Des études de cas sur la vitamine C par voie intraveineuse pour guérir le cancer pourraient déstabiliser Big Pharma
Par Tim Tucker Posté le 23 septembre 2016

"Le Journal de l'Association médicale canadienne a récemment republié un article scientifique surprenant, méritant toute l'attention des patients, des médecins et du grand public."
Le Journal de l'Association médicale canadienne a récemment republié un article scientifique surprenant, méritant toute l'attention des patients, des médecins et du grand public.
Précédemment répertorié dans Riordan et al J Orthomol Med 1998: 13: 7203 et dans Riordan et al PR Health Sci J 2004: 23:115-8, l'article, “Intravenously Administered Vitamin C As Cancer Therapy: Three Cases,” (La vitamine C par voie intraveineuse comme thérapie du cancer : trois cas) a été récemment republié dans le Journal de l'Association médicale canadienne (JMAC) 2006 174:937-42.
Cet article pourrait bien se révéler un grand coup frappé contre l'industrie pharmaceutique.
L'article confirme que la clinique Mayo, en rejetant les travaux de Cameron et Pauling, a utilisé la vitamine C oralement et non par voie intraveineuse, et n'a jamais obtenu les concentrations plasmatiques en vitamine C indiquées dans les travaux de Cameron et Pauling. La Clinique Mayo s'est ensuite servie des "résultats" insuffisants en vitamine C obtenus dans leur faux protocole Cameron-Pauling pour discréditer l'utilisation de la vitamine C dans le traitement du cancer, et retarder ainsi pendant des décennies l'usage de ce traitement efficace, non-toxique et bon-marché.
Dans cet article-ci, cependant, on utilise le protocole de Pauling, et ce avec des résultats stupéfiants.
Je ne donne ici qu'une brève description des 3 patients.
Patient 1 - Cancer du rein avec métastases pulmonaires
Le patient a refusé le traitement conventionnel du cancer au profit de fortes doses de vitamine C en administration intraveineuse dosées à 65 g, deux fois par semaine pendant 10 mois, à compter d'octobre 1996. (...)
A noter que plus de 4 années après l'interruption du traitement par vitamine C en voie intraveineuse, et avec un cancer des cellules rénales en rémission complète, on a diagnostiqué un cancer primaire du poumons à petites cellules chez ce patient, qui fumait depuis longtemps la cigarette.
Patient 2 - Cancer de la vessie
Le patient a refusé la chimiothérapie ou la radiothérapie systémique ou intravésicale, et a opté en lieu et place pour un traitement par vitamine C intraveineuse. (...)
Aujourd'hui, 9 ans après le diagnostic, le patient est en bonne santé, sans aucun symptôme de rechute, ni métastases.
Patient 3 - Lymphome
La santé du patient demeure normale 10 ans après le diagnostic de lymphome diffus à grandes cellules B, sans aucune chimiothérapie. (...)
Le pronostic concernant les patients non-traités, atteints de lymphome diffus à grandes cellules B au stade III, est très pessimiste. Ce cas, tout comme le précédent, est inhabituel en ce que le patient a refusé la chimiothérapie, qui aurait pu lui procurer une longue rémission. Il apparaît, néanmoins, que s'est produite une guérison, liée aux perfusions de vitamine C par voie intraveineuse.
Jetez aussi un coup d'œil à cet échantillon de réponses postées dans la section réservée aux commentaires :
Une lueur d'espoir - Rien d'anodin, à mon avis
Dr. Herbert H. Nehrlich - Secteur privé
Cet article est impeccable, il nous change agréablement de l'habituel politiquement correct, des errements aux motifs cachés approuvés par Big Pharma. On ignore qui a proposé en premier l'usage de la vitamine C dans le traitement du cancer. Il était néanmoins reconnu, au début des années 1950, que les "porteurs de tumeur" présentaient une insuffisance surrénalienne et une déficience en vitamine C.(1)
Pauling et Hoffer, cofondateurs de la médecine orthomoléculaire, croient depuis longtemps que la vitamine C pourrait se révéler un outil utile dans le traitement du cancer. Pauling a maintenu que la vitamine C devrait être utilisée en complément à d'autres thérapies et a montré qu'ingérer oralement 10 g suffisait à prolonger de manière significative la vie de patients atteints de cancer au stade terminal.
Des études et observations cliniques récentes ont montré que l'usage de la vitamine C devrait être une procédure standard du traitement du cancer, comme l'indiquait en 1993 une étude typique publiée par Abram Hoffer et Linus Pauling.(2) Le résultat de l'étude faisait état d'une différence notable de durée de survie entre les deux groupes. L'un suivait un traitement conventionnel avec un régime vitaminé composé de vitamine C et d'autres nutriments, tandis que l'autre ne recevant aucun nutriment excepté ceux provenant de son alimentation.
Il existe des cas de personnes au cancer avancé bien attesté, pour lesquelles le pronostic était très pessimiste, et qui semblent avoir guéri du cancer grâce à la prise de vitamine C.
Les travaux récents de Riordan, Levine, Hoffer, A. et d'autres, ont suscité un nouvel enthousiasme. De fait, les premières attentes de la médecine orthomoléculaire paraissent devoir être surpassées. De par son simple mécanisme de production de H2O2 (eau oxygénée ou peroxyde d'hydrogène - NdT) pour tuer les cellules cancéreuses, l'acide ascorbique semble très prometteur.
Pauling l'avait déjà deviné il y a très longtemps. La Clinique Mayo, qui ne pouvait autoriser un outsider comme Pauling à aller informer directement le grand public de la façon de traiter les maladies, a donc répliqué en grand "secret" les expériences de ce dernier, tout en en modifiant les règles, afin de déboucher sur une condamnation sans appel.
On pourrait croire que nous sommes tous dans le même bateau. Le cancer est un tueur terrible, et le mot suffit à faire paniquer la plupart des gens. Pourtant la lutte contre ce remède naturel, qui se trouve être un "médicament" orphelin, se poursuit. Il est après tout "peu plausible" que l'acide ascorbique soit un élément déterminant.
Le traitement du cancer par la vitamine C a permis la guérison complète de cancers attestés. Il ne peut s'agir systématiquement de rémissions spontanées.
L'étape suivante devrait être de déterminer pourquoi la vitamine C ne semble pas efficace chez tout le monde et contre tous les cancers. C'est là une question de simple bon sens.
Il sera toujours temps après de faire grimper le prix de l'acide ascorbique à des niveaux astronomiques.
Références :
(1) Herberger,The treatment of inoperable cancer, 1965 John Wright & Sons, BristolCette étude ne peut plus être ignorée ou passée sous silence par les communautés scientifique et médicale. Nous avons ici un article qui peut aider à faire la lumière sur l'industrie pharmaceutique et sa méthodologie anti-cancer, sa chimio et ses rayons, qui rapportent des milliards de dollars.
(2) Journal of Orthomolecular Medicine III, 1993
Ce post de Tim Tucker (Case Studies on Intravenous Vitamin C as a Cancer Cure Could Unravel Big Pharma) est d'abord apparu ici, sur NaturalBlaze.com Il peut être republié tant que sont préservés tous les liens internes de ce message.
Avertissement : Cet article n'a pas pour but de fournir des conseils médicaux, un diagnostic, ni un traitement. Veuillez pour cela consulter le professionnel de santé de votre choix. Les renseignements de ce site ne sont pas destinés à remplacer votre visite à un professionnel de santé qualifié et n'ont pas valeur d'avis médical.
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