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RECHERCHES LIÉES AUX CONSPIRATIONS
 
Chemtrails




Chemtrails : l'arme exotique



10 novembre 2014


- Un document NASA de 1966 révèle le but des "modifications climatiques" artificielles



Traduction par The Avalon Translation Project.




Climate Change Through Climate
                            Engineering Header
  Changements climatiques par l'ingénierie climatique


Deux documents de base utilisés dans cet article

“Les plans actuels et futurs des Agences fédérales pour la modification de la  météo et du climat”


Cette série de documents datant de 1966 révèle un réseau d'agences gouvernementales en collaboration secrète et permanente avec les militaires dans le but de modifier le climat de la planète. Créée par l'élitiste Académie Nationale des Sciences [étasunienne] - la culture du secret existant depuis des décennies entre ces agences explique pourquoi la question de la géo-ingénierie cachée liée aux aérosols (les chemtrails) est un sujet tabou qu'une matrice de bureaucrates complices s'emploie à réduire au statut de "théorie du complot" chaque fois que possible. C'est la raison pour laquelle la FAA, la NOAA, la NASA et votre "météorologue" TV local refusent d'utiliser l'observation scientifique quand on leur demande d'expliquer pourquoi un ciel est inhabituellement rempli de traînées d'avion bizarres.

"Les preuves qui s'accumulent progressivement révélant le résultat positif des efforts visant à modifier le climat ont amené en novembre 1963 le Comité des Sciences Atmosphériques de l'Académie Nationale des Sciences aux États-Unis à nommer une commission sur la modification du temps et du climat, "afin d'entreprendre un examen attentif et approfondi du statut et des activités existant actuellement dans ce domaine et de ses futures potentialités et limites." - Page 6.
Évolution d'un programme de R&D pour la modification de la météo en un système militaire d'armes"OLYMPUS DIGITAL CAMERA Ce document de la Fédération des Scientifiques Américains, datant de 1986, est une critique de l'initiative de la NASA en 1966, où l'auteur (Leitenberg ?) décrit le Programme de modification météorologique comme détourné en un système militaire d'armes. Ce document est inclus dans : Studies of Military R&D and Weapons Development (Études de R&D militaire et de développement d'armement) de Milton Leitenberg, maître de recherche universitaire - Center for International and Security Studies, Université du Maryland, College Park. Leitenberg est l'auteur de plusieurs ouvrages (Amazon Books).  

Un important ouvrage de 2014, en rapport avec ce sujet : “The Deliberate Corruption of Climate Science” by Tim Ball, PhD  ("La corruption volontaire de la science du climat", par le Dr.Tim Ball, PhD.)   

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Men in Black Neuralyzer Chemtrails
                                SRM sm

"1962  Les propositions de réchauffement climatique par la géo-ingénierie sont considérées comme une bonne idée

2012  Les géo-ingénieurs déclarent que le réchauffement climatique nécessite la gestion des radiations solaires"

"Memory Loss" = perte de mémoire

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"L'Avenir n'est plus ce qu'il était" (Un regard philatélique sur la science-fiction)

St. Vincent et les Grenadines   $5

Jules Verne (1828-1905)
Écrivain français, Jules Vernes possède l'extraordinaire capacité d'anticiper les découvertes scientifiques du XXème siècle. Dans son roman De la Terre à la Lune, écrit en 1865, la notion à peine imaginable de gens parcourant la surface de la Lune deviendra réalité 104 ans plus tard."
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Chronologie du réchauffement volontaire de l'Arctique

1870 : La Standard Oil Corp. suggère de réchauffer artificiellement l'Arctique - La Standard Oil Co. Inc. était une entreprise pétrolière américaine qui produisait du pétrole, le transportait, le raffinait et le mettait sur le marché. Établie en 1870 en tant que "corporation" dans l'Ohio, elle était le plus grand raffineur de pétrole du monde. L'histoire très controversée de cette entreprise, une des premières et plus grandes multinationales du monde,  se termina en 1911, lorsque la Cour Suprême des États-Unis décréta que la Standard était un monopole illégal.

1889 : Jules Verne parla en 1889 de modifier artificiellement le climat terrestre dans la suite de "De la terre à la Lune", intitulée "Les Anglais au Pôle Nord". Verne y écrit que le Baltimore Gun Club a acquis de grandes étendues de l'Arctique avant d'utiliser le fameux canon de "De la Terre à la Lune" pour changer l'inclinaison de l'axe terrestre. L'objectif était d'établir au Pôle Nord un paradis tropical en guise d'attraction touristique rentable tout en "améliorant" l'ensemble du climat mondial.

Puisque Verne a prédit que l'homme voyagerait de la Terre à la Lune, il n'est pas si étonnant qu'il prédise aussi qu'un petit groupe de gens influents envisage de réchauffer le climat par profit.

1877 : Il se peut que Verne se soit inspiré de Nathaniel Shaler, un géologue d'Harvard qui suggéra en 1877 de dévier le courant chaud de l'Atlantique vers l'Arctique - une douzaine d'années avant que soit publiée le "fantastique" récit de Verne, et sept ans après la constitution de la Standard Oil.
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De 1955 à 1990, explosion dans l'Arctique de 88 engins nucléaires atmosphériques, 29 engins souterrains, et de trois engins sous-marins.

Mis en ligne le vendredi 17 février 2012 par GRID Arendal - Activités nucléaires dans l'Arctique au cours des 50 dernières années

Extrait de la collection Vital Arctic Graphics (Edition 2004)
Auteur : Philippe Rekacewicz, UNEP/GRID-Arendal

De nombreuses explosions nucléaires ont eu lieu dans l'Arctique. Un des plus grands centres d'essais nucléaires militaires se trouve sur l'île de Novaïa Zemlia où, de 1955 à 1990, l'Union Soviétique a fait exploser 88 engins nucléaires dans l'atmosphère, 29 sous terre et 3 dans l'eau. Des dizaines d'"explosions nucléaires pacifiques" civiles se sont également produites dans l'Arctique russe, où les bombes atomiques ont été utilisées jusqu'à la fin des années 1980 pour la recherche sismique, l'exploitation minière, et dans l'extinction d'incendies sur des champs de pétrole. (Source)




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Activités nucléaires dans l'Arctique au cours des 50 dernières années
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En 2008 - un an avant que la faible activité solaire commence à faire craindre 40 à 60 ans de refroidissement mondial, les climatologues spécialistes secrets des aérosols étaient certains de pouvoir faire fondre les glaces arctiques au bénéfice de BIG OIL - des grands pétroliers - de créer une taxe carbone et de réaliser la politique économique des banksters du Nouvel Ordre Mondial, menée par l'ONU.

World Watch Institute : mars 2008 : la fonte de l'Arctique peut encourager l'expansion des forages pétroliers

Au milieu des années 1980, plus de la moitié de l'Océan Arctique était constamment couvert de glace. Aujourd'hui, la calotte glacière est beaucoup plus réduite. Des preuves alarmantes de cette tendance au réchauffement ont été divulguées la semaine dernière lorsque l'Administration nationale aéronautique et spatiale US (la NASA) a publié des documents satellite que la couverture glaciaire pérenne de l'Arctique, en février, ne repose que sur moins de 30 % de l'océan.

"Le taux de perte mer-glace que nous observons actuellement est bien pire que ce que nous laissait supposer même les projections les plus pessimistes", affirme Carroll Muffett, sous-directrice de campagne de Greenpeace USA. Pour la première fois de l'Histoire connue, l'été dernier, l'ensemble du Passage Nord-Ouest entre les océans Pacifique et Atlantique était libre de glace, selon les scientifiques. (Source)

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VILLAGE VOICE : "Hé, vous vous rappelez quand le changement climatique était une idée géniale ? Il y avait des cocotiers à l'horizon."

"On donnait libre cours à son imagination, et le Washington Post voyait déjà Manhattan en paradis tropical" (...) "Les gens cueilleraient des oranges aux arbres de Central Park, ou des noix de coco des palmiers plantés le long de Battery, [et] chasseraient le crocodile au large de la Statue de la Liberté."

Cette perspective paraissait si merveilleuse aux New-Yorkais que le sénateur William Calder (1917-1923) a même tenté d'obtenir que 100.000 $ soient consacrés à l'étude de cette idée. Village Voice

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1962  Harry Wexler (15 mars 1911-1962) était diplômé du MIT (Massachusetts Institute of Technology) et docteur en météorologie. Wexler avait recherché le lien existant entre les composés de chlore et de brome et la destruction des couches d'ozone stratosphériques, mais est mort d'un infarctus pendant des vacances à Woods Hole, dans le Massachusetts. Il venait d'accepter une invitation à donner une conférence intitulée "Le climat de la Terre et ses modifications" à  l'Espace de Recherche et Institut de Technologie de l'Université du Maryland.(Source)

Les propositions de Wexler s'inscrivaient dans une longue suite de propositions ambitieuses destinées à réchauffer l'Arctique.

Par coïncidence, il a exprimé ses propositions au moment même où l'Académie Nationale des Sciences s'employait à créer un programme national de modification météorologique - une direction dans laquelle les militaires s'étaient déjà engagés en 1958.

