Deux
documents de base utilisés dans cet
article
“Les plans actuels
et futurs des Agences fédérales pour
la modification de la météo et
du climat”
Cette série de
documents datant de 1966 révèle un réseau
d'agences gouvernementales en
collaboration secrète et permanente avec
les militaires dans le but de
modifier
le climat de la planète. Créée par
l'élitiste Académie Nationale des Sciences
[étasunienne] - la culture du secret
existant depuis des décennies entre ces
agences explique pourquoi la question de
la géo-ingénierie cachée liée aux aérosols
(les chemtrails) est un sujet tabou qu'une
matrice de bureaucrates complices
s'emploie à réduire au statut de "théorie
du complot" chaque fois que possible.
C'est la raison pour laquelle la FAA, la
NOAA, la NASA et votre "météorologue" TV
local refusent d'utiliser l'observation
scientifique quand on leur demande
d'expliquer pourquoi un ciel est
inhabituellement rempli de traînées
d'avion bizarres.
"Les preuves qui
s'accumulent progressivement révélant
le résultat positif des efforts visant
à modifier le climat ont amené en
novembre 1963 le Comité des
Sciences Atmosphériques
de l'Académie Nationale des
Sciences aux États-Unis
à nommer une commission sur la modification
du temps et du climat,
"afin d'entreprendre un examen
attentif et approfondi du statut et
des activités existant actuellement
dans ce domaine et de ses futures
potentialités et limites." - Page 6.
“Évolution
d'un programme de R&D pour la
modification de la météo en un
système militaire d'armes"
Ce document de
la
Fédération des
Scientifiques Américains,
datant de 1986, est une critique de
l'initiative de la NASA en 1966, où
l'auteur (Leitenberg ?) décrit le
Programme de modification météorologique
comme
détourné en un système
militaire d'armes. Ce document est
inclus dans :
Studies of Military
R&D and Weapons Development
(Études de R&D militaire et de
développement d'armement) de Milton
Leitenberg, maître de recherche
universitaire - Center for International
and Security Studies, Université du
Maryland, College Park. Leitenberg est
l'auteur de plusieurs ouvrages
(Amazon Books).
Un important
ouvrage de 2014, en rapport avec ce
sujet : “
The Deliberate
Corruption of Climate Science” by
Tim Ball, PhD ("La
corruption volontaire de la science du
climat", par le Dr.Tim Ball, PhD.)
____________________________________________________________________________

"1962 Les
propositions de réchauffement
climatique par la géo-ingénierie sont
considérées comme une bonne idée
2012 Les géo-ingénieurs
déclarent que le réchauffement
climatique nécessite la gestion des
radiations solaires"
"Memory Loss" = perte de mémoire
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"L'Avenir n'est plus ce qu'il
était" (Un regard philatélique sur la
science-fiction)
St. Vincent et les Grenadines $5
Jules Verne (1828-1905)
Écrivain français,
Jules Vernes possède l'extraordinaire
capacité d'anticiper les découvertes
scientifiques du XXème siècle. Dans
son roman De la Terre à la Lune,
écrit en 1865, la notion à peine
imaginable de gens parcourant la
surface de la Lune deviendra réalité
104 ans plus tard."
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Chronologie du
réchauffement volontaire de l'Arctique
1870 : La Standard Oil
Corp. suggère de réchauffer
artificiellement l'Arctique - La
Standard Oil Co. Inc. était une
entreprise pétrolière
américaine qui
produisait du pétrole, le
transportait, le raffinait et le
mettait sur le marché. Établie
en 1870 en tant que "corporation"
dans l'Ohio,
elle était le plus grand raffineur de
pétrole du monde. L'histoire
très controversée de cette entreprise,
une des premières et plus grandes
multinationales du monde, se
termina en 1911, lorsque la Cour
Suprême des États-Unis décréta
que la Standard était un monopole
illégal.
1889 : Jules Verne
parla en 1889 de modifier
artificiellement le climat terrestre
dans la suite de "De la terre à la
Lune", intitulée "Les Anglais au Pôle
Nord". Verne y écrit que le Baltimore
Gun Club a acquis de grandes étendues
de l'Arctique avant d'utiliser le
fameux canon de "De la Terre à la
Lune" pour changer l'inclinaison de
l'axe terrestre. L'objectif était
d'établir au Pôle Nord un paradis
tropical en guise d'attraction
touristique rentable tout en
"améliorant" l'ensemble du climat
mondial.
Puisque Verne a prédit que l'homme
voyagerait de la Terre à la Lune, il
n'est pas si étonnant qu'il prédise
aussi qu'un petit groupe de gens
influents envisage de réchauffer le
climat par profit.
1877 : Il se peut que
Verne se soit inspiré de Nathaniel
Shaler, un géologue d'Harvard
qui suggéra en 1877 de dévier le
courant chaud de l'Atlantique vers
l'Arctique - une douzaine d'années
avant que soit publiée le
"fantastique" récit de Verne, et sept
ans après la constitution de la
Standard Oil.
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De 1955 à 1990,
explosion dans l'Arctique de 88 engins
nucléaires atmosphériques, 29 engins
souterrains, et de trois engins
sous-marins.
Mis en ligne le vendredi 17
février 2012 par GRID Arendal - Activités
nucléaires dans l'Arctique au cours des 50
dernières années
Extrait de la collection
Vital
Arctic Graphics (Edition 2004)
Auteur : Philippe Rekacewicz,
UNEP/GRID-Arendal
De nombreuses explosions
nucléaires ont eu lieu dans l'Arctique. Un
des plus grands centres d'essais
nucléaires militaires se trouve sur l'île
de Novaïa Zemlia où,
de 1955 à 1990,
l'Union Soviétique a fait exploser 88
engins nucléaires dans l'atmosphère, 29
sous terre et 3 dans l'eau. Des
dizaines d'"explosions nucléaires
pacifiques" civiles se sont également
produites dans l'Arctique russe, où les
bombes atomiques ont été utilisées jusqu'à
la fin des années 1980 pour la recherche
sismique, l'exploitation minière, et dans
l'extinction d'incendies sur des champs de
pétrole.
(Source)

Activités nucléaires dans
l'Arctique au cours des 50 dernières
années
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En 2008 - un an
avant que la faible activité solaire
commence à faire craindre 40 à 60 ans de
refroidissement mondial, les
climatologues spécialistes secrets des
aérosols étaient certains de pouvoir
faire fondre les glaces arctiques au
bénéfice de BIG OIL - des grands
pétroliers - de créer une taxe carbone
et de réaliser la politique économique
des banksters du Nouvel Ordre Mondial,
menée par l'ONU.
World Watch Institute : mars 2008 : la
fonte de l'Arctique peut encourager
l'expansion des forages pétroliers
Au milieu des années 1980,
plus de la moitié de l'Océan Arctique
était constamment couvert de glace.
Aujourd'hui, la calotte glacière est
beaucoup plus réduite. Des preuves
alarmantes de cette tendance au
réchauffement ont été divulguées la
semaine dernière lorsque
l'Administration nationale aéronautique
et spatiale US (la NASA) a publié des
documents satellite que la couverture
glaciaire pérenne de l'Arctique, en
février, ne repose que sur moins de 30 %
de l'océan.
"Le taux de perte mer-glace que
nous observons actuellement est bien
pire que ce que nous laissait supposer
même les projections les plus
pessimistes", affirme Carroll Muffett,
sous-directrice de campagne de
Greenpeace USA. Pour la première fois
de l'Histoire connue, l'été dernier,
l'ensemble du Passage Nord-Ouest entre
les océans Pacifique et Atlantique
était libre de glace, selon les
scientifiques. (Source)
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VILLAGE VOICE :
"Hé, vous vous rappelez quand le
changement climatique était une idée
géniale ? Il y avait des cocotiers à
l'horizon."
"On donnait libre cours à son
imagination, et le Washington Post
voyait déjà Manhattan en paradis
tropical" (...) "Les gens cueilleraient
des oranges aux arbres de Central Park,
ou des noix de coco des palmiers plantés
le long de Battery, [et] chasseraient le
crocodile au large de la Statue de la
Liberté."
