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Rafael Palacios interroge

Henry Deacon

Barcelone (Espagne), juillet 2009

Traduction d'une publication originale de Project Camelot
Traduction et sous-titrage : The Avalon Translation Project
PDF de l'interview (5 pages)

 


Début de l'interview

RAFAEL PALACIOS (RP) : Eh bien, je suis ici dans la partie réservée à la presse au Congrès d’Exopolitique, avec une personne…

HENRY DEACON / ARTHUR NEUMANN (HD/AN) : Arthur Neumann.

RP : …l’homme que vous êtes en train de regarder maintenant est devenu célèbre à la suite d’une interview par "Projet Camelot", dans laquelle il n'a pas montré son visage. Maintenant, c'est la première fois [qu’il le montre]. Quel est votre nom, s’il vous plaît?

HD/AN : Je m’appelle Arthur Neumann. C’est un nom de famille allemand : Neumann.

RP : Vous avez travaillé pendant 30 ans dans le domaine de la recherche. Dans des secteurs très sensibles ?

HD/AN : Recherche, fabrication, logistique… pratiquement tous les secteurs du gouvernement, ou en contrat avec le gouvernement, mais essentiellement pour le gouvernement.

J'ai possédé une habilitation « Top Secret "Q" » aux laboratoires Lawrence Livermore. J'ai possédé des habilitations au Secret dans l’aérospatiale ou équivalent. J’ai possédé des habilitations « Top Secret », comprenant certaines extensions, jusqu’aux alentours de 2004, en travaillant pour d’autres agences.

RP : Pouvez vous dire quelle est votre spécialité ?

HD/AN : Ma spécialité englobe… un large éventail de technologies. Des technologies. Mais aussi de la coordination, de la gestion de projets, de la gestion de programmes. Non seulement pour le ministère de la Défense, en travaillant en liaison avec toutes les forces armées, mais également avec les armées d'autres pays.

RP : Par exemple, savez-vous quelque chose sur les armes secrètes, soniques et électromagnétiques ?

HD/AN : Oui, sur les armes électroniques à pulsion en général. Je connais leur existence et les recherches faites à ce sujet. Je suis au courant de ça, de l’intérieur, en ce qui concerne la recherche en armement, depuis le milieu des années 1970.

RP : Ah. Pouvez-vous nous dire quel genre d'armes ils sont en train de développer et à quoi elles  servent ?

HD/AN : Il y a tellement d'armes. Il y a une bombe à micro-ondes ; la bombe à neutrons, bien sûr… quelle qu’elle soit ; des bombes à faisceaux de particules, du type à accélération ; des armes à faisceaux de particules ; et de nombreuses études du même genre ; et puis aussi les armes soniques, qui utilisent des sons très concentrés et très dirigés.

RP : Par conséquent, vous pouvez nous confirmer que ce gouvernement a des armes pour harceler les gens, des « personnes particulières », des « personnes critiques  » [NdE : c’est-à-dire pour harceler certaines personnes qui protestent contre le gouvernement ou qui le critiquent] afin de les déprimer et même de les rendre malades ?

HD/AN : Oh oui, assurément, sans aucun doute. Il existe de nombreuses technologies différentes, utilisées en permanence, même dans les villes, et tout autant sur des cibles précises.

RP : Ces hélicoptères noirs dont de nombreux chercheurs nous ont parlé, et qui survolent les maisons, pouvez-vous confirmer qu'ils pourraient être utilisés dans ce domaine ?

HD/AN : Je ne sais pas qui…, je ne suis plus là-dedans depuis plusieurs années. Les hélicoptères noirs…

RP : Ce dont je parle… Il y a des gens, des chercheurs… Oui.

HD/AN : Certains d'entre eux sont des hélicoptères noirs et d'autres ont l'air d'hélicoptères, mais n'en sont pas.

RP : Alors, qu’est-ce que c’est ?

HD : Ce sont juste... je ne connais pas les détails sur ces hélicoptères, je sais uniquement que certains d'entre eux sont seulement… Ah… comment est-ce qu’on appelle ça ? Ils sont revêtus d’une sorte de carapace pour les faire ressembler à des hélicoptères. Mais ça remonte à des années, je ne sais donc pas ce qui se passe maintenant.

RP : Mais en fait, qu'est-ce que c'est ?

HD/AN : De la surveillance.

RP : De la surveillance. OK.

HD/AN : De la surveillance et éventuellement certains types d'enlèvement. Mais pas par des extraterrestres [sourires].

