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    Dépeuplement : objectifs et méthodes  

Ces pages du Forum de Project Avalon sont, sauf indication contraire, traduites par The Avalon Translation Project.

Message N°1      15 novembre 2014  (Pour l'original, voir ici.)    

United States
Membre d'Avalon  jerry's Avatar 
Default Dépeuplement : objectifs et méthodes


La vidéo décrit les méthodes chimiques et biologiques secrètement utilisées par le lobby du dépeuplement pour saper la fécondité humaine, de même que les méthodes psychosociales et économiques imposées à la population mondiale afin de réduire à néant la structure familiale.

Par cette approche en tenailles la population mondiale se trouve  engagée malgré elle dans un processus  de réduction artificielle causant de graves conséquences pour sa santé et des dommages irréversibles pour son bagage intellectuel et génétique.

Ce génocide socialement programmé se déroule avec la pleine connaissance et le consentement total des autorités religieuses du monde entier, y compris de l'Église Catholique, raison pour laquelle Kevin Galalae demande au pape François de dire la vérité et de "nous délivrer du mal".



Source : http://www.youtube.com/watch?v=-Hj3LGvWWLU

[Traduction de la vidéo :

Les méthodes de dépeuplement

"Il est difficile de comprendre que les habitants de Rome, comme ceux du reste du monde, ignorent totalement que le gouvernement qu'ils ont eux-mêmes élu, empoisonne depuis 1945, avec l'appui des Nations Unies, sa propre population. Une [méthode] à long terme, par petites touches, pour altérer leur fertilité, et atteindre des objectifs démographiques nécessaires, afin d'éviter des guerres causées par le manque de ressources naturelles, et c'est exactement ce qui se produit, avec ou sans le consentement des gens.

Le contrôle de l'augmentation de la population se substitue à la guerre. La justification est simple et appropriée. Si un pays maintient sa population à un niveau stable sans qu'elle ne croisse ni ne diminue au fil des années, il pourra nourrir ses habitants et n'aura pas à avoir recours à la guerre pour s'emparer des ressources de [inaudible]. Et si chaque pays sur Terre stabilise sa population à l'unisson, la paix peut être maintenue de façon permanente dans le monde, et nous n'aurons jamais plus à subir le chaos et les atroces destructions liés à la guerre.

Il nous est difficile à notre époque de comprendre comment les Romains prenaient plaisir à regarder des hommes se combattre à mort -- les gladiateurs -- ici même, au Colisée, sans autre avantage apparent que le divertissement de la foule. Néanmoins la société romaine a, en quelque sorte, trouvé que le sacrifice valait la peine. Nous croyons avoir progressé moralement et socialement depuis, et nous comporter de façon plus humaine envers nos semblables.

Mais la réalité, c'est que les combats de gladiateurs de la période romaine ne soutiennent pas la comparaison en échelle et en portée, sinon en cruauté, avec les sacrifices qui nous sont imposés par la société moderne.

Les Romains réduisaient les hommes à n'être que des créatures qu'on massacrait dans une arène pour la satisfaction des empereurs et de la populace.

La communauté internationale d'aujourd'hui a condamné l'humanité au massacre, avec des méthodes beaucoup plus douces, mais tout aussi mortelles, afin de gérer la population mondiale.

Les fidèles, venus des quatre coins du monde, se sont réunis à Rome pour assister à la canonisation de deux papes précédents et pour rendre hommage à une institution en laquelle ils ont confiance et qu'ils respectent : l'Église Catholique Romaine.

Ils représentent toutes les confessions chrétiennes existantes, mais leur foi n'est pas leur seul et plus évident dénominateur commun. Ce qu'ils ont en commun, c'est que tous sont victimes de la politique mondiale de dépeuplement, un programme très secret de contrôle de la population qui vise à réduire la population de la planète à un niveau durable, et qui utilise des agents chimiques et biologiques pour porter atteinte à la fécondité humaine, ainsi que toute une panoplie de procédés économiques et psychosociaux pour détruire la famille.

