| Le Dr. Andrew Wakefield parle de son étude "discréditée"
(31/08/16 et autres interviews)
Publié le 31 août 2016
Interview de Del Bigtree, de Polly Tommy et de Sheila Ealey.
Source : http://bit.ly/2c9Kdd8
[Traduction de l'interview : Mère : ...mon fils aîné, Ian, marchait et courait, mais après le vaccin, il ne pouvait plus le faire... Sheila Ealey : ...J'ai donc appelé la clinique et je leur ai dit : "Je pense que mon fils a fait une réaction négative à ces injections...Polly Tommy : ...Puis il a commencé à se taper la tête, à se taper la tête constamment contre tout ce qu'il pouvait trouver... Alanna Sarabia : Il s'agit d'un documentaire prêtant à controverse, qui s'appelle "Vaxxed", et qui se concentre principalement sur le lien entre vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et autisme. Le sujet de l'autisme et des vaccins est âprement débattu ou du moins l'a été dans Vaxxed, qui a pris la route pour faire passer son message. Dans son actuel tour de l'Amérique en bus, il a fait halte à Dallas pour rencontrer des familles et pour chercher du soutien. Le producteur du film, Del Bigtree, est avec nous ce matin, de même que la mère (...) et coproductrice Polly Tommy, et Sheila Ealey, la mère (...). Merci à vous tous d'être ici ce matin. Del Bigtree : Merci de nous avoir invités. Alanna Sarabia : Je devrais mentionner que vous avez en fait renoncé à une importante situation comme producteur médical d'une émission très diffusée qui a remporté plusieurs prix, The Doctors, pour produire Vaxxed. Et donc, pourquoi aviez-vous vraiment besoin de faire ce film ? Del Bigtree : Eh, bien, vous savez, quand vous travaillez à une émission, une grande émission comme celle-là, vous faites l'éloge de ce que la médecine offre de mieux, des meilleurs médecins, et tout ça concerne la santé des gens et celle des enfants. Et un jour je tombe sur cette histoire, où un dénonciateur appartenant au Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), le Dr. William Thomson, un des scientifiques les plus renommés du CDC, se manifeste pour dire qu'ils ont commis des fraudes scientifiques concernant l'étude du vaccin ROR. Il dit en gros qu'ils savent que ce vaccin provoque l'autisme, qu'ils ont caché les faits, éliminé les données, détruit leurs disques durs et caché tout ça aux gens. Voilà de quoi parle ce film. Je dirais que c'est la pire fraude scientifique de l'histoire du monde. Nos enfants courent des risques, et j'ai donc tout laissé tomber pour essayer de faire parvenir cette histoire aux parents et aux autres gens. Je suis moi-même parent, et il faut que nous sachions ce qui se passe ici. Alanna Sarabia : Sur l'Internet vous avez mentionné que c'était le vaccin ROR la cause de l'inquiétude. Del Bigtree : C'est là-dessus que porte le film. C'est l'étude à laquelle a participé le scientifique, le Dr. William Thompson. Car non seulement, il l'a affirmé, mais il l'a étayé par 10.000 documents, dont des e-mails internes, où nous le voyons se plaindre du mensonge en cours. Tout ça fait partie de notre film. Alannia Sarabica : OK. Le film porte de graves accusations et prédictions pour l'avenir. Regardons : Dr. Jim Sears, pédiatre : Tout ce que j'ai raconté à mes patients ces dix dernières années repose sur un mensonge et une dissimulation.
Bill Posey, député républicain de Floride : Les parents devraient pouvoir compter sur les agences fédérales pour savoir la vérité.
Doreen Grandpeesh[...], fondatrice du Centre pour l'autisme et maladies similaires : En 1978, la fréquence de l'autisme était d'environ un enfant sur 15.000.
Dr. Stephanie SENEFF, PhD, responsable scientifique, chercheuse au MIT : Si nous partons du principe que les choses vont continuer ainsi, nous pouvons prédire qu'en 2032, 80 % des garçons nés [cette année-là] vont finir dans le spectre autistique.
