexion
à long terme, de qualités stratégiques, pour suivre un plan sur plusieurs générations,
c’est la marque d’une extrêmement grande intelligence que de jouer aux échecs
à une si grande échelle. Donc plusieurs personnes, moi inclus, suggèrent qu’il
doit y avoir une intelligence non-humaine derrière cela.
T: Oui. Et ma perception est que cette intelligence est incroyablement
logique, sans aucune empathie, sans aucun amour, compréhension ou compassion.
Ils sont froids et calculateurs et logiques au delà de la logique normale.
Ils vont bien au delà de cela – ce sont des personnes suprêmement intelligentes.
Ce sont des gens qui peuvent produire des réponses à des questions vraiment
difficiles sans cligner des yeux. Ce sont des individus très, très brillants,
mais brillants seulement en ce sens que leur logique est extraordinaire.
B: Qu’est-ce que les gens ordinaires peuvent faire ? Comment devraient-ils
réagir ? Que devraient-ils penser ? Pensez-vous personnellement que c’est inévitable
? Pensez-vous que d’une certaine façon, nous sommes tous condamnés ?
T: Non, absolument pas. J’ai souvent réfléchi à cela, Bill, et bien sûr,
il s’agit d’un point de vue personnel: Nous allons survivre. Mais pour survivre,
d’une personne à une autre, il nous faut ne plus travailler pour eux. Arrêter
de travailler pour eux. Il ne faut pas réagir violemment contre eux parce qu’ils
gagneraient. Ils aimeraient que cela se produise, cela leur donnerait alors
une excuse. Ils se nourrissent de la peur et de la violence – la réaction à
la peur. Pour eux, ce serait comme du miel pour des abeilles. Ils adoreraient
que cela se produise.
Ce qu’il nous faut c’est une réaction non-violente: simplement ne plus
faire le travail pour eux. Pour faire une comparaison, Bill, il y a eu cet
homme que l’histoire a largement ignoré. C’était un Français du nom de Jean
Jaurès. Je me suis toujours demandé pourquoi ce personnage incroyable n’était
jamais entré dans les livres d’histoire. Il est très connu en France dans certains
milieux, mais pas du grand public.
Il a prédit l’avènement de la première guerre mondiale. Il ne voulait
pas que le Mouvement International des Travailleurs s’aligne avec les familles
royales et l’aristocratie, et quand vous lirez à son sujet vous découvrirez
cela par vous-mêmes. Deux mois avant le début des hostilités, lorsque l’archiduc
Ferdinand fut assassiné en Serbie, Jaurès fut assassiné dans un café français.
Ils l’ont tué. Il a été abattu raide mort, et son mouvement est mort avec lui.
Avant la première guerre mondiale, il avait tout deviné. Il voyait les
aristocraties et les familles royales s’en prendre les unes aux autres, en
un grand conflit. Il savait que la France et l’Allemagne, le Royaume-Uni étaient
toutes des nations industrialisées. De plus, il réalisait que, les protagonistes
étant industrialisés, la prochaine guerre allait probablement tuer des millions
de gens.
Il forma un mouvement que certains avaient qualifié de communiste. C’était
le Mouvement International des Travailleurs et il n’avait rien à voir avec
la politique. Son idée était que la personne ordinaire ne fasse rien, n’aille
pas à la guerre, qu’elle reste simplement à la maison et ils n’auraient pas
eu la guerre qu’ils voulaient.
Je crois personnellement que si l’on adopte la non-violence et que si
les gens deviennent plus conscients de ce qui se passe, alors ces individus
perdront leur pouvoir très, très rapidement. Ils se nourrissent du pouvoir,
ils se nourrissent de la peur. Alors si vous leur enlevez ces éléments, ils
deviennent impuissants. Ils ont besoin de nous pour faire ce qu’ils font. Ils
sont incapables de réussir par eux-mêmes, bien qu’ils puissent être très dangereux
à n’importe quel moment, mais ils ne peuvent pas y arriver seuls.