RP : Ah-ha. Ainsi vous, le scientifique qui travaillez, ou avez travaillé, dans ces programmes secrets, avez-vous conscience des gens avec lesquels vous avez travaillé, avez-vous conscience que vous avez travaillé pour les méchants ? Ou bien faites-vous juste votre travail en oubliant ce qu’ils vont en
faire ?

HD/AN : Il y a des gens bien qui travaillent là-bas et il y a aussi des sales types. Et il y a ceux qui ont une famille dont ils veulent prendre soin. Ainsi ils sont pris au piège dans leur emploi, parce que c’est ça ou rien.

Il y a toujours un combat intérieur - chez certaine personnes – pour choisir entre démissionner, et se retrouver à la rue, ou bien continuer, et alors… On en discute beaucoup.

Dès le tout début – dès le début, quand j’étais enfant – j’ai eu l’intention d’entrer chez les « initiés », puis d’apprendre et d’aller ailleurs. De retourner chez les « initiés », d’apprendre et d’aller occuper un autre poste, dans des endroits différents.

Je ne suis donc jamais resté au même endroit. J’ai travaillé au même poste peut-être trois ou quatre ans, au grand maximum ; quatre ans. Puis j’ai changé d’emploi.

Mais je ne faisais pas acte de candidature. Dans la plupart des cas, je n’ai fait ni demande, ni recherche d’emploi. On me téléphonait seulement au hasard et on me trouvait.

RP : Pouvez-vous nous expliquer comment ça fonctionne, ce mécanisme de classification ? Je veux dire, vous travaillez à Los Alamos ou Livermore. Pouvez-vous expliquer pour les personnes qui n’en savent rien, la manière dont ces laboratoires fonctionnent, la façon dont ils classent secrètes les informations spéciales ?

HD/AN : Comment ils décident de les classer ?

RP : Non, je veux dire vous êtes dans la cuisine, dans la salle de séjour en compagnie de tous les scientifiques. Savez-vous ce que l'autre sait ou savez-vous seulement deux ou trois choses ? Vous voyez ce que je veux dire ?

HD/AN : Oui. Pour de nombreux emplois, il y a toujours des compartiments, savez-vous ?

RP : C’est ça.

HD/AN : Parce que c’est ce sur quoi on se concentre. Donc on n’a aucun besoin de savoir ce qui se passe ailleurs. On se concentre sur un certain domaine.

Mais avec le temps, mes compartiments se sont élargis, en ont englobé d’autres, jusqu'à ma dernière situation, où il n'y avait plus aucun compartiment du tout, pour autant que je sache, en raison de la nature du travail.

J’avais… C’était comme dans une équipe, où j’avais ce que nous appelions des « clients », parmi lesquels la NASA et autres agences à trois ou quatre initiales, de différents pays, plus d’autres clients qui n’ont pas de nom du tout.

RP : Mmh-mmh.

HD/AN : Un certain projet, en particulier… Aux objectifs multiples, mais avant tout celui d’essayer de trouver un moyen de faire communiquer ces groupes entre eux tout en respectant leur confidentialité, parce qu’ils ne désirent pas partager toutes leurs informations au su de tous. Mais trouver un moyen, un système, leur permettant de communiquer ce qu’ils souhaitent communiquer en toute sécurité.

RP : Un Internet sécurisé ?

HD/AN : Oui, ça, mais avec du filtrage.

RP : Du filtrage. Mmh-mmh.

HD/AN : Cela signifie donc qu’il me fallait avoir accès à toutes leurs informations. Donc, cela s'est passé comme ça, voyez-vous.

RP : De même, vous savez des choses sur les télécommunications. Pouvez-vous nous dire si…Tout le monde s'inquiète de "Big Brother". Est-ce que ces gens savent tout sur nous ?

HD/AN : Oh, vous ne pouvez rien cacher.

RP : Vraiment ?

HD/AN : En ce moment même, nous avons cette interview, je suis presque certain qu’ils ont toutes les informations. Il s'agit simplement de savoir s'ils y trouvent leur intérêt ou non, vous savez….

Ainsi donc, vous n'avez aucune vie privée, tout particulièrement à l'ère électronique. Chaque transaction que vous faites, chaque appel téléphonique, chaque hôtel et endroit où vous séjournez, chaque personne que vous rencontrez [Il rit.] on croirait entendre une chanson. Ils vous observent.

