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Luca Scantamburlo :

Transcription de l'interview - 2ème partie

Cette page est une traduction d'une publication originale de Project Camelot


Luca Scantamburlo : Le retour de la planète X

Italie, février 2008

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Cliquez ici pour la version PDF des parties 1+2 de l'interview (12 pages)


Suite de l'interview

LS : J'ai ici une copie du magazine italien, Notiziario UFO. Cristoforo Barbato a écrit un rapport, publié dans ce magazine en 1996. Ce magazine n'existe plus. Le sujet de ce rapport était la guerre des étoiles, celle de la NASA.

L'article comprenait les confirmations d'Adriano Forgione, d'Alberto Mancinelli, et d'Umberto Telarico. Vous devez vous en souvenir, c'était sur la vidéo prise par la navette spatiale Discovery dans laquelle vous voyez quelque chose qui apparait... qui essaie de détruire un Ovni, en dehors de l'atmosphère, avec des « cailloux brillants ». [montre le magazine : photo de l'espace, courbure de la Terre et un vaisseau]

KC : Oui. C'est la séquence STS.

LS : 1991. Voici un autre rapport écrit par Cristoforo Barbato en 1997. C'est une interview téléphonique avec Bob Dean, le sergent-major retraité de l'armée américaine.

KC : Ah ! Merveilleux ! Oui.

LS : Et j'ai aussi une copie du magazine qui contient mon interview avec Cristoforo Barbato, sorti en avril 2006. C'est la revue UFO Notiziario, le principal magazine principal aujourd'hui.

Je veux vous montrer un cliché de l'introduction à la séquence jésuite parce qu'on y voit une classification particulière. En haut, il y a 3 lettres, S-V-S, ce qui reste mystérieux à ce jour. Même maintenant, Barbato refuse d'en parler.

Et puis, en dessous, il y a les premières lettres du programme spatial principal, qui n'est pas une position officielle du Vatican, bien entendu. Selon le jésuite les premières lettres KE, signifient Kerigma, le programme spatial principal du Vatican.

Puis vous avez SI, les premières lettres de la sonde spatiale qui a été lancée au début des années 1990. Son nom est Siloe, la sonde qui a effectué le film du jésuite. La « vidéo du jésuite » est le nom que j'ai donné à cette séquence controversée. Puis, vous avez l'année en lettres romaines, l'année où les données ont été envoyées à un radio télescope en Alaska.

KC : Oui. Le télescope en Alaska...

LS : C'est une autre information, parce qu'officiellement...

KC : Ok. Ce télescope appartient aux jésuites ?

LS : Aux jésuites qui font partie du SIV, le Servizio Informazioni del Vaticano. Bien sûr nous parlons d'une information classifiée selon le jésuite. Et officiellement, nous avons le Télescope de Technologie Avancée en Arizona, dont la mission est d'aider les jésuites à faire des recherches scientifiques sur l'hyper espace et l'Univers.

Et voici une autre photo, qui n’était pas dans le domaine public, et que le jésuite a donnée à Barbato.

KC : De l'Aurora ?

LS : Oui. [gros plan d’un vaisseau de forme triangulaire]. Selon le jésuite, cette photo a été prise par l'équipage de la navette spatiale en 1992 si je... ah, non, en 2002 si je me souviens bien. C'est une preuve que le jésuite a donnée à Barbato.

Voici une autre preuve qui n'était pas dans le domaine public jusqu'à ce que le magazine la publie en 2006. [montre des photos de revue de 2 insignes d'un télescope, le dessin supérieur annoté « Hubble »] Il y a celle-là, le télescope Hubble, c'est une sorte de... comment appelez-vous ces décors ajoutés sur le verre, en anglais ?

KC : Une décalcomanie ?

LS : Pour le verre.

BR : Un insigne.

LS : Oui, pour mettre sur la combinaison. Et puis il y a celui ci : « Keyhole 12, Super Spy in Space » [Trou de serrure 12, Super espion spatial] Regardez les deux initiales que nous avons ici. [montre le 2ème insigne]

KC : NASA et CIA

LS : NASA et Agence Centrale du Renseignement.

KC : Oui.

LS : Ça n'était pas dans le domaine public jusqu'à ce que Barbato l'obtienne. Et ces deux hommes ici, bien sûr, tout le monde les connait, devrait les connaitre : c'est le président Dwight Eisenhower et cet homme-là, c’est James Francis McIntyre, l'ancien évêque de Los Angeles. Et le jésuite a confirmé à Barbato que cet homme-là était bien présent à Muroc en février 1954 parce qu’Eisenhower voulait une aide spirituelle pour prendre une décision au nom de l'humanité.

Il y avait déjà des rumeurs sur cette prétendue réunion de février 1954 entre une délégation terrienne et une soi-disant délégation aliène, extérieure à notre monde. C'est très important, c'est la première fois que nous avons un "Gorge Profonde" du Vatican qui affirme : Oui, ce meeting a eu lieu. Oui, James Francis McIntyre y a participé.

