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    Virus Zika et grossesse

Ces pages du Forum de Project Avalon sont, sauf indication contraire, traduites par The Avalon Translation Project.

Message N°1       28 janvier 2016 (Pour l'original, voir ici.)   


France Modérateur Hervé's Avatar
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...

Cela faisait un moment que nous n'avions pas entendu parler de l'OMS et d'alertes à la pandémie...

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Le virus Zika se répand de manière exponentielle, avertit l'OMS


Je 28 jan 2016 15h37

World Health Organization (WHO) Director-General Margaret Chan (2nd R) ©AFP
Margaret Chan (2ème à D.), Directrice-Générale de l'Organisation Mondiale de la Santé ©AFP

La directrice de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a sonné l'alarme concernant la flambée de Zika aux Amériques, et déclare que le virus "se répand de manière exponentielle."

Margaret Chan, directrice-générale, a déclaré dans la ville suisse de Genève lors d'une réunion des États-membres de l'OMS, que la situation inquiétait beaucoup l'agence de santé de l'ONU, au moment où le niveau d'alerte concernant le virus est passé à "extrêmement élevé".

Elle a précisé que le virus porté par un moustique n'est plus au stade de "menace bénigne" mais prend des "proportions alarmantes".

La directrice de l'OMS a également convoqué une réunion d'urgence lundi à propos du virus, qui se répand en Amérique du Sud, en Amérique Centrale et aux Caraïbes, afin de déterminer si l'éruption doit être déclarée "urgence sanitaire de portée internationale".

Entre-temps Bruce Aylward, directeur-général-adjoint de l'OMS, insiste sur l'importance d'une coordination des États-membres afin d'empêcher l'expansion du virus.

"Une importante préoccupation de la directrice-générale par rapport à cette convocation est de s'assurer qu'aucune mesure inappropriée ne sera prise par des États-membres concernant les voyages ou le commerce. C'est la principale préoccupation de la directrice-générale", a précisé Aylward jeudi. 

Le virus Zika est soupçonné de causer des malformations congénitales. Il existe un lien entre ce virus et la microcéphalie, cette maladie où les bébés nés de femmes infectées au cours de la grossesse ont un crâne anormalement petit.

Ailleurs dans ses remarques, la directrice de l'OMS a précisé que le lien entre le Zika et les malformations congénitales n'avait pas été formellement établi, mais qu'il "fortement suspecté".

Il n'existe aucune prévention ni traitement sûrs de cette maladie, et les pays affectés font apparemment de leur mieux pour éliminer les lieux de reproduction du moustique Ædes ægypti, qui pique à toute heure de la journée. 



Des moustiques Ædes Ægypti, photographiés le 27 janvier 2016 dans un laboratoire de contrôle des vecteurs épidémiologiques au San Salvador. ©AFP

Des cas de virus Zika ont jusqu'à présent été signalés dans plus d'une vingtaine de pays.

Le Brésil est le pays le plus touché par l'épidémie du virus. Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique du virus et aucun autre moyen de l'empêcher, sinon en évitant les piqûres de moustique.

Les médias US indiquent qu'au moins cinq personnes de la région new-yorkaise ont été diagnostiquées comme porteuses du virus.

Il n'existe aucune prévention ni traitement sûrs de cette maladie et les pays affectés font apparemment de leur mieux pour éliminer les lieux de reproduction des moustiques.

Pour l'instant aucune recommandation concernant les voyages n'a été émise par l'OMS, mais les centres nationaux pourraient émettre des recommandations à l'usage de leurs propres citoyens, suivant les indices en leur possession.

Le virus Zika a été originellement isolé en 1947 sur un singe de la forêt Zika, en Ouganda.

Au Brésil, on a rapporté en novembre 2015 le décès de trois personnes dû au virus.


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Encore une qu'on met sur le dos des "singes" !

Quote Le virus Zika a été originellement isolé en 1947 sur un singe de la forêt Zika, en Ouganda.

...Là, ils ont eu du temps de faire leurs singeries...


Message N°2       28 janvier 2016 (Pour l'original, voir ici.)     

France Modérateur Hervé's Avatar
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Ce redoutable virus Zika : une nouvelle méga-arnaque ?


par Jon Rappoport, 28 janvier 2016


L'hystérie fait vendre, et...

Une nouvelle période d'hystérie. Laissez-moi vous l'analyser.

