En relation ou, peut-être, en réponse au récent
exposé controversé de Sy Hersh, ce qui suit a
été publié hier à Lewrockwell.
Je suis heureux que l'auteur, Linh Dinh, ait
inclus la déclaration complète de Ben Laden en
réponse à cet événement sous faux pavillon
qu'est le 11-Septembre. En la relisant, je ne
pouvais m'empêcher de m'étonner que cet homme
soit plus intelligent, plus éloquent et plus
éveillé que probablement 99 % du public
américain concernant leur propre pays. En 2001,
il nous avertissait que le mystère du
11-Septembre serait résolu en regardant à
l'intérieur, que le gouvernement US gère le
commerce international de la drogue, sous le
contrôle de notre gouvernement fantôme.
Incroyable !
Depuis le 11 septembre 2001, Ben
Laden est surtout un absent. Ses rares vidéos
ou enregistrements audio ont été hautement
suspects, et des spéculations liées à sa mort
ont souvent circulé. Le 11 juillet 2002, Amir
Taheri écrivait dans le New York Times
: "Oussama ben Laden est mort. La nouvelle
est d'abord venue il y a presque six mois de
sources afghanes et pakistanaises : le
fugitif est mort en décembre et a été
enterré dans les montagnes du sud-est de
l'Afghanistan (...) Avec un égo
grand comme le Mont Everest, jamais Oussama
Ben Laden ne serait resté -- n'aurait pu
rester -- silencieux aussi longtemps s'il
avait encore été vivant. Il a toujours aimé
s'attribuer du mérite, même de choses qui ne
le concernaient en rien. Resterait-il
silencieux pendant neuf mois, sans proclamer
qu'il a survécu ?"
Mais, à l'exception d'une unique vidéo,
douteuse, Ben Laden ne s'est jamais attribué
le mérite du 11-Septembre. De fait, il a nié à
plusieurs reprises toute responsabilité dans
ces massacres. Le 28 septembre 2001, il a été
interviewé par le Karachi Ummat, un
journal en langue ourdoue. l'US Foreign
Broadcast Information Service (le service US
d'information sur les diffusions étrangères),
une composante de la CIA, a traduit :
["] J'ai déjà dit que je ne
suis pas impliqué dans les attentats du
11-Septembre aux États-Unis. En tant que
Musulman, je fais de mon mieux pour éviter
de dire un mensonge. Je n'ai eu ni
connaissance de ces attentats, ni ne
considère le massacre de femmes et enfants
innocents, ou d'autres humains, comme un
acte valable. L'Islam interdit
formellement de causer du mal à des femmes
et à des enfants innocents, et à d'autres
gens. Ce genre de pratique est interdit,
même lors d'une bataille. Ce sont les
États-Unis qui sont à l'origine de tous
les mauvais traitements concernant des
femmes, des enfants, et des gens
ordinaires d'autres religions,
particulièrement les adeptes de l'Islam.
Tout ce qui arrive en Palestine depuis 11
mois est suffisant pour appeler la colère
de Dieu sur les États-Unis et Israël. Il y
aussi un avertissement pour ceux des pays
musulmans qui ont été témoins de tout
ceci, en spectateurs silencieux.
Qu'avait-il été fait précédemment aux
habitants innocents de l'Irak, de la
Tchétchénie et de la Bosnie ? On ne peut
tirer qu'une conclusion de l'indifférence
des États-Unis et de l'Occident devant ces
actes de terreur et le soutien des tyrans
par ces puissances : que l'Amérique est
une puissance anti-islamique et qu'elle
soutient les forces anti-islamiques. Son
amitié avec les pays musulmans n'est
qu'une façade, ou plutôt de la tromperie.
En s'attirant ou en intimidant ces pays,
les États-Unis les forcent à jouer le rôle
que ces derniers ont choisi [à leur
place]. Regardez autour de vous et vous
verrez que les esclaves des États-Unis
sont soit des dirigeants ou des ennemis
[des Musulmans]. Les USA n'ont pas d'amis,
ni ne désirent en avoir, car un des
prérequis de l'amitié est de se mettre au
niveau de son ami, ou de le considérer
comme votre égal. L'Amérique ne veut voir
personne être son égal. Elle attend des
autres qu'ils soient esclaves. En
conséquence, les autres pays sont soit ses
esclaves, soit ses subordonnés (...) Ceux
qui ont commis l'acte du 11-Septembre,
quels qu'ils soient, ne sont pas les amis
du peuple américain. J'ai déjà dit que
nous étions contre le système américain,
pas contre le peuple américain, alors que
dans ces attentats, des Américains
ordinaires ont été tués (...) Les
États-Unis devraient essayer de retrouver
chez eux la trace des auteurs de ces
attentats ; chez les gens qui font partie
du système US, mais qui sont des
dissidents de ce système. Ou bien chez
ceux qui travaillent pour un autre système
; chez les personnes qui veulent faire du
siècle actuel un siècle de conflits entre
l'Islam et la Chrétienté, afin que puisse
survivre leur propre civilisation, nation,
pays, ou idéologie (...) Puis il existe
aux États-Unis des services de
renseignement, qui demandent chaque année
des milliards de dollars de financement au
Congrès et au gouvernement. Cette
[question du financement] n'a pas été un
gros problème tant que l'ex-Union
Soviétique a existé, mais ensuite, le
budget de ces agences s'est trouvé en
danger. Elles avaient besoin d'un ennemi.
Ils ont donc commencé par faire de la
propagande contre Oussama et les Talibans,
puis cet événement s'est produit.