Initiatives de "réchauffement climatique" proposées par Wexler :
  • Augmenter de 1,7°C la température de la Terre "en injectant un nuage de cristaux de glace dans l'atmosphère polaire par l'explosion de 10 bombes-H dans l'Océan Arctique - sujet de son article de 1958 dans le Science Magazine (Wexler H., 1958, "Modifying Weather on a Large Scale", Science, n.s. 128 (31 oct. 1958) : 1059-1063)
  • Diminuer la température mondiale de 1,2°C serait possible "en lançant en orbite autour de l'équateur un anneau de particules de poussières, modification d'une proposition russe antérieure destinée à réchauffer l'Arctique".
  • Détruire la couche d'ozone et augmenter ainsi brutalement la température de la surface terrestre, en pulvérisant "plusieurs centaines de milliers de tonnes de chlore ou de brome" au moyen d'un avion stratosphérique. Fleming, 2007(a), pp. 56-57 ; Fleming, 2007 (b), note N° VIII" p. 9 et p. 5.(source)
La décision de passer du réchauffement de l'Arctique à son refroidissement a été annoncée en 1963 - l'année qui a suivi le décès de Wexler, au moment où le Comité des sciences atmosphériques de l'Académie Nationale des Sciences a recommandé la nomination d'une Commission sur les Modifications Météorologiques et Climatiques". pg 2

La situation à la suite de la Deuxième Guerre mondiale :
  • L'Opération Paperclip ("l'Opération Trombone", également nommée Opération Overcast) est parvenue après la Deuxième Guerre mondiale à recruter des scientifiques pour des postes aux États-Unis, conduisant à la formation de la NASA et au programme de missiles balistiques.
  • Le National Security Act (loi sur la sécurité nationale) voté en 1947 a rendu possible le développement du complexe militaro-industriel et la création de la CIA (l'Agence centrale du renseignement), afin d'offrir davantage de possibilités de mener des expérimentations scientifiques sans la connaissance du public, ni le contrôle du Congrès.
  •  Les progrès d'après-guerre en sciences et en physique de pointe ont offert l'occasion de développer les concepts de penseurs avant-gardistes comme Nikola Tesla, qui attendaient leur heure depuis plus de 50 ans.
  • En 1958, on mettait déjà en route les applications militaires des méthodes peu connues de Tesla concernant la manipulation électromagnétique de l'atmosphère terrestre. Le conseiller de la Maison Blanche pour les modifications météorologiques auprès du président Eisenhower rapporta que le département de la Défense étudiait des moyens de manipuler les charges électriques de la Terre et du ciel dans le but de manipuler la météo pour la défense nationale.
  • La classe moyenne informée et instruite, qui se développait, toisait avec mépris les propositions impliquant des explosions nucléaires, considérées comme dangereuses et arrogantes. Ce qui ne signifie pas qu'on ait abandonné complètement l'idée d'une modification du climat arctique.
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Le désastre BP du Golfe du Mexique démontre que Big Oil (les Grands Pétroliers) vivent dans un univers de pragmatisme opportuniste, quel qu'en soit le risque pour l'environnement. Considérant la preuve établie de sa sociopathie multinationale, Big Oil s'intéresserait peu à l'événement qui causerait la fonte de la banquise, du moment que se réaliserait leur vieux rêve de nouvelles routes de navigation arctiques et d'accès à des réserves de pétrole et de gaz jusqu'alors bloquées par la glace. Que l'augmentation des températures arctiques soit due (1) à des niveaux de CO2 en hausse, ou (2) à une manipulation secrète du climat arctique, pourrait n'avoir que peu d'importance. 

 Cet échéancier de projets de géo-ingénierie précis laisse supposer que le but d'un climat arctique modifié reste un objectif favori de l'industrie du carburant fossile.

1877. Nathaniel Shaler, géologue à Harvard, suggère de dévier une plus grande partie du chaud courant de Kuroshio vers le Détroit de Béring afin de relever de 30 degrés Fahrenheit (env. 16,7°C) les températures de la région polaire.

1912.Carroll Livingston Riker, ingénieur et industriel new-yorkais, suggère la construction d'une jetée de 300 km au large de Terre-Neuve pour augmenter le flux du Gulf Stream dans le Bassin Arctique, avec comme avantage supplémentaire le "déplacement" de l'axe de la Terre. Le New York Times qualifia la proposition de "surprenante"... mais pas de déraisonnable.

1929. Hermann Obert, physicien et ingénieur germano-hongrois, suggéra la construction de miroirs géants sur une station spatiale, afin de concentrer les rayons du soleil sur la surface terrestre, rendant l'extrême Nord habitable et libérant des couloirs maritimes vers les ports sibériens.

1945. Julian Huxley, biologiste et secrétaire-général de l'UNESCO de 1946 à 1948, proposa de faire exploser des bombes atomique à l'altitude adéquate au-dessus des régions polaires afin de relever la température de l'Océan Arctique et de réchauffer tout le climat de la zone tempérée septentrionale.

1946. Un article de Village Voice de 2005 évoque un numéro de mai 1946 de Mechanix Illustrated, présentant plusieurs propositions de géo-ingénierie pour réchauffer l'Arctique. Une de ces "bonnes idées" était suggérée par Julian Huxley, alors secrétaire-général de l'UNESCO, et frère d'Aldous Huxley, qui consistait à faire exploser des bombes atomiques pour réchauffer l'Arctique.

1958. M. Gorodsky, ingénieur et mathématicien soviétique, et Valentin Tcherenkov, météorologue soviétique, proposent de placer un anneau métallique constitué de particules de potassium en orbite polaire autour de la Terre pour diffuser la lumière atteignant la Terre, et augmenter ainsi le rayonnement solaire, afin de faire dégeler le sol en permanence gelé de la Russie, du Canada, de l'Alaska, et de faire fondre la glace polaire.

1958. Arkady Markine, un ingénieur soviétique, propose que les États-Unis et l'Union Soviétique ferment le Détroit de Béring par un barrage gigantesque et utilisent des pompes atomiques à hélices afin de pousser le courant chaud du Pacifique dans l'Atlantique via la Mer Arctique. La banquise de l'Arctique fondrait, et les zones gelées de la Sibérie et de l'Amérique du Nord deviendraient tempérées et productives.

1958. P.M. Borisov, un ingénieur pétrolier, propose de faire fondre la calotte glaciaire arctique et celle du Groenland en répandant de la poudre de charbon noir sur la banquise, en créant une couverture nuageuse entre les pôles afin de piéger la chaleur, et en déviant les eaux chaudes de l'Atlantique vers les régions polaires. Ce projet a été pris au sérieux par les climatologues soviétiques. Deux colloques se sont tenus au début des années 1960 à Leningrad, suite à une réunion en 1959 à Moscou du Présidium de l'Académie des Sciences de l'URSS.

1958. L.M. Natland, géologue à la compagnie pétrolière Atlantic Richfield, suggère de faire exploser jusqu'à 100 bombes atomiques souterraines afin d'exploiter les sables bitumineux de l'Alberta. La chaleur due aux explosions était censée porter à ébullition les dépôts bitumineux, réduire leur viscosité au point de pouvoir ensuite avoir recours aux forages habituels. Ce plan a été encouragé par les efforts étasuniens à trouver des "utilisations pacifiques" à l'atome. Le projet a été approuvé en 1959, mais le gouvernement canadien revint sur sa décision en 1962 et déclara le Canada opposé à toute forme d'essai nucléaire. En 2012 les Sables Bitumineux Canadiens redeviennent un problème international. 

1962  Harry Wexler (15 mars 1911-1962) était diplômé du MIT (Massachusetts Institute of Technology) et docteur en météorologie. Wexler avait recherché le lien existant entre les composés de chlore et de brome et la destruction des couches d'ozone stratosphériques, mais est mort d'un infarctus pendant des vacances à Woods Hole, dans le Massachusetts. Il venait d'accepter une invitation à donner une conférence intitulée "Le climat de la Terre et ses modifications" à  l'Espace de Recherche et Institut de Technologie de l'Université du Maryland.(Source)
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Dans les années 1960, les propositions de géo-ingénierie destinées à réchauffer l'Arctique marquèrent une volte-face en grande partie inexpliquée lorsque les recherches de  l'océanographe Roger Revelle ont conclu que le dioxyde de carbone réchauffait déjà l'atmosphère, gratuitement, sans le risque de coûteux et dangereux projets de géo-ingénierie.

Ce virage à 180° se présentait comme une régression, sauf pour les actionnaires du secteur de l'énergie qui investissaient depuis des décennies dans des projets de réchauffement arctique. Est-ce que l'histoire du CO2 promettait finalement d'apporter à Exxon, BP et Shell ce qu'ils voulaient ?

Si les prévisions de Roger Revelle concernant le réchauffement climatique se révélaient fausses ou trop lentes à venir, le département de la Défense pouvait intervenir -- pour des raisons de sécurité nationale -- pour aider au réchauffement arctique comme composante secrète du programme militaire classifié de modification météorologique.

Le document de l'Air Force datant de 1996 qui prévoit de "S'approprier le temps en 2025" (Owning the Weather in 2025) ne se dispense pas d'utiliser les technologies de Tesla et du plasma dans le but d'augmenter les températures arctiques et de désavantager un ennemi éventuel. La décision de ne pas intervenir pourrait trahir l'objectif primordial des militaires de la "Domination tous azimuts". Après tout, pouvoir avoir accès au pétrole ou au gaz est depuis des décennies une priorité de la sécurité nationale.