Voici de quoi il s'agit :
Redoutable virus Zika ! Attention ! C'est transmis par les moustiques ! Cela peut causer des malformations congénitales -- des bébés sont nés avec un très petit crâne et des anomalies cérébrales !
Voici quelques-uns des gros titres alarmistes utilisés sur Drudge depuis le 26/01 :

"Le Brésil envoie 200.000 soldats stopper l'expansion du Zika."
"Evitez Rio si vous êtes enceinte."
"« Bataille perdue d'avance » contre le moustique."
"Le virus menace deux continents."
Vous voulez un peu plus d'hystérie ? Le Daily Mail indique qu'on avertit les femmes enceintes de ne pas se rendre dans 22 pays d'Afrique et d'Amérique Latine. On signale plusieurs cas de Zika en Italie, au Royaume-Uni et en Espagne.

Nous avons également ceci, du Washington Post (“As Zika virus spreads, El Salvador asks women not to get pregnant until 2018,” -- "Devant l'expansion du virus, le Salvador demande aux femmes de ne pas tomber enceintes avant 2018", le 22 janvier) :

Quote L'expansion rapide du virus Zika a conduit les gouvernements latino-américains à inciter les femmes à ne pas être enceintes pendant au moins deux ans, une précaution extraordinaire destinée à éviter les malformations congénitales que l'on croit liées à la maladie transmise par un moustique.

"...un phénomène susceptible de modifier la culture, où on a demandé aux populations de plusieurs pays de ne procréer que plus tard. L'OMS annonce qu'au moins 20 pays ou territoires de la région, dont la Barbade, la Bolivie, la Guadeloupe, le Guatemala, Porto-Rico et Panama, ont confirmé la transmission du virus."

Nous avons donc maintenant des gouvernements avertissant les femmes de ne pas être enceintes. Une nouvelle forme de dépeuplement.  Ne tombez pas enceintes. Si vous l'êtes, et qu'un moustique vous pique, vous pourriez mettre au monde un enfant gravement anormal. Pas seulement : nous avons aussi de nombreux conseils contre les voyages, à l'usage des femmes enceintes.  Et 200.000 soldats au Brésil, le site des futurs Jeux Olympiques, font du porte-à-porte pour distribuer des renseignements sur ce nouveau "fléau". Les soldats demandent-ils aussi aux hommes et aux femmes de ne pas avoir de relations sexuelles ? Qui sait ?

Faisons donc un petit saut à Arnaqueville et examinons les fondements scientifiques qui sous-tendent le virus Zika et l'affirmation selon laquelle il cause des malformations congénitales.

Avant de pouvoir affirmer qu'un virus est à l'origine d'une maladie, certaines procédures sont nécessaires. L'existence du virus doit d'abord être prouvée. Il faut l'isoler sur un tissu malade provenant d'un être humain porteur dudit virus, il faut ensuite placer ce tissu sous un microscope électronique, où on doit voir beaucoup, beaucoup de virus [Zika]. Ensuite, il faut effectuer des tests sur de nombreux cas humains suspects, et ces tests doivent révéler de grandes quantités de Zika dans l'organisme. C'est le minimum syndical avant de décider si un virus est réellement à l'origine d'une maladie humaine.

En examinant la littérature publiée sur le Zika, je n'ai pas encore vu de rapport indiquant que du tissu malade a été prélevé sur un humain, accompagné de photos au télescope électronique révélant une quantité importante de Zika.

Quant aux examens diagnostiques sur des cas humains suspects, je vois, comme d'habitude, deux types de tests effectués : les anticorps, et la PCR. Je vais rapidement passer en revue les lacunes flagrantes de ces tests.    

Les anticorps sont des éclaireurs du système immunitaire qui identifient les envahisseurs de l'organisme. Les anticorps identifient ces bandits de façon à ce que d'autres éléments du système immunitaire puissent les repousser et les détruire. Quand un test montre que des anticorps liés à tel ou tel virus ou bandit (comme le Zika) sont présents dans l'organisme, cela signifie que le corps a contracté ce virus Zika -- si le test a été correctement effectué et qu'il n'a pas donné un faux résultat positif. Les faux positifs sont fréquents. Mais, beaucoup plus grave, prouver que le corps s'est trouvé en contact avec un virus précis n'indique absolument pas si le patient est malade ou le sera. De fait, avant 1985, un test anticorps positif était généralement considéré comme étant bon signe : que le système immunitaire de l'organisme avait rencontré et vaincu l'envahisseur. Après 1985, ce "fondement scientifique" a été inversé : un test positif indiquait que la personne était malade ou allait l'être. Et cela signifiait, bien sûr, davantage de (faux) diagnostics de maladie et davantage d'argent tiré des traitements. Lors d'"épidémies" annoncées, les agences de santé peuvent artificiellement gonfler de manière astronomique le nombre de cas. 

