Jim Humble et le MMS
Transcription de l'interview
Cette page est la traduction, par The Avalon Translation Project,
d'une publication originale de Project Camelot
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Jim Humble et le MMS : le Complément Minéral Miracle
Sasbachwalden, Allemagne, novembre 2008
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Jim Humble (JH) : … J’ai fait des
choses comme la mise au point de tests sur la bombe A. J’ai travaillé
sur les engins balistiques intercontinentaux. C’est moi qui ai fait le
câblage de la première machine commandée par ordinateur aux Etats-Unis
pour la Hughes Aircraft Company.
… Ils m’ont fait appeler pour me demander de réparer le
véhicule lunaire. [Rires] Sont-ils allés sur la Lune ou non ? Je
ne sais pas [Rires]. Je ne sais pas s’ils l’ont emporté là-haut ou dans
les montagnes du désert.
… Un jour qu’il compulsait des dossiers, il est tombé sur
une photo en 20 x 24 qui montrait une station spatiale sur la face
cachée de la Lune.
… Je me disais : Ils n’ont pas pu ramasser
tout l'or qu’il y avait là-bas. Je n’ai qu’à y aller et me
servir. Vous voyez… Alors, j’ai commencé à creuser et j’ai
découvert qu’ils avaient bel et bien emporté un bon paquet d’or, après
tout.
… J’ai alors développé de nouvelles techniques pour
l’extraction de l’or.
… Quand vous avez investi un milliard de dollars dans une
technologie particulière, il y a peu de chances que vous en changiez,
vous savez. En général, ils ne procèdent pas comme ça.
… Et ces gens étaient vraiment malades. J’avais apporté des
gouttes pour purifier l’eau et je leur ai alors demandé s’ils voulaient
les essayer. Ils m’ont répondu qu’ils étaient prêts à tout. … quatre
heures plus tard, ils étaient debout, riant et plaisantant sur
l’état qui avait été le leur peu de temps auparavant.
… Normalement, une personne atteinte qui reçoit du MMS sera
guérie de la malaria en quatre heures... J’ai, pour ma part, traité
2000 personnes et les gens que j’ai formés en ont traité plus de
100.000.
Bill Ryan (BR) : Pouvez-vous affirmer
ici, devant la caméra, que le MMS guérit le cancer ?
JH : Bien sûr [Rires]. Je peux le dire. Le
MMS guérit le cancer.
Commencement de l'interview
BR : Je suis donc Bill Ryan de Project
Camelot et nous sommes aujourd’hui vendredi 21 novembre [2008]. Je suis
très heureux de rencontrer Jim Humble. Jim !
JH : Tout le plaisir est pour moi.
BR : C’est merveilleux de rencontrer
quelqu’un qui montre tant de goût dans le choix de ses
chapeaux. [Rires] Nous sommes ici à Sasbachwalden dans le Sud de
l’Allemagne à une conférence où Jim va prendre la parole
dans quelques heures. Vous arrivez du Mexique si je ne me
trompe pas ?
JH : De Hermosillo pour être exact.
BR : Il y a à peine quelques jours.
JH : C’est ça.
BR : Très bien, Jim. Vous avez, selon toute
évidence, eu une vie extraordinaire. Quelle est votre formation ?
Qu’est-ce qui vous a conduit jusqu’au Guyana ? La
prospection ? L’or ?
JH : La prospection de l’or. Oui.
BR : Faites-nous alors traverser votre vie
et votre formation en accéléré et dites-nous comment vous vous êtes
retrouvé à un certain moment au Guyana.
JH : Eh bien, j’ai plus ou moins commencé
dans l’aéronautique et… J’ai démarré en tant que technicien dans
l’aérospatiale. Comme ça marchait bien, je suis devenu un ingénieur
maison, un ingénieur dans la recherche aéronautique. Et puis, j’ai fait
des choses comme la mise au point des tests sur la bombe A et je…
BR : Sur la bombe A ?
JH : Sur la bombe A.
BR : Des tests nucléaires ?
JH : Des tests nucléaires. Puis, j’ai
travaillé sur des engins balistiques intercontinentaux et à la
production d’énergie à partir des plasmas. Oui, c’est juste que je me
trouvais au bon endroit au bon moment. Et puis, à l’époque… et c’est
moi qui ai fait le câblage de la première machine commandée par
ordinateur aux Etats-Unis pour Hughes Aircraft Company.
Vous savez, pendant des années, j'ai plutôt eu de la veine
et je travaillais dans les sciences de pointe sur un certain
nombre de projets. Mon travail était très divertissant [Rires]. Alors…
Mais vous savez, la Guerre Froide a pris fin et l’industrie
aéronautique s’en est ressentie, elle aussi. C’est comme ça que je me
suis tourné vers les mines. J’ai trouvé ça intéressant… les mines d’or,
bien sûr parce que je pensais que je pourrais gagner énormément
d’argent comme ça. J’étais comme beaucoup de gens. Je me disais : Ils
n'ont
pas pu ramasser tout l'or qu'il y avait là-bas. Je n’ai
qu’à y aller et me servir. Vous savez…
J'ai commencé à creuser et j'ai alors découvert qu'ils
avaient bel et bien emporté un bon paquet d'or, après tout. J’ai donc…
Mais, en cours de route, pendant que j’exploitais des mines,
je me mis à pratiquer toutes les différentes techniques. J’ai écrit
cinq livres sur l’extraction minière, principalement sur l’extraction
de l’or et sur les différentes manières de lessiver.
Et puis j’ai décrit les méthodes qui permettent de se passer
du mercure. Jusqu’alors, l’exploitation minière utilisait beaucoup le
mercure et j’ai écrit un ouvrage sur la manière de l’utiliser en toute
sécurité. Après quoi, j’en ai écrit un autre expliquant que le mercure
n’était pas nécessaire après tout. [Rires] Ainsi, j’ai commencé à
entrer dans…
J'ai alors développé de nouvelles techniques pour
l'extraction de l'or. Je pouvais donc aller dans la jungle trouver l’or
qui leur avait échappé parce qu’avec ma technique particulière je
pouvais récupérer les très, très fines particules d’or. Il suffit
d’avoir de l’eau et rien d’autre et cela n’a aucun impact destructeur
sur l’environnement dans la mesure où il n’y a besoin d’aucun produit
chimique. Et en plus… ce n’est pas tout, le résultat est plus efficace
et beaucoup moins onéreux que les opérations chimiques dont ils se
servent maintenant.
Mais ces gens qui emploient des procédés chimiques ne
tiennent pas particulièrement à en parler, alors ce n’est pas quelque
chose qu’il est facile de vendre. C’est comme tout un tas de choses.
Ils ne veulent rien changer, vous savez. Les gens s’y prennent d’une
certaine façon et ils n’ont pas l’intention d’y changer quoi que ce
soit.
BR : Votre deuxième carrière montre donc de
nombreuses similitudes intéressantes avec votre troisième carrière
tandis que les lobbies veulent continuer à utiliser l’approche la plus
toxique et la plus inefficace.
JH : C’est exact. Il y a beaucoup de
similitudes et… ce serait une excellente chose pour l’industrie minière
que d’utiliser ce procédé. Il est bien meilleur marché et facile à
mettre en place. Cela dit, quand vous avez investi un milliard de
dollars dans une technologie particulière, il y a peu de chance que
vous en changiez, vous savez. En général, ils ne procèdent pas comme
ça. Par conséquent, ça ne me préoccupe pas plus que ça.
BR : Dans votre première carrière dans
l’aéronautique, avez-vous travaillé de près ou de loin sur le module
lunaire ou sur le module d’atterrissage lunaire ?
JH : A l’époque, je travaillais à Santa
Barbara aux Laboratoires de Recherche General Motors pour la Défense.