Mais ce n’est pas… Rien à craindre. L’important, c’est de cesser d'avoir peur de tout, parce que cette peur, c’est...

Ce sur quoi il nous faut nous concentrer aujourd'hui, c'est tout sauf la peur. C'est de regarder vers l’avenir et de se réjouir de ce "bébé" dont j’ai parlé, qui est en train de naître ; de célébrer le changement, et de réaliser qu'il y a de la douleur dans ce changement.

Ces factions secrètes et autres, ces opérations clandestines, elles manquent beaucoup de force. Elles manquent beaucoup de force et elles sont dénuées de pouvoir.

RP : Vraiment ?

HD/AN : Oui, elles sont très faibles. En particulier si vous vous rendez compte, si vous comprenez que nous vivons dans une galaxie remplie de mondes et de gens, de gens comme vous et moi au fond, qui sont passés par les mêmes expériences que nous ici sur Terre. Les mêmes expériences, il y a longtemps. Cela ne s’arrête pas, et ils savent déjà ce qui va se passer.

Mais ils observent le changement qui se produit en ce moment. Et ils l’encouragent et y contribuent doucement et tranquillement dans les coulisses. Et si vous êtes conscients de cela, alors vous n'avez rien à craindre.

RP : Comment pouvez-vous en être aussi sûr ?

HD/AN : Parce que j'en ai rencontré tant de ces gens-là.

RP : Ah ! Racontez, racontez-nous ça !

HD/AN : Je les ai rencontrés avant même de commencer à travailler et pour d'autres raisons que je ne voudrais pas exposer dans cette vidéo, à cause aussi de l'endroit d'où je viens.

RP : D'où venez-vous ?

[Ce passage a été retiré de la vidéo à la demande d'Arthur Neumann.]

RP : Mais pouvez-vous nous dire si le Premier Contact est proche, comme ils l'ont dit à de nombreuses personnes ? Le Premier Contact qui serait…

HD/AN : Eh bien, le premier contact, je pense, celui qui est prévu, ne sera pas un contact réel. Le plan est une menace fictive. Mais cette menace fictive... si vous voyez des OVNI et s'ils sont plus ou moins mécaniques, il y a de fortes chances pour que... surtout, s'ils se présentent comme une menace ou un ennemi, sachez simplement que ce n’est que temporaire et qu'ils ne viennent pas d'ailleurs, d'une autre planète. Il s’agit d’un ennemi créé de toutes pièces, dans le cadre d'une opération gouvernementale.

RP : Ainsi vous confirmez que le gouvernement secret a ces outils-là, qu’il possède cette technologie ?

HD/AN : Ça fait longtemps qu’ils possèdent la technologie et les outils.

RP : Oui…

HD/AN : J'ai mentionné le Rapport d’Iron Mountain, dont plusieurs personnes disent qu’il n’est que de la science-fiction. Ce n'est pas de la science fiction, ce matériel même m'a été remis dans une réunion à Tucson, en Arizona, dans les années 1980.

RP : En main propre ?

HD/AN : Oui, en main propre, à une réunion, une réunion gouvernementale à laquelle je suis allé.

RP : Et vous l’avez lu ?

HD/AN : Et ça a été une surprise pour moi, parce que je ne connaissais pas la nature de la réunion.

On nous a emmenés par avion à Tucson, en Arizona, et nous avons séjourné dans une chambre d'hôtel [sourires], puis nous nous  sommes réunis, et à la fin de la première réunion, ils nous ont remis le Rapport d'Iron Mountain. Pas sous la forme d'un livre, mais dans un document folio. C'est là où j'ai eu pour la première fois connaissance des plans de la RAND Corporation.

RP : Vous êtes la première personne que je connaisse, à confirmer ça. A confirmer l’existence [du Rapport d']Iron Mountain.

HD/AN : Il existe. Je n'ai plus le rapport, mais son contenu était proche, il était presque exactement le même que celui du livre qui est maintenant réédité.

RP : Ainsi pour vous la pandémie de grippe porcine, c’est juste une partie de ce plan ?

HD/AN : Je ne sais pas. Les épidémies sont des choses naturelles. Il y a bien sûr des épidémies naturelles, vous savez. Mais à mon avis, la grippe porcine... dans ce cas, c'est une chose dangereuse, mais c'est uniquement mon opinion. Je m’en prémunis en prenant de la vitamine D3, « D », comme la lettre « D », 3.

RP : Qu’est-ce que c’est, ça ?

HD/AN : Une vitamine.

