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Le docteur Mark
Sircus : survivre au cancer
La chimiothérapie est-elle légitime ?
Une révolution est en train de se produire dans
le traitement du cancer, et elle pourrait
signaler la fin de la chimiothérapie telle que
nous la connaissons aujourd'hui : un traitement
brutal et écrasant, plus nuisible qu'utile. La
cancérologie orthodoxe se tourne vers de
nouveaux produits pharmaceutiques, non seulement
moins toxiques, mais également mieux ciblés. Le
Dr. Martin Tallman, chef du service de leucémie
au Memorial Sloan-Kettering Cancer Center
: "Je pense que nous nous éloignons sans
aucun doute de plus en plus de la
chimiothérapie, pour nous rapprocher de la
thérapie moléculaire ciblée."
Ces dernières années, les oncologues se sont
trouvés confrontés à de nouvelles réalités, à
mesure que les vérités sur le cancer étaient
mises à mal et redéfinies. Dans ce domaine,
l'idée qui fait son chemin est qu'il n'est
peut-être pas très utile de traiter les cancers
en fonction de leur origine -- le sein, la
prostate ou le poumon -- mais de le faire plutôt
en fonction des processus qui les entretiennent.
Cependant les nouvelles approches plus fines
provenant du courant majoritaire demeurent
entachées d'importantes faiblesses au niveau
pharmaceutique. "Les cellules cancéreuses,
comme les bactéries et les virus, ont
suffisamment d'astuce pour contourner les
obstacles à leur survie, et mutent fréquemment
afin de vaincre les effets des médicaments
ciblés. Les tumeurs isolées peuvent être
constituées de différents types de cellules
aberrantes, et se révéler capables d'accomplir
des types variés de mutation suivant leur
sensibilité à différentes drogues. Et ce
groupe de cellules peut constamment évoluer au
cours de la bataille livrée par le patient
contre la maladie."
La chimiothérapie et l'irradiation, tels
qu'elles sont actuellement pratiquées,
s'attaquent à la fois aux cellules cancéreuses
et aux cellules saines, et c'est pourquoi la
chimiothérapie et l'irradiation sont si pénibles
à supporter. L'objectif de la chimiothérapie est
d'utiliser des produits chimiques suffisamment
puissants pour tuer les cellules cancéreuses.
C'est une bonne idée, tant que les agents de la
chimio ne font pas de mal à l'hôte, c'est-à-dire
à nous. Mais tel n'est pas le cas.
Les biochimistes ont depuis longtemps découvert
que les cellules cancéreuses se développaient
bien plus rapidement que les cellules ordinaires
et donc, s'il est possible d'injecter un produit
chimique qui ne tue que les cellules à
développement rapide (un cytotoxique), les
cellules cancéreuses et les tumeurs seront
occises. Le problème, c'est que les cellules
cancéreuses ne sont pas les seules dans le corps
à se développer rapidement.
Tous les endroits où se déroule une régénération
cellulaire sont touchés par la chimio, y compris
les cheveux, la bouche, le système digestif, et
nos si importants globules blancs. Comme dans le
cas de la radiothérapie, la perte de globules
blancs est ce qui, en chimiothérapie, inquiète
le plus les médecins quand ils l'administrent.
En gros, le système immunitaire est détérioré,
mais on considère néanmoins le fait comme un
dommage collatéral acceptable.
Les oncologues se trompent dans leur choix des
rayons en radiothérapie et dans les produits
chimiques sélectionnés pour la chimiothérapie.
Ils choisissent le type de radiations nucléaires
hautement mortel qui cause le cancer,
contrairement au type d'irradiation, générateur
intense de vie (les infrarouges proches et
lointains, et les fréquences de Biorésonance),
qui permet la guérison. Le fait qu'ils
choisissent des produits chimiques qui
détruisent la vie et la santé, en lieu et place
de ceux qui apportent la force immunitaire et la
guérison, sera le signe distinctif de la
présente génération d'oncologues dans
l'Histoire.
Pourquoi n'ont-ils pas choisi les remèdes et le
type de radiation qui ciblent l'ennemi, le
cancer, en épargnant nos cellules saines ?
Pourquoi ne l'ont-ils pas fait, alors qu'il est
tout à fait possible de renforcer le système
immunitaire grâce au type adéquat de
chimiothérapie et de radiation naturels, en
choisissant les bons remèdes et le bon type de
rayons ? Il existe un grand nombre de substances
étudiées par les scientifiques qui réduisent les
tumeurs, limitant par là même les risques de
décès par cancer, la plupart de ces substances
n'étant en fait pas toxiques, contrairement à la
chimiothérapie dérivée du gaz moutarde, qui est
la norme de la barbarie en cancérologie. La
médecine présentée dans ce condensé propose des
formes plus intelligentes de chimiothérapie et
de radiothérapie.