Ils y avaient transporté le véhicule lunaire pour le préparer et le
charger sur la navette qui devait bien sûr aller sur la Lune. A
l’intérieur, des pièces avaient été endommagées. Je ne sais pas bien,
des incidents mineurs, rien de spectaculaire. Quelques connexions
étaient rompues. Ils savaient que j’étais un technicien spécialisé en
électronique et ils m'ont fait appeler pour me demander de réparer le
véhicule lunaire. [Rires].
J’ai donc dû y travailler. Ce qu’ils faisaient s’est révélé
plutôt intéressant. Sont-ils allés sur la Lune ou non ? Je ne sais
pas [rires]. Je ne sais pas s’ils l’ont emporté là-haut ou dans les
montagnes du désert [de Mojave], mais je suppose qu’ils l’ont bien
embarqué sur la Lune.
BR : De fait, un de nos lanceurs d’alertes
nous a confié que les deux histoires sont correctes. Certaines missions
seraient bien allées sur la Lune et d’autres pas. Certaines photos sont
authentiques et d’autres pas. C’est comme on veut...
JH : Oui, c’est juste. Je revois ce drapeau
qui flottait, vous savez. [Rires] Alors que jamais… bien sûr, il n’y
avait pas le moindre souffle sur la Lune, alors comment le drapeau
aurait-il pu flotter ?
BR : Il y des anomalies de toutes sortes,
des croix de repérage, en arrière-plan. N’avez-vous pas dit que vous
travailliez dans la pièce avec un collègue qui a eu l’occasion de voir
des choses intéressantes ?
JH : En effet. J’avais un ami qui
travaillait au JPL, au Jet Propulsion Laboratory. Il faut savoir qu’à
ce moment-là le JPL s’occupait de tout ce qui touchait aux vols
lunaires. Cet ami était dessinateur industriel et il était autorisé à
compulser tous les dossiers secrets pour y trouver ce dont il avait
besoin pour ses plans, quels qu’aient pu être les plans en question.
BR : Il avait le niveau d’autorisation
nécessaire.
JH : Oui, il avait le niveau d’autorisation.
Un jour, alors qu’il compulsait des dossiers, il est tombé sur une
photographie en 20 x 24 qui montrait une station spatiale sur la face
cachée de la Lune. Elle avait été prise à une distance suffisante pour
qu'on voie l’ensemble de la station et vous pouviez voir qu’il
s’agissait bien de la Lune.
Pour lui, de toute évidence, ce n’était pas le type de
constructions que font les Américains. En d’autres termes, ce type de
constructions n’était pas ce qu'aurait fait JPL et il en savait quelque
chose. C’était précisément son domaine, il était donc très au courant
de ce que le JPL faisait ou ne faisait pas. Ainsi les constructions
qu’il a vu sur la Lune n’étaient pas d’origine terrestre.
BR : C’est là qu’il vous a dit : Hé
Jim, regarde sur quoi je viens de tomber… Regarde, j’ai…
JH : C’est vrai. Il ne me l’a pas montré. Il
ne me l’a pas apporté mais il m’en a parlé longuement à ce moment-là.
BR : Voilà une histoire décidément très
intéressante. On devrait faire un film de votre vie. [Rires] Ça en
vaudrait la peine avec les différentes vies professionnelles que vous
avez eues, ne pensez-vous pas ?
JH : Je ne sais pas si ce serait d’un grand
intérêt d’une façon générale mais pour moi, ça ne fait aucun doute.
[Rires]
BR : Ce qui serait merveilleux… Je sais
qu’il y a une histoire phénoménale que vous avez déjà racontée. Pour le
plus grand bénéfice des gens qui ne connaissent pas votre travail, vous
pourriez peut-être faire un petit résumé de votre découverte – si
découverte est le mot qui convient – qu’est le Complément Minéral
Miracle connu dans le monde entier sous l’appellation MMS, sur ses
effets, et comment vous en êtes arrivé à le développer ?
JH : Eh bien, j’étais chercheur d’or en
Amérique du Sud et deux de mes gars attrapèrent la malaria. On était
loin de tout, au cœur de la jungle et donc pas en mesure de nous
procurer des médicaments. Nous n’avions rien car nous n’avions pas
imaginé que la malaria sévissait dans le coin. Alors, nous n’étions pas
équipés.
J’envoyai donc deux de mes hommes les plus rapides à une
mine locale. Mais ça allait leur prendre un jour pour y aller, un jour
pour en revenir et ça fait long sans médicament contre la malaria quand
vous êtes malade à en crever et mes gars étaient vraiment malades.
J’avais apporté des gouttes pour purifier l’eau et je leur
ai alors demandé s’ils voulaient les essayer. Ils m’ont répondu qu’ils
étaient prêts à tout.
Ils étaient vraiment très malades et montraient tous les
symptômes de la malaria, incapables de se lever, ils… ils avaient une
forte fièvre avec des frissons et des douleurs dans les articulations.
Et puis, ils avaient des nausées. Ils vomissaient et souffraient de
maux de tête épouvantables. Bref, ils étaient en très mauvais état.
Je leur ai donc donné… Je leur ai donné à chacun un verre
d’eau avec un certain nombre de gouttes du liquide de purification et quatre
heures plus tard, ils étaient debout, riant et plaisantant sur
l’état qui avait été le leur peu de temps auparavant. Ce soir-là, ils
ont dîné normalement et, le lendemain matin, ils ont repris leur
travail.
Le jour suivant, c’était le tour de deux autres de mes gars
et il s’est produit la même chose. Ils ont reçu le même traitement et,
bien entendu, l’histoire s’est répétée.
Après cela, chaque fois que j’allais dans la jungle du
Guyana, en Amérique du Sud, j’appliquai ce traitement aux populations.
J’ai acquis une certaine réputation dans cette partie du monde pour y
avoir soigné beaucoup de gens.
A l’époque, ça ne marchait pas à tous les coups. Je n’avais
pas encore fait de recherches concernant le produit et il arrivait donc
que ce ne soit pas efficace. Quoi qu’il en soit, j’étais maintenant
très connu. Finalement, j’ai quitté la forêt et j’ai commencé à
appliquer le traitement aux gens de la ville. Mais, ce n’était pas la
chose à faire. Le gouvernement m’a arrêté dans mes élans.
BR : Le gouvernement du Guyana.
JH : Le gouvernement du Guyana m’a empêché
de continuer car plusieurs compagnies pharmaceutiques américaines se
sont manifestées et ont fait savoir que si l’on n’arrêtait pas
« le type qui guérissait la malaria », ils allaient cesser
d’envoyer des médicaments à l’hôpital local.
La raison pour laquelle je suis au courant de ceci est que
j’avais… un ami, quelqu’un que j’avais rencontré lors de mon premier
voyage et qui était un proche du président. Cet ami m’a fait savoir que
c’était bien ce qui s’était passé et que le gouvernement n’avait pas
d’autre choix que d’obtempérer parce qu’il ne pouvait laisser leur
hôpital sans médicaments. Telle était donc la situation.
BR : Mm hm.
JH : Là dessus, je suis reparti aux
Etats-Unis et j’ai commencé à étudier la chose en essayant de
comprendre ce qu’il y avait dans le produit qui provoquait la guérison
de la malaria. Et j’ai fini par comprendre… que ce que j’utilisais
était une solution vendue dans toutes les boutiques de produits
diététiques depuis 75 ans aux Etats-Unis. Et ce produit s’appelle oxygène
stabilisé.
J’utilisais donc de l’oxygène stabilisé. J’ai alors commencé
à travailler avec ça et à l’envoyer à des amis que j’avais en Afrique.