Voyez-vous, l'administration Bush a
approuvé un budget de 40 milliards de
dollars. Où ira cette énorme somme ? Elle
sera versée à ces mêmes agences, qui ont
besoin d'énormes fonds et qui veulent user
de leur importance. Elles vont maintenant
consacrer l'argent à leur expansion et à
l'accroissement de leur importance. Je
vais vous donner un exemple. Les
trafiquants de drogue du monde entier sont
en contact avec les services secrets des
États-Unis. Ces agences ne tiennent pas à
éliminer la culture et le trafic des
stupéfiants parce que leur propre
importance en serait diminuée. Les gens du
département US de la lutte antidrogue (US
Drug Enforcement Department) encouragent
le commerce de la drogue de façon qu'ils
puissent montrer leur efficacité et
obtenir des millions de dollars de budget.
C'est la CIA qui a fait du général Noriega
un parrain de la drogue et, lorsque
nécessaire, ils en ont fait un bouc
émissaire. De même, qu'il s'agisse du
président Bush ou de n'importe quel autre
président étasunien, aucun ne peut
traduire Israël devant un tribunal pour
ses abus des droits de l'Homme ou pour
répondre de tels crimes. Pourquoi donc ?
N'est-ce donc pas parce qu'il existe aux
États-Unis un gouvernement dans le
gouvernement ? C'est à ce gouvernement
secret qu'il faut demander qui a perpétré
les attentats (...)
Jugez par vous-même. Ceci ressemble-t-il aux
délires d'un fou quelconque dont l'égo est
grand comme le Mont Everest ? Il apparaît en
fait très posé, et bien plus lucide, bien plus
perspicace et bien plus concis que tous les
politiques américains et que la plupart des
intellectuels. Quoi qu'il en soit, cette
interview a été la dernière déclaration
substantielle de Ben Laden. Après, il a plus
ou moins disparu.
Bien que jamais vu ni entendu, il a souvent
été évoqué pour justifier les crimes que
l'Amérique commettait contre d'autres, et même
contre ses propres citoyens. Ben Laden a
justifié tout ce que nos dirigeants ont choisi
de faire. Mais dix ans représentent une longue
période quand on jette cette ombre sur nos
murs. Ce barbu est devenu un sujet de
plaisanterie, soyons francs. Lors d'un salon
de la bande dessinée, les gens de South Park
(Colorado) ont même demandé à Ben Laden de les
aider à tuer une horde d'envahisseurs du New
Jersey.
Le 2 mai 2011, notre gouvernement a décidé,
finalement, de liquider l'apparition Ben
Laden. Puisque les États-Unis étaient censé
être sur son dos depuis 1998, vous auriez pu
penser qu'ils auraient pu cuisiner leur homme
un peu plus longtemps après l'avoir attrapé,
s'ils l'ont attrapé, mais quelques heures à
peine après avoir trouvé son ennemi public
N°1, l'Amérique s'est débarrassée de Ben Laden
!
Hé là, si vous ne pouvez pas me montrer
quelque chose, c'est peut-être que vous ne
l'avez pas, spécialement si vous êtes un
menteur chronique et que vous donnez dans
l'espionnage. Dans la plupart des procès en
langue anglaise, depuis la disparition de
William Harrison en 1660, a été appliqué le
principe "pas de cadavre, pas de meurtre",
mais ici vous avez l'aveu évident d'un
meurtre, aveu largement diffusé, mais pas de
cadavre, ce qui revient à de la destruction de
preuve, quelle qu'elle ait été.
La CIA nous raconte donc en gros que le chien
a dévoré son cadavre. Franchement, cette farce
a été si grossièrement ficelée, l'explication
si ridicule, que nos seigneurs et maîtres
doivent trouver que nous sommes pour la
plupart des abrutis, intoxiqués que nous
sommes par leur propagande, livrée de la
naissance à la mort par le papier ou les
pixels. Je n'ose imaginer qu'ils puissent
avoir raison.
Sur une photographie souvent ridiculisée, on
voit Bush, vêtu d'une veste de l'Armée de
Terre, tenant dans les mains un plateau sur
lequel trône une dinde très photogénique,
décorée de raisins. Il est entouré de soldats
américains, dont la plupart ne le regardent
pas. Le but est de laisser supposer que la
photo était spontanée, décontractée, pas
posée. Qu'elle est authentique.
Dans une autre photographie, immédiatement
considérée par nos médias de masse comme
classique, emblématique et faisant date, Obama
est introduit dans la "Salle de Commandement"
de la Maison Blanche, entouré de ses
principaux conseillers de sécurité. Ils
regardent quelque chose. Aucun des treize
visages n'est tourné vers l'appareil photo. Là
encore, le but est de laisser supposer que la
photo était naturelle et spontanée. Obama est
présenté en veste d'intérieur, Biden (le
vice-président - NdT) en manches courtes, des
détails qui révèlent qu'ils sont au travail,
et non en train de poser pour une photo de
propagande, Dieu nous en garde. Cette image
est si authentique qu'elle en est à la limite
de l'illégal. Il s'agissait, après tout, d'une
session secrète. Voilà pourquoi tous les
écrans des ordinateurs portables ont été
caviardés, et la photo située devant Hillary
Clinton, floutée. Nous devrions donc nous
montrer reconnaissants d'avoir bénéficié d'un
coup d'œil sur une scène à laquelle nous
n'aurions même pas dû avoir accès. L'aspect
spontané est également renforcé par la
présence d'un visage inconnu à l'arrière,
celui d'une femme en train d'arriver. Elle est
plus jeune et plus petite que les autres, un
petit bout de femme parmi des poids-lourds,
dont presque tous sont des hommes,
incidemment, mais seuls les plus cyniques en
concluraient que cette petite femme a été
ajoutée pour multiplier par deux la
représentation féminine dans la pièce. Une
femme vraiment grande et bien charpentée
n'aurait pas fait l'affaire. Comme le ver de
la photo du mariage royal britannique, cette
minuscule femme apporte juste ce qu'il faut
d'étonnement, sans détourner l'attention.
