Modérateur
|
Les psychodrogues : les véritables armes de destruction massive
Quatorze mensonges qui nous ont été enseignés par nos professeurs à la faculté de médecine
Par le Dr. Gary G. Kohls
Global Research/Mondialisation.ca, 18 février 2017
Pour avoir la version complète et détaillée des 14 mensonges, et l'analyse scientifique et médicale qui les sous-tendent, allez à la fin de cet article.
Mensonge N°1 :
"La FDA (l'Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) teste tous les nouveaux médicaments psychiatriques"
Mensonge N°2 : "L'approbation par la FDA signifie qu'un médicament psychotrope est efficace longtemps"
Mensonge N°3 : "L'approbation par la FDA signifie qu'un médicament psychotrope est sans danger sur le long terme"
Mensonge N°4 : "Les 'maladies' mentales sont causées par des 'déséquilibres chimiques dans le cerveau'"
En réalité, on n'a jamais pu prouver l'existence des déséquilibres chimiques, ou ceux des neurotransmetteurs du cerveau (sauf dans les cas où l'affaiblissement des neurotransmetteurs peut être causé par des médicaments psychoactifs), malgré les nombreux examens effectués par des neuroscientifiques sur des cerveaux d'animaux de laboratoire ou d'êtres humains autopsiés, et sur des coupes de cerveaux. Lorsqu'on sait qu'il existe dans le cerveau humain plus d'une centaine de systèmes neurotransmetteurs connus, suggérer une théorie impliquant un "déséquilibre" chimique est ridicule, et anti-scientifique. Pire encore, si même il existait réellement un déséquilibre entre deux de cette centaine de systèmes potentiels, on ne pourrait jamais attendre d'un médicament qu'il le rééquilibre !
Ces théories simplistes ont été diffusées par Big Pharma auprès d'un public crédule et d'une industrie psychiatrique non moins crédule...
Mensonge N°5 : "Les antidépresseurs se comportent comme l'insuline pour les diabétiques"
Mensonge N°6 : "Les 'syndromes d'arrêt du traitement' aux ISRS ne sont pas des 'syndromes de sevrage'"
Les prétendus "antidépresseurs" du type ISRS sont en réalité addictifs, ils créent une dépendance, et les symptômes neurologiques et psychologiques qui se produisent quand on interrompt ou diminue la prise de ces médicaments ne sont pas des "rechutes" dans un "trouble mental" antérieur, mais il s'agit en fait de nouveaux symptômes de retrait du médicament, différents de ceux qui ont suggéré le diagnostic originel...
Mensonge N°7 : "La Ritaline est sans risques pour les enfants (ou les adultes)" En réalité, le méthylphénidate (=Ritaline, Concerta, Daytrana,
Métadate et Méthyline; connu sous le nom de "cocaïne pour enfants") est
un médicament inhibiteur de la recapture de la dopamine, et il agit
exactement comme de la cocaïne sur les synapses dopaminergiques, sauf
que
le méthylphénidate en dose orale atteint le cerveau moins vite que la
cocaïne que l'on renifle ou fume. Sa forme orale provoque donc un effet
beaucoup moins orgasmique que la cocaïne. Les cocaïnomanes préfèrent de
fait la Ritaline, s'ils peuvent l'obtenir sous forme de poudre
relativement pure. Quand elle est reniflée, la Ritaline synthétique agit
aussi rapidement que la cocaïne naturelle, mais elle procure un effet euphorisant plus durable, ce qui la rend plus populaire chez les toxicomanes.
La structure moléculaire de la Ritaline et celle de la cocaïne
possèdent les structures de l'amphétamine base, avec des chaînes
latérales annulaires qui,
lorsqu'on les examine côte à côte, sont d'aspect remarquablement
similaire. Il est peu probable que les organelles de la dopamine
synaptique du cerveau (et du cœur, des vaisseaux sanguins, des poumons
et des intestins) puissent faire la différence entre les deux drogues... Mensonge N°8 : "Les médicaments psychoactifs sont absolument sans risque pour l'être humain"
En réalité, on a découvert que les cinq classes de médicaments psychoactifs sont toutes neurotoxiques (c'est-à-dire qu'elles sont connues pour détruire ou altérer la physiologie, la chimie, l'anatomie et la viabilité de la mitochondrie vitale, productrice d'énergie, présente dans toute cellule du cerveau). Ces médicaments sont donc tous capable de contribuer à causer la démence en cas d'utilisation à long terme.
Tout produit chimique capable de franchir la barrière hémato-encéphalique, dans le sens circulation sanguine capillaire-cerveau, peut altérer le cerveau. Les médicaments synthétiques sont INCAPABLES de guérir les dysfonctionnements du cerveau ou d'inverser les dommages causés au cerveau. Au lieu de tout guérir, les médicaments psychiatriques ne sont capables que de masquer temporairement les symptômes, tandis que les processus anormaux, émotionnels, neurologiques et liés à la malnutrition, qui ressemblent à des "maladies mentales", se poursuivent, sans relâche...
Mensonge N°9 : "Les 'maladies' mentales n'ont pas de cause connue" Les causes premières de la détresse émotionnelle bien compréhensible de mes patients étaient habituellement multiples, mais la vaste majorité d'entre eux avaient vécu comme causes premières de très importants traumatismes chroniques de nature sexuelle, physique, émotionnelle et/ou spirituelle - souvent également accompagnés de désespoir, de perte de sommeil, de grave manque d'affection / négligence physique, et de carences du cerveau en éléments nutritifs...
