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Transcription de l'interview - 2ème partie

Richard Hoagland : Dark Mission - Deuxième partie
Albuquerque, Nouveau Mexique

Décembre 2007

Cliquez ici pour la version PDF de cette interview (13 pages)
Cette page est une traduction d'une publication originale de Project Camelot

 


Début de l'interview

Richard Hoagland (RH) : Le problème avec tout ça est que nous tentons de faire des expertises juridiques à l'extérieur du système. Nous n'avons pas de personnes initiées disant « C'est là où ils cachent ceci, c'est là où ils cachent cela » et même si nous en avions, les croirions-nous ? Le mensonge est différent à chaque niveau et on leur fournit un ensemble de mensonges, donc pour réellement faire ça, on a besoin de se baser sur des preuves.

Et ensuite on doit classer les preuves selon les réalités politiques de la culture entière dans laquelle on vit, c.-à-d. les Etats-Unis ou une culture plus large dans laquelle nous vivons c'est à dire le Monde.

Et quand je regarde le monde et je regarde ce qui se passe en ce moment – je vois les confrontations les plus intenses et les plus porteuses de divisions. Et la première raison de tant de saignées, de massacres, de douleur, de plus de douleur encore, et de tant de conflits sur cette planète est l'idée religieuse que mon Dieu est plus grand que votre Dieu : en fait votre Dieu n’est rien et vous ne valez guère mieux.

Et quand on regarde les débats présidentiels cette année, qu'est-ce qui est mis à l'avant ? De manière écrasante, encore et encore et encore, c'est le profil religieux des candidats.

Les pères fondateurs – ce ronronnement que vous entendez en arrière plan est celui des pères fondateurs se retournant dans leur tombe car ils ont essayé de mettre en place un système politique où la politique est séparée de la religion, où la politique est séparée de nos idées métaphysiques sur ce que nous sommes ce que nous faisons sur cette planète, qui est notre créateur etc.

Et ce que nous voyons à mesure que le 21ème siècle évolue même dans les quelques premières années est le mélange et la fusion des perspectives religieuses avec le corps de la politique. Et regardez seulement ce qu'est le schisme auquel nous sommes tous confrontés, lequel nous a donné la "liberté" -  j'utilise cela entre guillemet - qui a produit les subversions patriotiques [NdT.: référence au Patriot Act] de la constitution, les écoutes de la NSA.

Tout est une question de religion. Ce sont ces mauvais types, ces méchants terroristes musulmans ! Le conflit des civilisations; que ces gens sont fondamentalement là pour tous nous tuer. Vous savez, un bon musulman est un musulman mort. Ce qui bien sûr est ce que les radicaux de notre côté disent même s'ils affirment que ce n'est pas ce qu'ils disent. Ainsi nous vivons dans toute une série de niveaux d'illusion où, à la base, c'est une question de différence religieuse et d'intolérance religieuse et d'obsession religieuse - que mon Dieu est le seul Dieu et que vous méritez d'être tué car vous ne croyez pas en mon Dieu.

Dans ce mélange vous introduisez l'idée à la Brookings [Institution] qui a produit ce rapport officiel de la NASA, qui est que si la NASA allait dans l'espace elle trouverait logiquement des preuves d'êtres potentiellement plus avancés. Et cela est dit dans la charte, vous savez, sur la lune, Mars ou Vénus.

Et bien, des êtres avancés doivent être créés par quelqu'un, pas vrai ? Quel Dieu aurait pu les créer ? Est-ce mon Dieu ? Est-ce votre Dieu ?

Donc quand vous allez sur la lune comme ce que j'ai ici sur l'écran et qu'ensuite dans le cadre du programme Apollo vous trouver ce qui apparaît être une tête de robot, un être doué de conscience créé par quelque chose de plus élevé que l'humanité et en-dessous des anges et alors vous voyez que dans nos propres fictions, dans La Guerre des Etoiles de George Lucas, il existe un étonnante similitude avec nos mythes populaires. La question qui vient est : Qui à la NASA savait ? quoi ? quand ? et fut terrifié de nous le dire à cause des implications religieuses ?

Maintenant si l'on regarde les ruines sur la lune ou les ruines sur Mars, en particulier quand on a une face de plusieurs kilomètres de longueur sur Mars – et cela nous ressemble.

Souvenez vous, il y un phrase clé dans l'Ancien Testament : « Dieu a créé l'homme à son image ». Hé ! Attendez une minute. Si c’est vrai alors que fait ce visage de plusieurs kilomètres sur Mars ? Mars n'était pas mentionné dans l'Ancien Testament. Qui étaient les Martiens ? Ont-ils été créés à l'image de Dieu ? Est-ce l'image de Dieu couchée dans le désert ?

En d'autres termes : vous en arrivez à un tel niveau de discours et à de tels niveaux de controverses et de conflit et les gens s'entre-tuent sur leur version de la vérité, que le rapport Brookings a dit en 1959 et que John Kennedy a transmis au Congrès le 18 avril 1960 – ce rapport dit qu'il vaut mieux laisser cela tranquille, et d'éviter que quiconque puisse savoir car tout ce qu'ils feraient, ce serait est de s'entretuer pour savoir quel Dieu se trouve derrière cette nouvelle version de la vérité.

Et je pense en me basant sur l'histoire, directement sur CNN là juste pour le moment, que c'est la raison ultime qui a été fortuitement utilisée comme excuse car le mensonge est différent à chaque niveau – c'est une excuse fondée sur des choses qui se passent dans notre culture qui dit que si les gens pouvaient connaître [la vérité] sans équivoque que nous ne sommes pas les seuls êtres conscients dans l'Univers, le niveau de cellularisme (factionalisme) religieux augmenterait de manière hystérique.

Et nous serions littéralement dissous dans une conflagration que vous pouvez imaginer. Et que beaucoup de braves gens – souvenez vous il y a les bons et les méchants – beaucoup de braves gens vivent avec ça car dans leur esprit, pour citer Jack Nicholson, « Nous ne pouvons pas gérer la vérité ».

Kerry Cassidy (KC): Ok.

Donc la NASA est là pour nous protéger de la vérité car nous ne pouvons pas gérer la vérité, la vérité étant que...

RH: Mais selon qui ? Souvenez vous, c'est toujours selon celui qui écrit le scénario.

KC : Ok, mais suivant ce que vous me dites, c'est...

RH : Je dis que de braves gens à la NASA croient cela.

KC : Ok, mais vous êtes en train dire...

RH : D'autres personnes croient autres choses.

KC :...

Vous êtes en train de dire que c'est la raison principale pour le secret...?

RH : Je pense que c'est la raison principale qui leur a permis d'avoir tant de gens [qui y croient] sur une si longue durée. Souvenez- vous, tout le monde souhaite être le bon gars.

KC : Exact.

RH : Est-ce que vous vous réveillez le matin en pensant que vous êtes un mauvais gars ? Non.

Vous pensez que vous faites quelque chose de positif, que vous faites avancer l'humanité en faisant ces programmes et en les mettant sur le Net. Vous essayer d'exposer la vérité car la vérité va vous libérer. Mais ce qu'on leur a dit est que la vérité va vous tuer.

KC : Exactement.

RH : Et ils l'ont cru. C'est ici le point clé pernicieux. Ils ont ignoré dans de nombreux cas leur propre Bible. Et ils pensent qu'en étouffant la vérité, ils nous rendent libre.

KC : Ok mais discutons de cette vérité. Ce que vous me dites est que la vérité, c’est que les ruines sur Mars et sur la lune indiquent que nous ne sommes pas seuls.

RH : Oh, ce n'est pas le problème. Le problème est, y sommes nous mêlés ? Ces ruines sont-elles les nôtres ?

KC : Le sont-elles ?

RH : Je pose la question, Ces ruines sont-elles les nôtres ? Est-ce que l'arrière-arrière-arrière-arrière grand mère de la race humaine créée en l'image de Dieu a mis ces choses là-bas ?

KC : Exact, et bien si ce sont nos ruines et qu'elles ont été créées comme nous et qu'elles viennent de nous, nos ancêtres ou peu importe, alors nous n'avons pas de problème religieux car hé!, ce sont nos ancêtres.

RH : Ou elles ne le sont pas...

Et si elles ont été créées pas des super êtres étrangers qui nous ont créés comme une expérience de laboratoire et nous ont mis ici pour faire ce que nous faisons, ce qui n'est pas du libre arbitre, ce n’est pas très bien, alors ces gars deviennent des Dieux.

