La vidéo
décrit les méthodes chimiques et
biologiques secrètement utilisées par
le lobby du dépeuplement pour saper la
fécondité humaine, de même que les
méthodes psychosociales et économiques
imposées à la population mondiale afin
de réduire à néant la structure
familiale.
Par cette approche en tenailles la
population mondiale se trouve
engagée malgré elle dans un
processus de réduction
artificielle causant de graves
conséquences pour sa santé et des
dommages irréversibles pour son bagage
intellectuel et génétique.
Ce génocide socialement programmé se
déroule avec la pleine connaissance et
le consentement total des autorités
religieuses du monde entier, y compris
de l'Église Catholique, raison pour
laquelle Kevin Galalae demande au pape
François de dire la vérité et de "nous
délivrer du mal".
"Il est difficile de comprendre que
les habitants de Rome, comme ceux du
reste du monde, ignorent totalement
que le gouvernement qu'ils ont
eux-mêmes élu, empoisonne depuis
1945, avec l'appui des Nations
Unies, sa propre population. Une[méthode] à long terme, par
petites touches, pour altérer leur
fertilité, et atteindre des
objectifs démographiques
nécessaires, afin d'éviter des
guerres causées par le manque de
ressources naturelles, et c'est
exactement ce qui se produit, avec
ou sans le consentement des gens. Le contrôle de l'augmentation
de la population se substitue à la
guerre. La justification est simple
et appropriée. Si un pays maintient
sa population à un niveau stable
sans qu'elle ne croisse ni ne
diminue au fil des années, il pourra
nourrir ses habitants et n'aura pas
à avoir recours à la guerre pour
s'emparer des ressources de
[inaudible]. Et si chaque pays sur
Terre stabilise sa population à
l'unisson, la paix peut être
maintenue de façon permanente dans
le monde, et nous n'aurons jamais
plus à subir le chaos et les atroces
destructions liés à la guerre. Il nous est difficile à notre
époque de comprendre comment les
Romains prenaient plaisir à regarder
des hommes se combattre à mort --
les gladiateurs -- ici même, au
Colisée, sans autre avantage
apparent que le divertissement de la
foule. Néanmoins la société romaine
a, en quelque sorte, trouvé que le
sacrifice valait la peine. Nous
croyons avoir progressé moralement
et socialement depuis, et nous
comporter de façon plus humaine
envers nos semblables. Mais la réalité, c'est que les
combats de gladiateurs de la période
romaine ne soutiennent pas la
comparaison en échelle et en portée,
sinon en cruauté, avec les
sacrifices qui nous sont imposés par
la société moderne. Les Romains réduisaient les
hommes à n'être que des créatures
qu'on massacrait dans une arène pour
la satisfaction des empereurs et de
la populace. La communauté internationale
d'aujourd'hui a condamné l'humanité
au massacre, avec des méthodes
beaucoup plus douces, mais tout
aussi mortelles, afin de gérer la
population mondiale. Les fidèles, venus des quatre
coins du monde, se sont réunis à
Rome pour assister à la canonisation
de deux papes précédents et pour
rendre hommage à une institution en
laquelle ils ont confiance et qu'ils
respectent : l'Église Catholique
Romaine. Ils représentent toutes les
confessions chrétiennes existantes,
mais leur foi n'est pas leur seul et
plus évident dénominateur commun. Ce
qu'ils ont en commun, c'est que tous
sont victimes de la politique
mondiale de dépeuplement, un
programme très secret de contrôle de
la population qui vise à réduire la
population de la planète à un niveau
durable, et qui utilise des agents
chimiques et biologiques pour porter
atteinte à la fécondité humaine,
ainsi que toute une panoplie de
procédés économiques et
psychosociaux pour détruire la
famille. Les méthodes utilisées par
chaque pays pour contrôler la
croissance de sa population ont été
dictées par le niveau de
développement et l'infrastructure
existante, autant que par la volonté
politique, ou son absence, et ont
été imposées de l'extérieur par la
force et la tromperie, ou bien
volontairement adoptées par les
élites au pouvoir des États-nations,
qui ont compté sur l'assistance