En 1966, le Dr. Gordon J.F. MacDonald était président de la commission restreinte de l'ICAS sur la Modification de la Météorologie et du Climat, et il écrivait :

"Le dioxyde de carbone présent dans l'atmosphère depuis le début de la révolution industrielle a causé une augmentation de la température moyenne de la basse atmosphère de quelques dixièmes de degré Fahrenheit." Gordon MacDonald Unless Peace Comes: How to Wreck the Environment.Source

MacDonald faisait allusion à l'article scientifique de Roger Revelle et Hans Suess, qui renversait le sujet du débat de Comment réchauffer l'Arctique à Comment éviter de réchauffer l'Arctique. Les recherches océanographiques de Revelle signalaient une augmentation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère terrestre censée être le résultat de la production et de la combustion du charbon de l'ère industrielle.Source

Revelle avait travaillé à la fin des années 1940 avec la Navy pour déterminer les projets à financer qui promouvaient avec succès l'idée que la Navy devrait investir davantage dans la "recherche fondamentale". Revelle était profondément impliqué dans l'essor mondial de l'océanographie. Il était également un des présidents de comité concernant les études influentes de l'Académie Nationale des Sciences sur les "effets biologiques des radiations atomiques ("Biological Effects of Atomic Radiation” - BEAR), de 1954 à 1964. En tant que président du Comité Scientifique de la Recherche Océanique, un groupe international de scientifiques qui offrait des conseils sur des projets internationaux, Revelle bénéficiait d'une influence importante au niveau mondial. Revelle et d'autres scientifiques de l'Institution Océanographique Scripps ont aidé le gouvernement étasunien à planifier des essais nucléaires militaires de façon à ce que les océanographes puissent en utiliser les données. Source

Les conclusions du rapport BEAR étaient logiquement importantes pour démontrer les graves dégâts biologiques et environnementaux provoqués par les radiations nucléaires, et elles pouvaient aisément suffire à contrecarrer les projets de géo-ingénierie qui recommandaient l'explosion de bombes H. Mais il n'existe guère de preuves qu'ont ait complètement abandonné toute intention de modifier le climat arctique.

Si l'objectif fondamental de réchauffer l'Arctique demeure une priorité secrète de la sécurité nationale dans le secteur énergétique, on pourrait dissimuler ledit projet au public et au contrôle d'un comité et en faire une opération classée secrète au sein du développement d'un programme militaire de guerre météorologique -- une initiative reconnue par des programmes civils de modification du temps officialisés en 1966 par la NASA et la charte ICAS [le Comité Indépendant pour les Sciences Atmosphériques].

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Depuis 1958, le Congrès et les militaires travaillaient déjà sur des systèmes exotiques de guerres météo impliquant la manipulation électromagnétique de l'ionosphère.

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Audition du Congrès des États-Unis, du Sénat, et du Comité du Commerce Inter-États et avec l'Étranger, la recherche sur la modification de la météo, Bureau de presse du Gouvernement des États-Unis, Washington DC, 18-19 mars 1958 ; Lowell Ponte cite le capitaine Orville comme ayant rapporté "que le Département de la Défense étudiait des moyens de manipuler les charges [électriques] de la terre et du ciel, afin d'affecter la météorologie par le biais de rayons électroniques destinés à ioniser et dé-ioniser l'atmosphère sur un secteur donné" (...) Le capitaine Orville a également parlé des expérimentations de l'US Air Force à partir "de vapeur de sodium, expulsée d'avions à réaction et destinées à intercepter les radiations solaires" au-dessus de pays ennemis et ainsi faire pleuvoir. ('The Cooling', op. cit. pp. 168-169 Source P. 42)

Cette volte-face, où on passe soudain de la recherche de moyens de réchauffer l'Arctique à celle de moyens de l'empêcher de se réchauffer, a été annoncée en 1963 -- l'année qui a suivi la mort soudaine du météorologue Harry Wexler. Étant parfaitement au courant du programme de militarisation de la météo datant de 1958, l'Académie nationale des Sciences (NAS) recommande la nomination d'une "Commission sur l'Évolution Météorologique et Climatique". source Cet événement pouvait servir à consolider les programmes militaires et civils de modification du temps dans des buts pacifiques ou bien -- si nécessaire -- servir d'opérations clandestines de modification météorologique et même de réchauffement climatique, exécutées secrètement par les militaires sous le prétexte passe-partout de "sécurité nationale".

SUIVEZ L'ARGENT  Les lobbyistes des grands pétroliers affirment publiquement que le réchauffement climatique mondial est une arnaque, tout en investissant tranquillement des milliards dans de nouveaux forages, dont l'occasion est offerte par la fonte réelle de la banquise arctique. Le secteur de l'énergie a énormément investi dans des brise-glace et de l'équipement de forage, tirant profit du réchauffement climatique même qu'ils rechignent à reconnaître.  Avoir le beurre et l'argent du beurre est une attitude essentielle pour eux. Quand on révèle le réchauffement du climat arctique comme étant une opération militaire de modification climatique, Big Oil peut se retrancher derrière le "On vous l'avait bien dit". Dans la mesure où les gouvernements vont probablement se succéder au cours des 100 prochaines années, ils calculent que la demande en pétrole ne changera pas -- ni les compagnies qui forent pour en avoir.


  • "Alors que la calotte glaciaire arctique se rétracte, les énergéticiens cherchent au nord une nouvelle source abondante de brut." Source
  • "Shell est une des six compagnies prévoyant d'extraire du pétrole, du gaz et des minéraux dans l'Arctique, au moment où le réchauffement climatique fait fondre la glace et ouvre de nouvelles routes commerciales maritimes." Source
  • "Les sources reculées et dangereuses de pétrole arctique deviennent de plus en plus intéressantes au moment où le besoin mondial en pétrole augmente et où les réserves existantes se tarissent."
    Source

"HAARP

Des installations de premier ordre pour l'étude de la physique ionosphérique et des sciences radio"


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Des documents de 1966 révèlent comment les militaires et les agences fédérales modifient le climat de la planète.

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TITRE: "Projets actuels et futurs des Agences Fédérales concernant les modifications météorologiques et climatiques"

Cette série de documents datant de 1966 révèle un réseau d'agences gouvernementales en perpétuelle et secrète collaboration, travaillant avec les militaires pour modifier artificiellement le climat.  Créé comme agenda de l'élitiste Académie Nationale des Sciences -- une culture inter-agence du secret forgée sur des décennies explique pourquoi la question de la géo-ingénierie clandestine liée aux aérosols est un sujet tabou, que toute agence gouvernementale appartenant à ce réseau de bureaucrates complices réduit dès qu'elle le peut au statut de "théorie du complot". C'est la raison pour laquelle le "météorologue" de votre chaîne locale de TV donnera rarement des explications utiles sur un ciel inhabituel rempli de traînées de condensation persistantes.

  • 1966, JUN : “Present and Future Plans of Federal Agencies in Weather-Climate Modification” (Projets actuels et futurs des Agences fédérales concernant les modifications météorologiques et climatiques") Préparé par la Commission de l'ICAS spécialisée dans la modification climatique.
  • 1966, NOV : A Recommended National Program in Weather Modification – A Report to the Interdepartmental Committee for Atmospheric Sciences (ICAS) by Homer E. Newell – Associate Administrator for Space Science and Applications, NASA, Washington, D.C. (Un Programme national recommandé concernant les modifications climatiques - Rapport au Comité Interministériel pour les Sciences Atmosphériques, de Homer E. Newell, Administrateur associé de la NASA pour les Sciences Spatiales et leurs Applications, Washington D.C.)
  • 1966 : APPENDICE I – Commission sur la modification météorologique et climatique, au Comité sur les Sciences Atmosphériques NAS-NRC (Académie nationale des Sciences - Conseil National de la Recherche) - Recommandations de la Fondation Nationale des Sciences pour l'adhésion. 
  • 1966 : APPENDICE II – Commission spéciale sur les modifications climatiques - recommandations pour l'adhésion
  • 1966 : APPENDICE III Rapport préparé par la Commission spécialisée de l'ICAS sur les modifications climatiques ; “Present and Future Plans of Federal Agencies in Weather-Climate Modification” ("Projets actuels et futurs des Agences fédérales concernant les modifications météorologiques et climatiques"), en date du 20 juin 1966
  • 1966 : APPENDICE IV Mémorandum à destination du Dr. Homer E. Newell, de la part de J. Herbert Hollomon, président de l'ICAS. Sujet : Programme national de modifications climatiques, en date du 21 juin 1966 
  • 1966 : APPENDICE V  NASA Commission d'étude des activités de modification climatique ; adhésion ; chronologie des réunions, et compilation des documents justificatifs utilisés par la Commission
  • 1966 : APPENDICE VI Recommandations budgétaires et tendances liées à un programme national de modification climatique

1966 – NASA : Un Programme National Recommandé de Modifications Climatiques - Rapport au Comité Indépendant pour les Sciences Atmosphériques (ICAS), par Homer E. Newell, administrateur associé pour les Sciences Spatiales et leurs Applications, NASA, Washington, D.C.

En 1966, un rapport de la NASA à l'ICAS (Comité Indépendant pour les Sciences Atmosphériques, de l'Académie Nationale des Sciences - NAS) fut la première étape dans l'établissement d'un programme national de modification climatique qui allait finalement impliquer de multiples agences fédérales. Le rapport se concentrait sur quatre agences initiales : l'ESSA, la NSF (National Science Foundation), la NASA et le Bureau of Reclamation du ministère de l'Intérieur.

