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DISCUSSIONS GÉNÉRALES






Balsillie craint que le PTP puisse coûter au Canada des milliards
et devenir la pire décision politique jamais prise

Ces pages du Forum de Project Avalon sont, sauf indication contraire, traduites par The Avalon Translation Project.


Message N°1        8 novembre 2015 (Pour l'original, voir ici.)

Membre d'Avalon

Default Balsillie craint que le PTP puisse coûter au Canada des milliards
et devenir la pire décision politique jamais prise

Bonjour à tous,

Le Partenariat Transpacifique va coûter au Canada des milliards ! Si seulement les gouvernements se donnaient la peine d'écouter ! Mais comme d'habitude, il est très difficile d'obtenir leur attention.
chancy


Lien : https://ca.news.yahoo.com/balsillie-...203327302.html

Article :

Balsillie craint que le PTP puisse coûter au Canada des milliards et devenir la pire décision politique jamais prise

La presse canadienne. Par Andy Blatchford

Il y a 53 minutes. 8 novembre 2015

OTTAWA - Jim Balsillie prévient que les provisions prévues dans le Partenariat Transpacifique pourrait coûter au Canada des centaines de milliards de dollars -- et faire finalement de sa signature la pire décision de politique publique de toute l'histoire du pays.

Après avoir épluché le texte final du traité, l'homme d'affaires, qui a contribué à faire de Research in Motion (Recherche en Action) un acteur mondial de 20 milliards de dollars, a dit que l'accord comprenait des règles "perturbantes" concernant la propriété intellectuelle, qui menaçaient de faire du Canada un "marginalisé permanent" dans l'économie de la vente des idées.

Le mois dernier, au beau milieu de la campagne électorale, le gouvernement Conservateur a apposé la signature du Canada sur le pacte controversé impliquant 12 pays. L'accord du Pacifique, qui inclut les énormes économies américaine et japonaise, a été décrit comme la plus grande zone de libre échange jamais créée.

Mais Balsillie a déclaré que des éléments de l'accord vont nuire aux innovateurs canadiens en les obligeant à suivre des règles édictées par le partenaire dominant du traité : les États-Unis.

Les retombées pourraient se révéler coûteuses pour le Canada, parce que les technologies inventées par ces entrepreneurs peuvent potentiellement générer d'énormes richesses pour l'économie, dit-il.

"Je ne suis pas un acteur partisan, mais je suis convaincu qu'il s'agit de ce que le gouvernement Harper a fait de pire pour le Canada", a affirmé dans une interview l'ancien coprésident du RIM, après avoir étudié de longs passages de ce document de 6000 pages, rendu public la semaine dernière.

"Je pense que dans 10 ans, nous trouverons que cette signature a été la pire chose qu'aura jamais faite le Canada...

"Il s'agit d'un traité qui structure tout pour toujours -- et nous ne pouvons pas en sortir."
Les inquiétudes de Balsillie concernent aussi la façon dont cet accord imposerait les normes de propriété intellectuelle établies par les USA, le partenaire principal du traité.

Il craint que ce traité donne un avantage aux firmes américaines et coûte plus cher aux entreprises canadiennes, parce qu'il leur faudrait payer pour les idées de quelqu'un d'autre et non pour les leurs.

Qui plus est, Balsillie est convaincu que cette structure pourrait empêcher les firmes canadiennes de se développer, puisqu'elle limiterait aussi la somme d'argent qu'ils peuvent tirer de leurs propres produits et services.

Balsillie, qui a consacré une grande partie de son temps à bâtir RIM en négociant des accords dans le monde entier, a qualifié le texte final complet de "brillante littérature."
"Il s'agit d'un encerclement si brillamment systémique ! Je suis impressionné par la puissante pureté que lui ont donnée les Américains...

"Ils ont été plus futés que nous."
Et contrairement aux lois votées au Parlement, il a noté que des traités comme celui-ci établissent des règles qui doivent être suivies pour toujours. Cet accord, a-t-il ajouté, comporte aussi des mécanismes contraignants de règlement des différends.
"Je suis inquiet et j'ignore comment nous pouvons en sortir", a dit Balsillie, qui contribue également à créer un groupe de pression qui promouvrait les intérêts du secteur canadien de l'innovation.

"Je trouve que nos négociateurs commerciaux ont profondément trahi les Canadiens et nos futurs innovateurs. Je le déplore vivement."
Il a déclaré que le gouvernement aurait dû déléguer une équipe de négociation plus performante.

Harper avait salué l'accord comme étant un moyen d'assurer aux Canadiens l'accès à un marché de près de 800 millions de personnes, et avant qu'il soit signé, il avait prévenu que le Canada ne pouvait pas se permettre de rester à l'écart.

L'accord doit être ratifié par les 12 pays, avant d'entrer en vigueur six mois plus tard. Il nécessiterait au Canada un vote du parlement.