morale, technique et monétaire des
Nations Unies, de ses agences et de
la communauté internationale dans
son ensemble. Alors que la Chine a utilisé
la politique de l'enfant unique,
donc une législation transparente,
et l'Inde la stérilisation
chirurgicale secrète, l'Occident a
eu secrètement recours à la
stérilisation chimique. La fluoration est la méthode
choisie par l'Ouest pour supprimer
la fécondité à la fois chez l'homme
et chez la femme. Elle est utilisée
dans tout l'Occident depuis 1950, et
le fluor est véhiculé par l'eau du
robinet, le sel de table ou le lait,
suivant le pays et son degré de
développement. Quelques nations prospères et
choisies d'Europe du Nord usent de
programmes dentaires obligatoires
pour obtenir de chaque citoyen qu'il
subisse des apports périodiques de
fluor directement dans la bouche. Quel que soit l'agent utilisé,
la fluoration a été imposée à la
population sous prétexte de lutter
contre les caries dentaires, un
argument tout à fait inexact et
malhonnête. Des quatre méthodes, la
fluoration de l'eau est de loin la
plus répandue, utilisée qu'elle est
dans le monde entier, sur près d'un
milliard de gens. La fluoration de l'eau n'est
cependant possible que là où existe
une infrastructure moderne
d'épuration de l'eau. Et donc, même
dans les pays riches, elle n'est
viable que dans les villes d'au
moins dix mille habitants. La fluoration du sel est la
deuxième méthode la plus populaire,
et elle est en usage dans toute
l'Amérique du Sud et les Caraïbes,
tout comme dans certains pays
européens qui ont abandonné la
fluoration de l'eau. La fluoration du lait est
limitée à un très petit nombre de
pays, et utilisée ailleurs comme
méthode complémentaire de
fluoration. Pour maintenir les êtres
humains dans un état constant
d'empoisonnement par le fluor, la
pâte dentifrice et les produits de
santé dentaire du monde entier sont
fluorés. Pour combler la lacune
causée par l'habitude moderne de
boire de l'eau en bouteille plutôt
qu'au robinet, le lobby du
dépeuplement a remplacé à partir de
1980 le verre des bouteilles par du
plastique, et a utilisé un produit
chimique réducteur de
fécondité, le bisphénol A (BPA en
abrégé), pour fabriquer deux types
de plastique : les polycarbonates et
les résines époxy. Le BPA est ingéré quand il est
en contact avec la nourriture et les
boissons destinées à la consommation
humaine. Dans la mesure où
pratiquement toutes les bouteilles
de plastique de la planète sont
maintenant en polycarbonate, à base
de bisphénol A, et que presque toute
canette en métal ou aluminium dans
le monde est recouverte de résine
époxy contenant du BPA, les gens y
sont exposés constamment. La couche de BPA présente dans
les boîtes de conserve métalliques
est destinée aux pauvres des villes
et des campagnes, plus enclins à
manger des soupes, des légumes et
des fruits en boîte, et qui vont
ainsi ingérer plus que leur part
d'agents anti-fécondité, de
provenance multiple. Mais comme le lobby de la
population est en grande partie
eugénique, il est souhaitable à
leurs yeux de réduire le nombre de
pauvres. La pulvérisation d'oxyde
d'aluminium en poudre par des avions
volant à haute altitude -- un
phénomène connu sous le nom de
"chemtrails" -- est une méthode
plutôt récente de contrôle de la
population, limitée aux pays de
l'OTAN, destinée à se débarrasser
des agriculteurs "bio" ou
traditionnels, et à faire place aux
grandes entreprises [de
l'agroalimentaire] et à leurs
cultures OGM. L'aluminium pulvérisé retombe
et empoisonne le sol et l'eau, et ce
sont là deux conséquences voulues.
Tout d'abord, il devient impossible
de faire pousser les graines
traditionnelles ou anciennes, ce qui
réduit les agriculteurs à la
faillite, et les terres ainsi
libérées peuvent être rachetées par
les géants de l'agroalimentaire, qui
se tiennent prêts, avec des graines
OGM résistantes à l'aluminium. Deuxièmement, l'aluminium se
combine aux composés du fluor, en
augmentant considérablement la
toxicité de ce dernier, et abaisse
ainsi le seuil de toxicité du corps
humain, [la limite] de ce qui était
jusqu'alors considéré comme sûr.
