Dan Burisch:
Transcription de l'interview – 2ème partie
Cette page est une traduction d'une Publication originale
de Project Camelot.
Hors de Majestic : Dan Burisch non-censuré
Partie 2
Las Vegas, Juillet 2006
|
Filmé, monté et réalisé par Kerry Lynn Cassidy
(Partie 1 - cliquez
ici)
“... il y a un
véritable être humain derrière tout ça,
aussi tordus qu’ils le soient, probablement plus... Ouais. Ils
devraient savoir ça ...”
Relation avec Chi'el'ah: J-Rod
Kerry Cassidy : je vais vous dire franchement, lorsque j'ai
vu le segment de Bill Hamilton, de l’entretien avec vous et que vous
parlez de votre relation avec J-Rod et comment vous communiquiez avec
lui par télépathie...
DB : Uh huh.
KC : Cela m'a frappé par son incroyable réalité. Et, à
partir de là, j'étais très intéressée par ce que vous aviez à
dire.
DB : Ah...
KC : Parce que je me suis dit, c'est du vécu. Ce ne sont pas
des conneries. C'est pour de vrai.
DB : Oui.
KC : Alors, si vous pouviez répéter, comment vous avez
commencé à travailler avec J-Rod...
DB : Eh bien, il travaillait avec moi avant que je ne le
connaisse. Bien entendu, il se trouvait à bord le vaisseau, si je
comprends bien. Je n'ai aucun souvenir de lui directement, mais je veux
dire, si je comprends bien, en '73... Il avait voyagé en '73 puis...
C'est justement ce que j’ai dit à Jeff Rense au téléphone. Vous savez,
j'ai dit, « Mon Dieu, si ça, ça ne secoue pas. » Je veux dire, cela a
bouleversé mon esprit. Et lorsque vous pensez aux paradoxes
:
Qu'il soit allé en '73, lorsque j'ai été enlevé et puis
qu’il soit retourné en ‘53 et là un crash a eu lieu. Ce qui signifie
qu'il était détenu à S-4 en 1973, au moment où je jouais au baseball
avec mon grand-père, et qu'il était également à bord de l'embarcation,
en contact avec notre temps, et m’emmenant à bord. Prosaïquement, bon
sang, ça paraît fou, mais, oui, c'est un paradoxe, j'imagine, je veux
dire... mais mon premier contact direct avec lui aurait été à la fin de
1993, début '94.
Oui, il avait quelque chose d'étrange. Au cours de l'intégralité de mon
expérience avec lui, il m’est apparu, le mieux que je puisse dire,
comme « décalé. » Presque comme... Je veux dire, il était physique. Je
l’ai senti à travers le gant. Il était là « matériellement » avec moi,
mais presque comme un fantôme dans un organisme . Il ne collait pas. Il
ne collait pas avec son environnement. Et quand il voulait communiquer,
quand il voulait faire l'entraînement... euh... ils vous « toquent ».
Presque... C'est presque acoustique. Ils toquent votre esprit, et...
jusqu'à ce qu'ils entrent enfin en contact avec les ondes cérébrales au
niveau où ils peuvent commencer la communication. Et ça vient par
vagues. C'est presque comme les nageoires caudales sur un dauphin. Ca
vient par vagues. Et puis, vous vous sentez pris dedans. Pendant
l'entraînement la perception est d'être pris dans ses yeux. Une
sensation très lourde [il glousse]. Mais ensuite, ils vous
entraînent,..., ils vous relaxent, vous voyez, détendu presque dans un
état thêta, comme à 8 hertz, état thêta, où vous êtes très détendu,
pratiquement somnolent et ils vous disent qu’ils ne vont pas vous faire
du mal. C'est ce qu'il a fait. Il m’a vraiment dit qu'il ne me ferait
pas de mal.
Quand il s’est avancé vers moi, lorsque nous faisions
l'ancienne « danse de la mariée », comme nous l’avons surnommé où je...
J'étais censé avancer vers lui, en faisant comme un pas de la marche
nuptiale dans l'allée et puis il le faisait en retour presque en
plaisantant... mais c'était si lourd, car il avait brisé le protocole.
C'était comme toute la confiance qui avait été établie jusque là, ...
elle est allée au diable. Et j'ai eu si peur. Il y a eu une réponse
animale en moi à ce moment-là, une réponse très, très humaine
animale... « Je veux ficher le camp de là ».
Ouais, j’ai reculé et je suis tombé par terre sur le dos, et
c'est vraiment ce que j'ai senti arriver. Comme je l'ai dit à Jeff
[Rense], je me suis senti comme un cafard, vous voyez, retourné sur le
dos. Et il a marché vers moi. Je les ai entendus crier : « Envoyez les
représailles. » Ils allaient le frapper. Ils allaient lui faire mal,
pour qu’il ne me fasse pas de mal et j'essayais de crier « Non ! » et
je ne sais pas encore à ce jour si j'ai vraiment crié « Non » ou si
c’était juste dans mon esprit. Le stress était si terrible à ce
moment-là. Et il a marché, il est littéralement monté en marchant sur
moi, et s’est assis sur ma poitrine. Il ne m'a pas frappé ou quoi que
ce soit. Je pense que Ron ou quelques autres personnes étaient là et
ils ont déclaré, « Oh, nous savons qu'il t’a renversé dans son costume
propre ». Il n'a pas pu me renverser. Il était trop faible pour me
renverser. Même s'il ne l'était pas, compte tenu de sa taille, il
n'aurait pas pu me renverser.
KC : Et quelle taille faisait-il ?
DB : Un peu plus de quatre vingt dix centimètres,
recroquevillé.
KC : Uh huh.
DB : Presque 1,20m, s’il était en extension, s’il était
couché sur le dos et étendu de tout son long. Mais la maladie, les
pathologies dont il souffrait, le rendaient ... faible, modifiaient sa
démarche, modifiaient sa position, la plupart du temps il était
extrêmement recroquevillé, et il n’arrivait pas à se tenir droit.
Lorsqu'il marchait, il oscillait et traînait les pieds. Il était très
malade, très malade.
KC : Ainsi, il s’est mis sur votre poitrine. Il s’est avancé jusqu’à
votre poitrine ou s’est assis sur votre poitrine.
DB : Il était effectivement assis sur mon abdomen, mais il
se penchait en avant sur ses mains sur ma poitrine, me poussant vers le
bas.
KC : Est-ce qu’il… alors il communiquait à ce moment, disant
qu’il n’allait pas vous faire de mal ?
DB : Oui, il a dit: « Je ne te ferai pas de mal ‘be-anie’.»
Il m’a appelé ‘be-anie’. Et ça veut dire Beanie (petit haricot)... Il
coupait les mots anglais de manière très étrange.
KC : Et vous avez entendu ça dans votre tête, je
suppose...
DB : Je l'ai entendu dans ma tête.
KC : ...il n'avait pas parlé à haute voix.
DB : Non, je l'ai entendu dans ma tête, dans ma propre voix
introspective mais comme ne venant clairement pas de moi.
KC : Uh huh.
DB : Vous reconnaissez le son de votre propre voix, lorsque
vous vous parlez à vous-même. « Self-Talk ». C'est le même son sauf...
C'est les mauvaises expressions, les paroles ne sont pas les bonnes.
Vous pouvez reconnaître que ce n'est pas vous. Et initialement, lorsque
cela se produit, il y a aussi un... De mon point de vue initialement
lorsque cela arrivait, il y avait un sentiment très paniquant. Mais
bien entendu cela m’est arrivé initialement, lorsque j'ai fait partie
de l'équipe de l’unité B, lorsque Steven [Pr. Steven Mostow] était
encore dans la zone propre. Il m’a regardé à travers la zone propre et
m'a parlé et dit, « Je me souviens, » et « Bonjour ».
KC : Cela signifie qu’il ... que la personne qui était...
que vous appeliez... Quel était son nom, déjà ? Le J-Rod vous a
regardé...
DB : Chi'el 'ah.
KC : Chi'el 'ah vous a regardé lorsque vous... lorsque Steve
était dans la zone propre avec lui...
DB : Oui.
KC : ... Il s’est retourné et vous a regardé...
DB : Ouais. Il s’est retourné et m’a regardé. Tout d'abord,
j'ai fait partie d'une équipe de l’unité-B. En fait, ce qui allait être
mon emploi réel là-bas, c’était d’assister le directeur scientifique et
entrer dans la zone propre, jusqu'à ce qu'il m'identifie comme
quelqu'un, j'imagine, de spécial pour lui... Chi'el 'ah... et il
voulait que je sois celui qui entre là. C'est pourquoi j’ai été promu,
en fin de compte, dans le groupe de travail plus tard là-dedans. Parce
que je n'avais pas la formation, pas l'ancienneté. Ce... ce n'était pas
ma place. Mais c’est la raison de la promotion.
KC : OK. Bon.
DB : La manière dont se font beaucoup de promotions dans le
monde, je pense. Mais...
KC : [rires] Pour revenir en arrière...
DB : Le Principe de Peter.
DB & KC : [rires] [Ndt: Principe de Peter : Promu à son
niveau d'incompétence]
KC : Donc il s’est approché de votre poitrine, vous a dit
qu'il n'allait pas vous faire de mal. L’ont-ils réellement frappé à ce
moment-là ou ont-ils...
