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Project Avalon
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RECHERCHES LIÉES AUX CONSPIRATIONS
11-Septembre
Où sont passés les avions ? (Rebekah Roth découvre un nouvel élément du puzzle du 11-Septembre)
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Message N°1
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22 mars 2015 (Pour
l'original, voir ici.)
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Administrateur
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Où sont passés les avions ? (Rebekah Roth découvre un nouvel élément du puzzle du 11-Septembre)
En l'honneur de l'ouvrage de Judy Wood qui fera date : Where Did the Towers Go? - "Où sont passées les Tours ?" - (réponse rapide : on les a transformées en poussière), j'intitule cette discussion : "Où sont passés les avions ?
Cette discussion se concentre sur le roman de Rebekah Roth récemment publié, Methodical Illusion, qui contient beaucoup de vérité. La première édition est parue en novembre 2014, et la deuxième vient juste de sortir, en mars 2015, avec des corrections, et un court appendice qui apporte des commentaires sur les réactions à la première édition.
Pour répondre brièvement - Les "avions détournés le 11-Septembre" ont atterri à la base aérienne de réserve Westover, dans le Massachusetts. Cette base possède la plus longue piste de tout l'est des États-Unis : plus de 3 km.
Il n'est pas facile de faire atterrir un avion de ligne rempli de carburant ; on commence d'habitude par brûler ce carburant, car ces avions ne sont pas conçus pour atterrir avec autant de poids. Une piste d'atterrissage longue est donc un véritable atout lorsqu'on doit faire se poser d'urgence un avion bourré de kérosène.
Deux ou trois passagers ou hôtesses de l'air de chacun des quatre avions "détournés" le 11-Septembre (2001) ont appelé peu avant "l'impact", avec leur téléphone portable, des parents ou différents bureaux de compagnies aériennes, tout en prétendant être en vol, pour leur expliquer que des hommes (ou un homme) du "Moyen-Orient" avai(en)t détourné leur avion.
La simple expression "du Moyen-Orient" faisait très probablement fait partie d'un script, car pas même quelqu'un (comme Rebakah Roth) qui a passé 30 ans à parcourir le monde pourrait, juste en regardant une personne typique du Mexique, d'Europe du Sud, du Moyen-Orient, d'Israël ou d'Iran, savoir d'où elle est originaire. L'expression "du Moyen-Orient" a été un élément essentiel de la propagande de masse que le 11-Septembre devait enfoncer dans le crâne du grand public.
Ces appels téléphoniques constituaient une pièce essentielle du puzzle du 11-Septembre. Il fallait que nous autres Américains, nous sachions qui accuser, et sans ces appels, nous n'aurions eu aucun moyen de "savoir" que de (prétendus) ressortissants du Moyen-Orient ont détourné tous ces avions à l'aide de cutters.
Mais ces appels par téléphone portable ne peuvent pas s'être produits dans des avions à haute altitude, et les agents de bord qui ont appelé étaient loin de suivre les procédures d'urgence détaillées qu'on les avait entraînés à respecter en cas de détournement.
Les avions devaient donc se trouver au sol quand les communications ont eu lieu, et on a plus ou moins dit aux agents de bord ce qu'ils devaient raconter, sans suivre les procédures d'urgence prévues en cas de détournement en vol.
Westover paraît avoir été l'endroit idéal pour faire atterrir ces avions, avant de faire passer ces appels téléphoniques essentiels à des passagers ou des membres d'équipage sélectionnés, puis d'éloigner et d'éliminer l'ensemble de l'équipage et des passagers.
Le timing de chaque vol, d'où il a réellement décollé jusqu'au moment des appels téléphoniques, est cohérent, en donnant le temps (1) aux avions de se rendre à Westover, (2) d'atterrir, et (3) le temps qu'on donne aux appelants leur texte et qu'on les "briefe" sur "l'exercice", qui appeler et quoi dire.
Westover est situé (la destination "officielle" de chaque vol figure entre parenthèses) :
- 80 milles (env. 130 km) à l'ouest de l'aéroport Logan, point de départ des Vols 11 (Tour Nord) et 175 (Tour Sud),
- 130 milles (env. 210 km) au nord-est de l'aéroport de Newark, point de départ du Vol 93 (qui s'est écrasé en Pennsylvanie), et
- 330 milles (env. 530 km) au nord-est de l'aéroport Dulles, point de départ du Vol 77 (Pentagone).
