Bill
Ryan (BR): Ici Bill Ryan de Project Avalon et nous sommes dimanche, le 9 janvier 2011. Je fais cette brève vidéo avec l’aide
de mon amie Ruth, connue sous le nom de « Sepia » sur le forum de Project Avalon. Elle me soutient ici avec une session de foire
aux questions afin de préciser et de compléter l’interview vidéo
d’un témoin portant le pseudonyme de « Charles » que j’ai rendu
publique le 1er janvier. Au moment où je vous parle, cela fait neuf jours qu’elle a été publiée.
Cette interview a suscité une réaction intéressante. C’était un peu comme
si l’on avait laissé tomber une grosse pierre dans un lac. Les vagues se
sont propagées et les bateaux ont été secoués. Beaucoup de gens se sont vivement
fâchés et certains ont dit toutes sortes de choses qui ne sont pas vraies
du tout.
Mais l’histoire a besoin d’une trame de fond. Elle a certainement besoin
d’être développée. Elle a nécessairement besoin d’un commentaire. Et c’est
ce que Ruth va m’aider à réaliser aujourd’hui.
Ruth, voulez-vous saluer les gens [qui nous regardent] ?
Ruth : Oui.
Les gens me connaissent sur le forum de Project Avalon sous le nom de « Sepia ». Et là, je me trouve dans cette drôle de situation, assise derrière la caméra,
à essayer de vous poser des questions. Souhaitez-vous rappeler comment vous
avez rencontré Charles ?
BR : Très
bien. L’histoire est racontée dans l’interview elle-même. En résumé, « Charles » m’a envoyé courriel, marqué de concision et de courtoisie, dans lequel il suggérait qu’il serait utile que je lui parle. J’ai saisi l’importance
du message et le 1er août, nous avons discuté sur Skype durant quatre heures.
Cela s’avéra être l’une des conversations les plus extraordinaires de ma
vie. Il se présenta en disant qu’il avait reçu l’ordre de s’occuper de moi car
j’étais devenu un problème. Il poursuivit en disant qu’il n’allait pas suivre
les consignes qu’on lui avait données et qu’il allait plutôt appuyer ce que
je faisais, parce qu’il avait un peu appris à connaître qui j’étais.
Et encore une fois, cette histoire est relatée dans l’interview. Nous nous
sommes ensuite rencontrés le 18 décembre où, à ma grande surprise – parce
que je n’ai jamais pensé que cela se produirait – il consentit à une interview
vidéo, enregistrée avec sa vraie voix mais le visage caché. Et c’est l’objet
de ce présent commentaire.
Ruth : Avant
de le rencontrer en personne, vous avez passé pas mal de temps à lui parler.
BR : Oh
oui, je... nous avons sur une période de plusieurs mois enregistré plus de
30 heures de conversation sur Skype.
Ruth : Quel
genre de personne est-il ?
BR : Il...
c’est quelqu’un qui a été utilisé par les initiés en tant que ressource.
Son travail consistait à éliminer les problèmes. Il sourirait sans doute
de m’entendre dire qu’il est le genre de personne que l’on serait heureux
d’avoir de son côté face à un problème ou à tout autre type de situation.
Il est intelligent. Il n’a pas reçu d’éducation formelle. Ce n’est pas un
universitaire, ni un historien, ni un scientifique. Il était une ressource,
un atout du groupe de contrôle avec qui il a passé de nombreuses années à assister à des réunions.
Il a été dans la pièce où les contrôleurs mondiaux prenaient les décisions
vis-à-vis des événements et des affaires mondiales. Donc, on lui faisait
confiance. Il est adroit. Il est mesuré dans ses paroles. Il est honnête.
Il m’a démontré qu’il est fidèle à sa parole.
Je dirais qu’il est extrêmement courageux. Je dirais qu’il est l’une de ces
personnes que l’on pourrait sans doute assez bien qualifier comme étant quelqu’un
d’incontrôlable.
Ruth : Est-ce
que Charles a des capacités spéciales, comme des aptitudes psychiques ?
BR : Il
a des capacités psychiques remarquables, de très fortes aptitudes psychiques dont j’ai pu personnellement directement faire l’expérience.
Tout comme d’autres personnes avec qui il a été en communication.
Il semble que... comme beaucoup d’initiés, ceux que l’on pourrait appeler
les initiés, et certains des initiés sont dans le renseignement – nous
en avons rencontré auparavant – d’autres sont au sein des familles de la lignée, ont ce type de capacités. Ils
ont des pouvoirs psychiques. Bien que cela paraisse très ésotérique, Charles
dit que cela n’a rien de spécial. C’est tout simplement un processus naturel.
C’est quelque chose de naturel que tout le monde possède, mais le public
a été conditionné à croire que ces choses sont irréelles, qu’elles sont imaginaires,
qu’elles font partie en quelque sorte du charabia du Nouvel-Âge, et qu’elles
sont ridicules. Elles ne le sont pas. Elles sont utilisées comme outils du
métier par les initiés et par les personnes qui jouent le même genre de rôle
que Charles, c’est-à-dire une fonction quasi-militaire. Ils utilisent ces
capacités.
Ruth : Donc,
dans ce cas, ce serait une personne idéale pour un certain type d’équipe
de renseignement, ou pour toute organisation qui aurait besoin d’une personne
ayant des capacités particulières ?
BR : Oui,
absolument. Et nous savons par exemple que les Russes et les Américains ont
dépensé des milliards de dollars dans des programmes de recherche qui tentent
de renforcer les capacités des gens pour la vision à distance, l’influence
à distance. Ils... il y a tout le travail qui a été réalisé par Hal Puthoff et compagnie au sein du Stanford Research Institute dans les années 1970 avec Uri Geller et Ingo Swann. Tout cela est très bien documenté dans le domaine public.