Ils l’ont essayé sur des gens atteints de malaria et m’ont décrit par
e-mail les résultats obtenus. Le fait est qu’ils ont guéri un nombre de
gens impressionnant.
En même temps, je développais des moyens de l’améliorer
encore et encore. Nous avons finalement atteint le stade où toute
personne traitée était guérie. Il n’y avait pas d’échecs. A cette
étape, je ne pensais pas qu’une amélioration était possible, j’ai donc
continué à travailler sur ces mêmes bases.
Et puis, on a utilisé l’oxygène stabilisée et le public a
pris conscience des mérites de l’oxygène et de l’oxygène stabilisé. On
en a fait des livres, on en débat sur Internet et j’en passe.
Mais, en réalité, il n’y a pas d’oxygène utile dans
l’oxygène stabilisé, c’est le dioxyde de chlore qui est l’élément
intéressant dans l’oxygène stabilisé. Il y a donc eu une grande
confusion pendant tout ce temps. Et c’est peut-être une des raisons
pour lesquelles il n’a jamais abouti… et pourtant il pourrait
guérir tout ce qu’il traite.
Malgré tout, les bases du développement du MMS du XXIème
siècle étaient posées.
BR : En effet… Fondamentalement, ce que vous
avez fait alors a été de réfléchir à un mécanisme de libération plus
puissant du dioxyde de chlore que celui de l’oxygène stabilisé.
JH : Oui. C’était une chose très simple mais
cela m’a pris un an environ pour comprendre. N’importe quel bon
chimiste aurait trouvé tout de suite mais ma formation en chimie était
hélas limitée à la métallurgie, j’avais donc d’énormes lacunes. Ainsi,
il m’a fallu un certain temps pour comprendre ce que j’avais à faire.
La simplicité de l’affaire, c’est qu’il suffit d’ajouter un
peu de vinaigre ou de jus de citron et c’est alors l’acide du vinaigre
ou du jus de citron qui libère le dioxyde de chlore. Et c’est le
dioxyde de chlore qui fait tout le travail.
Or, le dioxyde de chlore n’est pas le chlore. Tout
le monde croit qu’il s’agit de chlore quand ils entendent parler de
dioxyde de chlore et ça leur fait peur. Mais ça n’est pas du tout la
même chose. Le dioxyde de chlore ne génère pas dans le corps ou dans
les systèmes de purification de l’eau les réactions chimiques que
provoque le chlore.
Le chlore engendrera, dans la plupart des systèmes de
purification de l’eau, plusieurs réactions chimiques cancérigènes mais
pas le dioxyde de chlore.
Et c’est… le dioxyde de chlore est aussi différent du chlore
que le sel de table peut l’être. Le sel de table est du chlorure
de sodium alors que c’est un dérivé du chlore. C’est donc très
différent du chlore et terriblement efficace dans le corps.
BR : Je m’y connais un petit peu en
oxygénothérapie et en peroxyde d’hydrogène en particulier. Cela
fonctionne-t-il comme la thérapie par le peroxyde d’hydrogène ?
JH : Eh bien, cela fonctionne de manière
similaire mais… c’est un oxydant moins puissant que le peroxyde
d’hydrogène – l'eau oxygénée.
Le peroxyde d’hydrogène oxyde sans discrimination,
contrairement au dioxyde de chlore, ce qui fait de ce dernier l’oxydant
physiologique idéal. Le dioxyde de chlore n’a en effet aucune action
oxydante sur les cellules saines du corps, ni sur les bactéries
bénéfiques pas plus que sur la plupart des tissus.
Tandis que le peroxyde d’hydrogène s’attaque à tout, le
dioxyde de chlore agit dans certaines limites, et ces limites sont
idéales. Il n’oxyde que les pathogènes. Ce sont les éléments qui
causent des maladies dans votre corps. Il n’oxyde que les agents
pathogènes et ne touche aucune des cellules nécessaires à la santé du
corps.
Vous n’avez donc aucune inquiétude à avoir. Il ne provoque
aucun effet secondaire. Il ne développe rien, il se transforme en chlorure
en… 2, 3 ou 4 heures après avoir été ingéré, et qu’est-ce que le
chlorure sinon du sel de table.
Et la quantité de chlorure que cela représente est tellement
insignifiante qu’il n’y a vraiment pas lieu de s’en soucier, c’est à
peu près l’équivalent de 2 ou 3 grains de sel. Il n’en subsiste donc
rien qui puisse provoquer des effets secondaires ou amorcer quoi que ce
soit.
BR : OK. Pour ce qui concerne les gens qui
ont entendu parler du MMS sans pour autant avoir un esprit
scientifique, qu’avez-vous à leur dire quant à ses effets dont vous
soyez raisonnablement sûr ? Lorsque vous dites qu’il détruit les
agents pathogènes, parlez-vous des virus dangereux et des
bactéries ?
JH : C’est exact.
BR : Comment les distingue-t-il ?
JH : Les agents pathogènes… Ceux qui dans le
corps causent les maladies sont anaérobies.
Or, les gens, dans leur grande majorité, comprennent qu’il y
a dans le corps des bactéries aérobies (microorganismes qui vivent au
contact de l’air et ont besoin d’oxygène pour se développer, comme les
microbactéries qui se forment à la surface des fluides en putréfaction
– NDT) et anaérobies (qui n’ont pas besoin de la présence d’oxygène –
NDT). Ce sont donc les bactéries anaérobies, les microorganismes
anaérobies qui font des dégâts.
Les bactéries aérobies utilisent de l’oxygène et elles sont
beaucoup plus robustes. Elles sont bien plus fortes que les
microorganismes anaérobies qui causent les maladies. Ce sont donc les
microorganismes anaérobies qui sont les fauteurs de trouble et, de
surcroît, ce sont des éléments fragiles. Ils n’ont aucune résistance.
A titre d’exemple : on peut voir, en forêt, des
champignons qui poussent sur le tronc des arbres. Eh bien, ils sont
anaérobies et se détachent très facilement de l’arbre parce qu’ils sont
très fragiles. Ils n’ont pas la force de l’arbre qui utilise l’oxygène
et qui lui, est sain et vigoureux. Non, ces champignons sont
terriblement délicats.
Il se passe la même chose dans notre corps. Les microbes
pathogènes qui ne se servent pas d’oxygène sont très vulnérables alors
quand vous ingérez le dioxyde de chlore qui est un oxydant peu
puissant, il repère les éléments pathogènes. Et comme précisément c’est
un oxydant peu puissant, il a tout juste le pouvoir suffisant d’oxyder
les pathogènes.
Evidemment, ce qui le distingue c’est que malgré sa
faiblesse en tant qu’oxydant si on le compare aux autres oxydants comme
l’ozone et l'eau oxygénée, sa capacité est beaucoup plus grande. Il
peut oxyder beaucoup plus. Il oxyde deux fois à deux fois et demie plus
que l’ozone mais son champ d’action est plus restreint. Il ne peut agir
que sur peu d’éléments mais sur ceux-ci son action est très puissante.
C’est un peu comme… Le dioxyde de chlore est un explosif non
seulement lorsqu’il est utilisé en grandes quantités auquel cas, il
peut faire sauter tout un bâtiment mais aussi lorsqu’il est utilisé en
petites quantités. S’agissant des choses qu’il peut oxyder, il est
explosif et c’est ce à quoi il faut s’attendre.
Je mentionne cela pour vous montrer la façon dont il procède
pour tuer un microbe pathogène : il lui troue la peau, à l’inverse
d’un antibiotique ordinaire, qui lui, doit être conçu
spécifiquement pour le pathogène qu’il doit détruire parce qu’il doit
pénétrer à l’intérieur et forcer le noyau à interrompre son travail.