Dans la rubrique Principes recommandés, on a fait remarquer que a) chaque agence serait financé indépendamment, tout en insistant sur la coopération inter-agences dans la recherche. Un financement indépendant pourrait rendre le programme moins voyant et plus difficile au Congrès de lui couper les vivres. De plus, de nouvelles agences pourraient y participer sans avoir recours à des auditions budgétaires médiatisées. b) Une agence "centrale" désignée -- tout en étant responsable de la mise au point du programme -- n'aurait aucune autorité réelle dans son application, laissant ces décisions à de probables lobbyistes civils non-identifiés et à des "intervenants" du ministère de la Défense.

Bien que le rapport de l'ICAS se situe dans le contexte de la protection de l'eau, de l'agriculture, des forêts, des terres et des ressources naturelles, les connaissances acquises en manipulant le climat intéressaient davantage dans l'immédiat les militaires et leur complexe industriel.

Trente ans après la création du Programme National de Modification Climatique, l'US Air Force publia un document (“Owning The Weather in 2025” - S'approprier le climat en 2025), établissant que les agences fédérales impliquées dans le Programme National de Modification Climatique se trouvaient sous l'autorité tacite du ministère de la Défense. 

S'approprier le climat en 2025 -- Déclaration d'ouverture. Les technologies actuelles qui atteindront leur maturité au cours des 30 prochaines années offriront à tous ceux qui auront les ressources nécessaires la capacité de modifier les schémas météorologiques et leurs effets respectifs, du moins à l'échelle locale. Les tendances démographiques, économiques et environnementales actuelles vont créer des tensions mondiales qui fourniront l'élan nécessaire à ce que de nombreux pays ou groupes transforment cette aptitude à modifier le climat en compétence.

Aux États-Unis, la modification du climat deviendra probablement partie intégrante de la politique de sécurité nationale, engendrant des applications à la fois intérieures et internationales. Notre gouvernement mènera une politique de ce type, selon ses intérêts, à  différents niveaux. Ceux-ci pourraient prendre la forme d'actions unilatérales, d'une participation au sein d'un cadre sécuritaire type OTAN, de l'adhésion à une organisation internationale telle que l'ONU, ou d'une participation à une coalition. En supposant qu'en 2025 la stratégie de notre sécurité nationale comprenne la modification du climat, son utilisation dans notre stratégie militaire nationale s'ensuivra tout naturellement. Outre les avantages importants qu'offrirait une capacité opérationnelle, une autre motivation liée à la modification climatique est de dissuader et contrer des adversaires potentiels.

Dans ce document nous montrons qu'une application appropriée de la modification climatique peut apporter sur le champ de bataille un degré de supériorité jamais imaginé jusqu'alors. À l'avenir, les opérations de ce type optimiseront la supériorité aérienne et spatiale et offriront de nouvelles options dans la conception et la perception de l'espace de combat.1 "La technologie existe, et il ne nous reste plus qu'à la coordonner" ;2 en 2025, nous pourrons "nous approprier le temps".


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Étude de cas N°2



Évolution d'un programme R&D de modification climatique en un système militaire d'armes


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Étude de cas N°2 : "Évolution d'un programme R&D de modification climatique en un système militaire d'armes”

Le but de ce document de la Federation of American Scientists est de critiquer le programme étasunien de modification climatique, dont la caractéristique est d'avoir été détourné en un système militaire d'armes.

Depuis plus d'un siècle, des experts et des auteurs appelaient à des projets de géo-ingénierie visant à réchauffer l'Arctique. Le grand public, dans l'ensemble, s'amusait de ces concepts, même lorsqu'un expert en météorologie reconnu nationalement a suggéré en 1962 de faire exploser des bombes à hydrogène au-dessus du pôle Nord.

Il est révélateur que les propositions initiales pour résoudre le problème récemment découvert du "réchauffement" dû au CO2 ne consistaient pas tant à limiter les émissions carbone qu'à se hâter de relâcher dans l'atmosphère des aérosols toxiques, sans commencer par en estimer les dangers. La menace causée par la pollution atmosphérique, le blocage de la lumière du soleil et le largage dans l'atmosphère par des avions à chaque sortie de quantités énormes de CO2, est de toute évidence un problème de santé publique nécessitant des années de recherches que le gouvernement n'avait aucune envie de financer ni  encadrer par des lois. En conséquence, l'empressement avec lequel ces dispositifs d'aérosols chimiques ont été promus suggère que les mesures d'urgence prises pour refroidir la planète à l'aide d'aérosols sont depuis longtemps considérées comme une mission prioritaire alléchante.


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En 1962, on envisageait sérieusement de réchauffer l'Arctique par la géo-ingénierie, mais en 1966 la priorité absolue était devenue d'empêcher l'Arctique de se réchauffer, ne serait-ce que d'un degré.

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Un cheval de Troie ? Selon la vision militaire de "l'appropriation du temps en 2025", réchauffer l'atmosphère au moyen d'armes ionosphériques et à plasma est une capacité établie. Les nombreuses agences impliquées dans le Programme National de Modification Météorologique et Climatique protègent le programme d'aérosols et d'armes scalaires des militaires en opposant au public et aux médias des démentis cinglants chaque fois qu'il est question de "chemtrails" sur une station locale de radio ou de TV.

Il est inacceptable que l'ONU ou le GIEC continue à mettre en avant le CO2 comme cause du changement climatique tout en refusant de reconnaître que les militaires sont activement impliqués depuis le milieu des années 1990 dans la modification du climat.

Une inversion brutale de politique, passant de la modification du climat arctique à la prévention du Réchauffement Climatique mondial, a conforté l'idée que tous deux polluaient l'atmosphère ET étaient source de réchauffement climatique.

Juste au moment où le Programme de Modification Climatique de l'ICAS/de la NASA est officialisé, les données montrent que la plupart des idées sur la manière de refroidir la planète font appel à d'étranges projets où on pulvérise ou disperse des particules, des éléments biologiques et de la poussière dans l'atmosphère ou les océans. Il s'agit là des mêmes personnes qui, quelques mois auparavant, s'empressaient à faire la queue pour écouter Wexler parler de moyens de réchauffer la planète à coups de bombes à hydrogène, ou de la destruction de l'OZONE et des particules orbitales.

Alors que la plupart d'entre nous se rendent compte que nombre des propositions de ces experts respectés seraient catastrophiques pour l'environnement, toutes ces idées draconiennes n'ont pas été rejetées, même s'il apparaît de plus en plus clairement que déployer des produits chimiques dans l'atmosphère cause plus de mal que de bien.

Le déploiement d'aérosols par géo-ingénierie, tel qu'on l'observe en pratique depuis une vingtaine d'années, est maintenant considéré comme une source de réchauffement climatique -- et non une solution.

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Les aérosols dus à la géo-ingénierie réchauffent l'atmosphère et sont donc une source de réchauffement climatique

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Dr Joyce E Penner MugIn 1999, une climatologue, Joyce Penner, publia une étude qui démontrait que les traînées de condensation des avions à réaction et les cirrus élevés provoquent une élévation brute des températures au sol. Le statut de la Dr. Penner, en tant que climatologue de la Commission Internationale de l'ONU sur les Changements Climatiques, implique l'existence d'un consensus sur la question des traînées de condensation (contrails) et des petits nuages d'altitude qui réchauffent l'atmosphère et affectent le changement climatique. (Article) 


En 2007, le chercheur Cliff Carnicom calcula l'incidence du déploiement actuel non reconnu des aérosols dans l'atmosphère et conclut :

"On peut constater grâce à ce modèle que les conséquences de l'introduction artificielle d'aérosols dans la basse atmosphère peuvent se révéler dans le proche avenir comparable aux impacts extraordinaires projetés sur les êtres humains par les modèles mathématiques de réchauffement climatique, même modestes et prudents. Dans la mesure où le modèle présenté ci-après se veut raisonnablement prudent, l'impact des opérations de pulvérisation d'aérosols pourrait se révéler bien supérieur à ce que montrent ces résultats. Il est conseillé aux citoyens de prendre en compte la viabilité et le mérite de ce modèle dans l'examen de la question du réchauffement climatique, et d'intervenir énergiquement, afin de mettre fin aux opérations de pulvérisation intentionnelle d'aérosols.