Jim Marrs a
écrit un livre merveilleux à ce sujet, appelé PSI Spies. Mais lorsque vous avez quelqu’un, tel que Charles, qui est déjà un membre de
la lignée et qu’il a ces capacités... Il est né avec ces capacités, il ne les a pas... il a bénéficié d’un peu de perfectionnement ; c’est-à-dire qu’il a été entraîné et qu’on lui a fait activer certaines de
ces choses. Mais fondamentalement, il est né avec ces capacités. Et donc
ils utilisent ces ressources qu’ils ont à leur disposition. C’est d’ailleurs
l’une des raisons pour lesquelles il a été intronisé dans leur monde, non
seulement parce qu’il était un guerrier, qu’il était intelligent et capable
et qu’il était en mesure d’éliminer leurs problèmes, mais aussi en raison
de ses capacités qui, comme il le décrit, ont souvent empêché que les problèmes ne surgissent en tant que tel. Et il est préférable d’avoir
cela plutôt qu’une lutte sur les bras.
Ruth : Donc,
on pourrait effectivement dire qu’il n’a pas eu l’opportunité de faire un
choix de vie différent. Il a grandi dans cette tradition, pour ainsi dire.
BR : Il
a été repéré à un très jeune âge alors qu’il était gamin. Pendant tout un
temps, il a été sous observation. Il n’a pas su ce qui se passait jusqu’à
ce qu’il atteigne la fin de l’adolescence et la vingtaine. C’est alors qu’il
s’est rendu compte qu’il y avait plus le concernant que ce qu’il avait pu lui-même réaliser, et que pendant tout ce temps d’autres personnes avaient gardé un œil
sur lui.
Durant cette période, lorsqu’il était jeune, c’était un voyou. Et ses aptitudes
dans ce monde-là furent remarquées et mises à profit.
Par exemple, il décrit... je ne pense pas que cela soit dans la vidéo mais
il m’a relaté que, lorsqu’il était adolescent, on lui donna pour tâche d’aller
aux manifestations de Greenpeace et de susciter des problèmes pour provoquer
un antagonisme entre policiers et manifestants, et ainsi de suite. Nous savons
que ce genre de choses se produit. Nous n’avons pas souvent la chance de
parler à quelqu’un qui dit: « Ouais, j’ai fait ce genre de choses. On m’a
demandé de le faire et je l’ai fait ».
Ruth : Pourquoi
a t-il soudainement décidé de travailler avec vous ?
BR : Oui,
c’est question décisive. Comme il le décrit dans son interview, il a vécu
une certaine expérience qui l’a effectivement déprogrammé. Et – c’est un peu caricatural et j’en fais ici un résumé très succinct – mais il s’est
réveillé et il a pensé : Attendez une minute, je n’ai pas à faire tout ce qu’ils m’ont demandé, sans réfléchir.
Je suis mon propre maître et je peux prendre mes propres décisions. Et c’est ce qu’il a commencé à faire.
Sauf qu’il ne les a pas tout de suite mis au courant. Cela lui est devenu
apparent quand on lui a demandé de me contacter pour s’occuper de moi, parce
que j’étais devenu un problème. Et puis il n’a pas fait ce qui lui avait
été demandé. Et c’est alors que tout a changé.
Ruth : Très
bien. Alors derrière Charles il y a une sorte de groupe. Pourriez-vous faire
en sorte que les gens comprennent mieux de qui il s’agit ?
BR : OK.
Dans... Il y a un instant, j’ai fait allusion au fait qu’il a passé beaucoup
de temps dans la pièce où les décisions étaient prises par ce qui constitue
effectivement la pierre angulaire de la pyramide. Il ne s’agit pas des illuminati. Pas plus qu’il ne s’agit des franc-maçons, ni des rosicruciens ou des Skull and Bones. C’est un groupe qui est supérieur à tout cela, qui n’a pas de nom. Et il se compose de représentants des lignées
supérieures, les hauts représentants choisis sur un critère particulier – et je ne connais pas ce critère – parmi les 33 lignées principales qui sont à l’intérieur. Et c’est une vague analogie
mais vous pouvez les considérer comme des familles. Vous pouvez les considérer
comme des familles qui savent ce qui se passe. Charles a dit qu’ils seraient
aux commandes de la planète depuis environ 17.000 ans. Je ne sais pas si
c’est un chiffre exact, mais c’est un ordre de grandeur que je trouve très
crédible. Et ce groupe, qui est un groupe international basé au Royaume-Uni,
est celui qui mène la barque.
Ils disposent d’un pouvoir énorme, d’une très grande richesse. Ils détiennent
ce pouvoir et cette richesse depuis un longtemps. Et ils sont supérieurs
à tous les autres groupes. C’est lui le
groupe de contrôle, du mieux que je puisse le comprendre. Et ce sont ces
gens auxquels Charles rendait des comptes, avec qui il travaillait et qu’il
connaissait personnellement. C’est le groupe le plus haut placé que l’on
puisse trouver sans devoir changer de planète.
Ruth : J’aimerais
en savoir davantage sur ce groupe. S’agit-il des mêmes êtres qui s’incarnent
dans la même lignée ? Ou bien de quelle façon pourrais-je comprendre ?
BR : Charles
n’a jamais abordé ces questions. Je pense que ce sont de bonnes questions.
Je voudrais les lui poser. Dans toutes les conversations que nous avons eues,
nous avons discuté de beaucoup de choses. Ce que les gens peuvent appeler
l’aspect spirituel de la situation, ou l’aspect de ce que nous sommes et
de qui ils sont, comme par exemple des êtres immortels occupant temporairement
des corps : ce genre de choses n’a pas été discuté. L’accent, du point de vue de Charles,
et il semblerait du point de vue du groupe de contrôle, est entièrement axé
sur l’ADN, sur les corps physiques, les lignées, et finalement, il s’agit
essentiellement d’eugénisme.
Ruth : Donc,
il n’a jamais été dit qu’ils se considéraient comme des êtres spirituels.