Nous espionnons, nous transgressons littéralement le territoire de Dieu suivant une définition de Dieu qui n'est pas le grand type que j'ai imaginé être toute ma vie depuis que j'ai grandi en lisant le catéchisme, mais quelque chose de moins élevé que les anges, et donc fondamentalement un être faillible et aussi humain et mortel que nous autres, quelqu'un qui joue à Dieu. Pouvez-vous imaginer ?

KC : Mais est-ce que c'est vote prémisse ? Est-ce que vous fouillez cela quand vous observez ces ruines ?

RH : Evidemment ! J'investigue tout cela. Le problème est comment. C'est très difficile. C'est réellement, réellement difficile car vous ne pouvez pas avoir confiance dans les gens qui disent « la vérité ». Vous devez rechercher les sources originales et finalement nous devons allez sur Mars et la lune et trouver les bibliothèques.

Mais bien sûr ça va être : qui va être le lecteur ? Qui va être le traducteur ? Comment saurons nous que les traductions ne seront pas cuisinées ? Qu'elles ne seront pas falsifiées pour supporter certaines convictions religieuses, pour affirmer que certains Dieux sont réels, ou un Dieu, mais que les autres types sont des faux. Vous devez... Je veux dire, ce n'est un labyrinthe simple. C'est descendre dans le terrier du lapin, à travers un trou-de-ver, dans une autre galaxie. (Rires communs)

Ce n'est pas simple. C'est pourquoi cela a attendu quelques 40 ans pour que des rayons de soleil commencent à jaillir et que les gens finalement veuillent connaître la vérité. Et cela rejoint les chiffres et le succès de Dark Mission.

Car au final qu'est ce qui a rythmé tout cela, qu'est-ce qui a permis à l'étouffement de la vérité de continuer sans frein depuis plus de 50 ans ? Les gens. Vous les gars.

Vous avez voulu cela. Vous n'avez pas voulu connaître la vérité. Car si vous l'aviez réellement voulu, vous auriez su la vérité il y a bien longtemps. Vous êtes le problème à l'inverse d'être la solution. Et juste maintenant, il est possible que ceux d'entre vous qui regardez deviennent une partie de la solution pour trouver la vérité.

KC : Maintenant je veux vous demander, si vous êtes en train d'investiguer ce que nous avons trouvé sur Mars et sur la lune et vous l'êtes clairement; vous avez des preuves documentées que vous êtes en train de piste – vous êtes en train de pister cet incroyable dôme fait de – je ne sais même pas de quoi… sur la lune et qui couvre...

RH : Ce sont plusieurs dômes faits de verre. L'explication la plus simple est que c'est fait de verre. La raison est que quand on regarde les analyses d'Apollo des choses qu'ils ont ramenées – auxquelles je crois dans l'ensemble car pourquoi cuisiner ces résultats ? C'est à cause de la chimie. D'une manière écrasante c'est du dioxyde de silice (SiO2), du  verre. C'est aussi ce avec quoi la Terre est faite. Vous savez, comment on fait du verre ici ? Comme on fait de magnifiques grandes fenêtres comme ici ? On prend principalement les éléments les plus communs de la croûte terrestre et on les chauffe, on les raffine, on les fusionne, on les met sur ces plateaux d'acier, on les presse, on les roule et on fabrique des feuilles de verre, des plateaux de verre.

Donc il semble que les ruines lunaires sont faites du matériau le plus commun que l'on trouve sur la lune. Au passage, quand vous faites des ruines, les structures des bâtiments sur la lune, elles sont 20 fois plus solides que l'acier.

Et la raison, c’est qu’il n'y a pas d'eau sur la lune. Il n'y a pas d'atmosphère. Il n'y a pas d'impuretés qui pénètrent dans le verre, ce qui le rend faible et fragile. Donc sur la lune le verre est un matériau de structure et il a…  si on le dope avec divers minéraux, métaux, on peut faire toute sorte de choses amusantes.

On peut le rendre photochrome pour que, lorsqu’il est exposé au soleil, il devienne plus sombre comme ces lunettes de soleil qui s'assombrissent automatiquement et puis qui s'ouvriraient quand la nuit lunaire arrive. On peut le rendre résistant aux radiations, le rendre semi-transparent pour que certaines longueurs d'onde seulement pénètrent et que d'autres soient bloquées.

Je veux dire, sur la lune, sur la partie qui est de face, si vous êtes à un endroit nommé Sinus Medii, la Baie Centrale, quand vous regardez directement en face, il y a cette splendide Terre suspendue au-dessus tournant sur son propre axe, avec des nuages jour après jour, semaine après semaine, mois après mois. La meilleure propriété immobilière sur la lune pour observer la Terre serait juste là et c'est là que nous avons trouvé notre surprenante première série de ruines.

En fait voudriez vous que je vous montre à quoi ressemble quelques unes de ces ruines.

KC : Bien sûr.

RH : (soupirs) Segue [NDT: Suite].

Dans le cadre de nos investigations sur la lune remontant à 1996, ce qui fait 11 ans, j'ai amené dans ce domaine des experts à Enterprise [Mission] pour jeter un œil à divers aspects de ces histoires impossible-à-croire de prime abord.

Nommément, le fait qu'Apollo est allé sur la lune; les astronautes sont allés là-bas spécifiquement affrétés par la NASA, par le Président, avec un mandat pour aller trouver de la technologie, secrètement, et la ramener pour faire de la rétro-conception. Et voilà le programme Apollo.

La course avec les Russes pour atteindre avant eux la lune n'était qu'une histoire pour couvrir cela.

Et nous le savons maintenant car nous avons des mémos qui sont dans le livre Dark Mission : venant de la Maison Blanche, du département d'état; nous avons le témoignage du propre fils du président Khrouchtchev, Sergei, qui était associé, je pense, à l'Université Brown et qui confirme que dès l'instant où Kennedy a mis le pied dans le Bureau Ovale en 1960 après son inauguration un après midi du 20 Janvier, il ouvrit le dialogue avec le président Khrouchtchev pour essayer d'aller sur la lune ensemble.

Maintenant logiquement c'est débile. Car si on nous a dit pendant toutes ces années que la raison pour laquelle nous sommes allés sur lune était de battre les Russes, pourquoi sommes nous allés sur la lune après tout ? Pourquoi avons nous dépensé tout cet argent après tout? Pourquoi avons nous fait tout cela si ce n'est pour battre les Russes ? Et si en fait nous avions tenté d'y aller secrètement avec les Russes ?

La seule réponse logique est qu'il y avait quelque chose là-bas que Kennedy sentait être d'une importance prioritaire pour l'humanité – à la civilisation où qu'elle soit sur cette planète – que nous devions partager avec nos ennemis de toujours de la Guerre Froide.

Et finalement comme nous l'avons documenté dans le livre, il semble qu'ils l'ont tué pour cela. Et ensuite quelques mois plus tard, ils ont emprisonné Khrouchtchev et l'ont gardé en résidence surveillée jusqu'à sa mort, plusieurs années après cela.

KC : Mais au final derrière la scène, nous somme peut être allés sur la lune avec eux après tout. N'est-ce pas exact ?

RH : Nous ne savons pas.

Encore une fois, nous ne savons pas. Les trous dans les données historiques sont encore assez gros pour faire voler l'Enterprise à travers. Ce que nous savons est que nous y sommes allés. Apollo est allé sur la lune. Nous avons eu 6 missions. Des missions incroyables. Nous en avons eu une qui n'a pas vraiment marché de la manière dont nous voulions – la 13 – laquelle a en elle-même des trous intéressants que j'étudie dans mon copieux temps libre.

Mais ce que nous savons maintenant à partir des photos qu'ils ont ramenées et que j'ai vu aux archives de la NASA – je les ai tenu physiquement en mains – des photos qui sont maintenant été l’objet de fuites sur tout le Web, sur tous les sites web de la NASA à travers le monde, que tout le monde peut télécharger puis y appliquer un minimum de traitement d'image avec Photoshop ou CorelDraw ou autres pour à la base augmenter le contraste, la luminosité, regarder à ce qu'il y a dans le ciel qui devrait être noir, vous trouverez CELA.

Maintenant, cela est en réalité une parfaite version idéalisée de ce que vous allez trouver. Ceci est une grille créée par l'un de nos experts, un architecte nommé Robert Fiertek dont nous parlons dans le livre, que j'ai amené dans ce domaine au milieu des années 90 pour analyser les photos et nous dire ce qui était là d'un point de vu structure et construction.