Cet article est proposé tardivement, du fait de ma disponibilité limitée pour des recherches suivies à ce niveau. J'espère néanmoins que ces informations peuvent être évaluées et intégrées aux différents arguments et justifications qui se sont développés au cours de la dernière décennie, afin de faire cesser l'altération volontaire de l'atmosphère de notre planète." – Cliff Carnicom Etude complète

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Les propositions de géo-ingénierie pour réchauffer l'Arctique sont remplacées par la peur du réchauffement climatique

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  • 1965 ; Comité consultatif scientifique du Président, États-Unis ; Proposition : enquête sur l'injection dans l'atmosphère de noyaux gelés ou de condensation afin de contrecarrer les effets de l'augmentation du dioxyde de carbone.
  • 1977 ; Cesare Marchetti, physicien italien dans l'industrie ; invente le terme de “geoengineering” et suggère de piéger le CO2 au fond des océans.
  • 1983 ; Stanford Penner, A. M. Schneider, et E. M. Kennedy, physiciens américains ; Ils suggèrent d'introduire dans l'atmosphère de petites particules de manière à renvoyer dans l'espace plus de lumière solaire.
  • 1988 ; John H. Martin, océanographe américain ; Propose de disperser une quantité relativement faible de fer dans des zones appropriées de l'océan afin de créer de vastes efflorescences algales qui pourraient absorber suffisamment de carbone atmosphérique et inverser ainsi l'effet de serre et refroidir la Terre.
  • 1989 ; James T. Early, un climatologue américain, suggère de dévier 2 % de la lumière solaire au moyen d'un "store spatial", pour un coût de mille à 10 mille milliards de dollars, placé en orbite terrestre.
  • 1990 ; John Latham, un physicien britannique, spécialiste des nuages, propose d'ensemencer des stratocumulus marins avec des gouttelettes d'eau de mer, pour augmenter leur réflectivité et leur longévité.
  • 1992 ; Le Comité sur la science, l'ingénierie et les politiques publiques de l'Académie Nationale des Sciences (NAS) propose d'ajouter de la poussière à la poussière atmosphérique naturelle afin de réfléchir davantage la lumière solaire.
  • 1998 : Station Spatiale Internationale (ISS) : le premier composant modulaire de l'ISS est lancé, et il est (en 2012) l'actuel satellite artificiel habité en orbite basse de la Terre, à la suite de Saliout, Almaz, Skylab et Mir. (La mission de l'ISS en 1988 est en phase avec l'augmentation, la même année, des observations publiques et des plaintes liées aux aérosols dus aux avions à réaction.) La fonction officielle de l'ISS est d'offrir une plateforme spatiale internationale pour la recherche et l'expérimentation dans les domaines de la biologie, de la biologie humaine, de la physique, de l'astronomie, de la météorologie, et autres.
  • 2010 : Le géo-ingénieur David Keith (Conférence de l'AAAS - l'Association américaine pour l'avancement des sciences) propose de se servir d'avions à réaction pour pulvériser dans l'atmosphère du dioxyde de soufre et des nanoparticules d'aluminium afin de renvoyer dans l'espace la lumière solaire.

En 1968, Gordon J. F. MacDonald rédige un chapitre de Unless Peace Comes  (À moins que la paix arrive), où il prédit à juste titre que dans l'avenir les moyens d'atteindre des objectifs par la force reposeront sur la faculté que possèdera l'homme de contrôler et manipuler l'environnement terrestre.

"Quand il l'aura obtenu, ce pouvoir sur l'environnement fournira à l'homme une nouvelle force, capable de causer de grands dommages, sans discrimination. Notre compréhension actuelle primitive des changements environnementaux délibérés fait qu'il est difficile d'imaginer un monde où on pratique la guerre géophysique. Ce serait un monde où les armes nucléaires pourraient être effectivement bannies et où les armes de destruction massive provoqueraient des désastres environnementaux. Comme je le montrerai, ces armes sont particulièrement bien adaptées aux guerres discrètes ou secrètes."

"Afin de considérer les conséquences de modifications environnementales dans des conflits entre nations, il nous faut envisager l'état actuel des choses et comment des développements postulés dans le domaine pourraient mener, dans 10 ou 50 ans, à des systèmes d'armes utilisant la nature sous des formes nouvelles ou inattendues."

Pas seulement s'approprier le temps en 2025

La confiance et l'enthousiasme manifestés dans le document de l'USAF intitulé Owning the Weather in 2025 ("S'approprier le temps en 2025") s'appuyait sur l'arrivée des technologies liées aux armes scalaires au cours des années Star Wars de Reagan. Le document promet : "la modification du climat peut procurer une suprématie sur l'espace de bataille à un niveau jamais imaginé auparavant." Le commentaire "jamais imaginé auparavant" évoque immédiatement les installations HAARP de réchauffage ionosphérique, les brevets Bernard Eastlund et les stratégies militaires de suprématie militaire mondiale. Ce scénario de contrôle météorologique nous ramène à l'avertissement prédictif émis par Gordon MacDonald dans le chapitre "Comment ravager l'environnement" du livre Unless Peace Comes. Source

Chronologie de l'Appropriation du temps : De 1987 à 1992, les scientifiques de l'ATPI construisent à partir des brevets de Bernard Eastlund afin de développer de nouvelles armes

En 1994, ATPI est acheté par E-Systems, avec un contrat pour la construction du plus grand réchauffeur ionosphérique du monde (HAARP). -- En 1995, Raytheon achète E-Systems et les anciens brevets APTI. -- En 1996, l'Air Force publie Owning the Weather in 2025.

Dans son ouvrage de 2011, Here on Earth: A Natural History of the Planet ("Ici sur Terre : une histoire naturelle de la planète"), Tim Flannery, scientifique et auteur, nous rappelle que les propositions invitant à la fonte des calottes glaciaires ont été avancées après la Deuxième Guerre mondiale par des personnes renommées, dont le premier directeur-général de l'UNESCO (Julian Huxley, 1946), par un haut-fonctionnaire du Bureau Météorologique étasunien, et par un ingénieur pétrolier russe nommé
Piotr Mikhaïlovitch Borisov. Des congrès scientifiques en débattaient les mérites, tandis que les grandes sociétés d'exploitation minières et les énergéticiens envisageaient d'avoir recours à des explosions nucléaires pour extraire le charbon et le pétrole.

Des membres renommés de la communauté internationale voyaient l'occasion de faire exploser des bombes atomiques comme une manière nouvelle et constructive de transformer l'Arctique par la géo-ingénierie. Parmi les principaux motifs pour justifier la méthode : 1) L'Arctique est presque trop froid pour être habité par des êtres humains. 2) La calotte polaire condamne des routes de navigation profitables. 3) Les étendues d'eau glacée là-bas au Nord contribuent à causer des hivers désagréablement froids dans de nombreux pays. 4) La difficulté qu'il y a à extraire du pétrole en forant à travers la banquise.

On lança publiquement l'idée comme une "utilisation pacifique" de l'arme atomique.

Flannery se sert de cet exemple pour montrer la tendance évidente de l'humanité à hâter sa propre fin.

Here on Earth: A Natural History of the Planet – par Tim Flannery. Critique du livre par Mark Engler

P.M. Borisov, ingénieur russe des pétroles, propose un moyen de faire fondre la calotte glaciaire arctique

L'idée de Borisov : Si on fait fondre un jour la banquise arctique, une quantité bien moindre de radiation solaire sera réfléchie dans l'espace et donc la calotte glaciaire arctique ne se reformera pas. Un Océan Arctique libre de glace serait un grand avantage pour la navigation océanique, particulièrement entre l'Europe et l'Asie orientale.  Une grande partie des terres du nord du Canada et de la Sibérie seraient libérées du permafrost et deviendraient cultivables. Borisov croyait qu'un Océan Arctique libre de glace conduirait à une plus grande évaporation de l'eau et de là à une plus grande pluviosité au niveau mondial, y compris dans le désert du Sahara, où de l'herbe pousserait. Borisov considère comme des avantages tous les impacts liés à la fonte de la calotte glaciaire arctique. Il affirme que la fonte de la calotte glaciaire du Groenland n'élèverait le niveau des océans que d'1,5 mm à 2 mm par an. 

Ce projet a été pris au sérieux par les climatologues soviétiques. Deux congrès se sont tenus au début des années 1960 à Léningrad, à la suite d'un autre tenu en 1959 à Moscou par le Présidium de l'Académie soviétique des Sciences. Parmi les suggestions de Borisov destinées à réchauffer l'Arctique :

  • Couvrir de grands secteurs de l'Arctique de poudres noires, telles que de la poussière de charbon (G. Veksler, 1959) (Du noir de carbone ?)
  • Disperser la couverture nuageuse située sur le centre du Bassin Arctique (D. Fletcher, 1958) (Des aérosols dus à la géo-ingénierie ?)
  • Creusement du Seuil de Thomson (V.N. Stepanov, 1963)
  • Couvrir la surface de l'eau d'une pellicule monomoléculaire (M. Boudyko, 1962)
  • Des installations pour rediriger l'eau plus chaude de l'Océan Atlantique dans la Mer de Kara (V.P. Piankov, 1965)
  • Pomper de l'eau arctique froide dans le Pacifique afin d'attirer l'eau chaude de l'Atlantique dans le Bassin Arctique (P.M. Borisov, autour de 1968)

Ce concept nécessitait aussi la construction d'un barrage pour fermer le Détroit de Béring. Source : P.M. Borisov, Can we Control the Arctic Climate?” ("Pouvons-nous contrôler le climat arctique ?") , Bulletin of the Atomic Scientists, mars 1969, pp. 43-48.

Dans un projet connexe, il  fut suggéré de stocker les déchets nucléaires dans l'Antarctique. Selon le plan, on permettait à des conteneurs spécialement conçus et emplis de déchets atomiques chauds de s'enfoncer en faisant fondre la banquise jusqu'à "l'interface glace-rocher", où ils étaient censés demeurer stockés dans le froid pendant 250.000 ans.

La chronologie suivante provient du livre “Angels Don’t Play This HAARP" Advances in Tesla Technology (Les Anges ne jouent pas de cette HAARP - juin 2003) de Jeanne Manning et Dr. Nick Begich, contient des faits troublants concernant l'histoire peu connue de l'utilisation par notre gouvernement des technologies scalaires pour modifier le climat. La liste a été mise à jour en 2012 avec l'ajout de nouveaux événements et de liens.   

