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ÉDECINE & SCIENCES ALTERNATIVES







Le docteur Mark Sircus : survivre au cancer


Ces pages du Forum de Project Avalon sont, sauf indication contraire, traduites par The Avalon Translation Project.


Message N°1     30 décembre 2013                                                           (Pour l'original, voir ici..)

UK
Fondateur d'Avalon
Bill Ryan's Avatar  



Default Le docteur Mark Sircus : survivre au cancer 

Chers tous,

Nous sommes enchantés et honorés de compter parmi nous sur le Forum le docteur Mark Sircus (nom d'utilisateur : marksircus). Pour tous ceux qui ne connaîtraient pas son œuvre, voici son site :

http://drsircus.com

Et ici se trouve son profil personnel :

http://drsircus.com/about-dr-sircus-treatment-method

Cette nouvelle discussion n'est pas la mienne, mais la sienne... Nous lui avons ouvert cet espace, tout comme à Wade Frazier, pour qu'il puisse présenter ses travaux au bénéfice de tous.

Je souhaite chaleureusement la bienvenue à Mark en mon nom, et en celui de tous ceux qui lui sont reconnaissants, à tous égards, de son implication dans l'amélioration de la santé et du bien-être de notre planète.



Message N°8     31 décembre 2013                                                           (Pour l'original, voir ici.).)
Brazil
Membre d'Avalon 

Default Le docteur Mark Sircus : survivre au cancer  
 
La chimiothérapie est-elle légitime ?

Une révolution est en train de se produire dans le traitement du cancer, et elle pourrait signaler la fin de la chimiothérapie telle que nous la connaissons aujourd'hui : un traitement brutal et écrasant, plus nuisible qu'utile. La cancérologie orthodoxe se tourne vers de nouveaux produits pharmaceutiques, non seulement moins toxiques, mais également mieux ciblés. Le Dr. Martin Tallman, chef du service de leucémie au Memorial Sloan-Kettering Cancer Center : "Je pense que nous nous éloignons sans aucun doute de plus en plus de la chimiothérapie, pour nous rapprocher de la thérapie moléculaire ciblée."
Ces dernières années, les oncologues se sont trouvés confrontés à de nouvelles réalités, à mesure que les vérités sur le cancer étaient mises à mal et redéfinies. Dans ce domaine, l'idée qui fait son chemin est qu'il n'est peut-être pas très utile de traiter les cancers en fonction de leur origine -- le sein, la prostate ou le poumon -- mais de le faire plutôt en fonction des processus qui les entretiennent.

Cependant les nouvelles approches plus fines provenant du courant majoritaire demeurent entachées d'importantes faiblesses au niveau pharmaceutique. "Les cellules cancéreuses, comme les bactéries et les virus, ont suffisamment d'astuce pour contourner les obstacles à leur survie, et mutent fréquemment afin de vaincre les effets des médicaments ciblés. Les tumeurs isolées peuvent être constituées de différents types de cellules aberrantes, et se révéler capables d'accomplir des types variés de mutation suivant leur sensibilité à différentes drogues. Et ce groupe de cellules peut constamment évoluer au cours de la bataille livrée par le patient contre la maladie."

La chimiothérapie et l'irradiation, tels qu'elles sont actuellement pratiquées, s'attaquent à la fois aux cellules cancéreuses et aux cellules saines, et c'est pourquoi la chimiothérapie et l'irradiation sont si pénibles à supporter. L'objectif de la chimiothérapie est d'utiliser des produits chimiques suffisamment puissants pour tuer les cellules cancéreuses. C'est une bonne idée, tant que les agents de la chimio ne font pas de mal à l'hôte, c'est-à-dire à nous. Mais tel n'est pas le cas.
Les biochimistes ont depuis longtemps découvert que les cellules cancéreuses se développaient bien plus rapidement que les cellules ordinaires et donc, s'il est possible d'injecter un produit chimique qui ne tue que les cellules à développement rapide (un cytotoxique), les cellules cancéreuses et les tumeurs seront occises. Le problème, c'est que les cellules cancéreuses ne sont pas les seules dans le corps à se développer rapidement.