DB : Je ne crois pas, car je l’aurais senti... il a commencé
à m'entraîner immédiatement et fortement. Il m’a relaxé. Les
encéphalines et les endorphines allaient grand train. Ils vous «
influencent » sur plusieurs niveaux, et ils sont capables de vous
détendre. Effectivement en vous inondant d'opiacés naturels.
KC : Uh huh.
Marci McDowell : Comme un coureur en pleine euphorie.
DB : Exact.
KC : Qu'est-il advenu après cela ? Vous... Je
suppose...
DB : Ou l’euphorie que vous connaissez en traversant le
processus de mort naturelle.
KC : Uh huh.
MM : Uh huh. Oui. Quand vous expulsez naturellement les
opiacés...
DB : Ouais.
KC : Mais... Bien, donc... Mais qu’est-ce qui est arrivé
après cela ?
DB : Ah ... après cela, j'ai commencé à sombrer loin de ce
qui se passait dans la zone propre et avec la panique de ce qui se
passait à la radio... parce que je les ai entendus. Nous avions deux
unités distinctes, une unité E et l'unité B à la radio. C’était comme
des fréquences radio distinctes. Et je pouvais appuyer sur le bouton et
parler de manière indépendante. Mais ils passaient les uns par-dessus
les autres, criaient, disant: « Préparez une unité secondaire »... pour
me sortir de là. Ils allaient entrer dedans pour me sortir de là. Et
vous ne pouvez pas y rentrer si vite. Je veux dire, ils devaient
équiper quelqu'un pour le faire entrer. Vous saviez avant de rentrer,
que le J-Rod... euh... Nous étions formés au fait qu'ils étaient une
menace.
KC : Vraiment...
DB : De sorte que nous n'étions pas censés communiquer en
privé avec eux ou quelque chose comme ça, nous avions une certaine
tâche à accomplir et nous devions le faire. Et c'était le travail
scientifique de prélever les échantillons, et puis de les étudier pour
l’utilisation en rétro-ingénierie des produits chimiques de retour à la
vie.
KC : L'idée était de reculer sa... une maladie dont lui et
son peuple souffrait...
DB : Ouais.
KC : Le 52 ?
DB : Le 52. Et ce que nous essayions de faire à l’origine...
quittons un peu le sujet pour rentrer un peu dans la biologie... ce que
nous essayions de faire, nous essayions en fait d’enlever le cytoplasme
extérieur des cellules et... de, produire des cellules qui auraient
fonctionné indépendamment, puis pour comprendre ces cellules sur le
plan biochimique et génétique, afin que ces cellules puissent alors
être replacées comme une greffe dans le J-Rod pour tenter d'améliorer
la neuropathie. C'était l'un des objectifs énoncés. Plus facile à dire
qu'à faire. Mais...
KC : Donc d’accord...
DB : On nous avait cependant dit, que si quelque chose
tournait mal à l’intérieur, on ne pourrait pas y remédier de suite. On
n'était pas à des millions de kilomètres, mais vous étiez à plusieurs
milliers, lorsque vous étiez à l'intérieur de cette zone. On était donc
très seul, même si on avait des communications radio. C’était comme
d’être dans une navette spatiale, si vous voulez. Et pas si facile...
vous voyez, pas facile de vous ramener à la maison. Parce qu'ils
devaient faire tous les repressurisations du portique, amener quelqu'un
de nouveau, puis vous faire sortir, puis vous désinfecter... le
nettoyage... la décontamination et puis vous faire sortir de là, puis
vous faire quitter la combinaison, puis vous donner un traitement
médical. Nous parlons donc de quelques heures. Donc si quelque chose se
passe mal là-dedans... et ils sont potentiellement capables de vous
nuire en raison de l'entraînement... vous êtes morts.
Et c'est... ce que vous acceptiez avant d’être d’accord pour
y aller. Et... Mais dans une large mesure ce n'était pas, vous savez,
ce n'était pas de la bravade de notre part, en disant: « Ce n'est pas
grand chose », mais vous deviez l’accepter juste pour travailler à
l'intérieur de l'établissement. Vous saviez que s'il y avait une ...
une contamination, si les alarmes se déclenchaient, la vieille blague
c’était de dire, « Mets-toi dans une chaise à dossier droit, et
penche-toi bien en avant et embrasse ton ___ au revoir ». C’était fini.
Car si les alarmes s’étaient mises en route, vous auriez été enfermés
dans l'installation et ils auraient pompé le gaz à l’intérieur et
auraient allumé le dispositif air-carburant. Wow ! C'est à ça... voilà
à quoi servaient les vannes explosives. Les soi-disant tunnels de
secours, pour vous permettre de sortir au cas où il y aurait eu une
situation d'urgence? C’étaient des conduits de purge...
KC : Hm.
DB :… Ainsi, ils pouvaient faire sauter et exploser
l’installation, faire sauter la plage de Papoose et garder intact le
reste de l'installation.
KC : D’accord.... mais votre expérience avec le J-Rod et les autres que
vous avez rencontrés ont essentiellement... Aviez-vous peur pour votre
vie à tout moment ? En d'autres termes, avez-vous réellement...
DB : Je craignais pour ma vie lorsqu'il s’est avancé vers moi. J'ai eu
peur, oui, absolument.
KC : A ce moment-là...
DB : A ce moment-là, mais c’était très transitoire... vous
savez, c'était un moment éphémère.
KC : Comment avez-vous...
DB : ... C’est passé très vite, car la biochimie m’a aidé à
me calmer quand il m’a entraîné.
KC : Qu’avez-vous ressenti, dans votre, sorte d’interaction
avec lui ? En d'autres termes, sentiez-vous que... Vous avez dit que
vous ne vous rappeliez pas le connaître lors de la première
réunion...
DB : Non.
KC :... Dans le vaisseau spatial. Exact ?
DB : Exact.
KC : Mais lui se souvenait, clairement.
DB : Il se souvenait.
KC : Donc avez-vous ressenti que vous avez développé
effectivement une amitié avec cet être...
DB : Oh, oui, absolument. Tout-à-fait...
KC : … et elle a grandi au fil du temps... Ou l’avez-vous
ressentie comme immédiate ?
DB : C'est une bonne question. Je vais dire que j'ai
ressenti une parenté avec lui tout du long depuis le moment où il m’a
examiné pour la première fois. Et c’était peut-être une conséquence du
fait que j’avais été enlevé dans le parc. Cela se peut. Ma confiance
dans ce qu'il disait, a augmenté au fil du temps.
Marci : Parce que je me souviens vous avoir demandé ça. Je
vous ai spécifiquement demandé cela.
DB : Ouais. Ma confiance a grandi au fil du
temps.
KC : Mais c'était peut-être à un niveau plus
profond...
DB : Il y avait une parenté patente entre lui et
moi.
KC : Uh huh.
DB : Et je pense que cela peut avoir commencé en raison de
l’enlèvement de 73, je pense. J'essaie de l'estimer. Il y a eu une
évolution de la nature joviale de notre amitié au fil du temps.
Certainement... parce que j'ai un drôle de sens de l'humour, et il
était capable d’être ami avec ce même genre bizarre de sens de
l'humour, où il se présenterait a moi et me dirait que... ce qu’était
son comportement... parce que je ne pouvais pas savoir si facilement
quand il était heureux ou quand il était triste en raison de
caractéristiques physiques. Vous le savez, vous pouvez le dire assez
rapidement d’un être humain, s'il est heureux, il vous sourit. Mais je
ne pouvais pas dire si c'était de la douleur ou ce que c’était sur son
visage, jusqu'à ce qu'il m'ait expressément informé que c'était son
sourire, c'était son rire. Comme cela grandissait, ma relation avec lui
grandissait. Je me suis plus adapté à ses réactions physiques aussi et
je pense que cela a capté notre amitié ainsi parce que je l’associais
aussi plus à un autre être humain ayant lui aussi des réactions
physiques, vous voyez, dans la communication. Et ils l’étaient moins.
C'était donc difficile. C'était très difficile. Jusqu'à ce que je me
sois adapté, quand je suis devenu plus détendu par rapport à ses
réactions physiques. Une fois que je savais qu'il riait, cela m’a causé
des ennuis avec les gens dans l'établissement car je réagissais
naturellement à ses réactions physiques. Et donc si je lui souriais ou
quoi que ce soit, ils disaient, « Qu’est-ce qui se passe entre vous
deux? » Je l'entendais par la radio.
KC : Uh huh.
DB : Parfois, je leur mentais franchement et répondais : «
Rien ». Parce que j'avais peur. J'avais... Oui, vraiment ... j'avais
peur aussi de perdre son amitié, parce que je voulais en savoir plus
sur lui. Et ainsi j'étais disposé... et ces sont les mêmes personnes
qui, vous savez, pointeront leur arme sur moi sans le moindre scrupule
à le faire. J'étais prêt à être amical, aussi, parce qu'il était
prisonnier là, comme je l’étais moi aussi dans mon sentiment, un
prisonnier de Majestic, car j'avais été introduit dans un programme
dont je n'avais pas la moindre idée d’où j’avais mis les pieds. Donc je
me sentais comme offensé, aussi.
KC : Uh huh. Vous aviez donc une camaraderie en ce
sens.
DB : Ouais. Nous étions tous les deux prisonniers dans notre
propre droit.
KC : Avez-vous pensé qu'il avait la possibilité de vous
protéger ?
DB : Non... En fait, c'était... S’il y avait quelque chose
du genre, c'était l'inverse.
KC : Uh huh.
