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    Un avion malaisien abattu avec 295 personnes à bord. Mais par qui ?

Ces pages du Forum de Project Avalon sont, sauf indication contraire, traduites par The Avalon Translation Project.

Message N°328     20 juillet 2014  (Pour l'original, voir ici.)    

Virgin Islands
Membre d'Avalon Selene's Avatar
Default Un avion malaisien abattu avec 295 personnes à bord. Mais par qui ?

A-t-il été abattu afin de tenter d'arrêter un début de guerre biologique au niveau mondial ?

Doux Jésus ! J'aimerais que la théorie (citée ci-dessous) ne soit pas aussi vraisemblable ! Elle explique bien des choses. Bon sang !

http://www.rense.com/general96/dutch.html
Quote
Par Yoitchi Shimatsu http://www.rense.com/general96/dutch.html

En ces moments, quelques heures seulement après l'accident mystérieux du MH17, il faut envisager l'inenvisageable. Un enquêteur va où le mènent les preuves et, pour l'instant, les preuves tirées du lieu du crash indiquent un scénario infernal, au-delà de l'imaginable.


En plus des presque 300 passagers présents à bord du malheureux avion des Malaysian Airlines
, la soute de l'avion contenaient des dizaines de cadavres infectés, privés de leur sang et d'innombrables poches de sérum sanguins, peut-être contaminées par un virus, selon les témoins oculaires les premiers arrivés sur le lieu du crash, situé dans la région de Donetsk, le long de la zone-frontière russo-ukrainienne.

Cette découverte atroce évoque de manière irréfutable une manipulation malthusienne au plus haut niveau de l'Organisation Mondiale pour la Santé (OMS), dans son parrainage d'un programme secret de guerre biologique dont est victime la population de l'Asie. Il est maintenant nécessaire de procéder à une enquête systématique pour exposer le plus meurtrier complot contre l'humanité de l'Histoire moderne. Le résultat le plus prévisible, malheureusement, sera probablement une dissimulation à une échelle sans précédent destinée à protéger l'élite mondialiste d'un examen attentif, de poursuites légales et de la justice.

La violation flagrante des lois internationales liées au transport d'agents infectés révèle l'intention criminelle de les utiliser à l'arrivée. L'IATA, l'organisme de surveillance des transports aériens, contrôle strictement l'application des règles du transit de cadavres et de matières infectieuses, à cause des risques de déversements accidentels ou de guerre biologique délibérée. L'OMS impose également des règles de déclaration très strictes concernant le transfert de matériels entre laboratoires, et elle est maintenant prise en flagrant délit de violation de ses propres règles.

L'oubli notoire -- au cours du passage en douane à l'Aéroport d'Amsterdam-Schiphol, contrôlé par les Israéliens, en plus de l'OMS et de l'IATA -- d'avertir des risques d'épidémie les équipes d'urgence et les enquêteurs présents sur les lieux du crash, prouve que l'effroyable cargaison était transportée illégalement et sans documents écrits. L'ONU et L'OMS sont directement impliquées dans ce transfert secret d'armes biologiques dans la soute, accompagnées en cabine passagers d'une centaine de leurs meilleurs chercheurs spécialistes des virus, personnels et ONG partenaires.

Plaignez les premiers intervenants !

Igor Girson, le commandant des rebelles, connu sous le nom de guerre de Strelkov, a, selon Associated Press, rapporté que les villageois de l'endroit qui se sont précipités sur les lieux du crash ont trouvé qu'"un nombre non négligeable de corps n'étaient pas de première fraîcheur". Les premiers intervenants ont également signalé que les cadavres avaient été vidés de leur sang et sentaient la décomposition.

Est-il possible que les cadavres aient été transportés par avion pour de simples cours d'anatomie ? C'est une question de néophyte. Payer le transport aérien de corps en Asie, c'est porter de l'eau à la rivière. On ne manque pas de macchabées sur glace en provenance des Philippines, entre autres. Vidés de leur sang et sentant la mort, ces cadavres ne peuvent être que porteurs d'une maladie infectieuse. 

Des cadavres décomposés et du sang souillé en contact avec le vent, le sol et les nappes phréatiques, posent actuellement une menace évidente pour la santé publique de millions de gens en Ukraine, en Russie occidentale et dans les pays de la Mer Noire, dont la Moldavie, la Turquie et même la Grèce. Il faut en avertir officiellement toute la région, mais rien n'est prévu, pas quand l'OMS est concernée et que ses cadres, les parrains élitistes cachés du génocide, se dépêchent de se réfugier derrière leur respectabilité. Ces vauriens dissimulés au sein de la bureaucratie médicale sont bien pires que les criminels de guerre ordinaires.