Mensonge N° 10 : "Les médicaments psychotropes n'ont aucun lien avec l'énorme augmentation du nombre de patients psychiatriques américains handicapés ou inaptes au travail"
De nombreux médicaments couramment prescrits sont parfaitement capables de causer des dommages cérébraux et une démence de longue durée, particulièrement les anti-psychotiques (aussi appelés neuroleptiques ou "tranquillisants majeurs") tels que la Thorazine, le Haldol, la Prolixine, la Clozapine, le Fanapt, le Géodon, l'Invega, le Risperdal, le Saphris, le Séroquel et le Zyprexa, qui, tous, peuvent causer une atrophie du cerveau...
Mensonge N°11 : "Le prétendu trouble bipolaire peut mystérieusement 'apparaître' chez les patients qui prennent des antidépresseurs stimulants tels que les ISRS" En réalité, les comportements causes de folie, tels que la manie, l'agitation et l'agression, sont couramment causés par les ISRS (le Prozac [fluoxétine], le Paxil
[paroxétine], le Zoloft [sertraline], le Celexa [citalopram] et le Lexapro
[escitalopram).
Il est important d'insister sur le fait que manie, agitation, akathisie et agression induites par les ISRS, NE SONT PAS des troubles bipolaires, pas plus que la psychose induite par les ISRS N'EST de la schizophrénie ! (Rechercher sur Internet www.ssristories.net pour y lire plus de 5000 articles documentés sur des comportements aberrants causés par des ISRS, dont 48 incidents ou tueries dans des établissements scolaires, 52 tragédies causées par la violence routière, 12 incidents liés à la violence aérienne, 44 cas de dépression post-partum, plus de 6000 meurtres (homicides), plus de 180 meurtres-suicides et autres actes de violence, y compris sur le lieu de travail. Ces cas ne représentent qu'une infime fraction de tous les cas possibles, dans la mesure où le traitement médical est rarement signalé dans les médias.)....
Mensonge N°12 : "Les antidépresseurs peuvent éviter les suicides"
En réalité, aucun médicament à caractère psychiatrique n'est approuvé par la FDA dans la prévention du suicide, car ces médicaments, particulièrement les soi-disant antidépresseurs, AUGMENTENT en fait l'incidence des pensées suicidaires, le nombre des tentatives de suicide et des suicides réussis....
Mensonge N° 13 : "Les tireurs fous des écoles américaines et les autres tueurs de masse sont des schizophrènes 'non-traités' qui auraient dû prendre des médicaments psychoactifs"
Mensonge N°14 : "Si votre patient entend des voix, c'est qu'il est schizophrène"
Les informations peu réjouissantes révélées ci-dessus devraient faire se demander à toute personne, tout patient, tout maître à penser, ou tout politique qui réfléchit : "Au cours du dernier demi-siècle de propagande orchestrée par Big Pharma, combien de gens par ailleurs normaux ou potentiellement guérissables ont-ils été réellement considérés à tort comme des malades mentaux (puis traités à tort comme tels), et expédiés sur la voie tortueuse des mésaventures thérapeutiques - vers l'oubli ?"
Dans le cadre de ma pratique des soins de santé mentale, j'ai personnellement traité des centaines de patients sur le dos desquels on avait collé toute une série d'étiquettes confuses et contradictoires indiquant des maladies mentales, dont beaucoup avaient été des "maladies à la mode", pour lesquelles il existait le dernier médicament psychoactif "à la mode", source de matraquage publicitaire à la TV ou par les commerciaux des laboratoires pharmaceutiques.
Nombre de mes patients n'étaient que les victimes d'interactions médicamenteuses imprévisibles (bien trop souvent une interaction entre plusieurs médicaments), ou simplement celles de réactions indésirables à des médicaments psychoactifs, qui avaient été diagnostiquées à tort comme une nouvelle maladie mentale. Je trouve ahurissant d'imaginer, en extrapolant à partir de l'expérience de mes 1200 patients (dans mon coin isolé du monde), ce qui doit se produire dans toute l'Amérique. Il se produit, sous notre nez, une énorme épidémie iatrogène (causée par les médecins ou les médicaments), qui affecte des dizaines de millions de victimes souffrantes, qui auraient pu été guéries s'il n'y avait pas eu les médicaments.
Cela fait longtemps que, sachant cela, on aurait dû agir.
NB : l'article ci-dessus est abrégé, voir ci-dessous la version complète :
------------------------------------
Version intégrale :
Mensonge N°1 : "La FDA (l'Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) teste tous les nouveaux médicaments psychiatriques" Faux. En réalité, la FDA ne passe en revue que les études conçues, administrées, secrètement exécutées et financées par les multinationales pharmaceutiques à la recherche du profit. Ces études sont souvent confiées par les laboratoires pharmaceutiques à des entreprises de recherches bien rémunérées, dont l'intérêt est de trouver des résultats positifs aux yeux de leurs puissants employeurs. Comme on peut s'y attendre, de telles politiques de recherche garantissent en pratique des résultats frauduleux.