Le New York Times écrit : "Quand il
s'agit de juguler les tumeurs, la stratégie a
toujours été sans grand détour. Retirer par
tous les moyens l'excroissance gênante et
anormale, de la façon la plus efficace
possible. Et les traitements habituels
utilisés aujourd'hui reflètent cette approche
énergique -- la chirurgie procède à l'ablation
physique des lésions malignes, les agents de
la chimiothérapie les dissolvent de
l'intérieur, et les rayons s'emploient à
détruire les cellules qui se divisent de
manière anormale."
Le New York Times, pas toujours réputé pour
l'excellente qualité de ses informations
médicales, croit que de telles méthodes
fonctionnent, mais admet que "ces
interventions peuvent se révéler tout aussi brutales
sur le patient que sur la tumeur."
L'oncologie dans son ensemble prête le flanc à
la critique, non seulement à cause de la
brutalité de ses traitements, mais aussi parce
que des options nouvelles et meilleures
commencent à se faire jour. L'argument
principal, outre la cruelle erreur des approches
actuelles, est que CELA NE MARCHE PAS.
Le Dr. Ulrich Abel, qui s'est penché sur des
milliers d'études liées au cancer, a publié en
1990 un rapport choquant affirmant que la
chimiothérapie n'apporte rien dans 80 % des
cancers ; que 80 % de la chimiothérapie
administrée est absolument sans valeur. Ulrich
Abel était un épidémiologiste et biostatisticien
allemand. Il a contacté dans les années 1980
plus de 350 centres médicaux du monde entier en
leur demandant de lui fournir tout ce qu'ils
avaient publié sur le cancer.
Ces informations ont-elles empêché quiconque
d'administrer une chimiothérapie ? C'est une
bonne question, dont nous connaissons la
réponse. Les statistiques arrêtent peu de gens !
Les gens continuent à être terrifiés par le
cancer, indépendamment de ce que peuvent révéler
les données, parce qu'ils sont délibérément
terrifiés par leur cancérologue qui leur suggère
qu'ils vont mourir s'ils ne suivent pas ce
traitement-là. Les médecins continuent à faire
ce que les autorités médicales leur disent de
faire (ou ce qu'elles les obligent à faire), ils
continuent à faire ce qui est le plus rentable,
et la vérité n'a ici vraiment aucune importance
: elle est ce qu'ils disent qu'elle est. Ce que
la recherche découvre est sans objet : si elle
ne suit pas la ligne du parti, elle est rejetée
et oubliée.
Le rapport du Dr. Abel et le livre qui a suivi (Chemotherapy
of Advanced Epithelial Cancer, Stuttgart:
Hippokrates Verlag GmbH, 1990) décrivait
la chimiothérapie comme un "terrain scientifique
en friches", que ni le praticien, ni le patient
ne voulait abandonner, même s'il n'existait
aucune preuve de son efficacité. Tout le monde
connaît une personne décédée du cancer,
chimiothérapie et rayons, mais les oncologues
s'évertuent à cacher le fait que les patients
meurent de la chimio et des rayons avant même
que de mourir du cancer.
Les recherches d'Abel l'ont conduit à une
analyse lucide et sans préjugés de la
littérature scientifique, d'où il a conclu que
les traitements du cancer épithélial avancé
étaient rarement couronnés de succès. Par
"épithélial", le Dr. Abel fait référence aux
formes les plus courantes d'adénocarcinome --
poumon, sein, prostate, côlon, etc. -- Ils
contribuent à au moins 80 % des décès par cancer
dans les pays industriels développés.
Voici une accusation surprenante de la part d'un
membre de l'establishment cancérologique.
Ses affirmations ont valu à Abel en Allemagne un
long article, en grande partie favorable, dans
le Spiegel, l'équivalent allemand de Time.
Ici [aux États-Unis], le puissant lobby de la
chimiothérapie a maintenu un silence discret. La
chimiothérapie toxique est de plus en plus
utilisée pour traiter les cas avancés de
maladies de ce type. Plus d'un million de gens
meurent chaque année dans le monde de ces formes
de cancer, et maintenant la majorité d'entre eux
"reçoivent une forme de thérapie cytotoxique
systémique avant leur mort", écrit le Dr.
Ralph Moss, avant de poursuivre : "Les
opinions personnelles de nombreux oncologues
semblent être en contraste flagrant avec la
communication destinée au public. En réalité,
les études citées par Abel ont montré que de
nombreux oncologues ne suivraient pas une
chimiothérapie s'ils avaient le cancer."
Dans son livre Questioning Chemotherapy
(la mise en question de la chimiothérapie), le
Dr. Moss dit que dans un grand nombre de
sondages, les chimiothérapeutes ont répondu
qu'ils ne recommanderaient pas la chimiothérapie
à leur famille, ni ne l'utiliseraient eux-mêmes.
Et c'est logique, car la chimiothérapie
d'origine pharmaceutique est une erreur -- une
grosse erreur qui cause de la souffrance et des
morts prématurées.