A un cheveu du pire

Dans le pire des scénarios, et pour l'instant les faits indiquent que nous en sommes à un cheveu, le crash du MH17 en zone frontalière russo-ukrainienne aurait pu être le point de départ d'une vraie Guerre Mondiale Z. Inversement, abattre cet avion pourrait se révéler un acte héroïque tordu, une frappe de la dernière chance destinée à empêcher une guerre biologique mondiale. 

Il est logique de se demander si le transport de cadavres infectés et de sang contaminé vers des pays d'accueil, peut être une caractéristique normale des congrès de l'ONUSIDA. En tant que journaliste en science médicale travaillant pour la maison d'édition de l'Université de Hong Kong (Hong Kong University press), j'ai couvert en détail l'ONUSIDA 2001, qui s'était déroulé dans cette ville, et visité les plus grands laboratoires universitaires de recherche. Je peux certifier que la procédure en place ne permettait pas d'obtenir des corps ni des échantillons de sang, et que les procédures conservatoires liées au partage d'échantillons extrêmement limités, étaient toujours suivies à la lettre.

L'OMS transportait ses passagers "zombies" dans un but criminel, très vraisemblablement un génocide à grande échelle, peut-être à l'échelle d'un continent. Les cadavres vidés de sang évoquent les films d'horreur, mais ce cauchemar est originaire d'un des aéroports les plus fréquentés de l'Europe dite "civilisée", un aéroport contrôlé par ITCS, une entreprise de sécurité liée dès le départ au Mossad israélien.

Des scientifiques fous de nouveau soutenus par la hiérarchie

Une source d'inquiétude, apparue très tôt dans l'enquête, c'est le fait que les Pays-Bas, point de départ du vol MH 17, est le centre de conception de virus militarisés sous les ordres de Ron Fouchier, l'associé en recherche le plus proche du tristement célèbre expert japonais de la grippe, Yoshihiro Kawaoka. Le centre de recherche sur la grippe de l'Université de Médecine Erasme, à Rotterdam, est le frère du laboratoire de l'Institut de Recherche Virale Infectieuse de Kawaoka, de l'Université du Wisconsin, à Madison.

Les recherches pseudo-scientifiques de ce duo mortel comprennent le "perfectionnement" d'un virus de la grippe espagnole qui a tué 20 millions de gens de par le monde en 1918-1919. Kawaoka s'est récemment vanté du fait que rien ne peut arrêter sa variante la plus récente du H5N1, le virus de la grippe aviaire. Les disciples fanatiques de Fouchier, entre-temps, ont transformé en arme le virus H7N9 de la grippe aviaire qui a tué plus de 40 personnes en Chine. (La militarisation implique trois objectifs. Tout d'abord, d'augmenter la capacité d'un virus à se répandre, c'est-à-dire à être plus contagieux ; deuxièmement, d'augmenter sa capacité à tuer ; et troisièmement, de développer un antidote, seulement disponible pour les rares élus.)

Kawaoka et Fouchier ne sont pas des scientifiques fous et marginaux, ce sont des chercheurs accrédités disposant de puissants soutiens financiers. Il y a deux ans, les deux laboratoires jumeaux ont bénéficié d'une très forte augmentation de leur financement, de la part de sources non-identifiées, transféré via des budgets ministériels, malgré l'opposition bruyante d'autres scientifiques concernant la présence de risques incontrôlables.

Parmi les mécènes de ces recherches mortifères figurent Anton Van Rossum, le président du conseil d'administration de l'Université Erasmus et ancien cadre de Solvay, l'entreprise chimique belge qui a illégalement expédié, par un avion de la compagnie El Al qui s'est écrasé à Amsterdam, des composants du gaz sarin pour le programme israélien de guerre biologique. Le vol El Al a percuté un immeuble résidentiel bondé, peu après avoir décollé de l'aéroport de Schiphol, qui se trouve aussi être le point de départ du vol MH17.

A bord de ce vol El Al se trouvait la cargaison d'une arme biologique à base d'ARN connue sous le nom de mycoplasme, qui se reproduit en milieu aqueux (par exemple dans des poumons humains), et dont on soupçonne qu'elle a été utilisée contre l'Irak au cours des deux guerres du Golfe. Les armes biologiques, Solvay, les Israéliens, Schiphol, [la firme de sécurité israélienne basée aux Pays-Bas] ICTS, et Boeing sont les dénominateurs communs existant entre le crash de l'avion d'El Al en 1992 et la catastrophe en 2014 de l'avion des Malaysia Airlines. 