Donc Robert a créé cette grille avec un ordinateur et ensuite ce que nous avons fait fut de regarder quelques-unes des photos. Par exemple, voici une image Hasselblad d'Apollo 10. Le numéro du cadre est AS10-32-4810. Ainsi vous pouvez aller aux archives et sur le site Web et télécharger l'image. On peut voir qu'il y a des indices, qu'il existe quelque chose dans le ciel, et en dessous on a un terrain lunaire vraiment classique.

Tout ce que vous avez à faire c’est d'augmenter la luminosité. Vous vous souvenez de cette chanson : « Turn up the Volume » ?

KC : Mm hm.

RH : Augmentez le gain/contraste. Et vous voyez cette splendide structure en grille dans le ciel. Une structure en grille – c'est un plan rapproché maintenant – cela n'appartient pas à ça... C'est tridimensionnel. C'est rectiligne. Il y a des poutres en haut et en bas. Il y a des fibres à gauche et à droite. Il n'y a aucun doute dans l'esprit de quiconque ayant des relations avec la construction, ou même a construit une maison, que ceci est réel. Ce ne sont pas des éraflures, ce n'est une bizarrerie de l'image venant du bain chimique pour le développement de la pellicule. Ce sont de réelles choses 3D manufacturées.

KC : Ok, donc quelle est votre théorie sur ceux qui ont fabriqué cela ?

RH : Et bien. On en revient à la photo que je vous ai montrée il y quelques instants qui représentait une tête. Bien, la tête est d'une certaine façon anthropomorphique n'est-ce pas ? Si nous croyons en l'évolution biologique, si nous croyons en Gaylord Simpson qui fut un expert d'Harvard dans les années 1960, qui a écrit cette sorte de Bible sur le développement humain que Carl Sagan s'est approprié par la suite : l'être humain est totalement unique.

Notre apparence. Notre face, nos caractéristiques, nos proportions, deux bras, deux jambes tout ça. Si vous pouviez rejouer l'histoire de la Terre vous n'obtiendriez pas du tout quelque chose qui nous ressemble.

Et la raison disent-ils, est que si l'on regarde dans les océans, sur les continents, que l'on regarde toutes les différentes espèces, toutes les espèces éteintes, les fossiles - les seuls types qui nous ressemblent, nous le savons maintenant, nous sont liés génétiquement. Les simiens, les anthropoïdes, les gorilles, les singes. Il y un arbre familial ici. Darwin avait raison. Il existe une famille à partir de laquelle nous sommes en quelque sorte issus.

Bill: Et peut être quelques-uns des visiteurs E.T. aussi ?

RH : Nous ne savons pas cela. Encore une fois, je m'occupe de données réelles que je peux toucher. Je ne traite pas d'OVNIs. Car alors je dépendrais d'histoires. Si vous dépendez d'histoires, vous êtes à la merci des personnes qui vous racontent l'histoire. Si vous dépendez de preuves réelles et documentées qui sont dans des archives que tout le monde peut télécharger, vous êtes dans une toute autre partie. Et donc, j'écoute les histoires, j'essaie de faire des références croisées avec les données, mais nous sommes liés aux données. Ce qui fait qu'Enterprise est différent de n'importe qui d'autre qui tente de faire la même chose. Nous avons des données.

KC : Ok, donc anthropomorphiquement, ils nous ressemblent ?

RH : Oui.

KC : En quoi cela un rapport avec ce que vous avez trouvé sur la lune ?

RH : Je vais y arriver.

J'essaie toujours d'aller quelque part. Donc revenons à la tête de robot. Pourquoi le robot nous ressemble-t-il ? Il pourrait ressembler à n'importe quoi. Il pourrait ressembler à R2D2. Souvenez-vous, R2D2 ne nous ressemble pas du tout. Il est mignon et ressemble presque à une petite poubelle, vous savez, avec des lumières clignotantes, des rayons et tout ça.

Voyez, il ressemble à C3PO, qui était un robot anthropomorphique à l'image de l'humain. Donc le fait qu'Apollo soit allé sur la lune et tout ça – Apollo 17, Gene Cernan et Harrisson Schmidt auraient peut-être vu cette chose. Ils l'ont peut être embarqué. Ils l'ont peut être ramené comme une part de leur mandat. Nous n'avons pas encore connaissance de ces faits car ils ne parlent pas.

KC : Et bien pourquoi en avons-nous des photos ?

RH : Il y a environ 15 photos de ça.

KC : Je sais mais ont-ils pris les images ?

RH : Ils ont pris les images.

Quand on prend une photo sur la lune, souvenez-vous, ils ne regardent pas à travers un objectif. L'appareil photo est attaché à leur poitrine. Le fait est que le seul moyen pour pointer l'appareil était votre corps dans la combinaison spatiale. Et vous êtes derrière le verre.

KC : Hasselblad.

RH : Hasselblad.

Un appareil de très grande qualité mais ils ne regardent pas la scène. Ils regardent la scène et ils prennent des photos en bougeant tout leur corps donc il se peut qu'ils n'aient même pas vu ça, c'était tellement loin. C'est au fond d'un cratère qui est de la taille d'un champ de football.

KC : Et bien, qui l'a trouvé ?

RH : Moi.

KC : Vous ?

RH : Je suis le premier type à l'avoir trouvé. Evidemment. Que croyez-vous ? C'est pour çà que vous êtes ici n'est-ce pas ?

KC : (rires)

RH : C'est que nous faisons ici ! Lisez le livre !

KC : (riant encore plus) Vous avez trouvé une tête de robot en bas d'une photo.

RH : Dans 14 photos.

Il a été photographié encore et encore et encore en tant que partie d'une séquence panoramique. Nous essayons maintenant d'aller – nous avons eu 2 copies de film - pas juste par le web mais un film – qui sont vraiment de sales copies qu'on nous a envoyées et ce que je fus capable de faire est de faire une comparaison informatique avec C3PO.

J'ai été capable de prendre deux de ces images et de les surimposer très délicatement l'une au-dessus de l'autre. C'est une technique photographique standard pour amplifier le signal et moyenner le bruit. Car chaque photo est bruitée.

Si vous faites cela, les équations mathématiques disent que le bruit est atténué par la racine carré du nombre de cadres qui sont surimposés délicatement avec succès. Au final nous avons pu jouer avec 14 cadres.

J'ai besoin d'une résolution plus élevée mais j'ai fait des manipulations sur l'ordinateur même avec ces cadres, et on obtient des résultats très intéressants. Les deux cadres qui étaient en réalité le film que nous utilisions et que nous avons réussi à surimposer, et c’est à ce moment-là que nous avons ouvert les yeux.

Les iris ronds, les yeux en forme de caméra, cela me dit que ce n'est pas un humain desséché reposé sur la lune, l'un des colons lunaires que nous avons suggérés être là à un moment donné. C'est une forme de vie artificielle, un robot.

Nous l'avons appelé la « tête de Data ». Il ne ressemble pas à Data. Il ressemble beaucoup plus à C3PO.

Ce qui ouvre la voie à des interrogations sur ce que George Lucas sait et quand il l'a su. Et si vous voulez, je peux rentrer dans le sujet et vous faire lever les sourcils.

Car nous avons d’autres données qui montrent que Lucas est impliqué « jusqu'aux  sourcils » dans toute cette intéressante histoire, cette intrigue et cette conspiration. Et c'est pourquoi George Lucas a beaucoup de succès avec ces films.

Ce n'est pas un accident.

KC : Ok, maintenant je voudrais discuter de ça mais nous n'avons pas le temps de le faire. Bill ?

Bill Ryan (BR) : J'ai une question, Richard, si vous permettez, qui je sais a été posée par d'autres personnes. Je pourrais comprendre comment la tête de Data aurait pu être prise sur pellicule par accident, car cela s'est produit il y a longtemps et qu'ils ne se concentraient pas sur ce qui était là avec leurs Hasselblads.

RH : 14 fois.

BR :...Mais avec ces structures très larges que vous avez identifiées sur vos photographies, elles auraient pu être clairement à l'arrière plan avant que les astronautes ne prennent ces images.

Pourquoi auraient-ils permis que ces images soient en arrière-plan quand tout ce qu'ils auraient eu à faire est de prendre la photo dans l'autre direction ?