Tous les endroits où se déroule une régénération cellulaire sont touchés par la chimio, y compris les cheveux, la bouche, le système digestif, et nos si importants globules blancs. Comme dans le cas de la radiothérapie, la perte de globules blancs est ce qui, en chimiothérapie, inquiète le plus les médecins quand ils l'administrent. En gros, le système immunitaire est détérioré, mais on considère néanmoins le fait comme un dommage collatéral acceptable.

Les oncologues se trompent dans leur choix des rayons en radiothérapie et dans les produits chimiques sélectionnés pour la chimiothérapie. Ils choisissent le type de radiations nucléaires hautement mortel qui cause le cancer, contrairement au type d'irradiation, générateur intense de vie (les infrarouges proches et lointains, et les fréquences de Biorésonance), qui permet la guérison. Le fait qu'ils choisissent des produits chimiques qui détruisent la vie et la santé, en lieu et place de ceux qui apportent la force immunitaire et la guérison, sera le signe distinctif de la présente génération d'oncologues dans l'Histoire.
Pourquoi n'ont-ils pas choisi les remèdes et le type de radiation qui ciblent l'ennemi, le cancer, en épargnant nos cellules saines ? Pourquoi ne l'ont-ils pas fait, alors qu'il est tout à fait possible de renforcer le système immunitaire grâce au type adéquat de chimiothérapie et de radiation naturels, en choisissant les bons remèdes et le bon type de rayons ? Il existe un grand nombre de substances étudiées par les scientifiques qui réduisent les tumeurs, limitant par là même les risques de décès par cancer, la plupart de ces substances n'étant en fait pas toxiques, contrairement à la chimiothérapie dérivée du gaz moutarde, qui est la norme de la barbarie en cancérologie. La médecine présentée dans ce condensé propose des formes plus intelligentes de chimiothérapie et de radiothérapie.

Le New York Times écrit : "Quand il s'agit de juguler les tumeurs, la stratégie a toujours été sans grand détour. Retirer par tous les moyens l'excroissance gênante et anormale, de la façon la plus efficace possible. Et les traitements habituels utilisés aujourd'hui reflètent cette approche énergique -- la chirurgie procède à l'ablation physique des lésions malignes, les agents de la chimiothérapie les dissolvent de l'intérieur, et les rayons s'emploient à détruire les cellules qui se divisent de manière anormale."
Le New York Times, pas toujours réputé pour l'excellente qualité de ses informations médicales, croit que de telles méthodes fonctionnent, mais admet que "ces interventions peuvent se révéler tout aussi brutales sur le patient que sur la tumeur." L'oncologie dans son ensemble prête le flanc à la critique, non seulement à cause de la brutalité de ses traitements, mais aussi parce que des options nouvelles et meilleures commencent à se faire jour. L'argument principal, outre la cruelle erreur des approches actuelles, est que CELA NE MARCHE PAS.

Le Dr. Ulrich Abel, qui s'est penché sur des milliers d'études liées au cancer, a publié en 1990 un rapport choquant affirmant que la chimiothérapie n'apporte rien dans 80 % des cancers ; que 80 % de la chimiothérapie administrée est absolument sans valeur. Ulrich Abel était un épidémiologiste et biostatisticien allemand. Il a contacté dans les années 1980 plus de 350 centres médicaux du monde entier en leur demandant de lui fournir tout ce qu'ils avaient publié sur le cancer.
Ces informations ont-elles empêché quiconque d'administrer une chimiothérapie ? C'est une bonne question, dont nous connaissons la réponse. Les statistiques arrêtent peu de gens ! Les gens continuent à être terrifiés par le cancer, indépendamment de ce que peuvent révéler les données, parce qu'ils sont délibérément terrifiés par leur cancérologue qui leur suggère qu'ils vont mourir s'ils ne suivent pas ce traitement-là. Les médecins continuent à faire ce que les autorités médicales leur disent de faire (ou ce qu'elles les obligent à faire), ils continuent à faire ce qui est le plus rentable, et la vérité n'a ici vraiment aucune importance : elle est ce qu'ils disent qu'elle est. Ce que la recherche découvre est sans objet : si elle ne suit pas la ligne du parti, elle est rejetée et oubliée. 