De plus, le jésuite a confié à Barbato que les jours suivants, James Francis McIntyre violait les règles. Parce que bien sûr, l'administration américaine (nous parlons des leaders présents à cette réunion) avaient prévenu l'évêque : Vous êtes ici à la demande d'Eisenhower, vous n'avez pas l'autorisation d'en parler, même pas au Saint Père.

Mais, McIntyre en avait décidé autrement et s'est rendu à Rome quelques jours plus tard, pour tout raconter au Pape qui en fut très choqué. Selon le jésuite, cet épisode a été la raison principale de la création de ce soi-disant service secret, le Servizio Informazioni del Vaticano, ou SIV.

Cependant, selon l'essai historique découvert par Barbato, Ratlines, cette agence secrète était déjà en place auparavant... pendant la seconde guerre mondiale. L'on pourrait donc penser : Les dires de ce jésuite ne sont pas fiables. Mais d'un autre coté, il était peut être convaincu d'avoir dit la vérité. Qui sait ?

L'élément significatif, c'est que cette expression : Servizio Informazioni del Vaticano, utilisée par le jésuite, est déjà présente dans un ouvrage historique rédigé par l'ancien avocat John Loftus et le journaliste Mark Aarons.

KC : Vous voulez dire que ce jésuite avait une autre idée de la date et du but de la formation de cette organisation, n'est-ce pas ? En d'autres termes, vous dites que selon l'histoire...

LS : Il y a une contradiction. Barbato l'a également remarquée.

KC : Pouvez-vous l'expliquer ? Quelle contradiction exactement ?

LS : Bien sûr. Pensez à la genèse de la CIA.

KC : Oui.

LS : L'Agence Centrale de Renseignement est née en 1947. Avant, il y avait un autre service secret. Avec un autre nom. Office of Strategic Service. Pourquoi a-t-il changé de nom, de structure, de hiérarchie ? Ce que Barbato tend a montrer dans l'un de ses articles, c'est que le service secret du Vatican avait été créé pour d'autres raisons et puis cet évènement extraordinaire qui eut lieu en février 1954 en Californie a changé les raisons de garder un tel service.

Il y a un autre problème, d'autres êtres qui viennent d'autres régions de l'univers sont ici sur Terre. C'est une menace, pas seulement pour l'humanité mais avant tout pour la foi des chrétiens, des catholiques, et même pour l'existence du Vatican. C'est une question à prendre en considération. L'une des raisons était de garder un service secret pour éviter, vous savez... pour… [cherche ses mots]

KC : Pour maintenir le secret ?

LS : Non. Pour avoir l'occasion de savoir ce que les services secrets étrangers pourraient apprendre sur ces créatures. C'est ce que j'ai compris. C'est ce que Barbato m'a dit. C'est ce qui est publié. Le Saint Père était très inquiet. Et en même temps, selon le jésuite, d'autres créatures venant d'autres régions de l'Univers, ont commencé à établir des contacts avec le Vatican, avec le SIV, le Servizio Informazioni del Vaticano. Quelques réunions ont eu lieu dans les jardins du Vatican, avec d'autres créatures et le même Pape.

KC : Quand était-ce ?

LS : Probablement dans les années cinquante. On parle bien des années cinquante.

KC : C'était après la réunion avec Eisenhower ?

LS : Après.

KC : Après.

LS : Vous avez au moins deux races en même temps. Selon les archives, il y a au moins deux races, l'une d'elles est la race qui a conduit la réunion sur la base Muroc, devenue par la suite Edwards Air Force Base.

Et seulement quelques mois plus tard, vous avez une autre race, qui ressemble aux humains, nous ne pouvons pas les différencier de nous-mêmes et ils ont eu des contacts avec l'administration américaine. Je parle des gens qui devaient savoir.

Puis, ils ont eu des contacts avec le Vatican et ces êtres ont dit : Vous devez faire très attention avec ces autres créatures.

Ceci a son importance parce habituellement quand quelqu'un parle du prétendu meeting de février 1954, il est sous entendu que ces êtres étaient simplement des créatures comme nous. Oui, peut être qu'ils étaient humanoïdes, mais ils étaient différents.

Il existe au moins une autre race, d'apparence humaine beaucoup plus marquée que la leur. Et celle ci était très inquiète des accords secrets signés – secrètement – entre l'administration Eisenhower et cette race.

BR : Le jésuite a-t-il dit tout cela à Barbato ? Ou bien est-ce votre propre résumé de la situation ?

LS : C'est ce que le jésuite a confié à Barbato. Barbato l'a dit dans l'interview et même dans l'autre… dans la conférence de presse qu'il a tenue en 2005 lorsqu'il a présenté la vidéo du jésuite au public. C'était la première fois que cette vidéo était montrée au public.

KC : Ok. Quelle a été la réaction du Vatican lorsque Barbato a sorti son histoire ?