RH : Ceci est une photo prise lors d'Apollo 14. C'est une photo prise par Alan Shepard qui était le commandant. Si vous regardez au nord, il y a Edgar Mitchell avec qui j'ai discuté de tout ça dans l'émission d'Art Bell en 1996. Ici c'est l'ombre de Mitchell. Ici c'est l’incroyable dôme en arrière plan couvrant en arc Mitchell qui semble avoir totalement oublié cela.

Et là c'est une zone encadrée où, comme j'ai une impression originale des ces images sans prix, sauvées délibérément de la destruction par la NASA, en 1971 je crois, par un gentleman nommé Ken Johnston, sauvegardées pendant 30 ans et qui m'ont été confiées en main propre à Seattle en 1995, où je fus capable de les mettre dans le scanner d'un ordinateur (lequel était alors vraiment primitif comparé à ce que nous avons maintenant), de les numériser, d'en augmenter la luminosité et le gain.

Et bingo! Toute cette géométrie incroyable en est sortie !

Quand j'ai agrandi l'impression parce que je ne pouvais pas le numériser dans des résolutions de plus en plus élevées, j'ai découvert des séquences successives d'impressionnantes versions détaillées de ce qu'il y avait dans le cadre. Vous pouvez voir à l'horizon qu'il existe un échafaudage latéral, qu'il y a des contreforts en angle qui proviennent en oblique de quelque part au loin.

Il y a des renforcements en croix qui sont tridimensionnels et à plusieurs niveaux. Il y a quelque chose qui ressemble à un trou formé par une balle à travers un pare-brise. Comme si j'avais pris un calibre 45 et que le verre s'était brisé tout autour, en dispersant la lumière.

Remarquez la couleur. La couleur est réelle. C'est caché dans les couches d'émulsion bleue de l'Ektachrome à plusieurs couches de la pellicule ASA 64 originale qu'ils ont emporté sur la lune et dont ces images sont issues.

Ils n'ont pas fait d'impressions. Ils ont fait des transparents. Ensuite dans les chambres noires, ils ont produit des impressions intermédiaires et dans les chambres noires, pour répondre à votre question Bill, ils ont enlevé tous les trucs intéressants. Ils les ont simplement effacés dans les chambres noires.

BR : Mais ils n'avaient pas de pellicules couleurs lors de la première mission.

RH : Non, ils en avaient.

Non, non, non, ils avaient des pellicules couleurs. En fait ils avaient une super pellicule couleur. C'est une tout autre histoire. En réalité je connaissais l'inventeur de la pellicule à EG&G. J'en ai utilisé. J’en ai en fait eu des rouleaux pour mon propre usage.

Quand j'étais à CBS je suis allé à Cape et j'avais un appareil photo gros comme un fusil fabriqué pour moi par un des photographes clé du corps de presse. Le gars était un indépendant. Il a travaillé pour AP, pour Newsweek, People Magazine etc.

Il a en réalité construit cet énorme appareil photo qui ressemble à un fusil et je devais le pointer comme ça, avec une gâchette qui déclenche un objectif de 35 mm avec la pellicule spéciale et j'ai pris des photos du décollage de Saturne 5 et d’Apollo 8, la première mission vers la lune.

CBS m'a alors envoyé en hélicoptère de New York à Boston où se trouve le labo et dans lequel Charlie, mon ami Charlie Wykoff, développait ce film, pendant que je regardais.

Puis j'ai repris l'hélico pour New York et nous avons diffusé ces pellicules pour montrer à quoi le lancement de Saturne 5 ressemblerait avec cette incroyable pellicule couleur, au domaine super étendu, que la NASA avait secrètement développé pour la lune. Ils ont alors détruit le labo qui était construit spécifiquement pour produire cette pellicule.

KC : La NASA a détruit le labo ?

RH : Oui, la NASA a détruit le labo. En fait, c'est Kodak à la demande de la NASA. Parce qu’on a demandé à Charlie de donner la pellicule à Kodak dans le cadre d'une évaluation pour éventuellement mettre ça sur le marché pour qu'à la base vous et moi puissions en disposer. C'est la pellicule Gold qui est commercialisée de nos jours dans les épiceries.

C'est une version de la pellicule en transparence avec une latitude super large de couleurs. C’est ce qui a été embarqué sur la lune. Ils l'ont utilisée pour prendre des images de première génération avec ces appareils photo Hasselblad.

Et ils l'ont rapporté dans le chambres noires à Houston et ont produit des copies et des impressions de génération intermédiaires et dans la chambre noire toutes les ruines qui faisaient offense furent enlevées.

C'est pour cela que cette impression est si importante. Car elle provient d'une première génération, une impression non altérée, où rien n’a été enlevé.

BR : C'est le film en couleur auquel j'ai fait référence pour Apollo 11 et qui ne fut pas utilisé mais aurait pu l'être. Est-ce bien cela ?

RH : En fait, ils avaient un appareil couleur et un appareil en noir et blanc. Ils ont uniquement utilisé le noir et blanc et l'ont utilisé dans un mode à sensibilité réduite car s'ils l'avaient utilisé selon le design original, conçu par Westinghouse, cela aurait montré les ruines derrière Apollo 11.

Au passage c'est la raison pour laquelle les enregistrements originaux d'Apollo 11 ont « disparus ». Ils n'osent pas les laisser libres. Avec la technologie informatique moderne, pouvez-vous imaginer ce que nous pourrions y trouver ?

KC : Evidemment.

RH : A l'exception de ces formes obscures qui dansent autour de la lune. Si vous savez ce que vous recherchez, même sur ces images il existe des indices. Mais il y a cet énorme élément du déni plausible. Car les gens peuvent dire « Oh c'est juste une mauvaise photographie. Un mauvais éclairage ». Donc il n'y a pas de preuve.

Maintenant, c'est l'encadré montrant Mitchell et le lieu où l’on a fait la photo et montrant cette éblouissante géométrie tridimensionnelle formée par le verre. Nous appelons cela « Mitchell sous le verre ». Et pourtant quand je lui ai parlé sur l'émission de Bell et discuté avec lui, il affirme n'avoir rien vu.

Et je l'ai laissé tranquille à cette époque car je pensais qu'une part du problème venait du fait qu’il ne pouvait bel et bien pas voir. Là c'est un plan rapproché de ce que j'appelle le « trou de balle ». Remarquez toute la géométrie 3D, cet incroyable treillis tridimensionnel. Vous pouvez voir les marches d'escalier en verre éclatant qui brille et la surface lunaire est surexposée. Car rappelez-vous, c'est très obscur.

Cela a probablement la consistance de la fumée de cigarette. C'est tellement fin car cela a été frappé et frappé et frappé à mort par une pluie incessante de micrométéorites. Donc après des millions d'années, il n'en reste pratiquement plus rien. Mais il en restait assez pour en prendre des images qui furent ramenées sur Terre.

KC : Ok, mais pour en revenir à la question de Bill, pourquoi laisseraient-ils des traces ? Est-ce qu'ils veulent que quelqu'un les trouvent ? Ont-ils voulu que vous les trouviez ?

RH : Laissez-moi continuer la séquence logique et je vais revenir là-dessus. Cela c'est la courbe de sensibilité à la lumière de la vision humaine. Notre sensibilité visuelle a un pic qui est qualifié de jaune-vert qui, au passage, est le pic du spectre solaire, donc ce n'est probablement pas un accident. Comme vous pouvez le voir, à mesure que l'on se dirige vers le rouge au bout du spectre cela devient très faible. C'est la courbe de sensibilité. Ca c'est 100% et ici ça serait zéro. Donc cela devient faible et bruité et à mesure que l'on va vers le bleu et le violet cela devient très bruité. Donc vous ne voyez réellement pas beaucoup de choses à faible niveau dans le bleu et le rouge. Vous pourriez voir un peu dans le vert.

Mais la pellicule évidemment a une sensibilité très différente. Ainsi nous en arrivons aux astronautes. Chaque astronaute, nous dit-on, portait une visière en or pour se protéger des UV, comme un écran solaire. Ou des lunettes de soleil polaroïdes ou ce genre de choses.

C'est un autre mensonge de la NASA. Je peux le prouver. Regardez bien. Si vous observez la courbe de transmission de l'or sur du plastique et que vous jetez un œil sur le spectre et que vous regardez le casque en or, il s'avère que l'or supprime toutes les longueurs d'onde visibles de la surface lumineuse lunaire sous l'éclairage brillant du soleil – et qu’il amplifie le bleu.