RP : Une vitamine. De la vitamine. OK.

HD/AN : De la vitamine D3, 2000 UI (2000 unités internationales) chaque jour. Jusqu'à 5000 UI. Pour certaines raisons, le soleil se transforme sur votre peau, lorsqu'il atteint votre peau, en vitamine D3, mais en raison de la nature du soleil actuel et à cause d'autres facteurs, ça ne marchera pas dans ce cas.

Mais pour une « agripe » classique… c’est comme ça que vous dites ?

RP : Ah. Agripe ! Oui. La grippe.

HD/AN : Mais pour la grippe, tout type de grippe, la vitamine D3 réduira grandement le risque d'avoir n’importe quelle grippe. Donc je recommande cela comme supplément et pour d'autres raisons aussi, qui n’ont rien à voir avec la grippe.

RP : Et le vaccin ? Vous recommandez aux gens de... ?

HD/AN : Je ne me ferai pas vacciner. Et j'ai dit aux membres de ma famille d'en faire autant. Je leur ai dit il y a deux ans, trois ans, de ne pas le faire. Sur le site de Projet Camelot, il y certains documents je crois, d'il y a longtemps, où j'ai parlé de la grippe. Et c'est bien avant que ce soit devenu actuel, donc je savais cela à l'avance.

RP : Vous savez que les Américains disent qu'il y a certaines informations, [inaudible] comme quoi le gouvernement va obliger les gens... les obliger à…

HD/AN : Oui, bien entendu, il est prévu de rendre cela obligatoire, avec de lourdes pénalités et amendes. Mais cela ne m'empêchera pas de refuser de me faire vacciner. Je ne me ferai pas vacciner, surtout si on me l’impose. Et je ne prends jamais de vaccins contre la grippe, de toute façon.

RP : Pensez-vous que le gouvernement secret a déjà eu des contacts avec d'autres extraterrestres, tels les reptiliens de Zeta Reticuli, etc. ?

HD/AN : Lorsque les gens parlent du « gouvernement secret »…

Tout d'abord je voudrais mentionner que les gouvernements… par exemple lorsque nous parlons du niveau de pouvoir du président, ou de celui de la famille royale ou d’autres ; ils n'ont pas accès à ces informations ou à ces connaissances. Pour autant que je sache

Selon l’expérience que j’en ai, ils peuvent seulement accéder à certains niveaux de sécurité et, quant au reste... Pour les visites [sourires], pour [qu’ils puissent dire] : « Voici ce que nous avons », etc., etc. Donc ils n'ont pas idée de ce qui se passe à l’extérieur de la planète.

RP : Non.

HD/AN : Ils ne sont pas en contact avec ces gens-là. Donc, lorsque vous posez la question sur le « gouvernement secret », j'ai besoin de savoir ce que vous entendez par « gouvernement secret ».

RP : Qui a le pouvoir ? Kissinger ? Rockefeller ? Qui ? Qui est le responsable ?

HD/AN : Vous avez le pouvoir, vous êtes responsable de l'interview [sourires].

RP : Oui…

HD/AN : Donc il y a différents niveaux de pouvoir, de force et de puissance, je veux dire, en chaque personne.

RP : Donc vous ne croyez pas qu’il soit entre les mains de trois personnes ? Quelque chose comme ça ? Le croyez-vous… ? Il y a des gens qui disent que deux ou trois personnes, ou quelques personnes se partagent ce pouvoir…

HD/AN : Oh, les gens qui… Il y a de petits groupes qui se rencontrent, qui ont du pouvoir. Y compris un que j'ai mentionné au Colloque de Zürich, dont je ne veux pas parler une seconde fois, une agence à trois lettres, dont on ne parle pas beaucoup.

RP : Qui s’occupe de satellites, etc., par exemple ?

HD/AN : Oui, celle-là.

RP : OK.

HD/AN : Oui, mais la chose, c’est qu'en fin de compte, ils ont encore... ils sont limités en ce qui concerne le pouvoir qu'ils ont réellement. Ils veulent le pouvoir et ils essaient de l'obtenir depuis longtemps, mais au cours des prochaines années, ils perdront complètement tout leur pouvoir. Dans très peu de temps.

RP : Pourquoi ?

HD/AN : En raison de toutes les changements en cours et qui convergent maintenant.

RP : Quel est le rôle du genre humain dans toutes ces histoires ? C’est quelque chose, comme un gouvernement, quelques personnes comme ici, dans le projet spécial, mais à un niveau supérieur. Mais nous le peuple, que pouvons nous faire dans cette histoire ?