Autrement dit, il est beaucoup plus
facile de détériorer la santé
humaine avec le fluorure d'aluminium
qu'avec le fluor seul, et on en
utilise beaucoup moins.
C'est pourquoi, par exemple,
l'épandage d'aluminium en aérosol est
beaucoup plus fréquent sur la côte ouest
du Canada et des États-Unis, alors que la
fluoration de l'eau du robinet y est rare
et que les gens ingèrent le fluor via
l'eau en bouteille, les sodas, ou les
boîtes de conserve, mais à un degré
moindre que ceux dont l'eau est fluorée. Les pays pauvres n'ont pas de
stations d'épuration et ne peuvent donc
pas fluorer l'eau du robinet. La fluoration du sel nécessite une
volonté politique et une certaine
stabilité pour s'adjoindre quelques hommes
politiques et bureaucrates choisis. Mais
le paysage politique de l'Afrique est
volatil et constamment changeant, et la
fluoration du lait se révèle coûteuse et
moralement répréhensible, puisqu'elle vise
des enfants innocents, par l'intermédiaire
de programmes de lait gratuit à l'école,
et les rend malades quand ils sont jeunes
et sans défense. De plus, les dirigeants africains
ont largement résisté aux pressions
internationales exigeant qu'ils
empoisonnent leur peuple. C'est la raison
pour laquelle le lobby du dépeuplement a
mis au point des méthodes efficaces de
contrôle de la population spécifiques à
l'Afrique et, plus récemment, pour
d'autres pays pauvres et peu
enthousiastes, dont la coopération
volontaire était impossible à obtenir. Si le lobby du dépeuplement ne
pouvait contrôler le nombre des gens qui
naissent au niveau mondial, ils allaient
donc augmenter le nombre de ceux qui
quittent ce monde. Autrement dit, s'ils ne
pouvaient régler le problème de la
population au début de la vie en
contrôlant la fécondité, ils allaient le
régler -- et ils l'ont fait -- en
s'intéressant à la fin de la vie, en
augmentant la morbidité et la mortalité. C'est ce qui a été considéré
nécessaire pour l'Afrique, qui a résisté
sans exception à toutes les tentatives de
contrôle de sa population. Le virus VIH du
SIDA a été spécifiquement créé pour la
population de l'Afrique sub-saharienne,
par un effort de coopération entre
scientifiques soviétiques et américains,
avec l'aide des complexes
militaro-industriels de leurs nations. Ils
l'ont conçu pour causer d'énormes dégâts
en dégradant le système immunitaire et en
y rendant les gens de couleur
particulièrement vulnérables. [Le virus] a progressivement atteint
le but recherché une fois qu'il a été
introduit dans le sang d'innombrables
innocents en Afrique, au Brésil, et en
Haïti, par l'Organisation Mondiale de la
Santé, au moyen de son programme
d'immunisation contre la variole, qui a
pris fin en 1980. Jusqu'à 30 % des gens peuvent être
affectés du SIDA dans certains pays
africains, et 70 % de tous les décès qui y
sont liés ont lieu en Afrique. Chaque
année, plus d'un million de gens meurent
du SIDA en Afrique, et presque deux
millions de nouvelles infections y sont
signalées. Des souches de grippe transgéniques
telles que le H1N1, la grippe porcine et
les virus de la grippe aviaire, ont été
utilisées pour créer des pandémies qui
répandent la peur et conditionnent le
public à accepter les vaccins obligatoires
ou les programmes gouvernementaux de
vaccination obligatoire. Ceci permet aux
autorités de cibler des populations
précises, quand et si les eugénistes
décident qu'une nouvelle souche mortelle
doit être introduite dans une population
rebelle, comme cela s'est passé en
Afrique, en Haïti et au Brésil jusqu'en
1980. Les OGM sont l'arme la plus récente
et la plus sophistiquée de l'arsenal
eugénique, et ils sont destinés aux pays
en voie de développement, où les méthodes
chimiques de contrôle de la population ne
peuvent être appliquées en raison de la
mauvaise infrastructure. Les cultures OGM de base sont le
maïs, le colza, le coton et le soja. Une
féroce résistance aux cultures OGM s'est
développée, et a mis en doute leur
viabilité en tant qu'agent réducteur de la
fécondité mondiale. Leur avantage réside
cependant dans le fait que les personnes
ciblées cultiveront leur propre poison,
tout en payant pour le faire. Ce qui rend
les OGM idéaux pour les pays pauvres dont
le gouvernement n'a pas les moyens de
payer pour contrôler leur population,
quelle que soit la méthode utilisée,
fût-elle chimique, biologique ou
bactériologique. Un de leurs avantages est
aussi qu'elles peuvent causer aussi peu ou