Alanna Sarabia : Le titre complet du film est "Vaxxed" : de la dissimulation à la catastrophe. Ce sont là des mots forts. Quelles ont été jusqu'à maintenant les réactions à ce film chez les parents d'enfants autistes ? Del Bigtree : Savez-vous, une femme m'a saisi hier soir alors que j'allais faire une séance de questions-réponses, elle m'a agrippé, elle était en larmes. Des milliers et des milliers de parents sont venus nous trouver après chaque projection -- nous sommes déjà passés dans une centaine de villes -- "Merci de dire enfin ce que nous avons toujours dit. Ce vaccin est dangereux. Ils disent que nous sommes fous. Merci de faire enfin savoir aux gens que nous disons la vérité !" Alanna Sarabia : Polly, vous êtes en fait d'Austin, vous avez un fils nommé Billy, qui est autiste. Parlez-nous de lui. Polly Posey : Tout d'abord, il est important de savoir que j'étais extrêmement en faveur de la vaccination quand j'ai fait vacciner mon fils. Et c'était mon deuxième enfant, et donc ma fille avait eu tous ses vaccins, sans absolument aucun problème. Donc quand j'ai amené mon petit garçon -- il avait 13 mois -- je n'avais absolument aucune raison de remettre en question la sécurité du vaccin, si bien que le soir même de la vaccination -- il n'avait eu que le ROR ce matin-là, pas d'autre vaccin -- il a fait une terrible crise de convulsions, il avait les yeux renversés et tremblait de tous ses membres. Nous l'avons emmené d'urgence à l'hôpital et ils ont dit qu'il s'agissait là d'une réaction courante chez de nombreux enfants, de nombreux bébés qui ont eu ce vaccin. "Tout va bien se passer. Restez calme, rentrez et laissez-le simplement dormir." Il ne s'en est jamais remis. J'ai maintenant un fils de 20 ans au cerveau très sérieusement endommagé. Alanna Sarabia : Sheila Ealey, vous nous avez signalé que vous aviez des jumeaux . L'un des jumeaux est autiste, mais pas l'autre. Racontez votre histoire.
Sheila Ealey : Moi aussi, comme Polly, j'étais très pro-vaccination, je croyais mon gouvernement, et mes médecins. Et j'ai fais vacciner mes jumeaux. [Mon fils] Temple a reçu le DTaP (vaccin diphtérie, tétanos et coqueluche acellulaire) ... et une dose double de ROR : celle de sa sœur. En conséquence, je suis partie furieuse. Elle n'a jamais été vaccinée. J'ai la totale. J'ai maintenant un fils de 17 ans au cerveau gravement endommagé, et j'ai une fille de 17 ans brillante qui parle 3 langues, joue du piano et danse des ballets classiques. Alanna Sarabia : ...en ce moment même et c'est la raison pour laquelle vous êtes ici à Dallas. Mais bien sûr nous voulions [aussi] mentionner quelque chose du CDC parce qu'ils... Le Dr. Lindeman, du CDC. Elle dit que des études du CDC sont en cours concernant autisme et vaccinations. Qu'est-ce que le CDC a à dire là-dessus ? Del Bigtree : Le CDC va de toute évidence essayer de se défendre, mais je pense que c'est une des organisations gouvernementales les plus corrompues que nous ayons jamais vues. Nous devons retirer au CDC [la responsabilité de] la sécurité des vaccins. Ils ont trompé le public américain et le monde entier, ils mettent les enfants en danger : voilà ce que nous savons maintenant de façon certaine. Alanna Sarabia : demandons au CDC ce qu'il a dire là-dessus : Dr. Julie Lindeman : Sur l'autisme, nous n'en savons pas encore suffisamment. Ce que nous savons, c'est qu'il existe probablement un lien génétique, qu'il existe potentiellement une prédisposition dans ce domaine chez les personnes dont le système métabolique, dont le système immunitaire ne fonctionne pas correctement, et donc, en cas d'exposition à des virus, à des maladies, à des pesticides, à des produits chimiques de toutes sortes, et que, potentiellement, au fil du temps, on constate un accroissement de l'incidence de l'autisme.
Animatrice : Intéressant.
Dr. Julie Lindeman : Nous ne... Il n'existe assurément aucun lien direct entre le fait d'administrer un vaccin et l'apparition de l'autisme.
Alanna Sarabia : Comme je l'ai déjà signalé, le Dr. Julie Lindeman dit qu'il y a des études du CDC en cours sur l'autisme et la vaccination. Del, qu'avez-vous à nous dire là-dessus ? Del Bigtree : Je dirais que les seuls médecins que nous rencontrons maintenant à déclarer ce qu'elle vient de dire sont ceux qui n'ont pas encore vu notre film. Elle fait remarquer que les toxines présentes dans notre environnement sont responsables, nous, nous parlons des toxines qui sont injectées dans nos bébés. C'est ça qui provoque l'autisme. Alanna Sarabia : Et nous venons de voir le Dr. Lindeman. Merci d'être venus et d'avoir partagé votre histoire. Vous pouvez aller sur vaxxedthemovie.com pour plus d'informations sur le film.]