BR : Mm hm.
JH : Le dioxyde de chlore fait un trou dans
la membrane de l’agent pathogène ce qui enlève à celui-ci toute
possibilité de développer une résistance au dioxyde de chlore.
Il faut savoir que le dioxyde de chlore tue les virus
d’une manière légèrement différente. Au lieu d’utiliser la méthode qui
consiste à pénétrer dans le noyau du virus pour le tuer, il prévient la
formation de certaines protéines spécifiques au virus. Et, bien
entendu, si les protéines ne peuvent pas se former, dans un laps de
temps extrêmement court, c’est la mort ou la destruction du virus.
Il tue donc bactéries et virus. Il est également fongicide
et tue divers types de pathogènes qui se trouvent dans le corps.
BR : Tue-t-il également les parasites ?
JH : Et il tue les parasites. Il tue, de
fait, toutes sortes de parasites et très vite. Parce que, par exemple,
la malaria est causée par un parasite. Normalement, une personne
atteinte de malaria qui reçoit du MMS sera guérie en quatre heures. Je
veux dire, la pire maladie que l’homme puisse connaître, est éradiquée
en quatre heures.
Ce n’est pas une « vue de l’esprit ». J’ai,
personnellement, traité 2000 personnes et les gens que j’ai formés ont
traité plus de 100.000 personnes. Parmi ces 100.000 personnes, 400
auraient dû mourir. Normalement, sur 100.000 personnes atteintes de
malaria, il en meurt 400. Eh bien, il n’y a eu aucune mort.
Alors, concernant la malaria, ça marche vraiment et il
s’agit de parasites. Et nous avons traité un grand nombre d’autres
parasites.
BR : Même des parasites de taille
importante ?
JH : Même des parasites de taille
importante, même des vers.
BR : Réellement ?
JH : En traitant avec le MMS les gens dans
les villages en Afrique, de temps à autre on tombait sur un gosse ou
sur un type qui expulsait alors des paquets de vers en toussant, comme…
vous savez, presque de la circonférence d’une orange. Alors, cela est
efficace dans tous les cas.
BR : Les tests que vous avez faits contre la
malaria, là où vous avez formé quelqu’un ou une équipe qui a guéri
100.000 personnes, c’était en Afrique ?
JH : Oui, c’était en Afrique.
BR : Dans quelle partie de l’Afrique ?
JH : A la fois au Kenya et en Ouganda… une
opération de grande envergure chez les missionnaires au Kenya et en
Ouganda. Là, j’ai confié du MMS à des gens qui se sont rendus en Sierra
Leone. Puis, une quantité assez importante de gens ont été traités en
Tanzanie et, bien entendu, j’en ai traité moi-même un certain nombre au
Malawi. Tous ces pays sont en Afrique pour le cas où leurs noms ne vous
seraient pas familiers.
BR : Et qu’arrive-t-il dans ces pays quand
la rumeur se répand qu’un fléau comme la malaria peut être guéri aussi
aisément ?
JH : Des quantités de gens viennent.
Malheureusement, il y a toujours quelque chose qui se met en travers et
ralentit le processus. D’ailleurs, il s’est passé quelque chose – deux
ou trois missionnaires ont décidé que j’étais mauvais. Ils l’ont fait
savoir à tous les missionnaires de la région ce qui a mis un coup
d’arrêt à l’opération. Ils ont arrêté d’utiliser le MMS et toutes ces
personnes qui voulaient être soignées ne l’ont pas été.
BR : Parce que vous représentiez une menace
pour le pouvoir en place.
JH : Peut-être, je ne sais pas. C’est ce
qu’ils avaient décidé. En fait, une des infirmières est venue me voir.
Elle avait de fortes douleurs dans une main et j’ai placé ma main sur
la sienne en lui demandant : Pouvez-vous sentir mes
doigts ? Vous savez, et elle a répondu : Oui.
J’ai dit : Sentez mes doigts. Et je l’ai dit
environ 3 fois.
Elle a dit : La douleur s’en va. Je ressens comme
un fourmillement. Vous savez.
Le missionnaire s’est précipité vers moi en disant :
Arrêtez ça ! Arrêtez ça ! Et elle… Je ne sais pas. Elle a
décidé que j’étais mauvais.
BR : Cela signifie qu’à un certain degré,
vous possédez des dons de guérison. Vous ne croyez pas ?
JH : Non, mais j’ai développé une technique
que j’appelle la Guérison par le Toucher. La théorie de base est que
c’est votre mental qui contrôle la guérison dans votre corps tout
entier. Si vous pouvez augmenter la communication entre le cerveau et
la zone malade, la guérison sera beaucoup plus rapide. Parfois, cela
peut même ne prendre que quelques minutes… pas toujours, mais c’est
souvent le cas.
Et… dans une certaine mesure, c’est un peu comme le Reiki,
quoique pas vraiment. L’idée, c’est qu’alors qu’une douleur se
développe dans votre poignet, votre cerveau n’aimant pas la douleur,
interrompt la communication et plus la douleur grandit, plus difficile
devient la communication. Eh bien, si vous parvenez à rétablir cette
communication, la douleur s’estompera plus rapidement. Cela marche pas
mal. [Rires].
BR : Quelle réponse avez-vous eue de la part
des institutions officielles ? Parce que les statistiques en votre
faveur sont impressionnantes !
JH : Ça dépend de l’endroit où l’on se
trouve. Aux Etats-Unis, l’institution médicale est plutôt contre le
MMS.
Je connaissais un millionnaire qui souhaitait offrir assez
d’argent pour traiter Haïti tout entier. Je m’y suis donc rendu dans
cette intention. J’ai essayé d’entrer en communication avec les gens
sur place, et j’ai parlé à tous les missionnaires. Ils étaient tous en
contact avec un médecin aux Etats-Unis et, à chaque fois, ils
appelaient le médecin qui leur disait : Restez en dehors de
cette affaire !
Ainsi, bien qu’un bon nombre d’entre eux ait montré beaucoup
d’enthousiasme au départ, quand leur médecin leur a donné l’ordre de ne
rien faire, leur enthousiasme est tombé… Vous voyez, l’institution
médicale aux Etats-Unis, ces dernières années, ne s’est pas montrée
très réceptive.
Mais, d’un autre côté, je suis maintenant au Mexique. Là,
les médecins m’ont aidé. Une association civile à but non lucratif et
un certain nombre de médecins ont donné leurs noms à titre de garantie.
Nous avons alors commencé à faire des essais cliniques pour le sida,
l’hépatite C et le cancer. Et ces études sont très prometteuses.
Nous avons quelqu’un qui est à la tête du système
pénitentiaire au Mexique et qui nous aide également. Alors, nous avons…
et puis, l’hôpital régional est d’accord pour nous donner 300 tests
sanguins gratuitement. Nous avons donc été sur place traiter les
populations indigènes des diverses tribus du voisinage.
Les choses ont été infiniment plus faciles au Mexique qu’aux
Etats-Unis bien qu’il se vende énormément de flacons de MMS aux
Etats-Unis. Il s’y écoule au moins 15.000 flacons par mois à l’heure
actuelle.
BR : Pouvez-vous affirmer ici, devant la
caméra, que le MMS guérit le cancer ?
JH : Bien sûr ! [Rires] Je peux le
dire. Le MMS guérit le cancer.
BR : OK. Ça, c’est une chose extraordinaire
que quantité de gens entendront. Quelles statistiques possédez-vous sur
la question, véritablement destinées à ceux qui pensent que leur vie
pourrait en dépendre ? Quelles sont leurs chances, sont-elles
bonnes ?
JH : A mon avis, elles les ont. Vous savez,
j’ai traité quelques centaines de personnes au Mexique dont certaines
étaient atteintes de cancer. J’ai fait des traitements par téléphone.
