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Project Avalon

Chroniques de l'éveil humain
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Manipulations dans les médias




    Jon Rappoport

    La science d'une société totalitaire est totalitaire


Ces pages du Forum de Project Avalon sont, sauf indication contraire, traduites par The Avalon Translation Project.



Message N°1        24 août 2017 (Pour l'original, voir ici.)   


UK
Membre d'Avalon  Tintin Quarantino's Avatar

Default La science d'une société totalitaire est totalitaire
"La science officielle a la mainmise sur les principaux médias. Elle possède la force d'une religion d'État. Quand on prend le temps d'y réfléchir, la science officielle est, de manière significative, une Église."

Ouah ! J'ai déjà fait le même parallèle et en ai parlé dans une conversation, pour contribuer à donner du poids à ce point de vue. J'aurais aimé avoir écrit cet article !

Une des principales raisons qui me font partager les intuitions de Jon, c'est qu'il écrit merveilleusement bien et qu'il continue à insister sur l'importance de l'esprit individuel - la liberté, si vous voulez - par opposition à l'esprit de troupeau. (En fait, je suis plutôt sûr que Jon est peut-être né dans l'Année du Tigre. Bon, je m'égare.)

Il y a aussi plus qu'un petit peu de vérité ici, ou comme je préfère le dire, de réalité, spécialement dans cet article de blog. Oui, il est un peu long, mais à mon avis il mérite absolument qu'on y consacre quelques minutes. Je pense en effet que ce qu'il présente est vraiment instructif et à bien des égards stimulant. Si quelqu'un a besoin d'un point de départ, ou d'un coup de pouce mental, on peut faire pire que de commencer par Jon. 

Employez-vous chaque fois que possible à être le capitaine de votre propre navire, de votre propre république flottante indépendante, et souvenez-vous que tout passager qui pourrait monter à bord avec vous, quelle que soit la durée de sa présence, doit être traité avec gentillesse et en tant que personne, afin qu'il ou elle puisse s'exprimer à sa manière et s'évader du troupeau.

Donc, revenons à Jon......(TQ)

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La science d'une société totalitaire est totalitaire
Par Jon Rappoport

Au cours des 35 dernières années, j'ai démasqué au moins autant de fausse science que n'importe quel autre journaliste du coin. Je ne fais qu'énoncer un fait.

Je le signale, parce qu'on pourrait s'attendre à ce que cela m'ait appris quelques leçons.
C'est bien le cas.

Une science soutenue par le gouvernement, ça existe, parce qu'elle constitue une belle arme pour imposer un ordre du jour ou le contrôle de la population.

Nous ne parlons pas ici de connaissances. Elles sont sans intérêt. La seule chose qui compte, c'est : "Comment pouvons-nous inventer de toutes pièces quelque chose qui paraisse vrai ?"

J'insiste : nous avons affaire à des fabricants de réalité. Dans le cas présent, ils construisent leurs routes, leurs clôtures et leurs bâtiments à partir de données, puis ils malaxent et inventent à partir de rien les données nécessaires à leurs objectifs. Après tout, ils créent aussi de l'argent à partir de rien.

Un de mes buts, en tant que journaliste, a été depuis 1987 de sensibiliser le grand public à la fausse science.

J'ai entre-temps découvert, avec remarquablement peu d'exceptions, que les journalistes des médias habituels s'appliquaient à être indifférents à la fausse science. Ils feignent de l'ignorer. Ils font semblant de croire que "ça n'existe pas." Ils refusent de regarder les faits. Eux et leurs rédacteurs-en-chef se font les échos des "experts".

La science officielle a la mainmise sur les médias. Elle possède la force d'une religion d'État. Quand on prend le temps d'y réfléchir, la science officielle est, de manière significative, une Église. Rien d'étonnant donc à ce que les porte-paroles de cette Église exercent leur pouvoir sur les principales sources d'information.