Mensonge N°2 : "L'approbation par la FDA signifie qu'un médicament psychotrope est efficace longtemps" Faux. En réalité, l'approbation de la FDA n'assure même pas que les médicaments psychiatriques ont été vérifiés comme étant sans danger - que ce soit à court terme ou dans la durée ! La notion selon laquelle l'approbation par la FDA est le garant que le médicament psychiatrique a été prouvé efficace est aussi une notion fausse, car la plupart de ces médicaments-là ne sont jamais testés - avant leur mise sur le marché - plus de quelques mois (et la plupart des patients en psychiatrie prennent leurs médicaments pendant des années). L'industrie pharmaceutique paie de nombreux "chercheurs" en psychiatrie - souvent des psychiatres universitaires (qui bénéficient d'un accès facile à des patients dociles, chroniques, déjà drogués), qui font l'objet de conflits d'intérêt financiers ou professionnels - dont certains, qui siègent même dans les comités consultatifs de la FDA, tentent d'accélérer le processus d'approbation des médicaments psychiatriques. Pour chaque demande de nouveau médicament, la FDA ne reçoit qu'une ou deux des "meilleures études" (parmi un grand nombre) qui prétendent montrer son efficacité à court terme. Les études négatives sont ajournées et ne sont pas présentées à la FDA. Dans le cas des médicaments ISRS, les études effectuées en laboratoire sur les animaux ne durent habituellement que quelques heures, jours ou semaines, et les études cliniques sur les êtres humains n'ont duré, en moyenne, que 4 à 6 semaines, un délai bien trop court pour en tirer des conclusions valables sur l'efficacité ou l'absence de danger à long terme !
En conséquence, la FDA, les médecins prescripteurs et les patients-victimes, n'auraient pas dû "s'étonner" du résultat : l'épidémie de réactions indésirables, induite par les médicaments ISRS, qui afflige la nation. De fait, de nombreux procès liés aux ISRS ont démontré que ces médicaments sont à peine plus efficaces qu'un placébo (malgré des statistiques significatives !), avec des coûts économiques inabordables et de graves risques sanitaires, dont certains mettent la vie du patient en danger, et ils sont connus pour pouvoir causer des dommages au cerveau.
Mensonge N°3 : "L'approbation par la FDA signifie qu'un médicament psychotrope est sans danger sur le long terme"
Faux. En réalité, les ISRS et les neuroleptiques sont généralement testés lors d'essais sur l'humain durant deux ou trois mois, avant de recevoir de la FDA l'autorisation de mise sur le marché. Et on n'exige des firmes pharmaceutiques de ne signaler qu'une ou deux études (même si de nombreuses autres études effectuées sur le même sujet ont révélé des résultats négatifs, parfois même catastrophiques). Les entreprises pharmaceutiques préfèrent de toute évidence que les mises en garde sur fond noir ou écrites en petits caractères soient ignorées à la fois du consommateur et du prescripteur. Il suffit de remarquer la petite taille des caractères d'imprimerie dans les publicités.
Dans notre société d'emplettes-minutes-jusqu'à-plus-soif, nous autres médecins-prescripteurs et assistants médicaux débordés de travail ne sommes jamais totalement conscients de la foultitude des effets dangereux et potentiellement mortels des médicaments psychoactifs, tels que dépendance, obsession, psychose, angoisse de plus en plus profonde, insomnie, akathisie, détérioration du cerveau, démence, comportements homicides, violence, etc., etc.
Mais quand a-t-on entendu pour la dernière fois la FDA ou Big Pharma s'excuser des dégâts qu'ils ont autrefois causés ? Et quand de vraies pénalités ont-elles été prononcées pour la dernière fois (autres que des petits coups sur le poignet et quelques millions de dollars d'amende - de la "menue monnaie" pour eux), ou des peines de prison infligées aux PDG des firmes pharmaceutiques coupables, dont le chiffre d'affaire s'exprime en milliards de dollars ?
Mensonge N°4 : "Les 'maladies' mentales sont causées par des 'déséquilibres chimiques dans le cerveau'" Faux. En réalité, on n'a jamais pu prouver l'existence de déséquilibres dans la chimie ou les neurotransmetteurs du cerveau (sinon dans le cas d'affaiblissement des neurotransmetteurs causé par les médicaments psychoactifs), et ce malgré l'examen exigeant du cerveau d'animaux de laboratoires ou d'humains autopsiés, ou l'étude de coupes de cerveau effectuées par des neuroscientifiques employés par des firmes pharmaceutiques bien financées. Lorsqu'on sait qu'il existe dans le cerveau humain plus d'une centaine
de systèmes neurotransmetteurs connus, suggérer une théorie impliquant
un "déséquilibre" chimique est ridicule, et anti-scientifique. Pire
encore, si même il existait réellement un déséquilibre entre deux de
cette centaine de systèmes potentiels, on ne pourrait jamais attendre
d'un médicament qu'il les rééquilibre !
Ces théories simplistes ont été diffusées par Big Pharma auprès
d'un public crédule et d'une industrie psychiatrique non moins
crédule, parce que les grandes entreprises qui veulent vendre au public leurs produits inutiles savent bien qu'elles doivent faire appel à de la propagande auditive agressive de 20 secondes, pour convaincre les patients et les praticiens prescripteurs des raisons pour lesquelles ils devraient prendre ou prescrire des médicaments de synthèse, qui altèrent le cerveau, et qui n'ont jamais été correctement testés.