DB : Je le couvrais, ainsi qu’une grande partie de sa
colère. Il avait aussi de la colère en lui et de la douleur. Et la
colère était due à la douleur des prélèvements qui avaient été faits.
Je le couvrais en ne leur parlant pas de la colère, car alors ils
auraient suivi un protocole de conditionnement efficace qui avait été
défini, contre lui, pour le sanctionner. Donc je l'ai réellement
protégé.
KC : Alors, mais est-ce qu’il...
DB : C’est un être humain, pour l'amour de Dieu. Je veux dire, que si
on vous pique avec une aiguille pendant suffisamment longtemps, vous
allez être perturbé. Et lorsque vous êtes traité comme de la merde
par-dessus le marché.... un prisonnier est un prisonnier.
KC : En quoi était il traité comme une merde, comme vous
dites ?
DB : S’il ne voulait pas répondre comme ils le lui
demandaient, ils déclenchaient une vanne de refoulement et modifiaient
la pressurisation dans la zone propre, causant une intumescence légère
à modérée, un changement de pression dans sa peau, parce qu'il était de
moindre densité, densité physique, en poids par volume, la densité. La
raison pour laquelle je clarifie ce point, c’est que j'ai entendu
beaucoup de commentaires new-age à propos de la 4e densité. Je ne sais
rien de tout cela. En type de densité de poids par volume, il était
moins dense, physiquement, que nous l’étions. Sa structure osseuse
était moins dense que la nôtre. Donc lorsqu'ils appuyaient
sur la vanne de refoulement, ou s’ils le faisaient gonfler, cela lui
causait une grande douleur. Et moi je criais « Non ! » et je pense,
vous savez, que la fois où il s’est précipité sur moi, je pense qu'ils
ont préféré ne pas le faire, parce que clairement, il m’entraînait à ce
moment. Ainsi, s’ils avaient déclenché la pressurisation à ce stade,
j’aurais ressenti la douleur qu'il ressentait. Et cela aurait pu me
tuer, je ne sais pas.
KC : Exact, parce que vous avez développé une... d’après ce
que je comprends, vous avez développé... comme dans le film ET, vous
avez développé la capacité de ressentir réellement sa
douleur.
DB : Eh bien, cela n’a même pas... ce n'était même pas
développé. C’était immédiat.
KC : Oh, c’était immédiat.
DB : Ce qui a développé.... et je ne suis pas certain. Cela
pourrait en réalité être un genre d'accoutumance neurologique. Je ne
suis pas certain de ça. Mais ce qui a développé, c’était l'incapacité à
rompre le lien, à couper le lien avec lui.
KC : Même quand vous quittiez la zone propre ? En d'autres
termes, indépendamment d'où vous étiez ?
DB :[Opinant de la tête] A l’intérieur, ah, à un certain
niveau. Dans un rayon, de 15 mètres autour de lui, vous
voyez.
KC : Par exemple, maintenant ?
DB : J'étais... J'ai pu...
KC : Là maintenant, vous le pourriez ?...
DB : Non, non, non, non.
KC :... Sentir sa douleur ?
DB : Non.
KC : S’il voulait que vous la sentiez, le pourriez-vous
?
DB : Non, je ne le crois pas. Je ne crois pas qu'ils soient,
euh... capables. Je veux dire, vous savez, que nous parlons...
maintenant nous parlons de la différence de temps...
KC : Uh huh.
DB :… Son absence d'existence physique dans notre réalité.
Et même si nous ne parlons d’aucune différence de temps, nous parlons
d’une distance linéaire de l’éloignement qu’il y a entre ici et
Reticulum. Bon Dieu. Non.
KC : Est-il de retour à Reticulum maintenant ?
DB : Oui. Pour autant que je sache.
KC : Wow.
DB : Pour autant que je le sache.
KC : OK.
DB : Pour autant que je sache où il est reparti. C'est la
meilleure information que j'ai. Et, franchement, depuis le moment où...
quand cela s'est passé en 2003, ils ne veulent même pas en discuter
avec moi, parce que c'est réellement un point douloureux. J'ai fait ce
que je ne étais pas censé faire.
KC : Oh... vous l’avez poussé par un trou temporel...
DB : Je l'ai poussé dans...
KC :... un trou stellaire.
DB :… une des unités « stargate », oui, dans le patch gris
entre les postes. Ouais.
KC : et ce fut la fin... à la fin de votre relation avec lui
?
DB : C'était la fin. C'était la dernière fois que je l'ai
vu.
KC : Je veux dire, c’était...
DB : C'était la fin de leur relation aussi, c'est pourquoi
ça les autant fait chier.
KC : Qu’est-ce qui vous a incité à le pousser
dans…
DB : Il m'a demandé de le faire. Il m'a dit qu'il voulait
rentrer chez lui. Il voulait voir son fils. Donc je l'ai
fait.
KC : C’était donc un prisonnier, mais à un moment donné,
vous étiez en position... Je pense que c'était en Égypte.
DB : C'était le cas.
KC : D’une certaine façon, vous les gars avez été, avez été
envoyés en Egypte ?
DB : Oui, on m’y a emmené en avion.
KC : Et lui aussi.
DB : Oui, mais sur un transport différent. Il avait... il
était déjà présent au moment de mon arrivée. Il y avait un protocole de
communication en cours. Il était en train de communiquer quelque chose.
On ne m’a jamais vraiment dit. Tout ce qu’on m'a dit, c’était qu'il y
avait un problème avec sa communication et ils voulaient que je sois
là, pour qu’il se détende ou je ne sais quoi, afin de faciliter la
discussion. Ainsi, ils réclamaient fondamentalement ma présence, comme
une idola theatri, comme une idole de théâtre. Ils voulaient que je
sois là. Ils voulaient ma présence, comme un artifice de parenté avec
lui.
KC : Et vous aviez...
DB : Et la parenté n’était pas un artifice. Et c'est quelque
chose qu'ils ont mal interprété, j'imagine, que pendant toutes ces
années, que j'avais plutôt un lien de contemporain à contemporain
vis-à-vis de lui. Et pour moi, même s'il était, s’il était décalé, même
s’il semblait différent, qu'il n’était pas d’ici, c’était toujours un
être humain, et un homme est un homme, est un humain pour moi. Donc
j'ai eu un... J'ai eu une véritable amitié avec lui. Il y avait une
vraie affection entre nous deux, parce qu'il me montrait des choses de
son enfance et je lui montrais des choses de la mienne et nous avons
réellement apprécié l’expérience l’un de l’autre dans une... une
amitié. C'était une véritable amitié, et je ne pense vraiment pas que
Majestic ne l’ait jamais considéré de cette manière. Ils se sentent si
sacrément supérieurs, ou que nous leur sommes supérieurs. Et c'est
peut-être une réaction. Je ne sais pas, peut-être que je suis en train
de rationaliser la chose, qu'il s'agit d'une réaction au sentiment du
P-45 que nous sommes inférieurs... qu’ont les soi-disant véreux envers
nous. C’est peut-être une sorte de réprimande contre cela ou en
réaction contre cela, qu'ils ont développé cette attitude. Je ne sais
pas, mais je sais que je n'étais pas supérieur à lui et qu’il n'était
pas supérieur à moi... beaucoup plus brillant, mais nous n’étions
simplement que des êtres humains. Et ce n’est pas, parce que quelqu'un
est plus brillant que quelqu'un d'autre, que cela signifie qu'il est
supérieur.
KC : Donc, en... J’essaie juste de comprendre pourquoi en
Egypte... il était là et faisait visiblement certains travaux avec
eux.
DB : Il était là comme élément du programme de
communication, qu'ils avaient poursuivi après notre programme... bien,
bien longtemps après notre programme, près d'une décennie,
après...
KC : Presque dix ans plus tard ?
DB : Eh bien, je veux dire, vous savez, que cela s’était
terminé en 96 et nous avons eu quelques briefings supplémentaires en
97, mais c'était à ce sujet.
KC : Vous êtes donc en train de dire que vous... que cela est arrivé
récemment, que vous l’ayez poussé dans le « stargate » ?
DB : C'est arrivé à la fin de 2003 et... vous savez, je
pourrais dire de la relation avec lui qu'il a été honnête avec moi.
Maintenant, une fois de plus, il y a ceux qui ont critiqué et dit : «
Regardez, ce gars là a suivi une ligne évolutive de 52 000 ans », ce
qui ne le rend pas nécessairement plus intelligent, mais certainement
pas non plus si vous regardez la... la pathologie, mais... qu'il avait
la capacité, s'il était un être humain, de mentir. Hum ? Oui. Et nous
avons parlé entre nous du fait de mentir et Majestic n’en a jamais rien
su.
Mais il m'a dit des choses à propos de ce qui pourrait se
produire à l'avenir, sans conséquence, généralement sans conséquence.
Et puis, il y avait certaines choses très indirectes. Mais certaines
choses généralement sans conséquence survenues ultérieurement, qui
m'ont montré, qu’il venait non seulement du futur , mais qu’il avait
accès à du matériel du futur, parce que personne n’aurait pu prédire
des conversations. Mais aussi, qu'il a été honnête avec moi. Je pouvais
sentir son cœur. Et c'est réellement tout ce que nous pouvons faire.
Vous savez, ils... ils le transforment en une blague de Coast to Coast:
« Le défi AM de Coast to Coast avec Bill Burns et George Noory.