Ces prélats inventent, conservent et diffusent "ce qu'on sait". C'était précisément, jadis, le rôle de l'Église Catholique. Et les professionnels de l'Église Scientifique moderne sont sévèrement punis lorsqu'ils quittent le giron et accusent leurs anciens maîtres de mensonges et de crimes. On les ostracise, on les discrédite, on les prive de leurs licences. Ou bien pire. La science totalitaire vous fait savoir que vous vivez dans une société totalitaire.

Le gouvernement, la presse, les méga-entreprises, les fondations prestigieuses, les institutions universitaires, les organisations "humanitaires" déclarent :

"Voici la maladie. Elle s'appelle comme ça. Voilà ce qui la cause. Voici le médicament qui la soigne. Voici le vaccin qui évite de l'avoir."

"Constatez la précision du diagnostic. Voilà les tests. En voici les résultats possibles et ce qu'ils signifient."

"Voici les gènes. Voilà ce qu'ils provoquent. Voici comment on peut les modifier, les substituer et les manipuler. En voici les résultats."

"Voici les données et les statistiques. Elles sont correctes. Il n'y a rien à discuter."

"C'est de la vie. Ce sont là les constituants de la vie. Toute modification et amélioration provient de notre gestion de ces constituants."

"Voici la voie. Elle est tracée par la vérité que révèle notre science. Suivez cette voie. Si vous vous en écartez, nous vous le dirons. Nous vous signalerons les nouveaux progrès."

"C'est la fin. Vous êtes au bout. Vous devez rendre votre dernier souffle. Nous nous souviendrons de vous."

Nous sommes actuellement témoins de l'accélération de la Science Officielle. Ce terme comporte bien évidemment une contradiction interne. Mais l'État hausse les épaules et poursuit son chemin. L'idée même que l'État puisse favoriser avec son sceau une certaine science, la faire appliquer, et punir ses concurrents, est un anathème pour une société libre.

Par exemple : en déclarant que les psychiatres peuvent apparaître devant une cour de justice en tant que témoins experts, alors qu'aucun des 300 prétendus désordres mentaux répertoriés dans la littérature psychiatrique n'a fait l'objet d'un diagnostic fondé sur des tests de laboratoire.

Autre exemple : en annonçant la vaccination obligatoire, afin de protéger les personnes vaccinées (censées être immunisées) contre celles qui ne le sont pas. Une absurdité, à première vue.

Autre exemple : en annonçant que la science des changements climatiques est "bien établie", alors qu'en fait, un nombre énorme de chercheurs ne sont pas d'accord. ---Puis, en rédigeant des lois et en prenant des décrets présidentiels fondés sur cette science de toute évidence incertaine.

Autre exemple : en approuvant officiellement la mise sur le marché et la vente de médicaments ("sûrs et efficaces") qui continuent de tuer chaque année---estimation basse ---100.000 Américains. Et ensuite, en refusant d'enquêter et de punir ceux qui ont approuvé ces médicaments (la FDA).

Autre exemple : en autorisant largement la diffusion de cultures alimentaires génétiquement modifiées, sans avoir aucunement étudié leur impact sur l'être humain. Puis en annonçant arbitrairement que le Roundup, l'herbicide, pour lequel ont été spécifiquement conçues nombre de ces cultures, est non toxique.

Autre exemple : en déclarant et en promouvant l'existence de différentes épidémies, alors qu'on n'a pas prouvé l'existence des virus qui sont censés les causer, ni qu'ils causent des maladies chez l'être humain (cf. SRAS, virus du Nil Occidental, grippe porcine, etc.).

Certains d'entre vous qui lisez ceci m'accompagnent depuis 1988, année où j'ai publié mon premier livre AIDS INC., Scandal of the Century (Le SIDA Inc., le scandale du siècle). Entre autres conclusions, je faisais remarquer qu'on n'avait jamais démontré que le VIH avait causé une maladie chez l'être humain ; que le médicament donné en priorité aux patients atteints du SIDA, l'AZT, était terriblement toxique ; et que ce qu'on appelait le SIDA était en fait des problèmes divers d'immunosuppression.

