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(20 pages)
Traduction et sous-titres : The
Avalon Translation Project
Mars
2010
**(NDT) Certains passages comportant des termes ou
expressions inaudibles ou difficiles à comprendre ont nécessité l'ajout
de mots explicatifs entre crochets. **
BILL
RYAN (BR) : Ici Bill Ryan, de Projet Camelot et Projet
Avalon. Nous sommes le 20 février 2010 et j'ai le grand privilège de
rencontrer à nouveau Klaus Dona. La présentation de cette vidéo va
prendre la forme d'une interview un peu différente, parce que je vais
en fait très peu parler, peut-être même ne pas parler du tout !
Klaus
va nous commenter oralement un de ses diaporamas spéciaux, inhabituels
et fascinants sur les artefacts et phénomènes divers qu'il a
étudiés, découverts et sur lesquels il a enquêté partout dans le
monde. Ils sont liés à ce que nous pourrions, je crois, légitimement
appeler L'Histoire cachée du genre
humain. Pensez-vous que c'est là un bon résumé, Klaus ?
KLAUS
DONA (KD) : Oui, c'est un très bon résumé.
BR : [Il rit.] Je vais donc
m'effacer. Savourez bien et réagissez à la présentation de
ce diaporama. Klaus va vous faire suivre son propre parcours... Vous
allez
pouvoir l'accompagner dans le voyage qui mène à ses propres
découvertes. Klaus, c'est à vous.
Que regardons-nous ici ? Je vois tout un assortiment de pyramides.
Qu'est-ce que cela signifie ?
KD : Cela signifie qu'on peut trouver
des pyramides dans le monde entier, sur chaque continent. Questions : Quand
ces
pyramides
ont-elles
été
construites,
et
par
qui
?
Pourquoi
beaucoup
de
ces
pyramides se ressemblent-elles
autant ?
Autre question : Une
civilisation mondiale a-t-elle réellement existé ? Je pense que
beaucoup de nos recherches nous indiquent vraiment, qu'à un moment
donné, il y a longtemps, une civilisation mondiale a existé. Mais il y
a combien de milliers d'années, ça nous ne le savons pas.
La plus grande partie du public de
Projet Camelot connaît peut-être l'histoire d'un bâtiment pyramidal en
pierre, découvert en 1984 au Japon, à 25 mètres au-dessous du niveau de
la
mer sur l'île de Yonaguni, qui est l'île la plus méridionale de
l'Archipel des Ryukyu.
Certains des archéologues [de réputation] internationale ne sont pas
d'accord, et continuent de penser que ces bâtiments sont l'œuvre de la
Nature. Mais mon ami le professeur Masaaki Kimura a effectué, quelques
années plus tard, des
recherches non seulement sur ce monument,
mais aussi sur plusieurs autres qu'il a découverts à proximité. Vous
pouvez en voir une maquette en bas à droite.
Une chose que la Nature ne peut de toute évidence pas
faire... Sur deux des plateformes de ce monument, se trouve une énorme
tortue en pierre et un énorme oiseau, également en pierre - qui
ressemble à un aigle. La Nature peut faire beaucoup de choses, mais pas
un monument aussi précis, aussi parfait.
Question : Où sont passées toutes
les
pierres ? Si la Nature avait fait ceci... si elle avait brisé... Où
sont
ces
pierres-là
?
Il y a aussi des rues, et on a également trouvé un stade en pierrre qui
ressemble au Colisée de Rome, avec des gradins et des marches en
pierre. La Nature est formidable, elle peut faire beaucoup, beaucoup de
choses extraordinaires, mais pas des bâtiments aussi parfaits.
Vous avez ici une énorme tortue de pierre et vous pouvez également voir
à quel point le plongeur est petit, comparé à ce grand monument. [En
bas à gauche.]
Vous avez ici une rue avec des marches
montantes.
Ici, de nouveau, une image en gros
plan, simplement pour pouvoir se rendre compte de la taille de cet
énorme monument.
Cartes anciennes du monde
Voici quelques cartes du monde. En haut
à droite [agrandie, à droite],
vous pouvez voir la carte de Piri Reis,
déjà utilisée longtemps avant la venue de Christophe Colomb en
Amérique. Vous pouvez constater à quel point cette carte était déjà
parfaite au début du XVIème siècle : elle montrait des parties de
l'Europe, de l'Espagne et du Portugal, une partie de l'Afrique de
l'Ouest et aussi de l'Amérique du Sud. Nous ne savons toujours pas
actuellement qui a été capable de dessiner une carte aussi parfaite il
y a déjà plusieurs siècles.
