Membre d'Avalon
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Un avion
malaisien abattu avec 295 personnes à
bord. Mais par qui ?
A-t-il été
abattu afin de tenter d'arrêter un début
de guerre biologique au niveau mondial ?
Doux Jésus ! J'aimerais que la théorie
(citée ci-dessous) ne soit pas aussi
vraisemblable ! Elle explique bien des
choses. Bon sang !
http://www.rense.com/general96/dutch.html
Par Yoitchi Shimatsu
http://www.rense.com/general96/dutch.html
En ces moments, quelques
heures seulement après l'accident
mystérieux du MH17, il faut
envisager l'inenvisageable. Un
enquêteur va où le mènent les
preuves et, pour l'instant, les
preuves tirées du lieu du crash
indiquent un scénario infernal,
au-delà de l'imaginable.
En plus des presque 300 passagers
présents à bord du malheureux
avion des Malaysian Airlines,
la soute de l'avion contenaient
des dizaines de cadavres infectés,
privés de leur sang et
d'innombrables poches de sérum
sanguins, peut-être contaminées
par un virus, selon les témoins
oculaires les premiers arrivés sur
le lieu du crash, situé dans la
région de Donetsk, le long de la
zone-frontière russo-ukrainienne.
Cette découverte
atroce évoque de manière
irréfutable une manipulation
malthusienne au plus haut niveau
de l'Organisation Mondiale pour la
Santé (OMS), dans son parrainage
d'un programme secret de guerre
biologique dont est victime la
population de l'Asie. Il est
maintenant nécessaire de procéder
à une enquête systématique pour
exposer le plus meurtrier complot
contre l'humanité de l'Histoire
moderne. Le résultat le plus
prévisible, malheureusement, sera
probablement une dissimulation à
une échelle sans précédent
destinée à protéger l'élite
mondialiste d'un examen attentif,
de poursuites légales et de la
justice.
La violation
flagrante des lois internationales
liées au transport d'agents
infectés révèle l'intention
criminelle de les utiliser à
l'arrivée. L'IATA, l'organisme de
surveillance des transports
aériens, contrôle strictement
l'application des règles du
transit de cadavres et de matières
infectieuses, à cause des risques
de déversements accidentels ou de
guerre biologique délibérée. L'OMS
impose également des règles de
déclaration très strictes
concernant le transfert de
matériels entre laboratoires, et
elle est maintenant prise en
flagrant délit de violation de ses
propres règles.
L'oubli notoire --
au cours du passage en douane à
l'Aéroport d'Amsterdam-Schiphol,
contrôlé par les Israéliens, en
plus de l'OMS et de l'IATA --
d'avertir des risques
d'épidémie les équipes
d'urgence et les enquêteurs
présents sur les lieux du crash,
prouve que l'effroyable cargaison
était transportée illégalement et
sans documents écrits. L'ONU et
L'OMS sont directement impliquées
dans ce transfert secret d'armes
biologiques dans la soute,
accompagnées en cabine passagers
d'une centaine de leurs meilleurs
chercheurs spécialistes des virus,
personnels et ONG partenaires.
Plaignez les
premiers intervenants !
Igor Girson, le
commandant des rebelles, connu
sous le nom de guerre de Strelkov,
a, selon Associated Press,
rapporté que les villageois de
l'endroit qui se sont précipités
sur les lieux du crash ont trouvé
qu'"un nombre non négligeable de
corps n'étaient pas de première
fraîcheur". Les premiers
intervenants ont également signalé
que les cadavres avaient été vidés
de leur sang et sentaient la
décomposition.
Est-il possible que
les cadavres aient été transportés
par avion pour de simples cours
d'anatomie ? C'est une question de
néophyte. Payer le transport
aérien de corps en Asie, c'est
porter de l'eau à la rivière. On
ne manque pas de macchabées sur
glace en provenance des
Philippines, entre autres. Vidés
de leur sang et sentant la mort,
ces cadavres ne peuvent être que
porteurs d'une maladie
infectieuse.
Des cadavres
décomposés et du sang souillé en
contact avec le vent, le sol et
les nappes phréatiques, posent
actuellement une menace évidente
pour la santé publique de millions
de gens en Ukraine, en Russie
occidentale et dans les pays de la
Mer Noire, dont la Moldavie, la
Turquie et même la Grèce. Il faut
en avertir officiellement toute la
région, mais rien n'est prévu, pas
quand l'OMS est concernée et que
ses cadres, les parrains élitistes
cachés du génocide, se dépêchent
de se réfugier derrière leur
respectabilité. Ces vauriens
dissimulés au sein de la
bureaucratie médicale sont bien
pires que les criminels de guerre
ordinaires.