Cette perspective
paraissait si merveilleuse aux
New-Yorkais que le sénateur William
Calder (1917-1923) a même tenté
d'obtenir que 100.000 $ soient consacrés
à l'étude de cette idée. Village
Voice
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1962 Harry
Wexler (15 mars 1911-1962) était diplômé
du MIT (Massachusetts Institute of
Technology) et docteur en météorologie.
Wexler avait recherché le lien existant
entre les composés de chlore et de brome
et
la destruction des couches
d'ozone stratosphériques, mais est
mort d'un infarctus pendant des vacances
à Woods Hole, dans le Massachusetts. Il
venait d'accepter une invitation à
donner une conférence intitulée
"Le
climat de la Terre et ses
modifications" à l'Espace de
Recherche et Institut de Technologie de
l'Université du Maryland.
(Source)
Les
propositions de Wexler s'inscrivaient
dans une longue suite de propositions
ambitieuses destinées à réchauffer
l'Arctique.
Par
coïncidence, il a exprimé ses
propositions au moment même où
l'Académie Nationale des Sciences
s'employait à créer un programme
national de modification météorologique
- une direction dans laquelle les
militaires s'étaient déjà engagés en
1958.
Initiatives
de "réchauffement climatique"
proposées par Wexler :
- Augmenter de 1,7°C la température de
la Terre "en injectant un nuage de
cristaux de glace dans l'atmosphère
polaire par l'explosion de 10
bombes-H dans l'Océan Arctique -
sujet de son article de 1958 dans le Science
Magazine (Wexler H., 1958,
"Modifying Weather on a Large Scale",
Science, n.s. 128 (31 oct. 1958) :
1059-1063)
- Diminuer la température mondiale de
1,2°C serait possible "en lançant
en orbite autour de l'équateur un
anneau de particules de poussières,
modification d'une proposition russe
antérieure destinée à réchauffer
l'Arctique".
- Détruire la couche d'ozone et
augmenter ainsi brutalement la
température de la surface terrestre,
en pulvérisant "plusieurs centaines de
milliers de tonnes de chlore ou de
brome" au moyen d'un avion
stratosphérique. Fleming, 2007(a), pp.
56-57 ; Fleming, 2007 (b), note N°
VIII" p. 9 et p. 5.(source)
La décision de passer du réchauffement de
l'Arctique à son refroidissement a été
annoncée en
1963 - l'année qui a
suivi le décès de Wexler, au moment où le
Comité des sciences atmosphériques de
l'Académie Nationale des Sciences a
recommandé la nomination d'une Commission
sur les Modifications Météorologiques et
Climatiques".
pg
2
La situation à la suite de la Deuxième
Guerre mondiale :
-
L'Opération
Paperclip ("l'Opération Trombone",
également nommée Opération Overcast)
est parvenue après la Deuxième
Guerre mondiale à recruter des
scientifiques pour des postes aux États-Unis,
conduisant à la formation de la NASA
et au programme de missiles
balistiques.
-
Le National
Security Act (loi sur la sécurité
nationale) voté en 1947 a rendu
possible le développement du
complexe militaro-industriel et la
création de la CIA (l'Agence
centrale du renseignement), afin
d'offrir davantage de possibilités
de mener des expérimentations
scientifiques sans la connaissance
du public, ni le contrôle du
Congrès.
-
Les
progrès d'après-guerre en sciences
et en physique de pointe ont offert
l'occasion de développer les
concepts de penseurs avant-gardistes
comme Nikola Tesla, qui attendaient
leur heure depuis plus de 50 ans.
-
En 1958, on
mettait déjà en route les
applications militaires des méthodes
peu connues de Tesla concernant la
manipulation électromagnétique de
l'atmosphère terrestre. Le
conseiller de la Maison Blanche pour
les modifications météorologiques
auprès du président Eisenhower
rapporta que le département de la
Défense étudiait des moyens de
manipuler les charges électriques de
la Terre et du ciel dans le but de
manipuler la météo pour la défense
nationale.
-
La classe
moyenne informée et instruite, qui
se développait, toisait avec mépris
les propositions impliquant des
explosions nucléaires, considérées
comme dangereuses et arrogantes. Ce
qui ne signifie pas qu'on ait
abandonné complètement l'idée
d'une modification du climat
arctique.
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Le
désastre BP du Golfe du Mexique démontre
que
Big Oil (les Grands
Pétroliers) vivent dans un univers de
pragmatisme opportuniste, quel qu'en soit
le risque pour l'environnement.
Considérant la preuve établie de sa
sociopathie multinationale, Big Oil
s'intéresserait peu à l'événement qui
causerait la fonte de la banquise, du
moment que se réaliserait leur vieux rêve
de nouvelles routes de navigation
arctiques et d'accès à des réserves de
pétrole et de gaz jusqu'alors bloquées par
la glace. Que l'augmentation des
températures arctiques soit due (1) à des
niveaux de CO2 en
hausse, ou (2) à une manipulation secrète
du climat arctique, pourrait n'avoir que
peu d'importance.
Cet échéancier de
projets de géo-ingénierie précis laisse
supposer que le but d'un climat arctique
modifié reste un objectif favori de
l'industrie du carburant fossile.
1877.
Nathaniel Shaler,
géologue à Harvard, suggère de dévier une
plus grande partie du chaud courant de
Kuroshio vers le Détroit de Béring afin de
relever de 30 degrés Fahrenheit (env.
16,7°C) les températures de la région
polaire.
1912.Carroll Livingston Riker,
ingénieur et industriel new-yorkais,
suggère la construction d'une jetée de 300
km au large de Terre-Neuve pour augmenter
le flux du Gulf Stream dans le Bassin
Arctique, avec comme avantage
supplémentaire le "déplacement" de l'axe
de la Terre. Le New York Times qualifia la
proposition de "surprenante"... mais pas
de déraisonnable.
1929.
Hermann Obert,
physicien et ingénieur germano-hongrois,
suggéra la construction de miroirs géants
sur une station spatiale, afin de
concentrer les rayons du soleil sur la
surface terrestre, rendant l'extrême Nord
habitable et libérant des couloirs
maritimes vers les ports sibériens.
1945.
Julian Huxley,
biologiste et secrétaire-général de
l'UNESCO de 1946 à 1948, proposa de faire
exploser des bombes atomique à l'altitude
adéquate au-dessus des régions polaires
afin de relever la température de l'Océan
Arctique et de réchauffer tout le climat
de la zone tempérée septentrionale.
1946.
Un article de
Village Voice de
2005 évoque un numéro de mai 1946 de
Mechanix Illustrated,
présentant plusieurs propositions de
géo-ingénierie pour réchauffer
l'Arctique. Une de ces "bonnes idées"
était suggérée par Julian Huxley, alors
secrétaire-général de l'UNESCO, et frère
d'Aldous Huxley, qui consistait à faire
exploser des bombes atomiques pour
réchauffer l'Arctique.
1958. M. Gorodsky,
ingénieur et mathématicien soviétique,
et Valentin Tcherenkov, météorologue
soviétique, proposent de placer un
anneau métallique constitué de
particules de potassium en orbite
polaire autour de la Terre pour diffuser
la lumière atteignant la Terre, et
augmenter ainsi le rayonnement solaire,
afin de faire dégeler le sol en
permanence gelé de la Russie, du Canada,
de l'Alaska, et de faire fondre la glace
polaire.
1958.
Arkady Markine,
un ingénieur soviétique, propose que les
États-Unis et l'Union
Soviétique ferment le Détroit de Béring
par un barrage gigantesque et utilisent
des pompes atomiques à hélices afin de
pousser le courant chaud du Pacifique
dans l'Atlantique via la Mer Arctique.
La banquise de l'Arctique fondrait, et
les zones gelées de la Sibérie et de
l'Amérique du Nord deviendraient
tempérées et productives.
1958.
P.M. Borisov,
un ingénieur pétrolier, propose de faire
fondre la calotte glaciaire arctique et
celle du Groenland en répandant de la
poudre de charbon noir sur la banquise,
en créant une couverture nuageuse entre
les pôles afin de piéger la chaleur, et
en déviant les eaux chaudes de
l'Atlantique vers les régions polaires.