LS : Aucune réaction.

KC : Aucune ?

LS : Pas de réaction.

KC : Barbato a-t-il été menacé ?

LS : Pas à ma connaissance.

KC : Ok.

LS : Je ne sais pas ce qui s'est passé. A mon avis il n'y a pas eu de menaces à son égard de la part du Vatican.

KC : Mais, quand même... vous êtes journaliste. Vous avez dû lui demander s'il avait été menacé ? Vous même avez eu des coups de fil menaçants, n'est-ce pas ?

LS : J'ai eu quelques problèmes avec ma connexion Internet, beaucoup d'intrusions informatiques, beaucoup d'attaques informatiques. Et le mois dernier une petite campagne de désinformation a commencé contre moi-même et ma réputation. Je peux vous dire que ces gens jouent avec le feu car je ne suis pas un imbécile. Je ne suis peut-être pas un journaliste célèbre mais je ne suis pas idiot pour autant. Cette petite campagne de désinformation contre ma réputation est la petite pièce d'un grand puzzle qui m'indique que j'ai touché des sujets sensibles.

Permettez-moi vous dire une chose sur la menace aliène : J'ai beaucoup de respect pour le Dr. Steven Greer et pour ce qu'il a fait; c'est un travail extraordinaire. Comme le vôtre ! Je suis toujours surpris quand des gens persévèrent dans leurs efforts en dépit de toutes les difficultés.

Le Dr. Steven Greer a fait un boulot formidable en 2001 quand il était le président de la conférence du Club de la Presse Nationale de Washington. Il y avait plus de vingt témoins mêlés au passé des affaires ufologiques et extraterrestres. Encore aujourd'hui, Steven Greer dit qu'il est convaincu, par ses propres informations, qu'il n'y a pas de menace aliène.

Il faut que je vous dise... Voyez là, derrière moi [montre des photos]... il y a des photos d'un homme qui est mort. Il est mort en 1996. Janvier 1996. Je parle de Phil Schneider. Ce type était un initié. Son ex-femme, Cynthia Drayer essaie toujours de faire ouvrir une enquête sur le décès de son ex-mari à cause des circonstances mystérieuses de sa mort. Schneider a donné beaucoup de conférences pendant quelques années, il disait : Oui, il y a des races extraterrestres qui sont bienveillantes, au moins deux d'entre elles. Et : Mais je suis désolé, mais il y en a d'autres dans l'univers qui ne sont pas des gens biens, vous savez. Il n'utilisait pas ces termes-là, mais il donnait beaucoup d'informations. Et c'était un initié, il n'était pas le seul.

Il y en avait un autre, Bill Cooper, Milton William Cooper, qui a travaillé pour la Navy et pour l'Air Force. Il a donné de nombreuses conférences jusqu'en 1989. Une réalité quelque peu différente de celle du Dr. Greer ressort de ses discours, sans dire qui a tord, qui a raison, c'est la perspective de la présence aliène dans notre système solaire qui diffère.

C'est à dire qu'il y a ... il y a des initiés qui ont des témoignages différents. Donc, comme ça n'a pas de sens, vous vous tournez vers autre chose. Et bien non. Je suis désolé. Il faut tout prendre en considération.

KC : Ok, mais le jésuite, a-t-il parlé de tout ça à Barbato ?

LS : Oui, oui, oui. Il a dit tout cela et c'est passé dans le domaine public lors de son interview, celle qu'il m'a accordée. Il rapportait que le jésuite lui avait confié que cette race extraterrestre qui se trouverait sur ce planétoïde approchant, est une race guerrière. Il a peut être utilisé un autre mot... mais la signification est bien la même. Race belliqueuse.

KC : A-t-il utilisé le terme "Anunnaki" ?

LS : Si je me souviens bien, oui. Aucun doute. Il a identifié cette race avec celle qui était adorée en Mésopotamie il y a des milliers d'années. Les Anunnakis, qui veut dire : « ceux qui du ciel, sont venus sur la Terre. » Il n'y a aucun doute là-dessus d'après le jésuite. Et c'est pourquoi cette histoire, c'est de la dynamite. Parce que ça ne change pas seulement la perspective de l'humanité dans l'univers, mais si elle est exacte, il existe une menace causée par l'effet du passage de cette planète; ce n'est pas seulement à cause de la présence de cette race sur notre planète dans le passé et de leurs activités sur Terre.

BR : A-t-il expliqué comment vous pouvez avoir des habitants sur une planète qui passe le plus clair de son orbite dans l'extrême froid de l'espace où aucune vie ne peut...

LS : Oui, oui, bien sûr. C'est une question intéressante et perspicace.[montre la photo sur le bureau] C'est une photo qui appartient à l'observatoire de la marine américaine, elle se trouve sur le site web de la Navy. Le gentleman à droite, c'est Robert Sutton Harrington, un astronome qui a travaillé dans cet observatoire. A gauche, c'est son ancien collègue, James Christy, l'auteur de la découverte de Charon en 1978, l'un des satellites de Pluton.