Comme nous le savons tous, Bush a servi une
dinde en plastique, la photo de propagande à
la dinde était pour la bonne bouche, mais dans
le genre, l'image de la Salle de Commandement
était encore meilleure. En la publiant, la
Maison Blanche expliqua qu'Obama et compagnie
étaient en train de regarder le raid et
l'exécution de Ben Laden en temps réel, ce
film d'horreur étant rendu possible par une
caméra montée sur le casque d'un des commandos
des Navy SEAL. Bon, pas besoin d'être un génie
pour s'imaginer qu'une tête, en plein échange
de tirs, ne restera probablement pas immobile,
pas suffisamment longtemps, en tout cas, pour
diffuser constamment et clairement des images
aux types restés chez eux, à moins de vouloir
se faire sauter la cervelle, s'entend.
"Hé, le SEAL à la caméra,
monte-moi cet escalier et regarde bien
Geronimo (le nom de code désignant Ben
Laden - NdT), veux-tu ? Souviens-toi de ne
pas bouger et de ne pas baisser la tête,
pour que notre Commandant en Chef puisse
avoir de bonnes images, OK ?"
Peu après, la Maison Blanche a expliqué qu'il
n'y avait aucune image en direct du moment
crucial, en fin de compte, que la caméra n'a
en fait pas fonctionné pendant 25 des 38
minutes du raid, et que donc il n'existe
absolument aucun métrage de Ben Laden. Mais
pourquoi ce soudain revirement ? Ces gens-là
ne peuvent-ils donc pas mettre au point leurs
mensonges avant de nous les diffuser ?
La Maison Blanche a dû faire machine arrière,
parce qu'elle s'était mise dans une impasse.
Elle avait déjà refusé de produire des photos
de Ben Laden mort. Il avait été atteint
au-dessus de l'œil, selon elle, son crâne
avait éclaté, une image aussi macabre ferait
s'enflammer les Musulmans. "Nous ne
voulons pas tout gâcher", a expliqué
Obama. Mais si nous ne pouvons voir Ben Laden
mort, pourquoi pas une photo de lui vivant ?
Si une caméra de casque a pu apporter des
images en direct à la Salle de Commandement,
elle peut certainement produire au moins une
image de Ben Laden à la tête encore intacte,
et dans cette maison-là, non ? Mais là encore,
c'était hors de question, incroyablement.
Avec les webcams, les caméras de surveillance,
les images de rue de Google et les
téléphones-appareil photo, on a l'impression
que de nos jours le monde entier est
constamment photographié, ou prêt à l'être,
que n'importe qui, n'importe quand, peut être
pris par cet objectif, ce diaphragme vorace,
puis téléchargé sur un écran. Il y a des
appareils photos dissimulés dans les stylos,
dans les livres, les radiocassettes, les
pendules, les purificateurs d'air et les
détecteurs de fumée. On peut probablement
taper sur Google n'importe quel nom, un copain
de classe primaire, son premier amour, un chat
perdu il y a longtemps, une grand-mère
décédée--que son âme soit bénie--et trouver
des photos d'eux en ligne, téléchargées par le
Pentagone, ou peut-être par Dieu en personne.
Le public en est arrivé à attendre une photo,
en guise de preuve ou de trophée, après chaque
assassinat ou exécution politiques. Pensez à
Mussolini pendu, Ngo Dinh Diem ensanglanté
dans une voiture blindée, à Che Guevara sans
chemise, ou la tête bandée de Léon Trotski.
Nous pataugeons dans les photos, la plupart
d'entre elles sans grand intérêt. Pourtant la
seule image que tout le monde désire voir
cette semaine, celle de Ben Laden, mort ou
vif, pendant le raid, n'est pas disponible. À
la place, on nous fait crouler sous les
informations sans rapport. On nous raconte
qu'un "chien héroïque" a été impliqué ;
qu'Obama et compagnie ont mangé des roulés de
dinde pita, des crevettes froides, des
chips/croustilles avec une boisson gazeuse,
achetés chez Costco, le point de vente bon
marché--sympa, ce côté
monsieur-tout-le-monde--dans la Salle de
Commande; qu'Obama a rencontré ses commandos
pour les féliciter, tous des hommes très
intelligents et bons pères de famille âgés de
30 à 40 ans. Etc.
Les photos de Ben Laden seraient sans
importance s'il y avait un cadavre, mais ça
aussi, ça manque, donc sans cadavre, ou même
sans la moindre preuve d'une photo trafiquée,
que reste-t-il de ce meurtre sensationnel,
vraiment ? Rien que les mots de la CIA et de
la Maison Blanche. Bien qu'ils nous aient
menti à propos du "sauvetage" de Jessica Lynch
et du meurtre de Pat Tillman, nous sommes
censés les croire cette fois-ci, parce qu'ils
ont soudain décidé de dire la vérité. Pour de
vrai !
Bien que les questions importantes ne soient
pas posées, on nous enfonce les leçons
officielles dans le crâne. Selon les têtes
chenues du gouvernement et les experts
médiatiques à demeure, cet assassinat virtuel
est une confirmation de l'Amérique et de ses
(sales) manières. La fin justifie les moyens,
voyez-vous, donc le waterboarding,
l'extradition extra-ordinaire et tout le reste
sont et ont été nécessaires.