Ce projet a été pris au sérieux par les
climatologues soviétiques. Deux
colloques se sont tenus au début des
années 1960 à Leningrad, suite à une
réunion en 1959 à Moscou du Présidium de
l'Académie des Sciences de l'URSS.
1958.
L.M. Natland,
géologue à la compagnie pétrolière
Atlantic Richfield, suggère de faire
exploser jusqu'à 100 bombes atomiques
souterraines afin d'exploiter les
sables
bitumineux de l'Alberta. La
chaleur due aux explosions était censée
porter à ébullition les dépôts
bitumineux, réduire leur viscosité au
point de pouvoir ensuite avoir recours
aux forages habituels. Ce plan a été
encouragé par les efforts étasuniens à
trouver des "utilisations pacifiques" à
l'atome. Le projet a été approuvé en
1959, mais le gouvernement canadien
revint sur sa décision en 1962 et
déclara le Canada opposé à toute forme
d'essai nucléaire. En 2012 les Sables
Bitumineux Canadiens redeviennent un
problème international.
1962 Harry
Wexler (15 mars 1911-1962) était
diplômé du MIT (Massachusetts
Institute of Technology) et docteur en
météorologie. Wexler avait recherché
le lien existant entre les composés de
chlore et de brome et
la
destruction des couches d'ozone
stratosphériques, mais est mort
d'un infarctus pendant des vacances à
Woods Hole, dans le Massachusetts. Il
venait d'accepter une invitation à
donner une conférence intitulée
"Le
climat de la Terre et ses
modifications" à l'Espace
de Recherche et Institut de
Technologie de l'Université du
Maryland.
(Source)
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Dans
les années 1960, les propositions de
géo-ingénierie destinées à réchauffer
l'Arctique marquèrent une volte-face en
grande partie inexpliquée lorsque les
recherches de l'océanographe
Roger
Revelle ont conclu que le dioxyde
de carbone réchauffait déjà
l'atmosphère, gratuitement, sans le
risque de coûteux et dangereux projets
de géo-ingénierie.
Ce virage à 180° se présentait
comme une régression, sauf pour les
actionnaires du secteur de l'énergie qui
investissaient depuis des décennies dans
des projets de réchauffement arctique.
Est-ce que l'histoire du CO2 promettait
finalement d'apporter à Exxon, BP et
Shell ce qu'ils voulaient ?
Si les prévisions de Roger Revelle
concernant le réchauffement climatique
se révélaient fausses ou trop lentes à
venir, le département de la Défense
pouvait intervenir --
pour des
raisons de sécurité nationale --
pour aider au réchauffement arctique
comme composante secrète du programme
militaire classifié de modification
météorologique.
Le document de l'Air Force datant
de 1996 qui prévoit de "S'approprier le
temps en 2025" (
Owning the Weather in
2025) ne se dispense pas
d'utiliser les technologies de Tesla et
du plasma dans le but d'augmenter les
températures arctiques et de
désavantager un ennemi éventuel. La
décision de
ne pas intervenir
pourrait trahir l'objectif primordial
des militaires de la "Domination tous
azimuts". Après tout, pouvoir avoir
accès au pétrole ou au gaz est depuis
des décennies une priorité de la
sécurité nationale.
En 1966, le
Dr. Gordon J.F.
MacDonald était président d
e
la commission restreinte de l'ICAS sur
la Modification de la Météorologie et du
Climat, et il écrivait :
"Le dioxyde de carbone présent dans
l'atmosphère depuis le début de la
révolution industrielle a causé une
augmentation de la température moyenne
de la basse atmosphère de quelques
dixièmes de degré Fahrenheit." Gordon
MacDonald
Unless Peace Comes: How to
Wreck the Environment.
Source
MacDonald faisait allusion à
l'article scientifique de Roger Revelle
et Hans Suess, qui renversait le sujet
du débat de Comment réchauffer
l'Arctique à Comment éviter de
réchauffer l'Arctique. Les recherches
océanographiques de Revelle signalaient
une augmentation du dioxyde de carbone
dans l'atmosphère terrestre censée être
le résultat de la production et de la
combustion du charbon de l'ère
industrielle.
Source
Revelle avait travaillé à
la fin des années 1940 avec
la Navy pour déterminer les
projets à financer qui promouvaient avec
succès l'idée que la Navy devrait
investir davantage dans la "recherche
fondamentale". Revelle était
profondément impliqué dans l'essor
mondial de l'océanographie. Il était
également un des présidents de comité
concernant les études influentes de
l'Académie Nationale des Sciences sur
les "effets biologiques des radiations
atomiques (
"Biological
Effects of Atomic Radiation” - BEAR),
de 1954 à 1964. En tant que président du
Comité Scientifique de la Recherche
Océanique, un groupe international de
scientifiques qui offrait des conseils
sur des projets internationaux, Revelle
bénéficiait d'une influence importante
au niveau mondial. Revelle et d'autres
scientifiques de l'Institution
Océanographique Scripps ont aidé le
gouvernement étasunien à planifier
des
essais nucléaires militaires de
façon à ce que les océanographes
puissent en utiliser les données.
Source
Les conclusions du rapport
BEAR étaient logiquement
importantes pour démontrer les graves
dégâts biologiques et environnementaux
provoqués par les radiations nucléaires,
et elles pouvaient aisément suffire à
contrecarrer les projets de géo-ingénierie
qui recommandaient l'explosion de bombes
H.
Mais il n'existe guère de preuves
qu'ont ait complètement abandonné toute
intention de modifier le climat arctique.
Si l'objectif
fondamental de réchauffer l'Arctique
demeure une priorité secrète de la
sécurité nationale dans le secteur
énergétique, on pourrait dissimuler
ledit projet au public et au contrôle
d'un comité et en faire une opération
classée secrète au sein du développement
d'un programme militaire de guerre
météorologique -- une initiative
reconnue par des programmes civils de
modification du temps officialisés en
1966 par la NASA et la charte ICAS [le
Comité Indépendant pour les Sciences
Atmosphériques].
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Audition du
Congrès des États-Unis,
du Sénat, et du Comité du Commerce
Inter-États et avec l'Étranger,
la recherche sur la modification de la
météo, Bureau de presse du
Gouvernement des États-Unis,
Washington DC, 18-19 mars 1958 ;
Lowell Ponte cite le capitaine Orville
comme ayant rapporté "que le
Département de la Défense étudiait des
moyens de manipuler les charges
[électriques] de la terre et du ciel,
afin d'affecter la météorologie par le
biais de rayons électroniques destinés
à ioniser et dé-ioniser l'atmosphère
sur un secteur donné" (...) Le
capitaine Orville a également parlé
des expérimentations de l'US Air Force
à partir "de vapeur de sodium,
expulsée d'avions à réaction et
destinées à intercepter les
radiations solaires" au-dessus de
pays ennemis et ainsi faire
pleuvoir. ('The
Cooling', op. cit. pp. 168-169 Source
P. 42)
Cette volte-face,
où on passe soudain de la recherche de
moyens de réchauffer l'Arctique à celle
de moyens de l'empêcher de se
réchauffer, a été annoncée en 1963 --
l'année qui a suivi la mort soudaine du
météorologue Harry Wexler. Étant
parfaitement au courant du programme de
militarisation de la météo datant de
1958, l'Académie nationale des Sciences
(NAS) recommande la nomination d'une
"Commission sur l'Évolution
Météorologique et Climatique". source
Cet événement pouvait servir à
consolider les programmes militaires et
civils de modification du temps dans des
buts pacifiques ou bien -- si
nécessaire -- servir d'opérations
clandestines de modification
météorologique et même de réchauffement
climatique, exécutées secrètement par
les militaires sous le prétexte
passe-partout de "sécurité nationale".