Sur le reste de la carte de Piri Reis, qui n'est pas
montré sur cette
photo, on peut aussi voir l'Antarctique non recouvert de glace. Des
chercheurs ont
découvert en 1956 que la Terre, sous la masse de glace de
l'Antarctique, ressemble exactement à ce que montre la carte de Piri
Reis. Donc cette carte de Piri Reis devrait avoir au moins 10 à 12 000
ans. Mais la question suivante serait : Qui a été capable de
dessiner une carte du
monde aussi étonnante ?
En haut à gauche, vous voyez
l'Atlantide [agrandie, à gauche],
dessinée
par
Althanasius
Kircher,
mais
la
carte
est inversée. Il l'a dessinée à l'envers et vous pouvez
voir le continent entre l'Europe, l'Afrique, mais aussi l'Amérique.
Et vous pouvez voir, en bas à gauche
[sur la première photo des
différentes cartes - agrandie à gauche] les
différentes faces d'une énorme carte du monde en pierre.
Cette carte du monde, en pierre, a été découverte en 1984 en
Equateur - alors qu'on cherchait de l'or dans un réseau de tunnels
souterrains - en même temps que 350 autres artefacts qui ne
correspondent réellement à aucune des cultures précolombiennes connues
existant en Amérique du Sud.
Sur la carte de pierre [à gauche]
se
trouve
une
ligne
naturelle
de
quartz,
blanche.
Il
s'agit
ici
de
la
partie avant de la carte du monde en pierre et, au Proche-Orient, près
de l'Arabie Saoudite, vous pouvez voir une incrustation en forme d'œil.
A partir de cet œil, vers la droite ou vers la gauche, il y a une ligne
de quartz naturel passant à droite sur l'Inde et la Thaïlande. Et il y
a
également une île allongée sur le côté droit et, selon les recherches
du professeur Kimura, il existait autrefois un très vaste continent qui
s'étendait depuis les îles les plus septentrionales du Japon, jusqu'à
bien plus au sud que Taïwan... Mais alors cette carte du monde doit
avoir au moins 10 à 12 000 ans.
Voici l'arrière et vous pouvez voir sur
la droite une ligne de quartz arriver et passer dans l'Atlantique au
large d'un continent, l'Atlantide, qui n'existe plus de nos jours. Puis
la ligne blanche traverse une partie de l'Amérique du Sud.
Voici un gros plan et vous pouvez voir
exactement la Baie de Guayaquil, une incrustation qui va vers le nord
et une autre, ronde, montrant l'endroit exact où ont été trouvés ces
artefacts. Et on y trouve aussi l'eau la plus pure du monde.
Equateur
Un autre artefact très intéressant,
trouvé en Equateur au même endroit, est celui connu sous le nom de
Pyramide à l'Œil. Cet œil est une incrustation. La pierre est grise et
blanche et comporte treize degrés. L'objet ressemble exactement à la
Pyramide à l'Œil Brillant qui figure sur le billet américain d'un
dollar.
Si vous placez cette pyramide sous de
la lumière noire, l'œil brille très fort et ressemble vraiment à un
œil, mais pas vraiment à un œil humain,
et vous pouvez voir les couleurs de l'incrustation.
Sur le fond de cette pyramide, vous
avez une incrustation sous forme de
petites plaques d'or montrant la constellation d'Orion et une écriture
inconnue.
La traduction [est] du professeur Kurt Schildmann, qui présidait
l'Association Linguistique Allemande et qui connaissait parfaitement
plus de quarante langues... Il a pu traduire cette écriture. Il l'a
appelée pré-sanscrit, parce
qu'elle est plus ancienne que la plus
ancienne des écritures. La traduction des quatre lettres que vous
pouvez voir ici... Leur traduction, c'est : "Le fils du Créateur
vient."
Nous avons trouvé la même écriture sur
des pierres de certains pays,
tels que l'Equateur, la Colombie, l'Illinois (Etats-Unis), Glozel
(France), Malte (en Méditerranée), au Turkménistan,en Australie, dans
le sud de la Calabre (Italie) il y a quelques années seulement. Il
s'agit chaque fois de pierre et de céramique - de la terre cuite -
portant la même écriture.
Ce qui signifie que cette écriture existait autrefois au niveau
mondial, et donc qu'il devait exister une civilisation mondiale plus
ancienne que le sanscrit, et âgée de plus de 6000 ans. Le professeur
Schildmann m'a également dit que cette écriture avait quelques points
communs avec celle de l'Indus, mais aussi avec celle de l'Île de
Pâques. Comme il le disait, cette écriture est plus ancienne que le
sanscrit. Il l'appelait le pré-sanscrit.
Au sommet de cette pierre, vous pouvez
voir les deux yeux, puis la main
droite qui tient la pyramide et la main gauche qui se place sur le
sommet de
la pyramide. Ce qui montre comment utiliser la Pyramide à l'Œil.