Ari Fleischer, ancien porte-parole de Bush, a
attribué l'assassinat supposé de Ben Laden à "un
socle d'importantes actions antiterroristes,
qui incluent les frappes prédatrices dans le
nord du Pakistan, la détention illimitée,
Guantanamo - où nous avions des techniques
d'interrogation qui nous ont menés au
messager (...) Obama a poursuivi ce que Bush
avait commencé. C'est un jour dont nous
devons tous être fiers, fiers de ce que
notre pays a accompli."
Obama nous a gratifié d'un peu de droiture : "Ce
soir, on nous rappelle que l'Amérique peut
faire tout ce que nous décidons de faire.
C'est là l'histoire de notre Histoire, qu'il
s'agisse de la poursuite de la prospérité
pour notre peuple, ou du combat pour
l'égalité pour tous nos citoyens ; notre
engagement à soutenir nos valeurs à
l'étranger, et nos sacrifices pour faire du
monde un endroit plus sûr."
Une leçon supplémentaire nous a été donnée par
Thomas Friedman, le chroniqueur du New
York Times. Maintenant que Ben Laden
n'est plus là, a-t-il déclaré à CNN, il est
temps d'éliminer le benladénisme, qu'il a
défini comme étant l'usage de la violence afin
de provoquer des changements politiques.
Friedman, qui excuse l'ultra violent État
d'Israël, et l'invasion de l'Irak par
l'Amérique, ne semblait pas s'inquiéter du
fait que les États-Unis soient à la pointe de
la violence dans le monde, avec des objectifs
politiques et économiques. Même avant le
11-Septembre, les Talibans ont cherché de
nombreuses fois à remettre Ben Laden aux
États-Unis, mais l'Amérique n'en voulait pas.
Notre intention, à l'époque comme aujourd'hui,
était de bombarder, bombarder, bombarder !
Tout comme une grande marque de crème à
récurer, Ben Laden mort a ramené tout le monde
à la maison sans encombre. Bush a pu
finalement rassembler les joueurs, trouver une
solution et toper là avec Obama. Nous sommes
dans la même équipe, pas vrai ? Même Colin
Powell a pu être dégivré le temps de féliciter
nos Navy SEAL.
S'étant vu attribué cette mission-bidon, nos
Navy SEAL ont néanmoins cafouillé et laissé un
énorme débris d'hélicoptère sur un mur de
brique. Combien de Navy SEAL sont-ils morts
dans ce crash ? Partant d'une mission mal
ficelée où Ben Laden ne figurait pas du tout,
les États-Unis en ont fait un conte de fée à
glorification interne, pour célébrer leur
prétendue grandeur. Qui plus est, si Ben Laden
était vraiment un leader d'organisation
terroriste aussi craint, pourquoi a-t-il été
tué à vue ? Ne serait-ce que pour des raisons
de renseignement, n'aurait-il pas été
impératif d'attraper le vieillard vivant ?
Souffrant depuis longtemps de problèmes
rénaux, Ben Laden n'aurait pas pu de toute
manière survivre jusqu'en 2011, mais le faire
remarquer, c'est encourir une colère à vous
glacer le sang, non seulement de la part des
Américains enthousiastes qui agitent des
drapeaux, mais aussi de celle des
commentateurs progressistes, car tel est le
niveau du lavage de cerveau dans ce pays.
Le 6 août 2011, 22 Navy SEAL du groupe chargé
d'éliminer Ben Laden ont été tués lorsqu'on a
tiré sur leur hélicoptère--les Talibans,
dit-on. Les 38 personnes qui étaient à bord de
ce Chinook sont toutes mortes, dont 30
Américains. Jamais auparavant ni depuis, les
Talibans n'ont tué d'un seul coup autant
d'Américains, et la question demeure :
pourquoi tant de "héros" de cette attaque
contre Ben Laden ont-ils été rassemblés de
manière aussi pratique, permettant de les
réduire ainsi au silence ? Menteurs et
criminels, nos souriants dirigeants tuent
leurs propres soldats, puis épinglent des
médailles sur leurs cadavres.
Quand il a voulu prouver qu'il est né aux
États-Unis, Obama nous a montré un fichier
électronique, puis en guise de plaisanterie,
un extrait de dessin animé ; mais pour prouver
la mort de Ben Laden, ceux qui tirent les
ficelles d'Obama ne nous ont rien donné, si ce
n'est un scénario de dessin animé pour gamins
demeurés. Les fichus escrocs qui nous
manipulent doivent ne pas en croire leurs
yeux, peut-être même en rire bruyamment, en
constatant tout ce qu'ils peuvent se permettre
dans cette nation de dupes.
Bonjour à tous,
C'est une discussion vraiment très
intéressante, Matt. Merci d'amener le sujet.
Je crois me souvenir que Ben Laden était
sous dialyse. Voici un article du 21 janvier
2002, qui parlait de Ben Laden et disait
qu'il était déjà plus que probablement mort
d'une insuffisance rénale. Il existe tout un
tas d'infos en ligne, mais je voulais
apporter cette précision, puisqu'on a tué
Ben Laden bien des fois au fil des ans, pour
finalement le ressusciter lors du coup du
Pakistan, où il n'y a jamais eu de corps
mais tout de même des obsèques par immersion
en mer, ce qui paraît vraiment ridicule.