Et l’essentiel de mon message est de vous éveiller un peu, de regarder
ce qui se passe autour de nous, mettre sans crainte nos têtes au-dessus du
parapet, prendre une bonne respiration, regarder autour, voir ce qui est en
train de se produire, et les gens réaliseront rapidement : Ah oui. Ok. C’est
vers cela que nous nous dirigeons. C’est là que nous allons et il n’y a pas
grand-chose que je puisse y faire. Mais ils peuvent [y faire quelque-chose]
!
Il s’agit de faire ce choix. Cela semble ridiculement simple. C’est simple
dans son exécution et c’est en notre pouvoir en tant qu’êtres humains qui vivons
consciencieusement, qui respirons, qui avons de la compassion l’un pour l’autre,
de réaliser cela. Parce que si on ne le fait pas, ils vont aller de l’avant
et remporter la partie finale.
B: D’après votre propre expérience militaire, croyez-vous qu’il existe
suffisamment de personnes dans l’armée qui diront : Vous savez quoi ? Je ne
me suis pas engagé pour cela. Je ne ferai pas cela. Ou bien pensez-vous qu’ils
vont accepter toutes les justifications qui sont en train d’être établies ?
T: Bien, la majorité de des armées occidentales ne sont pas des armées
conscrites. C’est une armée professionnelle, qui est fière de son professionnalisme.
Elle est fière d’agir au nom des gens qui ont élu le gouvernement qui les envoie
faire leur travail. C’est une question à laquelle il est très difficile de
répondre. Et bien sûr, ces troupes sont superbement entraînées et ils croient
entièrement, tout comme je le croyais quand j’étais à l’armée, qu’ils font
leur travail pour de bonnes raisons.
S’il devient évident à ceux qui occupent de telles professions – pas seulement
l’armée; nous parlons également des services d’urgence, de la police, tous
ceux qui se sont tracés un chemin dans l’industrie de la sécurité, nous parlons
de tous ces gens. Si suffisamment de voix se font entendre, alors ceux de l’armée
qui n’ont pas encore atteint un rang significatif, qui n’ont pas d’intérêt
à ce jeu, pourront alors s’éveiller comme tout le monde.
Mais il faut garder à l’esprit que les puissances de l’Occident ont des
services militaires professionnels, et que c’est difficile de clarifier les
choses et de faire savoir à ces gars et ces filles qu’ils ne combattent pas
le bon adversaire.
B: Bien sûr. Laissez-moi vous poser une question différente. Y a-t-il
eu une référence à des endroits qui seraient “plus sécuritaires” ? Physiquement,
je veux dire.
T: Non. Pas du tout.
B: Rien du genre : l’hémisphère Sud est Ok, l’hémisphère Nord va s’avérer
problématique ? Rien de ce genre ?
T: Non, pas lors de cette rencontre. Cela n’a pas du tout été mentionné.
B: Ok. Une autre question que j’aimerais vous poser, et c’est une question
passionnante à débattre avec des gens qui sont conscients de toutes ces questions,
et c’est une question personnelle: pourquoi croyez-vous que les extraterrestres
bienveillants, et je suis certain qu’ils existent, pourquoi pensez-vous qu’ils
n’embarquent pas dans le jeu en disant : Ok les gars, normalement on ne se
mêle de rien, mais là ça devient sérieux et nous n’allons pas laisser cela
arriver. Est-ce possible ? Pourquoi gardent-ils une telle distance ?
T: Bien, mettons les choses en ordre. “Ces extraterrestres bienveillants”
– je n’aime pas les appeler “extraterrestres”… Je crois que ces gens sont “nous”
et nous sommes “eux”.
B: Oui.