Chronologie des essais publics et secrets et du développement des armes à impulsion

  • 1886-88 : Nikola Tesla invente le système du Courant Alternatif, sa source et sa transmission. Alors que les réseaux en courant alternatif à 60 pulsations par seconde (60 Hz) se développent, la fréquence de résonance de la Terre dansera finalement à un autre rythme que ses 7 ou 8 Hz habituels.
  • 1900 : Tesla dépose une demande de brevet sur un appareil de transmission de l'énergie électrique "par les moyens naturels". Le Brevet US N°787 412 est délivré en 1905.
  • 1924 : Confirmation que les ondes radio ricochent sur l'ionosphère (une couche chargée d'électricité située à partir de 50 km d'altitude).
  • 1938 : Un scientifique propose d'éclairer le ciel nocturne par le chauffage à électron gyrotron depuis un transmetteur puissant.
  • 1940 : Tesla annonce l'invention d'un "rayon de la mort".
  • 1945 : Les essais de bombes atomiques commencent. 40.000 pulsations électromagnétiques suivent.
  • 1952 : W.O. Schumann identifie 7,83 Hz comme étant la fréquence de résonance de la Terre.
  • 1958 : Découverte des ceintures de radiations Van Allen (des zones de particules chargées, prisonnières du champ magnétique de la Terre), à + de 3000 km d'altitude. Ceinture de Van Allen violemment perturbée par les explosions nucléaires.
  • 1958 : Projet Argus. L'US Navy fait sauter 3 bombes nucléaires dans la ceinture de Van Allen.
  • 1958 : Le capitaine Howard T. Orville, conseiller en chef de la Maison Blanche sur les modifications climatiques, disait déjà en 1958 que le département de la Défense étudiait "des moyens de manipuler les charges [électromagnétiques] de la Terre et du ciel, afin d'affecter la météorologie en se servant d'un faisceau électronique pour ioniser ou dé-ioniser l'atmosphère au-dessus d'une surface donnée."
  • 1960 : Début de catastrophes météorologiques en série. 
  • 1961 - Projet Skywater - Projet d'ensemencement de nuages du Bureau of Reclamation (water) financé par le Congrès.
  • 1961 : Des aiguilles de cuivre larguées dans le ciel en guise de "bouclier télécommunications".
  • 1961 : Des scientifiques proposent l'expérimentation de nuages artificiels ioniques. Dans les années 1960 commence le largage de produits chimiques (poudre de baryum, etc.) depuis des satellites ou des fusées.
  • 1961-62 : Les Soviétiques et les États-Unis déclenchent de nombreuses pulsions électromagnétiques dans l'atmosphère, 300 mégatonnes d'engins nucléaires dégradent la couche d'ozone, dégradation estimée à 4 %.
  • 1962 : Lancement de satellites canadiens et début de la stimulation de résonances plasmiques par des antennes placées dans le plasma spatial.
  • 1966, juin : Le rapport fait à l'ICAS par la Commission de spécialistes de l'ICAS - président : Gordon J.F. MacDonald. “Future plans of Federal Agencies in Weather and Climate Modification.”
  • 1966, novembre. Le rapport de la NASA à l'ICAS (Independent Comm. for Atmospheric Sciences of the Nat. Academy of Sciences, NAS -- Comité indépendant pour les sciences atmosphériques de l'Académie Nationale des Sciences) a été le premier pas  vers l'établissement d'un programme national de modification du climat.
  • 1966 : Gordon J.F. MacDonald publie des conceptions militaires de la géo-ingénierie environnementale. MacDonald était président du Comité de spécialistes de l'ICAS sur les Modifications météorologiques et climatiques.
  • Années 1960 : Dans le Wisconsin, le Projet Sanguine de l'US Navy installe des antennes ELF (extrême basse fréquence).
  • 1968 : Des scientifiques moscovites informent l'Occident que les Soviétiques ont repéré quelles fréquences magnétiques pulsées aident les fonctions mentales et physiologiques, et celles qui sont nuisibles.
  •  1968 : Gordon JF MacDonald rédige le chapitre intitulé "A scientific forecast of new weapons" (Une prévision scientifique des armes nouvelles) du livre "Unless Peace Comes".  MacDonald était président du Comité de spécialistes de l'ICAS sur les Modifications météorologiques et climatiques.
  • 1969 : Hail Suppression Data from Western North Dakota, 1969–1972 (Données sur la suppression de la grêle dans l'ouest du Dakota du Nord, 1969-1972) École des Mines et de Technologie du Dakota du Sud, Rapid City.
  • 1972 : Premiers rapports concernant l'expérimentation, à Arecibo, du "réchauffeur ionosphérique" utilisant des ondes radio à haute fréquence. Un réchauffeur de 100 mégawatts est construit en Norvège plus tard dans la décennie ; il peut modifier la conductivité de l'ionosphère aurorale.
  • 1972 : Potential Value of Satellite Cloud Pictures in Weather Mod. Projects (Valeur potentielle des images satellite de nuages dans les projets de modification météorologiques) - Rapport préparé pour la NASA par l'Institut des Sciences Atmosphériques, École des Mines et de Technologie du Dakota du Sud, Rapid City.
  • 1973 : Documentation indiquant que les gaz d'échappement des fusées liées au lancement de Skylab "ont diminué de moitié pendant trois heures le contenu total en électrons de l'ionosphère."
  • 1973 : Les recommandations en faveur d'une étude des effets biologiques du Projet Sanguine sont réfutées par la Navy.
  • 1974 : L'Assemblée Générale des Nations Unies interdit la guerre environnementale. ENMOD
  • 1974: Des expérimentations de haute-fréquence effectuées à Plattesville (Colorado), Arecibo (Porto Rico) et Armidal (Nouvelle-Galles du Sud) chauffent le "cul de l'ionosphère".
  • 1974 : Expériences concernant la lumière du ciel nocturne, accrue si dans l'atmosphère on frappe des atomes d'oxygène au moyen d'électrons accélérés.
  • 1975 : Évaluation, dans le Dakota du Nord, des tests de Monte Carlo concernant l'efficacité de l'ensemencement des nuages sur la pluviosité d'une saison de culture.
  • 1975 : Le Professeur Robert Helliwell, de Stanford, signale que la TBF/VLF des lignes électriques modifie l'ionosphère.
  • 1975 : Le sénateur US Gaylord Nelson oblige la Navy à publier ses recherches montrant que les transmissions TBF/VLF peuvent modifier la chimie du sang humain.
  • 1975 : Le sous-comité sénatorial Pell conseille vivement que les travaux sur les modifications météorologiques et climatiques soient supervisés par une agence civile responsable devant le Congrès US. Aucune mesure n'est prise.
  • 1975 : Les Soviétiques commencent la pulsation d'ondes ELF du type "Woodpecker" (Pivert), au rythme crucial des ondes du cerveau. Eugene (Oregon) est un des lieux où les gens sont particulièrement affectés.
  • 1976 : Les Drs Susan Bawin et W. Ross Adey montrent que les cellules nerveuses sont affectées par les champs d'ondes ELF (extrême basse fréquence).
  • 1977 : Les impacts sur l'environnement de la gestion des précipitations - déductions du projet Skywater.
  • 1978 : Weather modification: programs, problems, policy, and potential ( Modifications climatiques : programmes, problèmes, politiques, et potentiel) (Grand dossier PDF)
  • 1979 : Le lancement du troisième Observatoire Astrophysique à Haute Énergie cause une dégradation à grande échelle, provoquée artificiellement, de l'ionosphère.  Un trou dans le plasma causé par de "rapides processus chimiques" entre l'échappement de la fusée et la couche d'ozone" (...) l'ionosphère a été détériorée pendant quelques heures, de manière significative, sur une distance horizontale de 300 km."
  • 1979 : Annotated Bibliography of Predictor Variables for Weather Modification Applications – Funded by NSF Grant ATM 79-05007 pub., Illinois State Water Survey, Urbana. (Bibliographie annotée de variables prédictives pour applications liées à la modification climatique - financé par la bourse ATM 79-05007 publ. de la NSF, rapport d'expertise de l'État de l'Illinois concernant l'eau, Urbana.)
  • 1985 : Bernard J. Eastlund dépose un brevet concernant "une méthode et un appareil pour modifier une région de l'atmosphère, de l'ionosphère et/ou de la magnétosphère terrestres" (“Method and Apparatus for Altering a Region in the Earth’s Atmosphere, Ionosphere and/or Magnetosphere”), le premier de 3 brevets Eastlund cédés à ARCO Power Technologies Inc.
  • 1986 : Le Projet Henhouse (le projet "Poulailler") de l'US Navy reproduit l'expérience Delgado (de Madrid) -- des champs magnétiques pulsés de faible niveau et à basse fréquence endommagent des embryons de poulet. 20
  • 1987 : Au cours des dernières années de la décennie, les États-Unis entreprennent la constitution du  réseau des tours GWEN (Ground Wave Emergency Network ou réseau d'urgence d'ondes de sol), chaque antenne-relais devant engendrer des ondes VLF (très basse fréquence) à des fins de défense.
  • 1987-1992 : D'autres scientifiques de l'APTI partent de brevets Eastlund pour développer de nouvelles capacités en armement.
  • 1994 : Le fournisseur militaire E-Systems achète APTI, détenteur des brevets Eastlund et d'un contrat dans la construction du plus important réchauffeur ionosphérique du monde (HAARP).
  • 1994 : Le Congrès gèle le financement de HAARP jusqu'à ce que les planificateurs insistent davantage sur les utilisations liées à la tomographie de la pénétration du sol, dans le cadre de la contre- prolifération nucléaire. (Exploration pétrolière et gazière.)
  • 1995-1997 : Dans tous les États-Unis s'accumulent des plaintes concernant des formations nuageuses inhabituelles et une soudaine augmentation des traînées de condensation persistantes des avions à réaction, qui apparaissent étrangement lorsque l'atmosphère est sèche. Ces observations sont accompagnées de plaintes concernant spécimens biologiques et formation de fils de la vierge semblant provenir du ciel. De nombreux exemples d'analyses par des laboratoires qualifiés font état de fortes concentrations en aluminium, baryum et d'autres éléments, en cohérence avec les expériences électromagnétiques du Département de la Défense.
  • 1995 : Raytheon acquiert E-Systems et les vieux brevets APTI. La technologie est maintenant cachée parmi les milliers de brevets présents dans le portefeuille de l'un des plus importants fournisseurs de la Défense.
  • 1995 : Le Congrès budgétise pour 1996 10 millions de $ en faveur du projet HAARP, dans le cadre de la "contre-prolifération nucléaire".
  • 1995 : Expérimentation du brevet N° 5.041.834 visant à générer un "miroir ionosphérique artificiel" (AIM), ou une couche de plasma dans l'atmosphère. L'AIM est utilisé comme l'ionosphère pour réfléchir les fréquences radioélectriques sur de longues distances.
  • 1994-1996 : Expérimentation du premier stade de HAARP (appelé par euphémisme High frequency Active Auroral Research Program, ou "programme de recherche aurorale active par haute-fréquence"), l'équipement se poursuit, malgré le gel du financement.
  • 1996 : Les scientifiques de HAARP testent les applications de tomographie sismique en modulant l'électrojet à des fréquences extrêmement basses (ELF).
  • 1998 : Date prévue de la mise en service complète du système HAARP.
  • 2009 : Opération HAMP - opération du Département de la Sécurité Intérieure destinée à "modifier et diriger les ouragans par le biais d'aérosols de géo-ingénierie".
  • 2012 : Celebrating 50 years of Success. A Compilation of highlights from the Institute of Atmospheric Sciences at South Dakota School of Mines & Technology Rapid City. (Célébration de 50 ans de succès. Compilation des temps forts par l'Institut des Sciences Atmosphériques de l'École des Mines et de Technologie du Dakota du Sud, Rapid City.)