HD/AN : Le mieux que les gens puissent faire… c’est très simple. Si vous avez des systèmes de croyances différents, des religions différentes, vous devez ouvrir votre cœur et réaliser que nous sommes ici, tous ensemble, et respecter nos croyances mutuelles le mieux possible.

Comprendre que nous partageons une ascendance commune, pas seulement ici, mais dans toute notre galaxie. Notre galaxie, [car] nous avons en commun…

RP : Une conscience galactique ?

HD/AN : Il s’agit de la Galaxie. Pas de l'Univers, mais de la Galaxie.

Mais pour l’instant, nous devons nous concentrer sur ce qui se passe ici, sur cette planète, et nous aider mutuellement. Cesser de nous battre à propos de "mon Dieu et ton Dieu", savez-vous. Cela ne fait aucune différence.

RP : Mais ne pensez vous pas que des personnes dans la rue, le peuple, pourraient mettre la pression sur le gouvernement pour qu’il divulgue les informations ?

HD/AN : Si vous souhaitez faire quelque chose, faites-le de manière non violente.

RP : Oui, bien sûr. Bien sûr.

HD/AN : Si vous êtes en colère, cela ne fera qu’apporter du soutien aux objectifs de ceux qui tentent d'avoir du pouvoir sur vous.

Mais une fois de plus, il s’agit de quelque chose de très temporaire. Tous ces combats et toutes ces cachotteries, ne sont que temporaires. Et même si vous n'y prenez pas part extérieurement, les changements… auront quand même lieu.

La naissance d'un monde nouveau – et non du Nouvel Ordre Mondial qu’ils veulent imposer – ce monde nouveau se mettra en place sous peu. Et vous devriez le sentir et en être conscients.

RP : Juste deux petites questions pour terminer. Tout d'abord : pouvez vous nous révéler les technologies secrètes qui pourront voir le jour, qui pourront nous libérer quand le gouvernement secret tombera ?

HD/AN : Eh bien, il y a bien entendu des technologies qui utilisent l'effet Casimir ou l'énergie du point zéro. C'est un point acquis. J'ai souligné cela à Zürich. C’est un point acquis.

RP : Ça existe.

HD/AN : Et ce n'est même pas une information confidentielle. C'est juste... il vous suffit de savoir où la chercher. Je parle du gouvernement, ce n'est même pas classé.

Pas plus que la protection anti-gravitation, similaire à l'anti-gravitation, mais qui est une protection. On prend le matériel, on le met ici, avec quelque chose dessus, et il diminue le… Il fait écran à la force de gravitation.

Cette technologie existe et il y des endroits où on peut aller. On peut aller sur xxx.lanl.gov - Los Alamos National Labs.gov. Allez sur ce site-là et faites un peu de recherche. Plongez dans leurs archives, leurs archives de physique.

RP : Donc nous pouvons avoir des soucoupes volantes d'ici peu, qui utiliseraient ça ?

HD/AN : Oui, ça pourrait être le cas. Mais le fait est que nous avons besoin d’une contrepartie à toute cette technologie disponible, ou qui peut devenir publique… Nous devons tout d'abord travailler sur les problèmes spirituels et sociologiques.

RP: Mais où sont les plans, pour faire ces soucoupes volantes ? Pensez-vous que ce sera rendu public, comme on l’a fait avec les logiciels « open source » ? Existe-t-il un moyen, genre Linux, de créer des soucoupes volantes ? [Il rit.]

HD/AN : Oui, beaucoup, beaucoup de sources différentes vont le rendre public. Par le simple bouche à oreille, même probablement ici au congrès aujourd’hui. Il y a des gens qui travaillent sur ces projets.

RP : Oui, vraiment ?

HD/AN : Oui, et des entreprises qui sortent de l’ombre.

RP : Des entreprises ?

HD/AN : Oui, ce sont toutes de nouvelles entreprises.

RP : Ah. OK.

HD/AN : Ça vient donc, tout doucement.

RP : Brian O'Leary, votre ami, est par exemple dans ce domaine, non ?

HD/AN : Oui, il est dans ce domaine. Je ne sais pas ce qu'il fait avec ses machines, je ne sais rien.

Mais en ce qui concerne la technologie de l’énergie du point zéro... Sous sa meilleure forme, je pourrais décrire cela de la manière suivante : vous pourriez avoir juste une petite boîte, qui ressemble à ceci [Il forme avec ses doigts l’image d'un petit cube.] et qui pourrait directement la convertir en énergie électrique ou en tout ce que vous voulez.

