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PSYOP : la "guerre contre la terreur" est une arnaque -- elle n'est pas faite pour être gagnée, mais pour durer indéfiniment

Ces pages du Forum de Project Avalon sont, sauf indication contraire, traduites par The Avalon Translation Project.


Message N°1       27 août 2014 (Pour l'original, voir ici.)
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Cidersomerset's Avatar

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PSYOP : la "guerre contre la terreur" est une arnaque -- elle n'est pas faite pour être gagnée, mais pour durer indéfiniment

Mis en ligne le 22 janvier 2011


Webster Tarpley, auteur et historien, dénonce le mensonge orwellien nommé la "Guerre contre la terreur", avant que le 1984 d'Orwell nous fournisse un coup d'œil sur notre propre époque.

[Traduction de la vidéo :

PSYOP : la "guerre contre la terreur" est une arnaque -- elle n'est pas faite pour être gagnée, mais pour durer indéfiniment

Webster G. Tarpley : La notion d'une "guerre étasunienne contre le terrorisme" est tout simplement une arnaque. Il n'y a aucune guerre contre le terrorisme. Les Anglo-Américains soutiennent le terrorisme, exactement quand et où ça les arrange : de la Tchétchénie à Cuba, en passant par d'autres points du monde.

Voici une stratégie typiquement britannique : il vous faut connaître le nom du général de division Sir Frank Kitson. C'était l'officier britannique responsable des opérations au Kenya, à l'époque des Mau-Mau. Ce qu'a vu Kitson, et qui était connu des commandants depuis des siècles ou des millénaires, c'est que, si vous avez une organisation clandestine nationaliste que vous voulez discréditer, vous créez votre propre organisation terroriste clandestine parallèle -- il faut qu'elle ait le même nom -- vous l'envoyez sous fausse bannière commettre d'énormes atrocités, qui seront mises sur le compte des membres du groupe original relativement inoffensif. Alors ils seront discrédités, ils seront diabolisés, et vous gagnez l'avantage politique. J'ai écrit un livre là-dessus intitulé "Low Intensity Operations", et cette technique s'appelle la "technique du contre-gang" ou "du pseudo-gang".

Tout comme Al-Qaïda qui, dans un sens plus large, est un "pseudo-gang" ou "contre-gang" créé par les services de renseignements britanniques, américains et israéliens. Il s'agit d'un "contre-gang" qui s'oppose à des nationalistes arabes normaux, ou quiconque avec un programme positif en faveur de réformes ou de l'indépendance, ou de développement n'importe où dans le monde arabe... On peut toujours les étiqueter "Al-Qaïda".

La réduction à l'absurde de ceci, c'est le président Chavez du Venezuela qui, après avoir donné du fil à retordre au président Bush lors de différents colloques, et fait des choses qui sapaient le dollar, s'est fait accuser par les néoconservateurs d'être un membre d'Al-Qaïda.

Vous voyez donc à quel point c'est facile de diaboliser quelqu'un une fois que vous avez un bon contre-gang en place. 

Il existe un consensus parmi les oligarques des États-Unis, inspiré par les néoconservateurs, inspirés par Samuel Huntington et tous les autres, qui est que, sans l'image d'un ennemi, vous ne pouvez pas avoir de société oligarchique.

C'en est en fin de compte la raison. Vous regardez ça et vous dites : "Le terrorisme, c'est une guerre sans fin. Pourquoi ? Qui en profite ?"

Les bénéficiaires du système actuel -- les financiers principalement -- ils  pensent que sans une guerre comme diversion, ils ne peuvent pas maintenir les relations sociales, les relations de propriété, sous leur forme actuelle, et ça, ils sont déterminés à le faire.

Ils ont donc fabriqué de toutes pièces, dans l'hystérie complète, un ennemi extérieur en grande partie fictif.

Vous vous souvenez de "1984", de George Orwell ? Julia fait remarquer à un moment : "Je ne pense même pas qu'il y ait la guerre, ça n'est qu'un trucage, pour maintenir les gens sous contrôle."

Orwell, à mon avis, avait une excellente compréhension de quelques-uns de ces mécanismes psychologiques :

(Film)
Winston : "Julia, penses-tu que la Résistance existe ?"

Julia : "Non, rien de tout ça n'existe !"
-----
O'Brien : "Il y a des criminels de la pensée qui prétendent que la Résistance n'existe pas. Croyez-moi, Winston, elle existe réellement. Peut-être ne savez-vous pas comment elle fonctionne ?"
Winston : "Je... j'écoute attentivement les nouvelles."
O'Brien : "Certes. Peut-être les imaginez-vous comme un vaste réseau de conspirateurs prêts à commettre n'importe quelle atrocité [inaudible], et à affaiblir l'ordre de notre société.
La réalité est infiniment plus subtile : si Goldstein lui-même tombait entre les mains de la Police de la Pensée, il ne pourrait leur donner une liste de ses agents. Ce genre de liste n'existe pas. Ils ne sont pas une organisation, dans le sens que nous connaissons. Rien ne les relie, sinon un idéal."
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Winston (voix off) : "Selon les principes de la Doublepensée, il est sans importance que la guerre ne soit pas réelle, ou si elle l'est, la victoire n'est pas possible. La guerre n'est pas faite pour être gagnée, elle est faite pour durer indéfiniment. L'acte essentiel de la guerre moderne est la destruction du produit du travail humain. Une société hiérarchisée n'est possible que si elle est fondée sur la pauvreté et l'ignorance.
-----
La guerre est conduite par le groupe au pouvoir contre ses propres sujets, et son objet n'est pas la victoire de l'Eurasia ou de l'Estasia, mais de conserver intacte la structure même de la société."
Fin de la vidéo]
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10 citations de George Orwell qui prédisaient la vie dans l'Amérique de 2014