Vous pouvez voir sur cette pierre
quelque chose de gravé : un homme
assis sur une pierre, tenant la pyramide exactement comme montré sur
l'artefact précédent. Ses yeux émettent des rayons et sur la droite,
on voit deux personnages qui s'inclinent. Il a sur la tête ce qui
ressemble à un petit casque, et de ce petit casque sort une antenne qui
pointe en direction d'un étrange objet au-dessus de lui.
Et ici vous avez la photo du casque qui
a été découvert. Nous n'avons pas encore pu effectuer de recherches
sur le métal ou même trouver quel était le métal utilisé, mais vous
pouvez constater que quelque chose manque au centre du casque, et cela
pourrait bien être cette espèce d'antenne présentée sur l'artefact
précédent.
Une autre très étrange découverte faite
au
même endroit est celle d'un
grand gobelet en jade, accompagné de douze petits gobelets de jade. Les
douze éléments sont faits de main d'homme et chacun est de taille
légèrement différente des autres, mais si vous les remplissez à ras
bord d'eau et que vous versez les douze petits gobelets dans le grand,
ce dernier
est totalement rempli.
L'étrangeté suivante, ce sont les nombres inscrits sur les petits
gobelets et qui ressemblent à des nombres mayas, mais si vous les
comparez à ces derniers, vous constatez de petites différences.
Et sur le grand gobelet on peut voir
une
constellation, parfaitement incrustée, montrant Orion et d'autres
étoiles. L'intérieur du grand gobelet est très, très magnétisé, tandis
que
l'extérieur ne l'est pratiquement pas. Les géologues professionnels
disent que c'est impossible parce que, si la pierre contient des
particules métalliques, les deux côtés doivent être magnétisés de la
même manière.
Voici un gros plan du grand gobelet
et vous pouvez voir l'incrustation
parfaite de constellations, qui brillent violemment si on
projette de la lumière noire dessus.
Voici quelques-uns des petits gobelets,
pour que vous puissiez mieux
vous rendre compte du style des nombres incrustés avec un étrange
matériau qui brille également sous la lumière noire.
Une autre pièce, [à gauche], un
plateau en jade avec la même
incrustation d'une constellation que sur le grand gobelet, avec deux
personnages au visage tourné vers le ciel. Et sur l'image suivante [à
droite], on peut voir que les yeux de ces deux statuettes, ainsi
que la
constellation, brillent très fortement sous la lumière noire.
Cette pierre brune fut autrefois formée
sous pression, et la couleur du centre de la pierre a viré au noir, ce
qui ne se produit
habituellement pas dans la Nature. Examinez... Si on regarde de très
près, on peut voir un visage aux yeux fermés, une bouche, un nez, une
grande barbe et des cheveux longs. Sur le côté gauche, le visage, mais
aussi la pierre, sont cassés.
Voici l'envers de cette pierre. Vous
pouvez y voir une spirale et un
triangle. Le centre du triangle est très magnétisé et brille aussi sous
la lumière noire.
Nous avons ici l'arrière d'un cobra. Le
cobra n'a jamais existé en
Amérique du Sud, mais celui-ci a été trouvé au même endroit.
De ce côté-ci de la tête du cobra [à
gauche], vous avez 33 lignes sur la longueur, et 33 est aussi un
nombre
très sacré depuis très, très
longtemps. Sur le côté gauche, comme sur le côté droit, on a sept
points
incrustés et ils représentent peut-être les chakras. Cette tête de
cobra brille également si vous la placez sous la lumière noire [à
droite].
Un autre objet. Vous avez ici une tête
de dauphin parfaitement réalisée
et cet artefact brille également sous lumière noire.
Ici [à
gauche], vous avez une sorte de
casque de pierre. Vous pouvez
placer sur vos épaules ce casque en granit ou mettre votre tête à
l'intérieur. Des experts m'ont dit que les points incrustés que vous
voyez sur le casque correspondaient exactement aux points d'acupuncture
de
la tête humaine. Vous pouvez voir ici [à droite] comment
il
pourrait avoir été utilisé.
On a trouvé il y a quelques mois, au
même endroit, un casque de pierre non terminé [à gauche]. Cela
signifie
donc que certains de ces artefacts ont été directement fabriqués en
Equateur, mais il y a très, très longtemps. Les incrustations de cet
objet brillent de même intensément sous lumière noire [à droite].
Voici un extraordinaire serpent en
jade. Là aussi les points incrustés brillent à la lumière noire.
Ici [à
gauche] nous avons un artefact
parfaitement ciselé à l'arrière, ce qui signifie qu'il pourrait avoir
été utilisé, placé sur le front. Vous pouvez voir les deux yeux
incrustés. Et au dos [à droite]
vous
avez
ce
qu'on
appelle
le
troisième
œil.
Cet
artefact
était
peut-être utilisé dans certaines cérémonies ou pour la
méditation.