D'autres parmi vous ont découvert mes travaux plus récemment. J'en reviens toujours au sujet de la fausse science, parce qu'elle est à long terme l'instrument le plus puissant de répression, de contrôle politique, et de destruction de la vie humaine.

Comme je l'ai signalé en de multiples occasions, la science médicale est idéale pour monter et lancer des opérations secrètes visant les populations---parce qu'elle apparaît politiquement neutre et non inféodée aux intérêts étatiques.

La science médicale a malheureusement été, dans bien des domaines, détournée et placée sous contrôle. La motivation financière est un des buts, mais au-delà se trouve un objectif plus général : le contrôle totalitaire.

Concernant la question des vaccins, j'ai beaucoup écrit sur leurs dangers et leur inefficacité. Mais réfléchissez aussi à ceci : la pression exercée en faveur de la vaccination obligatoire cherche beaucoup à créer un effet de groupe---une construction sociale, en réalité. Autrement dit, on encourage les parents à s'imaginer appartenir à une sorte de "communauté" artificielle et synthétique. "Nous sommes là. Nous les pères et les mères. Nous devons tous protéger nos enfants contre les gens aberrants, les rebelles, les transfuges, les cinglés qui refusent de faire vacciner leurs propres enfants. Nous sommes tous sur le même bateau. Ils représentent une menace. Ils sont l'ennemi. Nous sommes des gens bien. Nous connaissons la vérité. Il sont malfaisants."

Cette "communauté de bonne volonté" se consacre à ce que leur raconte le gouvernement. Ils partent en croisade, imprégnés de la pensée de groupe. Ils courent en tous sens pour promouvoir "sécurité et protection".  Cette conscience de groupe n'est qu'un artifice, entretenu par la science officielle. Ces croisés sont, par le fait, des agents de l'État.

Ils sont créés par l'État.

Des Androïdes

Ils vivent dans un flou absurde, où la peur des germes (ces minuscules terroristes invisibles) nécessite une action coercitive contre les individus qui voient clair dans toute cette illusion. C'est là ce que la science officielle peut obtenir. C'est là la manière dont elle peut enrôler d'obéissants fantassins et espions qui ignorent tout de la façon dont ils sont utilisés. Il s'agit là d'une variante de l'œuvre d'Orwell, 1984. Les citoyens appartiennent à l'État qui possède tout, mais ils n'en sont même pas conscients.

C'est drôlement astucieux.

Un de mes exemples préférés de double-pensée ou de pensée inversée est le test des anticorps. On le fait passer pour diagnostiquer des maladies. Les anticorps sont des éclaireurs du système immunitaire envoyés identifier les germes-intrus, qui peuvent ensuite être éliminés par d'autres troupes du système immunitaire. Avant 1985, la manière dont on interprétait un test des anticorps positif était le suivant : le patient se débrouille bien ; son corps a détecté le germe et s'en est débarrassé. Après 1985, c'est soudain devenu : c'est une mauvaise nouvelle ; le patient est malade ou va bientôt le devenir ; le germe est présent dans son organisme ; il lui fait du mal.

Au sein du milieu médical, personne (sauf rares exceptions) n'a fait de scandale concernant cet énorme changement. On l'a accepté. En fait, c'était bon pour les affaires. On pouvait dorénavant dire de beaucoup de patients : "doit être soigné", alors que précédemment, on les aurait considérés comme "en bonne santé".

Alors que je rédigeais mon premier livre, AIDS INC., en 1987-88, j'ai écrit à la FDA (l'Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) à propos d'un éventuel vaccin contre le SIDA. On m'a répondu ce qui suit : toute personne recevant un tel vaccin produirait, bien évidemment, des anticorps contre le VIH. C'est là tout l'objectif d'un vaccin : produire des anticorps.

Néanmoins, m'a-t-on informé, les patients bénéficiant de ce vaccin devraient avoir avec eux une lettre qu'on leur aura donnée, au cas où on les testerait positifs au VIH. La lettre expliquerait que les anticorps à l'origine du test positif sont le résultat du vaccin, et non d'une action "naturelle" de l'organisme du patient.