Et il n'y a pas de parties en mouvement, ni de rotation mécanique d'aimants, ni quoi que ce soit de ce type. C'est si simple que ça paraît magique. Vous faites juste cela et vous avez de l'énergie, avec le câblage correct.

RP : Quelle est le secret de l'énergie du point zéro ? Quelle est le secret pour en créer ?

HD/AN : Bon. Comment ça marche ?

RP : Oui.

HN/AN : Il existe différentes approches. L'une d'elle est la superposition de matériaux très très fins, presque comme dans un condensateur. De petites couches de matériel, puis on extrait de l'énergie de ça.

Mais c'est un type simple de technologie à base de circuits intégrés qui peut être utilisé.

RP : L'énergie du point zéro n'a rien à voir avec l'énergie de l'orgone ?

HD/AN : Je ne sais rien de l'énergie de l'orgone. Je l'ai vue, mais je… je ne l’ai jamais utilisée.

RP : Bien. L'autre question concernait l'administration Obama. Vous attendez-vous à quelque chose de positif concernant les questions dont nous sommes en train de parler ?

HD/AN : Mes sentiments vis à vis d'Obama sont en dents de scie. Je ne sais pas. En fait il ne s’agit pas vraiment d’Obama, je ne crois pas.

C’est seulement que ce qui se passe sur l’ensemble du globe, est à mon avis vraiment… C’est presque un événement naturel, ou plutôt des événements, qui se produisent. Il ne s'agit pas de savoir si une personne au pouvoir prendra la décision de divulguer des informations. Tout est en train de se passer très naturellement. Il ne s’agit pas d’une décision.

RP : Nous n’avons pas besoin que le gouvernement révèle les informations. C’est ce que… [Il rit.]

HD/AN : Non, nous n’avons pas besoin que le gouvernement révèle les informations.

RP : Je suis entièrement d'accord avec vous. Entièrement d’accord. Nous n'avons pas besoin de demander au gouvernement de le faire.

HD/AN : Et ne vous attendez pas à ce que le gouvernement vous transmette une quelconque information, parce que les gouvernements… Comme je l’ai déjà dit, les gouvernements n'ont pas d'informations à transmettre.

Cette information est déjà dans le domaine public. Ça arrive ! C'est comme des fleurs qui s'épanouissent, sortant du sol, ça fleurit de partout.

RP : Nous avons Internet qui apporte l’information aux gens.

HD/AN : De plus, de grandes inventions et des choses ont été découvertes simultanément dans le passé, en différents endroits de la planète. Comment est-ce possible ? Parce que cela se produit dans une autre dimension, que cela provient d'une autre dimension. C'est ainsi que ces informations sont données, elles ne sont pas données par les gouvernements.

RP : L'information est sur Internet. Juste pour la fin de l'entrevue, pensez-vous qu'ils vont limiter la liberté sur Internet ? Peuvent-ils le faire ?

HD/AN : Eh bien, ils peuvent tenter de le faire, et ils peuvent l’interrompre. Et Internet peut ralentir considérablement pendant une certaine période.

Mais ensuite, nous parlons de… Qui sont-ILS, savez-vous ? [Sourires.] Internet a été initialement structuré afin que vous ne puissiez PAS l'arrêter, savez-vous ? Par conséquent, il peut ralentir, c'est tout. Aller à la vitesse d’un escargot.

Songez donc à des modes alternatifs de communication. Une nouvelle forme de communication arrivera d'ici quelques années, où de toute manière vous n'aurez plus besoin d'Internet.

RP : Laquelle ? La télépathie ?

HD/AN : Quelque chose comme ça.

RP : Ah, nous y voilà !

HD/AN : Et les gens feront simplement... Ce sera aussi quelque chose de naturel.

RP : Une communication de cœur à cœur, savez-vous.

HD/AN : Oui. Et c'est ce qui se passe lors de ces colloques. Les gens le vivront.

RP : OK. Merci beaucoup. Pour les informations…

HD/AN : Oui. Eteignez vos télévisions !

RP : …pour votre cran et votre courage.

HD/AN : Eteignez votre téléviseur !

RP : OK, c’est ce que je ferai.


PDF de l'interview (5 pages)


** Transcription du texte original fournie par les membres bénévoles de l'Equipe de Transcription de Project Camelot. **







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