Quand les gens m’appellent, je leur mets au point un traitement en
direct. J’ai eu au moins 2000 personnes au téléphone et peut-être 4000
autres par e-mail. Je peux vous raconter quantité d’histoires de
personnes qui ont été guéries du cancer.
Par exemple… Il y avait une jeune-femme en Australie qui
avait un cancer du poumon et le médecin lui avait donné environ deux
semaines à vivre. Bien entendu, elle était alitée, incapable de se
lever autrement que pour aller aux toilettes ou autres choses du genre…
Et puis, son médecin a entendu parler du MMS et il lui en a
apporté en disant : Vous n’avez rien à perdre à essayer ça, vous
allez bientôt mourir de toute façon. Vous voyez…
Elle a répondu : Bien sûr que je vais en prendre,
fichue pour fichue… Onze jours de traitement plus tard, elle était
debout et quinze jours après sa première prise, elle prenait sa
voiture, conduisait jusqu’au lac dont elle a fait le tour à pied. Il ne
s’était pas passé un mois qu’elle était de retour à l’école où elle
enseignait. Elle n’était pas encore totalement guérie à l’époque mais
elle l’est maintenant.
Il n’y a pas un mois de cela, l’oncle de mon ami, celui avec
qui je travaille au Mexique, a appris qu’il avait un cancer. Puis son
état s’est aggravé de jour en jour au point qu’il a du rester couché.
C’était un cancer du pancréas. Mon ami a dit : Je veux aller
m'occuper de mon oncle. Je lui ai répondu : Bien entendu,
vas-y !
Il a donc pris l’avion pour se rendre auprès de son oncle
qui habite une autre ville du pays. L’homme était alité, totalement
déprimé et presque incapable de parler. Mon ami lui a dit alors : Voilà,
je
vais te donner quelque chose à prendre. Il lui a tendu un verre
et lui a dit : Avale ça ! [Rires].
Après cela, il lui a préparé un protocole que nous avions
établi qui consiste à appliquer le MMS sur la peau, par voie externe et
plusieurs autres choses. Le lendemain matin, l’oncle est sorti de son
lit et a fait quelques pas.
Le troisième jour, il a cessé de prendre les analgésiques.
Ça, c’est généralement le premier signe positif, et la plupart du
temps, pas toujours mais presque, c’est ce qui se produit avec les
patients atteints de cancer deux ou trois jours après le début du
traitement. Il a donc arrêté de prendre les médicaments contre la
douleur. A la fin de la semaine, il parlait de retourner travailler.
Quand j’ai pris mon avion pour venir ici, il n’était pas
encore totalement guéri mais il était sur pied et avait pour le moins
recommencé à vivre normalement.
BR : Ça marche parce que le dioxyde de
chlore s’attaque directement à tout ce qui est anaérobie et,
pourrait-on dire, le fait exploser.
JH : C’est exact.
BR : Et les cellules cancéreuses sont
anaérobies.
JH : Oui, mais c’est un peu plus compliqué
que ça quand il s’agit du cancer. Vous voyez, nous en mettons sur la
peau et nous utilisons du DMSO (le diméthylsulfoxyde est un
solvant organique ou composé organo-sulfuré - NDT) C’est une substance
qui pénètre dans la peau. Il est utilisé dans le monde entier pour
soigner les chevaux et des tas d’autres animaux. Beaucoup de gens l’ont
utilisé également.
BR : Vous voulez bien me répéter le
nom ?
JH : DMSO. Si vous le mélangez avec le MMS
et le mettez sur la peau, il imbibe la peau et fait pénétrer le MMS.
Ainsi donc, quand il fait pénétrer le MMS dans la peau, il se dirige
directement vers les cellules cancéreuses qu’il infiltre.
Au lieu d’attaquer les cellules cancéreuses, les fragiles
cellules cancéreuses, le DMSO les détrempe et permet au MMS de tuer ce
qui à l’intérieur cause le cancer et la fragilité desdites cellules.
Quand vous détruisez ce petit organisme, les cellules
retrouvent la santé. Il est inutile alors de devoir les tuer. Ainsi
donc, l’ensemble du protocole d’utilisation du MMS pour tuer le cancer
consiste à utiliser trois ou quatre méthodes différentes sur la même
personne car nous voulons introduire dans son corps autant de MMS que
faire se peut.
Nous voulons pousser le corps – l’ensemble de l’organisme -
à rejeter totalement le cancer. Par conséquent, plus il en pénètre dans
le corps, plus facilement on tuera le cancer
Mais nous sommes limités car nous ne pouvons pas rendre une
personne malade. Nous devons lui en donner juste assez pour ne pas la
rendre malade, mais juste à la limite. [Rires]. Nous ne pouvons pas
aller plus loin. C’est un traitement véritablement très exigeant
lorsqu’il s’agit du cancer. Il faut l’ingérer 4 ou 5 fois par jour par
petites quantités plutôt qu’une quantité importante en une seule fois.
BR : Qu’entendez-vous par « petites
quantités » ?
JH : Eh bien, je veux dire 3, 4, 5 ou 6
gouttes de MMS. Et puis, bien sûr, il faut aussi l’activer, mais
toujours en petites quantités.
Et puis, évidemment, le MMS par voie externe affecte le
corps de manière différente. Il ne provoque pas de réaction de
Herxheimer – la réaction de Herxheimer étant celle que cause la
mort des cellules – parce qu’il pénètre et détruit le petit organisme
qui est à l’intérieur du cancer au lieu de le tuer… à l’intérieur des
cellules cancéreuses, devrais-je dire. Il tue donc…
Nous avons donc eu beaucoup de chance non seulement avec le
cancer mais aussi avec toutes sortes d’autres maladies.
BR : On a l’impression que… je veux dire,
par exemple qu’en regardant cette vidéo, il y a des gens qui sont très
attentifs à ce que vous dites parce qu’ils y voient leur dernière
chance, vous savez. Vont-ils acheter un flacon et commencer à en
prendre ? Ont-ils besoin de consulter un médecin, une personne
d’expérience ? Existe-t-il des protocoles particuliers pour tel ou
tel type de cancer ?
JH : Certaines personnes… Vous savez,
certaines personnes sont capables de pratiquer l’auto-médication, mais
alors j’aime autant vous dire que les médecins détestent ça ! Vous
savez, l’auto-médication ça les empêche de gagner quelques dollars de
plus. [Rires]. Alors, ils passent leur temps à s’insurger contre cette
pratique.
Mais l’auto-médication est une bonne chose, elle pousse les
gens à prendre leur vie en main, je la recommande de toute façon. Si
vous trouvez quelqu’un d’expérimenté, c’est parfait, mais quoi qu’il en
soit commencez !
Et puis, vous trouverez tous les renseignements sur mes
différents sites web incluant les protocoles qui vous précisent comment
procéder dans tous les cas, certes pour le cancer mais aussi pour bien
d’autres choses.
Le dernier en date est un « Protocole pour les gens
atteints de maladies considérées comme mortelles ». C’est le tout
dernier protocole et le plus porteur de résultats pour les maladies
fatales comme le cancer. Il y a beaucoup d’autres conditions qui ne
supposent pas un traitement aussi intense et pour lesquelles vous
pouvez y aller plus doucement.
Mais, en général, vous trouverez sur mes sites tous ces
différents protocoles et des quantités d’autres informations. Et pour
ceux qui veulent vraiment se tenir au courant, j’ai ouvert ce que l’on
appelle un site Réponses sur le MMS qui contient plus de 800
questions et réponses que j’ai données aux gens au cours de l’année
écoulée.