La PCR est un test très complexe et délicat à faire passer. Des erreurs sont possibles. On y utilise un tout petit, vraiment tout petit, fragment de matériau censé être un fragment de virus et, dans le test, ce fragment est amplifié (gonflé) afin qu'on puisse l'observer. Premier problème lié à ce test :

le minuscule échantillon choisi par les techniciens est-il réellement un morceau de virus ? Ou seulement un extrait de débris génétique ? Second problème : malgré l'affirmation du contraire, ce test ne dit rien de fiable sur la quantité de virus (tel que le Zika) présente dans l'organisme du patient. Pourquoi est-ce important ? Parce qu'il est nécessaire qu'il y ait une grande quantité du virus présent dans l'organisme pour pouvoir commencer à dire que ce dernier cause une maladie. Une petite quantité est sans importance.

Avec ces deux tests inutiles à leur disposition -- les anticorps et la PCR -- les chercheurs et les médecins ne possèdent pas d'indice valable leur permettant de savoir si un patient est malade à cause d'une infection par le Zika. Tous les rapports faisant état d'un nombre de cas détectés sont suspects, pour le moins. 

En conséquence, accuser le Zika d'être la cause de très graves problèmes au niveau mondial est insupportable et du domaine de l'hypothèse. Cela n'a rien de  scientifique.

Puis d'aller jusqu'à prétendre que le virus est la raison pour laquelle des femmes enceintes mettent au monde des bébés microcéphales souffrant d'anomalies cérébrales, est absurde.

Qui profite de cette "connaissance" du Zika ? Sans aucun doute, ceux qui produisent des moustiques génétiquement modifiés -- OGM -- comme forme de prévention de la maladie. En tête se trouve une entreprise nommée Oxitec. Les moustiques OGM sont pour l'instant utilisés contre la dengue au Brésil, en Malaisie, et aux Îles Caïman. La Floride est la suivante sur la liste. Mais avec le Zika arrivant en force dans la presse comme "fléau dû à un moustique", combien de temps faudra-t-il pour que des insectes spéciaux soient modifiés afin de sauver la planète de cette nouvelle menace ?

Quelques petits problèmes avec les moustiques OGM, cependant.

Une ville brésilienne signale un niveau de dengue constamment en hausse depuis que les moustiques OGM (génétiquement modifiés) ont été introduits pour lutter contre cette maladie.

Selon l'hypothèse scientifique, ces filous de moustiques OGM (mâles) vont féconder les femelles non-OGM, mais la génération suivante ne dépassera en aucune façon le stade larvaire. Néanmoins, ce taux de fertilité en baisse chez les moustiques est la seule "preuve" de l'innocuité de l'expérimentation. Aucune étude de santé à long terme n'a été effectuée -- c'est ce qui s'est également passé lorsque les cultures OGM ont été introduites : aucun fondement scientifique, juste de vagues assurances.

Inutile de dire qu'en l'absence d'essais approfondis en laboratoire, il est impossible de savoir ce que recèlent vraiment ces moustiques OGM, en dehors de ce que prétendent les chercheurs. Ça, c'est un grave signal d'alarme. 

Partout où ces moustiques OGM ont été introduits, ou vont l'être, on n'a pas demandé à la population humaine sa permission. Tout se fait par décret du gouvernement ou celui de grosses entreprises. Il s'agit d'expérimentation humaine à grande échelle. 

Si effectivement les moustiques vecteurs de la dengue sont éliminés, certains craignent que le vide créé puisse être rempli par un autre vecteur de la dengue, le moustique-tigre asiatique -- qui se reproduit beaucoup plus vite.

Sinon, tout est parfait. Fêtons ça et accueillons sur Terre les moustiques génétiquement modifiés.

Revenons au virus Zika : qu'est-ce qui en réalité fait que des mères mettent au monde des bébés microcéphales et souffrant d'anomalies cérébrales ? S'il s'agit vraiment d'un phénomène relativement récent, je commencerais par une enquête approfondie, ciblée sur ces moustiques génétiquement modifiés, récemment relâchés au Brésil pour décimer les moustiques vecteurs de la dengue.

Puis j'accorderais de l'attention à un rapport comme celui-ci (Rio Times du 5 mai 2015 : “Brazil Shown to Be Largest Global Consumer of Pesticides” -- Le Brésil montré comme le plus grand consommateur mondial de pesticides)

Quote L'usage des pesticides au Brésil a augmenté de plus de 162 % entre 2000 et 2012, selon le dernier rapport de l'Association brésilienne de santé publique (ABRASCO), qui place le pays en tête, au niveau mondial, des consommateurs de pesticides. D'après cet organisme, le secteur agricole brésilien a acheté en 2012 plus de 823.000 tonnes de pesticides.

"Le rapport de l'ABRASCO, intitulé ‘An Alert of the Impacts of Pesticides on Health’ -- "Alerte concernant l'impact des insecticides sur la santé", a été publié la semaine dernière à Rio de Janeiro. Le rapport contient des études scientifiques, avec des données de l'Institut national du cancer qui révèlent l'existence d'un lien direct entre l'usage des pesticides et certains problèmes de santé."  