chancy
Le Dr. Sanjay Gupta: Ben
Laden aurait besoin d'aide s'il était
sous dialyse 21 jan. 2002
Posted: 10:42 AM EST (15h42 GMT) Dr. Sanjay Gupta Sauvegardez le lien vers cet
article et retournez-y à www.savethis.com Version imprimable de cet article Envoyez un lien e-mail vers cet
article Consultez la liste des articles
les plus populaires de notre site (CNN) -- Les spéculations
concernant l'endroit où se trouve
Oussama Ben Laden et son état de santé
sont allées bon train ce week-end,
lorsque le président du Pakistan, le
général Pervez Moucharraf, a annoncé
qu'il pensait que Ben Laden était
probablement mort d'une insuffisance
rénale. Le correspondant médical de CNN,
le Dr. Sanjay Gupta s'est entretenu
lundi avec Paula Zahn, de CNN, de
l'aspect physique de Ben Laden dans les
bandes vidéo récemment publiées, et de
la possibilité que le leader terroriste
accusé suive un traitement rénal. ZAHN : Comme point de référence,
j'aimerais que vous analysiez les images
d'Oussama Ben Laden apparemment prises
avant le 11-Septembre. Décrivez-nous la
couleur et la teinte de sa peau, et
j'aimerais ensuite que vous compariez
cela aux images que nous savons avoir
été prises beaucoup plus tard. GUPTA : Vous pouvoir regarder [les
images d'une vidéo de décembre 2001] et
remarquer qu'il a ce que certains
médecins appellent des traits figés --
la teinte grise de sa barbe, la pâleur
de sa peau, des traits fortement
émaciés. On associe très souvent cela à
une maladie chronique. Les médecins
peuvent certainement regarder cela et y
trouver des signes cliniques. Mais mieux encore, il est parfois
possible d'isoler le type précis de
maladie ou de pathologie dont il peut
souffrir. Cette sol de gel de
l'apparence est souvent associé à une
insuffisance rénale chronique, une
insuffisance rénale qu'aurait
certainement quelqu'un dont l'état
nécessite une dialyse. Par ailleurs, il ne bouge pas les
bras. J'ai regardé cette bande vidéo en
entier, du début à la fin. Il n'a jamais
bougé le bras gauche. La raison qui peut
se révéler ici importante, c'est que les
gens qui ont fait un accident vasculaire
cérébral -- et les gens qui souffrent
d'une insuffisance rénale encourent plus
de risques d'AVC -- il se peut qu'il ait
fait un AVC et qu'en conséquence, il ne
puisse bouger le côté gauche. Et dans le
reste de la vidéo, il bouge en effet le
côté droit un peu plus que le côté
gauche. Voilà donc quelques-unes des
choses "à noter" ici, en quelque sorte,
dans cette vidéo plus récente. ZAHN : Je pense qu'il nous faut
rappeler une fois encore aux internautes
que le président du Pakistan a parlé de
l'importation en Afghanistan par [Ben
Laden] de deux machines à dialyse. Bien
sûr, personne d'autre que le président
du Pakistan ne confirme actuellement que
[Ben Laden] avait en fait besoin de
dialyses. GUPTA : C'est exact. Et là encore,
la dialyse rénale -- je parle
d'hémodialyse -- est quelque chose qu'on
réserve vraiment aux patients en état
d'insuffisance rénale au stade terminal.
Ce qui signifie que les reins ne
fonctionnent plus du tout. La cause la plus probable d'un
problème de ce genre serait par exemple
du diabète ou de l'hypertension. Une
fois qu'on en est là, si on n'a pas sa
machine à portée de main -- incidemment,
les appareils de dialyse ont besoin
d'électricité, ils ont besoin d'eau
propre, ils ont besoin d'un
environnement stérile -- l'infection est
un risque énorme. Si on ne dispose pas
de tout cela et d'un appareil à dialyse
en ordre de marche, on ne survit
généralement pas plus de quelques jours,
ou une semaine au grand maximum. ZAHN : Si on a tout ce dont vous
parlez pour que la machine à dialyse
continue à fonctionner, de combien
d'aide a-t-il besoin dans son entourage
pour administrer le traitement ? GUPTA : On a sans aucun doute
besoin de quelqu'un qui sache faire
fonctionner l'appareil à dialyse. Il
faut quelqu'un qui vérifie vraiment son
sang, le sang d'Oussama Ben Laden, pour
voir de quel dialysat précis il a
besoin, et capable de le changer selon
les besoins. Il lui faudrait donc un
spécialiste des reins, un technicien --
la présence d'un certain nombre de gens
autour de lui.
Merci chancy ! Je me souviens de cette
interview. Le fait qu'ils mentionnent la vidéo
de Ben Laden de décembre 2001 me rappelle, si
mes souvenirs sont exacts, que cette vidéo était
la dernière vidéo authentique connue de Ben
Laden. Tout ce qui est sorti depuis est de toute
évidence faux, et qu'il soit mort peu de temps
après l'avoir réalisée, fait de cette vidéo une
importante preuve indirecte.
Mon plus gros problème concernant les "attaques"
de Hersh contre la version Obama de la mort de
Ben Laden, c'est qu'elles préservent les faux
récits où Ben Laden est responsable des
attentats du 11-Septembre et où il a été tué des
années plus tard par les SEAL. Donc, que
l'administration Obama discrédite ou réfute
Hersh, ou non, les fausses histoires sur Ben
Laden demeurent, et une grande partie de notre
pays de somnambules s'engage dans le mauvais
débat, et son attention est parfaitement
détournée. VOILÀ ce qui me penser que Hersh fait
partie de la magouille, parce que ceux qui ont
perpétré le 11-Septembre et qui ont lancé toute
l'histoire fausse de Ben Laden ensuite, s'en
tirent. Soit c'est le cas, soit il s'agissait
d'une opération très ciblée de la part des
"pouvoirs", destinée à lui implanter cette
information, en lui faisant croire qu'elle est
authentique.