SUIVEZ
L'ARGENT Les lobbyistes des
grands pétroliers affirment publiquement
que le réchauffement climatique mondial
est une arnaque, tout en investissant
tranquillement des milliards dans de
nouveaux forages, dont l'occasion est
offerte par la fonte réelle de la
banquise arctique. Le secteur de
l'énergie a énormément investi dans des
brise-glace et de l'équipement de
forage, tirant profit du réchauffement
climatique même qu'ils rechignent à
reconnaître. Avoir le beurre et
l'argent du beurre est une attitude
essentielle pour eux. Quand on révèle le
réchauffement du climat arctique comme
étant une opération militaire de
modification climatique, Big Oil peut se
retrancher derrière le "On vous l'avait
bien dit". Dans la mesure où les
gouvernements vont probablement se
succéder au cours des 100 prochaines
années, ils calculent que la demande en
pétrole ne changera pas -- ni les compagnies
qui forent pour en avoir.
- "Alors
que la calotte glaciaire arctique se
rétracte, les énergéticiens cherchent
au nord une nouvelle source abondante
de brut."
Source
- "Shell est une des six compagnies
prévoyant d'extraire du pétrole, du gaz
et des minéraux dans l'Arctique, au
moment où le réchauffement climatique
fait fondre la glace et ouvre de
nouvelles routes commerciales
maritimes." Source
- "Les
sources reculées et dangereuses de
pétrole arctique deviennent de plus en
plus intéressantes au moment où le
besoin mondial en pétrole augmente et
où les réserves existantes se
tarissent."
Source

"HAARP
Des
installations de premier ordre pour
l'étude de la physique ionosphérique
et des sciences radio"
______________________________________________________________________________________
Cette série de
documents datant de 1966 révèle
un réseau d'agences gouvernementales en
perpétuelle et secrète collaboration,
travaillant avec les militaires pour
modifier artificiellement le
climat. Créé comme agenda de
l'élitiste Académie Nationale des
Sciences -- une culture
inter-agence du secret forgée sur des
décennies explique pourquoi la question
de la géo-ingénierie clandestine liée
aux aérosols est un sujet tabou, que
toute agence gouvernementale appartenant
à ce réseau de bureaucrates complices
réduit dès qu'elle le peut au statut de
"théorie du complot". C'est la raison
pour laquelle le "météorologue" de votre
chaîne locale de TV donnera rarement des
explications utiles sur un ciel
inhabituel rempli de traînées de
condensation persistantes.
- 1966,
JUN
: “Present and Future Plans of Federal
Agencies in Weather-Climate
Modification” (Projets actuels
et futurs des Agences fédérales
concernant les modifications
météorologiques et climatiques")
Préparé par la Commission de l'ICAS
spécialisée dans la modification
climatique.
- 1966,
NOV
: A Recommended National Program in
Weather Modification – A
Report to the Interdepartmental
Committee for Atmospheric Sciences
(ICAS) by Homer E. Newell –
Associate Administrator for Space
Science and Applications, NASA,
Washington, D.C. (Un Programme
national recommandé concernant les
modifications climatiques - Rapport
au Comité Interministériel pour
les Sciences Atmosphériques, de
Homer E. Newell, Administrateur
associé de la NASA pour les
Sciences Spatiales et leurs
Applications, Washington D.C.)
- 1966 :
APPENDICE I
– Commission sur la modification
météorologique et climatique, au
Comité sur les Sciences Atmosphériques
NAS-NRC (Académie nationale des
Sciences - Conseil National de la
Recherche) - Recommandations de la
Fondation Nationale des Sciences pour
l'adhésion.
- 1966 :
APPENDICE
II – Commission
spéciale sur les modifications
climatiques - recommandations pour
l'adhésion
- 1966 :
APPENDICE
III Rapport préparé par
la Commission spécialisée de l'ICAS
sur les modifications climatiques ; “Present
and Future Plans of Federal
Agencies in Weather-Climate
Modification” ("Projets
actuels et futurs des
Agences fédérales concernant les
modifications météorologiques et
climatiques"), en date du 20 juin
1966
- 1966 :
APPENDICE
IV Mémorandum à
destination du Dr. Homer E. Newell, de
la part de J. Herbert Hollomon,
président de l'ICAS. Sujet : Programme
national de modifications climatiques,
en date du 21 juin 1966
- 1966 :
APPENDICE V
NASA Commission d'étude des activités
de modification climatique ; adhésion
; chronologie des réunions, et
compilation des documents
justificatifs utilisés par la
Commission
- 1966 :
APPENDICE
VI
Recommandations budgétaires et
tendances liées à un programme
national de modification climatique
1966 – NASA :
Un Programme National Recommandé de
Modifications Climatiques - Rapport au
Comité Indépendant pour les Sciences
Atmosphériques (ICAS), par Homer E.
Newell, administrateur associé pour
les Sciences Spatiales et leurs
Applications, NASA, Washington, D.C.
En 1966, un
rapport de la NASA à l'ICAS (Comité
Indépendant pour les Sciences
Atmosphériques, de l'Académie
Nationale des Sciences - NAS) fut la
première étape dans l'établissement
d'un programme national de
modification climatique qui allait
finalement impliquer de multiples
agences fédérales. Le rapport se
concentrait sur quatre agences
initiales : l'ESSA, la NSF
(National Science Foundation), la NASA
et le Bureau of Reclamation du
ministère de l'Intérieur.
Dans la
rubrique Principes recommandés, on
a fait remarquer que a) chaque agence
serait financé indépendamment, tout en
insistant sur la coopération
inter-agences dans la recherche. Un
financement indépendant pourrait rendre
le programme moins voyant et plus
difficile au Congrès de lui couper les
vivres. De plus, de nouvelles agences
pourraient y participer sans avoir
recours à des auditions budgétaires
médiatisées. b) Une agence "centrale"
désignée -- tout en étant responsable de
la mise au point du programme --
n'aurait aucune autorité réelle dans son
application, laissant ces décisions à de
probables lobbyistes civils
non-identifiés et à des "intervenants"
du ministère de la Défense.
Bien que le
rapport de l'ICAS se situe dans le
contexte de la protection de l'eau, de
l'agriculture, des forêts, des terres et
des ressources naturelles, les
connaissances acquises en manipulant le
climat intéressaient davantage dans
l'immédiat les militaires et leur
complexe industriel.
Trente ans après
la création du Programme National de
Modification Climatique, l'US Air Force
publia un document (“Owning The
Weather in 2025” -
S'approprier le climat en 2025),
établissant que les agences fédérales
impliquées dans le Programme National
de Modification Climatique se
trouvaient sous l'autorité tacite du
ministère de la Défense.
S'approprier
le climat en 2025 -- Déclaration
d'ouverture. Les technologies
actuelles qui atteindront leur
maturité au cours des 30 prochaines
années offriront à tous ceux qui
auront les ressources nécessaires la
capacité de modifier les schémas
météorologiques et leurs effets
respectifs, du moins à l'échelle
locale. Les tendances démographiques,
économiques et environnementales
actuelles vont créer des tensions
mondiales qui fourniront l'élan
nécessaire à ce que de nombreux pays
ou groupes transforment cette aptitude
à modifier le climat en compétence.
Aux
États-Unis, la modification du climat
deviendra probablement partie
intégrante de la politique de sécurité
nationale, engendrant des applications
à la fois intérieures et
internationales. Notre gouvernement
mènera une politique de ce type, selon
ses intérêts, à différents
niveaux. Ceux-ci pourraient prendre la
forme d'actions unilatérales, d'une
participation au sein d'un cadre
sécuritaire type OTAN, de l'adhésion à
une organisation internationale telle
que l'ONU, ou
d'une participation à une coalition.
En supposant qu'en 2025 la stratégie
de notre sécurité nationale comprenne
la modification du climat, son
utilisation dans notre stratégie
militaire nationale s'ensuivra tout
naturellement. Outre les avantages
importants qu'offrirait une capacité
opérationnelle, une autre motivation
liée à la modification climatique est
de dissuader et contrer des
adversaires potentiels.
Dans ce
document nous montrons qu'une
application appropriée de la
modification climatique peut apporter
sur le champ de bataille un degré de
supériorité jamais imaginé
jusqu'alors. À l'avenir, les
opérations de ce type optimiseront la
supériorité aérienne et spatiale et
offriront de nouvelles options dans la
conception et la perception de
l'espace de combat.1 "La
technologie existe, et il ne nous reste
plus qu'à la coordonner" ;2 en 2025,
nous pourrons "nous approprier le
temps".