Ce qui signifie que ces casques leur permettaient en vérité de voir la surface lunaire et de voir les ruines des dômes afin qu'ils puissent pointer leurs caméras au corps sur n'importe quel lieu pour obtenir des images des ruines, qui sont très répandues partout sur la lune. Donc il est impossible qu'ils aient pu pointer leurs caméras là où il n'y avait pas de ruines.

Car ils étaient à l'intérieur d'un ancien dôme brisé de verre où pour 360 degrés –ça c'est un panorama de 360 degrés pris à partir de l'un des panoramas que Ken Johnston a sauvé des images originales et vous pouvez voir que la plupart des choses sont à l'ouest – dispersion retour. Remarquez la géométrie là.

Et à mesure que vous déplacez la caméra vers le nord, c'est là où – c'est Mitchell encore une fois, c'est là que se trouvait la structure en grille que nous avons montrée en gros plan – ensuite regardez vers le soleil et vers le Sud, il y en a beaucoup moins ici. Vous pouvez voir que c'est pratiquement noir, comme dans le cas où il n'y aurait pas de verre. Et finalement vers l'ouest une fois de plus, où cela se reforme en un phénomène que nous qualifions de « dispersion retour » où la lumière est réfléchie.

Donc ce panorama pris à partir d'originaux d'impression de la NASA, sauvé de la destruction par Johnston il y a 30 ans, d'une certaine manière, cette image sait où se trouve le soleil. Et il est impossible que cela provienne d'un accident chimique, de développement, de mauvais éclairage, de fuite de lumière ou quoique ce soit d'autre – je veux dire qu'une fuite de lumière serait en direction du soleil, pas vrai ? Pourquoi la plus grosse portion de la « dispersion retour » dans le ciel fait-elle directement face au soleil à en juger par l'ombre de l'astronaute ? En d'autres termes, son propre corps protège la lentille de l'appareil photo de la lumière du soleil.

BR : Bien, je sais que des personnes regardant cela voudront que nous posions cette question, et ils veulent entendre votre réponse.

Et c’est ceci : certaines personnes disent que vous êtes sur une piste conspirationniste, mais que vous êtes sur la mauvaise piste. Car ce que vous avez là comme preuves sont les structures d'arrière plan d'un grand écran dans le désert du Nevada, comme dans le « Truman Show ». Et c'est ce qui a en réalité été gardé sous silence. Alors ce n'est pas une question stupide. Mais je suis sûr que vous pouvez y répondre.

RH : (rires) Nous avons traité de ça dans le livre avec beaucoup de détails.

Dans mon esprit il y a une probabilité nulle et j'utilise rarement le terme de « probabilité nulle » que les alunissages soient des faux. Etant donné la politique, l'histoire des Nazis en arrière plan et ce qu'ils recherchaient, étant donné von Braun, les relations entre Kennedy et Khrouchtchev.

Pourquoi y serions nous allés s'il n'y avait rien ?

Mais la véritable preuve que ce ne fut pas fait en studio et que ce fut pour de vrai, vient d'une anecdote dont je fus témoin oculaire. Je veux dire que j'étais au JPL quand nous avons fait la transition de Downey jusqu'au JPL pour couvrir les missions Mariner 6 et 7.

J'étais là pendant qu'une personne dans l'auditorium chaperonné ici et là par le chef des relations publiques de la NASA au JPL, nommé Frank Bristo, promenait ce type dans les environs pour mettre quelques petites brochures sur chaque siège de journaliste dans l'auditorium.

Et ensuite il est allé à l'extérieur pour donner personnellement une copie de ce mémo, ou quoique cela fut, à chaque journaliste qui était dans la salle de presse et qui attendait que l'une des conférences ne débute. Donc j'en ai pris un, je l'ai lu et je fus époustouflé. Car voilà un type qui était officiellement un représentant de la NASA, distribuant un document qui disait: « La mission entière d'Apollo 11 fut simplement réalisée en studio, sur une scène [de cinéma] au Nevada, et tout le truc est un faux. »

Et je regrette de ne pas avoir gardé le document ! Et nous avons donc maintenant un journaliste qui, sous la forme d'une rubrique de presse du style « n'est-ce pas mignon ce qui se passe autour des missions » publia en fait l’histoire basée sur ce mémo documentaire de 2 pages. Parce que quelqu'un a dû l'avoir fait. Probablement dans le « Pasadena Star News » qui est l'un des endroits que nous regardons. Il est même possible que cela se soit fait dans le « New York Times ».

Je n'ai pas vérifié. Je n'ai pas eu le temps de le faire. La question c’est est qu'il y avait des journalistes, des journalistes bien connus et des journalistes dont on entendra jamais parler... un millier de personnes couvrant ces missions à cette époque. Quelqu'un a dû garder, juste comme un anachronisme historique, une copie de ce mémo.

Maintenant, ce que cela signifie comme je l'ai écrit dans Dark Mission, est que la NASA elle-même a politiquement commencé à faire circuler la rumeur qu'Apollo était un faux bien avant que Buzz et Mike Collins ne rentrent sur Terre. Pourquoi la NASA, dans ses rêves les plus étranges, commencerait-elle à répandre une rumeur qui aurait des répercutions 30 ans après ? La réponse c’est : l’inoculation.

La réponse est que si par hasard il apparaissait qu’il y avait de véritables trucs là-bas [sur la lune] qu'ils ont cachés, ils pourraient toujours détourner la foule enclin au conspirationnisme vers la fausse conspiration du « nous ne sommes pas allé sur la lune » , en plantant le même [Ndt : Un mème  est un élément culturel reconnaissable (par exemple : un concept, une habitude, une information, un phénomène, une attitude, etc.], répliqué et transmis par l'imitation du comportement d'un individu par d'autres individus...) – en plantant le mème dans la culture – des générations auparavant.

Ce qui porterait finalement ses fruits, comme ce fut le cas sur la « Fox Television ». (Mince, Fox Television. C'est intéressant). Et cela ferait diversion parmi ces gens pour qu'ils ne posent pas la véritable question qui est évidemment : qu'est-ce qu'ils ont trouvé sur la lune, quand l'ont ils trouvé et quand ont-ils décidé de mentir à ce sujet pendant toutes ces années ?

KC : Donc les astronautes et même Mitchell, dites-vous, avaient des visières qui leur permettaient réellement de voir ce mur de verre, ce dôme ou ce genre de choses...

RH : Afin qu'ils puissent prendre des images des bons trucs. Ouais.

KC : et les photographier.

Donc quand vous avez posé la question à Mitchell et qu'il répondit qu'il n'avait rien vu, quelle est votre théorie sur les raisons de son mensonge ?

RH : [à la caméra] Vous voyez, Kerry est comme une bonne avocate. Elle connait la réponse à la question. Elle ne pose jamais la question quand elle ne connait pas la réponse.

KC : (riant) Ce n'est pas vrai !

RH : Donc je vais maintenant lui donner la réponse qu'elle connait : Je pense qu'Ed Mitchell dit la pure vérité.

KC : Ok, ça c'est une réponse que je ne connaissais pas.

RH : Ah, donc elle ne connaissait pas la réponse. Et bien, c'est parce qu'elle n'a pas lu cette partie dans Dark Mission.

KC : C'est exact !

RH : La résolution de ce paradoxe est qu'Ed Mitchell a subit quelque chose au niveau de son mental.

KC : Oh, cette réponse je la connaissais. Ok...Ok.

RH : Les astronautes, je le pense, ont été manipulés.

Il y a maintenant toutes sortes d'articles qui sortent dans la littérature publique au sujet de technologies qui peuvent sélectivement effacer le souvenir d'événements spécifiques. Et je crois, et j’ai ça dans le livre – Mike et moi avons rassemblé documents après documents après documents sur les références au sujet de tous les astronautes qui se sont plaints à un moment ou à un autre de ne pas pouvoir se souvenir de ce qu'ils ont fait sur la lune.

Ils sont arrivés à des explications diverses. J'aime certaines d'entre elles. Peter Conrad avait l’habitude de faire des réponses détournées: « Oh, c'était vraiment super, waouh, mon vieux tu n'imagines pas ! » Ce qui couvrait en fait sa frustration et en privé dans des entretiens enregistrés par certains journalistes il disait qu'il ne pouvait pas s'en souvenir.