Allez-vous monter sur le plateau et vous soumettre à cet examen du
polygraphe ? »
Maintenant... Parce que le détecteur de mensonges ne
fonctionne pas. Si un détecteur de mensonges avait fonctionné, nous
n’aurions pas besoin de jurys. Nous jugeons d’autres gens, d'autres
êtres humains, sur leur honnêteté, par des données empiriques et les
éléments de preuve ainsi, mais d’après leur esprit également. Et…
l'esprit avec lequel je l'ai jugé, était que je sentais de sa part, de
son cœur, de son esprit. Et je l'ai jugé d’après sa relation avec son
enfant, par la manière dont il considérait sa mère, toutes ces choses
que nous choisissons de considérer, dans la famille humaine, pour
prendre des décisions au sujet les uns des autres. Les mêmes choses...
Je veux dire, ces choses communes étaient toujours
présentes.
KC : Ainsi…
DB : Il y avait de très, vous voyez, de nombreux aspects
inhabituels à leur société envers la négation de l'émotion et de nier
les noms personnels en société. C’était toujours en cours au sein des
familles. Il y avait un thème commun de la famille humaine qui existe
toujours de son temps. Et... Je me suis servi de cela dans le cadre de
mon discernement prudent de lui – ou mon Dieu, j'espère que c'était ça
– que c’était un bon humain.
KC : Ainsi, vous l’avez aidé à passer par la « porte des
étoiles ».
DB : J'ai poussé le transport de type Segway sur la
poussette. Ça ressemblaient à des bocaux de Bell, pratiquement,
par-dessus les poussettes de type Segway où vous pouviez... vous voyez,
c’était presque... presque à hauteur de taille, là où il y avait la
barre. Bon on pouvait la pousser dans n’importe quelle direction, et il
fallait très peu d'efforts pour le déplacer. Euh... et il m'a demandé
de rentrer à la maison.
KC : Vous l’avez donc poussé et...
DB : Je l'ai fait.
KC :... Et qu'est-il advenu de vous lorsque vous l’avez
poussé ?
DB : J'ai poussé en avant, puis le sentiment suivant a été
un sentiment d'engourdissement. [il glousse] Je... Un bref instant, je
pensais que j'avais vraiment fait une connerie et que je m’étais
peut-être tué moi-même ou que sais-je encore, parce que je me suis
littéralement senti engourdi dans tout mon corps. Puis je me souviens
d'un flash gris. Et puis je me suis retrouvé assis, en train de
tousser, sur un bloc à environ 20, 30 mètres, peut-être. Et les gens
accouraient vers moi, avec toujours cette dramatisation exagérée, ils
braquaient en effet une arme automatique sur moi, tout en me criant
dessus. Et puis j’ai été capturé, descendu du bloc et pris en charge et
on m’a dit, vous savez, « Vous êtes en état d'arrestation. » Et bien,
je veux dire, j'avais commis une violation des protocoles. Et on m’a
menacé avec des armes contre ma tête et des choses comme ça.
KC : Comment avez-vous...
DB : « Qu’est-ce qu'il vous a dit? » Et, vous savez ce que
je veux dire. Ou, « Etes-vous un espion? » Et, vous voyez... Ils
agissaient juste de manière paranoïaque. Non, je n'étais pas un espion.
Je l’ai juste envoyé à travers le « stargate » et il s’est volatilisé «
bye-bye ». Et c'est à peu près tout ce qui est arrivé.
KC : Comment avez-vous... Comment Majestic a réagi après
cela, pour vous ?
DB : Très en colère, très en colère, y compris les personnes
avec qui je suis le plus proche... à l’exception de celui qui est
présent. Très en colère contre moi.
KC : Et comment ont-ils agi... Comment Majestic agit,
lorsqu'il est en colère ? Je veux dire, j'imagine que cela revient
à.... ils ne vous ont pas... n’avez- vous pas été torturé ? Je veux
dire, n'est-ce pas exact ?
DB : Je n'aurais pas... Je ne nommerais pas cela de la
torture, hormis le fait que j'ai été injustement emprisonné. C'est la
torture. Je l’ai été à deux périodes de temps envoyé à S-4, au niveau 3
et on m’a bien fait comprendre, «C’est là où tu es pour le
moment.»
KC : Niveau trois veut dire...
DB : A S-4.
KC : C’était une cellule ?
DB : Euh, non. C'était une des chambres, une des petites
suites, si vous voulez qui existaient là initialement. Il en y a 12,
dans ce trident. Il en existe trois groupes de quatre. Et j'ai été mis
dans l'unité, plus à gauche. Et c’était surtout... Je veux dire, elle,
contenait tous les aménagements. Je pouvais demander de la nourriture.
J’obtenais tout ce que je voulais, sauf que je ne pouvais pas partir.
Il n'y avait aucune liberté. Je considère cela comme une torture.
Les... les autres éléments sont des actes d’incivilité. Et les actes
d’incivilité du Majestic comprennent toutes sortes d'incivilités
psychologiques – vous brutaliser, vous menacer, vous faire souffrir
physiquement. Et j'ai été battu. J'ai été giflé. J'ai été physiquement
immobilisé, ce qui signifie menotté et battu et giflé. J'ai été mis
sous les lampes.
KC : Qui était...
DB : Bon sang, j’avais des amis qui me faisaient ça. Mais
j'étais, vous voyez, placés sous les lampes très fortes et... tout en
étant menotté, un interrogatoire. On m’avait dit de la boucler,
jusqu'au moment où deux personnes m’ont attrapé, l’un d’entre eux m’a
poussé par terre sur le sol d'un garage et l’autre m’a lourdement
marché dessus et cassé ma main.
KC : D’accord.... Et c’étaient des « membres » de Majestic
qui ont exécuté ces...
DB : Oui.
KC : ... Attaques ? En d'autres termes, ils n'ont embauché
personne d’autre ?
DB : Oui... Pas les numéros en J. Pas les numéros en J.
C’étaient des agents.
KC : Agents.
DB : Du personnel de sécurité, pour ainsi dire
Ouais.
KC : Je vois. Donc pas les 1 à 12, mais les gens qui
travaillent pour eux.
DB : Oh non, aucun d'entre eux n’a levé la main sur moi,
jamais. Une grande affection, au contraire, de leur part...
KC : Mais ils avaient des ordres...
DB :... Comme on montrerait beaucoup d'affection pour un
animal de compagnie.
KC : Ces... OK [glousse] donc pour certains d’entre eux vous
étiez perçu comme un animal…
DB : Eh bien, je ne dis pas ça...
KC :… Mais vous avez également été maltraité sur leurs
ordres?
DB : Je ne dis pas que j'étais considéré comme un animal de
compagnie. Je dis que je ne sais pas ce qui est... ce qu'ils ont
réellement dans leur cœur, dans leur esprit, et donc s’il existe la
possibilité que l'affection puisse être accordée soit avec fourberie ou
honnêtement. Cela peut être accordé... euh... d’une personne à l'autre
sur le même niveau, ou comme un acte de condescendance.
KC : Eh bien, nous allons récapituler un tout petit
peu.
DB : D’accord, Oui.
KC : Majestic...
DB :[Faisant des signes hors caméra à Marci] Elle a évoqué
le nom de Tenet. George Tenet... Oh, je ferai mieux de surveiller ma
bouche...
Marci : Uh hmm ! C'est pourquoi j’ai mentionné le
nom.
DB :… Avant que je commence à en dire trop ici.
MM : Je sais.
DB : George Tenet était un ancien directeur du Renseignement
Central (Central Intelligence) pour les États-Unis d'Amérique. Nous
allons continuer. [rires]
KC : OK... Donc, mais ce que vous disiez sur Majestic m’a
intéressée. [rires]
DB : [Toujours en riant] Désolé...
KC : C'est OK. Vous êtes fondamentalement en train de dire,
que Majestic fonctionne comme … est indépendant du gouvernement. Est-ce
exact ?
DB : Oui et non.
KC : Ou est-ce qu’ils fonctionnent sous lui ?
DB : Oui et non. Ils ont été dégagés de l'autorité
présidentielle directe dès la fin des années 40. Toutefois, il y a plus
d'un individu qui siège... qui a siégé... comme membre des douze qui
participent étroitement avec le gouvernement des États-Unis, pour
inclure les niveaux les plus élevés.
KC : OK. Et ainsi ces personnes étaient
effectivement...
DB : OK. Il est temps d’enfiler les souliers de
danse.
KC : [rit] OK. Ces personnes ont effectivement ordonné que
vous soyez, suite allons-nous dire, à ce ... vous savez, ce genre de
dépassement de la ligne, en poussant le J-Rod dans le « stargate », ils
ont ordonné que vous soyez séquestré, battu, ou...
DB : Et bien, par...
KC :… blessé en quelque sorte ?
DB : Au moment où c'est arrivé... Tous les coups avaient eu
lieu avant ça. Au moment où c’est arrivé, il y avait... Au fond ils ne
savaient pas quoi faire de moi. J’ai pris tout le monde par surprise...
moi aussi [rit]... ce que j'ai fait... Ils ne savaient pas quoi faire,
et donc ils n’ont donc vraiment rien fait. Je veux dire, vous savez,
j’ai été trimbalé de-ci de là sur le site pendant un certain temps et
on m’a rapatrié ici aux États-Unis, mais après cela on m’a
essentiellement demandé de rentrer chez moi. Ils ne savaient pas quoi
faire.
KC : C’est pourquoi vous avez été libéré de Majestic, en
raison de cet incident ?