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Évolution d'un
programme R&D de modification
climatique en un système militaire
d'armes
______________________________________________________________________________________
Étude de cas
N°2 : "Évolution
d'un programme R&D de modification
climatique en un système militaire
d'armes”
Le but de ce
document de la Federation of
American Scientists
est de critiquer le programme
étasunien de modification climatique,
dont la caractéristique est d'avoir
été détourné en un système militaire
d'armes.
Depuis plus
d'un siècle, des experts et des
auteurs appelaient à des projets de
géo-ingénierie visant à réchauffer
l'Arctique. Le grand public, dans
l'ensemble, s'amusait de ces concepts,
même lorsqu'un expert en météorologie
reconnu nationalement a suggéré en
1962 de faire exploser des bombes à
hydrogène au-dessus du pôle Nord.
Il est révélateur
que les propositions initiales pour
résoudre le problème récemment découvert
du "réchauffement" dû au CO2 ne consistaient pas
tant à limiter les émissions carbone
qu'à se hâter de relâcher dans
l'atmosphère des aérosols toxiques, sans
commencer par en estimer les dangers. La
menace causée par la pollution
atmosphérique, le blocage de la lumière
du soleil et le largage dans
l'atmosphère par des avions à chaque
sortie de quantités énormes de CO2, est
de toute évidence un problème de santé
publique nécessitant des années de
recherches que le gouvernement n'avait
aucune envie de financer ni
encadrer par des lois. En conséquence,
l'empressement avec lequel ces
dispositifs d'aérosols chimiques ont été
promus suggère que les mesures d'urgence
prises pour refroidir la planète à
l'aide d'aérosols sont depuis longtemps
considérées comme une mission
prioritaire alléchante.
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______________________________________________________________________________________
Un
cheval de Troie ? Selon la vision
militaire de "l'appropriation du temps
en 2025", réchauffer l'atmosphère au
moyen d'armes ionosphériques et à plasma
est une capacité établie. Les nombreuses
agences impliquées dans le Programme
National de Modification Météorologique
et Climatique protègent le programme
d'aérosols et d'armes scalaires des
militaires en opposant au public et aux
médias des démentis cinglants chaque
fois qu'il est question de "chemtrails"
sur une station locale de radio ou de
TV.
Il est
inacceptable que l'ONU ou le GIEC
continue à mettre en avant le CO2 comme cause du
changement climatique tout en refusant
de reconnaître que les militaires sont
activement impliqués depuis le milieu
des années 1990 dans la modification du
climat.
Juste au moment
où le Programme de Modification
Climatique de l'ICAS/de la NASA est
officialisé, les données montrent que la
plupart des idées sur la manière de
refroidir la planète font appel à
d'étranges projets où on pulvérise ou
disperse des particules, des éléments
biologiques et de la poussière dans
l'atmosphère ou les océans. Il s'agit là
des mêmes personnes qui, quelques mois
auparavant, s'empressaient à faire la
queue pour écouter Wexler parler de
moyens de réchauffer la planète à coups
de bombes à hydrogène, ou de la
destruction de l'OZONE et des particules
orbitales.
Alors que la
plupart d'entre nous se rendent compte
que nombre des propositions de ces
experts respectés seraient
catastrophiques pour l'environnement,
toutes ces idées draconiennes n'ont pas
été rejetées, même s'il apparaît de plus
en plus clairement que déployer des
produits chimiques dans l'atmosphère
cause plus de mal que de bien.
Le déploiement
d'aérosols par géo-ingénierie, tel qu'on
l'observe en pratique depuis une
vingtaine d'années, est maintenant
considéré comme une source de
réchauffement climatique -- et non une
solution.
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_________________________________________________________________________________________
In
1999, une climatologue, Joyce
Penner, publia une étude qui démontrait
que les traînées de condensation des
avions à réaction et les cirrus élevés
provoquent une élévation brute des
températures au sol. Le statut de la Dr.
Penner, en tant que climatologue de la
Commission Internationale de l'ONU sur les
Changements Climatiques, implique
l'existence d'un consensus sur la question
des traînées de condensation (contrails)
et des petits nuages d'altitude qui
réchauffent l'atmosphère et affectent le
changement climatique. (Article)
En 2007,
le chercheur Cliff Carnicom
calcula l'incidence du déploiement
actuel non reconnu des aérosols dans
l'atmosphère et conclut :
"On peut
constater grâce à ce modèle que les
conséquences de l'introduction
artificielle d'aérosols dans la basse
atmosphère peuvent se révéler dans le
proche avenir comparable aux impacts
extraordinaires projetés sur les êtres
humains par les modèles mathématiques
de réchauffement climatique, même modestes et
prudents. Dans la
mesure où le modèle présenté ci-après
se veut raisonnablement prudent,
l'impact des opérations de
pulvérisation d'aérosols pourrait se
révéler bien supérieur à ce que
montrent ces résultats. Il est
conseillé aux citoyens de prendre en
compte la viabilité et le mérite de ce
modèle dans l'examen de la question du
réchauffement climatique, et
d'intervenir énergiquement, afin de
mettre fin aux opérations de
pulvérisation intentionnelle
d'aérosols.
Cet article
est proposé tardivement, du fait de ma
disponibilité limitée pour des
recherches suivies à ce niveau.
J'espère néanmoins que ces
informations peuvent être évaluées et
intégrées aux différents arguments et
justifications qui se sont développés
au cours de la dernière décennie, afin
de faire cesser l'altération
volontaire de l'atmosphère de notre
planète." – Cliff
Carnicom Etude
complète
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- 1965 ;
Comité consultatif scientifique du
Président, États-Unis ; Proposition :
enquête sur l'injection dans
l'atmosphère de noyaux gelés ou de
condensation afin de contrecarrer les
effets de l'augmentation du dioxyde de
carbone.
- 1977 ;
Cesare Marchetti, physicien italien
dans l'industrie ; invente le terme de
“geoengineering” et suggère de piéger
le CO2 au fond
des océans.
- 1983 ;
Stanford Penner, A. M. Schneider, et
E. M. Kennedy, physiciens américains ;
Ils suggèrent d'introduire dans
l'atmosphère de petites particules de
manière à renvoyer dans l'espace plus
de lumière solaire.
- 1988
; John H. Martin, océanographe
américain ; Propose de disperser une
quantité relativement faible de fer
dans des zones appropriées de l'océan
afin de créer de vastes efflorescences
algales qui pourraient absorber
suffisamment de carbone atmosphérique
et inverser ainsi l'effet de serre et
refroidir la Terre.
- 1989 ;
James T. Early, un climatologue
américain, suggère de dévier 2 % de la
lumière solaire au moyen d'un "store
spatial", pour un coût de mille à 10
mille milliards de dollars, placé en
orbite terrestre.
- 1990 ;
John Latham, un physicien britannique,
spécialiste des nuages, propose
d'ensemencer des stratocumulus marins
avec des gouttelettes d'eau de mer,
pour augmenter leur réflectivité et
leur longévité.
- 1992
; Le Comité sur la science,
l'ingénierie et les politiques
publiques de l'Académie Nationale des
Sciences (NAS) propose d'ajouter de la
poussière à la poussière atmosphérique
naturelle afin de réfléchir davantage
la lumière solaire.
- 1998 :
Station Spatiale Internationale
(ISS) : le premier composant
modulaire de l'ISS est lancé, et il
est (en 2012) l'actuel satellite
artificiel habité en orbite basse de
la Terre, à la suite de Saliout,
Almaz, Skylab et Mir. (La mission
de l'ISS en 1988 est en phase avec
l'augmentation, la même année, des
observations publiques et des
plaintes liées aux aérosols dus aux
avions à réaction.) La fonction
officielle de l'ISS est d'offrir une
plateforme spatiale internationale
pour la recherche et
l'expérimentation dans les domaines
de la biologie, de la biologie
humaine, de la physique, de
l'astronomie, de la météorologie,
et autres.