T: Ils sont ici depuis bien plus longtemps que le régime qui est pour
le moment au pouvoir. Le régime actuel, ce régime basé sur le pouvoir, certains
les appellent les reptiliens, et je n’ai pas de problème à les appeler ainsi
car c’est exactement ce qu’ils sont – un cœur complètement froid. Ils sont
ici depuis beaucoup, beaucoup plus longtemps et ce sont eux qui ont vraiment
fait de l’humanité ce qu’elle est aujourd’hui.
Des interventions ? Je crois qu’ils sont intervenus par les meilleurs
façons qu’il leur était possible. Mais nous parlons d’êtres très évolués spirituellement,
comme la race humaine est très évoluée spirituellement – c’est peut-être pour
cela qu’ils reviennent par ici aussi souvent, sur cette planète.
Mais pour ces gens qui sont “nous” comme nous sommes “eux”, comme je le
mentionnais, ils ne considèrent pas le temps comme nous le comprenons ici dans
notre monde physique. Pour eux, 11.500 ans c’est un battement de paupières.
Ce n’était rien et ils savent déjà ce que va être la fin de la partie. Ils
croient, tout comme je le crois, que ce régime qui est actuellement au pouvoir
et qui souhaite dominer totalement la Terre et tout ce qu’il y a dessus, ne
va pas gagner. Ils ont leur moment de gloire maintenant et il est sur le point
de se terminer.
B: Sur quelle base ressentez-vous cela ? C’est très important pour les
gens qui lisent cette transcription, car certains vont se sentir assommés et
en état de choc avec l’information que vous présentez, pensant : Oh mon Dieu,
nous sommes réellement dans le pétrin, ici.
T: Oui, je pense, si vous le prenez d’un point de vue purement physique.
Je ne veux pas dire que nous avons des esprits suicidaires ou quelque chose
comme ça. Nous voulons tous nos vies, nous chérissons tous nos vies, c’est
le cas de tout le monde. Nous aimons nos vies et nous voulons les vivre pleinement
de toutes les façons et de la meilleure manière possibles.
On nous empêche pour le moment de le faire à cause de ce régime qui est
basé sur la peur ; c’est entièrement basé sur la peur. Et la plus grande peur
que nous ayons pour le moment, c’est la peur de la mort ; et cela fait partie
du plus grand pouvoir qu’ils détiennent sur nous, ce type de peur, cette anxiété
qu’ils peuvent augmenter ou diminuer à volonté – c’est ce qu’ils font tout
le temps.
Je ne peux pas me rappeler un moment où ça ne s’est pas produit, où cette
peur ne s’est pas manifestée pas et ne nous a pas fait réagir comme nous le
faisons. Cela semble parfaitement naturel. Mais ce qui se produit quand nous
nous arrêtons de sentir cela et nous nous disons: Bien, c’est seulement de
la peur. Nous pouvons passer par dessus cela, alors nous puisons l’énergie
de notre vraie nature.
Je ne pense pas qu’il y ait, pour le moment, suffisamment de gens qui
savent qui ils sont.
Ils se définissent par leur propre existence physique, laquelle est complètement
basée sur la peur, et c’est cyclique et ils ne peuvent pas s’en sortir. Et
évidemment, ils éprouvent un grand besoin de trouver une façon de s’en sortir.
Je crois, personnellement, que ceci est un décalage – je l’appelle décalage
car je crois que c’est ce qui va se produire; la croûte terrestre va se décaler
d’environ 30 degrés, soit d’environ 2700 à 3200 km vers le Sud, et cela va
causer un grand bouleversement, les effets duquel seront ressentis très longtemps.
Mais la race humaine ne va pas mourir. Nous serons encore là. Ce qui me préoccupe,
c’est de savoir où nous en serons à ce moment. Et c’est ce qui préoccupe ce
régime également. C’est pourquoi ils agissent comme ils le font; afin de pouvoir
détenir le contrôle à ce moment-là.