Dit autrement, les mêmes anticorps peuvent se révéler soit protecteurs contre le SIDA (bien) ou indicateurs d'une maladie mortelle (mal).

Telle était la déclaration contradictoire, ridicule et extraordinaire de la science officielle.

Ceci est transférable à toute maladie où est effectué un test d'anticorps. Si l'on administre un vaccin contre la maladie X, il provoque l'immunité parce qu'il produit des anticorps. Mais si un test diagnostique concernant une maladie X  révèle la présence des mêmes anticorps, produits de manière naturelle par l'organisme, c'est interprété comme un signe de maladie.

Si on extrapole à un niveau plus général, le Mot d'ordre est : le traitement médical de synthèse est bon ; l'organisme est incompétent s'il essaie de se guérir par lui-même.

C'est là un type de superstition qui surprendrait grandement les sociétés les plus "primitives". Cela ne me surprend plus. Je vois ça partout dans la science officielle.

Du point de vue de l'establishment médical, être vivant, c'est déjà un problème médical.

Les hommes et femmes politiques les plus utiles---aux yeux de la science officielle---sont ceux qui assurent la promotion automatique de ses découvertes. On valorise ces politiciens-là. Ce sont les champions de la Matrice Scientifique. Ils ne posent jamais de questions. Ils ne sont jamais saisis d'un doute. Ils ne font jamais de vagues. Ils parcourent allègrement leur petit bonhomme de chemin vers de nouveaux postes de pouvoir, conscients d'avoir derrière eux l'énorme soutien de l'élite. Quand il leur faut mentir, ils mentent. On leur enseigne que ceux qui remettent en question ou rejettent la science officielle ne représentent "démographiquement" qu'un nombre minuscule de gens, négligeable lors d'une campagne électorale. "Ne vous inquiétez pas à leur sujet, ils ne comptent pas." Ces hommes et femmes politiques-là ne combattent jamais du côté des gens lorsqu'il y a des problèmes de santé publique.

Le plan de l'élite, c'est le collectivisme universel, dans lequel tous les citoyens sont les atomes d'une molécule géante. On a besoin de raconter beaucoup de mensonges afin de réaliser ce rêve/ce cauchemar. Si certains de ces mensonges concernent la science, tant mieux. Les gens croient à la science.
Pensez aux objectifs qui se cachent derrière la vaccination universelle, les changements climatiques, le traitement psychiatrique universel, l'alimentation OGM, et autres escroqueries "scientifiques". Toutes comportent un modèle, où les individus abandonnent leur pouvoir en échange de "bien faire" et de devenir membres du plus grand groupe du monde : celui des "handicapés" dont il faut traiter et satisfaire les besoins.

Plutôt que de soutenir la libération de l'individu, les contrôleurs veulent l'écraser. Pourquoi ? Parce qu'ils ont peur du pouvoir individuel. Ce sera toujours un joker imprévisible. Ce qu'ils veulent, c'est une société où toute pensée émise par un individu le rattache à un ensemble plus important---et même si cela vous semble attirant, comprenez bien que cet Ensemble n'est qu'une fiction, intentionnellement falsifié pour le faire ressembler à un sentiment qui serait une authentique vague de fond.

L'ensemble voulu par l'élite est en fin de compte une fiction à allure de transe qui va ralentir grandement le temps, réduire l'espace à trois fois rien, et faire se concentrer l'attention sur une seule mission : attendre l'instruction suivante venue d'en-haut, en étant satisfait de savoir qu'elle profitera à toute l'humanité. Ce programme fait appel à de nombreux agents.

Certains d'entre eux sont des agents de la science officielle.



 
Message N°5       24 août 2017 (Pour l'original, voir ici.)   
United States
Membre d'Avalon joeecho's Avatar
Default La science d'une société totalitaire est totalitaire

Quand il y a une mouche morte dans le lait, jusqu'à quel point peut-on faire confiance au lait ?





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