BR : Cela
n’a jamais été discuté, c’est tout ce que je puis dire. Mon opinion personnelle
est que je suis convaincu qu’ils se considèrent comme tels. Je sais à partir
des conversations que j’ai eues avec Charles, des conversations personnelles
avec lui, qu’il est bien conscient qu’il est un être spirituel immortel qui occupe temporairement un corps. Il est complètement...
c’est évident pour lui. Il le sait, tout comme beaucoup de gens qui regarderont
cette vidéo le sauront. Mais il n’a jamais parlé de la façon dont cela s’inscrit
dans le scénario, et les plans, et la philosophie et le modus operandi – les principes, la façon dont ils fonctionnent – des initiés.
Ruth : Je
serais personnellement portée à penser que ces êtres ne perdent pas leur
mémoire d’une incarnation à l’autre. Ils ont été dans cette position de contrôle
depuis de très nombreux milliers d’années.
BR : C’est
une spéculation intelligente et j’aimerais lui poser cette question. Je n’en
connais pas la réponse et nous ne faisons que des suppositions. Cela a du
sens mais je n’ai aucune idée. Je ne sais pas vraiment.
Ruth : Ces
gens qui appartiennent à ce groupe de contrôle, sont-ils connus publiquement ?
BR : Non.
Charles ne m’a pas mentionné leurs noms. Et je n’ai pas demandé leurs noms.
Il y a une raison importante à cela. À un moment donné, Charles était réellement
tenté de me donner l’un ou l’autre nom, bien que ceux-ci n’auraient eu pour moi aucune signification.
Ce ne sont pas des gens du domaine public. Ce sont des gens qui sont très
bien cachés. Et nous étions bien conscients que tout ce dont nous parlions
devait être sous surveillance et sous écoute. Bien sûr que c’était le cas.
Je lui ai dit: « Ne me donnez aucun nom. Je n’ai nul besoin de savoir. Cela
ne voudrait rien dire. Il est plus important de savoir pourquoi ils font
ce qu’ils font, de comprendre leur façon de penser, de comprendre leur philosophie,
de comprendre leur raison d’être, de comprendre la nature du jeu qui se joue
».
Je ne voulais pas que cela devienne personnel et je voulais montrer de cette
façon ce que je voulais être – permettez-moi
de le dire – je voulais être un gentleman anglais.
Il s’agit là de principes qui sont importants pour eux. Il est important
de jouer le jeu de cette façon. Il existe des protocoles anciens. Il y a
des principes et des règles d’engagement en place qu’il est, à mon sens,
intelligent de reconnaître. Et donc, je n’ai pas voulu marcher sur leurs
pieds. Je n’ai pas voulu les insulter. Je n’ai pas voulu m’ingérer dans leurs
affaires personnelles.
Mais en tant que groupe, en tant que groupe opérationnel comme le conseil
d’administration de la société d’affaires de la planète Terre, j’ai voulu
établir un dialogue, et je voulais leur montrer que j’étais peut-être, [soupire]
ce que Charles a appelé dans une interview avec moi, « une partie digne ».
En d’autres termes, quelqu’un avec qui ils puissent avoir le sentiment de
pouvoir faire affaires, à qui l’on pourrait faire confiance, qui n’irait
les dénigrer, qui ne manquerait à sa parole, et qui pourrait agir en tant
que – oh,
quel mot utiliser ? – en tant que représentant négociateur de la communauté alternative, qui constitue
la seule communauté qui soit vraiment au courant de ce qui se passe. Ils
sont en partie conscients de ce qui se passe et, à juste titre, ils s’en
inquiètent.
Et ainsi l'opportunité d’ouvrir un dialogue a été ce qui était vraiment important
pour moi. Bon, je sais que la question de départ était: « A-t-il dit quelque
chose sur ces gens personnellement ? »
Je n’ai nul besoin de connaître ces détails.
Ruth : Revenons
alors à ces... disons 17.000 ans. Qu’est-ce qui a commencé à ce moment-là ?
BR : Eh
bien, 17.000 ans, c’est l’histoire récente.
Une des premières choses que Charles m’a expliquée, est que, selon ses propres
termes, la race humaine est une expérience. On pourrait la considérer comme
un projet. Mais, au fond, c’est une situation de création mise en place sur
la planète Terre considérée comme un environnement idéal, où plusieurs espèces
d’hominidés ont été établies. Et Charles pense que cela s’est à peu près
produit il y a un million d’années. Il n’est ni historien ni anthropologue,
mais c’est ce qu’il a compris.
Et puis, les initiateurs du projet ont pris du recul pour permettre à ces...
humanoïdes, ces premiers humanoïdes, de se reproduire entre eux, de faire
les choses, de régler les problèmes, d’évoluer et de se développer... sans
interférence. Ils ont pris du recul et ils ont laissé rouler la boule. Cela
semble être une expérience génétique ou un projet génétique. Et le résultat
parait être quelque chose lié à l’optimisation de l’ADN ou à l’optimisation
du génome qui a évolué de façon naturelle.
Et il y a une sorte de principe ou de protocole en place ici, qui, plutôt
que de créer quelque chose par concept dans un laboratoire de pointe, en
supposant que cela soit possible, permet à cet ADN – notre ADN, le génome
humain – d’évoluer et de s’optimiser lui-même dans des conditions naturelles,
sur une longue période de temps, en utilisant la planète Terre comme une
boîte de Pétri pour ainsi dire.
Une boîte de Pétri, c’est simplement une sorte d’environnement contrôlé dans
un laboratoire, où peuvent se développer de petites bestioles. Et je ne dis
pas que les humains sont des petites bestioles. Je dis seulement que c’est
un environnement contrôlé dans lequel des changements ont lieu, puis sont
observés et sont surveillés. Et tout cela dans l’esprit d’obtenir un résultat.
Maintenant, Charles ne sait pas qui étaient les extraterrestres à l’origine
de cette situation. Mais ils font cela pour une raison. Ils le font pour
une raison qui leur était propre, un objectif qu’ils avaient, ou du fait
d’un problème qu’ils tentaient de résoudre. Et l’actuel groupe de contrôle – parce
que vous m’avez demandé au sujet de cette date de 17.000 ans...
Ruth : Oui...
