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 De nouvelles recherches
prouvent que le fluor est une neurotoxine
Publié ces tout derniers jours :
 La fluoration de
l'eau officiellement considérée
comme une neurotoxine
De Barbara Minton, 10 mars 2014
(Secrets de Santé) La fluoration
de l'alimentation en eau a débuté il y
a plus de 60 ans, et a contribué à
introduire les débuts d'une ère de
"vie meilleure grâce à la chimie", où
nous nous trouvons actuellement. Un
autre point de référence de cette ère
est l'augmentation astronomique des
troubles neurologiques du
développement tels que l'autisme, le
TDAH (le trouble du déficit de
l'attention-hyperactivité), le trouble
bipolaire (ou trouble
maniaco-dépressif), dyslexie, et
autres déficiences cognitives dont
sont atteints des millions d'enfants
dans le monde, et leur nombre croît.
Les scientifiques attestent maintenant
du lien entre ces deux événements,
dans une étude publiée ce mois-ci dans
la revue [britannique] The Lancet
Neurology. (Une des revues médicales
les plus anciennes et les plus connues
au monde - Ndt)
L'étude a conduit ses
auteurs, le Dr. Philippe Grandjean de
la Harvard School of Public Health, et
le Dr. Philip Landrigan de l'Icahn
School of Medicine, à classer le fluor
comme neurotoxine du développement,
signifiant ainsi qu'elle est toxique
pour les cellules cérébrales. Avec
pour résultat des déficiences
cognitives et une diminution du
quotient intellectuel (QI).
Ils écrivent : "Une méta-analyse
de 27 études transversales
traitant d'enfants exposés au fluor
dans l'eau potable, principalement
provenant de Chine, suggère une perte
moyenne d'environ sept points de QI
chez les enfants exposés à des
concentrations plus élevées de fluor."
La majorité de ces études faisaient
état de niveaux de concentration en
fluor que l'EPA (l'Agence américaine
pour la protection de l'environnement)
accepte actuellement aux États-Unis,
et qui est inférieure à 4 mg/l.
Selon le CDC (les centres pour le
contrôle et la prévention des
maladies), 276 millions d'Américains
consomment encore de l'eau potable
fluorée. Le CDC, tout comme
l'Association Dentaire Américaine, est
depuis longtemps un chaud partisan de
la fluoration de l'eau.
Le fluor rejoint la chambre des
horreurs des produits chimiques
néfastes au développement du cerveau.
La même équipe de recherche a conduit
en 2006 un recensement systématique,
et a identifié cinq produits chimiques
industriels comme neurotoxines du
développement : le plomb, le
méthylmercure, les
polychlorobiphényles (PCB), l'arsenic,
et le toluène. Depuis lors, des études
épidémiologiques ont recensé six
autres neurotoxiques du comportement :
le manganèse, le chlorpyrifos, le
dichlorodiphényltrichloroéthane
(DDT), le tétrachloroéthylène,
les éthers dyphényliques polybromés
(PBDE), et maintenant le fluor. Les
scientifiques supposent que d'autres
neurotoxiques restent encore à
découvrir.
Les dégâts causés par
les neurotoxines sont souvent
incurables et les dommages définitifs.
Les produits pharmaceutiques devenus
si populaires et si rentables dans le
traitement des cerveaux endommagés par
les produits chimiques ne peuvent rien
faire. Ils ne font que masquer
provisoirement les symptômes, mais ils
causent au final encore plus de
troubles par leurs effets secondaires,
parmi lesquels l'atrophie du cerveau.
Grandjean et Landrigan manifestent
leur inquiétude de voir les enfants du
monde entier "exposés à des produits
chimiques non reconnus toxiques qui
dégradent insidieusement
l'intelligence, perturbent le
comportement, réduisent les espoirs de
réussite, et dégradent des sociétés."
Il est selon eux crucial de contrôler
l'usage de tous les produits chimiques
dangereux afin de protéger le
développement du cerveau des enfants.