Une citation extraite du rapport :
Quote Non seulement nous utilisons plus [d'insecticides], mais ceux que nous utilisons sont plus puissants et plus forts. On nous a forcés à importer des pesticides qui n'étaient même pas autorisés au Brésil, afin de lutter contre la vermine qui s'attaquait aux soja et coton OGM. (...)" 
"(...) 22 des cinquante principaux composants actifs utilisés aujourd'hui dans les pesticides au Brésil sont interdits dans la plupart des autres pays."
Que diriez-vous d'une enquête approfondie, sur le terrain, examinant les liens existant entre ces pesticides et les malformations congénitales ?

Ou bien ne vaut-il pas mieux, pour les rares privilégiés, utiliser une fausse histoire de virus en guise de couverture, afin de se disculper des horribles dommages dus à ce qui équivaut à de la guerre chimique ?

****Lisez cette étude, publiée le 1er juillet 2011 dans Environmental Health Perspectives :

“Urinary Biomarkers of Prenatal Atrazine Exposure…”  (Biomarqueurs urinaires de l'exposition prénatale à l'atrazine) Voici une citation faisant allusion à ce qu'on appelle maintenant un effet principal du Zika :
Quote La présence ou l'absence de niveaux quantifiables de l'[insecticide] atrazine ou d'un métabolite spécifique de l'atrazine a été associée à des limitations de la croissance fœtale (...) et à des périmètre crâniens faibles (...) La taille du périmètre crânien était aussi inversement liée à la présence du désherbant métolachlore."
Vous voyez le tableau ?

Les pesticides à l'atrazine et au métolachlore sont bien évidemment utilisés au Brésil. Pourquoi néglige-t-on le lien qui existe avec ces malformations congénitales ? S'il s'agit toujours d'une question sérieuse, à notre époque, et si les réponses ne sont pas évidentes, c'est que le questionneur vient juste d'arriver de Pluton.

J'ai déjà suivi ce parcours et je fais ces liens depuis 1987. L'opération clandestine est réalisée à la manière du vieux truc des trois gobelets. Regardez ici, ne regardez pas là. Ceci, c'est important, cela, ça ne veut rien dire.  

Des tonnes et des tonnes de pesticides en tout genre et autres poisons chimiques... mais oubliez-le : tout ça, c'est la faute à un virus.

"Un virus" : la meilleure fausse raison qu'on ait jamais inventée.

Jon Rappoport
(Fin de l'article.)

Message N°6       29 janvier 2016 (Pour l'original, voir ici.)      

France Modérateur Hervé's Avatar
 
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La peur du Zika : suite du canular et de l'opération sous fausse bannière

par Jon Rappoport 29 janvier 2016


Mes remerciements aux journalistes et chercheurs Jim Stone, Kathy Ford, the fullerton informer, Jim West, Martin Maloney, et Claus Jensen, qui ont fait avancer les choses et dénoncé l'arnaque.     

Si vous avez l'intention de dissimuler quoi que ce soit sur cette planète, faites-en une (fausse) histoire de virus. Vous aurez fait le plus dur.
 
Il s'agit de mon second article sur l'arnaque du virus Zika (article archivé ici) (NdT - voir message N°2 ci-dessus). J'ai déjà vu ça : VIH, virus du Nil occidental, grippe porcine, SRAS, Ebola. Chaque fois, on accuse un virus d'être à l'origine de maladies ou de décès, alors que les causes sont autres.    

Le virus Zika, maintenant accusé d'être impliqué dans la naissance de bébés microcéphales et souffrant d'anomalies cérébrales, existe depuis longtemps -- depuis la fin des années 1940-début des années 1950 -- et soudain, sans avertissement ni cause, après avoir entraîné, au pire, une maladie bénigne, il se met à produire des dommages épouvantables ? On appelle ça un indice. L'indice que des scientifiques menteurs mentent. Qui plus est, nombre des femmes qui mettent au monde des bébés anormaux ont un résultat négatif au test de dépistage du virus Zika.

Quelle est donc la cause de ces bébés nés avec de très petits crânes et des problèmes cérébraux ? Lors de mes recherches, dans mon premier livre de 1987-1988, AIDS INC., je concluais : "Ne partez pas du principe qu'il n'existe qu'une cause à la maladie. Cela peut se révéler très trompeur. Plusieurs facteurs peuvent se combiner et causer maladie et décès."    