Les méthodes utilisées par chaque pays pour contrôler la croissance de sa population ont été dictées par le niveau de développement et l'infrastructure existante, autant que par la volonté politique, ou son absence, et ont été imposées de l'extérieur par la force et la tromperie, ou bien volontairement adoptées par les élites au pouvoir des États-nations, qui ont compté sur l'assistance morale, technique et monétaire des Nations Unies, de ses agences et de la communauté internationale dans son ensemble.

Alors que la Chine a utilisé la politique de l'enfant unique, donc une législation transparente, et l'Inde la stérilisation chirurgicale secrète, l'Occident a eu secrètement recours à la stérilisation chimique.

La fluoration est la méthode choisie par l'Ouest pour supprimer la fécondité à la fois chez l'homme et chez la femme. Elle est utilisée dans tout l'Occident depuis 1950, et le fluor est véhiculé par l'eau du robinet, le sel de table ou le lait, suivant le pays et son degré de développement.

Quelques nations prospères et choisies d'Europe du Nord usent de programmes dentaires obligatoires pour obtenir de chaque citoyen qu'il subisse des apports périodiques de fluor directement dans la bouche.

Quel que soit l'agent utilisé, la fluoration a été imposée à la population sous prétexte de lutter contre les caries dentaires, un argument tout à fait inexact et malhonnête.

Des quatre méthodes, la fluoration de l'eau est de loin la plus répandue, utilisée qu'elle est dans le monde entier, sur près d'un milliard de gens.

La fluoration de l'eau n'est cependant possible que là où existe une infrastructure moderne d'épuration de l'eau. Et donc, même dans les pays riches, elle n'est viable que dans les villes d'au moins dix mille habitants.

La fluoration du sel est la deuxième méthode la plus populaire, et elle est en usage dans toute l'Amérique du Sud et les Caraïbes, tout comme dans certains pays européens qui ont abandonné la fluoration de l'eau.

La fluoration du lait est limitée à un très petit nombre de pays, et utilisée ailleurs comme méthode complémentaire de fluoration.

Pour maintenir les êtres humains dans un état constant d'empoisonnement par le fluor, la pâte dentifrice et les produits de santé dentaire du monde entier sont fluorés. Pour combler la lacune causée par l'habitude moderne de boire de l'eau en bouteille plutôt qu'au robinet, le lobby du dépeuplement a remplacé à partir de 1980 le verre des bouteilles par du plastique, et a utilisé un produit chimique réducteur de  fécondité, le bisphénol A (BPA en abrégé), pour fabriquer deux types de plastique : les polycarbonates et les résines époxy.

Le BPA est ingéré quand il est en contact avec la nourriture et les boissons destinées à la consommation humaine. Dans la mesure où pratiquement toutes les bouteilles de plastique de la planète sont maintenant en polycarbonate, à base de bisphénol A, et que presque toute canette en métal ou aluminium dans le monde est recouverte de résine époxy contenant du BPA, les gens y sont exposés constamment.

La couche de BPA présente dans les boîtes de conserve métalliques est destinée aux pauvres des villes et des campagnes, plus enclins à manger des soupes, des légumes et des fruits en boîte, et qui vont ainsi ingérer plus que leur part d'agents anti-fécondité, de provenance multiple.

Mais comme le lobby de la population est en grande partie eugénique, il est souhaitable à leurs yeux de réduire le nombre de pauvres.

La pulvérisation d'oxyde d'aluminium en poudre par des avions volant à haute altitude -- un phénomène connu sous le nom de "chemtrails" -- est une méthode plutôt récente de contrôle de la population, limitée aux pays de l'OTAN, destinée à se débarrasser des agriculteurs "bio" ou traditionnels, et à faire place aux grandes entreprises [de l'agroalimentaire] et à leurs cultures OGM.

L'aluminium pulvérisé retombe et empoisonne le sol et l'eau, et ce sont là deux conséquences voulues. Tout d'abord, il devient impossible de faire pousser les graines traditionnelles ou anciennes, ce qui réduit les agriculteurs à la faillite, et les terres ainsi libérées peuvent être rachetées par les géants de l'agroalimentaire, qui se tiennent prêts, avec des graines OGM résistantes à l'aluminium.

