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Se concentrer :
la lentille au pouvoir transformateur
Cette page est la traduction, par The Avalon Translation
Project,
d'un article du Project Avalon Forum.
Bill Ryan
Fondateur
d’Avalon
Se
concentrer : la lentille au pouvoir transformateur
Ou bien :
Vous voulez donc transformer le monde ?
Bon… voici un moyen de le faire.
Chers Amis : ce message est peut-être un des plus
importants que vous ayez trouvés sur votre route. Lisez-le
attentivement – peut-être même plusieurs fois.
Le meilleur point de départ est cet extrait de la première interview vidéo d’Inelia
que j’ai faite.
Bill : Vous l’avez peut-être rétablie ou
guérie, ou empêchée de se suicider, ou vous avez
résolu un problème, etc. Mais selon quel
processus ? Comment ça fonctionne ? Comment
l’expliquez-vous ? Comment expliquez-vous ce qui
se passe ?
Inelia : Le meilleur moyen de le décrire serait
de dire que je me concentre sur elle. Je suis là à 110
% dans chaque dimension, dans chaque espace-temps en
cet instant-là. C’est ainsi que je peux... Mais je
n’agis pas, je n’exprime aucune intention. Le résultat
m’est indifférent. Je suis sans curiosité. Rien. Juste
une concentration totale. Ce qui arrive apparemment,
c’est qu’autre chose – appelez-le force Divine,
énergie, chi, ce que vous voulez – passe directement
en elle et agit ou résout le problème - j’ignore ce
que c’est. Et tout est réglé.
Comme beaucoup d’autres, je me suis émerveillé de la
description qu’Inelia fait du travail qu’elle accomplit
depuis sa petite enfance en tant qu’instrument
transformateur de quelque chose qui dépasse de loin la
persona humaine. Elle recevait régulièrement des
« directives » d’une source supérieure, de toute
évidence bienveillante, sur la manière de placer ce
qu’elle appelle sa « concentration ». Et alors
se produisait une forme de magie.
Comme elle le dit elle-même, elle ne faisait rien d’autre
– répété des milliers de fois sur des
« cibles », petites ou grandes. Avec toujours
pour effet une transformation. Inelia elle-même prend bien
soin d’insister qu’elle-même ne faisait rien.
Cela dépassait de loin l’humain – cela se manifestait à
travers elle, comme si elle avait été une lentille.
Je l’ai questionnée sur ce processus, au cours de
nombreuses conversations privées. Que
faisait-elle ? Comment ressentait-elle
l’expérience ? Comment choisissait-elle ses cibles
– ou comment recevait-elle les renseignements qui lui
permettaient de savoir où diriger son attention ?
Qui, ou quoi, était derrière tout ça ? Que se
passait-il donc ici (si c’est bien ici sur Terre que
cela se passait) ?
Au cours de l’interview, Inelia a insisté à de nombreuses
reprises sur le fait que ses dons étaient un droit de
naissance pour tous les êtres humains. Un autre extrait de
l’interview :
Inelia : Tous ceux qui parviennent à un
certain niveau de conscience peuvent le faire. Ça fait
partie de la boîte à outils humaine. Je ne l’ai pas
importé. Tout être humain est câblé comme ça. Et ça
fait partie des boîtes à outils humaines qui sont
opprimées, étouffées et neutralisées chez tout le
monde. On enseigne aux gens qu’elles n’existent pas,
et qu’ils ne sont pas capables de faire ces choses-là.
Des mots encourageants à entendre. Mais comme des
milliers d’autres spectateurs de la vidéo, j’ai
pensé : Bon, ça c’est valable pour les
autres. Mais pas pour moi.
Comme j’avais tort ! Laissez-moi vous raconter ce
qui s’est passé il y a quelques jours.
Inelia et moi venions de mettre en ligne notre premier
article en commun : Le cri de Gaïa. Si vous ne
l’avez pas encore lu, je vous le recommande. Il décrit le
cri du cœur [en français dans le texte] de
Gaïa elle-même, la Déesse-Gardienne archétype de la Terre
et de tous les êtres vivants dont la Terre est le foyer.
Comme je l’explique dans l’article, j’ai vécu une
expérience profonde qui m’a démontré en direct que cette
magnifique entité était bien réelle, et non pas une simple
métaphore écologique bien pratique.
Malgré sa force immense et sa certitude de survivre à
toute activité humaine transitoire, Gaïa est sous
pression : la race humaine est totalement
déséquilibrée, gravement inconsciente et irresponsable
dans son ensemble, ne serait-ce qu’en raison de notre
acquiescement passif et irréfléchi à ce qui se passe
autour de nous. Une minorité d’humains – s’il s’agit
vraiment d’humains – s’acharne à détruire tout ce qui est
bon et beau. Comme le dit Inelia :
Inelia : il y a eu un grand
appel de l’entité-Terre et d’êtres de lumière à
l’intérieur de la planète qui ont crié : A l’aide ! Pour faire
cela, nous avons besoin d’aide.