Pour contrôler la
pandémie de la neurotoxicité du
développement, ils proposent une
stratégie de prévention à l'échelle
mondiale, qui inclurait l'évaluation
obligatoire des produits chimiques et
un système d'échange d'informations
pour évaluer leur neurotoxicité
potentielle, utilisés seuls ou en
combinaison. "Le fluor semble
s'associer au plomb, au mercure, et à
d'autres poisons qui causent une
détérioration chimique du cerveau,
déclare Grandjean. L'effet de chaque
substance toxique peut paraître
faible, mais les dégâts combinés à
l'échelle d'une population peuvent
être graves, et ce particulièrement
parce que la puissance cérébrale de la
prochaine génération est cruciale pour
nous tous."
Concernant la
classification du fluor comme
neurotoxine dangereuse, le Dr. Paul
Connett, directeur exécutif du
Fluoride Action Network (le
Réseau d'Action Fluorure), a déclaré
"ajouter encore du fluor à la
consommation déjà excessive des
Américains n'est plus du tout
justifié. Nous devons nous rendre à
l'évidence, et essayer de réduire la
consommation de fluor, et non
l'augmenter."
Le fluor ne s'élimine
pas facilement du corps. Il s'accumule
dans les os et les dents, et même dans
la glande pinéale. Parmi les ados et
les adultes qui ont grandi en buvant
de l'eau fluorée, 41 % souffrent de
fluorose dentaire, des taches sur
l'émail des dents. Parmi les autres
problèmes liés à l'ingestion sur le
long terme d'eau fluorée, on constate
des dommages à l'ADN, le cancer,
l'ostéoporose, la maladie d'Alzheimer,
des troubles endocriniens
(particulièrement à la thyroïde), des
difficultés d'accommodation oculaire,
un vieillissement accéléré, une plus
faible immunité, des troubles du
sommeil, une perception psychique et
un développement spirituel en
berne.
Lancet Neurol. 2014
Mar;13(3):330-338. doi:
10.1016/S1474-4422(13)70278-3. Epub
2014 Feb 17.
Effets neurocomportementaux de
la toxicité développementale.
Grandjean P1, Landrigan PJ2.
Informations par les auteurs
Résumé
Les troubles
neurodéveloppementaux, incluant
l'autisme, les troubles du déficit de
l'attention avec hyperactivité (TDAH),
la dyslexie, et les autres déficiences
cognitives, affectent des millions
d'enfants de par le monde, et certains
diagnostics semblent se faire plus
fréquents. Les produits chimiques
industriels qui dégradent le cerveau
en développement figurent parmi les
causes connues de cette augmentation.
Nous avons effectué en 2006 un
recensement systématique et identifié
cinq produits chimiques industriels
comme étant des neurotoxiques pour le
développement : le plomb, le
méthylmercure, les
polychlorobiphényles (PCB), l'arsenic,
et le toluène. Depuis lors, des études
épidémiologiques ont recensé six
autres neurotoxiques du comportement :
le manganèse, le chlorpyrifos, le
dichlorodiphényltrichloroéthane (DDT),
le tétrachloroéthylène, les éthers
dyphényliques polybromés (PBDE). Nous
supposons que d'autres
neurotoxiques restent encore à
découvrir. Pour contrôler la
pandémie de la neurotoxicité du
développement, nous proposons une
stratégie de prévention à l'échelle
mondiale. Les produits chimiques non
évalués ne devraient pas être présumés
sans danger pour le développement
cérébral ; les produits chimiques
actuellement utilisés et tous les
nouveaux produits chimiques doivent en
conséquence être évalués afin de
déterminer leur neurotoxicité
développementale. Dans le but de
coordonner ces efforts et afin
d'accélérer le passage de la science à
la prévention, nous proposons la
constitution urgente d'un nouveau
système international d'échange
d'informations.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24556010
Le Fluor classé
dangereux pour le développement
cérébral
Le fluor rejoint le plomb, l'arsenic,
le méthylmercure, le toluène, le
tétrachloroétylène et d'autres
produits chimiques connus pour causer
des dommages au cerveau, rapporte le
FAN (le Réseau d'Action Fluorure).