Deuxièmement, l'aluminium se combine aux composés du fluor, en augmentant considérablement la toxicité de ce dernier, et abaisse ainsi le seuil de toxicité du corps humain, [la limite] de ce qui était jusqu'alors considéré comme sûr. Autrement dit, il est beaucoup plus facile de détériorer la santé humaine avec le fluorure d'aluminium qu'avec le fluor seul, et on en utilise beaucoup moins.

C'est pourquoi, par exemple, l'épandage d'aluminium en aérosol est beaucoup plus fréquent sur la côte ouest du Canada et des États-Unis, alors que la fluoration de l'eau du robinet y est rare et que les gens ingèrent le fluor via l'eau en bouteille, les sodas, ou les boîtes de conserve, mais à un degré moindre que ceux dont l'eau est fluorée.

Les pays pauvres n'ont pas de stations d'épuration et ne peuvent donc pas fluorer l'eau du robinet.

La fluoration du sel nécessite une volonté politique et une certaine stabilité pour s'adjoindre quelques hommes politiques et bureaucrates choisis. Mais le paysage politique de l'Afrique est volatil et constamment changeant, et la fluoration du lait se révèle coûteuse et moralement répréhensible, puisqu'elle vise des enfants innocents, par l'intermédiaire de programmes de lait gratuit à l'école, et les rend malades quand ils sont jeunes et sans défense.

De plus, les dirigeants africains ont largement résisté aux pressions internationales exigeant qu'ils empoisonnent leur peuple. C'est la raison pour laquelle le lobby du dépeuplement a mis au point des méthodes efficaces de contrôle de la population spécifiques à l'Afrique et, plus récemment, pour d'autres pays pauvres et peu enthousiastes, dont la coopération volontaire était impossible à obtenir.

Si le lobby du dépeuplement ne pouvait contrôler le nombre des gens qui naissent au niveau mondial, ils allaient donc augmenter le nombre de ceux qui quittent ce monde. Autrement dit, s'ils ne pouvaient régler le problème de la population au début de la vie en contrôlant la fécondité, ils allaient le régler -- et ils l'ont fait -- en s'intéressant à la fin de la vie, en augmentant la morbidité et la mortalité.

C'est ce qui a été considéré nécessaire pour l'Afrique, qui a résisté sans exception à toutes les tentatives de contrôle de sa population. Le virus VIH du SIDA a été spécifiquement créé pour la population de l'Afrique sub-saharienne, par un effort de coopération entre scientifiques soviétiques et américains, avec l'aide des complexes militaro-industriels de leurs nations. Ils l'ont conçu pour causer d'énormes dégâts en dégradant le système immunitaire et en y rendant les gens de couleur particulièrement vulnérables.

[Le virus] a progressivement atteint le but recherché une fois qu'il a été introduit dans le sang d'innombrables innocents en Afrique, au Brésil, et en Haïti, par l'Organisation Mondiale de la Santé, au moyen de son programme d'immunisation contre la variole, qui a pris fin en 1980.

Jusqu'à 30 % des gens peuvent être affectés du SIDA dans certains pays africains, et 70 % de tous les décès qui y sont liés ont lieu en Afrique. Chaque année, plus d'un million de gens meurent du SIDA en Afrique, et presque deux millions de nouvelles infections y sont signalées.

Des souches de grippe transgéniques telles que le H1N1, la grippe porcine et les virus de la grippe aviaire, ont été utilisées pour créer des pandémies qui répandent la peur et conditionnent le public à accepter les vaccins obligatoires ou les programmes gouvernementaux de vaccination obligatoire. Ceci permet aux autorités de cibler des populations précises, quand et si les eugénistes décident qu'une nouvelle souche mortelle doit être introduite dans une population rebelle, comme cela s'est passé en Afrique, en Haïti et au Brésil jusqu'en 1980.