Par exemple, pour ce qui est du phénomène de ce "Zika" :

1 - Utilisation des pesticides au Brésil :
Le Brésil, épicentre de la crise du "Zika", utilise plus de pesticides que n'importe quel autre pays au monde.  Certains d'entre eux sont interdits dans 22 autres pays. Quant aux bébés nés avec des crânes trop petits, voici une étude tirée de Environmental Health Perspectives (1er juillet 2011), “Urinary Biomarkers of Prenatal Atrazine Exposure…” (Biomarqueurs urinaires de l'exposition prénatale à l'atrazine) :

Quote La présence ou l'absence de niveaux quantifiables de l'[insecticide] atrazine ou d'un métabolite spécifique de l'atrazine a été associée à des limitations de la croissance fœtale (...) et à des périmètre crâniens faibles (...) La taille du périmètre crânien était aussi inversement lié à la présence du désherbant métolachlore."" (C'est nous qui soulignons)
Atrazine et métolachlore sont tous deux utilisés au Brésil. 

2 - Le vaccin DcaT
Il s'agit d'un cas de corrélation suspecte. Une étude figurant à l'US National Library of Medicine, “Pertussis in young infants: a severe vaccine-preventable disease,” ("La coqueluche chez le jeune enfant : une maladie grave évitable par le vaccin") l'explique clairement :

Quote (...) fin 2014, le ministère [brésilien] de la Santé a annoncé l'introduction du vaccin DcaT, destiné à toutes les femmes enceintes du Brésil."
De toute évidence, les femmes enceintes constituent le groupe-cible. Elles mettent au monde des bébés microcéphales souffrant de problèmes cérébraux, et les recommandations  conseillant aux mères de prendre ce vaccin étaient récentes : 2014.

Barbara Loe Fisher, du National Vaccine Information Center (Centre national d'information sur les vaccins), écrit : 

Quote Les laboratoires pharmaceutiques n'ont effectué aucun test sur la sécurité et l'efficacité des vaccins antigrippaux ou DcaT administrés aux femmes enceintes avant que lesdits vaccins soient autorisés aux États-Unis, et il n'existe pratiquement aucune donnée concernant les réponses inflammatoires ou autres réactions biologiques à ces vaccins pouvant affecter la grossesse ou son issue. (...) La FDA (l'Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) classe les vaccins antigrippaux et DcaT dans les produits biologiques Grossesse Catégorie B ou C, ce qui signifie qu'aucun essai adéquat n'a été effectué sur des êtres humains pour démontrer leur innocuité sur des femmes enceintes, et on ignore si les vaccins peuvent causer du mal au fœtus ou affecter les capacités de reproduction. Les fabricants des vaccins antigrippaux et DcaT indiquent que les études de toxicité sur l'humain et sur la fécondité sont inadéquates et préviennent que ces vaccins ne devraient être "administrés à une femme enceinte qu'en cas de besoin évident."" (C'est nous qui soulignons.)


3 - Des moustiques génétiquement modifiés ont déjà été relâchés au Brésil pour "lutter contre" la dengue -- un projet mis en œuvre par Oxitec, une entreprise soutenue par une subvention de Bill Gates :
Une ville brésilienne signale un niveau de dengue constamment en hausse depuis que les moustiques OGM (génétiquement modifiés) ont été introduits pour lutter contre cette maladie.

Selon l'hypothèse scientifique, ces filous de moustiques OGM (mâles) vont féconder les femelles non-OGM, mais la génération suivante ne dépassera en aucune façon le stade larvaire. Néanmoins, ce taux de fertilité en baisse chez les moustiques est la seule "preuve" de l'innocuité de l'expérimentation. Aucune étude de santé à long terme n'a été effectuée -- c'est ce qui s'est également passé lorsque les cultures OGM ont été introduites : aucun fondement scientifique, juste de vagues assurances.

Inutile de dire qu'en l'absence d'essais approfondis en laboratoire, il est impossible de savoir ce que recèlent vraiment ces moustiques OGM, en dehors de ce que prétendent les chercheurs. Ça, c'est un grave signal d'alarme. 

Partout où ces moustiques OGM ont été introduits, ou vont l'être, on n'a pas demandé à la population humaine sa permission. Tout se fait par décret du gouvernement ou celui de grosses entreprises. Il s'agit d'expérimentation humaine à grande échelle.

4 - La fabrication des pesticides au Brésil :  
Reuters, 19 mai 2015, “Brazil prosecutors seek $16 million from pesticide makers” ("Des procureurs brésiliens veulent condamner des fabricants de pesticides à 16.000.000 $ d'amende") :
Quote Des procureurs brésiliens ont déclaré lundi chercher à infliger une amende d'au moins 50 millions de réaux (16,6 millions de dollars) à des multinationales fabriquant des pesticides, pour non-respect présumé de la sécurité dans une déchetterie collectant les conteneurs à pesticides usagés. (...) Parmi ces fabricants, indiquent les procureurs, figurent les filiales brésiliennes de BASF, DuPont, Monsanto, Nufarm, Syngenta, Adama, FMC et Nortox. (...) Ces chefs d'accusation apparaissent à un moment où des scientifiques, des législateurs, des responsables de santé publique et des consommateurs se plaignent de plus en plus fréquemment que la montée en puissance de l'agriculture brésilienne a conduit à un usage dangereux et excessif des pesticides. Reuters a signalé en avril que quatre fabricants étrangers au moins vendent au Brésil des pesticides qu'ils n'ont pas le droit de vendre sur leur propre marché intérieur." (C'est nous qui soulignons.)
Comme il est pratique pour ces multinationales géantes d'éluder les accusations de créer d'atroces malformations congénitales -- on claironne qu'un virus, venu de nulle part, en est la cause !