William Cooper a fait une analyse
remarquable des circonstances qui ont
entouré Ben Laden, et il a mis dans le
mille quand il a montré qu'un quelconque
reporter de CNN, sans aucun budget, a pu
savoir où se cachait Ben Laden, si bien
qu'il a pu faire son interview, alors que
le plus vaste système de renseignement du
monde et de l'histoire de l'humanité a
passé des années et des années à le
chercher sen vain. Cela ne paraît tout
simplement pas logique, il s'agissait là
d'une opération où une grande quantité
d'agents de renseignement agissaient en
coulisse, et nous ne connaissons qu'une
petite partie de la vérité. Je pense que
Mr. Cooper avait une idée vraiment précise
de ce qui se passait en coulisse et qu'il
était devenu une grave menace ; ils l'ont
donc éliminé.
Il y a plus de vérité dans ce qui
est caché et manquant que dans ce qui
est visible et disponible.
[Traduction de la vidéo :
Milton William "Bill" Cooper
prédit le 11-Septembre et PLUS ENCORE,
le 28 juin 2001 "Et maintenant on nous bombarde de
messages disant qu'Oussama Ben Laden se
prépare à attaque les États-Unis
d'Amérique, et Israël. Et je vous le dis
: préparez-vous, à un grave attentat,
mais ce ne sera pas Oussama Ben Laden,
il s'agira de ceux qui sont derrière le
Nouvel Ordre Mondial qui, une fois de
plus, veulent retirer aux Américains
leurs armes et leur liberté, parce que
nous sommes maintenant les seuls au
monde à pouvoir nous opposer à la
destruction de la liberté dans le monde
et à la mise en place d'un gouvernement
totalitaire socialiste mondial, et c'est
ça leur but. Maintenant, comment pouvez-vous
être stupides au point de croire que
Timothy McVeigh était l'homme
responsable de la destruction de
l'immeuble fédéral Alfred P. Murray
d'Oklahoma City et que seuls lui et
Terry Nichols, qui apparaît passablement
idiot, ont conspiré, planifié, réussi à
obtenir tous les matériaux différents
permettant ensemble de fabriquer une
bombe d'une telle puissance qu'elle a pu
faire s'effondrer ce que nous appelons
dans l'armée une "cible durcie", une
cible renforcée par des colonnes en
béton armé, et qu'il l'a fait sans aide. Ils recommencent aujourd'hui avec
Oussama Ben Laden, et c'est là où je
voulais en venir. Pouvez-vous croire ce que vous
avez vu aujourd'hui sur CNN, Mesdames et
Messieurs ? Pouvez-vous vraiment le
croire ? Ahah ! Un reporter de CNN est
censé avoir retrouvé Oussama Ben Laden,
et a emmené avec lui une équipe de
tournage dans le repaire d'Oussama Ben
Laden, l'a interviewé, et ses bras
droits, ses lieutenants principaux, ses
colonels, ses généraux... dans leur
repaire. Il s'agit d'un reporter CNN et de
son équipe de tournage. Et il est sorti
dire à tout le monde : "Dans trois
semaines au maximum, Oussama Ben Laden
va attaquer les États-Unis
et Israël. Ne trouvez-vous pas ça bizarre,
les amis ? Parce que, voyez-vous, le plus
grand système de renseignement du monde,
doté du plus grand budget de l'histoire
du monde, cherche Oussama Ben Laden
depuis des années et des années, et ne
peut pas le trouver... Le FBI aussi, dirigé par Louis
Freeh, cherche Oussama Ben Laden depuis
des années, des années, des années, ...
et ne peut pas le trouver ! Un petit reporter quelconque et
son équipe de tournage va directement à
son repaire et l'interviewe ! Et vous
savez de combien d'argent il dispose ?
Zéro, rien du tout ! Bon, ça nous indique deux choses :
ou bien tout le monde dans le milieu du
renseignement, toutes les agences de
renseignement du gouvernement des États-Unis
sont des crétins finis et des idiots
incompétents, y compris tout l'appareil
du FBI et tout son personnel, ou bien
ils nous mentent, et ils ne le
recherchent pas du tout. Et la seconde proposition est la
vérité. Voyez-vous, c'est la CIA qui a
créé Oussama Ben Laden. Ils l'ont
recruté. Ils l'ont formé. Ils lui ont
trouvé son leadership. Ils les ont tous
rassemblé. Ils lui ont montré, à lui et
à eux, comment combattre l'Union
Soviétique en Afghanistan. Et quand ça
s'est terminé, ils ont continué à le
financer, à le former, et maintenant ils
l'utilisent pour qu'il contribue à faire
venir le gouvernement mondial en faisant
de lui le grand croquemitaine, parce
qu'ils ne peuvent plus utiliser Saddam
Hussein. Avez-vous entendu parler d'Oussama
Ben Laden, avant d'entendre parler de
Saddam Hussein ? Quand vous avez commencé à
entendre parler d'Oussama Ben Laden,
c'est après que Saddam Hussein en Irak
est censé avoir été neutralisé lors de
la Guerre du Golfe. Parce qu'ils avaient
besoin d'un nouveau croquemitaine. Mais ils ne recherchent pas
Oussama Ben Laden, parce que je vous le
dis en ce moment, si j'étais le
directeur de la CIA, en l'espace de deux
semaine, je l'aurais fait tuer, ou
mettre en garde à vue, sans faute, SANS
FAUTE ! Si j'avais ces atouts et tout cet
argent, il serait à moi, ce terroriste
serait à moi, en deux semaines, SANS
FAUTE ! Un journaliste de CNN, et sa
petite équipe de tournage, est arrivé
dans le REPAIRE SECRET d'Oussama Ben
Laden, et a conduit une interview. Si vous ne me croyez pas,
branchez-vous sur CNN, ils en discutent
probablement au moment où je vous parle.