BR : Qui était Robert Sutton Harrington ?

LS : Robert Sutton Harrington était un astronome impliqué dans la recherche sur la Planète X. Il a écrit plusieurs articles sur l'existence possible de cette planète dans notre système solaire. Zecharia Sitchin, l'auteur de ce livre : La Fin des Jours - Armaggedon ou les Prophéties du Retour, lui a rendu visite à l'observatoire de la Navy en 1990. Ils avaient parlé de la présence possible d'une autre planète pas encore découverte.

Et à cette occasion, Robert Sutton Harrington avait discuté de la possibilité de vie sur cette planète. Malgré sa distance et son atmosphère épaisse, il avait dit : Oui, la vie y est possible.

Maintenant, j'ajoute quelque chose : si cette planète existe et si elle est l'ancienne planète adorée par les Sumériens et l'autre civilisation, la Mésopotamie, cela signifie que cette planète est venue dans le système solaire comme un envahisseur. Ce qui veut dire que dans un passé très ancien, cette planète ne faisait pas partie de notre système solaire. Et cela pourrait expliquer les particularités de notre système solaire. Voyez Uranus, comment elle tourne et l'inclinaison de son axe sur l'écliptique, sa rotation n'est pas expliquée par les astronomes.

Vous devez supposer qu'une collision se soit produite dans le passé. Si c'est le cas, les évènements racontés dans les textes anciens comme The Seven Tablets of Creation, The Enuma Elish, Atra Hasis et qui sont considérés comme des mythes par les historiens sont peut-être survenus en réalité. Zecharia Sitchin a été le premier chercheur à le suggérer. Ce sont les restes des annales historiques qui nous sont parvenus au travers des légendes et de la cosmogonie.

Harrington parlait d'une vie possible sur cette planète. Malheureusement il est mort en 1993. Il était employé par le gouvernement.

KC : Et vous nous avez dit que Zecharia Sitchin a suggéré que Harrington soit mort subitement dans des circonstances discutables ?

LS : J'ai eu la chance d'interviewer Zecharia Sitchin l'été dernier, en 2006, pour le magazine italien UFO Notiziario; et dans ses notes – c'était une interview écrite – il disait à quel point il avait été choqué d'apprendre que cet homme jeune et en bonne santé – Harrington – était mort si soudainement. Il n'impliquait rien dans ses notes, juste quelques points de suspension... Il était très surpris que l'homme qu'il avait interviewé en août 1990 soit mort. Harrington était un scientifique brillant, il avait 50 ans. Selon une biographie, il est mort d'un cancer.

Cette biographie, écrite par l'un de ses collègues, le Dr.Worley, est disponible sur le site de l'Observatoire de la Navy et selon ce qui y est écrit, à la fin de sa carrière, Robert Harrington avait perdu tout intérêt pour la recherche de la Planète X.

Mais si vous lisez avec attention les articles que Robert Harrington a écrits durant sa carrière, vous avez l'impression inverse. L'un de ses derniers articles date de 1999 et si je me souviens bien, il était toujours convaincu que la planète X existe quelque part en dehors de notre système solaire.

La différence entre leurs deux hypothèses est que celle d'Harrington se concentre plus sur une orbite qui n'est pas celle d'une comète. Zecharia Sitchin, quant à lui, est convaincu que l'orbite de Nibiru est bien cométaire, selon ses études des textes anciens qui en apportent la preuve.

KC : Ok. Pouvons-nous... revenons à l'information du jésuite.

LS : Je suis sûr que vous vous demandez s'il y a une date, si le jésuite a donné une date probable.

KC : Ok.

LS : Pas de date. Le plus gros de l'information donnée par le jésuite se trouve dans le domaine public, sur le site web de Barbato, sur le mien, dans le magazine Nexus New Times, parce que l'interview…

KC : Parce que ça n'était pas dans le domaine public ?

LS : Je ne sais pas. Je ne peux pas répondre à la question. Il y a quelques petites choses. Tout d'abord les trois lettres étranges sur les tampons de classification que l'on peut voir dans l'introduction de la vidéo du jésuite. Ces trois lettres : SVC, sont un mystère depuis des années jusqu'à ce jour. Barbato ne veut pas en parler. C'est son propre choix.

Il y a un autre mystère, ce que le jésuite a confié à Barbato sur la nature des Anunnakis. Encore un sujet sensible.

KC : Que voulez-vous dire « sur la nature des Anunnakis » ?

LS : Et bien, à quoi ils ressemblent, leur histoire. Lisez  « The lost Book of Enki » de Zecharia Sitchin. Il n'y a aucun commentaire de Sitchin. Non, juste une traduction du texte ancien. Vous lisez ce texte et vous voyez que l'histoire antique de ces dieux en Mésopotamie est une histoire truffée de guerres, des peuples d'Anu... puis, surviennent des moments de générosité, de bonté. La guerre, la paix, la guerre, la paix.