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Le réalisateur de VAXXED, le Dr. Andrew Wakefield, parle avec Dane Wigington
Publié le 1er sep 2016
http://GeoengineeringWatch.org
MERCI DE VOUS RENDRE DIRECTEMENT SUR L'ARTICLE http://www.geoengineeringwatch.org/va... POUR LIRE CETTE VIDÉO OU POSTER DES COMMENTAIRES DESSUS Andrew Wakefield est indubitablement un exemple exceptionnel de courage et de compassion humaine. Combien de personnes ont-elles réfléchi aux immenses sacrifices consentis par le Dr. Wakefield dans le but de protéger nos enfants ? Combien de gens savent même (ou se sont-ils demandés) le prix qu'a dû payer le Dr. Wakefield seulement parce qu'il voulait faire ce qu'il fallait ? J'ai eu l'incroyable honneur de rencontrer pour la première fois Andrew en 2015 au Cal Jam, à Los Angeles, où nous intervenions tous les deux. Plus j'en apprends sur l'importance du dévouement du Dr Wakefield, de sa sincérité et de son humilité, et plus je suis impressionné par lui, par qui il est, et par ce qu'il représente. Dans cette franche conversation de 15 minutes avec le Dr. Wakefield, apparaît de manière absolument évidente et inattaquable son total dévouement au bien commun. https://www.facebook.com/dane.wigingt...
[Traduction de la conversation :
Ecran : GeoEngineeringWatch.org
Entretien entre Dane Wigington et le Dr. Andrew Wakefield MS, BS Réalisateur de "Vaxxed"
Dane Wigington, GeoengineeringWatch.org : Dr. Wakefield, vous avez sacrifié combien d'années dans un combat d'une immense importance pour lequel personne sur Terre n'a subi le poids que vous avez subi en regard de cette question ? Tout ceci a vraiment commencé il y a combien d'années ?
Dr. Andrew Wakefield, réalisateur de VAXXED : 20, je dirais, mais ça me paraît parfois avoir été 300.
Oui, j'ai commencé à m'intéresser à l'autisme et aux vaccins en 1995, quand un parent m'a appelé sans raison préalable et m'a dit : "Le développement de mon enfant était tout à fait normal et puis on lui a fait le vaccin ROR -- le vaccin rougeole-oreillons-rubéole -- et il est devenu autiste."
J'ai simplement interrompu ce parent : "Vous vous êtes trompé de numéro : je suis gastroentérologue, pourquoi m'appelez-vous ?"
Et elle a répondu : "Mon fils a de terribles problèmes gastro-intestinaux, et le docteur dit seulement - tous les docteurs, toutes les infirmières, tous les gens que je suis allée voir -- disent que c'est seulement de l'autisme : de la diarrhée 12 fois par jour, douleurs abdominales, ballonnements, incapacité à se développer, l'enfant se situant en-deçà de la courbe de croissance normale, et je sais que quelque chose ne va pas chez mon enfant, ce n'est pas qu'une question de comportement."
J'ai donc décidé, devant une histoire aussi cohérente, et si souvent répétée par les parents, j'ai décidé que nous devions constituer une équipe de gens pour examiner le problème.
Nous avons donc rassemblé une équipe des plus grands médecins, pédiatres, gastroentérologues et autres, du monde, et nous avons examiné le cas de ces enfants et -- eh oui, ô surprise -- les parents avaient raison !
La profession médicale avait tort, pratiquement, par rapport à un homme et une femme. Les parents avaient raison, l'enfant avait une inflammation des intestins. Nous l'avons traitée, et nous l'avons fait avec le traitement habituel, intervention sur le régime alimentaire, comme on traite les maladies inflammatoires intestinales classiques, comme la maladie de Crohn ou la colite.
Ensuite, non seulement les problèmes intestinaux ont disparu -- la diarrhée a disparu, le ballonnement a disparu, la douleur a disparu, l'enfant a commencé à grandir et à se repositionner sur la courbe statistique -- mais les symptômes comportementaux aussi ont disparu.