Et si vous y croyez, vous êtes un des
plus fieffés imbéciles vivant sur la
surface de cette planète. Et quoi qu'il arrive, ils vont
accuser Oussama Ben Laden, et surtout
n'en croyez rien ! Une illusion sociale de plus, un
nouveau projet d'ingénierie sociale
destiné à changer l'esprit, l'attitude
et les croyances des gens du monde, et
particulièrement des États-Unis,
pour faire arriver un gouvernement
mondial socialiste totalitaire. Pouvez-vous croire un moment ce
qu'ils disent ? Que Timothy McVeigh, la CIA, la
NSA, le FBI, le service de renseignement
de la Défense, sont incapables de
trouver Oussama Ben Laden, même dans
leurs rêves les plus fous ! Mais Timothy
McVeigh et Terry Nichols l'ont pu, et
l'ont recruté pour qu'il soit leur
complice dans l'explosion de l'immeuble
fédéral Alfred P. Murray ! Des
c*** !!! Comme vous pouvez être stupides !
Ces types n'avaient pas un sou !
Pas un sou ! Jusqu'à quel point
pouvez-vous être stupides et abrutis ? Mettez-moi à la tête de la CIA. Je
vous garantie que je l'aurais en garde à
vue en deux semaines maxi ! Ou mort.
Choisissez ! Choisissez... Vous voulez dire qu'avec ce
budget, qu'avec ces ressources, et ce
personnel, je vous garantie que je
l'aurais en deux semaines ! Et vous savez quoi ? Si j'avais
quelques bons Américains loyaux désireux
de faire don de suffisamment d'argent,
certainement même pas une goutte d'eau
dans la mer, par rapport à ce dont ils
disposent en réalité, dans ces services
de renseignement, pour le poursuivre
réellement -- je pourrais encore l'avoir
en deux semaines. Du gâteau ! Alors pourquoi est-ce que tous ces
imbéciles croient cette plaisanterie, où
un journaliste de CNN et son équipe de
tournage peut arriver à faire ce que
tout l'argent, tous les meilleurs
agents, toutes les écoutes, tous les
services de renseignements, tous les
satellites, tous les agents secrets du
monde n'ont jamais réussi à faire ? C'est parce qu'ils n'essaient pas,
qu'ils ne le veulent pas, qu'Oussama Ben
Laden est leur création, et qu'ils leur
est très utile. Quand, bon dieu, allez-vous tous,
les gars, vous réveiller ? Est-ce que vous me faites marcher
? C'est une blague incroyable. Ces
gens sont si stupides qu'ils tombent
dans le panneau ? Savez-vous combien d'argent la CIA
et la NSA et le FBI ont, à leur
disposition, chaque année ? Savez-vous
combien d'agents ils peuvent mettre
là-dessus ? Vous rendez-vous compte de
la technologie dont ils disposent pour
espionner chaque conversation dans le
monde, quel que soit son mode de
transmission ? Et repérer le lieu de
chacune de ces transmissions ? Et ils ne peuvent pas trouver
Oussama Ben Laden, mais un certain
journaliste de CNN est capable d'y aller
directement avec une équipe de tournage
? Comme s'il avait toujours su où ils
étaient... Comme si c'était la CIA qui
les avait envoyés là-bas. (Rire
sardonique) "Mais je lui ai dit où il était."
Et bien sûr, ils savent où il était,
parce ce sont eux qui l'ont créé, l'ont
financé, l'ont soutenu, l'ont aidé, pour
créer le nouveau monde utopique. Hitler n'aurait jamais pu arriver
au pouvoir, au pouvoir absolu en
Allemagne, sans l'incendie du Reichstag.
Hitler était un socialiste. Il
comprenait l'illusion sociale,
l'ingénierie sociale. Il savait comment
obtenir le soutien du peuple allemand,
et il l'a obtenu en faisant brûler le
Reichstag. Le Reichstag était... eh bien,
dans notre pays, ce serait le bâtiment
du Capitole, qui abrite le Sénat et la
Chambre des Représentants. Donc si
quelqu'un allait aujourd'hui incendier
le Capitole, il utiliserait ça comme
excuse, comme l'a fait Hitler, pour
arrêter tous les ennemis du Nouvel Ordre
Mondial, c'est-à-dire moi, la plupart
d'entre vous qui écoutez, et il nous
jetterait en prison et nous exécuterait,
il déclarerait la loi martiale, et
prendrait le pouvoir absolu dans [notre]
pays. Je me demande quelles cibles est
censé avoir Oussama Ben Laden, et si
ceci ne se concrétise pas dans deux ou
trois semaines, cela arrivera un jour ou
l'autre, parce qu'ils n'ont pas réussi à
prendre aux Américains leurs armes à
feu, pas plus qu'ils n'ont réussi à nous
enlever nos libertés. En fait, il y a
une grand éveil dans ce pays, et un
grand retour de bâton contre ces
communistes marxistes, sales menteurs,
nazis subversifs, brutes totalitaires de
la Gestapo qui sont en train de gagner
de l'importance. Je peux donc vous dire avec
certitude qu'il FAUT qu'ils fassent
quelque chose d'horrible s'ils veulent
faire cesser ce retour de bâton, et
regagner la sympathie de la masse des
troupeaux de moutons présents. Et, je vous le dis, une des choses
qui nous donnera la supériorité morale
et qui déclenchera la guerre civile,
c'est quand ils déclareront la loi
martiale dans tout le pays, et
retireront les armes des mains des
Américains et où ils arrêteront les
patriotes américains. Le monde commencera ce jour-là, ce
jour-là. Et il y aura une guerre, dans ce
pays, une guerre civile, pour restaurer
-- non pas une révolution, mais une
guerre civile pour restaurer un
gouvernement constitutionnel et
républicain. Pendant ce temps, les forces
souterraines marxistes et communistes
commenceront, ou essaieront de
commencer, une révolution, afin
d'instituer un gouvernement marxiste,
socialiste ou communiste, en conséquence
de la guerre civile. Et donc, nous sommes censés ne pas
être la seule nation à rechercher
Oussama Ben Laden et donc, les vastes
ressources économiques, les vastes
ressources technologiques, les vastes
ressources en personnel, les vastes et
complexes réseaux de la Toile pendant
toutes ces années par la CIA, la NSA
n'arrivent pas à trouver Oussama Ben
Laden, mais CNN, oui, le peut. Des c*** ! ]
L'invasion de l'Afghanistan menée par les
États-Unis, le Royaume-Uni, l'OTAN, est jusqu'à
présent une des plus grandes arnaques du XXIe
siècle, et ce siècle n'avait qu'un an lorsque
s'est produit le 11-Septembre, le prétexte
de l'invasion et de l'arrestation de Ben Laden a
été dès le départ une "psyop"...