Nous avons ici [à gauche] un
plat en
jade comportant une spirale incrustée qui, elle aussi, brille
intensément sous la
lumière noire. Il pourrait s'agir également d'une représentation des
sept
chakras.
Voici une des céramiques trouvées
là-bas. C'est un grand chef-d'œuvre et la question qu'on se pose, c'est
: Comment a-t-on pu fabriquer cet
artefact à partir d'un seul morceau de céramique ?
Nous avons ici une autre pierre en
forme de pyramide, trouvée également en Equateur. En haut, on voit la
pyramide et son œil et, en bas, vous avez plusieurs spirales et
symboles. Certains ressemblent beaucoup aux tablettes Naacal de [James]
Churchward, qu'il a trouvées en Inde en 1880 et dont la traduction
parle du continent englouti de Mu.
Ceci est en marbre, avec une nouvelle
incrustation en spirale, qui brille intensément, elle aussi, sous la
lumière noire.
Une autre pierre [à gauche], de
forme
pyramidale, comportant un œil incrusté. Ici [à droite] on peut
de
nouveau voir la pyramide et son œil et, en bas, la constellation
d'Orion, les trois étoiles du Baudrier, qui pourraient nous renvoyer
aux trois pyramides d'Egypte.
Ici [à
gauche] une statue en
céramique. Le personnage n'est pas réellement assis à la manière
précolombienne. On dirait la position asiatique du lotus. La statue
porte un chapeau avec des points ; il est très semblable à ceux qu'on
trouve sur de
nombreuses représentations du Bouddha. L'homme tient un serpent dans la
bouche. Le serpent est un objet très, très mystique et très souvent
représenté, ce qui signifie que cette statue n'appartient à aucune
culture précolombienne connue ou existante.
Même la suivante [ci-dessus, à droite]
:
remarquez
la
façon
dont
la
statue
est
assise.
Elle
nous renvoie davantage à l'Asie. Le personnage
a de nouveau sur la tête un étrange chapeau avec, en son centre,
quelque chose comme la tête d'une grenouille. La grenouille est de même
un animal très mystique dans l'ancienne culture précolombienne de
l'Amérique du Sud, mais aussi en Afrique et en Asie.
Voici [à
gauche] une autre statuette de
céramique tenant dans sa main gauche une sorte de plat et, elle non
plus, n'a pas l'air très précolombienne. Ceci [à droite] est de
nouveau un
très étrange artefact. Le personnage tient un bâton [sur lequel
s'enroule] un
serpent. Nous retrouvons ici le serpent, et posons la question : Où
cette statue a-t-elle été faite et par
qui ?
Bolivie
Voici une photo de l'Altiplano de
Bolivie. Les archéologues et chercheurs ont découvert, qu'il y a
au moins 4000 ans, s'est produit un très grand impact en
Argentine et que son onde de choc a détruit de nombreux bâtiments en
pierre dans l'Altiplano bolivien.
Voici une photo de Puma Punku, un
endroit très étrange, proche de Tiahuanaco, en Bolivie, où on peut voir
des tonnes de plaques de pierre détruites, ouvragées à la
perfection. Ce fut peut-être là la conséquence du grand impact
argentin.
Voici [à
gauche] mon ami
Giancarlo
Bonfanti,
chercheur italien, au centre de ce qu'on nomme la Porte du Soleil, à
Tiahuanaco en Bolivie. Certains chercheurs disent que les figurines
situées en haut de cette face de la Porte du Soleil [à droite],
représentent le calendrier vénusien.
Voici une des grandes plaques de pierre
en provenance de Puma Punku et vous pouvez constater le degré de
perfection du travail. Question : Pouvait-on
effectuer
un
travail
aussi
parfait
avec
des
outils
simples
?
Près de ce secteur ont été trouvés des
squelettes d'une taille de
2,60 m. L'image du dessus [à gauche]
vous
présente
le
crâne
d'un
de
ces
squelettes
et
il semble déformé. Mais ces
crânes ne sont sûrement pas déformés, ils ont par nature la forme d'un
œuf.
Dans cette photo-ci [en haut à droite],
vous
pouvez
voir
combien
ces
crânes
possèdent
une
forte
mâchoire.
En
voici
la vue de face. [en
bas à
droite]
La photo la plus intéressante est
celle-ci, parce que vous pouvez voir qu'à son sommet le crâne ne
possède pas les trois plaques que nous avons, en tant qu'Homo sapiens.
Ce
qui
nous
montre
que
ces
squelettes
ne sont pas ceux d'Homo
sapiens. Nous pourrions vérifier leur ADN et dater ces
squelettes parce que nous nous demandons vraiment quel genre d'humain
existait
il y a longtemps, et de quand date ceci.
Dans les prochaines images, je vais
vous montrer quelques artefacts trouvés à proximité de ces authentiques
géants.