C'est un peu comme dans Lorenzo's Oil, si on se rappelle ce film, c'est quelque chose d'extraordinaire. Ils ont recommencé à utiliser des mots qu'ils avaient cessé d'utiliser 3, 4 ou 5 ans auparavant. Ce n'était pas seulement qu'ils se sentaient mieux, ils commençaient à récupérer d'un point de vue cognitif, ils souriaient, ils riaient, et c'était là le début d'un parcours remarquable.
Mais, bien sûr, parce que les parents avaient eu raison à propos de la maladie intestinale, il nous fallait nous occuper extrêmement sérieusement de leurs soucis liés au vaccin.
Et, bien sûr, ça a été le commencement de la fin pour ma carrière de médecin !
D. W. : Quand vous dites qu'il est intéressant qu'elle ait appelé un mauvais numéro, mais n'a-t-elle pas au contraire appelé le meilleur numéro au monde qu'elle aurait pu appeler, celui de quelqu'un qui a réellement répondu à cet appel. Je veux dire : que ce serait-il passé si cet appel n'était pas arrivé, et combien d'enfants -- parce que maintenant nous savons que les gens ne vont pas se faire vacciner, grâce à ce que vous avez fait ces 20 dernières années. Et combien parce qu'elle a composé ce mauvais numéro qui a touché exactement la personne qu'il fallait. Où est-ce que ça a mené ?
Je veux dire, que si cet appel n'avait pas eu lieu, combien d'enfants n'auraient pu être sauvés et que seraient-ils peut-être devenus ? Et ce vers quoi nous allons maintenant, c'est que ce film a apporté un tel outil -- j'ai également parlé avec Del --, que vraiment personne dans les sessions auxquelles vous avez assisté, y compris même les docteurs qui étaient venus contredire catégoriquement ce film, ne peuvent plus le faire.
Si bien qu'avec cet outil, il est impossible de mesurer le bien qu'il commence à apporter, dont l'origine est ce fameux mauvais numéro, il y a si longtemps.
Dr. A. W. : Ce qui est fascinant, c'est la manière dont l'histoire peut faire l'objet d'un revirement extraordinaire. Je veux dire : [cette mère] a clairement fait le bon numéro en touchant quelqu'un qui était, du moins, prêt à l'écouter. Je pense que c'est l'effet des intuitions qu'elle avait concernant son enfant.
Dans le film, nous avions l'image de la Place Rouge -- l'image n'est plus là maintenant ; elle n'est plus incluse dans la version définitive -- mais c'était une image convaincante, parce qu'elle essayait de dire : "Regardez, voici..." Cela se passait un 1er-Mai, et il y avait des milliers et des milliers de soldats qui défilaient, au pas de l'oie, à l'unisson ; il y avait là des missiles, les dirigeants du parti communiste qui saluaient les chars et l'armement qui passaient. Et en regardant ça, on aurait pu penser que cet Empire, que cette chose massive et puissante, ne pourrait jamais être vaincue. Il est impossible, sur la Terre du Bon Dieu, que ceci puisse jamais s'écrouler, jamais être vaincu...
Et, bien sûr, en l'espace d'une fraction de seconde à l'échelle de l'Histoire, c'en a été fini...
D.W. : Il est intéressant que vous parliez de ça, parce que ma femme est d'origine lituanienne, et elle était là quand c'est arrivé. Elle était là et c'est exactement comme ça qu'ils ont ressenti les choses. Ils pensaient que rien ne pourrait jamais changer ce paradigme, et pourtant il n'a fallu qu'un instant pour que tout s'écroule.
Et avec ceci, qui est absolument au centre de ce que nous affirmons nous tenir vraiment à cœur en tant qu'êtres humains -- la sécurité des enfants -- mettre au grand jour cette question, c'est ébranler complètement ce paradigme, n'est-ce pas ?
Dr. A.W. : C'est vrai. Et ça ressemble à l'autre [image]. Et l'autre chose qui me frappe toujours, c'est que Mandela a passé 27 ans en réclusion cellulaire. Il n'allait jamais y avoir de président noir en Afrique du Sud. Cela n'allait pas se produire ! Et pourtant c'est arrivé ! C'est arrivé en un instant... et c'est ce qui m'a fait me rende compte que... et, bien sûr, l'Union Soviétique s'est effondrée, suite à un soulèvement dans un chantier naval à Gdansk. Et ces événements en cascade... Et qu'un seul homme, William Thompson dans le présent cas, soit sur le point, je crois, de provoquer l'effondrement du château de carte qu'est cette religion des vaccins...