- 2010 :
Le géo-ingénieur David Keith
(Conférence de l'AAAS - l'Association
américaine pour l'avancement des
sciences) propose de se servir
d'avions à réaction pour pulvériser
dans l'atmosphère du dioxyde de soufre
et des nanoparticules d'aluminium afin
de renvoyer dans l'espace la lumière
solaire.
En
1968, Gordon J. F. MacDonald
rédige un chapitre de Unless
Peace Comes
(À moins que la paix arrive), où il
prédit à juste titre que dans l'avenir
les moyens d'atteindre des objectifs par
la force reposeront sur la faculté que
possèdera l'homme de contrôler et
manipuler l'environnement terrestre.
"Quand il
l'aura obtenu, ce pouvoir sur
l'environnement fournira à l'homme une
nouvelle force, capable de causer de
grands dommages, sans discrimination.
Notre compréhension actuelle primitive
des changements environnementaux
délibérés fait qu'il est difficile
d'imaginer un monde où on pratique la
guerre géophysique. Ce serait un monde
où les armes nucléaires pourraient
être effectivement bannies et où les
armes de destruction massive
provoqueraient des désastres
environnementaux. Comme je le
montrerai, ces armes sont
particulièrement bien adaptées aux
guerres discrètes ou secrètes."
"Afin de
considérer les conséquences de
modifications environnementales dans
des conflits entre nations, il nous
faut envisager l'état actuel des
choses et comment des développements
postulés dans le domaine pourraient
mener, dans 10 ou 50 ans, à des
systèmes d'armes utilisant la nature
sous des formes nouvelles ou
inattendues."
La
confiance et l'enthousiasme manifestés
dans le document de l'USAF intitulé Owning the
Weather in 2025 ("S'approprier
le temps en 2025") s'appuyait sur
l'arrivée des technologies liées aux
armes scalaires au cours des années Star
Wars de Reagan. Le document promet : "la
modification du climat peut procurer
une suprématie sur l'espace de
bataille à un niveau jamais imaginé
auparavant." Le commentaire
"jamais imaginé auparavant" évoque
immédiatement les installations HAARP de
réchauffage ionosphérique, les brevets
Bernard Eastlund et les stratégies
militaires de suprématie militaire
mondiale. Ce scénario de contrôle
météorologique nous ramène à
l'avertissement prédictif émis par
Gordon MacDonald dans le chapitre
"Comment ravager l'environnement" du
livre Unless Peace Comes. Source
Chronologie de
l'Appropriation du temps : De 1987
à 1992, les scientifiques de l'ATPI
construisent à partir des brevets de
Bernard Eastlund afin de développer de
nouvelles armes
En 1994, ATPI est
acheté par E-Systems, avec un contrat
pour la construction du plus grand
réchauffeur ionosphérique du monde
(HAARP). -- En 1995, Raytheon achète
E-Systems et les anciens brevets APTI.
-- En 1996, l'Air Force publie Owning
the Weather in 2025.
Dans
son ouvrage de 2011, Here on
Earth: A
Natural History of the Planet ("Ici
sur Terre : une histoire naturelle de la
planète"), Tim Flannery,
scientifique et auteur, nous rappelle
que les propositions invitant à la fonte
des calottes glaciaires ont été avancées
après la Deuxième Guerre mondiale par
des personnes renommées, dont le premier
directeur-général de l'UNESCO (Julian
Huxley, 1946), par un haut-fonctionnaire
du Bureau Météorologique étasunien, et
par un ingénieur pétrolier russe nommé
Piotr
Mikhaïlovitch Borisov. Des
congrès scientifiques en débattaient
les mérites, tandis que les grandes
sociétés d'exploitation minières et
les énergéticiens envisageaient
d'avoir recours à des explosions
nucléaires pour extraire le charbon et
le pétrole.
Des membres
renommés de la communauté internationale
voyaient l'occasion de faire exploser
des bombes atomiques comme une manière
nouvelle et constructive de transformer
l'Arctique par la géo-ingénierie. Parmi les
principaux motifs pour justifier la
méthode : 1) L'Arctique est presque
trop froid pour être habité par des
êtres humains. 2) La calotte polaire
condamne des routes de navigation
profitables. 3) Les étendues d'eau
glacée là-bas au Nord contribuent à
causer des hivers désagréablement
froids dans de nombreux pays. 4) La
difficulté qu'il y a à extraire du
pétrole en forant à travers la
banquise.
On lança
publiquement l'idée comme une
"utilisation pacifique" de l'arme
atomique.
Flannery se sert de cet exemple pour montrer
la tendance évidente de l'humanité à hâter
sa propre fin.
Here on Earth:
A Natural History of the Planet
– par Tim Flannery. Critique
du livre
par Mark Engler
P.M. Borisov,
ingénieur russe des pétroles, propose
un moyen de faire fondre la calotte
glaciaire arctique
L'idée de
Borisov : Si on fait
fondre un jour la banquise arctique,
une quantité bien moindre de radiation
solaire sera réfléchie dans l'espace
et donc la calotte glaciaire arctique
ne se reformera pas. Un Océan Arctique
libre de glace serait un grand
avantage pour la navigation océanique,
particulièrement entre l'Europe et
l'Asie orientale. Une grande
partie des terres du nord du Canada et
de la Sibérie seraient libérées du
permafrost et deviendraient
cultivables. Borisov croyait qu'un
Océan Arctique libre de glace
conduirait à une plus grande
évaporation de l'eau et de là à une
plus grande pluviosité au niveau
mondial, y compris dans le désert du
Sahara, où de l'herbe pousserait.
Borisov considère comme des avantages
tous les impacts liés à la fonte de la
calotte glaciaire arctique. Il affirme
que la fonte de la calotte glaciaire
du Groenland n'élèverait le niveau des
océans que d'1,5 mm à 2 mm par
an.
Ce projet a été pris au sérieux par
les climatologues soviétiques. Deux
congrès se sont tenus au début des
années 1960 à Léningrad, à la suite d'un
autre tenu en 1959 à Moscou par le
Présidium de l'Académie soviétique des
Sciences. Parmi les suggestions de
Borisov destinées à réchauffer
l'Arctique :
- Couvrir
de grands secteurs de l'Arctique de
poudres noires, telles que de la
poussière de charbon (G. Veksler,
1959) (Du noir de carbone ?)
- Disperser
la couverture nuageuse située
sur le centre du Bassin Arctique (D.
Fletcher, 1958) (Des aérosols dus
à la géo-ingénierie ?)
- Creusement
du Seuil de Thomson (V.N. Stepanov,
1963)
- Couvrir
la surface de l'eau d'une pellicule
monomoléculaire (M. Boudyko, 1962)
- Des
installations pour rediriger l'eau
plus chaude de l'Océan Atlantique dans
la Mer de Kara (V.P. Piankov, 1965)
- Pomper de
l'eau arctique froide dans le
Pacifique afin d'attirer l'eau chaude
de l'Atlantique dans le Bassin
Arctique (P.M. Borisov, autour de
1968)
Ce concept
nécessitait aussi la construction d'un
barrage pour fermer le Détroit de
Béring. Source : P.M. Borisov, “Can we
Control the Arctic Climate?” ("Pouvons-nous
contrôler le climat arctique ?") ,
Bulletin of the Atomic Scientists,
mars 1969, pp. 43-48.
Dans un projet
connexe, il fut
suggéré de stocker les déchets
nucléaires dans l'Antarctique.
Selon le plan, on permettait à des
conteneurs spécialement conçus et emplis
de déchets atomiques chauds de
s'enfoncer en faisant fondre la banquise
jusqu'à "l'interface glace-rocher", où
ils étaient censés demeurer
stockés dans le froid pendant 250.000
ans.
La chronologie
suivante provient du livre “Angels
Don’t Play This HAARP" Advances
in Tesla Technology (Les
Anges ne jouent pas de cette
HAARP - juin 2003) de Jeanne
Manning et Dr. Nick
Begich, contient des faits troublants
concernant l'histoire peu connue de
l'utilisation par notre gouvernement
des technologies scalaires pour
modifier le climat. La liste a été
mise à jour en 2012 avec l'ajout de
nouveaux événements et de liens.