5 - Malnutrition grave et endémique, absence d'installations sanitaires de base, et misère :
Ce sont là les principaux facteurs de toutes les maladies ou décès, dans les zones où elles prévalent (c.-à-d. dans la plus grande partie du Brésil). Avec pour résultat la suppression du système immunitaire, et tout ce qui se produit alors -- qu'il s'agisse de germes ou de substances artificielles toxiques --  devient catastrophique pour l'organisme.

6 - Bombes anti moustiques :
The Guardian, le 26 janvier 2016 : “Brazil is ‘badly losing’ the battle against Zika virus, says health minister” ("Le Brésil en "très mauvaise posture" dans la guerre contre le virus Zika, déclare le ministre de la Santé") :  

On distribue actuellement des sprays au Brésil à 400.000 femmes enceintes. Les bombes en question sont bien sûr toxiques. Quel meilleur moyen que celui de multiplier les agressions contre les mères et leurs enfants à naître ? Les organophosphates, largement répandus dans les sprays, peuvent par exemple perturber gravement le système nerveux. 

Certains ou l'ensemble de ces six éléments que j'ai cités, forment en combinaison une agression continue contre la vie humaine.

Et comme je ne cesse de le montrer, l'histoire du virus représente une parfaite couverture pour cacher la vérité.

Et n'oubliez pas les Jeux Olympiques de Rio, en août ! Il existe toute une série de scénarios possibles à utiliser devant un public télévisuel mondial. Va-t-on présenter le Zika comme une sorte de pandémie à l'échelle mondiale ?  Va-t-on magiquement "découvrir" un vaccin anti-Zika  et en précipiter la production, juste à temps pour montrer (en guise de publicité) des files de gens attendant patiemment de se faire vacciner ?             

Toute épidémie-bidon est, en partie, conçue pour créer la peur et induire une soumission aveugle aux diktats médicaux et gouvernementaux. Le germe, c'est le "micro-terroriste" de cette mise en scène. 

Dans mon premier livre, AIDS INC. (1988), j'indiquais que les opérations médicales clandestines étaient les plus dangereuses, parce qu'elles semblent dépourvues d'enjeu politique, ne roulent pas pour un pays particulier, et qu'elles prétendent n'avoir que des buts humanitaires.  Mais de fait, la “Médecine Rockefeller” constitue un partenaire d'envergure dans la mondialisation de la planète. Dont la vision est celle d'un système universel pour l'espèce humaine, applicable de l'utérus au berceau, jusqu'au tombeau : chaque être humain suit toute sa vie un morne itinéraire, ponctué de diagnostics de maladie à répétition, avec à chaque tournant ingestion de médicaments toxiques et injection de vaccins, qui lui affaiblissent le corps et l'esprit, et le rendent incapable de prendre en compte ce qui se passe en dehors de son périmètre de souffrances ni de résister au totalitarisme politique. 

La liberté médicale, c'est la liberté de refuser des soins médicaux, et elle est fondée sur la connaissance de ses effets destructeurs. Il faut que cette liberté l'emporte, envers et contre tout.

La "Science officielle" : il y a là contradiction dans les termes, et une grande illusion.
(Fin de l'article.)

Message N°7       29 janvier 2016 (Pour l'original, voir ici.) 

France Modérateur Hervé's Avatar
 
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Bon... on peut se poser la question :
S'"ils" savent qu'il ne s'agit pas d'un "virus" mais d'autre chose : où vont RÉELLEMENT aller tous les $$ collectés et injectés dans la "recherche" ?



DEPARTEMENT DE BIOTECHNOLOGIE

-- J'ai là un excellent traitement. Pouvez-vous me fabriquer la maladie qui va avec ?

Emprunté ici <---


Message N°9       29 janvier 2016 (Pour l'original, voir ici.)
France Modérateur Hervé's Avatar
 
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Qui, du virus Zika ou du vaccin DcaT, cause les malformations congénitales au Brésil ?

Posté le 28 janvier 2016 par Carol Adl



Le virus du Zika est connu pour infecter les gens en Afrique, en Amérique Centrale et du Sud, et en Asie depuis plus de 70 ans, sans causer de malformations congénitales.