Maintenant, si nous parlons d’intervention, c’est à ce moment qu’il y
aura une intervention des “extraterrestres bienveillants”. Ces gens qui sont
réellement “nous”, c’est alors que cela pourrait se produire, mais je ne le
sais pas avec certitude. J’ai une forte intuition que ce sera le cas, mais
à l’heure actuelle la situation que nous avons ne tend pas à favoriser ce genre
d’intervention. Pas maintenant.
Ils ne sentent pas que c’est le moment approprié. Et de toute façon, l’existence
physique ne constitue qu’une infime partie de qui nous sommes vraiment, donc
quelle importance devez-vous accorder à cela, sachant que lorsque vous passez
de cette porte-ci à la porte suivante, vous êtes de toute façon revenu à la
maison ?
Alors tout cela doit être pris en considération, et je suis sûr qu’il
y a beaucoup de gens qui pourront articuler cela bien mieux que moi. Je suis
seulement capable d’articuler les choses de mon point de vue, et c’est ce que
je sens intuitivement qui pourrait arriver. Et je dis pourrait dans la certitude
où je peux être sûr en moi-même que cette sorte d’événement va se produire,
et il nous faudra passer des moments douloureux pour atteindre le point où
ce régime n’aura plus le pouvoir qu’il détient pour le moment.
Les gens se réveillent, ils réalisent ce qui se passe autour d’eux, et
ils élèvent leur conscience à des niveaux jamais atteints auparavant ; et alors
tous les éléments tomberont rapidement en place. À ce moment-là, le pouvoir
de ces individus va tout simplement tomber comme une serviette qui les dénudera,
et c’est alors qu’ils seront exposés pour ce qu’ils sont.
B: C’est là une pensée inspirante. Ressentez-vous personnellement que…
Laissez-moi décrire quelques alternatives: Que toute cette guerre pourrait
bien ne pas se produire du tout; que tout ce plan pourrait se démantibuler
? Ou que tout va se démantibuler après la guerre, mais avant le cataclysme
? Ou bien tout cela pourrait se démantibuler après le cataclysme et les doux
hériteront de la Terre, mettons ?
T: Oui. C’est une extrêmement bonne question. Prenons deux éléments en
considération: tout d’abord la détermination absolue de la part de ce régime,
pour ne pas dire autre chose, la détermination totale qu’ils ont à réaliser
tout ceci. Ils sont acharnés. Ils y mettent le paquet pour que cela se produise.
Ils créent les scénarios d’entrée et de sortie. C’est sans relâche; c’est sans
arrêt; il n’y a plus de place pour respirer. Et lorsqu’il y a de l’espace pour
respirer, je veux dire, quand les gens commencent à se relaxer, un nouvel élément
survient pour nous garder dans les affres de la peur qu’ils ont générée.
C’est une force immensément puissante qu’ils détiennent, massivement puissante,
et il ne faut jamais la sous-estimer. C’est la sorte de chose qui fait virer
les bonnes et honnêtes gens, qui met des gens dans la tombe avant leur temps,
à cause du stress et de l’anxiété. Il faut s’éloigner de cela et voir les choses
pour ce qu’elles sont.
S’il y a suffisamment de gens qui peuvent élever le niveau de conscience
et simplement voir ce qui se passe, alors tout le monde va lever la tête. Je
pense qu’il faut seulement une ou deux personnes pour lever la tête et dire:
Oui. Tout est dégagé, pour que tous les autres sortent de leur trou. Alors
vous les verrez partout dans le monde, dans divers pays, avec simplement une
nouvelle sensation, une meilleure sensation que ce que nous avons ressenti
auparavant, ce seront ces personnes qui s’autoriseront elles-mêmes en reconnaissant
ce qu’elles sont vraiment.