Nous avions eu une conférence au Wyoming il y a des années. Le Wyoming est un lieu chaud pour la CIA et les anciens du Renseignement à qui on a acheté le silence avec de grandes et splendides fermes et propriétés. C’étaient simplement des vendus. C’est comme ça qu’ils les ont achetés.

J'étais invité à présenter des données sur Mars par l'un des ces anciens de la CIA avec une grosse propriété qui avait une belle femme qui s'avérait être un médecin. Sans vouloir donner des noms, car ils sont encore en vie et je voudrais qu'ils le restent, les choses ont tourné d'une manière vraiment, vraiment bizarre. Parce que j’étais ostensiblement invité à présenter les données sur Mars : Cydonie, notre travail à l'ONU, les présentations lors des réunions sur Mars au centre Lewis de la NASA.

Et subitement, je les ai surpris en présentant pour la première fois, tout un tas d'informations sur la lune Et ces individus ont perdu la boule.

KC : Oh, Waouh.

RH : Et sa femme, qui s'avérait être l'un de ces docteurs qui ont débriefé les astronautes, l'équipage, a tourné autour de la conférence sans jamais y retourner en parlant à quelques personnes qui étaient là avec nous et disant: « Je ne sais pas pourquoi c'est si dérangeant mais je…  je ne peux juste pas m'asseoir et assister à tout ça ».

KC : Waouh. Etonnant.

RH : Donc la vielle question « Qui surveille ceux qui surveillent ? » Même elle, je pense, a eu son mental altéré afin qu'elle ne puisse pas se rappeler ce qu'elle a fait – donc jusqu'où peut-on monter dans la chaîne ? Combien de surveillants ont du avoir leur mental manipulé par quelque technologie ?

Et la technologie n'est pas parfaite. Je pense que nous avons des preuves que la technologie, encore et encore, présente des failles.

Si vous lisez par exemple le témoignage de Buzz Aldrin, dans ses propres livres, il parle de la manière dont Jay Barbary, un de mes collègues à NBC News – je connaissais Jay au temps où j'étais avec Cronkite et que j’étais juste un jeune blanc-bec, et Jay est maintenant un correspondant sénior sur les sujets spatiaux ; il couvre toujours les missions des navettes pour NBC et pose des questions très perspicaces depuis le Corps de presse – Jay a, innocemment, invité Buzz à la réunion au Kiwanis Club à Palmdale je crois, qui est l'un des services de la NASA au nord de Los Angeles où ils testent en réalité de nombreux composants du programme spatial secret et du programme militaire secret, y compris la navette spatiale.

Et donc il invite Buzz à une réunion avec tout un tas de rah, rah, « chevaucheur de jet » et d'ingénieurs, le réseau des vieux potes sympas. Vous savez exactement de quoi je parle. Et il est assis sur la scène avec 2 chaises pour la discussion et Jay demande à Buzz: « Et bien, comment c'était de marcher sur la lune pour la première fois ? ».

Et dans son propre livre, Buzz Aldrin dit qu’à ce moment il est tombé brutalement malade et il a dû débarrasser le plancher, sortir dans l'allée et vomir. Sa femme sortit toute énervée car elle pensait que quelque chose n'allez vraiment pas, ce qui était évidemment le cas. C'est une thérapie (conditionnement) classique par l'aversion. Une classique thérapie par aversion.

Donc oui, je crois qu'on ne peut rien reprocher aux astronautes. Tous à l’exception de Neil Armstrong.

KC : Ok.

RH : Je pense que Neil Armstrong est en pleine possession de ses souvenirs.

Je pense que comme Neil Armstrong est une icône, la première personne de la famille humaine à avoir marché sur la lune, on la laissé tranquille. Et c'est pour cela que Neil Armstrong ne dit jamais rien en public à propos du programme spatial. Ils l'entourent et le sortent pour quelques cérémonies comme celle de 1994 où il était à la Maison Blanche avec le Président Clinton et un tas d'étudiants, et ça a été une séance arrangée de photos et il était là à faire son discours.

Et j'ai eu quelqu'un l'autre soir pour analyser son langage corporel et sa voix et on a discuté du fait qu'il était incroyablement nerveux et dérangé. Vous pouvez le voir sur les enregistrements. Nous les avons.

Ce qu'il a commencé à faire, cela a été de comparer tous les astronautes, le corps entier des astronautes et ses collègues qui ont atterri sur la lune à – des perroquets. Il a dit: « Et les perroquets ne volent pas très bien. Les perroquets ne vous disent pas la vérité aussi. Ils vous disent ce qu'on leur a dit ».

Et à la fin de son discours, il s'est tourné vers les étudiants parce que les étudiants représentent bien entendu la nouvelle génération – la parfaite opération photo. Il faut toujours planter des étudiants dans l'audience afin de faire croire aux gens que vous vous souciez de la nouvelle génération. Il les regarda. Alors il s'est en quelque sorte calmé et il a dit : « Il existe des merveilles inouïes sur la lune, pour ceux qui peuvent retirer les couches de protection de la vérité ».

Mais on ne m'a jamais appris à l'école que la vérité avait des couches de protection. Qui protège la vérité ? Il faisait à l'évidence référence à [l'institut] Brookings, à la NASA et aux 40 années de mensonge.

BR : Et bien, j'ai aussi quelques questions, encore une fois au risque ici de vous irriter, Richard. Il y aura beaucoup de personnes qui auront lu votre livre du début à la fin et aussi Dark Moon. Ils ont regardé ces images et je sais que vous êtes familier avec ces images. Il y a celles avec les croix qui semblent être derrière l'image plutôt que devant. Il y a celles qui semblent avoir de multiples effets d'éclairage par rapport aux multiples ombres. Mais ce sont de bonnes questions à poser une nouvelle fois. Je sais que vous les avez rejetées. Pouvez vous expliquez brièvement sur quelles bases vous l’avez fait ?

RH : Bon, rejeter c'est dans le cas où vous ne vous en occupez pas. Ce que nous avons fait avec Enterprise et dans Dark Mission, c’est que nous avons traité la plupart des questions ordinaires très efficacement et scientifiquement, et je pense que nous avons été capables de mettre un terme au problème. Parce que les personnes qui posent naïvement ces questions ne savent pas qu'il y a une technologie secrète qui fut utilisée pour prendre les photos.

Par exemple il y a cette super extraordinaire pellicule photographique.

Si vous prenez cette pellicule et que vous en faites une copie de première génération avec l'appareil photo et qu'ensuite vous la ramenez sur Terre pour en faire d'autres copies vous pouvez alors avec une grande latitude ajuster les éclairages [NdT.: flood-spot-fill lights] et en vérité cela provient de la pellicule.

C'était la technologie secrète de Charlie Wykoff chez XRC film qui a permis cela.

Au sujet des multiples ombres, non, il n'y a pas de multiples ombres. Il semble y avoir des angles multiples. Et ce sont des gens qui ne savent pas comment les angles d'ombrage dépendent de la surface des paysages, de la géométrie des collines, des vallées, des cratères, la façon dont se présentent des rochers.

Et il y a le faux rapport répandu selon lequel il ne pouvait pas y voir d'étoiles. Et bien, Ken Johnston rapporte – rappelez-vous, c’est la personne officielle en charge des photographies au Laboratoire Lunaire de Réception pour Apollo – qu'on lui a demandé de tout détruire sauf une série de pellicules.

Un jour, il se promenait dans un des bâtiments lorsqu'il remarqua qu'il y avait un groupe de 3 ou 4 personnes qui étaient en train de faire quelque chose avec les négatifs, et de la peinture.

Ils étaient en train de retoucher le ciel au-dessus de l'horizon. Comme tout bon gestionnaire de la NASA, il demanda « Que faites vous bon sang ? »

Et la réponse fut « Oh, nous sommes les retoucheurs [strippers] ». Ce qui esquive la réponse car c'est un terme qui vient d'Hollywood. Ils utilisent les techniques de cache [matte painting] pour mettre en place l'arrière plan des films comme vous savez dans « Forbidden Planet » , où vous avez l'illusion de voir le monstre sur fond d'une peinture de Chesley Bonestell avec les lunes jumelles du monde E.T. d'Altair 4 sur lequel l'expédition a atterri.