KC : Mais dites-moi, vous savez que Barbato a eu des informations données par le jésuite, qu'il n'a pas rendues publiques.

LS : Oui. Il me l'a dit.

KC : Est-ce qu'il est troublé par ces informations ?

LS : Ah, j'imagine assez que même si la moitié de cette histoire est vraie, ne serait-ce que la moitié, nous pourrions avoir des problèmes, lui, moi-même, tout le monde. A un certain moment, si vous assemblez toutes les preuves ... et je parle de points de vue scientifiques, vous seriez étonnée, c'est loin de ce à quoi vous pouvez vous attendre. Même les politiques... récemment des politiciens japonais, il y a quelques mois, ont parlé des ovnis. Ils ont dit quelque chose sur la présence extraterrestre. Trois, je parle de trois politiciens japonais en tant que citoyens, qui ont parlé devant un journaliste. Le ministre de la défense, de la défense extérieure, un des leaders japonais, même le ministre de l'éducation a dit quelque chose. La même semaine !

Je pense donc qu'il y a une bonne possibilité de... comment dit-on...Vous connaissez le mythe de la boite de Pandore ? Et le problème se pose : est-ce que les gens sont prêts ? Pas pour la vérité mais pour lui faire face de façon responsable. Car si cette vérité se fait connaitre nous devons prendre des décisions sur les actions à mener.

BR : Mais nous avons deux situations complètement différentes décrites ici. D'une part la présence d'un grand corps céleste qui approche – quoi qu’il puisse être – provoquant des effets sur le soleil et d'autres effets, si son orbite approche de la Terre... les problèmes de changements terrestres, des effets de résonance sur la croute terrestre, toutes sortes de choses comme ça.

L’autre situation que vous semblez décrire est celle où cette planète pourrait être habitée, c’est l'autre possibilité dont vous parlez. Et nous devons poser cette question car les lecteurs se la posent, cela parait impossible que cette planète puisse abriter la vie; comment des êtres pourraient-ils vivre sur une planète alors que sa température est d’environ de -200 °C... Et le soleil ne serait qu'un minuscule point brillant dans le ciel ? Il ferait complètement sombre.

LS : Vous avez parfaitement raison.

BR : Et si votre planète est assez massive pour causer des problèmes majeurs à l'échelle géophysique, ce sera une géante gazeuse ou peut-être même ce que les astronomes appellent une naine brune. C'est à dire une sorte de demi-étoile, ce n'est pas réellement une planète.

LS : A mon avis, si Nibiru existe, elle est venue comme un envahisseur dans notre système solaire. Ce qui veut dire que dans des temps anciens, elle appartenait à un autre système solaire, à un autre soleil. Vous savez, les gens voient l'univers comme un endroit tranquille. Pas du tout. Nous en avons une drôle de perspective.

L'univers est un endroit violent. C'est à cause de notre perception du temps que nous ne voyons pas les évènements qui ont lieu dans le système solaire. Mais parfois, il se passe quelque chose et on dit : Oh, peut-être que l'univers est un peu différent, le système solaire est violent à ses heures. Par exemple, il y a quelques années une comète en morceaux s'est écrasée contre Jupiter, la comète Shoemaker-Levy 9.

Si, il y a des milliards d'années, cette planète faisait partie d'un autre système, et qu'à cause de l'explosion de l'étoile, elle est devenue une géante rouge, il se peut qu'ensuite il y a eu une autre transformation qui lui aurait fait quitter son système solaire. C'est pourquoi la gravitation solaire pourrait l'affecter.

KC : Ok. J'aimerais vous poser une question. Nous voulons savoir ce que vous appelez de « difficile » dans ce que le jésuite a dit à Barbato. C'est un chercheur très prudent et il a certainement des bases scientifiques. Il a écrit des articles scientifiques. Il a dû poser des questions précises au jésuite, comme : comment est-ce possible ? Connaissez-vous les autres preuves que le jésuite lui aurait données en dehors de la vidéo qui montre...LS : Il lui a donné des photos.

KC : Oui.

LS : [montre la photo de l'Aurora] Celle-ci. Il lui a donnée.

KC : Mais lui a-t-il transmis des données scientifiques ?

LS : Je ne le pense pas, mais les données scientifiques sont sous nos yeux parce que... Je vous ai dit que Robert Sutton Harrington était un astronome intéressé par la Planète X. Il n'était pas le seul. Il y a aussi Patrick Moore, le célèbre scientifique astronome. Il a juste écrit quelques lignes sur la Planète X. Mais ce qu'il a écrit... Quand vous lisez ce que cet astronome anglais a écrit sur le sujet, vous vous dites : Oui, l'existence de cette planète est possible.