Tous quatre étaient des vols continentaux, qui se rendaient en Californie, depuis les aéroports de la Côte Est mentionnés ci-dessus (le Vol 93 à San Francisco, et les autres à Los Angeles). Il devait donc rester beaucoup de carburant à bord s'ils ont atterri avant que les coups de téléphone supposés aient été passés.
Selon les détails (peut-être fictifs - voir mon Post N°5 ci-dessous) du roman de Rebekah Roth, Westover était fermé ce jour-là, et on avait demandé aux rares unités militaires de réserve de l'Air Force qui auraient pu normalement s'y trouver de rester dans leurs foyers cette semaine-là. Selon de nombreux récits disponibles pour le public, Westover possède d'énormes hangars, dans la mesure où c'est la plus importante base de C-5A (le plus gros avion militaire US de ravitaillement) de l'Est des États-Unis. Ces hangars pouvaient facilement cacher plusieurs avions de ligne.
Le logiciel Promis, contrôlé par les Israéliens, avait été installé sur tous les systèmes cruciaux de la FAA (contrôle aérien civil) et du NORAD (contrôle aérien militaire), permettant à des agents en coulisse de contrôler ce qui apparaissait sur leurs radars - en faisant disparaître de vrais avions et en en faisant apparaître de faux, provoquant ainsi la confusion des personnels impliqués.
Le Flight Termination Software (FTS) et des équipements ont été installés sur tous les avions impliqués, permettant à des agents en coulisse de prendre le contrôle absolu des avions, et d'empêcher complètement les pilotes de communiquer, même avec le personnel de cabine, et de contrôler leur avion. Le logiciel FTS a été vendu comme moyen de faire atterrir en toute sécurité un avion de ligne détourné, quoi que fassent les pirates de l'air, sauf s'ils font sauter l'avion. Mais il s'agissait également du suprême outil pour détourner un avion, si placé en de bonnes (c.-à-d. mauvaises) mains.
Rebekah Roth a été hôtesse de l'air et chef de cabine pendant près de 30 ans, et elle sait comment les choses se font, et elle connaît très bien les procédures pratiquées. Elle est intelligente et éloquente, et elle a résolu un autre élément critique du puzzle du 11-Septembre.
Merci, Rebekah.
D'autres ont déjà posté sur Avalon le matériel de Rebekah Roth et quelques-unes de ses récentes interviews :
Il se trouve quelques excellentes interviews de Rebekah Roth dans les messages ci-dessus. Je recommande d'en écouter au moins une ou deux. Merci, Hervé, Cidersommerset, Star Tsar, Helvetic, et giovonni, pour ces bons posts et discussions.
Voici une autre interview bien faite de Rebekah Roth, que je n'ai pas encore vue postée sur le forum :
Source : http://mediabroadcastingcenter.podbe...ekah-roth-mp3/ Voici un lien concernant Westover, sur Google Maps : https://maps.google.com/maps?ll=42.1...36746,0.306759
Le Youtuber Patriot Wing est apparemment actuellement en garnison là-bas, et poste depuis quelques années des vidéos de l'activité courante à Westover. Voyez par exemple cette vidéo présentant des vues aériennes et au sol de Westover, à partir d'octobre et novembre 2013 : https://www.youtube.com/watch?v=V0tuXaB10CU.
Rebekah Roth met un peu plus à mal la version officielle du 11-Septembre.
J'ai lu Methodical Illusion, de Rebekah Roth, hier sur Kindle. L'édition brochée est "en rupture de stock" sur Amazon, bien qu'elle soit actuellement le meilleur best-seller de la section Fiction Historique d'Amazon, peut-être parce qu'ils sont en train de rentrer la deuxième édition. Cela se lit rapidement - en quelques heures seulement si vous lisez vite. Il se peut que Rebakah ne soit pas connue mondialement comme romancière, mais ça se lit bien, et c'est une écrivaine tout à fait valable.
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Message N°5 |
22 mars 2015 (Pour l'original, voir ici.)
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Administrateur
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Où sont passés les avions ? (Rebekah Roth découvre un nouvel élément du 11-Septembre)
Posté par Cidersomerset
(ici)
Très bien !
Dans cette interview de Rebakah Roth, accordée le 30 janvier 2015, elle déclare, à 4 minutes dans la vidéo, qu'elle vient d'être contactée par quelqu'un qui se trouvait là-bas, à la base aérienne de réserve Westover, le 11 septembre 2001, et qui confirme que la base était complètement fermée, et qui confirme donc ce que Rebekah Roth avait entièrement trouvé par déduction.