Le Dr. Abel déclare qu'"il n'existe aucune
preuve, dans la grande majorité des cancers,
que le traitement effectué avec ces
médicaments ait une quelconque influence
positive sur la survie ou la qualité de vie
des patients en état avancé de la maladie. La
croyance presque dogmatique en l'efficacité de
la chimiothérapie est habituellement fondée
sur de fausses conclusions, tirées de données
inappropriées." Le cancer du poumon à
petites cellules "est le seul carcinome pour
lequel il existe une preuve directe et valable
d'une amélioration de l'espérance de vie grâce
à la chimiothérapie", écrit le Dr. Abel,
mais que cette amélioration est seulement de
l'ordre de trois mois !
http://www.ted.com/talks/ben_goldacr...prescribe.html
La réduction de la masse de la tumeur ne
prolonge pas l'espérance de vie, parce que
souvent le cancer revient, plus agressif encore
qu'avant. Tuer les masses cancéreuses encourage
le développement de lignes de cellules
résistantes et beaucoup plus agressives, qui
conduisent à une mort d'autant plus prématurée.
Le Dr. Abel signale qu'"il n'y a pas eu,
jusqu'à présent, d'études randomisées
apportant la preuve évidente d'une
amélioration de la qualité de vie par la
chimiothérapie. La cancérologie s'est montrée
incapable de fournir un fondement scientifique
solide à la thérapie cytotoxique dans sa forme
actuelle."
Le Dr. Jonathan S. Berek, gynéco-oncologue au Jonsson
Comprehensive Cancer Center de l'UCLA
(l'Université de Californie, Los Angeles - Ndt),
nous informe que, lorsqu'une femme est
diagnostiquée d'un cancer des ovaires, elle
subit habituellement une opération chirurgicale
entraînant l'ablation des tumeurs. Les ovaires,
les trompes de Fallope, l'utérus et une partie
des intestins, sont souvent également retirés.
La chimiothérapie suit la chirurgie, et environ
90 % des patientes bénéficient alors d'une
rémission, qui se déroule "sous surveillance
périodique".
"Le problème, c'est qu'au cours des 5 à 10
années suivantes, 90 % des femmes vont faire
une rechute et mourir, dit Berek. Quand
le cancer réapparaît dans les tissus
environnants, il est devenu plus virulent et
plus résistant à la chimiothérapie."
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Le docteur Mark
Sircus : survivre au cancer
Cet article de 2004, publié par trois
oncologues australiens et soumis à un examen
collégial, confirme la contribution
statistiquement insignifiante qu'apporte la
chimiothérapie à la survie au cancer, en
Australie et aux USA, pour 22 types de
malignités.
La contribution de
la chimiothérapie cytotoxique dans
la survie de 5 ans chez l'adulte
atteint de malignité.
Clin Oncol (R Coll Radiol).
2004 Dec;16(8):549-60.
Morgan G, Ward R, Barton M.
Department of Radiation
Oncology, Northern Sydney Cancer
Centre, Royal North Shore Hospital,
Sydney, NSW, Australia. gmorgan1@bigpond.net.au
OBJECTIFS : Le débat sur le
financement et la validité des
médicaments cytotoxiques soulève le
problème de la contribution de la
chimiothérapie cytotoxique curative
ou adjuvante dans la survie des
patients cancéreux adultes.
MATERIEL ET METHODES : Nous avons
entrepris des recherches à partir de
la littérature concernant les essais
cliniques randomisés faisant état
d'une amélioration de 5 ans de la
survie uniquement attribuable à la
chimiothérapie cytotoxique, dans les
cas de malignités chez l'adulte. Le
nombre total de patients cancéreux
adultes récemment diagnostiqués,
liés à 22 malignités majeures chez
l'adulte, a été établi en utilisant,
en Australie, les données du
registre des cancers et, aux USA,
les données de 1998 émanant du
programme de Surveillance,
Epidemiology and End Results (de
l'Institut National du Cancer -
Ndt). Pour chaque malignité, le
nombre absolu de ceux qui en ont
bénéficié a été calculé à partir (a)
du nombre total de personnes
atteints de cette malignité ; (b) de
la proportion, ou du/des
sous-groupe(s) atteint(s) de cette
malignité présentant une
amélioration ; et (c) du pourcentage
d'augmentation de la survie de 5 ans
due uniquement à la chimiothérapie
cytotoxique. La contribution globale
a été le total des nombres absolus
révélant une amélioration de 5 ans
de la survie exprimée en pourcentage
du nombre total pour les 22
malignités.
RESULTATS : La contribution
globale de la chimiothérapie
cytotoxique curative et adjuvante,
dans le cas d'une survie de 5 ans
chez l'adulte, a été estimée à 2,3 %
en Australie, et à 2,1% aux USA.
CONCLUSION : Puisque le taux
relatif de survie à 5 ans pour le
cancer en Australie dépasse
maintenant les 60 %, il est
clair que la chimiothérapie
cytotoxique ne contribue que
partiellement à la survie au cancer.
Il est urgent, afin de justifier le
financement constant et la validité
des médicaments utilisés en
chimiothérapie cytotoxique, de
procéder à une évaluation rigoureuse
de son rapport qualité-coût et de
son impact sur la qualité de vie [du
patient].
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15630849
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