Et il y a d'autres personnes qui sont assez intéressées. Par exemple, il y a quelques semaines, le New Scientist, l’un des principaux  magazines anglais, a publié un article sur cette possibilité. L'article mentionne les travaux récents d'un physicien et astronome brésilien. C'est un scientifique italo-brésilien qui travaille maintenant au Japon. Il a un doctorat en Sciences de la Terre et Sciences Planétaires à l'université de Kobe; il travaille sur la probabilité de la planète X.

Et puis... juste une minute. [se lève et prend un livre] Voici un livre publié en 1926 et réédité plusieurs fois depuis. C'est l'édition de 1944. Le titre : Éléments d'Astronomie. Écrit par : Edward Arthur Faith, professeur d'astronomie au collège de Carleton. J'ai acheté ce livre aux États-Unis, en Floride. Page 221, il y a quelque chose sur Pluton. Je vous le lis ;  il parle de la masse de Pluton qui n'était pas connue au siècle dernier avant 1978 lorsque Christie et Harrington ont découvert Charon. Je cite : La Masse est incertaine [la masse de Pluton] mais selon Wiley la masse est à peu près équivalente à celle de la Terre. Ils pensaient donc que la masse de Pluton était la même que celle de la Terre.

[Il lit] Si la masse est plus importante, elle ne peut pas être la source de la perturbation que Lowell a trouvée pour Uranus... (Lowell est l'auteur de l'expression "Planète X")... Il est donc possible qu'une planète beaucoup plus massive reste à découvrir. Les recherches continuent à l'observatoire Lowell.

C'est un livre scientifique. La masse de Pluton est inférieure à celle de la Terre, très inférieure. C'est une donnée scientifique.

BR : Le problème est que le terme "Planète X" est utilisé de différentes façons selon les astronomes. Certains parlent d'une planète inconnue et d'autres veulent dire la dixième planète qui se trouve actuellement au-delà de Pluton ou de Charon.

LS : Il y a des milliers de corps célestes au delà de Pluton, ils appartiennent à la Ceinture de Kuiper.

BR : Oui.

LS : Le problème est le suivant : parlons-nous d'un corps céleste qui revient dans notre système solaire en tant que comète ? Ou bien parlons-nous d'un corps céleste plutôt énorme ? Voyez-vous ?

BR : Oui.

LS : A l’extérieur du système solaire. C’est là la question principale.

BR : Oui. Mais vous n'avez pas répondu à la question, je dois le dire car les lecteurs ne vont pas manquer de le remarquer. Alors comment la vie peut-elle exister...

LS : Oui.

BR : ...sur cet objet aussi éloigné du Soleil ?

LS : Comment allons-nous sur la Lune ? Parce que nous avons développé la technologie spatiale. Les vols spatiaux. Je veux dire... si d'autres races extraterrestres ont atteint un bon niveau de technologie et disons en passant qu'ils ne se détruisent pas comme nous le faisons sur notre planète, parce que  nous n'arrivons pas à contrôler ses ressources. S’ils sont capables de survivre après avoir dépassé le seuil critique d'une destruction totale, ils peuvent survivre dans n'importe quelles conditions. Ils peuvent... établir des habitats souterrains. Ils peuvent construire des vaisseaux-mères.

Sous des conditions naturelles, la réponse est : non. Pas pour la vie intelligente comme la nôtre. Mais sous des conditions artificielles, sous la surface de la planète, là : oui. Nous nous sommes développés et sommes une civilisation très sophistiquée. Nous atteignons nos satellites, nous envoyons des sondes dans l'hyperespace, nous pouvons voler dans notre atmosphère et au delà de celle-ci. Ce sont des réponses possibles à votre question.

Si cette race vient d'un autre système stellaire, ils ont survécu, peut-être sous la surface, et ils ont de nombreux avant-postes, peut-être même dans notre système solaire, ou bien Mars, ou les satellites de Jupiter. Peut-être ont-ils des relais ici sur Terre en ce moment même.

KC : Ok.

LS : C'est un problème politique, ce sont des questions politiques.

KC : Exact.

BR : Dans la séquence du jésuite, on voit clairement un objet de petite taille. On dirait une petite lune ou un vaisseau, ou bien...

LS : Le problème, c'est que les clichés sont... les plans... ça n'est qu'une séquence, donc c'est plan par plan. Nous parlons de milliers de clichés. Mais les mouvements de cet objet ne sont pas ceux d'un satellite, parce que tout d'un coup, cet objet mystérieux apparait... et après quelques secondes, disparait.

Alors si les clichés sont réels, si c'est une observation réelle en hyperespace d'un planétoïde, cela veut dire que nous avons affaire à la possibilité d'un vaisseau spatial qui est capable de se matérialiser et se dématérialiser. La question est : est-ce une vidéo authentique ou un faux ?

[Il rit] Barbato nous a dit avoir vérifié les références de son informateur, de son Gorge Profonde, [parle lentement et avec emphase] Il est réellement jésuite en poste au Vatican.

BR : Le jésuite a-t-il dit ce qu'était cet objet ? Ou bien Barbato a-t-il dû deviner ?