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Le monde commence à s'éveiller aux crimes d'État du réchauffement climatique et de la météo violente, commis par l'association de puissantes armes à énergie électromagnétique et de l'ingénierie des changements climatiques par aérosols.  

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C'est au milieu des années 1990 que le public étasunien se trouva soudain confronté à des changements inexpliqués dans le ciel, dont de nouvelles formations nuageuses bizarres et de nouvelles sortes de traînées de condensation d'avion qui demeuraient dans le ciel pendant des heures, alors même que l'humidité était très faible à l'altitude où ces avions volaient. Les changements observés coïncidaient avec des événements conséquents à l'acquisition en 1994 par E-Systems d'APTI, également détenteur des brevets du physicien en plasma Bernard Eastlund et des contrats de construction du plus important réchauffeur ionosphérique du monde (HAARP).

L'historique du programme national de modification météorologique de 1966, coïncidant avec des événements de cette période liés à de nouvelles et bizarres formations nuageuses, est une raison suffisante pour étudier la relation existant entre des aérosols pulvérisés par des avions à réaction et l'expérimentation du réchauffeur ionosphérique aux installations HAARP de Gakona (Alaska), d'Aricebo (Porto Rico) et dans bien d'autres installations similaires évoquées en ligne ces dernières années.

L'appauvrissement actuel de la couche d'OZONE qui protège la Terre est un risque connu de la manipulation de l'ionosphère au moyen de faisceaux de radiation électromagnétiques puissamment réchauffés. La pollution provoquée par les missions de la Navette spatiale est à elle seule, selon les propres documents de la NASA, cause d'une rapide diminution de la couche d'ozone.

Des dégâts supplémentaires sont causés quand des aérosols chimiques, déployés sur l'une des deux régions polaires, piègent la chaleur dans la troposphère, résultant en une augmentation des températures de surface mettant en danger la formation normale de glace saisonnière, avec conjointement une chute des températures stratosphériques à environ -109°F (-78,3°C), avec la formation de cristaux de glace contaminés chimiquement, et qui réagissent avec le soleil pour faire diminuer un peu plus l'OZONE.

De 2009 à 2012, on observe clairement, sur de nombreuses images satellite et des photographies prises au sol, des trainées chimiques persistantes d'avions à réaction au-dessus de la région du Pôle Nord. Il n'est donc pas surprenant que la NASA signale actuellement un nouvel affaiblissement de l'OZONE dans les latitudes du Grand Nord, là où aucune n'était jusqu'alors repérée.

Ce n'est plus un secret que les agences gouvernementales, les militiaires et les intérêts commerciaux des États-Unis et d'ailleurs ont investi dans un système scalaire radical de modification climatique, dont on révèle maintenant qu'il a de trop nombreuses conséquences négatives involontaires sur le maintien de la vie sur Terre.

Poursuivre cette vaste opération de géo-ingénierie aérosol de terra-deforming de la Terre ne fera que confirmer qu'un de ses objectifs est de faire fondre la glace de l'Arctique -- un concept adopté depuis plus d'un siècle par des hommes influents, des compagnies pétrolières et des nations.

Le gouvernement, les militaires, le GIEC, l'ONU et les actionnaires des multinationales ne peuvent plus jouer l'inquiétude désespérée face au réchauffement climatique et aux changements climatiques, au moment où le monde s'éveille et commence à se rendre compte que ces mêmes entités participent au déploiement d'armes électromagnétiques et d'aérosols de destruction climatique massive, tel un monstrueux canular orwellien perpétré contre l'humanité.


MISES À JOUR

World Wide Watch Institute, 2014 :

Dans les mers situées au nord de la Russie et de l'Alaska, une expansion de l'exploitation du pétrole et du gaz est déjà en route. Le Département étasunien de l'Intérieur a vendu le mois dernier 2,6 milliards de $ en recherche et développement - un record - concernant l'ensemble de la mer des Tchouktches, juste au nord du Détroit de Béring. De nouvelles ventes sont prévues pour 2010 et 2012. Comme des compagnies vont dans l'Arctique à la recherche de réserves énergétiques ou afin de créer de nouvelles routes de navigation, les impacts environnementaux peuvent se révéler énormes. Balton a reconnu que le déplacement des glaces et l'érosion des côtes rendent l'exploration et le développement risqués. "Il est évident qu'il s'agit d'une zone dangereuse pour la circulation. Une marée noire serait sans aucun doute difficile à éponger."  *** Suite


Liens en rapport :