Quand j'ai eu en main pour la première fois ce masque [à gauche],
j'ai
essayé
de
regarder
par
les
deux
yeux. je ne savais pas à l'époque
qu'ils appartenaient à des squelettes de
2,60 m ; je me demandais seulement pourquoi on avait fabriqué des
masques où
on ne pouvait regarder que par un œil. Mais lorsque j'ai appris que ces
gens-là faisaient plus de
2,50 m de haut, j'ai compris que leur crâne
était bien sûr plus grand que le nôtre et pourquoi ces masques étaient
trop grands pour nous.
Voilà un autre masque de Bolivie [à
droite]. Un autre [au centre],
merveilleusement
gravé
de
nombreux
spirales
et
symboles,
que
l'on
a
également
trouvé
dans beaucoup
d'autres cultures.
Voici une très lourde figurine de
pierre, et vous pouvez voir, ici aussi, la tête d'un serpent, tout en
haut et qui descend à l'arrière.
Voici le revers. On peut voir une
nouvelle fois le serpent, ce qui signifie donc que le serpent doit
avoir
été un animal très important dans notre Histoire passée.
Ici vous voyez une flûte en pierre.
Etrangement, la vibration du son émis par ces flûtes de pierre
correspond exactement à celle des ondes de notre cerveau. Il en ressort
que ces flûtes étaient peut-être utilisées pour méditer ou pour guérir.
Et les trous sont parfaitement reliés deux à deux. Ce qui signifie
qu'il est possible de percer des trous parfaits
dans cette pierre très, très dure. Mais comment relie-t-on, avec
des outils très simples, les deux trous du
bas ? Ce serait difficile à
faire, même de nos jours.
BR : Parce que c'est en forme de "U" et que ça tourne à l'intérieur de
la
pierre ?
KD : C'est exact. Et avec des outils simples, on ne peut assurément pas
exécuter ce genre de travail ; et même les trous sont percés de manière
très précise.
Ceci [à
gauche] a la forme d'un bateau
et on a trois tuyaux de flûte à l'extrémité. Ici [à droite] on
peut
voir avec quel degré de perfection ils ont été faits.
Ceci est une autre flûte, très
petite.On ne peut l'utiliser qu'en soufflant très doucement, et le son
produit évoque celui des dauphins.
Nous n'avons aucune idée de ce à quoi
pouvait servir cet artefact.
Colombie
Nous voici maintenant en Colombie. Sur les quelques photos
suivantes,
je vais vous présenter d'étranges artefacts en provenance de Colombie
(Amérique du Sud).
Le très célèbre architecte et styliste industriel de Colombie, le
professeur
Jaime Gutierrez, collectionne d'étranges artefacts de son pays,
[connus (?)] depuis déjà des siècles.
La pièce la plus importante de sa collection est surnommée le Disque
Génétique. On voit ici un disque en lydite, une pierre très dure. Elle
est presque aussi dure que le granit, mais elle possède une structure
feuilletée, si bien qu'il serait impossible d'exécuter le même disque
de nos jours à partir de ce matériau.
Ce disque - que l'on appelle le Disque Génétique - a un diamètre
d'environ 27 cm. On peut y voir représentés plusieurs éléments
habituellement seulement visibles au microscope.
Par exemple, sur le côté gauche, à 11
heures, on peut voir un ovule, un ovule humain sans
spermatozoïdes et un autre avec. Sur le côté droit, à une heure
environ, on peut voir quelques spermatozoïdes. Puis il y a plusieurs
représentations très étranges que nous n'avons pas pu expliquer.
Mais ici, à gauche, on a le cliché pris
au microscope par un photographe suédois de l'intérieur d'une dame. On
peut voir que l'ovule, avec ou sans spermatozoïde, ressemble
exactement à ce qui est représenté sur ce Disque Génétique.
Sur l'envers, vous avez, en haut,
plusieurs représentations de fœtus de différents âges et tailles avec,
pour finir... ce qui ressemble à un petit enfant. On peut voir aussi,
en bas du plateau, à environ 6 heures, femme et homme. Et aussi, côté
droit, vers 9 heures [?] la représentation d'un homme, d'une femme et
d'un enfant. Ce qui est étrange, c'est la manière dont ces têtes à
forme humaine sont représentées.
On voit ici un couteau dans le même
matériau, la lydite. Sur le manche, au sommet du couteau, on trouve la
tête d'une mère puis, plus loin, la tête de l'enfant, le cordon
ombilical
enroulé autour de son cou. Ce qui signifie que ce couteau aurait été
utilisé pour trancher le cordon ombilical et sauver ainsi la vie de
l'enfant.
Voici un gros plan : mère, enfant et
cordon ombilical.