autant de dégâts que souhaité, sans que
personne ne s'en aperçoive. Depuis que les Nations Unies ont
pris le contrôle et la responsabilité
principaux de la politique de dépeuplement
mondial au début des années 1960, elles
ont cherché des moyens plus humains
d'atteindre leurs objectifs
démographiques, et concentrent une grande
partie de leurs efforts et de leurs
ressources sur la découverte de méthodes
psychosociales pour changer la dynamique
de la vie de famille et mettre
suffisamment de pression sur les foyers et
les personnes pour rendre difficile et
non-souhaitable d'avoir plus d'un enfant.
Différents pays ont encouragé
diverses formes de toxicomanie afin
d'éloigner les gens de la vie de famille
et de provoquer la dissolution de la
plupart des familles à faible revenu par
la mort prématurée, la maladie chronique
ou des dettes insurmontables. L'Occident a encouragé l'utilisation
de drogues à usage récréatif, la Chine a
encouragé la consommation excessive du
tabac, et la Russie a rendu l'alcool
suffisamment bon marché et omniprésent
pour créer une nation d'alcooliques. En conséquence, la toxicomanie a
atteint les proportions d'une épidémie
dans de nombreux pays occidentaux, et en
particulier aux États-Unis et au Canada,
où elle ravage chaque années des dizaines
de milliers de familles. Les décès dus au tabac ont triplé en
Chine au cours de la dernière décennie, et
le tabac y est devenu le tueur N°1,
provoquant 1 200 000 morts par an. On
s'attend à ce que le nombre de décès
dus au tabac atteigne 3,5 millions par an
en 2030, et si la tendance persiste, on
prévoit qu'en 2050 un tiers des hommes en
Chine seront tués par le tabac. Plus catastrophique encore est le
problème de l'alcool en Russie. La
consommation d'alcool a presque triplé au
cours des 16 dernières années, et plus
d'un demi-million de Russes meurent chaque
année à cause de l'alcool. En grande
partie en raison de l'abus d'alcool,
l'espérance de vie des hommes russes est
tombée à 59 ans, soit 17 années de moins
que leurs homologues masculins d'Europe
occidentale. Ces exemples d'abus de substances
ont des effets néfastes sur la
constitution de la famille et sa taille.
La contre-culture des années 1960, qui a
amené la révolution sexuelle, a été
encouragée afin de briser les tabous
sexuels qui empêchaient le courant
dominant d'adopter l'usage généralisé et
sans retenue du contraceptif. Elle a
également rendu socialement acceptable
l'usage de la drogue, et a ouvert la voie
à l'introduction de drogues ou médicaments
toujours plus destructeurs, qu'ils soient
légaux ou illégaux, provoquant la création
d'un marché de la drogue et une économie
souterraine fondée sur les drogues et la
prostitution, ce qui va à l'encontre de la
famille et offre depuis un terrain fertile
pour le virus du SIDA. La contre-culture hippie des années
1960 a été suivie par la contre-culture
LGBT (lesbiennes-gays-bisexuels et
transsexuels) des années 1970 et 1980, qui
a conduit à l'acceptation et à la
décriminalisation de l'homosexualité, à
temps pour l'explosion des LGBT causée par
les effets de l'exposition à long terme au
fluor, qui fait passer le degré
d'incidence de la confusion sexuelle
d'environ 4 %, lorsqu'elle est naturelle,
à un niveau artificiellement élevé de 15
%. La forme la plus subtile et la plus
insidieuse de contrôle de la population
est la manipulation de la loi visant à
criminaliser des comportements sociaux et
des querelles domestiques considérés
autrefois comme acceptables, et à
incarcérer un grand pourcentage des
pauvres, afin de les empêcher de fonder
des familles et d'élever des enfants. Dans tout le monde occidental, et
particulièrement aux États-Unis, au
Canada, en Australie et en
Nouvelle-Zélande, ce type de contrôle de
la population répond aux exigences de la
politique eugénique, car il cible en
priorité les minorités et les pauvres. La tolérance zéro applicable en
droit local pour les infractions mineures,
puis la loi des trois fautes, sont des
exemples typiques de législations conçues
pour répondre aux exigences de la
politique mondiale de dépeuplement. Le droit interne de tolérance zéro
est conçu pour briser les familles au
moindre conflit en retirant à la police
ses pouvoirs discrétionnaires, et en
attribuant à l'État le pouvoir de ne tenir
aucun compte de la volonté des conjoints
et de porter des accusations criminelles
menant à la faillite et à la dissolution