Ces questions se recoupent à plusieurs niveaux afin que vous
puissiez vous informer sur presque n’importe quoi. Si vous voulez
chercher pancréas, vous trouverez, si vous souhaitez chercher côlon,
vous
trouverez etc.
BR : Ce que vous voulez, c’est donner aux
gens le pouvoir de reprendre leur santé en main en dehors du système.
JH : Exactement. Exactement. Je crois que
plus on se rend responsable de sa propre santé, plus on a une chance
d’être heureux et de rester en vie.
BR : Pour en revenir à la liste des maladies
pour lesquelles le MMS s’est montré efficace, vous évoquez la malaria,
le sida, le cancer. Et à part ça ?
JH : La grippe, le rhume. Toutes les
infections de la bouche. La plupart des gens pensent qu’ils ont… même
les gens qui croient avoir une bouche saine, s’ils se brossaient les
dents avec du MMS une ou deux fois pas jour, verraient leurs gencives
devenir plus fermes, leurs dents plus solides et plus blanches.
Le MMS tue toutes les bactéries qui sont sur les dents et il
aide l’émail à rester impeccable et même à se reconstruire jusqu’à un
certain point parce que si vous tuez toutes les bactéries dans la
bouche, l’émail peut partiellement se reconstituer. Et puis tous les
gens qui ont eu des gros problèmes buccaux de toutes sortes – y compris
des abcès dentaires… oui, des abcès dentaires.
Pendant longtemps j’étais à peu près convaincu que si un
abcès provenant de l’intérieur d’une dent apparaissait, vous ne pouviez
pas l’atteindre avec du MMS et que, par conséquent, il était impossible
de guérir l’abcès de l’intérieur. Mais, en fait… l’un des gars qui
travaille avec moi a dit : Hé, je vais essayer le DMSO pour
voir si ça pénètre. Alors, il s’est brossé les dents avec une
brosse vraiment légère et très douce pendant un moment, en la faisant
simplement tremper dans un mélange de DMSO et de MMS et puis en
brossant, rien d’autre. En deux jours environ, l’abcès à l’intérieur de
sa dent, avait disparu.
Ça a l’air d’être complètement impossible mais ça marche.
[Rires]. Alors, le MMS fait vraiment des miracles avec tout… Je veux
dire qu’énormément de gens m’ont téléphoné pour me dire que leur bouche
était dans un état épouvantable et que tout était revenu à la normale
voire mieux. Tout ça pour vous dire que ça fonctionne vraiment bien
pour ce qui est de la bouche.
BR : Il y a de nos jours deux fléaux qui
pourraient être amenés à s’étendre d’après ce qu’on nous rapporte. L’un
est la tuberculose et l’autre est la grippe aviaire s’il devait
vraiment y avoir épidémie. Avez-vous des raisons de penser que le MMS
pourrait fonctionner dans les deux cas ?
JH : Ça ne fait aucun doute pour moi. La
grippe aviaire… bien sûr, vous savez, il y a plus de six milliards de
gens sur cette Terre. Il n’y a eu que 300 cas de grippe aviaire et les
gens qui l’ont attrapée se trouvaient dans des endroits
particulièrement sensibles.
Les chances pour qu’une telle chose se produise sont très,
très minces quoique le président Bush pense que c’est de l’ordre du
probable. Beaucoup de gens en parlent dans les cartels de la drogue, et
ils disent que ça se produira tôt ou tard mais ils ne savent pas
exactement quand, cela dit ils savent que ça va se produire.
BR : Certaines personnes pensent que le
virus a été renforcé pour en faire une arme bactériologique.
JH : C’est vrai. Il y a des gens qui pensent
qu’il s’agit bien d’une arme bactériologique. Mais n’oubliez pas que la
grippe qui a été la plus dangereuse est celle de 1917. Elle a fait 50
millions de morts. Et voilà qu’ils nous la ressortent ! [Rires].
Ils l’ont donc reconstituée à partir de cadavres qui sont morts de la
grippe et qui sont enterrés en Alaska. Ils ont été enterrés sous la
glace et y sont demeurés depuis lors.
Mais je pense que… le MMS détruit toutes les formes de
grippe que j’aie vues jusqu’ici. La grippe est juste un pathogène, et
le MMS devrait être en mesure de détruire cette grippe aussi. Alors,
l’arme la plus sûre est un flacon de MMS dans votre armoire à
pharmacie. [Rires].
BR : Oui. Y a-t-il quoi que ce soit que vous
souhaitiez dire sur votre vision de ce qui nous attend dans les toutes
prochaines années ? Parce que votre histoire est absolument
renversante. Cela a commencé au Guyana, voilà combien de temps ?
JH : En 1997. Il y a donc un peu plus de dix
ans.
BR : Nous sommes une décennie plus tard et
le phénomène est maintenant répandu dans le monde entier.
JH : Oui.
BR : Vous le voyez mentionner dans tous les
forums de discussion sur Internet et les gens en parlent. Ils nous
écrivent à ce sujet. Toute la communauté de la santé alternative en
parle. Et après, comment cela va-t-il évoluer ? Quels sont vos
projets personnels ?
JH : Eh bien, j’aimerais commencer par
l’Afrique, par un seul pays, et y éradiquer la malaria. Pendant que
nous y serons, nous aurons à traiter un grand nombre de cas de sida.
Bien entendu, le sida est beaucoup plus complexe et plus difficile à
gérer que la malaria. Mais je pense que nous avons des protocoles, des
façons d’utiliser le MMS qui marcheront probablement aussi pour le
sida. Jusqu’ici nous avons eu beaucoup de chance.
BR : A quel pays pensez-vous en
particulier ?
JH : Je pensais au Malawi. Ça ne sera
peut-être pas là, mais ce pays serait un bon choix parce que j’ai déjà
parlé à tous les… J’ai déjà parlé à tous les gens au gouvernement du
pays. Ils se sont tous montrés très coopératifs et très heureux de me
voir. Ils étaient très heureux à l’idée que j’allais soigner les gens
de leur pays.
Ils ne m’ont opposé aucun problème d’ordre gouvernemental.
Ils ont même un service consacré à la malaria au gouvernement et le
service en question s’est montré enthousiaste à l’idée de travailler
avec moi. J’aimerais donc aller quelque part comme… J’aimerais y aller
parce que ce sera facile de faire avancer les choses sans avoir à
fournir tout un tas d’autorisations et traverser des problèmes à n’en
plus finir. Eviter ces tracasseries serait la chose la plus importante.
BR : Pensez-vous qu’il soit possible pour
vous de publier dans des journaux scientifiques le résultat de vos
études ?
JH : Oui, il y a une possibilité, mais j’ai
refusé. J’ai eu des opportunités. On m’a demandé si je voulais le
faire.
Mais, je n’ai pas donné suite parce que, depuis le début,
nous représentons un mouvement parti de la base et c’est justement ça
qui est à l’origine de notre succès. Quand je parle de
« mouvement parti de la base », je veux dire : qui n’est pas
arrivé jusqu’à la connaissance du gouvernement. Ils n’étaient pas au
courant de notre existence.
Il y a quelques jours, un de mes amis a vérifié ça auprès de
la FDA (Food and Drug Administration : Bureau d’Etude sur la
Pharmacopée et l’Alimentation tout puissant aux Etats-Unis. C’est là
que sont décidées notamment les autorisations de mise sur le marché des
médicaments. – NDT). Il est allé voir le troisième homme dans la
hiérarchie de la FDA et il l’a interrogé sur le MMS. Que pense-t-on du
MMS dans ses services ?
Et le type lui a répondu : C’est des foutaises.