Quelque chose de monté de toutes pièces pour se
débarrasser des Talibans et pour rouvrir les
champs de pavot et relancer le commerce de
l'opium parmi d'autres projets concernant le
pays. Cela aussi était inclus dans la
destruction des informations dans le Bâtiment 7
[du World Trade center]. Une façon pratique de
démolir les Tours Jumelles qu'il fallait de
toute manière abattre, dans la mesure où le coût
de leur remise en état aurait été colossal.
"Lucky Larry" (Lucky le Veinard -- allusion à
Larry Silverstein, le propriétaire des bâtiments
concernés) -- mon œil ! -- les exercices de
sécurité et toutes les autres "COÏNCIDENCES"
sont ridicules...
Le meurtre de toutes ces victimes innocentes et
des millions qui ont suivi n'ont pas encore été
comptabilisés !!
Quoi qu'il en soit, on nous a fait croire
qu'"Al-Qaïda" était l'armée du diable,
retranchée avec en sa possession plus d'armes
que le Texas... LOL
Dick Cheney...le 11-Septembre Souvenez-vous
des mensonges... Les cavernes-bunkers
imaginaires de Ben Laden
"X : ... et on discute
constamment du fait qu'il se terre dans
des cavernes et je pense que souvent les
Américains s'imaginent qu'il s'agit d'un
petit trou creusé au flanc d'une montagne.
David RUMSFELD : Oh non. (Se
référant à l'image) C'est tout à
fait ça. Il s'agit d'une forteresse, d'un
complexe, sur plusieurs niveaux : des
chambres et des bureaux en haut, sur
plusieurs niveaux, comme vous pouvez le
voir, des accès secrets sur le côté, au
bout et en bas, creusés en profondeur pour
éviter la détection thermique, un système
de ventilation pour permettre aux gens de
respirer dans l'action. Des entrées
suffisamment grandes pour y conduire des
camions et même des chars, et même des
systèmes informatiques et téléphoniques.
Il s'agit d'une opération très
sophistiquée ! X : Oh, sûr ! David RUMSFELD : C'est une affaire
sérieuse. Et il n'y en a pas
qu'une, il y en a beaucoup de ce type...]
Il n'y a pas
d'Al-Qaïda
Le soi-disant Al-Qaïda
que nous voyons est en fait constitué de
kharijites (dissidents sunnites - NdT)
associés à des bandes de mercenaires comme
le TTP (le Mouvement des Talibans du
Pakistan - NdT), menés et entraînés par le
Mossad, la CIA et la RAW (l'agence du
renseignement extérieur de l'Inde - NdT),
qui se font passer pour des djihadistes
islamiques et créent des justifications
pour la guerre mondiale de l'information
et de la propagande, afin de lancer une
nouvelle guerre contre un nouveau pays
musulman.
"La vérité, c'est qu'il
n'existe aucune armée islamique ni aucun
groupe terroriste nommé Al-Qaïda, et tout
officier des renseignements bien informé
le sait, mais il existe une campagne de
propagande dont l'objectif est de
convaincre le public de la présence d'une
entité identifiée incarnant le "diable",
dans le seul but de conduire les
téléspectateurs à accepter un leadership
international unifié dans une guerre
contre le terrorisme. Le pays derrière
cette propagande est les États-Unis...." Robin Cook, ex-ministre britannique
des Affaires Étrangères (Décédé au cours d'une randonnée dans
les Highlands écossais)
Il existe un bon documentaire de la BBC et, mêlé
à la propagande, ils font parfois de bons
documentaires et ils postent des articles sur
leur site, mais ils ne sont pas surlignés. Je
l'ai posté plusieurs fois et je le cherche en ce
moment...
Voici un extrait vraiment bon.... La vérité sur le 11-Septembre - Al Qaïda
n'existe pas
Al-Qaïda n'existe pas, quelle que soit
l'orthographe utilisée. C'est une arnaque
perpétrée contre le peuple américain par notre
propre gouvernement afin de nous soumettre par
la peur. Voici un extrait de l'excellent
documentaire de la BBC en trois parties intitulé
"Le pouvoir des cauchemars". Vous pouvez le voir
en entier sur Google Video ou le télécharger sur
scholarsfor911truth.org.
"Le pouvoir des cauchemars" - partie 3 de 3 - Le
développement de la politique de...", contenu
audiovisuel administré par :
BBC Worldwide
Soutenez Project Avalon - faites un
don :
Merci de votre aide.
Votre générosité nous permet D, tout comme
nous. de poursuivre notre tâche
Ben Laden : que
savons-nous au juste ?