BR : C'est
très, très récent. C’est exactement comme les cinq dernières minutes de la
journée. Ce groupe de contrôle s’est retrouvé d’une manière naturelle sur
le haut du tas, sur la planète Terre. Comme dans les affaires.
Si tout est juste en amour, à la guerre et en affaires, alors ils ont atteint
le sommet. Une grande partie de tout cela réside dans le contrôle du pouvoir
et le contrôle des richesses. Et puisqu’ils ont atteint le sommet, ils considèrent
qu’ils l’ont mérité. C’est pour eux ce qui justifie cela. Parce qu’ils sont
également en possession de l’histoire [pour ainsi dire]. Cette histoire existe
dans les artefacts et dans des documents de la bibliothèque du Vatican et
ailleurs. Cela ne fait pas partie du domaine public. Mais ils l’ont. Ils
connaissent ce genre de choses. Ils connaissent l’histoire de la race humaine.
Et ils se considèrent comme les gardiens qui accomplissent un travail responsable.
Ils se considèrent comme les dirigeants d’une société d’affaires. Ils se
considèrent comme responsables de la survie de la société, de l’optimisation
du produit que cette société crée et de la structure de gestion de la planète
Terre, au nom des expérimentateurs. C’est la façon dont ils conçoivent leur
rôle.
Et comme je l’ai expliqué dans l’interview que j’ai faite avec Charles et
qui a été publiée le 1er janvier,
il y a un point très sensible ici. Je n’essaie pas de justifier quoi que ce soit. Je ne fais que le signaler. Mais tout comme dans le... la façon dont [soupir] un conseil d’administration
pense à une grande entreprise quand ils ont trop de travailleurs et que la
société n’est plus efficace, alors ils licencient les gens. Ils se débarrassent
d’une partie des travailleurs pour rendre l’organisation plus légère, plus
agressive et plus efficace.
Ils se soucient de la société, mais ils ne se soucient guère des travailleurs.
Et je crois que c’est l’analogie grossière. Et ils disaient: « Nous
nous soucions du génome humain, mais nous ne nous soucions pas des individus.
Ce n’est pas notre travail ».
Ruth : Comment
peut-on comparer cela avec tout ce que dit David Icke ? Où sont les autres groupes comme les reptiliens, les Anunnaki – quels que soient leur nom – où sont-ils ? Ils ont également leurs intentions. Ils ont aussi leurs jeux de pouvoir. N’y
a t-il rien à dire à ce sujet ?
BR : La
seule chose intelligente que je puisse dire à ce sujet, c’est qu’il y a de
nombreux groupes, qu’il existe de nombreuses factions, de nombreux agendas.
Il y a beaucoup de cloisonnement. Et selon mon point de vue personnel, il
est probable qu’il existe des influences extraterrestres, et peut-être astrales,
des influences non-physiques, qui vont bien au-delà des intentions du groupe
d’extraterrestres qui a effectivement commencé cette expérience ou initié
ce projet.
Il y a beaucoup d’autres choses en cours. Je pense qu’il y a de nombreuses
indications qui vont dans ce sens. Je pense que c’est d’une grande complexité.
Je n’en connais pas les détails et Charles ne dispose pas des détails non
plus. Il y a toute une série de questions que j’ai et
auxquelles il n’a pas été répondu. Et ces quelques questions que vous avez
posées là en font partie.
Ruth : Mais
on peut supposer qu’il y a de très nombreux groupes. Et rapidement, nous
en arrivons à essayer de faire la différence – ou est-ce dans la nature humaine
de faire la différence – entre le bien et le mal. Qui est le bon ? Qui est le méchant ?
BR : C’est
un sujet difficile. C’est le genre de conversation qu’il est vraiment difficile
d’avoir, car tout le monde s’énerve avec cela.
Soyons Dieu pour un moment, et je ne dis pas ça de façon sacrilège. Prenons
simplement le point de vue le plus élevé que nous puissions prendre. Nous
percevons la création dans son entièreté, d’accord ?
Et il est humainement possible d’adopter ce point de vue pour un moment.
Certaines personnes le font en cours de méditation.
Quand on est hors du jeu et qu’on regarde depuis le haut, lorsque vous êtes
hors de l’aquarium et que vous le regardez d’en haut, lorsque vous êtes sortis
du cinéma et repensez au film, le bien et le mal deviennent plutôt des sortes
d’artéfacts temporaires, n’est-ce pas ?
Et finalement, ce que vous retrouvez, c’est la spiritualité qui poursuit
sa marche. Vous avez des êtres qui jouent des rôles. Vous avez des gens en
train de résoudre des problèmes. Vous avez toutes sortes de drames et de
comédies, et si vous insistez vous avez le film entier.
Et donc parfois, il peut être utile de penser en termes de bien et de mal.
Et en d’autres occasions, il n’est pas utile
de penser en termes de bien et de mal. Et permettez-moi d’en dire un peu
à ce sujet, car je pense que c’est important, si je peux trouver un moyen
de faire le point.
Depuis que la première vidéo a été publiée, il y a beaucoup de colère qui
s’est exprimée, et je comprends cela. C’est comme si les gens maintenant
avaient une cible pour leur colère. Une partie de la colère est dirigée contre
Charles, une autre contre moi. Cela sort ainsi :
« Comment pouvez-vous parler à ce gars-là ? Il travaille pour le côté sombre ». C’est là, l’analogie genre Star Wars. « Comment pouvez-vous avoir un dialogue avec ces gens ? Comment pouvez-vous les représenter ? Comment pouvez-vous essayer d’expliquer ce qu’ils font et pourquoi ils le font ? Comment pouvez-vous même parler comme ça face à la caméra ? Comment osez-vous ! Vous nous trahissez ! » Et toutes sortes de choses du même acabit.
Et ce n’est pas constructif. Je peux comprendre ce genre de réaction, mais
ce n’est pas constructif, parce que la lutte ne marche pas. Ça ne marche
pas du
tout. Tout ce que cela produit, c’est de nous précipiter dans la situation suivante
dans laquelle nous devons nous battre et ainsi de suite. Tôt ou tard nous devons mettre le pied en-dehors de ce bocal de poissons et reconnaître : « Écoutez. Nous sommes tous dans le même bateau ».