Les OGM sont l'arme la plus récente et la plus sophistiquée de l'arsenal eugénique, et ils sont destinés aux pays en voie de développement, où les méthodes chimiques de contrôle de la population ne peuvent être appliquées en raison de la mauvaise infrastructure.

Les cultures OGM de base sont le maïs, le colza, le coton et le soja. Une féroce résistance aux cultures OGM s'est développée, et a mis en doute leur viabilité en tant qu'agent réducteur de la fécondité mondiale. Leur avantage réside cependant dans le fait que les personnes ciblées cultiveront leur propre poison, tout en payant pour le faire. Ce qui rend les OGM idéaux pour les pays pauvres dont le gouvernement n'a pas les moyens de payer pour contrôler leur population, quelle que soit la méthode utilisée, fût-elle chimique, biologique ou bactériologique. Un de leurs avantages est aussi qu'elles peuvent causer aussi peu ou autant de dégâts que souhaité, sans que personne ne s'en aperçoive.

Depuis que les Nations Unies ont pris le contrôle et la responsabilité principaux de la politique de dépeuplement mondial au début des années 1960, elles ont cherché des moyens plus humains d'atteindre leurs objectifs démographiques, et concentrent une grande partie de leurs efforts et de leurs ressources sur la découverte de méthodes psychosociales pour changer la dynamique de la vie de famille et mettre suffisamment de pression sur les foyers et les personnes pour rendre difficile et non-souhaitable d'avoir plus d'un enfant.

Différents pays ont encouragé diverses formes de toxicomanie afin d'éloigner les gens de la vie de famille et de provoquer la dissolution de la plupart des familles à faible revenu par la mort prématurée, la maladie chronique ou des dettes insurmontables.

L'Occident a encouragé l'utilisation de drogues à usage récréatif, la Chine a encouragé la consommation excessive du tabac, et la Russie a rendu l'alcool suffisamment bon marché et omniprésent pour créer une nation d'alcooliques.

En conséquence, la toxicomanie a atteint les proportions d'une épidémie dans de nombreux pays occidentaux, et en particulier aux États-Unis et au Canada, où elle ravage chaque années des dizaines de milliers de familles.

Les décès dus au tabac ont triplé en Chine au cours de la dernière décennie, et le tabac y est devenu le tueur N°1, provoquant 1 200 000 morts par an. On s'attend à ce que  le nombre de décès dus au tabac atteigne 3,5 millions par an en 2030, et si la tendance persiste, on prévoit qu'en 2050 un tiers des hommes en Chine seront tués par le tabac.

Plus catastrophique encore est le problème de l'alcool en Russie. La consommation d'alcool a presque triplé au cours des 16 dernières années, et plus d'un demi-million de Russes meurent chaque année à cause de l'alcool. En grande partie en raison de l'abus d'alcool, l'espérance de vie des hommes russes est tombée à 59 ans, soit 17 années de moins que leurs homologues masculins d'Europe occidentale.

Ces exemples d'abus de substances ont des effets néfastes sur la constitution de la famille et sa taille. La contre-culture des années 1960, qui a amené la révolution sexuelle, a été encouragée afin de briser les tabous sexuels qui empêchaient le courant dominant d'adopter l'usage généralisé et sans retenue du contraceptif. Elle a également rendu socialement acceptable l'usage de la drogue, et a ouvert la voie à l'introduction de drogues ou médicaments toujours plus destructeurs, qu'ils soient légaux ou illégaux, provoquant la création d'un marché de la drogue et une économie souterraine fondée sur les drogues et la prostitution, ce qui va à l'encontre de la famille et offre depuis un terrain fertile pour le virus du SIDA.  

La contre-culture hippie des années 1960 a été suivie par la contre-culture LGBT (lesbiennes-gays-bisexuels et transsexuels) des années 1970 et 1980, qui a conduit à l'acceptation et à la décriminalisation de l'homosexualité, à temps pour l'explosion des LGBT causée par les effets de l'exposition à long terme au fluor, qui fait passer le degré d'incidence de la confusion sexuelle d'environ 4 %, lorsqu'elle est naturelle, à un niveau artificiellement élevé de 15 %. 