Mensonge N°5 : "Les antidépresseurs se comportent comme l'insuline pour les diabétiques" Faux. Cette explication ridiculement simpliste -- et très anti-scientifique -- concernant l'usage de médicaments de synthèse dangereux et créant une dépendance, est totalement absurde, et les médecins et les patients qui la croient devraient avoir honte de tomber dans le panneau. La déficience en insuline existe (mais seulement dans le diabète de type 1), mais il n'existe rien de similaire à une déficience en Prozac. Les ISRS (les soi-disant "inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine" -- une représentation volontairement erronée, puisque ces médicaments-là NE SONT PAS sélectifs !) n'augmentent pas la concentration totale de sérotonine dans le cerveau. Au contraire, les ISRS diminuent en réalité la concentration en sérotonine sur le long terme, tandis qu'ils intensifient seulement la libération de sérotonine au niveau synaptique, tout en interférant avec le stockage, la réutilisation et le recyclage de la sérotonine (à cause de sa fonction d'"inhibiteur de la recapture de la sérotonine").
(Entre parenthèses, l'"illogicité" déformée de la comparaison ci-dessus avec l'insuline/le diabète pourrait être légitimement utilisée dans le cas du tryptophane, l'acide aminé nutriment pour le cerveau, qui est la molécule précurseur de cet important neurotransmetteur naturel qu'est la sérotonine. Si une déficience ou un "déséquilibre" en sérotonine pouvait être
prouvé, le seul traitement logique serait de supplémenter le régime par
le tryptophane, précurseur de la sérotonine, plutôt que d'infliger au
cerveau un produit chimique de synthèse qui l'altère, et qui en réalité
fait diminuer le niveau de sérotonine sur le long terme !)
Mensonge N° 6 : "Les 'syndromes d'arrêt du traitement' aux ISRS ne sont pas des 'syndromes de sevrage'" Faux. Les prétendus "antidépresseurs" du type ISRS sont en réalité addictifs,
ils créent une dépendance, et les symptômes neurologiques et
psychologiques qui se produisent quand on interrompt ou diminue la
prise de ces médicaments ne sont pas des "rechutes" dans un "trouble
mental" antérieur -- comme on l'affirme souvent --, mais il s'agit en fait de nouveaux symptômes de
retrait du médicament différents de ceux qui ont suggéré le diagnostic
originel...
Le terme de "syndrome de sevrage" est un élément d'un complot astucieusement conçu en secret par des membres de l'industrie pharmaceutique pour faire croire aux médecins que ces médicaments ne sont pas addictifs. Cette tromperie a été promue sans vergogne afin de détourner l'attention du fait prouvé que la plupart des médicaments psychoactifs induisent une dépendance et qu'ils causent donc probablement des "symptômes de sevrage/de retrait" quand on interrompt leur prise. L'industrie du médicament sait que la plupart des gens ne tiennent pas à avaler des médicaments créant une dépendance, qui vont probablement causer des symptômes de retrait douloureux, et même mortels, quand ils en diminueront la dose.
Mensonge N°7 :
"La Ritaline est sans risques pour les enfants (ou les adultes)" Faux. En réalité, le méthylphénidate (=Ritaline, Concerta, Daytrana,
Métadate et Méthyline; connu sous le nom de "cocaïne pour enfants") est
un médicament inhibiteur de la recapture de la dopamine, et il agit
exactement comme de la cocaïne sur les synapses dopaminergiques, sinon que
le méthylphénidate en dose orale atteint le cerveau moins vite que la
cocaïne que l'on renifle ou fume. Sa forme orale provoque donc un effet
beaucoup moins orgasmique que la cocaïne. Les cocaïnomanes préfèrent de
fait la Ritaline, s'ils peuvent l'obtenir sous forme de poudre
relativement pure. Quand elle est reniflée, la Ritaline synthétique (contrairement à la cocaïne présente naturellement, et donc plus facilement dégradée par le métabolisme) agit
aussi rapidement que la cocaïne naturelle, mais elle procure un effet euphorisant plus durable, ce qui la rend plus populaire chez les toxicomanes.
La structure moléculaire de la Ritaline et celle de la cocaïne possèdent les structures de l'amphétamine base, avec des chaînes latérales annulaires qui,
lorsqu'on les examine côte à côte, sont d'aspect remarquablement
similaire. Il est peu probable que les organelles de la dopamine
synaptique du cerveau (et du cœur, des vaisseaux sanguins, des poumons
et des intestins) puissent faire la différence entre les deux drogues.
Mensonge N°8 : "Les médicaments psychoactifs sont absolument sans risque pour l'être humain" Faux. Voir Mythe N°3 ci-dessus. En réalité, on a découvert que les cinq classes de médicaments
psychoactifs sont toutes neurotoxiques (c'est-à-dire qu'elles sont
connues pour détruire ou altérer la physiologie, la chimie, l'anatomie
et la viabilité de la mitochondrie vitale, productrice d'énergie,
présente dans toute cellule du cerveau). Ces médicaments sont donc tous
capable de contribuer à causer la démence en cas d'utilisation à long
terme.
Tout produit chimique capable de franchir la barrière
hémato-encéphalique, dans le sens circulation sanguine
capillaire-cerveau, peut altérer le cerveau. Les médicaments
synthétiques sont INCAPABLES de guérir les dysfonctionnements du cerveau
ou d'inverser les dommages causés au cerveau. Au lieu de tout guérir,
les médicaments psychiatriques ne sont capables que de masquer
temporairement les symptômes, tandis que les processus anormaux,
émotionnels, neurologiques et liés à la malnutrition, qui ressemblent à
des "maladies mentales" se poursuivent, sans relâche...