de la famille. Des conflits qui pourraient se
résoudre en quelques minutes ou en
quelques jours dans l'intimité du foyer se
voient attribuer le statut de criminalité
avec violence, afin de détruire les
familles, de séparer parents et enfants et
de transférer leur richesse à la classe
judiciaire. La loi des trois fautes inflige de
lourdes peines à toute personne déjà
reconnue coupable de deux délits graves et
qui, si elle est condamnée pour un
troisième délit, risque de finir sa vie en
prison. La loi a d'abord été appliquée
dans l'État de Washington en 1993, puis en
Californie en 1994, en compensation de
leur absence de fluoration due à
l'opposition populaire, puis elle a
ensuite été étendue pour la même raison à
toute la Côte Ouest. Du fait de ce type de lois
eugéniques, des centaines de milliers de
familles sont brisées chaque année
dans le monde anglophone, mais aussi dans
plusieurs pays européens. Aux États-Unis, le pouvoir
judiciaire est devenu le principal outil
d'application des objectifs eugéniques,
conférant aux États-Unis la distinction
douteuse d'être le pays dont le taux
d'incarcération est le plus élevé au
monde, mais aussi de l'Histoire, avec 743
adultes derrière les barreaux pour 100 000
citoyens. Quand les gens sous surveillance
correctionnelle ou en résidence surveillée
sont pris en compte, les États-Unis
dépassent de loin la Russie stalinienne
elle-même, par le nombre et la proportion
de prisonniers rapportés à la population
générale. Les statistiques révèlent également
que les minorités visibles sont les plus
touchées par cette manie de
l'incarcération, qui s'est emparée des
États-Unis et, dans une moindre mesure,
d'une grande partie du monde occidental. Le Canada ravage par cette méthode
sa population autochtone. Les statistiques
de l'Europe, tout comme celles de
l'Australie, sont faussées par le fait que
les immigrants sont détenus dans des
centres de détention séparés, et ne sont
pas décomptés comme prisonniers. On utilise aussi les pressions
économiques pour créer un environnement
hostile aux familles, et particulièrement
à l'éducation des enfants. La méthode
préférée des Nations Unies pour réduire le
nombre d'enfants est l'entrée des femmes
dans le monde du travail. Au nom de la lutte contre la
pauvreté, on a donné la plus haute
priorité à l'éducation et à l'emploi des
femmes. Pour ce faire, les femmes des pays
en voie de développement sont encouragées
à s'instruire et forcées de renoncer à
leur statut traditionnel au foyer, et à se
chercher un emploi. La femme au travail
consacre moins de temps à ses enfants, et
a donc moins envie d'en avoir. Une femme
qui travaille retardera également une
grossesse pour satisfaire des ambitions
professionnelles ou les exigences du
marché du travail. Mais puisque les femmes représentent
51 % de la population mondiale, l'afflux
régulier des femmes sur le marché du
travail fait baisser les salaires dans le
monde entier à un moment où le chômage est
déjà partout un problème endémique. Cette migration massive des femmes
dans la population active, modifie aussi
la place des hommes d'un point de vue
économique et perturbe les schémas
traditionnels de la vie, les rôles
réciproques des sexes, et oppose les
hommes et les femmes, toutes choses qui
mènent à des familles plus petites et en
nombre plus restreint. L'exigence de qualifications
excessives et inutiles est le moyen par
lequel on retarde l'entrée dans la
population active dans les pays en voie de
développement, de manière à éviter que les
jeunes fondent une famille tôt dans la
vie, à un moment où leur horloge
biologique les rend très fertiles. L'âge
moyen des femmes qui ont des enfants est
de 29 ans en Europe et au Japon, mais de
25 ans aux États-Unis. Dans l'ensemble des pays développés,
les femmes d'aujourd'hui ont leurs enfants
au minimum 4 ans plus tard que les femmes
de 1970. Dans la première moitié du XXème
siècle, lorsque la population n'était pas
soumise à l'ingénierie sociale, les femmes
européennes avaient leurs enfants autour
de 20 ans. En retardant l'entrée à la fois
des hommes et des femmes dans la
population active, on a retiré une dizaine
d'années à la période de fécondité des
femmes. Les médias sont utilisés pour
conditionner les gens à être des
consommateurs acharnés et à consacrer
leurs revenus à un matérialisme excessif
plutôt qu'à élever des enfants,
contrairement aux générations précédentes.