A un
cheveu du pire
Dans le pire des
scénarios, et pour l'instant les
faits indiquent que nous en sommes
à un cheveu, le crash du MH17 en
zone frontalière russo-ukrainienne
aurait pu être le point de départ
d'une vraie Guerre Mondiale Z. Inversement,
abattre cet avion pourrait se
révéler un acte héroïque tordu,
une frappe de la dernière
chance destinée à empêcher une
guerre biologique
mondiale.
Il est logique de se
demander si le transport de
cadavres infectés et de sang
contaminé vers des pays d'accueil,
peut être une caractéristique
normale des congrès de l'ONUSIDA.
En tant que journaliste en science
médicale travaillant pour la
maison d'édition de l'Université
de Hong Kong (Hong Kong University
press), j'ai couvert en détail
l'ONUSIDA 2001, qui s'était
déroulé dans cette ville, et
visité les plus grands
laboratoires universitaires de
recherche. Je peux certifier que
la procédure en place ne
permettait pas d'obtenir des corps
ni des échantillons de sang, et
que les procédures conservatoires
liées au partage d'échantillons
extrêmement limités, étaient
toujours suivies à la lettre.
L'OMS
transportait ses passagers
"zombies" dans un but criminel,
très vraisemblablement un
génocide à grande échelle,
peut-être à l'échelle d'un
continent. Les cadavres vidés de
sang évoquent les films
d'horreur, mais ce cauchemar est
originaire d'un des aéroports
les plus fréquentés de l'Europe
dite "civilisée", un aéroport
contrôlé par ITCS, une
entreprise de sécurité liée dès
le départ au Mossad israélien.
Des scientifiques
fous de nouveau soutenus par la
hiérarchie
Une source
d'inquiétude, apparue très tôt
dans l'enquête, c'est le fait que
les Pays-Bas, point de départ du
vol MH 17, est le centre de
conception de virus militarisés
sous les ordres de Ron Fouchier,
l'associé en recherche le plus
proche du tristement célèbre
expert japonais de la grippe,
Yoshihiro Kawaoka. Le centre de
recherche sur la grippe de
l'Université de Médecine Erasme, à
Rotterdam, est le frère du
laboratoire de l'Institut de
Recherche Virale Infectieuse de
Kawaoka, de l'Université du
Wisconsin, à Madison.
Les recherches
pseudo-scientifiques de ce duo
mortel comprennent le
"perfectionnement" d'un virus de
la grippe espagnole qui a tué 20
millions de gens de par le monde
en 1918-1919. Kawaoka s'est
récemment vanté du fait que rien
ne peut arrêter sa variante la
plus récente du H5N1, le virus de
la grippe aviaire. Les disciples
fanatiques de Fouchier,
entre-temps, ont transformé en
arme le virus H7N9 de la grippe
aviaire qui a tué plus de 40
personnes en Chine. (La
militarisation implique trois
objectifs. Tout d'abord,
d'augmenter la capacité d'un virus
à se répandre, c'est-à-dire à être
plus contagieux ; deuxièmement,
d'augmenter sa capacité à tuer ;
et troisièmement, de développer un
antidote, seulement disponible
pour les rares élus.)
Kawaoka et Fouchier
ne sont pas des scientifiques fous
et marginaux, ce sont des
chercheurs accrédités disposant de
puissants soutiens financiers. Il
y a deux ans, les deux
laboratoires jumeaux ont bénéficié
d'une très forte augmentation de
leur financement, de la part de
sources non-identifiées, transféré
via des budgets ministériels,
malgré l'opposition bruyante
d'autres scientifiques concernant
la présence de risques
incontrôlables.
Parmi les mécènes de
ces recherches mortifères figurent
Anton Van Rossum, le président du
conseil d'administration de
l'Université Erasmus et ancien
cadre de Solvay, l'entreprise
chimique belge qui a illégalement
expédié, par un avion
de la compagnie El Al qui s'est
écrasé à Amsterdam, des
composants du gaz sarin pour le
programme israélien de guerre
biologique. Le vol El Al a percuté
un immeuble résidentiel bondé, peu
après avoir décollé de l'aéroport
de Schiphol, qui se trouve aussi
être le point de départ du vol
MH17.
A bord de ce vol El
Al se trouvait la cargaison d'une
arme biologique à base d'ARN
connue sous le nom de mycoplasme,
qui se reproduit en milieu aqueux
(par exemple dans des poumons
humains), et dont on soupçonne
qu'elle a été utilisée contre
l'Irak au cours des deux guerres
du Golfe. Les armes biologiques,
Solvay, les Israéliens, Schiphol,
[la firme de sécurité israélienne
basée aux Pays-Bas] ICTS, et
Boeing sont les dénominateurs
communs existant entre le crash de
l'avion d'El Al en 1992 et la
catastrophe en 2014 de l'avion des
Malaysia Airlines.