LS : Je ne sais pas.

BR : Une autre question. Connaissez-vous Bill Deagle ? Son témoignage ?

LS : Bill Deagle ?

BR : Deagle. Bill Deagle.

LS : Non, désolé.

BR : Ok. Laissez-moi résumer la raison de ma question clairement. Il dit... et il a travaillé à l'intérieur, pour le gouvernement américain pendant de nombreuses années, et maintenant c'est un lanceur d’alerte. Il dit que les jésuites sont au sommet de la pyramide de toutes les agences de gouvernement du monde. Il parle du Projet Oméga. Et il dit aussi que les jésuites gèrent et contrôlent le Télescope du Pôle Sud qui existe justement pour observer l’approche de l’objet. Avez-vous des informations là-dessus ?

LS : Barbato a gardé le silence sur un aspect de toute cette affaire. Je suis étonné qu’aucun ufologue, aucun chercheur présumé, ne veuille conduire d'enquêtes. Je peux comprendre bien sûr. J'ai écrit beaucoup d'articles, mais je n'ai jamais rien écrit sur la discussion que nous avons ici. Je parle des trois lettres que nous voyons sur l'introduction de la séquence du jésuite : SVS.

Si je me souviens bien, après l’interview que Barbato m’a accordée en septembre 2006 sur son entretien avec le jésuite, Barbato a commencé à la diffuser sur son site Internet. Il disait que le noyau de toutes les sociétés secrètes en ce moment sur notre planète est le SVS. Personne n'a jamais écrit une seule ligne sur le sujet. Barbato n'a rien dit de plus, parce que... je le comprends, c'est un sujet très délicat...

KC : Qu’est-ce que c'est, de toute façon ? Si vous savez quelque chose là-dessus, ce SVS ?

LS : Je n'en ai pas la moindre idée. Mais je peux vous dire une chose. Pensez aux recherches du Dr. Steven Greer. Il disait très souvent que nous détruisons notre planète parce que notre technologie est basée sur la combustion fossile. Nous les brûlons. Il y a peut-être une intelligence extraterrestre qui a découvert une autre énergie, nous pourrions donc stopper la crise énergétique.

Pourquoi jusqu'à ce jour les énergies alternatives n'ont-elles pas leur place dans notre société ? Parce que les intérêts à conserver les choses ainsi sont absolument colossaux.

Est-il possible qu'il y ait quelque chose qui ne veuille pas que les énergies libres nous soient familières ? Oui, bien sûr et pensez-vous que ces personnes agissent de façon secrète, ou bien qu’elles agissent d’une façon publique ? Bien sûr que non. Si elles le faisaient...

KC : Steven Greer n'a-t-il pas dit dans son livre...

LS : Oui.

KC : Son dernier livre...

LS : Oui.

KC : Quelque chose sur les jésuites ? Qu'il avait été approché par une personne...

LS : Oui. Il a fait une rencontre dans le passé, il l'a écrit dans l'un des chapitres de : « Hidden Truth, Forbidden Knowledge » [Vérité cache, connaissance interdite] si je me souviens bien du titre. Il raconte qu'au début des années 1990 il a eu une réunion et l'un des insiders du « monde noir » lui avait dit : Si je veux en savoir plus, je dois parler à des jésuites. Et ceci est sorti APRES le témoignage de Barbato.  C'est donc une confirmation indirecte de ce que Barbato nous a dit. Je suis très étonné que Steven Greer n'ait rien dit au sujet du témoignage de Barbato.

Il y a une autre précision que j'aimerais apporter. Il se peut que cette possible structure SVS puisse être ce fameux gouvernement de l'ombre, vous savez ? Combien de personnes parlent d’un gouvernement de l’ombre ? Qui sont ces gens ? Peut-être que pour la première fois nous avons une preuve qu'il existe bien.

Et permettez-moi de vous dire autre chose. Ce film, d'après ce que j'ai compris, a été... comment dire... intercepté par le jésuite qui a contacté Barbato. Et cette structure SVS n'est pas légale.

Si un service secret existe au Vatican, voyez-vous, il existe en secret mais c'est une institution légale. Si l'administration du Vatican a créé un service secret, ils ont fait cela dans le passé, pape après pape... Vous imaginez le nombre de dossiers qui sont préparés pour le pape suivant. Nous parlons bien d'une structure secrète qui est parfaitement légale.

Mais supposons que quelque part, une autre structure ait été créée, comme ce prétendu SVS... Oui. Peut-être. C'est l'une des raisons des actions du jésuite et de ses collègues.

Ecoutez, nous avons plusieurs problèmes. Le premier est l'arrivée de la planète X, le second est que des gens ont décidé de faire quelque chose. Dans tous les pays du monde, nous doutons de ce que les gens savent réellement. Peut-être que ces gens-là sont responsables de la situation que nous avons à affronter maintenant. Peut être, et c'est mon point de vue, que le 11-Septembre est lié à ceci.