Le fluor(ure) est nouvellement
classé neurotoxine développementale
par les autorités médicales dans le
numéro de mars 2014 de la revue
médicale Lancet Neurology
(une recherche sur le mot "fluoride"
-- fluorure -- ne donnera aucun
résultat, nous vous suggérons de
chercher à "ride"). Les auteurs de
l'article sont le Dr. Philippe
Grandjean de l'Harvard School of
Public Health et le Dr. Philip
Landrigan de l'Icahn School of
Medicine.
Les auteurs écrivent :
"Une méta-analyse de 27 études
transversales traitant d'enfants
exposés au fluor dans l'eau potable,
principalement provenant de Chine,
suggère une perte moyenne d'environ
sept points de QI chez les enfants
exposés à des concentrations plus
élevées de fluor." La majorité de ces
études faisaient état de niveaux de
concentration en fluor que l'EPA
(l'Agence américaine pour la
protection de l'environnement) accepte
actuellement aux États-Unis, et qui
est inférieure à 4 mg/l.
Les neurotoxines du
développement peuvent causer des
troubles cérébraux fréquents, comme
l'autisme, les troubles du
déficit de l'attention avec
hyperactivité (TDAH), les troubles de
l'apprentissage, et d'autres
déficiences cognitives. Les
dommages sont souvent incurables et
définitifs.
Grandjean et Londrigan écrivent
: "Ce qui nous inquiète beaucoup,
c'est que les enfants dans le monde
entier sont exposés à des produits
chimiques non reconnus toxiques, qui
dégradent insidieusement
l'intelligence, perturbent le
comportement, réduisent les espoirs de
réussite, et dégradent des sociétés,
particulièrement peut-être les
sociétés en voie de développement."
Il est, selon les auteurs,
crucial de contrôler l'usage de tous
les produits chimiques dangereux afin
de protéger le développement du
cerveau des enfants. Ils
proposent l'évaluation
obligatoire des produits chimiques et
la constitution urgente d'un système
international d'échange d'informations
pour évaluer leur neurotoxicité
potentielle. "Le fluor semble
s'associer au plomb, au mercure, et à
d'autres poisons qui causent une
détérioration chimique du cerveau,
déclare Grandjean. L'effet de chaque
substance toxique peut paraître
faible, mais les dégâts combinés à
l'échelle d'une population peuvent
être graves, et ce particulièrement
parce que la puissance cérébrale de la
prochaine génération est cruciale pour
nous tous."
le Dr. Paul Connett,
directeur exécutif du Fluoride
Action Network (le Réseau
d'Action Fluorure), déclare "À la
lumière de la nouvelle classification
du fluor comme neurotoxine dangereuse,
ajouter encore du fluor à la
consommation déjà excessive des
Américains n'est plus du tout
justifié. Nous devons nous rendre à
l'évidence, et essayer de réduire la
consommation de fluor, et non
l'augmenter."
Selon le CDC (les centres pour le
contrôle et la prévention des
maladies), 276 millions d'Américains
consomment de l'eau potable fluorée,
en grande partie parce que le CDC est
un chaud partisan du maintien, et même
de l'augmentation de ce nombre.
Mais les données mêmes du CDC
révèlent que les Américains montrent
déjà des signes de surexposition au
fluor, et il rapporte que 41 % des
adolescents américains souffrent de
fluorose dentaire, un marqueur
physique indiquant qu'ils ont ingéré
trop de fluor au moment où leurs dents
se sont formées. Les données montrent
aussi que ces marques ne diminuent pas
avec le temps aux États-Unis,
mais augmentent. Connett s'interroge :
"Pourquoi le CDC persiste-t-il à aller
contre le courant et à promouvoir une
augmentation de la prise de fluor ? Il
semble malheureusement que dans les
pays où existe la fluoration de l'eau,
les agences de santé publique paraissent
s'attacher davantage à la protection
du programme de fluoration qu'à celle
du cerveau des enfants."
http://fluoridealert.org/news/fluori...ous-to-brains/
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