Et il n’y a rien de mystique là-dedans. Rien de profondément cultiste
ou rien du genre. Cela n’a pas grand chose à voir avec la religion. Cela concerne
l’esprit humain et la conscience avec laquelle nous vivons et que nous partageons
tous indubitablement – mais qui est pour le moment supprimée. Et nous devons
dépasser ces forces oppressives afin de réaliser qui nous sommes. Quand cela
se produira – tout le reste s’ensuivra tout naturellement et ce régime, aussi
dangereux soit-il – je ne le dirai jamais assez: ce sont des gens méchamment
dangereux, extrêmement dangereux – leur pouvoir va disparaître.
B: Cela se rapproche beaucoup de ce que raconte David Icke. Cela ressemble
énormément à ce que dit le Dr. Bill Deagle, et dont nous avons parlé un bon
nombre de fois.
T: Oui.
B: Il se produit actuellement une élévation de conscience sur la planète,
mais ils essaient désespérément de mettre le couvercle et d’accélérer leurs
plans afin de parvenir à instaurer un contrôle de type main de fer. Les choses
vont empirer avant de s’améliorer, mais à la fin, ils ne vont pas gagner car
la conscience transcende toute force et tout contrôle militaire et toute la
planification stratégique qu’ils auront pu mettre en place. Et c’est une question
de conscience collective qui continue de prendre de l’expansion, comme cela
semble être le cas.
Et cette interview que nous réalisons ici se doit d’y prendre part. Parce
qu’il ne s’agit pas ici d’effrayer les gens et de les inciter à se cacher dans
des abris avec de la nourriture en conserve. Il s’agit plutôt de dire: Écoutez,
il n’est pas nécessaire que les choses se passent de cette façon si nous pouvons
être aussi grands que nous sommes, et aussi braves que nous pouvons l’être,
et aussi forts que nous pouvons l’être, et réaliser qui nous sommes vraiment.
Et si un nombre suffisant d’entre nous y parvient, alors cela ne va pas se
dérouler comme ça.
T: C’est vrai. C’est exactement ce que je dis. Je réalise que je ne suis
pas le seul à le dire, mais comme vous l’indiquez, cela doit être répété. Les
gens doivent être conscients qu’il y a de l’espoir, et que les choses n’ont
pas besoin d’être comme elles sont. Elles n’ont jamais eu besoin d’être ainsi.
Cela peut aller beaucoup, beaucoup mieux.
Il s’agit de dépasser la peur; c’est de cette peur que les gens doivent
se débarrasser. Il n’est pas nécessaire d’être des psychiatres ou des psychologues
ou rien de ce genre – ils ne s’occupent que de l’esprit. Nous n’avons pas besoin
d’être des leaders religieux ou de grands penseurs spirituels pour être conscients
de cela, parce nous l’avons tous en nous. De façon innée. Alors il s’agit de
regarder en soi et de devenir à l’aise avec qui nous sommes; alors nous saurons
ce qui se passe, et ce qui ne va pas. Et tout le monde aussi… cela va tout
simplement se répandre.
Même ceux qui ont été endoctrinés dans ce régime de peur ne pourront pas
résister parce que cela consistera à se résister à soi-même et ce qu’ils sont
vraiment. Et c’est une chose merveilleuse; c’est la raison d’être de l’univers
et de toute cette expérience. Et ces périodes, ces derniers millénaires, seront
réduites à… même pas un mauvais souvenir… juste comme: Hm! Bien, nous avons
tiré une leçon de cela. Ok ? Et nous nous assurerons que cela ne se reproduira
plus, et que cette espèce d’individus qui peuvent engendrer ce genre de peur,
vous savez, ne pourra plus jamais prendre racine ici à nouveau.
Alors, oui, je pense que ces jours approchent et si ça se produit à temps
– et ‘temps’ est un de ces mots qu’il faut utiliser avec soin car ce régime
est très fondé sur le temps, même si la conscience humaine n’est vraiment pas
tellement concernée par le temps, mais incontestablement à cause de la nature
physique de la Terre. Elle fait des choses de façon cyclique. Vous savez, nous
avons les saisons: printemps, été, automne, hiver. Le décalage qui approche
n’est qu’une autre saison.