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Message N°7 | 22 mars 2015 (Pour l'original, voir ici.) |
Administrateur
| Où sont passés les avions ? (Rebekah Roth découvre un nouvel élément du 11-Septembre)
Il y a trois mois, dans la discussion intitulée "Methodical Illusion---Rebekah Roth", de PilotsFor911Truth.org, un blogueur nommé mainer a posté une excellente synthèse de ce que dit Rebekah Roth : ========
Il y a à peu près une semaine, je suis tombé sur une référence indiquant une série d'interviews de Rebekah Roth, étalées sur une semaine et datant du mois dernier. Rebekah Roth est une hôtesse de l'air (vols internationaux) et chef de cabine en retraite. Elle a écrit un livre intitulé "Methodical Illusion"
http://www.methodicalillusion.com/
http://www.amazon.com/dp/0982757131/
J'ai eu l'occasion, grâce à une soudaine charge de travail liée à la peinture de la maison, d'écouter les interviews (audibles ou téléchargeables à partir des liens ci-dessous). Les types qui mènent l'émission ne sont pas des animateurs exceptionnels, et c'est très décontracté, mais Mme Roth y est très bien, et ce qu'elle avait à dire m'a scotché.
A sa retraite, après 30 ans comme hôtesse de l'air, elle a commencé à écrire un roman sur la vie dans le ciel. Ce faisant, elle a cherché sur Internet un nom du Moyen-Orient pour un de ses personnages, et elle est tombée sur des références indiquant qu'une grande partie des prétendus pirates de l'air du 11-Septembre étaient encore vivants. Sa vie en a apparemment été changée, et l'a conduite à avancer encore dans le labyrinthe du 11-Septembre.
Sa perspective est unique dans l'univers de la recherche sur le 11-Septembre. Elle y entre avec le point de vue d'une personne qui connaît intimement le fonctionnement des compagnies aériennes et ce qui se passe en vol.
Le 11-Septembre, elle a été consignée au sol, comme les milliers d'autres membres du personnel navigant des lignes aériennes, et elle a longuement regardé les événements à la TV. Elle avait atteint son premier niveau de dissonance cognitive (elle parle de "dissidence cognitive") au moment où elle a vu l'impact du second avion. Elle a pensé à des images truquées -- un avion en aluminium mince n'aurait pas dû percer les lourds piliers périphériques en acier. Mais elle a refusé la chose -- être constamment dans le ciel rendait trop difficile de réfléchir à ce que cela impliquait. Et les choses en sont restées là jusqu'à cette recherche fatidique d'un nom sur la Toile.
Depuis lors, elle a parcouru toutes les informations "habituelles", devenues familières à ceux parmi nous qui travaillent sur le 11-Septembre, et elle les a incluses dans son roman. Mais sa perspective est radicalement différente de la nôtre.
Elle savait qu'on ne pouvait pas téléphoner avec un mobile depuis un avion comme indiqué, et connaissait parfaitement les limitations pratiques des téléphones fixes à bord, donc tout ce qu'on affirmait à propos de ces appels n'avait aucun sens à ses yeux.
La plupart d'entre nous ont conclu que les appels téléphoniques avaient été réalisés avec certaines techniques de manipulation de la voix et de l'identité des appelants. Le calme de la plupart d'entre eux et l'absence de tout bruit de cabine ont toujours été problématiques. Mais alors qu'aucun de nous ne parvenait à trouver une alternative, elle y est arrivée !
Dans les interviews, elle présente une excellente analyse détaillée de chaque appel -- particulièrement de ceux des Vols 11 et 175 de New York (NdT - aéroport de Newark), dans l'interview 3, et des vols 77 et 93, dans l'interview 4. Elle examine les archives de la FAA sur les mouvements supposés des avions, en se concentrant sur les moments des appels, la plupart ayant été passés à un moment où l'avion était censé descendre si rapidement, et où beaucoup de choses auraient dû se dérouler, mais qui ne se produisaient pas dans les appels. Sa connaissance de la disposition, des procédures et des aspects pratiques des [Boeing] 767 et 757 -- leur longueur et leur largeur, qui était assis où, qui aurait pu voir ou ne pas voir ce qu'il/elle décrivait, à quelle vitesse la fleur de muscade ou les parfums envahiraient tout l'avion, etc. -- montrent ces appels sous un angle tout à fait nouveau.