Le rapport du Dr. Abel et le livre qui a suivi (Chemotherapy of Advanced Epithelial Cancer, Stuttgart: Hippokrates Verlag GmbH, 1990) décrivait la chimiothérapie comme un "terrain scientifique en friches", que ni le praticien, ni le patient ne voulait abandonner, même s'il n'existait aucune preuve de son efficacité. Tout le monde connaît une personne décédée du cancer, chimiothérapie et rayons, mais les oncologues s'évertuent à cacher le fait que les patients meurent de la chimio et des rayons avant même que de mourir du cancer.

Les recherches d'Abel l'ont conduit à une analyse lucide et sans préjugés de la littérature scientifique, d'où il a conclu que les traitements du cancer épithélial avancé étaient rarement couronnés de succès. Par "épithélial", le Dr. Abel fait référence aux formes les plus courantes d'adénocarcinome -- poumon, sein, prostate, côlon, etc. -- Ils contribuent à au moins 80 % des décès par cancer dans les pays industriels développés.
Voici une accusation surprenante de la part d'un membre de l'establishment cancérologique. Ses affirmations ont valu à Abel en Allemagne un long article, en grande partie favorable, dans le Spiegel, l'équivalent allemand de Time. Ici [aux États-Unis], le puissant lobby de la chimiothérapie a maintenu un silence discret. La chimiothérapie toxique est de plus en plus utilisée pour traiter les cas avancés de maladies de ce type. Plus d'un million de gens meurent chaque année dans le monde de ces formes de cancer, et maintenant la majorité d'entre eux "reçoivent une forme de thérapie cytotoxique systémique avant leur mort", écrit le Dr. Ralph Moss, avant de poursuivre : "Les opinions personnelles de nombreux oncologues semblent être en contraste flagrant avec la communication destinée au public. En réalité, les études citées par Abel ont montré que de nombreux oncologues ne suivraient pas une chimiothérapie s'ils avaient le cancer."

Dans son livre Questioning Chemotherapy (la mise en question de la chimiothérapie), le Dr. Moss dit que dans un grand nombre de sondages, les chimiothérapeutes ont répondu qu'ils ne recommanderaient pas la chimiothérapie à leur famille, ni ne l'utiliseraient eux-mêmes. Et c'est logique, car la chimiothérapie d'origine pharmaceutique est une erreur -- une grosse erreur qui cause de la souffrance et des morts prématurées.
Le Dr. Abel déclare qu'"il n'existe aucune preuve, dans la grande majorité des cancers, que le traitement effectué avec ces médicaments ait une quelconque influence positive sur la survie ou la qualité de vie des patients en état avancé de la maladie. La croyance presque dogmatique en l'efficacité de la chimiothérapie est habituellement fondée sur de fausses conclusions, tirées de données inappropriées." Le cancer du poumon à petites cellules "est le seul carcinome pour lequel il existe une preuve directe et valable d'une amélioration de l'espérance de vie grâce à la chimiothérapie", écrit le Dr. Abel, mais que cette amélioration est seulement de l'ordre de trois mois !
http://www.ted.com/talks/ben_goldacr...prescribe.html
La réduction de la masse de la tumeur ne prolonge pas l'espérance de vie, parce que souvent le cancer revient, plus agressif encore qu'avant. Tuer les masses cancéreuses encourage le développement de lignes de cellules résistantes et beaucoup plus agressives, qui conduisent à une mort d'autant plus prématurée. Le Dr. Abel signale qu'"il n'y a pas eu, jusqu'à présent, d'études randomisées apportant la preuve évidente d'une amélioration de la qualité de vie par la chimiothérapie. La cancérologie s'est montrée incapable de fournir un fondement scientifique solide à la thérapie cytotoxique dans sa forme actuelle."