Ceci est un instrument. Il pourrait
avoir été utilisé pour aider l'enfant à sortir, à quitter la
mère, en cas de complications. Il est toujours constitué du même
matériau, la lydite.
On voit ici le vagin [au centre]
et
la
tête
de
l'enfant
qui
sort.
Au
revers
[à droite], on ne peut
y mettre que le pouce. Ce qui signifie
que cet instrument ne peut être utilisé qu'avec les doigts -
c'est-à-dire sans utiliser la force. En d'autres termes, cet instrument
pourrait être moins dangereux que les nôtres actuellement pour aider
l'enfant à sortir de sa mère parce que, lorsqu'on utilise nos
instruments, on peut endommager la tête du bébé.
Nous pensons qu'il s'agit ici d'un
instrument médical [à gauche].
C'est également de la lydite et la forme
est parfaite.
Un autre et en voici d'autres [au
centre]. Ils sont beaucoup plus
petits que sur la photo. Lorsque nous avons procédé à la vérification
du matériel à Vienne, ces objets ont été vérifiés par le plus grand
expert mondial. Le matériau tout d'abord : ils sont tous en lydite.
Concernant la forme, après vérification, il a finalement déclaré : Je
ne
peux
pas
vous
dire
comment
ils ont
été fabriqués, ni qui les a faits. La seule chose que je puisse vous
dire en toute certitude... c'est que, de nos jours, nous sommes
incapables de fabriquer les mêmes instruments à partir du même matériau.
Donc, nous ne connaissons pas leur âge.
Puisqu'ils ont été trouvés en Colombie et ne correspondent à aucune
culture précolombienne existante, nous devons envisager le fait que ces
artefacts sont vieux d'au moins 6000 ans, mais nous ne pouvons pas
expliquer quelle sorte de technologie a été effectivement utilisée pour
parvenir à fabriquer de tels instruments et outils à partir de lydite.
Vous voyez que chaque objet s'adapte à chaque type de main, quelle que
soit sa taille. Chaque instrument, chaque outil, s'adapte exactement à
toutes les mains qui les utilisent.
Pour plaisanter, j'appelle ceci le
Fauteuil du Dentiste... Parfaitement fait et, de nouveau, le même
matériau : de la lydite. Et question étrange : s'ils pouvaient
fabriquer des figurines aussi parfaites dans ce matériau si difficile à
travailler, pourquoi représentaient-ils toujours le visage humain avec
ces gros yeux ronds, un petit nez et une grande bouche ? Il n'y a pas
d'explication réellement satisfaisante.
Ce visage [à gauche] évoque un
petit
peu celui des Moai, ces grandes statues de pierre de l'Île de Pâques.
Ici, [à droite] vous avez un
gros plan.
De nouveau un objet de Colombie, en
lydite. A l'avers on voit la mère tenant son bébé. A l'envers on voit
l'homme en armes, très probablement pour la chasse.
On a trouvé cette figurine de pierre en
Colombie. Elle ressemble exactement aux statues Moai de l'Île de
Pâques, mais n'a que 30 cm de haut.
Voici un autre chef d'œuvre du travail
de la pierre. Les deux côtés représentent un oiseau, mais si vous
regardez l'avant [à gauche]
vous voyez que les deux oiseaux forment un
visage. Et sur le côté gauche [à
droite], entre la tête et les ailes de
l'oiseau, on voit de nouveau cette écriture inconnue que nous avons
trouvée sur des pierres du monde entier.
Voici une mère tenant son enfant, un
étrange visage, le tout dans un matériau ressemblant au jade.
Voici une autre pierre originaire de
Colombie, représentant un amadillo. Sur le dessus de l'amadillo, on
peut voir un étrange visage avec de longues oreilles et une paire de
cornes.
Sur le dessus de cet artefact, un
visage souriant. Sur ce côté [à gauche]
on
a
deux
triangles
et
de
l'autre
côté,
sur
le
côté
droit,
[à
droite] on a un visage. De nouveau
le visage animal sur le côté droit et quelques symboles inconnus.
Et sur la partie inférieure de cet
objet, on voit un animal... qui ressemble à un crocodile.
Guinée, Afrique occidentale
Nous allons maintenant nous rendre en Guinée, en Afrique
occidentale,
tout près de la frontière avec le Mali.
Sur une énorme montagne de granit, on a
trouvé le demi-portrait d'une femme creusé dans la pierre. Du sommet de
la tête au milieu du torse, la taille de cette statue est d'exactement
150 m. Très importante question : Qui
aurait
pu
sculpter
un
aussi
énorme
demi-portrait
en
granit,
dans
une
montagne,
il
y
a
au
minimum
10 à 12000 ans ?
Le professeur Pitoni, le géologue italien, s'est rendu
sur les lieux.