Une action
préventive au coût tragique
Si le monde est
encore capable de croire aux
"héros à la brillante armure", ou
du moins aux méchants possédant un
minimum de bon sens sous leur
chapeau noir, un
scénario-catastrophe de type
hollywoodien apparaît derrière cet
événement à l'allure de film
d'action. Avant que la cargaison
de zombies s'échappe d'Europe pour
donner le coup d'envoi à la Guerre
mondiale Z en Asie, les généraux
les plus étoilés de l'OTAN et du
haut-commandement russe décident
que ce chargement doit être stoppé
à tout prix. Pour
tragique que soit la mort
des passagers, il faut empêcher la
perte de milliards de vies
humaines dans une pandémie
mondiale impossible à
enrayer.
De fait, une analyse
indépendante des clips vidéo du
lieu du crash, effectuée par un
expert dans le domaine, retraité
de la CIA, confirme un scénario du
type suivant :
- le fuselage
métallique du Boeing 777 ne
présente aucune trace de longues
griffures profondes causées par
les billes d'acier d'une ogive de
missile sol-air Buk ;
- le réacteur
tribord (de droite) a été
fortement endommagé et a pris feu,
laissant supposer qu'il a été
touché par un missile air-air plus
petit, lancé par un chasseur
d'interception évoluant à peu près
à la même altitude ;
- le ventre de
l'avion a "explosé, et non
implosé", indiquant qu'une bombe
avait éclaté dans la soute.
L'ensemble des
observations de l'expert montre
qu'un intercepteur de l'OTAN a
tiré un missile à guidage
thermique sur un des moteurs, ce
qui a déclenché un incendie. Les
flammes étaient censées suivre
les conduits d'alimentation en
carburant situés dans l'aile,
mettre le feu à l'appareil
et carboniser tout son contenu,
en particulier les corps
infectés et les poches de sang.
Le plan de
désinfection aérien a été
contrarié lorsqu'une bombe
dissimulée par les Israéliens dans
la soute, et qui devait exploser à
l'aéroport international de Kuala
Lumpur (KLIA) afin de répandre les
agents de guerre biologique une
fois les passagers débarqués sans
encombre, a en fait chauffé et
explosé en vol. Le souffle de la
bombe a éteint le feu qui brûlait
à bord avant que la cargaison soit
incendiée. L'avion a plongé vers
le sol, les agents de guerre
biologiques et les cadavres encore
intacts.
Les commandements
militaires du monde entier
redoutent la guerre biologique
Le président
Vladimir Poutine, contrairement à
son habitude, n'a pas réagi
violemment lorsque la Russie a été
accusée d'avoir abattu l'avion,
indiquant que les commandements
militaires de l'OTAN et de la
Russie partagent la même volonté
de bloquer toute attaque
biologique contre la
population mondiale,
inspirée par Israël et relayée par
l'OMS. En plus du problème
de la décontamination, se pose la
question de traquer et de punir
les instigateurs et les exécutants
qui ne se trouvaient pas à bord du
vol MH17.
Le camp ukrainien,
qui manque du professionnalisme
dans le domaine du
renseignement nécessaire à ce type
d'alertes rouges, se sont
contredits sur leur version des
événements et ont maladroitement
imposé le silence-radio à la tour
de contrôle de l'aéroport de Kiev.
Empêcher un génocide à l'échelle
mondiale n'est pas un travail pour
Louveteaux désireux de protéger
leurs petits intérêts nationaux.
Les puissances impérialistes sont
beaucoup plus malignes dans ce jeu
létal, ce qui explique pourquoi
elles sont devenues des empires et
des nations.
La menace de Guerre
mondiale Z existe toujours,
surtout quand les Russes et les
Ukrainiens sont exposés à des
virus lâchés dans la nature, qui
défient tout vaccin. Il faudrait
que des experts spécialistes de la
guerre biologique, vêtus de
combinaisons de sécurité,
rassemblent les preuves et
carbonisent les corps dans un
incinérateur mobile à plasma.
Avant la fin du nettoyage,
l'Ukraine orientale pourrait se
retrouver aussi inhabitée que le
centre du Congo après
l'élimination de tous les porteurs
potentiels du virus Ébola par les
équipes de l'OMS.
Le Mal
n'abandonne jamais
La population
mondiale ignore pratiquement la
présence de stratèges bien
dissimulés qui planifient et
ordonnent l'annihilation de région
entières, comme c'est arrivé avec
la campagne anti-Ébola
et anti-Sida en Afrique Centrale,
ou avec la diffusion de sang de
facteur VIII contaminé par le VIH
pendant la guerre des Balkans et
au Japon, sous les administrations
Clinton et Bush. Cet été un nouvel
attentat biologique flagrant a
failli de peu exterminer les
Malaisiens et des millions
d'autres Asiatiques.