Le... c’est l’une des choses les plus importantes qui se s’est produite en
Afrique du Sud par exemple, après l’apartheid – qui
a été une sorte d’équivalent en microcosme de beaucoup de choses à plus grande
échelle et plus sournoises encore qui se sont produites sur la planète Terre.
Il y a eu la Commission de vérité et de réconciliation qui a dit : « Très bien. Nous n’essayons pas de punir qui que ce soit ici, mais nous offrons une sorte d’amnistie. Mais la vérité
doit être dite, et la vérité doit être dite afin de pouvoir tourner la page ».
Et c’est de cette façon que je considère la question du bien et du mal. C’est
comme si l’on disait :
« Écoutez. Nous pouvons passer tout le temps du monde à juger, mais il se pourrait
que cela ne contribue pas à changer la situation ». Il se peut que la situation s’en trouve altérée de différentes manières, mais
cela ne va pas transformer la situation. Et pour transformer la situation, il nous faut nous élever au-dessus
de la pensée dualiste. Il nous faut surmonter ce besoin de créer un ennemi
et de le combattre, car cela ne va pas marcher. Cela ne marchera pas du tout.
Nous avons à mettre en place, à établir, ou à créer, ou à imaginer le genre
d’équivalent mondial de la Commission de vérité et de réconciliation en Afrique
du Sud où l’on a dit :
« Très bien. Écoutez. Nous avons tout examiné et c’est un gros gâchis. Et
beaucoup de gens ont fait beaucoup de choses lamentables. Et beaucoup de
gens ont pris des décisions qui n’ont peut-être pas été faites pour le bien
de tous. Et certaines personnes ont tenté de résoudre les problèmes d’une
manière qui n’a fait que créer davantage de problèmes. Et nous regardons
autour de nous et nous voyons que la planète Terre est un gâchis. Alors,
que pouvons-nous faire ensemble ? Oublions les bons et les mauvais. Qu’avons-nous obtenu ? Qui sommes-nous ? Où sommes-nous ? De quelles ressources disposons-nous ? Que savons-nous ? Et si nous disions tous la vérité et que nous réglions cette situation, parce que la planète Terre est trop belle pour être mise au
rebut. La race humaine est trop belle pour être détruire. Les gens sont très,
très remarquables. La race humaine est remarquable.
Je soupçonne que les extraterrestres comprennent qu’il y a quelque chose
de très remarquable en cours de création dans ce génome humain. Et je me
suis souvent posé la question. J’ai posé des questions que je n’ai pas vu
posées ailleurs, comme... les extraterrestres là-bas, avec leur technologie
de pointe extraordinaires, leurs aptitudes mentales et leurs capacités spirituelles :
mais est-ce qu’ils dansent, est-ce qu’ils escaladent les montagnes, font-ils des acrobaties, font-ils des compétitions
de planche à roulettes, font-ils de la comédie, est-ce qu’ils ont leur propre
version de Mozart, de Da Vinci et de Rembrandt ?
Nous n’avons pas de réponse à ces questions. La race humaine peut être vraiment
terrible. Mais la race humaine peut être remarquablement merveilleuse, de
façon extraordinaire. Et personnellement j’émets l’hypothèse qu’il y a quelque
chose ici dans le génome humain qui est considéré comme extraordinaire et
peut-être même unique.
Ces caractéristiques mêmes, qui nous rendent si extraordinaires, contribuent
aussi à nous rendre dangereux et imprévisibles à certains égards, car nous
nous exprimons... nous nous exprimons d’une manière tellement remarquable.
Et parfois nous nous exprimons violemment et sans réfléchir.
Ce que je veux dire ici, c’est à quel point la race humaine est remarquable
et que nous devons tous travailler ensemble, à quel point nous avons des
choses en commun. Et je pense que de tomber dans un paradigme de jugement
bon/mauvais ne nous aide pas ici.
Nous devons être le changement que nous voulons voir dans le monde, c’est
ce que Gandhi a exprimé. Et cela signifie que si nous voulons voir un monde
meilleur, nous devons commencer par nous comporter d’une manière représentative
de ce monde. Donc, je ne veux pas juger. Je ne veux pas de représailles.
Je ne veux pas d’autres combats. Mais je veux comprendre.
Et c’est pour promouvoir cette compréhension que j’ai publié cette vidéo
du 1er janvier
et que je publie celle-ci.
Ruth : J’aimerais
maintenant revenir au groupe de contrôle et à leurs intentions. Il a été
dit qu’ils ne seraient intéressés que par l’ADN. Dans certaines situations,
les êtres ont appris à assumer la responsabilité. Les êtres deviennent créatifs.
Les êtres deviennent violents. Les êtres démontrent l’amour et la compassion.
Ces capacités se développent, et elles s’intègrent aussi à l’ADN.
BR : Oui.
Ruth : Cela
pourrait-il être un facteur qui expliquerait pourquoi cette expérience se
poursuit encore et encore ? Elle...
BR : Je
comprends pourquoi vous posez cette question. Cette expérience est menée
dans un environnement naturel avec toute la richesse de la culture et de
la société, depuis des centaines de milliers d’années, contribuant ainsi
à la production de l’ADN et à son évolution. Cela ne peut, à mon avis, être
créé dans un laboratoire quelque part, parce que la sélection naturelle darwinienne ne constitue pas toute l’histoire du tout.
Vous parlez d’un point de vue lamarckien qui concerne l’hérédité des caractères
acquis. C’est un biologiste français qui s’appelait Jean-Baptiste Lamarck.
Vous pouvez aller le vérifier. Et c’était une sorte de... un généticien hérétique,
parce qu’il a fait valoir qu’il est possible pour les expériences et les
apprentissages qui ont été absorbés et acquis durant la vie d’un individu,
que ceux-ci soient également transmis à nos enfants, et que ce soit l’un
des mécanismes premiers de l’évolution. Et il a été étiqueté comme fou depuis
fort longtemps. Il existe maintenant des biologistes évolutionnistes qui
ne croient pas que cela soit aussi fou que cela.