Il a pris ces photos. Il a examiné la terre située au pied de cette
montagne et, selon ses calculs, ce monument en pierre a dû être réalisé
il y a au moins 10 à 12 000 ans. Mais apparaît alors cette question
cruciale : Qui a pu être capable
de réaliser un tel monument en pierre ?
Même de nos jours, ce serait impossible, ou bien cela coûterait
tellement
cher qu'on ne pourrait pas le financer.
Et si vous regardez le gros plan du visage, des experts m'ont dit que
ce visage n'était assurément pas européen, mais bien sûr pas originaire
d'Afrique noire non plus. Il doit s'agir d'une culture soit
sud-américaine, soit asiatique. Mais une fois de plus, vieille de 10 à
12 000 ans. Il pourrait s'agir de la civilisation perdue de
l'Atlantide.
En Sierra Leone, près de cette région, le professeur Pitoni était
responsable de fouilles. Et là-bas, il a entendu parler d'une légende
selon laquelle Allah, en colère contre des anges, les changea en pierre
et les jeta sur la Terre. Et il prit les étoiles et les jeta sur Terre.
La légende dit que le ciel... vous
pouvez le voir dans cette pierre - on les appelle les Pierres de Ciel,
des pierres bleu-ciel trouvées sous terre dans cette région. Nous avons
effectué des recherches à Vienne... il s'agit, sans aucun doute, d'une
pierre artificielle, pas d'une pierre naturelle, et un autre matériau a
pu être trouvé. Mais la seule chose qu'on n'a pas pu nous indiquer,
c'était le type de couleur utilisée pour obtenir cette véritable
couleur
bleu-ciel.
Des figurines en pierre trouvées à 20
m et même jusqu'à 50 m de profondeur. Le professeur Pitoni a toujours
récupéré un matériau organique sur le lieu même de la découverte et la
datation de ces artefacts en pierre s'échelonne de 2500 à 17 000 ans,
pour le plus vieux. Ici [en bas à
droite], vous voyez une pierre de
granit, qu'on appelle Nomoli, joliment gravée.
Vous avez là un homme assis sur un
éléphant, puisqu'il y a également des légendes de géants dans toute
l'Afrique. Vous connaissez la taille d'un
éléphant ! Le travail de la pierre est merveilleux ; l'objet est
très dur et très lourd.
Certains artefacts représentent aussi
des humains ou semi-humains à tête de reptile et tenant une sorte de
pot où ils pourraient mettre quelque chose. Au sommet de plusieurs
Nomolis se trouve également un trou pour y entrer quelque chose. Ils
étaient très probablement utilisés pour les cérémonies.
Vous avez ici une sorte d'animal... qui ressemble à un dinosaure. Quand
le professeur Pitoni a trouvé cette statue, elle émettait un drôle de
bruit. Il l'a donc ouverte et on a trouvé à l'intérieur une petite
bille noire. Vous pouvez la voir au pied de la statue [en haut à
droite] ; elle était en métal ferreux.
Au moment des recherches sur cet artefact et sur cette bille de métal
plus particulièrement, le professeur m'a appelé le lendemain matin pour
me dire qu'on avait dû me faire une mauvaise plaisanterie. Pourquoi ? ai-je demandé. Parce que
les recherches ont révélé que le matériau était de l'acier chromé et
que l'acier chromé a été découvert en Autriche au début du XXème
siècle. Cela signifie qu'il était impossible d'en trouver à l'intérieur
d'une statue vieille d'environ 17 000
ans !
Mais lorsque j'ai, immédiatement après, contacté le
professeur Pitoni,
il
a ri et m'a dit : Je suis géologue.
Si une statue fait un bruit bizarre, je ne l'ouvre pas tout de suite,
mais je la passe d'abord aux rayons X.
Vous pouvez voir ici, sur l'image de droite [ci-dessus] une des
radiographies et vous pouvez constater qu'à l'intérieur de la statue se
trouve déjà la bille, la bille en acier chromé était déjà là.
On voit tout dans cette radiographie.
Le professeur Pitoni a également vu que cette statue de pierre avait
déjà été ouverte auparavant et parfaitement refermée. Il a fait appel à
un spécialiste qui l'a ouverte exactement comme sur cette photo, le
petit bouchon de pierre qui obturait le trou à l'intérieur, et on peut
constater que la bille de métal était déjà là.
Les Géants
Certains d'entre vous ont peut-être déjà vu sur Internet
des images ou
des photos de géants, de squelettes géants découverts dans le désert en
Inde, en Chine et ailleurs. La plupart de ces photos étaient en
compétition pour présenter Photoshop... Impeccablement montées. J'ai
été moi aussi très impressionné la première fois que j'ai reçu une de
ces photos...
Mais les photos que je vous montre
maintenant ne proviennent assurément pas d'un concours Photoshop. Ces
photos représentent des crânes et des squelettes authentiques.