Une action préventive au coût tragique

Si le monde est encore capable de croire aux "héros à la brillante armure", ou du moins aux méchants possédant un minimum de bon sens sous leur chapeau noir, un scénario-catastrophe de type hollywoodien apparaît derrière cet événement à l'allure de film d'action. Avant que la cargaison de zombies s'échappe d'Europe pour donner le coup d'envoi à la Guerre mondiale Z en Asie, les généraux les plus étoilés de l'OTAN et du haut-commandement russe décident que ce chargement doit être stoppé à tout prix. Pour tragique que soit la mort des passagers, il faut empêcher la perte de milliards de vies humaines dans une pandémie mondiale impossible à enrayer. 

De fait, une analyse indépendante des clips vidéo du lieu du crash, effectuée par un expert dans le domaine, retraité de la CIA, confirme un scénario du type suivant : 

- le fuselage métallique du Boeing 777 ne présente aucune trace de longues griffures profondes causées par les billes d'acier d'une ogive de missile sol-air Buk ;

- le réacteur tribord (de droite) a été fortement endommagé et a pris feu, laissant supposer qu'il a été touché par un missile air-air plus petit, lancé par un chasseur d'interception évoluant à peu près à la même altitude ;

- le ventre de l'avion a "explosé, et non implosé", indiquant qu'une bombe avait éclaté dans la soute.

L'ensemble des observations de l'expert montre qu'un intercepteur de l'OTAN a tiré un missile à guidage thermique sur un des moteurs, ce qui a déclenché un incendie. Les flammes étaient censées suivre les conduits d'alimentation en carburant situés dans l'aile, mettre le feu à l'appareil et carboniser tout son contenu, en particulier les corps infectés et les poches de sang.

Le plan de désinfection aérien a été contrarié lorsqu'une bombe dissimulée par les Israéliens dans la soute, et qui devait exploser à l'aéroport international de Kuala Lumpur (KLIA) afin de répandre les agents de guerre biologique une fois les passagers débarqués sans encombre, a en fait chauffé et explosé en vol. Le souffle de la bombe a éteint le feu qui brûlait à bord avant que la cargaison soit incendiée. L'avion a plongé vers le sol, les agents de guerre biologiques et les cadavres encore intacts.

Les commandements militaires du monde entier redoutent la guerre biologique

Le président Vladimir Poutine, contrairement à son habitude, n'a pas réagi violemment lorsque la Russie a été accusée d'avoir abattu l'avion, indiquant que les commandements militaires de l'OTAN et de la Russie partagent la même volonté de bloquer toute attaque biologique contre la population mondiale, inspirée par Israël et relayée par l'OMS.  En plus du problème de la décontamination, se pose la question de traquer et de punir les instigateurs et les exécutants qui ne se trouvaient pas à bord du vol MH17.

Le camp ukrainien, qui manque du professionnalisme dans le domaine  du renseignement nécessaire à ce type d'alertes rouges, se sont contredits sur leur version des événements et ont maladroitement imposé le silence-radio à la tour de contrôle de l'aéroport de Kiev. Empêcher un génocide à l'échelle mondiale n'est pas un travail pour Louveteaux désireux de protéger leurs petits intérêts nationaux. Les puissances impérialistes sont beaucoup plus malignes dans ce jeu létal, ce qui explique pourquoi elles sont devenues des empires et des nations.

La menace de Guerre mondiale Z existe toujours, surtout quand les Russes et les Ukrainiens sont exposés à des virus lâchés dans la nature, qui défient tout vaccin. Il faudrait que des experts spécialistes de la guerre biologique, vêtus de combinaisons de sécurité, rassemblent les preuves et carbonisent les corps dans un incinérateur mobile à plasma. Avant la fin du nettoyage, l'Ukraine orientale pourrait se retrouver aussi inhabitée que le centre du Congo après l'élimination de tous les porteurs potentiels du virus Ébola par les équipes de l'OMS.

Le Mal n'abandonne jamais

La population mondiale ignore pratiquement la présence de stratèges bien dissimulés qui planifient et ordonnent l'annihilation de région entières, comme c'est arrivé avec la campagne anti-Ébola et anti-Sida en Afrique Centrale, ou avec la diffusion de sang de facteur VIII contaminé par le VIH pendant la guerre des Balkans et au Japon, sous les administrations Clinton et Bush. Cet été un nouvel attentat biologique flagrant a failli de peu exterminer les Malaisiens et des millions d'autres Asiatiques.