Le Dr. Jonathan S. Berek, gynéco-oncologue au Jonsson Comprehensive Cancer Center de l'UCLA (l'Université de Californie, Los Angeles - Ndt), nous informe que, lorsqu'une femme est diagnostiquée d'un cancer des ovaires, elle subit habituellement une opération chirurgicale entraînant l'ablation des tumeurs. Les ovaires, les trompes de Fallope, l'utérus et une partie des intestins, sont souvent également retirés. La chimiothérapie suit la chirurgie, et environ 90 % des patientes bénéficient alors d'une rémission, qui se déroule "sous surveillance périodique".

"Le problème, c'est qu'au cours des 5 à 10 années suivantes, 90 % des femmes vont faire une rechute et mourir, dit Berek. Quand le cancer réapparaît dans les tissus environnants, il est devenu plus virulent et plus résistant à la chimiothérapie."






Message N°9      31 décembre 2013                                                           (Pour l'original, voir ici..)

Belgium
Membre d'Avalon Jean-Luc's Avatar
Default Le docteur Mark Sircus : survivre au cancer 

Cet article de 2004, publié par trois oncologues australiens et soumis à un examen collégial, confirme la contribution statistiquement insignifiante qu'apporte la chimiothérapie à la survie au cancer, en Australie et aux USA, pour 22 types de malignités.


Quote La contribution de la chimiothérapie cytotoxique dans la survie de 5 ans chez l'adulte atteint de malignité.
Clin Oncol (R Coll Radiol). 2004 Dec;16(8):549-60.
Morgan G, Ward R, Barton M.
Department of Radiation Oncology, Northern Sydney Cancer Centre, Royal North Shore Hospital, Sydney, NSW, Australia. gmorgan1@bigpond.net.au

OBJECTIFS : Le débat sur le financement et la validité des médicaments cytotoxiques soulève le problème de la contribution de la chimiothérapie cytotoxique curative ou adjuvante dans la survie des patients cancéreux adultes.


MATERIEL ET METHODES : Nous avons entrepris des recherches à partir de la littérature concernant les essais
cliniques randomisés faisant état d'une amélioration de 5 ans de la survie uniquement attribuable à la chimiothérapie cytotoxique, dans les cas de malignités chez l'adulte. Le nombre total de patients cancéreux adultes récemment diagnostiqués, liés à 22 malignités majeures chez l'adulte, a été établi en utilisant, en Australie, les données du registre des cancers et, aux USA, les données de 1998 émanant du programme de Surveillance, Epidemiology and End Results (de l'Institut National du Cancer - Ndt). Pour chaque malignité, le nombre absolu de ceux qui en ont bénéficié a été calculé à partir (a) du nombre total de personnes atteints de cette malignité ; (b) de la proportion, ou du/des sous-groupe(s) atteint(s) de cette malignité présentant une amélioration ; et (c) du pourcentage d'augmentation de la survie de 5 ans due uniquement à la chimiothérapie cytotoxique. La contribution globale a été le total des nombres absolus révélant une amélioration de 5 ans de la survie exprimée en pourcentage du nombre total pour les 22 malignités.

RESULTATS : La contribution globale de la chimiothérapie cytotoxique curative et adjuvante, dans le cas d'une survie de 5 ans chez l'adulte, a été estimée à 2,3 % en Australie, et à 2,1% aux USA.

CONCLUSION : Puisque le taux relatif de survie à 5 ans pour le cancer en Australie dépasse maintenant les 60 %, il est clair que la chimiothérapie cytotoxique ne contribue que  partiellement à la survie au cancer. Il est urgent, afin de justifier le financement constant et la validité des médicaments utilisés en chimiothérapie cytotoxique, de procéder à une évaluation rigoureuse de son rapport qualité-coût et de son impact sur la qualité de vie [du patient].

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15630849







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Bill Ryan

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