Chronologie
des essais publics et secrets et du
développement des armes à impulsion
- 1886-88 :
Nikola Tesla invente le
système du Courant Alternatif, sa
source et sa transmission. Alors que
les réseaux en courant alternatif à 60
pulsations par seconde (60 Hz) se
développent, la fréquence de résonance
de la Terre dansera finalement à un
autre rythme que ses 7 ou 8 Hz
habituels.
- 1900 :
Tesla dépose une demande de brevet sur
un appareil de transmission de
l'énergie électrique "par les moyens
naturels". Le Brevet US N°787 412 est
délivré en 1905.
- 1924 : Confirmation que les ondes
radio ricochent sur l'ionosphère (une
couche chargée d'électricité située à
partir de 50 km d'altitude).
- 1938
: Un scientifique propose d'éclairer le
ciel nocturne par le chauffage à
électron gyrotron depuis un transmetteur
puissant.
- 1940 : Tesla annonce l'invention d'un
"rayon de la mort".
- 1945 : Les essais de bombes atomiques
commencent. 40.000 pulsations
électromagnétiques suivent.
- 1952 : W.O. Schumann identifie 7,83 Hz
comme étant la fréquence de résonance de
la Terre.
- 1958 : Découverte des ceintures de
radiations Van Allen (des zones de
particules chargées, prisonnières du
champ magnétique de la Terre), à + de
3000 km d'altitude. Ceinture de Van
Allen violemment perturbée par les
explosions nucléaires.
- 1958
: Projet Argus. L'US Navy fait sauter 3
bombes nucléaires dans la ceinture de
Van Allen.
- 1958
: Le capitaine Howard T. Orville,
conseiller en chef de la Maison Blanche
sur les modifications climatiques,
disait déjà en 1958 que le département
de la Défense étudiait "des moyens
de manipuler les charges
[électromagnétiques] de la Terre et du
ciel, afin d'affecter la météorologie
en se servant d'un faisceau
électronique pour ioniser ou
dé-ioniser l'atmosphère au-dessus
d'une surface donnée."
- 1960 : Début de catastrophes
météorologiques en série.
- 1961 - Projet
Skywater - Projet d'ensemencement de
nuages du Bureau of Reclamation
(water) financé par le Congrès.
- 1961
: Des aiguilles de cuivre larguées dans
le ciel en guise de "bouclier
télécommunications".
- 1961 : Des scientifiques proposent
l'expérimentation de nuages artificiels
ioniques. Dans les années 1960 commence
le largage de produits chimiques (poudre
de baryum, etc.) depuis des satellites
ou des fusées.
- 1961-62
: Les Soviétiques et les États-Unis
déclenchent de nombreuses pulsions
électromagnétiques dans l'atmosphère,
300 mégatonnes d'engins nucléaires
dégradent la couche d'ozone, dégradation
estimée à 4 %.
- 1962 : Lancement de satellites
canadiens et début de la stimulation de
résonances plasmiques par des antennes
placées dans le plasma spatial.
- 1966, juin : Le rapport fait à
l'ICAS par la Commission de spécialistes
de l'ICAS - président : Gordon J.F.
MacDonald. “Future
plans of Federal Agencies in Weather
and Climate Modification.”
- 1966,
novembre. Le rapport de la NASA
à l'ICAS (Independent
Comm. for Atmospheric Sciences of
the Nat. Academy of Sciences, NAS --
Comité indépendant pour les sciences
atmosphériques de l'Académie
Nationale des Sciences) a été le
premier pas vers
l'établissement d'un programme
national de modification du climat.
- 1966 :
Gordon J.F. MacDonald publie
des conceptions militaires de la
géo-ingénierie environnementale.
MacDonald était président du Comité
de spécialistes de l'ICAS sur les
Modifications météorologiques et
climatiques.
- Années 1960 :
Dans le Wisconsin, le Projet
Sanguine de l'US Navy installe des
antennes ELF (extrême basse
fréquence).
- 1968 : Des
scientifiques moscovites informent
l'Occident que les Soviétiques ont
repéré quelles fréquences
magnétiques pulsées aident les
fonctions mentales et
physiologiques, et celles qui sont
nuisibles.
- 1968
: Gordon JF MacDonald
rédige le chapitre intitulé "A
scientific forecast of new weapons"
(Une prévision scientifique des
armes nouvelles) du livre "Unless
Peace Comes". MacDonald
était président du Comité de
spécialistes de l'ICAS sur les
Modifications météorologiques et
climatiques.
- 1969
: Hail
Suppression Data from Western North
Dakota, 1969–1972 (Données sur
la suppression de la grêle dans
l'ouest du Dakota du Nord,
1969-1972) École
des Mines et de Technologie du Dakota
du Sud, Rapid City.
- 1972 : Premiers rapports
concernant l'expérimentation, à Arecibo,
du "réchauffeur ionosphérique" utilisant
des ondes radio à haute fréquence. Un
réchauffeur de 100 mégawatts est
construit en Norvège plus tard dans la
décennie ; il peut modifier la
conductivité de l'ionosphère aurorale.
- 1972
: Potential
Value of Satellite Cloud Pictures in
Weather Mod. Projects (Valeur
potentielle des images satellite de
nuages dans les projets de
modification météorologiques) -
Rapport préparé pour la NASA par
l'Institut des Sciences
Atmosphériques, École
des Mines et de Technologie du
Dakota du Sud, Rapid City.
- 1973 :
Documentation indiquant que les gaz
d'échappement des fusées liées au
lancement de Skylab "ont diminué de
moitié pendant trois heures le
contenu total en électrons de
l'ionosphère."
- 1973 : Les
recommandations en faveur d'une
étude des effets biologiques du
Projet Sanguine sont réfutées par la
Navy.
- 1974 :
L'Assemblée Générale des Nations
Unies interdit la guerre
environnementale. ENMOD
- 1974:
Des expérimentations de haute-fréquence
effectuées à Plattesville (Colorado),
Arecibo (Porto Rico) et Armidal
(Nouvelle-Galles du Sud) chauffent le
"cul de l'ionosphère".
- 1974 : Expériences concernant la
lumière du ciel nocturne, accrue si dans
l'atmosphère on frappe des atomes
d'oxygène au moyen d'électrons
accélérés.
- 1975
: Évaluation,
dans le Dakota du Nord, des tests de
Monte Carlo concernant l'efficacité de
l'ensemencement des nuages sur la
pluviosité d'une saison de culture.
- 1975
: Le Professeur Robert Helliwell, de
Stanford, signale que la TBF/VLF des
lignes électriques modifie l'ionosphère.
- 1975 : Le sénateur US Gaylord Nelson
oblige la Navy à publier ses recherches
montrant que les transmissions TBF/VLF
peuvent modifier la chimie du sang
humain.
- 1975
: Le sous-comité sénatorial Pell
conseille vivement que les travaux sur
les modifications météorologiques et
climatiques soient supervisés par une
agence civile responsable devant le
Congrès US. Aucune mesure n'est prise.
- 1975
: Les Soviétiques commencent la
pulsation d'ondes ELF du type
"Woodpecker" (Pivert), au rythme crucial
des ondes du cerveau. Eugene (Oregon)
est un des lieux où les gens sont
particulièrement affectés.
- 1976 : Les Drs Susan Bawin et W. Ross
Adey montrent que les cellules nerveuses
sont affectées par les champs d'ondes
ELF (extrême basse fréquence).
- 1977 : Les impacts sur
l'environnement de la gestion des
précipitations - déductions du projet
Skywater.
- 1978 : Weather
modification: programs, problems,
policy, and potential ( Modifications
climatiques : programmes, problèmes,
politiques, et potentiel) (Grand
dossier PDF)
- 1979
: Le lancement du troisième Observatoire
Astrophysique à Haute Énergie
cause une dégradation à grande échelle,
provoquée artificiellement, de
l'ionosphère. Un trou dans le
plasma causé par de "rapides processus
chimiques" entre l'échappement de la
fusée et la couche d'ozone" (...)
l'ionosphère a été détériorée pendant
quelques heures, de manière
significative, sur une distance
horizontale de 300 km."