DB : Non. Non. J’arrivais à la fin de mon temps, de mon
utilité, au fond, de toute façon, hormis d’être ah... presque un ancien
avec eux, parce que j'avais été là pendant 20 ans. Ma condition
physique avait empiré. Je ne suis pas bien, physiquement. Donc je ne
serais d’aucune utilité dans un laboratoire.
KC : OK, mais pourquoi y a-t-il... Je comprends qu'il y ait
une sorte d'ajournement, selon...
DB : C'est exact.
Majestic : La Nouvelle Administration
KC : Et maintenant, il y a une nouvelle administration et
elle ne sera pas composée des mêmes personnes que l'ancien organisme
?
DB : Exact.
KC : Pourquoi ? Pourquoi est-ce qu'ils ont changé les
membres ? Quelle est la motivation ?
DB : Il y a une passation en cours entre les deux sociétés
secrètes. L'une est en train de remettre les rênes à l'autre et c’était
prévu depuis longtemps. Toutefois, ça ne fait pas longtemps que je le
sais. Mais c’était prévu depuis longtemps, très longtemps, probablement
depuis des décennies. Je suis certain que ça fait des décennies. A la
façon dont ils en parlent.
KC : Majestic est régi par une société secrète, c’est ce que
vous êtes en train de dire.
DB : Eh bien, Majestic est la plus célèbre –à part
probablement les Francs-Maçons – société secrète en elle-même. Et il y
a beaucoup de Francs-Maçons qui siègent au Majestic, en raison de leurs
relations. Les deux choses se produisent en même temps. Et leurs
philosophies aussi, ensuite, les philosophies de ces sociétés secrètes
associées, telles que le rite écossais et le rite d'York, sont
dispensés dans la société secrète connue comme Majestic.
KC : Quelle est la querelle entre...
DB : Vous mettez en application ce que vous êtes où que vous
soyez.
Majestic contre les
Illuminati
KC : Bien sûr. Mais en quoi consiste la querelle entre,
disons, la société ou le groupe Majestic et les Illuminati ?
DB : C'est vraiment bien et c’est la meilleure question à
poser, plus importante encore que les différences entre les J-Rods,
parce que cela influe sur nous, je pense, maintenant.
De nombreux membres de l’échelon supérieur... et je ne parle pas des
gens dévoués qui travaillent sur les chantiers de construction, pour
l’amour de Dieu... Beaucoup de gens qui se trouvent à l'échelon
supérieur du mouvement maçonnique, d’York et de rite écossais, ont
accepté une philosophie qui est luciférienne dans le contexte et
l'histoire. Beaucoup de personnes qui ne sont alors pas directement
impliqués avec le Majestic, qui sont aussi associées à cette
philosophie luciférienne, se sont frottées les unes contre les autres
pendant des décennies, probablement depuis encore plus longtemps. Donc
quelque part le long de la ligne de l'histoire, il y a eu un schisme
entre ceux qui ont accepté l'histoire luciférienne, la philosophie
luciférienne, mélangés à d'autres personnes de la société secrète pour
qui ce n’était pas le cas et qui ont abouti dans le Majestic... et les
personnes qui ont accepté une… presque comme une autre euh...
dénomination luciférienne ? Si vous voulez... accepté une philosophie
luciférienne qui ne sont pas associés avec le Majestic. En d'autres
termes, nous avons des pièces sales des deux côtés.
KC : OK. Et lorsque vous parlez d’une philosophie
luciférienne...
DB :Eh bien... ce qui signifie une philosophie matérialiste
et, faute d'un meilleur terme lorsqu'il s'agit des vrais Illuminati
européens, satanique, où ils ont donné leurs vies, leurs familles, leur
honneur sacré, à cette pensée satanique de création d'un ordre mondial
au titre de la personne qu'ils considèrent comme le vrai Dieu, et qui
serait une figure luciférienne. Maintenant, ces gens ont également (en
se séparant des pièces sales du côté de Majestic)... Ces personnes ont
également accepté l'influence des P-45 véreux, qui veulent justifier
leur propre histoire par notre disparition, en passant de la ligne
temporelle 1 à la ligne temporelle 2, une catastrophe. Et donc, les
différences entre le groupe Majestic, dont certains étaient ces
Lucifériens mélangés et le vrai groupe des Illuminati.... Ce ne sont
même pas vraiment des Illuminati. Je veux dire, c'est un mot qui
revient signifiant « Les Eclairés », et ces personnes ne sont pas
éclairées. Ils sont tout simplement sous l'influence d'une fausse
lumière. Que les différences entre les deux, ensuite, se sont élevées
vers de la rancœur même s'ils ont beaucoup en commun avec eux.
Toutefois, du côté du Majestic vous avez beaucoup de gens qui craignent
Dieu aussi. Beaucoup. Et je ne parle pas ici spécifiquement des douze.
Je parle des personnes de la chaîne (de travail), des personnes avec
qui nous avons collaboré. De bonnes personnes. De bonnes personnes
jusqu’à l’os, jusqu’à l'âme, qui ne veulent rien d’autre, que le bien
du monde.
KC : Ainsi, ce dont vous parlez à la base, est qu’il semble
y avoir une alliance entre, faute d'un mot meilleur, le groupe des
soi-disant Illuminati qui a des disciples sataniques...
DB : Oui.
KC :… Et les P-45s, ce que vous appelez les
P-45s...
DB : Oui, oui.
KC :… Et le groupe Majestic, qui, même s'il a certains
membres des Illuminati, est fondamentalement du côté des
P-52s...
DB : Ouais. Je n'aurais pas vraiment dit « certains ». Je
dirais que ce sont des Francs-Maçons qui ont accepté l'influence
luciférienne. En d'autres termes, ils peuvent être personnellement en
désaccord avec l'influence luciférienne, mais continuent toujours à
agir comme de bonnes personnes.
KC : Pour le bien de l'humanité.
DB : Pour le bien de l'humanité. Exactement. Et puis il y a
certains avec lesquels j'ai interagi qui participent aux soi-disant
vrais Illuminati en Europe, qui sont des personnes qui craignent
également Dieu. Il y a des pièces sales et il y a des pièces polies des
deux côtés. Cependant... Cependant, les pièces sales représentent la
grande majorité du groupe du côté européen des Illuminati.
2012 : Deux chronologies
KC : OK. Quel est donc... Maintenant nous allons aborder les
lignes de temps et expliquer simplement brièvement, puisque cela va
dans le futur et au-delà de 2012,… Ce qui signifie que les P-45
proviennent de 45 000 années en avant de nous...
DB : De 45 000 années dans le futur, sur une ligne
temporelle distincte pour celle où nous sommes actuellement, mais un
scénario pour lequel nous pourrions opter d'où nous sommes maintenant.
Donc, si nous devions accepter que nous transitions, puisse Dieu nous
en empêcher, de la ligne temporelle 1 à la ligne temporelle 2, ils
seraient considérés respectivement comme 45 000 ans et 52 000 ans en
avance sur nous.
Roswell
Les individus qui se sont posés près de Roswell, au Nouveau
Mexique années dans les années 40 étaient environ 24 000 ans an avance
sur nous dans la ligne temporelle 2. Et c'était une mission de retour,
une mission de voyage dans le temps, de la Terre à la Terre.
KC : Nous sommes maintenant sur la ligne temporelle 1, je suppose que
vous voulez dire ?
DB : Ouais.
KC : Et nous nous dirigeons vers 2012 et théoriquement une
catastrophe qui peut ou pas se produire.
DB : Dès maintenant déjà.
KC : Tout de suite là ?
DB :[Rit] Oui.
La planète X et 2012
KC : Et cette catastrophe, a-t-elle quelque chose à voir
avec la planète X ?
DB :[longue pause] je ne sais pas. C’est la réponse la plus
honnête, que je peux vous fournir. Je sais que beaucoup de traditions
parlent d’une drôle de planète qui doit venir. Toutefois, le matériel
que j'ai effectivement vu... Sur un euh… passage répétitif, si vous
voulez, près de la Terre avec des influences catastrophiques, se
produit non seulement en raison d'une question de physique – en disant
« drôle » je ne pense pas cela par rapport à l’analogie avec le « drôle
»de J-Rod– mais d’un croisement aberrant de la terre... astéroïdes ou
comètes.
Ce que j'ai entendu, c’est que pour précipiter la catastrophe, il y
aurait, pendant que nous traverserons le plan de la voie lactée, une
sorte de vague énergétique à travers le plan de la galaxie en vertu des
‘galeries’ qui voyagent... Qui traversent le plan de la Galaxie depuis
le Centre de la Galaxie, qui ont été représentées dans l'ancienne
tradition... appelée la corde du serpent... Même les anciens... Et que
la corde du serpent reviendrait au moment de la fin du calendrier Maya,
révélant... Et il y a plusieurs points de vue quant à ce qu'il
indiquera. Mais que pendant ce même temps, l'histoire des J-Rods
raconte que cette vague entraîne une interruption dans le soleil et qui
coïncide avec des pics d’énergies du soleil et des trous de vers qui
pourraient traverser notre planète, qu'il y aurait une catastrophe
provoquée en vertu de ces dispositifs de voyage dans le temps (les
installations Stargate, portes des étoiles) et les dispositifs
d'affichage du temps (les dispositifs de miroir (Looking Glass) ) se
mettant spontanément sous tension et dirigeant une quantité
inappropriée d'énergie vers la croûte terrestre de la Terre,
précipitant une catastrophe géophysique. Cette catastrophe géophysique,
selon l'histoire des J-Rods et des Orions, indiquent que plus de 4
milliards 157 millions de personnes meurent sur une période de
plusieurs années en vertu de cette évolution géophysique dans la
croûte.