D.W. : C'est une religion.
Dr. A. W. : C'est une religion ! C'est exactement ça. C'est devenu une chose dont nous ne pouvons même pas discuter. C'est devenu quelque chose dont les gens disent : "Nous pouvons parler de tout -- de Dieu, de l'existence même de l'Homme, de la raison pour laquelle nous sommes ici, pourquoi nous sommes qui nous sommes, et...-- nous ne pouvons pas parler de ça ! Si vous voulez me rencontrer ou me revoir en ami, nous ne discuterons pas de ça..."
Fascinant ! Des barrières psychologiques que quelques personnes -- beaucoup de gens ! -- ne peuvent tout simplement pas franchir. Mais vous et moi, nous pouvons en parler parce que nous mettons tout sur table. Il n'existe rien dont nous ne puissions discuter, parce que l'avenir même du monde est en jeu.
Mais les gens les plus intelligents, les plus censés, les plus cultivés, ne peuvent pas en parler quand on aborde le sujet. C'est alors qu'arrive Thompson, au bout de quoi ? de 20 ans, et qu'il dit la vérité.
Il ne peut en quelque sorte pas vivre sans ça. Ils savent que l'histoire des parents était vraie dès le départ. Et lui ne peut plus vivre en sachant qu'il a caché ça et mis des millions d'enfants en danger, et qu'il a été sans aucun doute responsable des dommages cérébraux permanents de tant d'enfants ici et dans le monde entier.
Et ici encore, on voit dans l'Histoire une personne, cet axe autour duquel tout bascule et basculera.
Je dis aux gens qui trouvent que ça ne vient pas assez vite, que je pense qu'en termes d'évolution cela sera vu comme un nouveau chantier naval de Gdansk, comme une nouvelle Robben Island (NdT - l'île où a été interné Nelson Mandela), ce sera une personne qui bouleversera tout à cause du caractère incontournable des informations qu'elle doit apporter.
D.W. : Nous vivons dans une société qui essaie d'attacher beaucoup d'importance à la taille de son compte en banque. Mais combien de valeur accorde-t-on à son honneur, à sa vertu ? Vous avez sacrifié votre carrière, vous avez fait de grands sacrifices, mais s'il est une chose que vous n'avez pas sacrifiée, à laquelle vous vous êtes accrochée, et que beaucoup de gens ont abandonnée depuis longtemps, c'est bien votre honneur.
Et je constate que c'est la seule chose que chacun d'entre nous possède, la seule chose qu'on ne puisse pas nous prendre -- notre vertu, et notre honneur, et faire en toutes circonstances son devoir, parce que c'est notre devoir, quel qu'en soit le coût.
Et dans le monde réel, ça n'existe pratiquement pas. D'après ce que je vois de la voie dans laquelle vous vous êtes engagé, vous n'avez jamais lâché prise concernant cette chose que chacun d'entre nous possède.
Et je vous remercie pour cela. Les efforts que vous avez déployés sont d'une importance incommensurable pour l'humanité, et pas seulement la question de la vaccination, parce que, cette clé, quand les gens se rendent compte qu'on fait ça à leurs enfants, c'est la meilleure clé que nous ayons pour ébranler leur paradigme, un paradigme où on fait confiance aux experts, alors que dans d'autres questions, comme la géo-ingénierie, l'ingénierie du climat qui, dans un sens, joue le même rôle avec la planète entière, que celui que les médecins jouent avec nos enfants : ils font complètement dérailler les systèmes naturels.
Et donc cet outil qu'est la vaccination... je n'hésiterais pas à dire que vous avez ouvert la route à Thompson, pour qu'il puisse faire ce qu'il a fait, parce qu'il était bien au courant de tout ça, et que cela a peut-être été un facteur dans ce qu'il a fait.
Donc, à nouveau, ne pourriez-vous pas faire remonter dans une certaine mesure tout ça à cet appel téléphonique erroné, ne croyez-vous pas ?
Dr. A.W. : On pourrait le faire. On pourrait... Permettez-moi de dire d'abord... Merci beaucoup, je vous suis reconnaissant de ce que vous dites... Mais les sacrifices que j'ai faits sont anecdotiques comparés au privilège qu'a été [le mien] de faire ce travail, et je ne dis pas ça sur un ton moralisateur, c'est réellement un privilège. Si ça n'était pas arrivé, je n'aurais pas rencontré ces familles, ni aidé ces enfants, je ne vous aurais pas parlé... Savez-vous, quand quelque chose va de travers et que vous vous désespérez, vous vous accordez un quart d'heures pour bouder, puis vous passez outre.