Et bien que Charles ne soit pas un scientifique, il a expliqué, avec ses
propres termes, qu’il est bien compris par les initiés que ces mécanismes
sont à l’œuvre. Il ne s’agit pas seulement de savoir si un animal survit
assez longtemps pour avoir une descendance, et puis qu’il arrive plus ou
moins à passer le « paquet »
dans cette lignée. Il y a une croissance, il y a un apprentissage et il y
a un développement. Et quand vous avez des êtres humains concernés, vous
avez la conscience qui est transportée dans ces véhicules. Et le progrès
de la conscience est aussi en quelque sorte absorbé et transmis dans l’ADN.
Et donc le tout, la façon dont cet ADN évolue, est très multidimensionnel.
Je soupçonne très fortement, très... – je veux dire, c’est vraiment une quasi-certitude
– que les extraterrestres qui ont initié ce projet l’avaient bien compris.
Mais ils ne peuvent pas concevoir cela comme un produit fini selon leurs
spécifications. Ils doivent permettre que cela se manifeste d’une manière
naturelle. Ils ne pouvaient pas créer une pomme dans un laboratoire. Ils
ont dû la faire pousser de façon organique dans le jardin puis s’asseoir
et attendre qu’elle pousse. Quant à la raison pour laquelle ils le font,
nous ne pouvons que spéculer. Mais ce qu’ils font est une chose tout à fait
merveilleuse. Même si nous ne connaissons pas l’éthique des extraterrestres,
sauf que, selon Charles – il
m’a mentionné cela à plusieurs reprises – ils ne vont pas interférer dans leur expérience.
Ils ont un protocole strict de
ne pas intervenir du tout. Ils laissent simplement rouler la boule. Ce qui se passe à l’intérieur est
quelque chose de totalement différent. Ce n’est pas planifié par les expérimentateurs
extraterrestres. Il n’était pas prévu, par exemple, que pour la première
fois dans tous les cycles de l’histoire humaine, nous ayons mis la main sur
la technologie extraterrestre, maintenant, au cours de notre génération.
Ce n’est jamais arrivé auparavant et il n’était pas prévu que cela fasse
partie de l’expérience. Et maintenant, vous avez cette situation dangereuse,
avec non seulement cette nature humaine extraordinaire, merveilleuse, créative,
expansionniste, expressive, mais aussi souvent très violente et agressive
– nous le sommes tous. Et pour ceux qui doute de la violence des êtres humains, regardez l’histoire,
il y en a partout. D’accord ?
Regardez les conquistadores, regardez ce qui s’est passé pour les Amérindiens,
regardez ce qui s’est passé pour les Maoris et les Aborigènes, et les Sans
et les Bochimans. À partir de cela, ajoutez un armement de technologie extraterrestre
que nous avons acquis grâce aux vaisseaux que nous avons abattus – ce
qu’il a confirmé s’être produit depuis les années 1940s – et puis nous allons dans la galaxie, avec pour justification – ce que il a également
confirmé comme devant se produire – une fausse invasion extraterrestre, une
fausse menace impliquant des extraterrestres présentés comme un danger pour
nous, comme étant d’une certaine façon hostiles, à peu près de la même manière
que nous avons créé la guerre contre le terrorisme avec le 11/9. C’est juste
que... Ce qui est arrivé en 2001 a justifié, en résumé, un colonialisme militaire
agressif et expansionniste en Irak et en Afghanistan pour toutes sortes d’autres
raisons qui n’ont jamais été élucidées.
Et, c’est exactement la même chose. Vous prenez cette mentalité militaire
expansionniste, vous la replacez à l’échelle galactique, et vous avez exactement
ce qui risque de se produire, justifié par cette idée que les extraterrestres
constituent une menace. Et, dans les mots de George Bush en 2001: « Nous
devons y aller et les faire sortir de force ». Je veux dire, cela ressemble
à une blague, mais c’est dangereusement plausible.
Et beaucoup d’entre vous qui regardez ceci savent que Wernher von
Braun a effectivement mis en garde sa collègue Carol Rosin à ce sujet, il y a longtemps déjà. Il a dit la prochaine étape sera de faire
en sorte que ces extraterrestres soient perçus comme étant violents, dangereux,
menaçants. Et ils constitueront le prochain ennemi créé pour justifier un
armement basé dans l’espace : non seulement un armement spatial en orbite autour de la planète, mais aussi
un armement spatial destiné au système solaire et au-delà. Nous avons déjà
cette technologie. Tout ce dont nous avons besoin, c’est la justification.
Et Charles m’a prévenu que cela fait absolument partie du jeu de cartes,
et qu’il s’agit de l’un des plans qui vont être mis en œuvre très bientôt.
Ruth : Mmm...
Donc... qu’est-ce qui change maintenant, est-ce que vous pensez que les gens
de ce groupe de contrôle ont pris contact avec vous,
BR : Tout
ce que je sais c’est qu’on m’a lancé une balle. Et la balle m’a été lancée
de façon étrange. C’est comme une trajectoire de balle courbe. Mais de toute
façon je l’ai attrapée. Et peut-être que la balle était destinée à être attrapée
d’une façon particulière.
L’historique du contact avec Charles – et une fois de plus, pour récapituler
et vraiment en faire un bref résumé – c’est que Charles a désobéi aux ordres.
Il a commencé à me soutenir. Puis il a dû s’enfuir. Il a été attaqué par
le cercle d’initiés. Il a fini par devoir fuir le pays. On lui a retiré les
acquis de sa propre vie. Ses affaires ont été mises en faillite. Il a perdu
des millions de livres. Il a été blessé physiquement. Et puis, quand il est
finalement retourné au Royaume-Uni en novembre, on lui a demandé de faire
rapport au groupe de contrôle... Et cela a été très sage pour lui de le faire.