- 1979 : Annotated
Bibliography of Predictor Variables
for Weather Modification Applications
– Funded by NSF Grant ATM 79-05007
pub., Illinois State Water Survey,
Urbana. (Bibliographie annotée
de variables prédictives pour
applications liées à la modification
climatique - financé par la bourse
ATM 79-05007 publ. de la NSF,
rapport d'expertise de l'État
de l'Illinois concernant l'eau,
Urbana.)
- 1985
: Bernard J. Eastlund dépose un brevet
concernant "une méthode et un appareil
pour modifier une région de
l'atmosphère, de l'ionosphère et/ou de
la magnétosphère terrestres" (“Method and
Apparatus for Altering a Region in the
Earth’s Atmosphere, Ionosphere and/or
Magnetosphere”), le premier de 3
brevets Eastlund cédés à ARCO Power
Technologies Inc.
- 1986
: Le Projet Henhouse (le projet
"Poulailler") de l'US Navy reproduit
l'expérience Delgado (de Madrid) -- des
champs magnétiques pulsés de faible
niveau et à basse fréquence endommagent
des embryons de poulet. 20
- 1987 : Au cours des dernières
années de la décennie, les États-Unis
entreprennent la constitution du
réseau des tours GWEN (Ground Wave
Emergency Network ou réseau d'urgence
d'ondes de sol), chaque antenne-relais
devant engendrer des ondes VLF (très
basse fréquence) à des fins de défense.
- 1987-1992 : D'autres
scientifiques de l'APTI partent de
brevets Eastlund pour développer de
nouvelles capacités en armement.
- 1994 : Le fournisseur militaire
E-Systems achète APTI, détenteur des
brevets Eastlund et d'un contrat dans la
construction du plus important
réchauffeur ionosphérique du monde
(HAARP).
- 1994 : Le Congrès gèle le
financement de HAARP jusqu'à ce que les
planificateurs insistent davantage sur
les utilisations liées à la tomographie
de la pénétration du sol, dans le cadre
de la contre- prolifération nucléaire.
(Exploration pétrolière et gazière.)
- 1995-1997 : Dans tous les États-Unis
s'accumulent des plaintes concernant des
formations nuageuses inhabituelles et
une soudaine augmentation des traînées
de condensation persistantes des avions
à réaction, qui apparaissent étrangement
lorsque l'atmosphère est sèche. Ces
observations sont accompagnées de
plaintes concernant spécimens
biologiques et formation de fils de la
vierge semblant provenir du ciel. De
nombreux exemples d'analyses par des
laboratoires qualifiés font état de
fortes concentrations en aluminium,
baryum et d'autres éléments, en
cohérence avec les expériences
électromagnétiques du Département de la
Défense.
- 1995 : Raytheon acquiert
E-Systems et les vieux brevets APTI. La
technologie est maintenant cachée parmi
les milliers de brevets présents dans le
portefeuille de l'un des plus importants
fournisseurs de la Défense.
- 1995 : Le Congrès budgétise pour 1996
10 millions de $ en faveur du projet
HAARP, dans le cadre de la
"contre-prolifération nucléaire".
- 1995 : Expérimentation du brevet N°
5.041.834 visant à générer un "miroir
ionosphérique artificiel" (AIM), ou une
couche de plasma dans l'atmosphère.
L'AIM est utilisé comme l'ionosphère
pour réfléchir les fréquences
radioélectriques sur de longues
distances.
- 1994-1996 : Expérimentation du premier
stade de HAARP (appelé par euphémisme High frequency
Active Auroral Research Program, ou
"programme de recherche aurorale
active par haute-fréquence"),
l'équipement se poursuit, malgré le
gel du financement.
- 1996 :
Les scientifiques de HAARP testent les
applications de tomographie sismique
en modulant l'électrojet à des
fréquences extrêmement basses (ELF).
- 1998
: Date prévue de la mise en service
complète du système HAARP.
- 2009
: Opération HAMP - opération du
Département de la Sécurité Intérieure
destinée à "modifier et diriger les
ouragans par le biais d'aérosols de
géo-ingénierie".
- 2012
: Celebrating
50 years of Success. A Compilation
of highlights from the Institute of
Atmospheric Sciences at South Dakota
School of Mines & Technology
Rapid City. (Célébration de
50 ans de succès. Compilation des
temps forts par l'Institut des
Sciences Atmosphériques de l'École
des Mines et de Technologie du Dakota
du Sud, Rapid City.)
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C'est au milieu
des années 1990 que le public étasunien
se trouva soudain confronté à des
changements inexpliqués dans le ciel,
dont de nouvelles formations nuageuses
bizarres et de nouvelles sortes de
traînées de condensation d'avion qui
demeuraient dans le ciel pendant des
heures, alors même que l'humidité était
très faible à l'altitude où ces avions
volaient. Les changements observés
coïncidaient avec des événements
conséquents à l'acquisition en 1994 par
E-Systems d'APTI, également détenteur
des brevets du physicien en plasma Bernard
Eastlund et des contrats de
construction du plus important
réchauffeur ionosphérique du monde (HAARP).
L'historique du
programme national de modification
météorologique de 1966, coïncidant avec
des événements de cette période liés à
de nouvelles et bizarres formations
nuageuses, est une raison suffisante
pour étudier la relation existant entre
des aérosols pulvérisés par des avions à
réaction et l'expérimentation du
réchauffeur ionosphérique aux
installations HAARP de Gakona (Alaska),
d'Aricebo (Porto Rico) et dans bien
d'autres installations similaires
évoquées en ligne ces dernières années.
L'appauvrissement
actuel de la couche d'OZONE qui protège
la Terre est un risque connu de la
manipulation de l'ionosphère au moyen de
faisceaux de radiation
électromagnétiques puissamment
réchauffés. La pollution provoquée par
les missions de la Navette spatiale est
à elle seule, selon les propres
documents de la NASA, cause d'une rapide
diminution de la couche d'ozone.
Des dégâts
supplémentaires sont causés quand des
aérosols chimiques, déployés sur l'une
des deux régions polaires, piègent la
chaleur dans la troposphère, résultant
en une augmentation des températures de
surface mettant en danger la formation
normale de glace saisonnière, avec
conjointement une chute des températures
stratosphériques à environ -109°F
(-78,3°C), avec la formation de cristaux
de glace contaminés chimiquement, et qui
réagissent avec le soleil pour faire
diminuer un peu plus l'OZONE.
De 2009 à 2012,
on observe clairement, sur de nombreuses
images satellite et des photographies
prises au sol, des trainées chimiques
persistantes d'avions à réaction
au-dessus de la région du Pôle Nord. Il
n'est donc pas surprenant que la NASA
signale actuellement un nouvel
affaiblissement de l'OZONE dans les
latitudes du Grand Nord, là où aucune
n'était jusqu'alors repérée.
Ce n'est plus un
secret que les agences gouvernementales,
les militiaires et les intérêts
commerciaux des États-Unis
et d'ailleurs ont investi dans un
système scalaire radical de modification
climatique, dont on révèle maintenant
qu'il a de trop nombreuses conséquences
négatives involontaires sur le maintien
de la vie sur Terre.
Poursuivre cette
vaste opération de géo-ingénierie
aérosol de terra-deforming de la
Terre ne fera que confirmer qu'un de ses
objectifs est de faire fondre la glace
de l'Arctique -- un concept adopté
depuis plus d'un siècle par des hommes
influents, des compagnies pétrolières et
des nations.
Le gouvernement,
les militaires, le GIEC, l'ONU et les
actionnaires des multinationales ne
peuvent plus jouer l'inquiétude
désespérée face au réchauffement
climatique et aux changements
climatiques, au moment où le monde
s'éveille et commence à se rendre compte
que ces mêmes entités participent au
déploiement d'armes électromagnétiques
et d'aérosols de destruction climatique
massive, tel un monstrueux canular
orwellien perpétré contre l'humanité.
World Wide Watch Institute, 2014
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