Alors il poursuivit son interrogation et il demanda : « Et bien que faites-vous concrètement ? » Et le type en charge des quelques femmes faisant ça, répondit : « Et bien, ce que nous faisons, c’est que nous retouchons les étoiles pour que cela ne perturbe pas les gens. »

Maintenant les étoiles, pour ce qui est des photos originales de la NASA, ont été une cause majeure de préoccupation pour de nombreuses personnes qui ont été troublées par le fait que vous ne pouvez pas voir d'étoiles sur une image lunaire et ils pensent naïvement que l'on devrait en être capable.

Et bien en fait si vous prenez une photo de jour sur la lune, vous n'allez pas voir d'étoiles. La raison est que les étoiles sont incroyablement peu lumineuse et que le soleil et si brillant qu'il est impossible d'avoir une exposition convenable pour obtenir une image de la surface [lunaire] et en même temps voir des étoiles.

Vous savez, vous pouvez expérimenter cela nuit et jour sur la Terre; allez dehors lors d'une nuit sans lune et essayez d'avoir des étoiles et ensuite mettez un projecteur en face et vous vous apercevrez que le premier plan est totalement surexposé, même avec un faible et piètre éclairage artificiel car les étoiles sont tellement peu lumineuses qu'on ne peut pas enregistrer les deux sur une même prise.

Ce que est significatif dans ce que nous dit Ken, c’est que les personnes qui retouchaient les images étaient en train d'enlever ces trucs. Ils étaient en train de supprimer les ruines de verre, les scintillements, les morceaux de verre qui étaient juste dans le bon angle pour réfléchir la lumière du soleil et il aurait était impossible de nier qu'il y avait quelque chose dans le ciel qui ne devrait pas être là.

Le fait qu'ils pensaient qu'ils retouchaient les étoiles et pas le verre, veut dire qu'eux aussi croyaient aux mensonges. Le mensonge était différent à chaque niveau – et à leur niveau le mensonge qu'ils ont reçu est : « On se débarrasse des étoiles car cela serait troublant ».

Donc c'est une histoire consistante en interne qui possède des éléments venant d'un témoignage direct, de preuves photographiques, de corroborations sur le web et touchant le monde entier provenant de quelqu'un qui tuyaute de stupéfiantes images de versions non retouchées probablement scannées à partir de ces transparents XR Ektachrome. Et tout cela colle parfaitement avec le fait que la NASA a censuré pendant 40 ans de véritables ruines lunaires.

BR : Quelqu'un qui est une de nos précieuses sources insider et avec qui j'ai eu la chance de m'entretenir longuement il y a peu, et je sais que vous êtes très suspicieux vis à vis des témoignages d’insiders et je comprends pourquoi, mais permettez-moi de vous racontez l'histoire.

RH : Bien mais ce n'est pas accompagné par des preuves physiques. Vous voyez la différence avec Ken, c'est qu'il possède une véritable série physique de documents qui tiennent la route.

BR : Evidemment. Je comprends cela.

Mais c'est le genre de conversation que nous aurions pu avoir autour d'une table la nuit dernière et nous ne l'avons pas eue.

Maintenant, j'ai demandé à ce type (Henry Deacon), j'ai eu de nombreuses conversations avec lui au sujet de nombreuses choses et j'ai pensé, vous savez, je ne lui ai jamais posé la question de savoir si nous avions été sur la lune ou non. J'ai demandé « Hé, est-ce que nous sommes réellement allés sur la lune ? » Et il eu le plus long silence.

Je ne savais pas ce qu'il allait dire. C'était vraiment comme une très, très longue pause. Et finalement il répondit « Oui ». Et il rajouta « Mais ce n'était pas aussi simple que cela. Nous y sommes allés avec de l’aide, a-t-il dit. « Nous possédions une technologie avancée qui ne faisait pas partie du programme formel d'Apollo. Cela ne faisait pas partie de la science acceptée en ce temps-là et cela nous a permis de traverser les ceintures de Van Allen ».

Et en réalité cela faisait aussi partie du LEM qui a permis son décollage sans qu’aucun cratère ne se forme du fait du souffle etc.

Il a dit que les astronautes étaient conscients de ça et c'est la raison selon lui pour laquelle ils étaient réticents à avoir des entretiens. Il a dit que c'est une histoire très compliquée mais que la plupart des missions sont allées sur la lune.

Je n'ai pas insisté là-dessus. Mais il a dit, ouais, ces types qui ont dit que c'était fabriqué, une mise en scène sur de faux décors, ce n'est pas vrai, mais qu'une partie des choses a été en vérité fabriquée en préparation pour cela afin que toute l'histoire tienne debout aux yeux du public à cause de l'aspect complexe des relations publiques etc.

RH : Maintenant, connaissez-vous le profil de cette personne ?

BR : Oui je le connais.

RH : Savez vous quel rôle il jouait à la NASA ?

BR : Il n'était pas à la NASA. Il a travaillé dans de nombreux projets noirs, il était spécialiste en électronique. Il a travaillé à Livermore, il a travaillé pour de nombreux projets noirs. Il connaissait les gens.

KC : Il a travaillé pour la NOAA.

BR : Il posait des questions. Il n'était pas impliqué dans la NASA, il n'était pas impliqué dans le programme.

RH : Ok.

N'ayant pas discuté avec lui moi-même, je crois savoir de qui vous voulez parler, mon impression est qu'il serait une autre victime du « mensonge est différent à chaque niveau ». On lui a fourni le mensonge qui satisfait ses expériences relevant de la sécurité nationale correspondant à la couverture des technologies. Parce que nulle part dans son lexique n'existe la couverture de ruines anciennes.

BR : Oui. Il ne nous fournissait pas de l'information de première main. C'étaient des choses qu'il a appris, je pense, au cours de ses travaux.

RH : De quelqu'un d'autre.

BR : Exact. Je comprends tout à fait.

RH : Donc vous comprenez comment il peut être honnête et sincère tout en se trompant totalement.

BR : C'est le plus gros problème.

RH : Car s'il avait vu quelque chose qui collait pour lui – Oh, il a cette haute technologie – évidemment si nous avons raison, il existe ce développement secret d'une réelle technologie d'anti-gravité en parallèle au programme Apollo public et officiel. Il y a des gens, en fait Joseph Farrell est l’un de ces personnages dans ses livres [NdT.: Reich of the Black Sun] (ceci est avant qu'il ne s'associe avec moi) qui proposa cette possibilité.

En fait, tous les gens qui se penchent sur le décollage du LEM et ne comprennent pas ce qu'ils voient…. c'est parce qu’ils n’ont pas les bons éléments de physique.

Tout ce que nous avons vu, y compris – il y a des cratères. J'ai vu des plans rapprochés du cratère sous le LEM. Ce qui rend tout ça si intéressant c'est que quand on disperse la poussière – vous voyez, le modèle naturel dit que de la poussière est tombée sur la lune pendant des milliards d'années ce qui signifie qu'il devrait exister une belle couche légère de duvet de poussière. Donc, comme de la neige, si j'enclenche un moteur de fusée au-dessus de la neige après une tempête de neige, j'obtiens un bien beau cratère, pas vrai ?

Au lieu de cela, ce que les astronautes ont trouvé en tentant de planter des drapeaux, de forer et d'effectuer d'autres expérimentations, c’est qu'en dessous de cette fine surface, environ quelques centimètres, peut être quatre ou cinq centimètres, la surface lunaire est diablement solide.

C'est dur. Et cela se durcit avec la profondeur. Ceci bien sur est en résonance avec l'idée qu'il existe des ruines sous la surface. Il y a des bâtiments là en dessous ! Des murs, des barres, des poutres. Les trucs que vous voyez à la surface ne sont que la moitié de l'histoire.

C'est pour cela qu’actuellement, parmi les missions en orbite autour de la lune, ce soir pendant que nous sommes en train de filmer, il y a une mission japonaise avec une sonde de la taille d'un grand bus. Les Chinois ont une mission de la taille d'un camionnette VW. Ils embarquent des douzaines d'instruments, y compris incluant un puissant radar pour sonder les niveaux en profondeur et pour voir, je pense, les ruines sous la surface de la lune.

KC : Ok, ce sont des ruines sous la surface ou des bases sous-terraines.

RH : Une différence identique. Vous voulez dire, et bien une base implique...

KC : un base sous-terraine contemporaine.

RH : La surface de la lune couvre une zone de la taille du continent américain, 38 millions de kilomètres carré. Si nous avons une base là-haut elle est minuscule. La plupart des choses que l'on trouvera est ancien. Et il est facile de séparer les deux.

KC : Ok, avons nous une base là-bas, selon vous ?

RH : Je ne sais pas.