Parce vous avez rencontré l'enfant autiste suivant et vous comprenez que vous, vous n'avez pas de problème. C'est cet enfant qui a un problème, pas moi. Et donc ça rend les choses tellement plus faciles à supporter parce qu'il ne s'agit pas de moi.
Parfois je me distancie et je regarde ce qui se passe sur Terre. Cela n'aurait pas pu se passer autrement. L'Histoire a été écrite longtemps avant ma naissance. La façon dont la science traite les dissensions, la manière dont la médecine traite les gens qui tentent de changer le paradigme choisi... et il faut que vous vous considériez tout à fait adéquat dans ce grand... Dans l'univers, nous sommes si petits que... ce que les gens peuvent dire de moi, et les attaques... C'est sans aucune importance. Je ne suis pas concerné du tout. Ils ne me connaissent pas, ils ne savent pas qui je suis. C'est une technique. C'est un exercice de relations publiques destiné à écraser la dissension. Du pragmatisme sans pitié. C'est sans d'importance !
Une fois que vous en êtes arrivé là, que vous pouvez reconnaître votre... non pas votre non-entité, mais votre... position toute relative à l'échelle de l'univers, les choses deviennent beaucoup plus faciles.
Mettez de côté toutes ces bêtises. Et vous pouvez alors demeurer fidèle à ce que vous racontent les parents, à votre enseignement médical, et à votre confiance implicite dans le vrai processus scientifique, et non en cette pseudoscience que l'on mène maintenant au nom d'intérêts spéciaux.
Et cela rend les choses bien plus faciles à gérer.
Et puis bien sûr, vous appartenez à une communauté. Si bien que je viens ici, je vous rencontre, et j'en ressors considérablement conforté dans ce que nous faisons, et tout est beaucoup plus facile.
Je vous suis donc très reconnaissant.
Oui. Et on en revient à ce coup de téléphone, ce mauvais numéro. Et en fait, nous avons partagé avec intérêt cette hypothèse avec le CDC.
Nous avons dit : "Ecoutez. Tous les enfants ne sont pas concernés. Alors pourquoi certains enfants, et pas d'autres. Et la manière dont on réagit aux vaccins ou aux infections, et de fait à tout problème environnemental, dépend des caractéristiques de l'exposition : de l'intensité, de l'agent, etc. Et donc nous raisonnons simplement : est-ce que le risque, chez certains enfants, c'est l'âge ? Est-ce que c'est là un des facteurs qui contribuent au risque ? Plus on est [vacciné] jeune, plus le risque est élevé. Parce que plus on attrape la rougeole tôt, plus le risque d'infection sérieuse est élevé."
Nous avons donc partagé ça avec le CDC, et alors, oui, tout est parti de là pour prendre le chemin de l'étude falsifiée, jusqu'à ce que William Thompson se manifeste. Disons que c'est comme ça que les choses se sont passées.
D.W. : Tous ces événements peuvent être ramenés à ce caillou de départ, qui a roulé en bas de la colline, en déclenchant le glissement de terrain qui nous a amenés là où nous sommes.
Je me pose personnellement énormément de questions sur l'apathie de la société, celle des parents dans ce cas particulièrement, celle de ceux qui prétendent se soucier de l'environnement et qui, pourtant, ne tiennent pas compte du plus grand assaut [contre lui], et aussi sur le comportement des gens en général, sur leur absence de volonté à jouer leur rôle en s'engageant dans le combat pour le bien de tous. Et dans un monde où je vois si peu de tout ça, je veux personnellement vous dire que vous avez été pour moi une immense source d'inspiration -- et je n'affirme pas ça à la légère -- et pour tout ce que vous avez fait, nous soutiendrons tout ce à quoi vous avez contribué et nous essaierons de porter ce flambeau au mieux de nos capacités. Et je tiens à vous remercier du fond du cœur.
Dr. A.W. : Merci. Vous rendez un immense, immense, service à l'humanité, qu'il ne faut pas sous-estimer.
D.W. : Je désire seulement faire ce que je peux. Merci, Merci !
Dr. A.W. : Merci infiniment ! ]
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