Il l’a fait. Il lui a fallu leur raconter exactement ce qu’il avait fait,
ce qu’il avait... à qui il avait parlé, et quelles avaient été ses intentions.
Et il a été très sage de leur dire la vérité. Ensuite ils ont réalisé qu’ils
avaient une opportunité.
C’est, je crois, ce qui s’est produit. Cela n’avait pas été prévu, mais de
manière opportuniste,
ils se sont retrouvés en relation indirecte avec quelqu’un qui, dans l’intervalle,
avait en quelque sorte passé les tests. Les tests de quelqu’un avec qui ils
ont estimé pouvoir être en mesure de faire des affaires, avec qui ce pourrait
être, en quelque sorte, avantageux d’établir un dialogue. C’est ce que je
veux dire par la balle a été lancée.
Ainsi Charles joue sur les deux fronts. Il l’admettra volontiers. Il marche
sur une corde raide, très précaire. Mais il y a ici une possibilité de résultat
où tout le monde pourrait gagner. Je peux gagner, nous pouvons gagner en
tant que communauté alternative, parce que nous avons la chance de nous faire
raconter et confier ce que sont vraiment et ce que sont vraiment les problèmes.
Et il y a ici un test décisif qui est en cours.
Imaginez. Je sais que certains d’entre vous qui regardez pensent que tout
cela n’est que balivernes, mais en supposant que ce ne soit pas le cas, supposez
que ce qu’on nous a fait, c’est simplement de nous avoir donné à voir une
présentation sur une table disant :
« Vous vouliez savoir ce qui se passe ? Et bien voilà ». Très bien. Alors sommes-nous suffisamment intelligents pour
reconnaître cela pour ce que c’est ?
Certaines personnes ont critiqué la diffusion de l’information en disant:
« Eh bien, de toute façon, nous savions déjà tout cela». Et bien si je puis
dire, ce n’est pas une critique très intelligente vis-à-vis cette diffusion
d’informations. S’il s’agit d’une confirmation de ce que nous savions déjà,
beaucoup de gens considèreront que c’est précieux.
Beaucoup de gens n’ont pas confiance dans la motivation [de ces révélations],
et je peux le comprendre aussi. Mais il est possible que la motivation soit
d’amener ce jeu à un autre niveau.
Comme je l’ai dit, c’est expérimental. Si dans la communauté alternative,
tout le monde rejette cette information, décide de ne pas vouloir entrer
en matière, porte des jugements de type bon/mauvais, et décide simplement
d’aller dans les rues et de lutter, ou de manifester, ou je ne sais quoi
d’autre, cela pourrait en fait ne pas être un résultat très constructif.
Mais s’il y a la possibilité de dialogue, s’il y a une possibilité d’une
meilleure compréhension, s’il y a une possibilité que quelque chose puisse
amener tout ceci à un autre niveau, de briser le cercle vicieux, et de commencer
à nous aider à penser en termes de vérité et de réconciliation – comme je
l’évoquais il y a un moment avec l’analogie sud-africaine – alors il me semble
que cela en vaut la peine.
Et donc, c’est ce que je fais. Et je le prends au jour le jour. Personne
ne m’a contacté. Peut-être que tout cela est le fruit de mon imagination.
Peut-être que Charles me trompe. Je ne pense pas que c’est ce qui se passe.
Et donc, c’est un jeu qui en vaut la chandelle. C’est un pari qui en vaut
la peine. Et en attendant, on nous présente des informations très intéressantes,
et ce n’est pas facile à digérer. Ce n’est pas agréable à entendre. Ce n’est
pas le genre de chose que nous voulons entendre. Mais c’est peut-être vrai.
Et si c’est vrai, nous devons le vérifier sous toutes ses coutures.
Mais il y a un autre aspect à cela – qui
est une question que vous n’avez pas encore posée, et que vous étiez peut-être
sur le point de poser – sur les philosophies du cercle initié.
Ruth : J’ai
entendu l’expression « puriste ». Je pense que ce groupe se désigne comme « les puristes ». Pouvez-vous développer cette expression ?
BR : Il
s’agit d’une clarification importante... très importante. C’est vraiment, vraiment important. Ce n’est pas leur propre terme. C’est je crois l’expression de Charles. Et
permettez-moi de prendre du recul et d’expliciter un peu, tant que faire
se peut.
Ce qui m’a été expliqué, c’est que le groupe de contrôle possède un large
éventail d’approches. Car ceux-ci sont tous des individus avec des personnalités
individuelles et ils n’interprètent pas tous exactement leur responsabilité
de la même manière.
Charles décrit certains d’entre eux comme très puristes, c’est-à-dire que
dans un sens médiéval – et
c’est une analogie – si quelqu’un... si je suis un puriste, et que quelqu’un vole ma femme, et que
je vis en 1800 en Grande-Bretagne ou en Europe, d’accord ? Je ne poignarde pas cet homme dans le dos dans une allée sombre, même si je
suis en colère contre lui, parce qu’il a volé ma femme, d’accord ?
Je le défie en duel parce que, si quelqu’un a volé ma femme, c’est une question
d’honneur. Il m’a déshonoré. Et alors je le mets au défi d’un duel, puis
à l’aube, à six heures le matin du jour suivant, il a son mousquet, j’ai
le mien et, au signal, on se tire l’un sur l’autre.
C’est la façon honorable de régler cela et il se peut que je n’en sorte pas
vivant. Mais... et il y a d’autres façons de résoudre les duels. A côté des
combats d’épée, il y avait les joutes médiévales et toutes sortes de trucs
comme cela.
Les membres du groupe qui sont des puristes vont laisser les choses se produire
dans la mesure où, si un candidat se présente, alors ils sont obligés de
s’engager dans le duel. Ils sont obligés de s’engager dans la partie de joute
ou le combat à l’épée, parce que cette personne les a défiés d’une certaine
façon rituelle et significative.
Et ainsi, ils acceptent ce défi. Ils le doivent. Et ensuite ce qui doit se
produire, se produira, parce qu’ils permettent que cela se produise. C’est
une sorte de progression naturelle, une sorte de sélection naturelle.