A mon avis... sachant qu'il existe probablement, selon toute vraisemblance, un programme spatial secret, j'imagine qu'il devrait y avoir une base. Probablement plus d'une. Vous ne pouvez pas tout faire à partir d'un seul lieu. Je veux dire, pouvons nous explorer cette planète avec une seule base ?

Si vous avez la technologie qui peut vous permettre d'aller là-haut en quelques heures sans effort avec l'anti-gravité. Et nous avons des vidéos des navettes spatiales montrant cette technologie que j'ai prêtées à Art Bell il y a des années. Et il a réellement gardé le secret ! J'ai dit, Art, assieds-toi dessus et ne dit rien à personne.

Je l'ai finalement donnée à Whitley Strieber par l'intermédiaire d'Art et cela a atterri à la NBC sous la forme d’une partie de programme de Whitley. Je crois fermement que ces trucs sont nos engins. Que nous ne regardons pas des E.T., des petits gris ou de petits aliènes. Nous voyons notre programme spatial secret.

Et il y a des raisons, qui encore une fois sont décortiquées avec grand soin dans le livre, qui expliquent pourquoi j’estime que ce sont nos engins. Et bien, si c'est vrai cela serait idiot d'imaginer que nous n'avons pas de base ou des bases sur la lune, ne serait-ce que parce que nous avons besoin d'un lieu fonctionnel pour analyser tous les trucs et rapporter ceux qui nous intéressent.

KC : Ok nous avons entendu parler des cargaisons d'Aurora qui vont et viennent et je suppose que les gens, je ne sais pas...

RH : Et bien, Aurora est un nom de code. Cela peu signifier n'importe quoi.

Nous savons qu'il y avait dans les années 1980 des séries de bangs supersoniques au dessus de Los Angeles que l'on disait venir depuis le Pacifique et atterrir ensuite, probablement à la base d'Edwards.

Vous savez, le complexe de recherche super-secret là-bas.

On a entendu dire que c'était Aurora. C'est tout ce que nous savons. Rappelez-vous c'est un mystère, enveloppé dans une énigme drapée d'un voile constant de mensonges. Ainsi pour en arriver à la vérité, a moins que vous n'ayez des images, avec des traces écrites, avec un pédigrée [NDT: pedigree dans le texte], vous ne pouvez pas y croire.

Et même avec tout ça, vous devez faire une analyse convenable pour comprendre ce que vous voyez. Je veux dire, il y a des personnes qui regardent ça et qui disent « Hoagland, je n'ai pas la moindre idée de ce que j'observe ». Car ils ne savent pas comment penser en termes de simple physique optique. Ils n'ont jamais conduit en direction du soleil couchant en cours d'après midi avec le soleil brillant sur leur pare-brise sale, pour réaliser qu'ils voient des pare-brises sales.

Ok, une prédiction clé – rappelez-vous la Science n'est rien si elle ne prédit rien – une prédiction clé du modèle de l'ancien dôme lunaire est que si gens étaient là, s'ils ont vécu là, ils ont construit de façon extensive des choses incroyables. Apollo a été envoyé pour savoir ce qu'ils pouvaient rapporter avec la technologie primitive des années 1950 et 1960. Au passage, nous faisons beaucoup mieux maintenant mais secrètement. Et l'une des prédictions clé du modèle est que si l'on a du verre, si l'on a des dômes de verre, des ruines de verre alors les gens qui vivent dans des maisons de verre voient des prismes, des motifs de réfraction ou spectre de couleurs.

Ils voient de superbes matrices de couleurs. Et si vous viviez dans une maison de verre et que vous regardiez les reflets et autres phénomènes, vous devriez voir des prismes encore et encore.

Sur ces photos, le modèle dit que vous devriez être capable de trouver des prismes.

Donc j'ai commencé à chercher. Et ceci c’est une photo provenant d'Apollo 17. On peut juste voir une trace. C'est l'une des images nouvellement numérisées et venant d'une fuite. Quelqu'un a mis 16 Mo de fichiers pour que n'importe qui puisse les télécharger à partir du web et ensuite utiliser Photoshop et bingo ! Vous allez confirmer exactement ce qui est là si vous augmentez le contraste et la luminosité.

Juste en haut, au-dessus des montagnes qui, au passage, ne sont pas des montagnes, se sont de vieux reliefs [NdT.: ecologies dans le texte] érodés – vous trouvez des prismes. Vous trouvez une splendide pointe colorée de verre donnant un spectre de réfraction de la lumière.

Maintenant dans le modèle que nous avons évoqué tout à l'heure, que tout était construit dans studio ? Hum-hum. Parce que les studios sont faits d'acier et d'aluminium… de matériaux de construction. Nous n'utilisons pas le verre dans ce cas parce que le verre est fragile. Le verre ce casse. Le verre n'est pas équivalent à l'acier sur Terre. C'est seulement sur la lune que le verre est 20 fois plus solide que l'acier.

Donc si j'avais à parier mon pantalon que nous avons raison avec un seul élément des données, cela serait ces prismes. Car en regardant ces photographies, en regardant la manière dont l'émulsion couleur de l'Ektachrome, le Super Ektachrome développé par mon ami Charlie Wykoff avec qui j'ai travaillé, je sais que ces trois couches – jaune, magenta et cyan – quand elles sont converties en un transparent Ektachrome en couleur, furent à l'évidence capables d'enregistrer des données.

En voilà un autre. Celui-ci a un spectre montant et un spectre descendant. Cela s'appelle de la bi-réfraction. C'est une réfraction double. Pendant que vous regardez, voici une comparaison : le premier que je vous ai montré et ici le second. Remarquez que l'angle est différent. C'est parce que cela a été pris suivant un angle différent par rapport au soleil.
   
Ainsi la physique de la réfraction de la formation des prismes...Voici l'une de mes favorites. C'est la photo pour les relations publiques. Cernan arbore les insignes du commandant avec le drapeau mais si vous regardez en haut dans l'obscurité sur le dôme qui est au-dessus de Taurus-Littrow et que vous l'agrandissez, vous pouvez alors admirer un prisme ! Un double prisme et vous pouvez en fait voir qu'il est aligné avec les fibres à l'intérieur du verre.

Voici un autre là, et un autre en haut là. Ce sont des preuves écrasantes, des preuves de physiciens en optique, que ce que nous voyons est en fait réel.

Voici sans doute ma photo favorite. Ici c'est Harrison Schmidt sur la lune. Le paysage lunaire, la vallée de Taurus-Littrow, un paysage gris et tout ce qu'on nous a raconté. Voici un graphe de couleurs. Voici notre étalon. Rouge, vert, bleu. Ca c'est notre dégradé de gris. Ca s'appelle un oman. On met ça dans les photographies pour calibrer les couleurs.

Et bien les couleurs sont étrangement insaturées. C'est comme si lors de leur sortie, la NASA avait abaissé les couleurs.

Vous voulez savoir pourquoi ? C'est parce que quand vous remettez les couleurs comme elles devraient être, bingo ! Vous avez un levé de soleil sur la lune. On a un levé de soleil en plusieurs niveaux à la manière de ce que vous pouvez filmer ici en regardant à l'extérieur. Si vous regardez à l'extérieur, vous verrez les mêmes niveaux de lumière et de couleurs sous l'atmosphère de la Terre. Sauf que nous savons tous, et nous pouvons le prouver, qu'il n'y a pas d'atmosphère sur la lune. Regardez simplement une étoile quand elle passe derrière la lune certaines nuits. Elle ne scintille pas. Elle disparait comme ça. Donc John Lear, cher John, tu as tord.

Il n'y a pas d'atmosphère sur la lune mais il y a ces immenses réseaux de verre et quand on regarde de la bonne manière ces photos – rappelez vous que ce sont des photos officielles – non seulement on voit le prisme d'un levé de soleil, mais juste ici, il y a cet incroyable et très joli prisme fait de verre réfractant la lumière du soleil vers l'appareil photo. Et remarquez l'angle. Il est presque horizontal car lorsque Cernan a pris cette photo le soleil était derrière lui. Il faisait face dans la direction presque opposée au soleil et la géométrie des dômes a rendu le spectre plat. C'est selon moi une preuve écrasante de ces anciens dômes lunaires.

BR : Et nous avons appris que la NASA est très contente d'ajuster la couleur de ses images venant de Mars.

RH : Oh, instantanément.

KC : Magnifique.

RH : C'est tout pour moi.




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