La guerre à
l'échelle mondiale ne se dispute
plus dans des tranchées, mais dans
les laboratoires, les aéroports,
les centres-villes, les hôpitaux,
les foyers de personnes âgées, et
les écoles. Ça ne s'appelle pas de
la guerre totale, mais simplement
une politique mondiale.
Incidemment, il faut remarquer que
le professeur Kawaoka est diplômé
de l'Université de Kobe, et que
cette ville portuaire est
traditionnellement le centre des
anciens combattants de l'Unité 731
qui, au cours de la Deuxième
Guerre mondiale, a lâché la peste
et le virus Hanta sur des villes
entières. L'OMS est le successeur
de l'Unité 731, et la Guerre
mondiale Z est sur nous.
Yoichi
Shimatsu est un écrivain
scientifique, qui a organisé à
Hong Kong et Bangkok des
séminaires sur la santé publique
au cours des éruptions de SRAS
et de grippe aviaire. Il fut le
principal journaliste
d'investigation lors de
l'attentat au gaz dans le métro
de Tokyo en 1995 et des menaces
terroristes ultérieures visant
les réacteurs nucléaires
japonais. Son article sur le
crash à Amsterdam d'un
gros-porteur d'El Al chargé
d'armes biologiques, de sarin et
de plutonium à usage militaire
peut être trouvé
ci-après."
Gardez à l'esprit le
vaillant combat, en 2009, de Jane
Bürgermeister contre la "pandémie
H5N1", causée par un vaccin sponsorisé
par l'OMS. Elle avait raison. (Si elle
s'était trompée, nous serions tous
morts de cette horrible pandémie - qui
n'a jamais eu lieu - pas vrai ?)
La théorie impliquant Shimatsu est
tordue juste ce qu'il faut pour
qu'elle soit logique. Bon sang !
Cordialement,
Selene
|
Administrateur
|
Un avion malaisien
abattu avec 295 personnes à bord. Mais par qui
?
 Posté par
Cidersomerset (ici)
suite....
Le ministre de l'Intérieur
ukrainien est-il impliqué dans
le crash du MH17 des Malaysian
Airlines ?
"Une division de systèmes de
missiles Buk des forces armées
ukrainiennes a été déployée le 15
juillet, selon la Pravda,
vers l'oblast de Donetsk, deux
jours avant que le vol MH17 des
Malaysian Airlines soit abattu. Le
système de missiles Buk a la
capacité d'abattre un avion volant
à une altitude de 35.000 pieds
(env. 10.500 m).
Alors que le reportage de la
Pravda mérite
confirmation, des sources en
provenance de la Défense Russe
confirment la présence de
plusieurs batteries de missiles
dans l'oblast de Donetsk,
commandées par les forces
ukrainiennes (...)
(...) Élément important, le
procureur général de l'Ukraine,
Vitaly Yarema, a confirmé que les
rebelles du Donetsk ne disposaient
pas de Buk, ni de missiles sol-air
capables d'abattre l'avion."
Pour en savoir plus...
http://www.globalresearch.ca/was-ukr...s-mh17/5391909
Essayer de comprendre ce qui s'est
réellement passé à propos d'un événement qui
fait l'objet de tant de propagande est
toujours difficile, dans la mesure où tous
ces reportages divers et contradictoires, ou
tous sauf un, sont vraiment faux, souvent de
manière délibérée.
Ceci dit, le reportage de Global
Research ci-dessus (dont le site
jumeau, en français, est Mondialisation.ca
- Ndt), est néanmoins le plus plausible de
ceux que j'ai lus jusqu'à présent sur la
façon dont le MH17 a été abattu.
Ce reportage affirme que le gouvernement
ukrainien de Kiev (mais pas les
"séparatistes russes") possédaient
effectivement les missiles sol-air Buk
utilisés pour abattre l'avion, qu'il a forcé
le vol MH17 à se dérouter et à se retrouver
à portée de leurs batteries de missiles, en
faisant appel à une escorte de chasseurs, et
qu'il était au courant de la chute de
l'avion presque au moment où les aiguilleurs
du ciel en ont perdu le contact.
Qui plus est, soit le gouvernement de Kiev,
soit les salauds qui les contrôlent (un
mélange quelconque de Cabale criminelle de
Bush et/ou de Sionistes Mondiaux, ces
derniers ayant envahi la bande de Gaza
quelques heures plus tard), avaient de
bonnes raisons de "tirer profit" d'un avion
de ligne commercial européen abattu
au-dessus de l'Ukraine orientale
("séparatiste") par des missiles russes. Par
ailleurs, ni les Russes, ni les
"séparatistes", n'ont bénéficié de
l'événement, et ni les uns ni les autres ne
disposaient des moyens nécessaires (c.-à-d.
du contrôle des lanceurs de Buk en Ukraine
orientale).
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