Ce qui va se produire est un changement géophysique; c’est une autre saison,
et une humanité très consciente pourrait fort possiblement prendre cela en
ligne de compte et s’en sortir très bien de l’autre côté.
Je sais que vous mentionniez le principe d’endroits sûrs où les gens pourraient
aller. Je ne sais vraiment pas. Mais d’un point de vue personnel, je sais où
je devrais être, et là où je devrais être, c’est ici et maintenant. Que cela
soit sûr ou non n’a aucune importance; c’est là où je devrais être, et je me
sens à l’aise avec cela.
B: Oui. Quand les gens nous posent cette question de savoir où ils feraient
mieux d’aller, nous leur donnons la réponse que cela varie d’une personne à
l’autre, selon des facteurs que personne d’autre qu’eux-mêmes ne peuvent connaître.
Certaines personnes ont besoin de rester là où ils sont, d’autres ressentent
le besoin de voyager, mais la raison pour ceci pourrait être qu’ils ont quelqu’un
à rencontrer et quelque chose à faire en d’autres lieux. Cela dépend vraiment
d’une quantité de facteurs, pas seulement : Où cela sera-t-il objectivement
sûr et où devrions-nous nous cacher ? Cela devrait plutôt ressembler à: Où
est-ce que nous pourrions mieux déployer nos capacités que nous avons ici et
maintenant, afin d’accomplir ce pourquoi nous sommes ici ? Et cela constituera
pour chaque individu une réponse personnelle.
T: Absolument. C’est le cas. Je pense qu’au plus les gens deviennent conscients,
au plus le facteur peur disparaît. Nous ne vivons pas dans cette peur, alors
ce que vous craigniez auparavant ne constitue plus une peur pour cette personne
ou pour ce groupe d’individus. La peur ne sera simplement plus présente.
Ce qui ne signifie pas qu’il n’y aura plus de préoccupations, qu’il n’y
aura plus de douleur et tout le reste; bien sûr qu’il y en aura. Mais par dessus
tout, les peurs que nous expérimentons pour le moment, les peurs physiques
des incertitudes et de la nature imprévisible des choses, ces peurs disparaîtront
simplement. Il nous restera à être les gens que nous sommes, et je pense que
la race humaine en général est vraiment merveilleuse.
B: Oui. C’est une chose merveilleuse que les gens peuvent ramener avec
eux, quelque chose dont nous avons souvent parlé. Il y a ce film merveilleux.
Cela remonte à 1984, un film avec Jeff Bridges qui s’appelait Starman. Cet
homme des étoiles est un visiteur extraterrestre qui vient dans un but pacifique,
il essaie de comprendre la race humaine parce qu’il se trouve dans une étrange
situation. Et il essaie de retourner chez lui.
Vers la fin du film, il dit : Voulez-vous savoir ce que je trouve de très
beau dans votre espèce ? Vous êtes à votre meilleur quand les choses sont à
leur pire.
Je n’ai jamais oublié cette phrase. Elle parle du fait que ce qui est
merveilleux dans la race humaine, c’est la capacité de transcender les problèmes
et de plonger au plus profond d’elle-même afin de produire le meilleur d’elle-même
dans les pires situations. Et bien sûr, chez les militaires ce type de situation
est presqu’une tradition, que sous des pressions extraordinaires, il y aura
des gens qui feront preuve d’un héroïsme incroyable, et c’est cette réaction
à la pression qui nous rend merveilleux.
T: Oui, cela se remarque encore plus dans l’armée parce tout est rapporté.
La conscience humaine et notre façon d’exister dans ce monde physique sont
la preuve d’une extrême résistance. Une bonne chose à considérer est que nous
pouvons parfois penser nous trouver dans une impasse concernant des préoccupations
éthiques, mais ce n’est pas vraiment le cas. C’est simplement que les choses
diffèrent d’une personne à l’autre, ce qui, je pense, est une autre chose merveilleuse
car cela peut faire durer les conversations éternellement, ce qui est fantastique.