Ce crâne provient d'un réseau de tunnels souterrains en Colombie. Le
crâne pourrait avoir jusqu'à 11 000 ans. Le crâne est plus grand que la
normale et les dents de devant sont alignées sur la machoire de manière
différente des nôtres.
BR : Ce que je remarque ici, c'est que la mâchoire est très fortement
marquée. La mâchoire avance beaucoup, le menton est très proéminent.
Et voici une photo qui nous a été
montrée par un insider de Project Camelot. Il ne s'agit pas d'une
véritable photo ; elle provient du vieux film où joue Arnold
Schwarzenegger, Conan le barbare.
Ce
que
vous
voyez
ici
est
un
effet
spécial
appliqué
à
l'acteur
James
Earl
Jones.
Ce
qu'il
faut
remarquer ici, c'est la forme de la mâchoire.
Notre témoin, qui avait passé du temps en compagnie des
Annunaki, en
temps réel et de nos jours, a dit que c'était une des choses qui les
caractérisaient en dehors de leur taille - qui était selon lui
d'environ 2,40 m à
2,70 m... Il disait qu'ils sont immenses et très
musclés et qu'ils en paraissent d'autant plus grands. Mais c'est à peu
près leur taille, qui correspond exactement aux 2,60 m dont parle
Klaus. Il a dit que la ligne de la mâchoire était très fortement
marquée et proéminente et c'est justement ce qui me frappe à propos de
ces squelettes et de ces crânes que nous sommes en train de regarder.
KD : J'ignorais cela...
BR : Il faut que vous le sachiez !... A vous, Klaus…
KD : Donc, une fois de plus, voici une
très vieille photo prise dans un musée à La Valette, sur l'île de
Malte.Elle montre plusieurs crânes allongés et l'explication donnée,
c'est "crânes déformés", mais ils sont très allongés vers l'arrière.
Voici un de ces crânes très,
très étranges.
Ils sont exposés dans un petit musée, à
Ica au Pérou. Ica est situé près des fameuses Lignes de Nazca et le
musée s'appelle le Museo Maria Reiche, du nom de l'Allemande qui a
passé toute sa vie à faire des recherches sur les Lignes de Nazca. Et
dans ce musée on peut contempler les crânes les plus étranges que j'ai
jamais vus, tous découverts dans cette région proche des Lignes de
Nazca. La question que je pose est donc : Quelle sorte d'humains
vivait là-bas et
comment ont-ils obtenu ces formes crâniennes ?
Celui-ci particulièrement. Plusieurs
médecins et experts m'ont affirmé qu'il était impossible de créer une
déformation comme celle-là, parce qu'avec la déformation, vous
n'obtenez pas le double matériau osseux de ce crâne. Sur ce crâne vous
avez même des particules de peau et de cheveux, et je pense qu'il ne
serait ni difficile d'effectuer une datation de ce crâne, ni d'en
analyser l'ADN.
Dans cette image, je vous présente
quelques formes de squelettes légendaires de géants. En 1964, dans la
province de Loja, dans le sud de l'Equateur, une partie d'une
plateforme montagneuse s'est effondrée et le père Carlos Vaca, aumônier
des
hôpitaux, a été appelé à cet endroit. Il y a découvert les os brisés
d'un géant.
BR : Très bien ! Bon, Klaus, je vous ai demandé si vous
alliez nous
emmener en voyage et pendant presqu'une heure, je crois, vous
nous avez entraînés dans un périple fascinant, non seulement autour du
monde, mais en remontant le temps de près de 17 000 ans !
Ceci nous rappelle à quel point nous savons peu de choses de notre
véritable Histoire. Ce sont là des pièces importantes d'un important
puzzle et vous consacrez une énorme part de votre temps à rendre le
public plus conscient de ce qu'on ne nous montre pas dans la plupart
des musées, de ce qu'on ne trouve pas dans les manuels d'anthropologie
et ce que de nombreux professeurs d'université refusent encore de
reconnaître.
Merci infiniment pour le rôle que vous jouez dans l'amélioration de
la compréhension de notre Histoire sur la planète Terre. Merci Klaus.
**Transcription fournie par les bénévoles ardents au travail des
Equipes de Transcription de Divine Cosmos / Project Camelot / Project
Avalon et Project Camelot Productions. Toutes les transcriptions que
vous trouvez sur ces sites sont fournies depuis quelques années par
l'Equipe de Transcription. Tels de petites fourmis, nous pouvons être
cachés, mais nous n'en élaborons pas moins de belles transcriptions
pour votre plaisir et pour accompagner votre réflexion.
Traduction fournie par
l'équipe
bénévole de "The
Avalon
Translation Project". Si vous
souhaitez nous aider pour des traductions ou des sous-titrages en
français,
veuillez prendre contact ici ou ici. Vous serez
le/la bienvenu-e.**
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