Mensonge N°9 : "Les 'maladies' mentales n'ont pas de cause connue" Faux. Les causes premières de la détresse émotionnelle bien compréhensible de
mes patients étaient habituellement multiples, mais la vaste majorité
d'entre eux avaient vécu comme causes premières de très importants
traumatismes chroniques de nature sexuelle, physique, émotionnelle et/ou
spirituelle - souvent également accompagnés de désespoir, de perte de
sommeil, de grave manque d'affection / négligence physique, et de
carences du cerveau en éléments nutritifs...
Mes patients étaient principalement composés de personnes qui se savaient intoxiquées par l'ingestion pendant des mois ou des années d'un ou plusieurs médicaments prescrits altérant le fonctionnement du cerveau, à caractère addictif, dont ils ne pouvaient pas se débarrasser par eux-mêmes. J'ai découvert que beaucoup d'entre eux auraient pu être guéris bien plus tôt s'ils avaient seulement eu accès -- et pu s'offrir -- une bienveillante psychothérapie psychoéducative, bénéficier d'une nutrition cérébrale adéquate, et d'une aide permettant d'aborder les questions de privation, de négligence ou maltraitance parentales, de pauvreté, et autres situations psychologiquement destructrices. J'ai fini par me rendre compte, de façon peu réjouissante, que bon nombre de mes patients auraient pu être guéris des années plus tôt s'ils n'y avait pas eu les effets nuisibles de traitements à base de médicaments psychiatriques, de vaccins et de malbouffe, dont la plupart de mes patients avaient été victimes très tôt, et qui les avaient menés aux maladies chroniques et à l'invalidité.
Mensonge N°10 : "Les médicaments psychotropes n'ont aucun lien avec l'énorme
augmentation du nombre de patients psychiatriques américains handicapés
ou inaptes au travail" Faux. De nombreux médicaments couramment prescrits sont parfaitement capables
de causer des dommages cérébraux et une démence de longue durée,
particulièrement les anti-psychotiques (aussi appelés neuroleptiques ou
"tranquillisants majeurs") tels que la Thorazine, le Haldol, la
Prolixine, la Clozapine, le Fanapt, le Géodon, l'Invega, le Risperdal,
le Saphris, le Séroquel et le Zyprexa, qui, tous, peuvent causer une
atrophie du cerveau...
Bien sûr, les anxiolytiques ou "tranquillisants mineurs", occasionnant une forte dépendance, tels que les benzodiazépines (le Valium, l'Ativan, le Klonopin, le Librium, le Tranxene, le Xanax) peuvent causer les mêmes syndromes de retrait. Tous sont dangereux, et il est très difficile de s'en sevrer (le sevrage a pour conséquences l'insomnie rebond, difficile à traiter, des crises de panique, et une anxiété fortement aggravée) et, lorqu'ils sont longtemps utilisés, ils peuvent causer des pertes de mémoire ou de la démence, la perte de points de QI, et peut être très souvent diagnostiqués à tort comme maladie d'Alzheimer (d'étiologie inconnue).
Mensonge N°11 : "Le prétendu trouble bipolaire peut mystérieusement 'apparaître' chez
les patients qui prennent des antidépresseurs stimulants tels que les
ISRS" Faux. En réalité, les comportements causes de folie, tels que la manie,
l'agitation et l'agression, sont couramment causés par les ISRS (le
Prozac [fluoxétine], le Paxil
[paroxétine], le Zoloft [sertraline], le Celexa [citalopram] et le
Lexapro
[escitalopram). Cette liste des effets indésirables provoqués par les médicaments comprend un syndrome du nom d'akathisie, une nervosité intérieure grave, parfois à l'origine de suicides -- un syndrome des jambes sans repos qui se manifesterait dans tout le corps et dans le cerveau. On pensait autrefois que l'akathisie n'était qu'un effet indésirable à long terme des antipsychotiques (Voir Mythe N°10). Ce fut donc un choc pour de nombreux psychiatres (après l'arrivée du Prozac sur le marché en 1987) que d'avoir à reconnaître que les ISRS pouvaient aussi causer ce problème mortel. Je suis depuis longtemps convaincu que les ISRS devraient plus correctement être nommés des médicaments "causant l'agitation", plutôt que des "antidépresseurs". Il est important d'insister sur le fait que manie, agitation, akathisie
et agression induites par les ISRS, NE SONT PAS des troubles bipolaires,
pas plus que la psychose induite par les ISRS N'EST de la schizophrénie !
(Rechercher www.ssristories.net, pour y lire plus de 5000
articles documentés sur des comportements aberrants causés par des
ISRS, dont 48 incidents ou tueries dans des établissements scolaires, 52
tragédies causées par la violence routière, 12 incidents liés à la
violence aérienne, 44 cas de dépression post-partum, plus de 6000
meurtres (homicides), plus de 180 meurtres-suicides et autres actes de
violence, y compris sur le lieu de travail. Ces cas ne représentent
qu'une infime fraction de tous les cas possibles, dans la mesure où le
traitement médical est rarement signalé dans les médias.) Mensonge N°12 : "Les antidépresseurs peuvent éviter les suicides" Faux. En réalité, aucun médicament à caractère psychiatrique n'est approuvé
par la FDA dans la prévention du suicide, car ces médicaments,
particulièrement les soi-disant antidépresseurs, AUGMENTENT en fait
l'incidence des pensées suicidaires, le nombre des tentatives de suicide
et des suicides réussis. Les compagnies pharmaceutiques dépensent inutilement des milliards de dollars à tenter de prouver l'efficacité des différents médicaments psychiatriques dans la prévention du suicide. Même les tentatives les plus malhonnêtes de ces compagnies ont raté ! Il n'en reste pas moins que tous les soi-disant "antidépresseurs" augmentent de fait la suicidalité.