Alternativement, le traité peut également devenir effectif s'il est ratifié par la moitié des pays représentant 85 % de l'économie de la zone. Un pays peut se retirer à tout moment, avec un préavis de six mois.

Il reste encore au gouvernement Libéral à dire comment il va procéder.

Chrystia Freeland, ministre du Commerce International, nommée au cabinet des ministres la veille du jour où le traité finalisé a été rendu public, a réaffirmé que les Libéraux croient au commerce, mais elle a prudemment fait remarquer que l'accord avait été négocié par le gouvernement Conservateur.

Après la publication du texte, [Chrystia] Freeland a déclaré aux journalistes qu'elle souhaitait recevoir les commentaires des Canadiens sur le sujet.

"Je vais prendre cela très sérieusement -- nous allons le réexaminer", a-t-elle dit jeudi.

Le gouvernement, a-t-elle ajouté, souhaite engager un vrai débat parlementaire sur l'accord suivi d'un vote à la Chambre des Communes, bien qu'elle n'ait pas encore fixé de date-butoir.

Elle n'a pas désiré répondre aux questions demandant si les Libéraux seraient prêts à se retirer de l'accord.

Balsillie a prévenu que le plan des Libéraux de laisser filer, au cours des trois prochaines années, un déficit budgétaire pouvant atteindre 10 milliards de dollars par an, pourrait paraître négligeable au regard de ce que l'économie des idées du pays pourrait perdre à cause du PTP.

"Ces provisions sont beaucoup plus importantes -- 10 fois plus importantes -- que tout le reste de l'accord", a-t-il déclaré.

"Mais nous n'en discutons pas actuellement."

Message N°2        9 novembre 2015 (Pour l'original, voir ici.)

Membre d'Avalon Carmody's Avatar

Default Balsillie craint que le PTP puisse coûter au Canada des milliards
et devenir la pire décision politique jamais prise


Le PTP est en fait une prise de pouvoir fasciste et en douce du monde, et il est conçu pour contourner les organismes gouvernementaux, et permettre aux multinationales et aux banques d'être les contrôleurs et la structure de pouvoir de la planète.

Ils contournent le processus gouvernemental et le processus d'une guerre physique ouverte, par le biais d'accords commerciaux légaux.

Cherchez par vous-mêmes, un document particulier est la "circulaire de Madrid", et le dernier plan que les Nazis ont échafaudé ("Generalplan 1945"), avant de disparaître sans se rendre en 1945 (ils ne se sont jamais rendus, et leurs noms et organisations ne sont mentionnés, ni visibles, dans aucun document de guerre !).

C'est pourquoi le public n'a jamais été informé du contenu de l'accord, le PTP est en fait une GUERRE furtive, une guerre contre la souveraineté nationale, une guerre contre les libertés, une guerre contre le peuple... le tout au profit d'une oligarchie composée de groupes et de multinationales, c'est-à-dire de fascistes.

Tout ça  est arrivé en force de la partie de l'oligarchie qui contrôlait Stephen Harper, un homme qui a admis haïr le Canada. Harper a été placé là pour qu'il réduise le Canada en pièces, et le prépare à devenir le vassal de l'oligarchie qui tente de prendre le contrôle intégral du système qui existe aux États-Unis.

Ils avaient besoin de Harper pour causer les dégâts, puisqu'ils ont suivi au Canada la voie politique.

Le Mexique était une telle pagaille, qu'ils ont suivi là la voie des guerres de la drogue, afin de créer l'agitation nécessaire tout en finançant leurs jeux. Ce qui a marché pour le Mexique n'aurait jamais marché au Canada, donc ils ont eu recours à une lente préparation et à la création de Stephen Harper.

Il existe de fortes chances que les dangers du PTP et ses aspects les plus importants soient cachés aux publics des pays signataires (comme c'était le cas auparavant), et que Trudeau soit forcé de les laisser s'en tirer impunément.

Le Canada constitue un élément crucial pour l'empire de l'oligarchie et du fascisme qui s'est infiltré dans le système étasunien.

Le Canada est un voisin trop vaste, avec trop de ressources, et trop proche géographiquement des USA, pour qu'ils exigent de lui d'être autre chose qu'un État-vassal totalement sous contrôle.

Ils ne regarderont pas à la dépense, ces contrôleurs du système monétaire étasunien en faillite, pour s'assurer la maîtrise du Canada.

Cette oligarchie fasciste ne peut effectuer une remise en route correcte de cet effondrement forcé du système étasunien, que si le Canada est sous contrôle total.

Guettez les indices d'un contrôle absolu des données du PTP, et de leur arrivée massive dans le domaine public, et de tentatives de contrôle total du gouvernement Trudeau par tous les moyens possibles ou imaginables. Qu'elles soient banales ou perfides et brutales, toutes les possibilités seront utilisées, si nécessaire. Et toutes, aussi clandestinement que possible. Quelle que soit la méthode. Il aura fallu des années pour élaborer certains de ces plans et certaines de ces actions.







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