Cet appel a été émis, et il n’était
pas seulement planétaire. Il provenait aussi d’autres
êtres de la galaxie, affectés par ce qui se passe sur
la planète, peut-être pas aujourd’hui, peut-être dans
un million d’années, et l’appel a été IMMENSE. Un
immense appel d’une conscience douée de sensation,
pour qu’on intervienne sur la planète – sur cette
ligne temporelle – afin de lui permettre d’effectuer
la transition prévue, un appel qu’on essaie
d’interrompre par la négativité.
Donc un immense appel, et voilà pourquoi des êtres
comme moi peuvent entrer dans l’espace-temps et agir
ainsi, en réponse à cet appel.
J’avais inséré quelques images pour illustrer l’article.
Cette image-ci était particulièrement poignante – une
photo authentique, en dépit de son caractère surréaliste –
prise au Nigéria par Ed Kashi, reporter-photographe au
National Geographic, et que j’ai interviewé l’an
dernier :
De toutes les images que j’ai vues, celle-ci résume le
mieux le problème de la ruine de la planète : un être
humain digne et désespéré – essayant encore, bien que sans
beaucoup d’espoir, que la vie continue, au milieu d’un
décor apocalyptique, un terrain vague jonché de débris
pollués.
J’ai contemplé cette scène atroce, me demandant ce qu’il
faudrait faire pour remédier à cela. Une solution
existe : il y a des gens qui ont le pouvoir et les
moyens de régler ces problèmes d’un trait de plume ou d’un
clic de souris.
Et soudain, l’objet de ma concentration – je ne vois pas
comment le dire autrement – a pivoté de 180°, comme
l’aiguille d’une boussole. Il s’est fixé – comme un aimant
– sur un individu que je pourrais décrire (mais je ne le
ferai pas). Je le voyais avec les yeux de l’esprit. Je
voyais son visage et les habits qu’il portait. Quelqu’un
de puissant et qui possédait sans nul doute les moyens de
réparer ces atrocités. Je l’ai dévisagé... soudain
totalement conscient de ce qui se produisait.
Dans mon esprit courait en arrière-plan cette pensée
humaine : C’est ce que décrivait Inelia.
Je suis en train de le vivre à mon tour. Mon Dieu, voici
que cela s’écoule aussi à travers moi.
Et je ne faisais que fixer le mur de ma chambre. Mais je
regardais l’homme intensément. Aucun jugement, aucune
intention, aucun lien affectif. De nouveau, ce que décrit
Inelia :
Inelia : Et je me suis assise près de
lui. J’ai juste regardé. Je me contentais de le
regarder et lui de me regarder. Je n’avais aucun plan.
J’ignorais si quelque chose allait se passer ou non.
J’étais juste assise auprès de lui.
J’ai pris conscience qu’une énergie de plus en plus forte
s’écoulait à travers moi, provenant de derrière et
d’au-dessus de moi, en direction de ma
« cible ». Entre-temps je ne faisais absolument
rien. Je me contentais de diriger mon attention sur lui
ou, plus exactement, d’autoriser mon attention à
se diriger vers cette personne.
Pendant ce processus, il était clair que mon attention
humaine servait de véhicule à quelque chose de totalement
différent de tout ce que j’avais vécu jusqu’alors. Une
part de moi-même s’émerveillait tandis qu’une autre se
montrait tranquillement détachée, calme, silencieuse,
concentrée, n’apportant absolument rien à ce qui se
déroulait.
J’ai maintenu ma concentration pendant dix minutes
(j’avais noté l’heure de départ). Rien au monde n’était
plus facile. Je n’avais rien à faire. Et
cette phrase-là est la clé.
On me dirigeait, on me guidait, on m’autorisait à être
l’instrument dans un type de processus qui me dépassait de
beaucoup. Il s’agissait d’une sorte de reddition, d’une
symbiose avec une puissance supérieure. Seul comptait ce
qu’il ne fallait pas faire : gêner.
Il était limpide que cela ne pouvait fonctionner qu’en
éliminant tous les additifs humains « normaux »
- l’intention, l’attachement, le jugement, l’égo, et même
tout sentiment que ce qui arrivait pouvait être important.
Les mystiques parmi vous, ceux qui méditent ou étudient
les pratiques ésotériques et qui lisent ceci comprendront
sans doute immédiatement. Pour les autres, le but de cet
article est de vous aider à atteindre le stade où vous
pourrez, à votre tour, vivre cette expérience.
C’était d’une profonde simplicité. Nous autres, les êtres
humains complexes, nous ne nous accordons pas la
simplicité nécessaire à la réalisation de ce qui a besoin
d’être fait autour de nous.
Voilà mon histoire. J’ignore le nom de cet homme. Mais je
connais sa position sociale et son influence potentielle.