Le gouvernement brésilien a décrété en décembre un état d'urgence, à la suite de la naissance de 2.400 bébés au crâne atrophié et souffrant de problèmes cérébraux, dont sont rendus responsables des moustiques vecteurs du virus Zika. Le nombre de bébés nés avec ces malformations a fortement augmenté depuis. 

Mais pourrait-il exister un lien entre l'introduction du vaccin DcaT que les femmes d'Amérique Latine ont été encouragées à prendre avant la 22ème semaine de leur grossesse, et la naissance de ces bébés souffrant de "microcéphalie" ?

Ce qui suit est un article tiré du blog Brazilian shrunken head babies (Bébés brésiliens au crâne réduit) :  

Fin 2014, le ministère brésilien de la Santé a annoncé l'introduction du DcaT (vaccin tétanos-diphtérie-coqueluche) pour toutes les femmes enceintes de ce pays, comme faisant partie du programme normal de vaccination. Le but de la démarche était d'essayer d'endiguer la résurgence de la coqueluche au Brésil.

En décembre 2015, le gouvernement brésilien décrète un état d'urgence, à la suite de la naissance, depuis octobre, de 2.400 bébés au crâne atrophié (microcéphalie) et souffrant de problèmes cérébraux.

Les responsables brésiliens de santé publique ignorent ce qui cause cette augmentation des cas de microcéphalie chez les bébés nés au Brésil, mais ils émettent l'hypothèse que le coupable puisse être un virus nommé "Zika", répandu par un moustique (l'Ædes ægypti) -- comme dans le cas du virus du Nil occidental.

Cette hypothèse est largement fondée sur la découverte du virus Zika chez un bébé atteint de microcéphalie lors de l'autopsie de l'enfant décédé. Le virus a également été détecté dans le liquide amniotique de deux mères dont le bébé était atteint du même mal.

Remarquons que le Zika n'est pas un virus nouveau. Il est présent là-bas depuis des décennies. Pourquoi pouvait-il soudain causer tous ces cas de microcéphalie ? Aucune explication n'a été donnée. Personne ne pose sérieusement la question : "Qu'est-ce qui a changé ?"

Personne n'envisage un éventuel lien entre les cas de microencéphalie et l'obligation faite quelque 10 mois plus tôt, à toutes les femmes enceintes, de se faire vacciner au DcaT. Le gouvernement "assume" que la cause en est un virus.

UN FAIT — Les laboratoires pharmaceutiques n'ont effectué aucun test sur la sécurité et l'efficacité des vaccins antigrippaux ou DcaT administrés aux femmes enceintes avant que lesdits vaccins soient autorisés aux États-Unis, et il n'existe pratiquement aucune donnée concernant les réponses inflammatoires ou autres réactions biologiques à ces vaccins pouvant affecter la grossesse ou son issue.

UN FAIT — Selon l'Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA), aucun test sur l'être humain n'a été effectué afin de démontrer l'innocuité [de ce vaccin] pour la femme enceinte et on ignore si ces vaccins peuvent causer du mal au fœtus ou affecter les capacités de reproduction. Les fabricants des vaccins antigrippaux et DcaT indiquent que les études de toxicité sur l'être humain et sur la fécondité sont inadéquates et préviennent que ces vaccins ne devraient être "donnés à une femme enceinte qu'en cas de besoin évident."

UN FAIT —On n'a pas complètement évalué les éventuels effets génotoxiques et autres effets négatifs de certains composants du vaccin DcaT, contenant la bactérie pertussis, sur le fœtus humain in utero, susceptibles d'affecter négativement sa santé après la naissance. Parmi ceux-ci figurent les adjuvants à l'aluminium, les conservateurs au mercure (Thimerosal/thiomersal), et bien d'autres ingrédients bioactifs et potentiellement toxiques.

UN FAIT — Il existe de sérieux problèmes liés aux procédures d'essai caduques destinées à déterminer la force et la toxicité des vaccins contre la coqueluche, et certains scientifiques demandent qu'on fixe des limites précises au contenu en toxines des vaccins contenant la bactérie pertussis.

UN FAIT — On n'a publié aucune étude des mécanismes biologiques qui évalue l'état de santé pré-vaccinal et qui mesure, après vaccination, les modifications cérébrales, ainsi que la fonction immunitaire et l'intégrité chromosomique, chez la femme enceinte ou chez son bébé en gestation.