La FDA a exigé sur tous les matériaux de marketing liés aux ISRS l'apposition d'étiquettes d'avertissement avec encadré noir indiquant que le médicament poussait au suicide, mais ceci n'a pu être obtenu qu'après avoir vaincu une vigoureuse opposition des fabricants de médicaments et des revendeurs des produits fautifs, qui craignaient qu'une telle franchise puisse mettre à mal leurs bénéfices (cela n'a pas été le cas). Ce qui peut lutter efficacement contre la suicidalité, ce ne sont bien sûr pas les médicaments, mais plutôt l'intervention par des équipes complètes de soins, attentionnées et pleines de compassion, comme par exemple la famille, des groupes religieux et des amis, tout comme des psychologues, des conseillers, des travailleurs sociaux, des parents (particulièrement les sages grand-mères !) et, bien évidemment, la prescription limitée de médicaments.
Mensonge N°13 : "Les tireurs fous des écoles américaines et les autres tueurs de
masse sont des schizophrènes 'non-traités' qui auraient dû prendre des
médicaments psychoactifs" Faux. En réalité, 90 % ou plus des tristement célèbres tireurs meurtriers -- et habituellement suicidaires -- dans des établissements scolaires sont déjà suivis par des psychiatres (ou autres prescripteurs de médicaments psychoactifs) et, habituellement, prennent donc (ou bien sont en état de sevrage de) une ou plusieurs drogues psychiatriques. Les ISRS (tels que le Prozac) et les psychostimulants (tels que la Ritaline) sont les classes les plus courantes de produits concernées. les antipsychotiques ont un effet trop sédatif, bien qu'un ado en colère en sevrage d'antipsychotiques puisse facilement devenir un tireur fou dans une école, s'il a accès à des armes meurtrières.
Les 10 % de meurtriers scolaires dont on ignore le passé médicamenteux, sont habituellement ceux dont les dossiers médicaux ont été rendus inconsultables par les autorités -- probablement afin de protéger des autorités telles que les firmes pharmaceutiques et/ou les professionnels de santé qui ont fourni les drogues. Les puissants lobbies de la psychiatrie et de l'industrie du médicament, avec la coopération des médias qui en tirent des revenus publicitaires, nous présentent à répétition des photos de tireurs aux airs de zombies. Ils ont réussi à faire passer au public qui les regarde la notion que ces adolescents, ces meurtriers scolaires masculins et blancs, étaient des malades mentaux, et non sous l'influence de leurs drogues, qui altèrent le cerveau et rendent fou -- ou qu'ils étaient en phase de sevrage.
Contrairement à ce qui a été affirmé dans un épisode récent de l'émission 60 Minutes, où des "schizophrènes non-traités" étaient responsables de la moitié des tueries en Amérique, les quatre meurtriers mentionnées dans l'extrait, avaient, très probablement, déjà été traités avec des psychodrogues -- avant les massacres -- par des psychiatres qui, de toute évidence, sont protégés de la vindicte populaire et /ou d'interrogatoires, par les autorités parce que complices (ou tout au moins témoins) des crimes.
A cause de ce secret, on cache au public quelles drogues psychotropes, causant la folie ou créant des tendances meurtrières, auraient pu être impliquées. Les noms des médicaments et les multinationales qui les ont faussement commercialisées comme étant sans risque, sont également protégés du regard, au détriment de toute possibilité de prévention de futurs tueries ou suicides. De telles décisions, de la part des élites au pouvoir en Amérique, présentent la politique de santé publique sous son plus mauvais jour, et nuisent aux victimes des tueries passées et futures, et à leurs êtres chers.
Les quatre meurtriers les plus notoires présentés dans l'extrait en question de 60 Minutes comprenait le tireur de l'université Virginia Tech, celui de Tucson, celui d[u cinéma] Aurora, et le tireur de [l'école primaire de] Sandy Hook, dont les photos où on le voit avec des yeux exorbités (en fait "de drogué") ont été soigneusement sélectionnées pour leur effet dramatique de "zombie", de façon que la plupart des Américains effrayés et paranoïaques soient convaincus qu'il s'agissait d'un "schizophrène" fou, plutôt que de la victime de drogues psychoactives, qui altèrent le fonctionnement du cerveau, et qui rendent fou, et peut les avoir rendu responsables de ces actes affreux.
Soit dit entre parenthèses, il est bon d'insister sur le fait que de nombreux médias bénéficient grandement des industries médicale et pharmaceutique. Ces médias ont donc tout intérêt à ne pas divulguer le nom des médicaments, ni ceux des firmes pharmaceutiques, des médecins prescripteurs, ou des cliniques et des hôpitaux qui pourraient, dans un monde authentiquement juste et démocratique, se retrouver lier aux crimes concernés. Il est certain que si une personne sous méthamphétamines tirait sur quelqu'un, le fournisseur de la drogue toxique serait considérée complice du crime, tout comme le barman qui a fourni la liqueur à celui qui, plus tard, tue quelqu'un dans un accident de la route, pourrait être tenu pour responsable. Il existe de toute évidence deux poids deux mesures quand il s'agit de grandes entreprises puissantes, respectées et extrêmement rentables.