Je ne peux imaginer que les seules raisons pour lesquelles les États-Unis d'Amérique qui perdent tant de leurs garçons, des hommes jeunes, des soldats, permettent au hasard de tuer tant de civils, et perdent leur réputation aux yeux du monde entier... Je ne peux pas imaginer que les seules raisons soient économiques, et liées, voyez-vous, au profit sur l'énergie fossile. Non. Ce n'est pas possible. Bien sûr, il y a beaucoup d'argent en jeu. Mais, vous savez, je suis sûr que le 11-Septembre, la Planète X et cette structure probable sont les pièces d'un grand puzzle. C'est mon opinion.


 

Une conversation avec Gorbachev (en anglais)

KC: You have a picture behind you, of a man.

LS: Yes.

KC: And I would like you to tell us the story that you told us earlier.

LS: Yes. On your left, over there, there is my formal identification card of a meeting which took place in Venice on a Venice island, in the Venetian Lagoon, in June 2006. The title was Media - Between Citizens and Power. I was correspondent for Gruppo Editoriale Olimpia, who published several magazines. Two of them are Tecnologia & Difesa (Technology & Defense). And another one is UFO Notiziario, for which I wrote several articles until 2006. For these two magazines, Tecnologia & Difesa (Technology & Defense) and UFO Notiziario, I was colleagues from them in those days.

So, I participated to the press conference held by Mikhail Sergeyevich Gorbachev, in June 2006. And I was so lucky that I found a little space to make questions to the former President of Soviet Union. And when I took the microphone... [points to framed photo of Gorbachev on wall] This picture... I made this pictures. This is a detail of several pictures that I have taken in that day. And when I took the microphone, I stood up in front of everybody. There were maybe 40, 50 journalists, Italian journalists, even some TV. And I asked him about his conversation with Ronald Reagan in Geneva in 1985.

My question was all about the declarations, outstanding declarations, made about Paul Hellyer, Former Minister of Defense of Canada. Anyway, I was talking about Ronald Reagan and his mentions to a possible alien threat, a possible alien planet. Because Ronald Reagan made several statements - I think there are five - about a possible threat to the humanity, to the mankind, from an alien planet.

And, during my speech, little speech, Gorbachev interrupted: Yes, yes, I know. You know Ronald Reagan talked about this stuff with me. So I said to Gorbachev: Yes, I know, in Geneva, in 1985. At that time, it was the first meeting, the first summit, between Gorbachev and Ronald Reagan. And then, later on, I continued and I asked him: And YOU talked about a possible alien threat - an extraterrestrial invasion. I didn’t use these terms.

But anyway, I pointed out that even he talked about the possible extraterrestrial threat. And I asked him, Is it true? Is it correct? And he didn’t answer. He didn’t answer. He said: I don’t remember. I don’t remember. According to me, it means: It’s better if we change the discussion.

But anyway, he was a gentleman. Why? Because he didn’t deny. He didn’t deny, in spite of when I asked him a comment about the declaration made by Paul Hellyer, the former Minister of Defense in Canada. And the former Minister, Paul Hellyer, said that George Bush and his administration is preparing an inter-galactic war. Which, you know, sounds ridiculous. But if this statement is made by a former politician leader of an important country, it doesn’t sound ridiculous, according to me.

Anyway, at the end, he answered to me about the possible threat of the NEOs - the Near Earth Objects - and about the Paul Hellyer declaration. He said something like this: We are in the range of hypothesis. Which is, you know, it was an honest point of view, but you know, which shows it’s better [makes palms-forward, holding-off gesture], you know; or, he’s not interested, or he wants to change the subject.

But the most important thing is that later on, in October 2006 if I remember, he was hosted by a television program. On that occasion, in front of the Italian public, on TV, in front of the journalists - because all the journalists had a factor at that time - asked him something about UFOs and his conversation with Reagan. He recollect him... he remembered, you know, those days, and he told, you know, a little bit more about the meeting with Ronald Reagan, and what Ronald Reagan said to him about a possible threat.

At that time, you know, there was a cold war in the Soviet Union and the United States of America could not find, you know, anything that can stop the cold war. Gorbachev said in front of the Italian public on TV: That time, we were in the garden of the villa in Geneva, in November 1985, and we were discussing a lot, you know, and during a private conversation, we were walking. At a certain point, Ronald Reagan stopped and said, “Listen to me, Gorbachev. But if now, suddenly from the space, there was an attack from somewhere, can we put our forces together? Can we stay together?”

And Gorbachev said: I don’t know what you think, but yes, I think we can do it.

They are not the exact words that he said, but this is the meaning. What does it mean? It means that in the middle, you know, of difficult times - there was the cold war, there was the Iron Curtain - Ronald Reagan and Gorbachev in an official meeting, you know, they talked about a possible alien threat to the humankind, to the mankind, to the humanity. And... Gorbachev didn’t deny this.






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Bill Ryan

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