La forme la plus subtile et la plus insidieuse de contrôle de la population est la manipulation de la loi visant à criminaliser des comportements sociaux et des querelles domestiques considérés autrefois comme acceptables, et à incarcérer un grand pourcentage des pauvres, afin de les empêcher de fonder des familles et d'élever des enfants.

Dans tout le monde occidental, et particulièrement aux États-Unis, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande, ce type de contrôle de la population répond aux exigences de la politique eugénique, car il cible en priorité les minorités et les pauvres.

La tolérance zéro applicable en droit local pour les infractions mineures, puis la loi des trois fautes, sont des exemples typiques de législations conçues pour répondre aux exigences de la politique mondiale de dépeuplement.

Le droit interne de tolérance zéro est conçu pour briser les familles au moindre conflit en retirant à la police ses pouvoirs discrétionnaires, et en attribuant à l'État le pouvoir de ne tenir aucun compte de la volonté des conjoints et de porter des accusations criminelles menant à la faillite et à la dissolution de la famille.

Des conflits qui pourraient se résoudre en quelques minutes ou en quelques jours dans l'intimité du foyer se voient attribuer le statut de criminalité avec violence, afin de détruire les familles, de séparer parents et enfants et de transférer leur richesse à la classe judiciaire.

La loi des trois fautes inflige de lourdes peines à toute personne déjà reconnue coupable de deux délits graves et qui, si elle est condamnée pour un troisième délit, risque de finir sa vie en prison. La loi a d'abord été appliquée dans l'État de Washington en 1993, puis en Californie en 1994, en compensation de leur absence de fluoration due à l'opposition populaire, puis elle a ensuite été étendue pour la même raison à toute la Côte Ouest.

Du fait de ce type de lois eugéniques, des centaines de milliers de familles sont  brisées chaque année dans le monde anglophone, mais aussi dans plusieurs pays européens.

Aux États-Unis, le pouvoir judiciaire est devenu le principal outil d'application des objectifs eugéniques, conférant aux États-Unis la distinction douteuse d'être le pays  dont le taux d'incarcération est le plus élevé au monde, mais aussi de l'Histoire, avec 743 adultes derrière les barreaux pour 100 000 citoyens.

Quand les gens sous surveillance correctionnelle ou en résidence surveillée sont pris en compte, les États-Unis dépassent de loin la Russie stalinienne elle-même, par le nombre et la proportion de prisonniers rapportés à la population générale.

Les statistiques révèlent également que les minorités visibles sont les plus touchées par cette manie de l'incarcération, qui s'est emparée des États-Unis et, dans une moindre mesure, d'une grande partie du monde occidental.

Le Canada ravage par cette méthode sa population autochtone. Les statistiques de l'Europe, tout comme celles de l'Australie, sont faussées par le fait que les immigrants sont détenus dans des centres de détention séparés, et ne sont pas décomptés comme prisonniers.

On utilise aussi les pressions économiques pour créer un environnement hostile aux familles, et particulièrement à l'éducation des enfants. La méthode préférée des Nations Unies pour réduire le nombre d'enfants est l'entrée des femmes dans le monde du travail.

Au nom de la lutte contre la pauvreté, on a donné la plus haute priorité à l'éducation et à l'emploi des femmes. Pour ce faire, les femmes des pays en voie de développement sont encouragées à s'instruire et forcées de renoncer à leur statut traditionnel au foyer, et à se chercher un emploi. La femme au travail consacre moins de temps à ses enfants, et a donc moins envie d'en avoir. Une femme qui travaille retardera également une grossesse pour satisfaire des ambitions professionnelles ou les exigences du marché du travail.

Mais puisque les femmes représentent 51 % de la population mondiale, l'afflux régulier des femmes sur le marché du travail fait baisser les salaires dans le monde entier à un moment où le chômage est déjà partout un problème endémique.