Une étude complète des scores réalisés par les meurtriers scolaires américains, en commençant par le tireur de la tour de l'Université du Texas en 1966 et en s'arrêtant (provisoirement) à Sandy Hook, révèle que l'immense majorité d'entre eux (sinon tous) prenaient des drogues qui altéraient le fonctionnement du cerveau, détruisaient la maîtrise des impulsions, créaient un effet hypnotique et une attitude "je-m'en-foutiste" ; que ces drogues leur avaient été prescrites par des psychiatres bien-intentionnés mais débordés, des médecins de famille ou des auxiliaires médicaux apparemment ignorants ou mal informés des risques de suicide ou de meurtre qu'ils faisaient courir à leurs patients aussi peu méfiants qu'eux (et ils avaient donc oublié d'avertir le patient et/ou ses proches des graves conséquences possibles).
La plupart des praticiens qui ont rédigé les ordonnances destinées aux auteurs des massacres, ou à un patient qui s'est ensuite suicidé sous l'influence du médicament, se défendront probablement d'avoir été complices d'un massacre ou d'un suicide, en affirmant qu'ils ignoraient les dangers de ces pychodrogues prescrites à la légère, trompés qu'ils ont été par les compagnies pharmaceutiques qui les avaient convaincus de leur absence de dangers.
Mensonge N°14 : "Si votre patient entend des voix, c'est qu'il est schizophrène" Faux. On sait que les hallucinations auditives concernent jusqu'à 10 % des gens normaux ; et que jusqu'à 75 % des gens normaux ont fait l'expérience d'avoir entendu leur nom prononcé par quelqu'un d'absent. ( http://www.hearing-voices.org/voices-visions/). Cela ne signifie pas que vous êtes fou. Les rêves nocturnes, les cauchemars et les flashbacks ont probablement des origines similaires à celles des hallucinations visuelles, auditives et olfactives, mais de nombreux psychiatres ne pensent pas nécessairement qu'il s'agisse de maladies mentales. De fait, les hallucinations sont signalées dans la littérature pharmaceutique comme des effets secondaires possibles ou des syndromes de sevrage de nombreux médicaments, particulièrement les médicaments psychiatriques. On nomme ces syndromes des troubles psychotiques induits par la substance, et qui sont, par définition, ni des maladies mentales, ni de la schizophrénie. Plus communément, ces troubles psychotiques, induits par la substance ou par le sevrage, sont provisoirement et directement causés par les effets toxiques de la malnutrition ou de médicaments altérant le fonctionnement du cerveau, comme l'alcool, les traitements médicaux, les drogues hallucinogènes et autres toxines.
Les symptômes psychotiques, hallucinations et délires inclus, peuvent être causés par des substances telles que l'alcool, le cannabis, les hallucinogènes, les sédatifs, les hypnotiques, ainsi que les anxiolytiques, les substances inhalées, les opioïdes, la phéncyclidine, et les nombreuses drogues ressemblant aux amphétamines (comme le Phen-Fen, [fenfluramine]), la cocaïne, la méthamphétamine, l'Ecstasy, et, bien sûr, les médicaments psychostimulants, causant l'agitation, tels que les ISRS).
Les symptômes psychotiques peuvent également être le résultat du manque de sommeil, de privation sensorielle et du sevrage de drogues comme l'alcool, les sédatifs, les hypnotiques, les anxiolytiques, et particulièrement les nombreux médicaments anti-psychotiques, qui suppriment la dopamine, créent une dépendance, endorment et transforment les gens en zombies.
Parmi les autres médicaments qui peuvent induire des hallucinations et des délires, on peut citer les anesthésiques, les analgésiques, les agents anticholinergiques, les anticonvulsivants, les traitements antihistaminiques, antihypertenseurs et cardiovasculaires, quelques traitements antimicrobiens, des agents chimiothérapeutiques, les corticostéroïdes, quelques traitements gastro-intestinaux, des relaxants musculaires, les traitements anti-inflammatoires non stéroïdiens, et l'antabuse.
Les informations peu réjouissantes révélées ci-dessus devraient faire se
demander à toute personne, à tout patient, à tout maître à penser, ou à tout politique qui
réfléchit : "Au cours du dernier demi-siècle de propagande en faveur des psychodrogues,
combien de gens par ailleurs normaux ou potentiellement guérissables
ont-ils été réellement considérés à tort comme des malades mentaux (puis
traités à tort comme tels), et expédiés sur la voie
tortueuse des mésaventures thérapeutiques - vers l'oubli ?"