KC : Ainsi, c’est ce qu’on...
DB : Je ne peux pas...
KC : … Essaie...
DB : Je deviens abruti quand je pense à ces
nombres.
KC : ... C’est ce qu’on essaie d'éviter ?
DB : Oui.
KC : Est-ce exact?
DB : Oui. Très vrai.
KC : Et comment cela va-t-il être empêché ?
DB : Par la désactivation et la destruction de ces
technologies. Que nous passeront alors naturellement, par ces cordes du
serpent ‘Serpent Ropes’. Les accès d’énergie se produiront, quoi que
cela signifie. Je ne l'ai pas vu physiquement. Mais les pics se
produiront et il y aura une transmission d'énergie à notre planète qui,
progressivement, naturellement, va entraîner des modifications de
l'espèce humaine et de la vie de notre planète. Et que ces changements
seraient des changements positifs pour notre peuple. Et je...
Franchement, je pense que c'est déjà le cas. Il y a une augmentation,
dans le monde entier, dans... Et je ne pense pas que c'est juste une
taille donnée de l'augmentation de la population. Mais il y a une
augmentation de gens très spirituels et talentueux. Il y a une
augmentation de savants, les enfants Indigo. C’est un... Sans aucun
doute, d’après ce que j'ai pu lire à leur sujet... Un véritable
phénomène. Ces enfants sont d'un type nouveau, et je pense qu'ils sont
du type ligne temporelle 1. Nous constatons, je pense dans ces enfants,
ces grands enfants, une expression de ce que nous serons dans notre
propre avenir, notre prochain pas en avant. Nous ne regardons pas des
millions d'années en avant, ou quelque chose comme ça, mais notre
prochaine étape à venir. Et c'est une merveilleuse élévation de
conscience, dont je pense qu’elle va précipiter la prochaine
renaissance pour notre peuple. Je vois cela arriver.
Looking Glass
Les chiffres que nous avons reçus avant que Looking Glass
n’ait été arrêté, dissout, étaient qu'il y aurait une probabilité de 19
% avec un facteur de confiance de 85 %, que la catastrophe se
produirait, qu'il y aurait une transition de passage de la ligne
temporelle 1 à la ligne temporelle 2. Mais, cela signifie alors, qu'il
y a une chance à 81 % qu'elle n’ait pas lieu. Et, par conséquent, les
personnes qui souhaitent poursuivre la, la ligne négative, qui sont
convaincus que cela va se produire, ne présentent pas les faits. Les
faits sont : voici la matière que nous avons à notre disposition et que
nous savons.
KC : Donc, ce que vous dites, c'est que les Illuminati...
Pour revenir sur ce sujet...
DB : Oui.
KC :... Sont fondamentalement du côté de ceux qui croient
qu’une transition entre une ligne temporelle et l’autre va se
produire.
DB : Non seulement ils croient que ça va se produire, mais
ils veulent la provoquer.
KC : Mais en quoi... mais comment cela peut-il leur
profiter, de la provoquer ? Pourquoi voudraient-ils être P45
?
DB : Ce n'est pas le cas. Ceux qui sont en vie ne le veulent
pas. Ils considèrent les P-45 comme un moyen d’arriver à leurs fins.
Ils ne vont pas vivre aussi longtemps. Ils vont juste vivre une vie
humaine normale et mourir, ainsi ils souhaitent le contrôle pour
eux-mêmes. Le fait que les P-45... voilà à quel point ces gens sont
immoraux. Le fait que les P-45 désirent que nous connaissions, à leur
stade de leur propre développement, une catastrophe qui... Qui justifie
leur propre histoire, est utilisé par les Illuminati qui voudraient
voir la population réduite, afin de pouvoir exercer davantage de
contrôle, comme un moyen pour arriver à leurs fins. Ils se fichent du
reste.
KC : Bon, OK. Et alors...
DB : Ils le veulent juste pour eux-mêmes. Il y a vraiment
des êtres humains qui se fichent des autres ou qui s’en préoccupent
très peu.
KC : Donc ce que vous dites, c’est que les Illuminati
veulent que la catastrophe se produise...
DB : Oui.
KC :... De sorte qu'un certain nombre... Les trois quarts,
c’est le chiffre dont j'ai entendu parler... De l'humanité meurt. Ils
auraient la terre pour eux-mêmes...
DB : Eh bien, l'histoire dit un peu plus des deux
tiers.
KC : OK. Deux-tiers.
DB : C'est ce que dit effectivement l'histoire des
J-Rods.
KC : Exact. Deux-tiers. Et ensuite ? Je veux dire, ils leur
reste encore à vivre les modifications de la Terre et les cataclysmes,
n’est-ce pas?
DB : Exact. Mais ces personnes sont également ceux qui ont
leurs positions garanties dans les zones de sécurité... Installations
souterraines, etc.. Et donc ils sont présumés... Ce n'est pas certain,
mais ils sont présumés avoir été effectivement … Les procréateurs si
vous voulez, des personnes qui deviennent les J-Rods.
KC : Je comprends. Mais dans un sens... Il y a une pensée
que dans un sens, les P-45, ce côté de l'humanité, est... Ou peut
éventuellement devenir presque sans âme.
DB : Elles sont réprimées. Ils ont toujours leur même âme,
parce que même après plus de 7000 ans de développement, j’ai pu voir
l'âme, comme vous voyez le cœur d'un autre être humain... Je pouvais
voir l'âme de Chi'el'ah. Donc, elle n'est pas partie et ensuite
revenue...
KC : Mais Chi'el'ah n'était pas un P-45.
DB : Non. C’était un P-52, mais cela signifie simplement
qu'il était 7 000 ans plus loin dans le scénario de T2 de quand les
P-45...
KC : Donc il était...
DB :.. Existaient.
KC : ... Ou, son peuple était un P-45.
DB : Oui.
KC : Et un P-46, 47, 48.
DB : Oui. Oui... Oui.
KC : OK.
DB : Donc l'âme n'a pas disparu pour revenir ensuite. Elle
était là. Mais alors... Vous savez quoi. Voyez. Vous pouvez dire que
certaines personnes sont sans âme.
KC : Uh huh.
DB : Les Nazis. Combien d’âme avaient ils, lorsqu'ils ont
jeté mon grand-père sur une voiture ? Combien d’âme avaient-ils? Nous
savons qu'ils avaient une âme humaine, aussi noire fut-elle
apparemment, ou aussi couverte ait-elle été dans leurs cerveaux
déments, mais je prie toujours pour eux qu'ils aient... Même eux...
Qu’ils aient été réunis avec Dieu. Mais ils avaient toujours leurs
âmes, même si elle a été réprimée.
KC : Donc…
DB : De la même manière, les P-45 ont une âme.
KC : OK. Bon alors...OK. Vous avez parlé des Orions P-52 et
des J-Rods P-52. Ai-je raison ?
DB : Oui, oui.
Les Nordiques d'Orion
KC : OK. Quelles sont les causes de la séparation ? Car je
suppose que les Orions, sont les blonds Scandinaviens.
DB : Ce sont ceux qui préfèrent rester hors des zones de
sécurité quand cela arrivera. Ce sont les survivants qui ne vont pas
sous terre.
KC : Est-ce que ce sont les bons... Est-ce que c’est une
partie bonne de l'humanité? Je veux dire, les Nordiques P-52 d’Orion
?
DB : Je ne considère bonne aucune partie de l'humanité. Je
les considère comme la plus positive des deux, parce que je considère
les aspects positifs de l'humanité comme étant les aspects spirituels.
KC : Vous êtes en train de dire, que la ligne Nordique est
spirituelle.
DB : Ouais.
KC : Etait spirituelle.
DB : Extrêmement. Ouais.
KC : OK. Alors comment la ligne Nordique... Je veux dire,
vous dites qu'ils restent dehors...
DB : En réalité ils quittent la Terre en premier. Les
J-Rods, ou les précurseurs des J-Rods, restent sur terre pendant une
longue période de temps, bien après 24 000 ans depuis le moment de la
transition, 24 000 ans d’ici. Parce qu'ils étaient 24 mille ans ou
quelque chose comme ça en avance sur nous lorsqu'ils se sont écrasés à
Roswell en 1947. C’étaient des 24s. Ils restent. Les Orions se
déplacent en premier vers l'emplacement... après le rétablissement
d'une société sur la surface de la terre... la technologie est rénovée,
etc..... ils se déplacent vers le lieu où est gardée
l'Arche.
L'arche sur la lune
KC : C'est où ?
DB : Sur notre corps le plus proche, la lune.
KC : La lune.
DB : A quel endroit sur la lune, je ne saurais pas
dire.
KC : OK. Bien, cela rentre dans...
DB : Parce qu’il faut la défendre contre la possibilité de
transition entre la ligne temporelle 1 et la ligne temporelle 2 d'une
manière différente de celle dont j'ai été informé. Et je ne vais pas
être la personne qui transmet des informations erronées.
KC : OK, mais vous dites que les Nordiques vont quitter la
Terre, si la catastrophe se produit. Ou indépendamment de
cela.
DB : Ils la quittent après.
KC : Après que la catastrophe se soit produite.
DB : Probablement plusieurs milliers d'années après que cela
n’arrive, ils partent.