La consommation en constante augmentation
de produits et de services est devenue la
préoccupation principale des hommes d'une
période d'après deuxième Guerre mondiale
conditionnée socialement, qui a développé
une société de consommation centrée sur
soi, et qui relègue les enfants au second
plan. L'aide étrangère, suivie de prêts de
la Banque Mondiale, puis des programmes
d'austérité du FMI, a volontairement créé
une spirale d'endettement dans les pays en
voie de développement, dans le but de
priver les nations pauvres des revenus
nécessaires à l'investissement dans des
programmes d'infrastructure et sociaux. Couplé à la chute des prix des
produits de base et au protectionnisme
occidental, c'est devenu la formule à
l'origine de la pauvreté, que les pays
développés imposent à ceux qui se
développent, pour créer des conditions
économiques négatives pour les familles. Les contraintes monétaires ont
remplacé les conquêtes militaires dans le
contrôle des ressources et du destin
d'autres nations. Ceci a pour but de
stopper l'explosion démographique qui
empêche les pays en voie de développement
de satisfaire les besoins de sa population
croissante, tout autant que de satisfaire
le besoin égoïste des pays riches de
sécuriser l'accès aux ressources vitales
situées sur un sol étranger. Cette situation sans issue est le
cycle de pauvreté que les architectes de
la politique du dépeuplement mondial
espèrent répandre sur toute la planète, en
imposant maintenant un remède de cheval
aux pays récemment et tardivement amenés
aux mesures de contrôle de la population. Le lobby du contrôle de la
population est légitiment préoccupé par le
fait que 90 % des personnes nées dans le
monde au cours des 50 dernières années
sont nées dans des pays en voie de
développement, donc dans des pays déjà
pauvres, ceux qui pouvaient le moins
se permettre une croissance illimitée de
leur population. [Difficilement audible]
Comment l'Église peut-elle revendiquer
plus d'autorité sur la chrétienté, alors
qu'en même temps elle garde secrète sa
connaissance du plus grand [inaudible] au
monde ? Comment chaque pape peut-il,
depuis les années 1950, apparaître aux
fervents adorateurs, les bénir et de les
guider dans la vie, en sachant que tous,
sans exception, sont lentement empoisonnés
jusqu'à leur disparition et que, ce
faisant, un dommage irréparable est causé
à leur santé et à leur bien-être ? Ce sont là des questions auxquelles
j'espère être en mesure de répondre au
cours des prochains jours, ici à Rome. Pour l'instant, je veux dire ceci au
Pape François :
Il ne peut y avoir d'Église
sans fidèles. Il ne peut y avoir d'humanité sans
compassion. Il ne peut y avoir de confiance sans
honnêteté. Et il ne peut y avoir de foi sans
vérité.
Dites la vérité, Pape
François, et délivrez-nous du mal.
Vous avez cette capacité, utilisez-la !
Vous avez notre confiance, honorez-la
! Sinon, le Christ serait mort en vain."
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