  • 2012 : Le Discovery Channel passe à l'antenne : Weather Control (Maîtrise de la météo), Aerosols et une interview de Michael Murphy
  • 2009 : Opération HAMP - opération du Département de la Sécurité Intérieure destinée à "modifier et diriger les ouragans par le biais d'aérosols de géo-ingénierie". 
  • 1968 – Unless Peace Comes – How to Wreck the Environment (Comment ruiner l'environnement)– chapitre rédigé par Gordon J.F. MacDonald
  • 1978 : Weather modification: programs, problems, policy, and potential (Modifications climatiques : programmes, problèmes, politiques, et potentiel) (Grand dossier PDF)
  • 2011 – Here On Earth: A Natural History of the Planet (Ici sur Terre : une histoire naturelle de la Planète) – Flannery, 2011 – par Tim Flannery
  • Discovery of Global Warming (La découverte du réchauffement climatique) Roger Revelle – Ce document de 1957 a lancé le débat, alors même qu'on envisageait de réchauffer l'Arctique.
  • Coleman’s Corner : John Coleman – Météorologue et propriétaire originel du Weather Channel, c'est un expert des travaux de l'océanographe Roger Revelle qui – ultérieurement – est revenu sur sa conclusion originelle que le CO2 est un gaz important dans le réchauffement climatique.
  • Stormy Weather – The Government’s Top-Secret Efforts To Control Mother Nature (Temps d'orage - Les efforts ultrasecrets du gouvernement afin de contrôler notre Mère la Nature) - 22/12/2001, par Bob Fitrakis et Fritz Chess ColumbusAlive.com 22/12/2001
  • Are Humans doomed to Destroy Themselves? (Les humains sont-ils condamnés à se détruire ?) Livre de Tim Flannery : HERE ON EARTH A natural history of the planet (ICI SUR TERRE : une histoire naturelle de la Planète)
  • Historical perspective on atmospheric engineering. A periodization (Une perspective historique sur l'ingénierie atmosphérique), Régis Briday PhD Student (doctorant) au Centre Alexandre Koyré(PPT)
  • Polar Eclipse; Village Voice reproduit l'article de mai 1946 de Mechanix Illustrated “using atomic bombs to warm the arctic” ("Utiliser des bombes atomiques pour réchauffer l'Arctique").
  • Arctic oil rush: The new global petroleum race will shape Alaska’s future (Ruée du pétrole de l'Arctique : la nouvelle course au pétrole va façonner l'avenir de l'Alaska)
  • HAARP.net Nick Begich Website – Angels Don’t Play this HAARP (Les Anges ne jouent pas de cette HAARP - livre disponible en français)
  • Global Research: Extensive Archives on Climate Change, Weather Modification and Chemtrails (Vastes archives sur les changements climatiques, les modifications météorologiques et les chemtrails)
  • HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program)
  • HAARP University( High Frequency Active Auroral Research Program).
  • HAARP 101: The World’s Sexiest Energy Weapon (HAARP pour débutants : l'arme à impulsions la plus sexy du monde)
    http://rezn8d.net/2012/01/04/haarp-the-worlds-sexiest-energy-weapon/
  • HAARP 201: Timeline: An Animated History of Ionospheric Destruction (HAARP 2 : Chronologie : un historique animé de la destruction de l'ionosphère)
    http://rezn8d.net/2012/01/20/haarp-timeline-an-animated-history-of-ionospheri…
  • HAARP 301: The Sonic Weapon of Vladimir Gavreau — Tesla, LRAD, and HAARP (HAARP, Niveau 3 : L'arme sonique de Vladimir Gavreau -- Tesla, LRAD et HAARP)
    http://rezn8d.net/2012/02/15/the-sonic-weapon-of-vladimir-gavreau-tesla-lrad-…
  • HAARP 401: Directed Energy Weapons 101: Infrasonic, Sonic, Microwave & Laser (HAARP, Niveau 4 : Armes à énergie dirigée : à infrasons, sonique, à micro-ondes, et laser - niveau débutants)
    http://rezn8d.net/2012/02/15/directed-energy-weapons-101-infrasonic-sonic-mic…
  • HAARP 501: Project Nimbus & The Fire of the Gods (HAARP, Niveau 5 : Le Projet Nimbus et le feu des Dieux)
    http://rezn8d.net/2012/03/06/haarp-project-nimbus-and-the-fire-of-the-gods/
  • HAARP 601: HAARP + DARPA = Team Thundercats
    http://rezn8d.net/2012/03/21/darpa-haarp-team-thundercats/
  • HAARP 701: Resonations from the Moon (HAARP, Niveau 7 : Des échos de la Lune)
    http://rezn8d.net/2012/03/27/haarp-resonations-from-the-moon/
  • HAARP 801: Russian President wields Zombie Apocalypse weapon! (HAARP, Niveau 8 : Le président russe brandit l'arme de l'Apocalypse Zombie)
    http://rezn8d.net/2012/04/05/russian-president-wields-zombie-apocalypse-weapon/
  • HAARP 901: “Tales from the Crypt” Deleted Internet Pages (HAARP, Niveau 9 : "Contes de la Crypte" Pages Internet supprimées)
    http://rezn8d.com/haarp/haarpgate.html

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TRADUCTION DE LA VIDÉO (d'après la transcription fournie) :
NikolaTesla, inventeur du Rayon de la Mort, est décédé en janvier 1943, date à laquelle le FBI prit possession de ses papiers et documents.

Après la Deuxième Guerre mondiale, l'Opération "Overcast" (nommée ultérieurement Operation Paperclip - opération Trombone) fut un programme étasunien destiné à employer les scientifiques du régime NAZI dans des laboratoires US.

La Loi sur la Sécurité Nationale (National Security Act), votée en 1947, créa la CIA (Central Intelligence Agency) et rendit possible le développement du complexe militaro-industriel, afin de multiplier les occasions de mener des expérimentations scientifiques sans que le public soit informé, ni supervision du Congrès.

En 1958, les militaires annoncèrent qu'ils menaient des expérimentations sur la stratosphère à l'aide de rayonnements électroniques afin de manipuler la météo.

En 1962, le respecté météorologue Harry Wexler proposa des stratégies de géo-ingénierie pour réchauffer la planète.

En 1963, l'Académie Nationale des Sciences proposa la formation d'une commission dans le but de créer un "programme national de modification météorologique et climatique".

En 1966 les plans de réchauffement de l'Arctique furent abandonnés sans justification, pour être remplacés par des avertissements que le CO2 était déjà la cause d'un réchauffement atmosphérique.

Cette vidéo présente l'article "Global Warming Linked to Advanced Climate Change Technology" (Le réchauffement climatique mondial est lié à la technologie perfectionnée du changement climatique).

Le titre peut paraître provocateur, mais la NASA a conclu que les traînées de condensation persistantes causées par l'homme aggravaient le réchauffement climatique et pourraient contribuer à des modifications de long terme du climat terrestre.

L'article explore l'histoire oubliée du Programme National de Modification Météorologique et Climatique américain - toujours en cours - et comment il a rapidement évolué en un programme militaire/civil de guerre météorologique et de destruction de masse.

La documentation, et la critique qui suit, révèlent un programme qui a rapidement dérivé lorsque les militaires sont arrivés. La critique a été rédigée en 1986 par un membre de l'Union des Physiciens Atomistes. 

Le document montre que les industriels et leurs scientifiques cherchent depuis un siècle des moyens de réchauffer l'Arctique, depuis 1877, où le géologue d'Harvard Nathaniel Shaler proposa de faire se déverser les eaux chaudes de l'Atlantique dans la Mer Arctique.

Des décennies de propositions concernant le réchauffement de l'Arctique se succédèrent, jusqu'en 1962, où un météorologue respecté du MIT, Harry Wexler, proposa trois moyens d'accroître de 1,7°C la température de la Terre :

(1) En faisant exploser 10 bombes à hydrogène dans l'Océan Arctique afin d'expédier des cristaux de glace dans l'atmosphère polaire
(2) En détruisant la couche d'ozone par la pulvérisation de chlore ou de brome dans l'atmosphère par des avions
(3) En mettant en orbite à l'équateur des particules de poussière, afin de diffuser la lumière et de réchauffer les régions polaires.

Ces idées paraissent aujourd'hui quelque peu effrayantes, mais en 1962 les suggestions de Wexler gagnaient du terrain, et personne d'"important" ne le considérait comme un fou. Cependant, à la suite du décès précoce de Wexler cette même année, le problème de la façon de réchauffer la planète s'inversa totalement.

Soudain - et sans explication - il devenait impératif de trouver des moyens de refroidir la planète et de préserver l'atmosphère du réchauffement.

Ce virage à 180° se produisit dans la direction nationale quand un rapport fut publié par l'océanographe Roger Revelle, qui affirma que l'atmosphère terrestre se réchauffait à cause d'une accumulation de dioxyde de carbone due à la combustion de charbon depuis l'ère industrielle.

La nouvelle version devint "officielle" pour consommation par les médias en 1966, lorsque Gordon MacDonald - président de la nouvelle commission de spécialistes de l'ICAS sur les modifications météorologiques et climatiques, déclara : "Le dioxyde de carbone rejeté dans l'atmosphère depuis le début de la Révolution Industrielle a produit une augmentation de la température moyenne de la basse atmosphère de plusieurs dixièmes de degré Fahrenheit."

On ne mentionna jamais plus les propositions de Wexler pour réchauffer la planète, mais elles demeurèrent discrètement populaires chez les actionnaires des marchés du pétrole et de l'énergie, qui avaient toujours vu de grandes opportunités pour de nouvelles voies de navigation et de nouveaux forages dès que la glace fondrait un tant soit peu.

Pour ce qui est de la position de la NASA, où les traînées de condensation persistantes causées par l'homme aggravent le réchauffement climatique mondial - que sommes-nous censés penser ?

Si ces nuages artificiels sont constitués de vapeur d'eau normale, nous avons là un problème qui accélère le réchauffement climatique. Mais si le problème peut être résolu, et aucune autorité gouvernementale n'a encore pensé qu'il était important au point de nécessiter une action immédiate, nous pouvons raisonnablement assumer que réchauffer le climat par des traînées de condensation persistantes est tolérable et même souhaitable. 

Et si les nuages artificiels se révélaient être des aérosols délibérément pulvérisés dans l'atmosphère, nous pouvons assumer que réchauffer l'atmosphère est un objectif caché inscrit dans une opération secrète de pulvérisation d'aérosols, qui prend l'apparence d'un programme de géo-ingénierie destiné à refroidir la planète. En réalité, les opérations liées aux aérosols chimiques fournissent un démenti plausible aux spectateurs, que notre gouvernement bienveillant pulvérise secrètement dans le ciel afin de tester des moyens de limiter le réchauffement climatique pour le bien de l'humanité.

Ce démenti plausible nous est enseigné par la couverture médiatique accordée à des géo-ingénieurs tels que David Keith, qui présente des stratégies de "refroidissement" par aérosols lors de fréquentes apparitions publiques, qui sont - à leur tour - présentées comme des nouvelles par de multiples sources médiatiques.

Ainsi donc, l'agenda du réchauffement de la planète est habilement dissimulé au grand jour, déguisé en programme gouvernemental bienveillant, mais non révélé, destiné à tester la pulvérisation d'aérosol dans le but de refroidir la planète, au cas où nous trouverions la chose nécessaire. Néanmoins, la glace arctique continue à se réduire, malgré des décennies d'"essais".

Les aérosols ne sont pas la seule exigence de la technologie avancée du changement climatique. Les réchauffeurs atmosphériques à haute énergie, les réseaux Tesla, et les dispositifs électromagnétiques exotiques doivent réagir avec les aérosols chimiques de différentes manières, ce dont les traînées de condensation normales, à vapeur d'eau, seraient bien incapables.








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Bill Ryan

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