Le dialogue que nos avons nous permet de tellement mieux nous connaître.
Mais cela transcende l’impasse, je pense. Cela va au delà de ça. Cela
va au delà de ce que nous considérons comme éthiquement correct et ainsi de
suite. Cela atteint un autre niveau lorsque ces choses se produisent quand
notre résistance est testée à son maximum. Nous sommes tous capables d’accomplir
des choses passablement merveilleuses et il est probable, très probable, que
nous nous trouvons à un moment où notre résistance va se trouver mise à l’épreuve
de façon extrême.
Je vais mettre l’emphase une fois de plus sur le fait que nous avons affaire
à des adversaires très dangereux, extrêmement dangereux, des gens incroyablement
puissants. Et je sais par expérience que bien peu de gens ont été personnellement
en contact avec ce type de puissance et comment cette puissance se dégage,
et la façon dont cela peut affecter une personne… cela peut vous rendre très,
très malade, vous rendre malade jusqu’à l’effondrement. Ou bien vous vous joignez
à eux, devenez serviles et attentifs à tout ce qu’ils veulent faire, parce
que ceux qui travaillent pour eux et accomplissent leurs volontés – et il y
en a un grand nombre – sont incroyablement obéissants et incroyablement serviles.
Ils ne sont pas du tout ce que l’on appelle des “esprits libres”. Vous savez,
ils ont été enrôlés, pris par eux.
Peut-être que c’est quelque chose dont les gens devraient commencer à
être conscients, le genre de puissance qu’ils détiennent pour le moment, je
ne pense pas qu’on le réalise encore pleinement. Les gens essaient d’entrevoir
ce qui se passe entre les marges pour découvrir ce qui se passe et obtenir
des fragments d’information, et ces fragments vont devenir très, très importants.
Mais agir contre eux de quelque façon peut s’avérer assez désastreux.
J’ai vécu cette expérience et beaucoup, beaucoup d’autres l’ont vécue également.
Alors c’est pourquoi nous devons dire exactement ce qu’ils sont, et nous annoncer
sans crainte. C’est à cause de cette peur… c’est à la base de tout ce qui existe
encore.
B: Il y a quelque chose que nous avions mentionné lors de notre conversation
d’il y a quelques jours, vous parliez de la suprême arrogance de ces individus,
que vous avez expérimenté de première main, et que George Green a également
décrite à notre première rencontre et lorsque je lui ai parlé il y a un an
et trois quarts: Il a dit : Ils pensent avoir gagné. Ils ne s’inquiètent plus
de rien maintenant. Ils n’essaient plus de faire taire tous les médias alternatifs.
Pas vraiment, vous savez. Cela ne fera aucune différence. Quelle différence
peuvent faire une voix ou deux ? Le plan va toujours se dérouler. Ils croient
que, quoi que nous puissions dire, vous ou moi, ça ne fera aucune différence
du tout.
T: Bien, j’irais dans le sens de ce que dit George Green. Il en a fait
un portrait meilleur que je ne le pourrais le faire, parce que c’est exactement
ce qu’ils sont. Ils sont incroyablement arrogants. Avec tous leurs autres attributs,
il y a cette arrogance. Et c’est particulièrement tangible. Oui. Et ils sont
tout-à-fait à l’aise avec ce qu’ils font, totalement à l’aise. Ils ne se cachent
pas et ils ne parlent pas pour rien. Je veux dire, ce sont des individus très
ouverts, et certains d’entre eux sont des personnages publics.
B: Ok. Maintenant, y a-t-il quelque chose que nous avons oublié ? Y a-t-il
quelque chose que vous vouliez mentionner mais que vous n’auriez pas eu la
chance d’élaborer complètement ? Aimeriez-vous ajouter quelque chose que je
ne vous aurais pas demandé ?