Cette migration massive des femmes dans la population active, modifie aussi la place des hommes d'un point de vue économique et perturbe les schémas traditionnels de la vie, les rôles réciproques des sexes, et oppose les hommes et les femmes, toutes choses qui mènent à des familles plus petites et en nombre plus restreint.

L'exigence de qualifications excessives et inutiles est le moyen par lequel on retarde l'entrée dans la population active dans les pays en voie de développement, de manière à éviter que les jeunes fondent une famille tôt dans la vie, à un moment où leur horloge biologique les rend très fertiles. L'âge moyen des femmes qui ont des enfants est de 29 ans en Europe et au Japon, mais de 25 ans aux États-Unis.

Dans l'ensemble des pays développés, les femmes d'aujourd'hui ont leurs enfants au minimum 4 ans plus tard que les femmes de 1970. Dans la première moitié du XXème siècle, lorsque la population n'était pas soumise à l'ingénierie sociale, les femmes européennes avaient leurs enfants autour de 20 ans. En retardant l'entrée à la fois des hommes et des femmes dans la population active, on a retiré une dizaine d'années à la période de fécondité des femmes.

Les médias sont utilisés pour conditionner les gens à être des consommateurs acharnés et à consacrer leurs revenus à un matérialisme excessif plutôt qu'à élever des enfants, contrairement aux générations précédentes. La consommation en constante augmentation de produits et de services est devenue la préoccupation principale des hommes d'une période d'après deuxième Guerre mondiale conditionnée socialement, qui a développé une société de consommation centrée sur soi, et qui relègue les enfants au second plan.

L'aide étrangère, suivie de prêts de la Banque Mondiale, puis des programmes d'austérité du FMI, a volontairement créé une spirale d'endettement dans les pays en voie de développement, dans le but de priver les nations pauvres des revenus nécessaires à l'investissement dans des programmes d'infrastructure et sociaux.

Couplé à la chute des prix des produits de base et au protectionnisme occidental, c'est devenu la formule à l'origine de la pauvreté, que les pays développés imposent à ceux qui se développent, pour créer des conditions économiques négatives pour les familles.

Les contraintes monétaires ont remplacé les conquêtes militaires dans le contrôle des ressources et du destin d'autres nations. Ceci a pour but de stopper l'explosion démographique qui empêche les pays en voie de développement de satisfaire les besoins de sa population croissante, tout autant que de satisfaire le besoin égoïste des pays riches de sécuriser l'accès aux ressources vitales situées sur un sol étranger.

Cette situation sans issue est le cycle de pauvreté que les architectes de la politique du dépeuplement mondial espèrent répandre sur toute la planète, en imposant maintenant un remède de cheval aux pays récemment et tardivement amenés aux mesures de contrôle de la population.

Le lobby du contrôle de la population est légitiment préoccupé par le fait que 90 % des personnes nées dans le monde au cours des 50 dernières années sont nées dans des pays en voie de développement, donc dans des pays déjà pauvres, ceux  qui pouvaient le moins se permettre une croissance illimitée de leur population.

[Difficilement audible] Comment l'Église peut-elle revendiquer plus d'autorité sur la chrétienté, alors qu'en même temps elle garde secrète sa connaissance du plus grand [inaudible] au monde ? Comment chaque pape peut-il, depuis les années 1950, apparaître aux fervents adorateurs, les bénir et de les guider dans la vie, en sachant que tous, sans exception, sont lentement empoisonnés jusqu'à leur disparition et que, ce faisant, un dommage irréparable est causé à leur santé et à leur bien-être ?

Ce sont là des questions auxquelles j'espère être en mesure de répondre au cours des prochains jours, ici à Rome.

Pour l'instant, je veux dire ceci au Pape François :
Il ne peut y avoir d'Église sans fidèles.
Il ne peut y avoir d'humanité sans compassion.
Il ne peut y avoir de confiance sans honnêteté.
Et il ne peut y avoir de foi sans vérité.
Dites la vérité, Pape François, et délivrez-nous du mal.
Vous avez cette capacité, utilisez-la !

Vous avez notre confiance, honorez-la !

Sinon, le Christ serait mort en vain."








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Bill Ryan

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