KC : Plusieurs milliers d'années.
DB : Oui, ils se déplacent sur la lune.
KC : Oh. J’avais l'impression que vous les évoquiez montant
à bord de vaisseaux spatiaux ou quelque chose du genre.
DB [secouant la tête] : Pas vraiment. Non. Ils se déplacent
sur la lune depuis plusieurs milliers d'années, via des vaisseaux
spatiaux. Ils vont à l’endroit où se trouvait l'Arche et ils
rétablissent une nouvelle communauté. A partir de là, ils se déplacent
vers Mars. Depuis Mars, vers Orion.
KC : Alors ils...
DB : Nous parlons de beaucoup de temps ici.
Le visage sur Mars
KC : Le « visage » sur Mars... Est-ce c'est... Est-ce que
nous regardons quelque chose qui a été laissé par les Nordiques
?
DB : Oui.
KC : Alors, nous regardons...
DB : Pour autant que je sache.
KC :... Alors, nous regardons notre avenir
lorsque...
DB : Nous regardons un paradoxe.
KC :.. Quand nous regardons les ruines.
DB : Ouais. Nous regardons un paradoxe de leurs ruines,
qu’ils ont laissé sur une autre planète.
KC : Dans l’... dans notre avenir.
DB : Dans notre avenir.
KC : Dans notre avenir possible.
DB : Oui.
KC : Bon, bien, pour revenir...
DB : [pointant sur Kerry] Elle possède effectivement la
meilleure maîtrise de cette information de quiconque dans le public,
avec qui j'ai parlé.
Marci : Je sais.
KC : Nous vous remercions [rires]. C'est très gentil de
votre part.
DB : C’est sincère.
KC : Merci. Nous avons un... J’ai une autre question ici
venant de notre public restreint, et je dois dire que Bill
Ryan...
DB : Bill Ryan des Orions ? [rires]
KC : Bill Ryan est également assis là avec moi et écoute ces
informations incroyables et pose quelques bonnes questions.
Bill Ryan : Lorsque nous regardons vers Mars, est-ce que
nous regardons vers l’avenir ?
DB : C’est la question...
BR : C’est seulement que je ne comprends pas.
DB : La question de... du jour est : « qu’est-ce qui va se
passer ? Qu’est-ce qui va se passer lorsque la... lorsque la transition
se produira et que nous continuerons soit sur la ligne de temps 1 ou,
Dieu nous en préserve, la ligne numéro 2 ? » Si c’est le cas 2, nous
n’avons pas à nous inquiéter de Mars. Nous aurons des choses beaucoup
plus importantes dont nous aurons à nous soucier à ce moment là.
Disons, si Dieu le veut bien, et je pense que ce sera le cas, nous
restons sur la ligne de temps 1... que va-t-il se passer avec nos
images de Mars ? Je pense que nous nous souviendrons probablement de
prendre des images de ces structures anormales. Et il y a eu certaines
structures anormales photographiées sur la lune aussi. Je pense que
nous allons probablement nous en souvenir. Au moins, je le pense. Si ce
n'est pas le cas, ça n’a pas d'importance, maintenant, n’est-ce pas
?
KC : Donc, ce que vous dites, c'est que nous en reviendrons
à l'idée que nous n’avons jamais... Qu'il existe aucun... Visage sur
Mars.
Le Scorpion
DB : Ou bien il y aura un visage sur Mars, et il nous sera
présenté à ce moment-là comme quelque chose de différent. Peut-être les
briques se transformeront-elles en roches et nous y irons et verrons
toutes ces magnifiques ruines, y compris le Scorpion. Vous ne pensez
pas, que c'est un scorpion, dites-moi ce que c’est, OK ? Je vais vous
montrer les images de Star City. Au sommet de cette pyramide. Si ce
n'est pas un scorpion, dites-moi de quoi il s'agit. Mais peut-être que
nous irons là-bas et que nous allons découvrir que toute cette
architecture présumée que nous voyons en vertu de la géométrie que nous
essayons d'appliquer à ces images, n'est rien de plus que des roches,
que nous n'avons jamais été là-bas. Car, à ce moment-là, car nous
n'aurons pas transité vers la ligne de temps 2, que nous n'avons jamais
visité l’endroit jusqu'à nous mettions enfin un « homme sur Mars
».
BR : Mais il y a là un profond paradoxe...
KC : OK.
BR :... parce que...
DB : C’est vrai.
BR :... parce que ce que je vous entends dire, c'est que
nous regardons à travers des télescopes, dans lesquels nous recevons la
lumière à l'heure actuelle, avec quelques minutes de
différence...
DB : Quelques minutes.
BR :... qui est reflétée par des objets sur la surface de
Mars, que nous regardons réellement vers un avenir possible.
DB : C'est exact.
BR : Je ne comprends pas.
Surimpression
newtonienne...
DB : Il existe des impacts sur notre scénario de maintenant
qui ont eu lieu. Voici les informations que j'ai reçues non seulement
de Chi'el'ah, mais aussi du matériel dans Majestic. Il y a des impacts
sur notre réalité de maintenant, notre ligne de temps de maintenant, en
vertu de la quantité de voyages dans le temps qui se sont produits.
Chaque fois qu'ils sont retournés dans le temps, ils ont causé de
petits paradoxes, qui ont constitué notre réalité que nous percevons
maintenant. En d'autres termes, il existe une réelle surimpression
newtonienne. Et c'est une chose effrayante pour moi.
KC : C'est presque comme mettre de l'argent à la Banque,
cependant, chaque fois qu'ils viennent, du P-45, dans un sens. Leur
ligne de temps...
DB : Je le vois plutôt comme la création d'un plus grand tas
de fumier. [rires]
KC : Bon d’accord, OK. [rires] L'accent est apprécié.
Toutefois, c'est néanmoins comme un dépôt vers l'événement réel qui se
passe. C’est... Je veux dire...
DB : Je ne sais pas.
KC :... ce sont des agents de change, dans un
sens.
DB : Ce sont des agents de change, comme tous les êtres
humains sont des agents de change. Mais je ne sais pas s'il y a une
cause à effet, s'il existe un lien entre la cause et l’effet, qui à
affaire avec leur nombre de voyages dans le temps et la superposition
qui se passe dans notre réalité et la catastrophe elle-même. Je pense
que la catastrophe elle-même, d’après tout ce que j'ai lu et entendu,
est la, euh... la conséquence directe de l'aspect technologique de
diriger trop d'énergie vers nous, d'une manière non
naturelle.
KC : OK. Fondamentalement, vous êtes en train de dire qu’il
y a deux chronologies. Je veux dire, je suis certain que vous êtes
conscient du travail des physiciens maintenant qu’ils disent :
«Regardez, si vous disposez de chronologies, vous pouvez en avoir deux
millions.»
DB : Bien, ne disposons-nous pas de trois en réalité ? Ou de
quatre. Je parle des 24,000. Je parle des 45,000, des 52,000 (ans) et
d’aujourd'hui. Combien de lignes de temps cela fait-il ? Parce que ces
personnes se sont déplacées linéairement le long de leur ligne de
temps. Ce n’est pas parce que nous voulons l’appeler la ligne de temps
2, que cela signifie, qu'il n’existe pas d’autres effets ou
surimpositions qui se produisent sur des réalités différentes au cours
même de leurs propres lignes temporelles. Nous ne le savons
pas.
KC : Exactement. J'entends par là qu’il y a un sens dans ce
que vous dites que les P-45s, par exemple, la ligne temporelle 1
n’existe pas en soi mais qu'elle se séparera en fait de notre réalité
et deviendra plus comme une réalité parallèle au lieu d'une
intersection entre deux réalités.
DB : D’après ce que je comprends, des personnes qui sont
juste avant, qui seraient nous en fonction de leur histoire, aux
personnes qui étaient juste après, existent toutes comme un vecteur
temporel direct. Il y a donc en d'autres termes, Dieu nous préserve de
ce que la catastrophe se produise, cela apparaîtra seulement comme
demain et une catastrophe survient, etc., etc. et nous avançons et les
changements commencent à se produire sur la Terre, il y a un désastre,
une perte de vie énorme, etc… Vous ne sentirez probablement rien se
passer, outre le fait que nous allons tous craindre pour nos vies. Mis
à part cela, je n'ai aucune explication.
KC : OK. Vous dites si la catastrophe se produit.
DB : Ouais.
KC : Mais si elle ne se produit pas, il y a toujours
l'élément selon lequel nous avons été visités par, par un scénario de
temps qui existe vraiment dans un sens...
DB : Je... Je...
KC :... et comment défaites-vous quelque chose qui a été
fait ? [Dan secoue la tête] C'est un genre de... je veux dire, c'est un
genre de question plutôt philosophique...
DB : Je ne sais pas, et tout ce que je peux faire c’est de
m’en reporter au créateur sur ce...
KC : OK.
DB :.. problème car tout ce que nous faisons est de
perturber...
KC : Qu’est-ce qui vous a dit que c'est vrai ?
DB : Tout ce qui précède.
KC : OK.
DB : C'est tout ce qui précède, ainsi que les informations
qui proviennent directement de Majestic.
La Technologie « Looking Glass »
KC : Comment est-ce que Majestic en dans une position de
savoir que cela se passera pour de vrai ou n'arrivera pas ? En d'autres
termes, vous avez la technologie « Looking Glass » qu’ils utilisaient,
et vous l’avez utilisée. Et, vous avez contribué...