Bibliographie
(Auteurs et ouvrages utilisés comme données de fond pour justifier les affirmations émises dans l'article ci-dessus)
Toxic Psychiatry; Your Drug May Be Your Problem; Talking Back to Prozac; Medication Madness, de Peter Breggin;
Prozac Backlash; et The Antidepressant Solution: A Step-by-Step Guide to Safely Overcoming Antidepressant Withdrawal, Dependence, and “Addiction”, de Joseph Glenmullen;
Mad In America: Bad Science, Bad Medicine, and the Enduring Mistreatment of the Mentally Ill; et Anatomy of an Epidemic: Magic Bullets, Psychiatric Drugs, and the Astonishing Rise of Mental Illness in America, de Robert Whitaker;
Soteria: Through Madness To Deliverance, de Loren Mosher et Voyce Hendrix;Deadly Medicines and Organised Crime: How Big Pharma has Corrupted Healthcare, de Peter Goetzsche;
Rethinking Psychiatric Drugs: A Guide for Informed Consent; et Drug-Induced Dementia: A Perfect Crime, de Grace Jackson;
The Truth About the Drug Companies: How They Deceive Us and What to Do About It, de Marcia Angell;
Let Them Eat Prozac: The Unhealthy Relationship Between the Pharmaceutical Industry and Depression; et The Antidepressant Era, de David Healy;
Blaming the Brain: The TRUTH About Drugs and Mental Health; de Elliot Valenstein;
Selling Sickness; How the World’s Biggest Pharmaceutical Companies Are Turning Us All Into Patients, de Ray Moynihan et Alan Cassels;
Our Daily Meds: How the Pharmaceutical Companies Transformed
Themselves into Slick Marketing Machines and Hooked the Nation on
Prescription Drugs, de Melody Petersen;
Excitotoxins, de Russell Blaylock;
The Crazy Makers: How the Food Industry is Destroying our Brains and Harming our Children, de Carol Simontacchi.
Le Dr. Gary Kohls est un médecin en retraite, de Duluth (Minnesota), USA. Dans la décennie qui a précédé sa retraite, il a pratiqué ce qu'on pourrait décrire comme "des soins de santé holistiques (sans médicaments) et de prévention mentale". Depuis sa retraite, il rédige toutes les semaines une rubrique pour le Duluth Reader, un magazine hebdomadaire alternatif.
Ses chroniques traitent principalement des dangers de l'impérialisme américain, du "fascisme amical", du corporatisme, du militarisme, du racisme, et des dangers de Big Pharma, des drogues psychiatriques, de la sur-vaccination des enfants et d'autres mouvements qui menacent la démocratie, la courtoisie, la santé et la longévité américaines, et l'avenir de la planète.
La source originale de cet article est Global Research (dont le pendant en français s'appelle Mondialisation.ca - NdT)
Copyright © Dr. Gary G. Kohls, Global Research, 2017
=========================================
L'expérience qu'a Jim Stone du Mensonge N°1 : "La FDA (l'Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) teste tous les nouveaux médicaments psychiatriques"
(...) Ça, c'est vraiment un mensonge. La FDA ne teste pas les antidépresseurs ISRS et ne l'a jamais fait ! En ce qui concerne les ISRS, la FDA se contente de croire le fabricant sur parole et ne procède à aucun test. Il y a 8 ans j'ai réussi à pirater le site Internet de GlaxoSmithKline grâce à un défaut dans leur plan du site, c'est donc leur faute si j'ai pu "accidentellement" entrer quelque part. J'ai, entre autres choses, mis la main sur leurs tests du Paxil. Ils ont de fait testé le médicament sur une période de 8 semaines en prenant 3 groupes d'étudiants payés comme cobayes.
Au groupe 1, ils ont dit aux étudiants de prendre le produit et de ne rien faire, de se décontracter. Six mois plus tard, et un an plus tard, on leur a demandés de signaler tout effet indésirable. Plusieurs personnes se sont plaintes de ne pouvoir se passer du médicament, mais elles pouvaient encore vivre normalement.
Aux gens du groupe 2, on a demandé de pratiquer modérément des exercices physiques, et ils l'ont fait avec un entraîneur. Aux mêmes intervalles, on leur a ensuite demandé de signaler tout effet indésirable. Beaucoup, beaucoup de ces étudiants ont dit que le médicament avait changé leur vie et qu'ils ne se sentaient jamais plus "bien comme avant", qu'ils manquaient d'énergie, et qu'ils subissaient de nombreux autres effets secondaires.
On a demandé au groupe 3 de pratiquer quotidiennement des exercices intensifs, et ils l'ont fait avec un entraîneur qui s'assurait de l'intensité des exercices. Ensuite, aux mêmes intervalles, on leur a demandé de signaler les effets indésirables. La majorité du groupe a déclaré que leur vie avait complètement changé et qu'ils avaient subi beaucoup, beaucoup de problèmes, qu'ils attribuaient à l'expérimentation du médicament.
Glaxo a ensuite recommandé aux gens d'être aussi actifs que possible pendant la période de prise du Paxil, et de le prendre pendant au moins 9 mois d'affilée. Il devenait donc visible que leur seul et unique but était de détruire tous ceux qui prenaient ces médicaments. On trouvait aussi dans ces documents-là des analyses croisées avec le Prozac (un produit concurrent) et à quel point ce médicament éliminait les gens.
Les documents affirmaient clairement aussi que la FDA croyait simplement sur parole que le médicament était sans risques, et n'a procédé à aucun test complémentaire. Qui plus est, la FDA avait accès aux documents classifiés sur lesquels j'ai mis la main, et elle a néanmoins donné son approbation, ce qui signifie que la FDA est également une entité malintentionnée.
Cela fait quelques années que j'ai parcouru ces documents, mais je les ai sauvegardés sur de nombreuses mémoires flash dans deux États différents et les conserve aussi à portée de main. Si Glaxo n'apprécie pas que je parle de ça, je publierai leurs propres documents (je l'ai déjà fait, ce ne serait pas la première fois). Ils savent parfaitement qu'ils détruisaient des gens, et il apparaissait que c'était tout à fait volontaire, et que c'était là un résultat souhaité.
|