UN FAIT — Depuis l'homologation du vaccin DcaT aux États-Unis, aucune étude prospective de cas-témoins bien conçue n'a été effectuée sur l'état de santé de groupes importants de femmes traitées pendant leur grossesse avec un vaccin DcaT contenant la bactérie pertussis, [aucune étude] les observant soit isolément, soit en les comparant simultanément à d'autres qui ne prennent pas le vaccin, pas plus que n'ont été établies de comparaisons sur l'état de santé de leurs enfants à la naissance ou au cours de leur première année de vie. Les évaluations effectuées, concernant la sécurité et l'efficacité [du vaccin], se révèlent ou bien limitées en nombre et à titre rétrospectif, ou bien elles comparent les femmes vaccinées entre elles, ou bien encore elles ont été réalisées par les responsables de sociétés pharmaceutiques ou des responsables de santé du gouvernement, à partir de données non publiées.

UN FAIT — L'homologation du vaccin par la FDA précise qu'il doit être administré ponctuellement sous forme d'une seule dose de rappel contre la coqueluche, et à des patients de plus de 10 ou 11 ans. Que le CDC (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies) recommande aux médecins d'administrer un vaccin DcaT à chaque femme lors de chacune de ses grossesses — qu'elle ait ou non déjà reçu une dose de DcaT — correspond à un usage non conforme du vaccin.

UN FAIT — Les dommages et décès causés par le vaccin contre la coqueluche sont ceux qui sont le mieux indemnisés dans le Programme fédéral d'indemnisation des dommages causés par les vaccins, juste avant les dommages et décès causés par le vaccin antigrippe.

UN FAIT — Une étude publiée en 2013 évaluant les cas d'encéphalomyélite aiguë disséminée (AMAD) signalés à la suite d'une vaccination, tels que rapportés dans le VAERS étasunien et dans un système européen de signalement des réactions aux vaccins, a constaté que le DcaT contenant la bactérie pertussis figurait parmi les vaccins les plus fréquemment associés à une inflammation cérébrale chez l'enfant âgé de 0 à 5 ans.

Le DcaT est fabriqué par deux grands laboratoires pharmaceutiques : Sanofi Pasteur en France et GlaxoSmithKline (GSK) au Royaume-Uni.

Le produit de Sanofi Pasteur contient du phosphate d'aluminium, du formaldéhyde résiduel, du glutaraldéhyde résiduel, et du 2-phénoxyéthanol, ainsi que les milieux de croissance et ingrédients de processus suivants : milieu Stainer-Scholte, acides casaminés, dimethyl-ß-cyclodextrine, glutaraldéhyde, formaldéhyde, phosphate d'aluminium, milieu acide casaminé Mueller-Miller modifié sans infusion de cœur de bœuf, sulfate d'ammonium, 2-phénoxyéthanol, et eau pour l'injection.

Le produit de GSK contient de l'hydroxyde d'aluminium, du chlorure de sodium, du formaldéhyde résiduel, du polysorbate 80 (Tween 80), ainsi que les milieux de croissance et ingrédients de processus suivants : milieu de Latham modifié à partir de caséine bovine, milieu de Fenton contenant de l'extrait bovin, formaldéhyde, milieu liquide de Stainer-Scholte, glutaraldéhyde, hydroxyde d'aluminium.

Sans surprise, le gouvernement brésilien a annoncé le 15 janvier 2016 qu'il accorderait des fonds à un centre de recherche biomédicale (l'Institut Butantan de São-Paulo) pour le développement d'un vaccin contre le Zika. Ce développement prendra probablement 3 à 5 ans. Une fois de plus, sans même envisager l'ironie qu'on est peut-être en train de développer un vaccin pour résoudre un problème peut-être déjà CAUSÉ par un vaccin, et que ce nouveau vaccin peut très bien AGGRAVER le problème. On n'envisage même pas l'hypothèse que la solution au problème puisse être non pas d'en faire PLUS, mais plutôt d'en faire MOINS (tout simplement CESSER d'administrer du DcaT aux femmes enceintes).

Les cas de microencéphalie au Brésil avaient atteint à la mi-janvier le chiffre de 3.530 bébés. On avait constaté moins de 150 cas de ce type sur l'ensemble de 2014.

La plupart des cas de microencéphalie se concentrent sur la région pauvre du nord-est du Brésil, même si le nombre de cas augmente à Rio et dans d'autres grandes villes, encourageant les gens à stocker du répulsif à moustiques. Les responsables de santé conseillent aux Brésiliens — particulièrement aux femmes enceintes — de rester à l'intérieur autant que possible et de s'asperger de spray anti moustique s'ils doivent sortir.

Vous voulez savoir ce qu'il y a dans les sprays anti moustique ? Oh, et à votre avis, quel insecticide mortel utilisent-ils pour les fumigations collectives ? Du DDT, croyez-vous ?

(Note. Contient des informations prélevées — souvent copiées-collées — dans des journaux, et des renseignements provenant du Centre national d'information sur les vaccins.)


Sur le sujet :
Hello? Pesticides can cause congenital abnormalities… January 28, 2016






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Bill Ryan

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