Nous ne nous occupons pas de ce genre de choses. Nous avons des
multinationales qui représentent des milliards de dollars et qui
fournissent des plantes médicinales pour remplacer certains
médicaments. Et nous en avons des quantités… nous n’avons pas assez
d’argent pour les contrôler. Pourquoi devrions-nous alors nous
préoccuper d’un petit bonhomme qui vend du MMS à la sauvette ?
Ils n’ont donc aucune idée de ce que peut faire le MMS. Ils
n’ont aucune idée de ce qui se passe. Et j’ai l’intention de laisser
les choses en l’état. Je ne tiens pas à ce que le gouvernement et les
grands laboratoires pharmaceutiques viennent y mettre leur nez.
J’ai eu plusieurs fois l’occasion d’avoir des articles dans
les journaux nationaux et de passer au journal de la télévision
nationale et je me suis toujours désisté – même si je suis très heureux
de passer sur Internet et de cristalliser l’attention de différentes
manières sur de nombreux sites.
Mais je ne veux pas… je ne voulais pas voir le MMS atteindre
une notoriété telle que le gouvernement finisse par s’en mêler. Parce
que vous savez ce qu’ils font, ils sabrent tout ce qu’ils peuvent.
C’est donc ce que j’ai tenté d’éviter mais ça finira tout de même par
arriver. En fin de compte, nous allons devoir laisser… l’information
devra sortir. Je vais toutefois attendre aussi longtemps que je le
pourrai.
BR : Et vous connaissez les histoires de
gens qui ont affronté les pouvoirs en place et qui en ont souffert,
n’est-ce pas ?
JH : J’ai entendu beaucoup d’histoires. L’un
de mes… Un type que je connais très bien essayait de vendre… vendait un
remède qui agissait sur le cancer. Il l’appelait l’herbe des
Indiens. C’est une plante qui se vend depuis 70 ans et la dame qui
en faisait commerce a reçu plus de 3000 lettres de gens qui ont été
guéris du cancer.
Le type vendait donc le remède sur Internet. Dès que la FDA
en a eu connaissance, ils ont débarqué, confisqué sa maison, sa
voiture, son affaire et son compte bancaire. Ils ont fait mais basse
sur tout.
Et ils l’ont mis en prison puis ils l’on empêché de parler à
son avocat en le déplaçant sans arrêt d’une prison à une autre pour lui
compliquer les choses. Enfin, au bout de six mois, ils l’ont finalement
inculpé. Ils l’ont trimballé de prison en prison pendant six mois au
bout desquels ils ont fini par l’accuser et ils…
Quand il a plaidé non coupable, le juge a dit :
Un moment s’il vous plait, allons dans mon bureau. Une
fois dans le bureau, le juge lui a dit : Vous avez le
choix : soit vous plaidez coupable et vous allez en prison pour
trois ans, soit je m’assure que vous en preniez pour vingt ans.
Son avocat n’était pas là et il ne savait pas quoi faire
alors il a plaidé coupable et il est allé en prison pour trois ans. Il
en est sorti il y a deux ans et il est maintenant en Amérique du Sud.
Il ne veut plus rien avoir à faire avec les Etats-Unis.
Et puis… j’ai un autre ami. Nous nous sommes rapprochés
parce qu’il sait ce que je fais. Il était en Afrique où il traitait la
malaria. Des gens qui représentaient les cartels pharmaceutiques lui
ont donné l’ordre d’arrêter mais ce n’était pas son intention. Il était
déterminé à continuer.
Un soir, il est rentré chez lui… enfin, plutôt quand il a
regagné sa chambre d’hôtel, il a ouvert la porte, une bombe a explosé
et lui a arraché les deux jambes. Ça ne l’a pas tué. A présent, il est
en Californie et il se déplace en chaise roulante.
Ce ne sont là que deux cas de personnes qui me touchent de
près. Il faut savoir aussi que nombre de types, par le passé - je pense
à quelqu’un qui s’appelait Koch, en 1917 - ont trouvé un moyen de
guérir le cancer. Des centaines de médecins ont appliqué le traitement
de Koch et plus de 100.000 personnes ont été guéries avant que la FDA
n’y mette un terme.
Je pourrais continuer comme ça. Il y a de nombreuses
histoires sur le sujet. Comme celle de Rife en 1930, Rife qui a guéri…
avec son matériel et ses fioles, il a guéri du cancer encore 100.000
personnes. Là aussi, la FDA l’a arrêté, brûlé tous ses livres et son
laboratoire, tout.
La FDA a brûlé et fait brûler des quantités de livres, très
souvent. Ils ont fait brûler le livre sur le DMSO. Ils ont brûlé tous
les livres sur le DMSO qu’ils ont pu trouver.
Tout ça pour vous dire qu’il faut rester loin de l’industrie
pharmaceutique car bien entendu, ce sont les laboratoires
pharmaceutiques qui contrôlent la FDA.
Pour le cas où vous ne sauriez pas comment ça fonctionne,
les administrateurs des laboratoires prennent une année sabbatique. Ils
prennent un congé pour aller diriger la FDA pendant un an. Puis, c’est
le tour d’une autre compagnie pharmaceutique. C’est ainsi que les
laboratoires… que la FDA aux Etats-Unis est dirigée par les
laboratoires. Et [Rires] c’est d’un ridicule consommé !
Et chaque fois, ils ont mis fin à tout ce qui apportait une
guérison au cancer. Ils persuadent les gens, ce qui ne semble pas être
trop difficile, ils arrivent à les convaincre que ceux qui guérissent
effectivement le cancer sont des charlatans et des vauriens. Et la
propagande marche…
Alors vous savez, j’ai trois ou quatre amis qui sont morts
de cancer après avoir dit : Il est hors de question que
j’aille voir ces charlatans. En vérité, les véritables escrocs, ce
sont les médecins. Ce sont eux qui tuent tout le monde. C’est comme ça…
C’est comme ça que ça marche à l’heure actuelle. C’est une honte.
BR : Avez-vous reçu des menaces d’une
manière ou d’une autre ou êtes-vous encore relativement invisible pour
les autorités ?
JH : Oui, relativement… Je n’ai reçu aucune
menace. Mais je vis au Mexique, au cas où… [Rires]. Je suis parano
alors je reste hors de portée et je ne pense pas que…
Je pense que j’ai encore un ou deux ans avant que la FDA ne
dise : Eh, eh… ce truc commence à porter préjudice aux revenus des
laboratoires. Ça, c’est l’élément déclencheur. Lorsque les revenus
diminueront et qu’il semblera que le MMS commence à remplacer leurs
drogues, c’est ça qui les rendra furieux.
BR : Ainsi donc, votre objectif est de le
faire connaître le plus possible avant qu’ils…
JH : C’est exact. Le plus possible. Faire en
sorte qu’un nombre maximal de gens l’utilise afin que… Et, vous savez,
mes livres expliquent comment le fabriquer et même comment le produire
dans votre cuisine. Ainsi, vous pouvez acheter le livre et le produire
pour vous, votre famille, vos voisins, bref, pour tout le monde.
BR : Très bien. Ce que vous dites, c’est
que… dans votre livre, on trouve les instructions qui permettent de
faire soi même son MMS et ainsi donc d’être totalement auto-suffisant.
JH : Tout à fait. Une procédure étape par
étape pour faire quelques flacons pour vous-même et une procédure étape
par étape pour faire des centaines de milliers de flacons à vendre.
BR : Quiconque a l’intention d’en acheter
doit savoir qu’un flacon dure très longtemps. En fait, il suffit de
quelques gouttes par jour, n’est-ce pas ?
JH : En effet. Un flacon à 20 dollars vous
fera, personnellement… disons, sur la base d’une dose de maintenance
quotidienne, un flacon à 20 dollars vous durera environ un an et demi.
Si vous l’utilisez pour toute la famille, il durera probablement entre
3 et 5 mois.