DB : Non, je ne l’ai pas utilisée,
personnellement.
KC :... A sa découverte ? Etiez-vous dans... Non
?
DB : Non. Oh, non, non, non, non. Il s'agit d'une
technologie originale qui est dérivée d’anciens sceaux cylindriques,
par des personnes de notre avenir qui nous l’ont fournie, je veux
parler des véreux, les P-45.
KC : OK. Les personnes qui...
DB : Nous n’aurions pas...
KC : ... Sont négatives.
DB : C'est exact. Nous n’aurions pas cette jolie technologie
si elle n'avait pas été implantée dans notre passé pour que nous
l’utilisions maintenant. L'intégralité de la technologie doit soit être
désactivée ou détruite.
KC : En d'autres termes, pour défaire la
technologie.
DB : Jusqu'à au moins...
KC : Pour que...
DB :… Après que nous ayons traversé cette période. Il
n'existe aucun moyen. J’ai fait le tour de la supercherie, la
suffisance, l’avarice et la cupidité pendant les vingt dernières
années... c'est le bon côté de ces deux sales pièces. Il n'existe aucun
moyen pour qu'ils ne recommencent à s’équiper pareillement, si c’est
utilisable après cela. Bien sûr qu’ils vont le faire. Allez. Je veux
dire, ils ont eu cela... C'est comme une boîte magique... pour tenter
de prédire l'avenir. Ce qu'ils vont faire dans l'avenir par rapport à
ça, j'en ai aucune idée. Je n'ai aucun pouvoir dessus et je n'ai aucune
idée.
KC : OK. Donc cette technologie Looking Glass provient de
sceaux cylindriques.
DB : A l'origine, oui.
KC : Comment ?
DB : A l’origine, c'était une série d'instructions pour
accéder aux trous de vers, qui passent naturellement dans l'hyperespace
où nous nous trouvons. Et de là, ils ont travaillé sur la technologie,
ils ont construit l'équipement dans les instructions. Après avoir
construit l'équipement depuis les instructions, ils ont commencé à
l’affiner et ont découvert différentes choses à son sujet. Une des
choses qu'ils ont trouvé, c’est qu'ils pourraient effectivement
l’utiliser comme un portail de vision, comme un verre de vue, si vous
voulez, pour voir les différents aspects du, non seulement du futur,
mais aussi du passé.
KC : Sont-ils sumériens... ah, sumériens...
DB : Je dirais qu'ils sont légèrement antérieurs à l’époque
des Sumériens, mais que certaines informations qui proviennent des
sceaux cylindriques qui sont légèrement antérieurs aux Sumériens ont
ensuite été reproduits dans des sceaux sumériens également,
et...
KC : Et égyptiens ?
DB :... Ces sceaux cylindriques... Oh oui. Et ces sceaux
cylindriques, au meilleur de ma connaissance, ont tous été
obtenus.
KC : De l'Irak.
DB : Certains d'entre eux de l'Irak. Oui.
KC : Certains d'entre eux d'Égypte ?
DB : Certains d'entre eux d’autres... Certains d'entre eux
d'Égypte. Certains d'entre eux d'autres pays où ils étaient
stockés.
KC : Et...
DB : Et je ne veux vraiment pas entraîner mon pays dans de
trop nombreux problèmes ici. [rires]
KC : Et, et vous avez...
Marci McDowell: Si nous pouvions nous arrêter une
seconde...
KC : Allez-y.
MM : Je tiens à réitérer. Les P-45 véreux sont revenus en
arrière, ont amorcé la technologie parce que...
DB :[hoche la tête] Oui, oui.
MM : C’est ce qu'ils voulaient faire, c’était de préparer le
terrain afin de faciliter la catastrophe. Car en plaçant la technologie
disponible ils savaient que... elle serait utilisée. Et aussi longtemps
que nous en tant que peuple... Oh mon Dieu. [La caméra se tourne vers
Marci]. Mais, ils voulaient repartir...
DB : Oh, enregistrez-la s’il vous plaît !
MM :… Et semer la technologie, car ils estimaient que, comme
peuple, nous serions incapables de résister à l’utilisation de cette
technologie.
KC : Comment est-ce que cette technologie est utilisée
aujourd'hui ? Et n'est-ce pas... si vous parlez d'un trou de vers,
n'est-ce pas la même chose qu'une porte des étoiles ?
DB : Fondamentalement, oui. La technologie n'est pas utilisée
actuellement. Où que nous la trouvions, nous la prendrons.
KC : Qui sont « nous » ?
DB : Ah...
KC : Parce que vous avez des factions
belligérantes.
DB : Nous...
KC : Vous avez les Illuminati d’une part, et vous avez le
Majestic d’une autre.
DB : Oui. « Nous » c’est les... nous c’est les États-Unis
dans le cadre des Nations Unies. Vous savez... Je ne veux pas vraiment
faire trop de commentaires sur l'OTAN et sur qui contrôle l'alliance de
l'OTAN à ce stade. Mais....
KC : N'est-il pas vrai que les Illuminati....
DB : Nous nous taillons la plus grosse part du
lion.
KC :… voleraient ce Looking... ? J'entends par là, s'ils
veulent que cela se produise, ils... Leur objectif serait de s'emparer
de ces cylindres et de les faire...
DB : [hochements de tête] Oui.
KC :... de sorte à ce qu'ils puissent utiliser la
technologie Looking Glass.
DB : Oui. Mais ils ne peuvent pas s’afficher comme agresseur
et récupérer quelque chose pour leur compte, donc ce qu'ils font est de
voter contre nous.
KC : Comment cela arrête-t-il...
DB : Eh bien, cela a lieu...
KC :... la technologie ?
DB : cela se joue à l'ONU. Bien, nous avions la technologie
Looking Glass et le portail, la vraie technologie stargate, en Irak,
jusqu’au début de 2003. Et de nombreux pays ne veulent pas que nous...
ne voulait pas que nous entrions en Irak. Nous l’avons pourtant fait,
n'est-ce pas ?
KC : Exact. Mais comment est-ce que... En d'autres termes,
si...
DB : Moammar n’a fait que nous remettre les deux. Nous lui
avons juste dit, que nous allions le rendre riche au-delà de toute
cupidité. Et il était un peu plus intelligent que Saddam Hussein, c’est
tout. Et ainsi ce qu'il a fait, c’est de leur remettre et de dire: «
Oh, entrez dans mon pays, s’il vous plaît. » Il a dit, « Regardez mon
équipement pour vous assurer que je ne fais aucune arme de destruction
massive ». Entre-temps, sont sortis par la porte de derrière, les deux
que Saddam lui avait effectivement transférés.
KC : Sceaux cylindriques ?
DB : Eh bien, l’équipement, la technologie...
KC : Stargate.
DB : d’activation...
KC : Les portails.
DB :... la porte des étoiles. Ouais. Pour qu’ils
expérimentent avec. Ils étaient en train de faire des
expérimentations.
KC : Mais si la technologie Looking Glass est la même chose
puisqu’elle... permet d’accéder à un trou de vers... La
technologie...
DB : En fait...
KC :...elle permet d’accéder à un trou de vers.
DB :... elle permet cela oui. Oui.
KC : Elle permet également d’accéder aux portes des
étoiles.
DB : Eh bien, c'est essentiellement la même chose. J'utilise
le terme de technologie de la porte des étoiles...
KC : Les portes des étoiles existent...
DB :... pour signifier une machine qui donne accès à un trou
de vers par propagation de l'énergie, cette chose étrange quelle
qu’elle soit… et je ne suis pas un physicien... qui se propage, d'une
manière compatible à soit communiquer par son intermédiaire... soit au
passage d'informations. Cela inclut également...
KC : Mais, cela se produit...
DB :... des organismes physiques.
KC :.. mais cela se produit naturellement. Les portes des
étoiles se produisent naturellement.
DB : En effet, c’est le cas.
KC : Alors, comment est-ce qu’on les ferme ?
DB : On ne les ferme pas. Et nous ne le voulons pas. Nous ne
le voulons pas. L'histoire dit, que notre passage naturel à travers de
cet espace énergétique est une bonne chose. Mais c'est notre
utilisation de la technologie, qui provoque la catastrophe.
KC : Donc c’est…
DB : C'est notre amélioration de ce système naturel, une
amélioration inappropriée, qui provoque la catastrophe. Et donc, non,
nous ne voulons pas que cela arrive. Je pense que les énergies, que
nous allons traverser, font partie de ce qui se passe pour nous
naturellement, qui nous fait évoluer de façon positive. Cela fait
partie de l'univers aimant dont nous faisons partie. Je pense que c'est
probablement l'un des facteurs, pas tous, mais un des facteurs de
l'augmentation de ces beaux enfants, les enfants Indigo. Et, et je suis
tout à fait pour. Je suis tout à fait pour.
KC : Donc, nous voulons laisser les portes des étoiles, les
portes des étoiles naturelles. Ils les laissent tranquilles.
DB : Exact. Nous voulons enlever nos mains de la nature. Ne
pas y toucher. Les retirer loin du fruit de l'arbre de vie, pour ainsi
dire... les retirer, et simplement laisser la nature faire, durant
cette période. Ce sera une bonne chose. Toutefois, nous avons également
des personnes qui s'opposent à cela, parce qu'ils veulent ce qu'ils
veulent, quand ils veulent.
(Pour la 3ème partie (en
anglais) - veuillez cliquer ici)