Rebekah détaille aussi la technologie de la "Flight Termination" (l'achèvement du vol) qui était disponible à l'époque -- ironiquement prévue pour empêcher les détournements -- par laquelle un contrôleur au sol pouvait retirer à l'équipage la totalité de son contrôle absolu et de sa possibilité de communiquer. Elle croit qu'il n'y a pas eu détournement, mais qu'on a utilisé le mécanisme d'achèvement du vol.
Ce qui rend sa conclusion remarquable, c'est que les appels ont été passés au sol, que les quatre avions se retrouvaient au sol peu après le décollage, et qu'au moins un d'entre eux était dans un hangar (un appelant fait allusion à "un homme qui descend les escaliers"). Le succès final, en ce qui la concerne, est arrivé dans un enregistrement de C.C. Lyles, une hôtesse du Vol 93. Tout à la fin, une voix de femme dit très calmement quelque chose comme "C'était très bien." La fréquence dans tous les appels de certaines expressions précises signifie, pour Rebekah, que les gens lisaient des scripts, et elle en déduit qu'on leur a probablement raconté qu'ils participaient à un exercice (nous savons tous qu'il y avait de nombreux exercices en cours ce matin-là).
D'après le timing des appels, elle a pu déterminer jusqu'où les avions été allés depuis leur décollage, et elle a ensuite deviné où il avait fallu qu'ils atterrissent. Je n'ai pas encore reçu le livre, donc j'ignore encore l'endroit qu'elle propose, mais je m'attends à ce que ce soit intéressant.
La conclusion inévitable, c'est que les passagers et l'équipage sont effectivement morts, mais tués autrement que dans un accident d'avion. C'est une pensée extrêmement inquiétante, mais comparativement moins atroce que le meurtre délibéré de tous les autres gens qui sont décédés le 11-Septembre ou ensuite, en conséquence de l'événement.
Il sera également intéressant d'avoir plus de détails sur une autre chose qu'elle affirme avoir découverte -- des références à un nouveau grand événement, qui se déroulera dans de nombreuses villes, probablement en mai prochain.
Rebekah Roth est également très au courant des aspects financiers du 11-Septembre -- l'évasion du World Trade Center de grandes quantités d'or, la destruction de 240 milliards de dollars de "Brady Bonds", la fraude à l'assurance. Et elle fournit la preuve qui l'a convaincue que, ce jour-là, Israël était un des acteurs principaux.
Si vous avez le temps ou en avez l'envie, les interviews sont un des moyens les plus intéressants de passer votre temps.
| Message N°14 | 23 mars 2015 (Pour l'original, voir ici.) |
Administrateur
| Où sont passés les avions ? (Rebekah Roth découvre un nouvel élément du 11-Septembre)
Posté par Zebra
(ici) Ma question ici, c'est : comment se fait-il que Rebekah Roth ait réussi à ne pas être liquidée en rendant publiques ses recherches ? Max Igan me rappelle toujours de me poser la question à propos de toute source qui met en lumière des informations. Pourquoi Rebekah a-t-elle été "autorisée" à continuer à "sortir" ses recherches ? Dans quel but ? Qui en tire profit ?
Elle est rapidement entrée en scène, avec la première édition d'un roman, en évitant même de permettre à quelqu'un d'autre de le modifier. Elle a essayé au maximum de rester anonyme entre-temps. Par la suite, elle s'est contentée de donner des interviews, aussi vite qu'elle le pouvait, pour parler de son livre.
Ce n'est que si elle a vraiment quelque chose de sérieux, en cours d'élaboration mais pas encore publié, qu'à mon avis sa vie pourrait être en grave danger. Mais si cela se produit, elle est prête, et elle plaisante sur les frappes de drones.
Pour moi, ceux qui courent de grands risques, ce sont ceux qui (1) se trouvent sur une liste grise parce qu'ils médiatisent quelque chose de précis, (2) qui se font connaître, si bien que ce qu'ils ont raconté est largement exposé et jouit d'une certaine crédibilité, et qui (3) sont considérés, par la surveillance secrète, comme ayant quelque chose d'autre à publier mais qu'on ne peut tout simplement pas laisser sortir.
PS. -- Courent également un risque ceux qui en savent trop, et dont on sait qu'ils en savent trop, et qui laissent transparaître leur intention de "cracher le morceau", ainsi que ceux qui acquièrent trop de pouvoir, mais qui sont en liberté et devenus "incontrôlables".
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Bill Ryan
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