Je n’aurai aucun moyen immédiat de vérifier les effets
éventuels de tout ceci dans le monde réel. Mais je suis
certain qu’il y en a eu.
Ces dix premières minutes écoulées, j’ai fait le point
avec Inelia – en me rendant compte que je pouvais
consacrer mon attention humaine quotidienne à d’autres
activités tandis que le processus se poursuivait en tâche
de fond. Je lui ai décrit ce que je ressentais, et elle a
confirmé que je reproduisais son expérience. J’ai vérifié
par la même occasion que j’étais effectivement capable de
vaquer à mes activités quotidiennes, et que je n’avais pas
besoin de passer la nuit à fixer le mur.
Inelia a confirmé en riant que pouvais effectivement
« laisser courir » - et que le processus pouvait
durer quelques minutes, des heures, des jours, des
semaines ou des mois. Elle m’a affirmé que je saurais
quand ce serait terminé.
Le processus se poursuivait – et je ne savais pas trop
s’il était terminé ou non. J’attendais apparemment une
sorte de signal, un peu comme lorsque le grille-pain
éjecte les tartines grillées à point. Rien ne semblait se
passer, et je me demandais si je n’avais pas négligé
quelque chose. Je me suis même demandé si mon processus
n’était pas partiellement différent de celui d’Inelia.
Mais à mon réveil ce matin – presque 36 heures après le
point de départ – j’ai compris que c’était terminé. Je le savais, tout simplement – exactement comme
me l’avait décrit Inelia.
Et j’ai vécu peu après deux expériences similaires. Inelia
m’avait expliqué qu’elles pouvaient fonctionner en
parallèle les unes avec les autres sans aucun problème,
sans superposition, sans stress. Cela semblait
difficilement imaginable, mais 40 minutes environ après le
début de l’expérience initiale, je me suis verrouillé sur
une autre cible, d’une toute autre nature (un être humain
qui était décédé et que je savais souffrir beaucoup). Je
me calais sur son esprit, que je pouvais clairement
percevoir, avec détachement mais néanmoins beaucoup de
compassion. Ce processus-là était également terminé à mon
réveil ce matin.
Et, pour finir, j’en ai eu « un petit » - mon
troisième en un jour et demi – ce qui, comme me l’a
confirmé Inelia, lui arrivait souvent. C’est brusquement
apparu ce matin, et rapidement disparu, en l’espace de
deux minutes peut-être. L’effet a été subtil, mais
discernable, et j’ai reconnu le phénomène. Inelia a
simplement dit : Oui, certains peuvent
être très rapides.
Voilà, c’est tout. Ce n’est pas une histoire compliquée.
Au contraire, tout est très simple. Mais il me semble
important de communiquer mon expérience. En voici le
sens :
Inelia, et probablement beaucoup d’autres comme elle, fait
ce travail, calmement et discrètement, depuis des années.
En voici le résultat, tel que le décrit Inelia :
Bill : Et la restauration du libre arbitre et
de l’autodétermination des citoyens de la planète – où
en sommes-nous ? Pouvons-nous l’évaluer ?
Réussissons-nous ?
Inelia : Nous nous débrouillons EXTRÊMEMENT
bien. Bien au-delà de toute attente et de plus, toutes
les possibilités nous sont offertes en ce moment même.
Aucune limite dans ce qui peut être accompli.
Bill : Toutes les possibilités nous
sont offertes en ce qui concerne le degré de potentiel
positif ?
Inelia : Oui.
Mais tout n’est pas terminé. Nous ne pouvons pas nous
relâcher. Des centaines de gens font déjà ce travail et
nous ne connaîtrons sans doute jamais leur nom. Mais il
nous en faut des milliers. Des dizaines de
milliers. Et plus encore.
Voici où vous avez un rôle à jouer. Pour
certains d’entre vous qui lisez ceci, c’est
la raison même de votre présence ici. Il se peut que
la lecture de ce message soit le point critique qui vous
permette de commencer votre mission.
Rappelez-vous : Une profonde simplicité.
Débarrassez-vous de ces éléments humains que sont
l’intention, l’attachement, le jugement, l’égo, et même la
curiosité. Si vous avez des pensées ou des émotions,
reconnaissez-les et laissez-les poursuivre leur chemin. Et
permettez à l’aiguille de la boussole – votre attention –
de tourner librement afin qu’elle situe sa cible.
Vous n’aurez aucun contrôle sur la nature, le moment, ni
même sur la raison du phénomène. Lâchez prise à tout ce
qui opère par votre intermédiaire et acceptez d’être une
lentille cristalline dont la seule fonction est de pointer
dans une direction donnée.
Laissez ensuite une Energie bien supérieure à la vôtre ou
à la mienne, s’occuper du reste.
Bill Ryan
20 juin 2011
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Bill Ryan
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