L’idée… et tout le monde a été extrêmement respectueux… je
demande à tous… je ne le vends pas moi-même, sauf que je dois commencer
à le faire au Mexique, mais ces dix dernières années, je ne l’ai pas
vendu. Je donne des flacons mais, en général, j’encourage les autres à
le vendre et à conserver le prix à son niveau actuel.
J’ai dit : Restez abordables afin que n’importe qui
sur la planète puisse l’acheter. Et jusqu’à présent, les gens qui
le fabriquent et qui le ventent sont des humanistes, aussi
respectent-ils le prix recommandé, soit 20 dollars le flacon. Je me
moque que ce soit en Allemagne, en Afrique du Sud, en Australie, aux
Etats-Unis ou au Mexique. C’est toujours 20 dollars.
C’est moins d’un centime de dollar la dose. Vous pouvez
guérir un cas de malaria pour cinq centimes de dollar et même en
Afrique, les gens peuvent se le permettre. Naturellement, quand nous
irons là-bas, nous n’allons pas leur faire payer ça. Au commencement,
nous soignerons gratuitement, mais ils pourraient payer cette somme
s’ils y étaient obligés.
BR : Quel est le contexte au plan spirituel
et philosophique qui vous a fait prendre ce chemin
extraordinaire ?
JH : J’aime considérer que je suis un type
doté d’une grande spiritualité, mais certainement pas religieux.
BR : J’apprécie la différence.
JH : Très bien. Par conséquent, je pense que
plus on est axé sur la spiritualité, plus on s’attache à faire des
choses que l’on sait justes, plus on a de pouvoir. Qui plus est, je
crois dans le mouvement holistique vers une santé meilleure ou en
mouvement positif consistant à aider les gens malades à guérir – ce qui
va totalement à l’encontre de ce que fait le milieu médical à l’heure
actuelle – mais je suis convaincu que plus le nombre de gens qui
agissent dans le sens de ce qui est juste grandit, plus leur pouvoir
augmente.
Parce que s’ils font vraiment ce qu’ils savent être juste,
ils n’auront aucun sentiment de culpabilité. Ils ne sont pas… Lorsque
l’on fait le mal, que l’on gruge les gens, que l’on cause la mort,
quelque part au plus profond de soi, on sait ce que l’on fait. Et quand
on sait cela, plus le temps passe, plus on perd son pouvoir.
Je pense que c’est cela qui se passe sur la Terre à l’heure
actuelle – maintenant. Je suis persuadé que ces compagnies
pharmaceutiques causent de plus en plus de morts et que la FDA tue de
plus en plus de gens et que les unes et les autres perdent lentement de
leur puissance. Bien sûr, pas aussi rapidement que nous ne le
souhaiterions, mais le processus est engagé.
Je pense aussi que le mouvement de médecine alternative
monte peu à peu en puissance et que les personnes qui y adhèrent
deviennent de plus en plus fortes. Et cela m’arrive à moi aussi. Ce qui
se produit, dans une certaine mesure, c’est que les gens se dévoilent
et viennent me parler de choses très percutantes.
BR : Mm hm.
JH : Je ne suis pas libre de discuter de la
plupart d’entre elles mais je crois que nous sommes sur le point de
voir un changement de paradigme dans l’industrie de la guérison. Je
pense que ce changement arrivera dans les toutes prochaines années. Ce
ne sera pas long.
Ceci nous aidera à vivre un changement d’orientation dans la
brutalité que les hommes s’infligent entre eux. Je ne sais pas combien
de temps cela va prendre. Cela peut aller de cinquante ans à deux cents
ans, mais le changement est là alors que jamais, ça n’était arrivé.
Pendant des centaines de milliers d’années, la brutalité de
l’homme envers l’homme est demeurée la même. Je veux dire : qu’ils
parlent de Jésus, de Mahomet, de tous ces maîtres extraordinaires qui
sont déjà venus - et il y en a vraiment des centaines -.tous ont
enseigné l’amour et ont parlé de ces choses merveilleuses. Et il n’y eu
AUCUN changement dans le paradigme de la brutalité des hommes.
Je pense que certains d’entre nous, sont actuellement en
train de commencer à s’unir dans la communication – pas nécessairement
à se rassembler dans un endroit géographique, mais dans la
communication.
Les gens me contactent de tous les coins du monde. Et il y a
d’autres gens, comme ce groupe ici, avec lesquels nous avons organisé
un congrès sur les médecines alternatives. Et je sors d’un congrès qui
s’est tenu à Mexico. Il y a des congrès partout, des congrès où l’on
parle de médecines alternatives, ça n’arrivait pas il y a vingt ans et
pas beaucoup plus il y a dix ans.
Croyez-moi, nous nous dirigeons tout droit vers un
changement de modèle. Cela vient doucement, mais ça vient. Ça vient
parce qu’il y a maintenant beaucoup de gens sur la Terre qui commencent
à faire ce qu’ils savent être juste.
BR : Je dirais que ce changement a déjà
commencé. Nous commençons à le voir dans notre vie et c’est un immense
privilège que d’être ici maintenant.
JH : Je ressens exactement la même chose. Et
je pense que… et en extrapolant un tout petit peu, je pense que dans le
passé, il y a des millions d’années, ou peut-être des milliers
d’années, beaucoup d’entre nous… qu’un groupe dont nous faisions partie
a donné son accord pour être ici et travailler à ce changement
particulier.
BR : Et j’en suis, moi aussi ! [Rires]
JH : Vous voyez ? Eh bien, j’en
rencontre un grand nombre. Je veux dire que vous n’êtes pas simplement…
Enormément de gens m’appellent et me disent : Hé, je me
rappelle quand nous avons passé cet accord. Vous savez, et des tas
de choses de ce genre.
BR : Certainement.
JH : OK. Et nous faisons ce que nous savons
être juste. Nous sommes tellement plus forts que ces types qui baisent
tout le monde, qui causent morts, souffrances, douleurs et tout le
reste. « Ils » n’ont pas l’ombre d’une chance, ils ont perdu.
C’est juste qu’ils ne le savent pas. [Rires]. Et il va falloir du temps
pour qu’ils s’en rendent compte, mais ça va se faire. Cela va arriver.
C’est la partie que j’aime mentionner parce que cela fait si
longtemps que j’observe la souffrance que je suis heureux de voir… de
voir ce changement. J’ai vu des milliers de miracles ces dernières
années et je sais que nous allons en voir bien plus encore.
BR : Je pense que vous avez absolument
raison et vous êtes à l’avant-garde de ce changement. Vous faites
partie du mouvement qui le génère. Vous êtes exactement au bon endroit
au bon moment.
JH : Eh bien, merci ! [Rires]
BR : Vous êtes un grand bonhomme. Vous êtes
un homme très courageux d’oser faire ce que vous faites si ouvertement.
Vous n’avez peut-être pas encore été repéré, mais il n’empêche que des
dizaines de milliers de gens vont regarder cette vidéo et porteront
beaucoup d’attention à ce que vous y dites. Vous allez sauver des
quantités de vies. Je vous tire mon chapeau, monsieur ! [Rires] Ce
fut un immense privilège.
JH : Merci beaucoup. Ce fut aussi un grand
privilège pour moi que d’être ici pour vous entendre dire des choses
aussi magnifiques.
BR : Merci, Jim Humble.
JH : Il n’y a pas de quoi. [Applaudissement
du public]. Merci. Merci. Merci.
BR : Et je pense très sincèrement ce que
j’ai dit.
JH : Formidable. J’apprécie.
BR : J’aimerais vous revoir l’année
prochaine, peut-être pourrez-vous en dire un peu plus.
JH : C’est d’accord !
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