La guerre à l'échelle mondiale ne se dispute plus dans des tranchées, mais dans les laboratoires, les aéroports, les centres-villes, les hôpitaux, les foyers de personnes âgées, et les écoles. Ça ne s'appelle pas de la guerre totale, mais simplement une politique mondiale. Incidemment, il faut remarquer que le professeur Kawaoka est diplômé de l'Université de Kobe, et que cette ville portuaire est traditionnellement le centre des anciens combattants de l'Unité 731 qui, au cours de la Deuxième Guerre mondiale, a lâché la peste et le virus Hanta sur des villes entières. L'OMS est le successeur de l'Unité 731, et la Guerre mondiale Z est sur nous.

Yoichi Shimatsu est un écrivain scientifique, qui a organisé à Hong Kong et Bangkok des séminaires sur la santé publique au cours des éruptions de SRAS et de grippe aviaire. Il fut le principal journaliste d'investigation lors de l'attentat au gaz dans le métro de Tokyo en 1995 et des menaces terroristes ultérieures visant les réacteurs nucléaires japonais. Son article sur le crash à Amsterdam d'un gros-porteur d'El Al chargé d'armes biologiques, de sarin et de plutonium à usage militaire peut être trouvé ci-après." 

Gardez à l'esprit le vaillant combat, en 2009, de Jane Bürgermeister contre la "pandémie H5N1", causée par un vaccin sponsorisé par l'OMS. Elle avait raison. (Si elle s'était trompée, nous serions tous morts de cette horrible pandémie - qui n'a jamais eu lieu - pas vrai ?)

La théorie impliquant Shimatsu est tordue juste ce qu'il faut pour qu'elle soit logique. Bon sang !

Cordialement,

Selene





Message N°336     20 juillet 2014  (Pour l'original, voir ici.)   

United States Administrateur Paul's Avatar
Default Un avion malaisien abattu avec 295 personnes à bord. Mais par qui ?


Quote Posté par Cidersomerset (ici)
suite....



Le ministre de l'Intérieur ukrainien est-il impliqué dans le crash du MH17 des Malaysian Airlines ?




"Une division de systèmes de missiles Buk des forces armées ukrainiennes a été déployée le 15 juillet, selon la Pravda, vers l'oblast de Donetsk, deux jours avant que le vol MH17 des Malaysian Airlines soit abattu. Le système de missiles Buk a la capacité d'abattre un avion volant à une altitude de 35.000 pieds (env. 10.500 m).

Alors que le reportage de la Pravda mérite confirmation, des sources en provenance de la Défense Russe confirment la présence de plusieurs batteries de missiles dans l'oblast de Donetsk, commandées par les forces ukrainiennes (...)

(...) Élément important, le procureur général de l'Ukraine, Vitaly Yarema, a confirmé que les rebelles du Donetsk ne disposaient pas de Buk, ni de missiles sol-air capables d'abattre l'avion."

Pour en savoir plus...

http://www.globalresearch.ca/was-ukr...s-mh17/5391909

Essayer de comprendre ce qui s'est réellement passé à propos d'un événement qui fait l'objet de tant de propagande est toujours difficile, dans la mesure où tous ces reportages divers et contradictoires, ou tous sauf un, sont vraiment faux, souvent de manière délibérée.

Ceci dit, le reportage de Global Research ci-dessus (dont le site jumeau, en français, est Mondialisation.ca - Ndt), est néanmoins le plus plausible de ceux que j'ai lus jusqu'à présent sur la façon dont le MH17 a été abattu.

Ce reportage affirme que le gouvernement ukrainien de Kiev (mais pas les "séparatistes russes") possédaient effectivement les missiles sol-air Buk utilisés pour abattre l'avion, qu'il a forcé le vol MH17 à se dérouter et à se retrouver à portée de leurs batteries de missiles, en faisant appel à une escorte de chasseurs, et qu'il était au courant de la chute de l'avion presque au moment où les aiguilleurs du ciel en ont perdu le contact.

Qui plus est, soit le gouvernement de Kiev, soit les salauds qui les contrôlent (un mélange quelconque de Cabale criminelle de Bush et/ou de Sionistes Mondiaux, ces derniers ayant envahi la bande de Gaza quelques heures plus tard), avaient de bonnes raisons de "tirer profit" d'un avion de ligne commercial européen abattu au-dessus de l'Ukraine orientale ("séparatiste") par des missiles russes. Par ailleurs, ni les Russes, ni les "séparatistes", n'ont bénéficié de l'événement, et ni les uns ni les autres ne disposaient des moyens nécessaires (c.-à-d. du contrôle des lanceurs de Buk en Ukraine orientale).







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