Alors les puristes vont laisser les choses se dérouler sans interférence.
Et je crois comprendre que c’est la composante puriste du groupe de contrôle
qui détient la primauté ici et sanctionne cette transmission d’information.
Parce que... parce que c’est là, parce c’est en train de se faire, parce
que ces événements se sont produits, parce que Charles a pris sur lui le
risque de me contacter, parce que j’ai pris sur moi le risque de publier
cette vidéo, et parce que cela se trouve là, sur vos écrans d’ordinateur
à l’heure qu’il est et que vous regardez. Cela signifie que qu’il est permis
que ça se produise. Et c’est autorisé par les puristes, qui n'interfèrent
pas dans ce processus, dans ce processus naturel.
Maintenant, à l’autre extrémité du spectre, il y a des individus, ou il y
a eu des individus au sein de ce groupe, qui n’ont pas regardé cela de la
même manière.
C’est un véritable débat philosophique au sein du groupe et ce n’est pas
évident. C’est très intéressant, parce que – ce
qui suit est une caricature, mais je tiens à l’expliquer de cette manière
pour faire passer le message – quelqu’un qui a une attitude moins « puriste » dirait :
« Il est correct de tirer sur la tête de ce type, Bill Ryan, dans une allée
sombre la nuit, ou de placer une bombe sous sa voiture, ou de... ou de tout
faire pour en quelque sorte interférer avec ce processus naturel... car,
s’il n’a pas été assez intelligent pour comprendre que c’était possible et
prendre les mesures défensives nécessaires, alors il le mérite bien ».
C’est comme si l’on disait que tout est juste dans tout genre de combat.
Et cela a sa propre justification, tout comme le déploiement naturel des
événements.
En d’autres termes, si je ne suis pas assez intelligent pour porter un gilet
pare-balles, alors je mérite de me faire tirer dessus. C’est un peu ça...
Ruth : Alors...
BR : ...alors
que les puristes, les autres véritables puristes, n’essaieraient même pas
de tirer sur moi. Ils diraient plutôt:
« Bon mais en fait, nous allons laisser parler le gars. Et puis nous allons
voir si le public est assez intelligent pour lui prêter attention et si ce
n’est pas le cas, alors le verdict de la communauté alternative peut fort
bien être que personne ne va écouter cela de toute façon. Dans un tel cas
il n’y a pas de souci à se faire mais alors personne ne peut dire – ceci
est très important – personne ne peut dire que nous n’avions rien dit au peuple ». Car les protocoles de ce groupe, depuis fort longtemps, ont été d’avoir toutes les informations
ouvertement disponibles pour permettre aux gens suffisamment éveillés et
conscients de les saisir.
C’est ce que sont les Georgia Guidestones.
C’est ce que sont les peintures murales de l’Aéroport de Denver. Tout est
là ! Mais qui porte vraiment attention à ce genre de choses ?
Seule une infime proportion de la population mondiale le fait. Et ainsi,
de leur point de vue, quel que soit le côté du spectre – puriste ou non –
où ils se trouvent, ils sont du genre à dire: « Eh bien, vous savez quoi,
le public est tout simplement trop bête pour comprendre ce qui se passe,
de sorte nous allons poursuivre et le faire de toute façon. Mais personne
ne peut dire que nous les avons pas réellement mis en garde ».
C’est à peu près leur position vis-à-vis de toute cette notion de karma.
C’est comme s’ils disaient :
« Bon, si les gens sont assez stupides pour ne pas réaliser ce qui se passe, alors
c’est qu’ils le méritent ».
Ruth : [rires]
Alors, c’est la pilule dure, n’est-ce pas ? Ou la pilule amère...
BR : Oui,
c’est...
Ruth : ...
car beaucoup de gens ont grandi avec l’image d’un Dieu bon qui nous protège,
et maintenant nous apprenons que les êtres qui contrôlent cette planète nous
lancent un défi.
Si nous sommes intelligents, si nous apprenons, si nous essayons de comprendre,
si nous faisons de notre mieux, si nous ne sommes pas comme des rebelles
qui se battent et luttent, alors nous nous mettons au niveau pour être pris
au sérieux.
BR : Exactement.
C’est tout à fait exact de mon point de vue. C’est la façon dont je le comprends.
Si nous sommes intelligents, si nous somme honorables, si nous attrapons
rapidement cette balle et comprenons ce qui se passe, si nous répondons d’une
façon qui soit perçue comme étant appropriée, alors nous serons respectés.
Et ensuite nous gagnerons davantage.
Si nous jetons tout cela à la poubelle, si nous les insultons, si nous disons
que c’est totalement fou, si nous préférons – à
mon propre avis – mettre nos têtes dans le sable et écouter toutes sortes d’autres choses qui – à mon avis – ne sont pas vraies du tout, alors ils vont dire: « Bon, nous leur avions dit.
Ils n’ont pas écouté ».
Et ils vont alors continuer à faire ce qu’ils étaient sur le point de faire.
Ruth : Eh
bien, un défi peut être très douloureux, mais il y a un tas d’aspects positifs
dedans. Mais le processus de croissance est...
BR : [soupire]
C’est un catalyseur.
Ruth : Oui,
belle image. C’est une belle image. Nous avons quelque chose à digérer afin
de croître.
BR : Je
suis entièrement d’accord.
Ruth : Et
dans tout cela, vous voyez votre rôle comme étant celui de publier suffisamment
pour qu’il y ait assez de gens qui puissent l’entendre et prendre leur propre
décision dans la vie ?
BR : Je
suis un messager. Et, ce qui arrive ensuite arrivera. Je suis, à cet égard,
un peu moi-même puriste.
C’est comme, je ne sais pas… Je veux dire, je ne sais vraiment pas
si nous sommes dignes de recevoir plus d’informations. Ce n’est pas à moi
de décider. Si je reçois plus d’informations, alors je les publierai. Je
ne sais pas ce qui arrivera et je pense que tout est possible. Je pense que ce qui arrivera, à un degré assez significatif, dépend
de nous.