T: Il y a encore toute une histoire à raconter, je pense, parce que je
suis très conscient que les gens ressentent le besoin de percevoir un certain
niveau de crédibilité dans ce que je viens de vous décrire, et je suppose que
c’est là où réside la difficulté. Mais tout ce que je peux vraiment affirmer,
c’est que je suis conscient de cette trame temporelle depuis le début des années
’70 ; j’étais trop jeune à l’époque pour comprendre ce dont il s’agissait.
De fait, ce qui se tramait me semblait une chose excitante, et c’était la toute
première fois que j’entendais parler de l’existence de la “Mission Anglo-Saxonne”.
Quant aux détails de ce que je sais, je crois que si je commençais à mentionner
des noms en particulier et ce qui a été mentionné et où j’étais à l’époque,
pourrait compromettre la Loi Officielle du Secret (Official Secrets Act) auquel
je suis toujours soumis, sous beaucoup d’aspects. Du moins en ce qui a trait
à l’environnement militaire. Quand c’est dans un environnement civil, alors
non, je suis heureux d’en parler.
J’aimerais qu’il y ait une façon de décrire d’autres événements, dont
vous êtes au courant, et le faire de façon à ce que vous puissiez me comprendre
beaucoup mieux que ce que j’ai expliqué ici. Vous verriez alors d’où je viens,
où j’ai été, ce que j’ai vécu. Je sens que les gens pourraient rationaliser
beaucoup mieux ce qui a été dit.
Mais je pressens que ce qui a été dit jusqu’ici suffira à inciter les
gens, s’ils le désirent, à jeter un coup d’œil par eux-mêmes et soulever quelques
pierres. Et s’il en découle quelque élément significatif que d’autres pourront
corroborer, cela sera fantastique. Cela serait bien, parce que l’évidence…
Vous savez, je sais combien il est crucial de réaliser des rencontres comme
celle-ci, et il n’y a pas d’évidence concrète comme telle. Ceci n’est qu’une
personne qui documente un événement d’il y a cinq ans, principalement, mais
il y a autour de cela une plus grande histoire dont vous êtes au courant, et
nous devons nous montrer extrêmement prudents où nous allons avec ceci.
B: Il y a beaucoup de gens, bien sûr, qui ont accès aux mêmes informations
que vous. Ces éléments sont connus de milliers d’individus dans les milieux
de la finance, de l’armée et de la politique. C’est largement connu. C’est
une petite portion de la population humaine, mais c’est tout-de-même très largement
connu.
T: Absolument. Oui.
B: Et ce que nous avons toujours encouragé, nous le répétons ici, c’est
quiconque a expérimenté un aspect de ceci de première main ou même de seconde
main, s’il-vous-plaît manifestez vous et sachez qu’il existe une sécurité dans
le nombre. Sachez que plus il y a des gens qui sortent des rangs et qui ont
le courage de s’exprimer comme vous le faites, plus de ‘matériel’ sera entendu,
plus de ‘matériel’ sera compris, et le tout formera une boule de neige qui
roulera graduellement. La boule de neige roule pour le moment. Elle est très
petite, mais elle roule.
T: Oui, elle roule. Elle roule. Il viendra un temps où les noms seront
nommés s’il y a suffisamment de soutien public, et nous exigerons des réponses
de ces individus.
Alors lorsque suffisamment de fruits seront tombés de l’arbre de l’évidence,
alors on pourra défier ces individus de façon appropriée, et alors nous assisterons
à une histoire passablement différente, vous savez, qui émergera de celle que
des gens comme moi vous apportent. Nous pouvons accomplir cela. Nous pouvons
mettre les gens à contribution.
B: Ok. C’est très bien. Ceci est très, très important. Je voudrais terminer
en disant : merci pour votre courage, merci pour votre attitude.
T: Merci beaucoup à vous aussi, Bill.
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la version PDF de cet interview (13 pages)
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Bill Ryan
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