4 commentaires

Posté le 25 août 2014 par l'Administrateur en Économie |Politique |Questions Sociales

194, botte, George Orwell, État Policier, vérité




"Plus une société s'éloigne de la vérité, plus elle haïra ceux qui disent la vérité." George Orwell

Ecrit par Justin King | The Anti-Media


http://www.theburningplatform.com/20...-2014-america/

(Image de gauche) :
Titre du journal : "La NSA surveille les jeux en ligne"
La femme : "Tu verras, ils vont bientôt nous espionner avec notre télévision !"


George Orwell fait partie des critiques de la société les plus sérieux de l'ère moderne. Certaines de ses citations, vieilles de plus d'un demi-siècle, montrent à quel point un esprit éclairé peut avoir une compréhension profonde de l'avenir.

1) "À notre époque, il n'est pas possible de se "tenir à l'écart de la politique".

Tous les problèmes sont des problèmes politiques, et la politique est elle-même une masse de mensonges, d'échappatoires, de folie, de haine et de schizophrénie."

Bien qu'à l'époque moderne nombre de gens veuillent se cacher la tête dans le sable quand on en vient aux sujets politiques, personne ne peut se contenter de s'inquiéter du traditionnel caillou dans sa chaussure. Si quelqu'un réussit à éviter la politique, les décisions politiques auxquelles il a refusé de participer le rappelleront à l'ordre. La plupart du temps, en agissant ainsi, cette personne a déjà perdu la possibilité de murmurer que lui avait accordé le gouvernement.

2) "Toute la propagande de guerre, tous les cris, tous les mensonges et la haine, proviennent invariablement de gens qui ne combattent pas."

En examinant les infos du soir sur les préparatifs de pratiquement n'importe quelle intervention militaire, on trouvera des dizaines de présentateurs qui parleront de sang ruisselant dans les rues d'une ville dont ils viennent seulement d'apprendre à prononcer le nom. Dès que les balles siffleront, ceux qui appellent à la guerre resteront en sécurité sur le plateau, à vous donner minute par minute des informations sur le carnage, pendant que grimpe le cours de leurs actions Raytheon (entreprise américaine travaillant pour la défense - Ndt).




(Image)
"C'est encore Orwell - attends-toi à ce qu'il nous sorte une fois de plus : « Je vous l'avais bien dit ! »"


3) "Un guerre contre un pays étranger ne se produit que lorsque les milieux financiers pensent qu'ils vont pouvoir en tirer profit."

Cela se passe de commentaires, et bien que cela paraisse dur à avaler, c'est certainement vrai. Il suffit de voir qui a bénéficié des guerres récentes menées par les États-Unis, pour voir la boutade d'Orwell se concrétiser.

4) "Le concept même de vérité objective s'efface progressivement du monde. Ce sont les mensonges que l'Histoire retiendra."

Les livres auxquels je tiens le plus sont une collection de livres d'Histoire du monde entier. J'ai un livre irakien qui raconte la gloire de la victoire de Saddam Hussein sur les États-Unis en 1991. J'ai des livres de trois nations différentes prétendant que c'est l'un de leurs citoyens qui a été le premier à voler. Comme certaines des nations les plus puissantes du monde s'accordent pour laisser certains faits "tomber dans l'oubli", la tendance ne peut que s'accentuer. L'histoire est écrite par le vainqueur, et on ne lui demandera jamais s'il a dit la vérité.

Un journaliste du Huffington Post détenu par la police militaire à Ferguson, Missouri.




5) "En temps de tromperie, dire la vérité est un acte révolutionnaire."

Même sans commentaire, le lecteur pense probablement à Edward Snowden ou Chelsea Manning. Les révolutions futures n'auront recours ni aux balles ni aux explosifs, mais à quelques données éparses qui parcourront le monde et détruiront les faux récits que les gouvernements utilisent pour enchaîner leurs citoyens.

6) "Le journalisme, c'est imprimer ce que quelqu'un d'autre ne veut pas voir imprimé : tout le reste n'est que relations publiques."

Ne vous méprenez pas : si un article ne met pas quelqu'un en colère, c'est qu'il ne s'agit de rien d'autre que de relations publiques. La plus grande partie de ce qu'on considère de nos jours comme des informations, n'est pratiquement rien de plus qu'une publicité à l'allure officielle, pour un produit, un service ou une croyance.




ryangrim

(Image)
Ryan, qui a de nombreuses fois enquêté sur GUANTANAMO,
a dit que la police
RESSEMBLAIT PLUS AUX SOLDATS
qu'à des officiers de police, et qu'ils
traitaient les gens qui se trouvaient dans le McDonald comme des
"COMBATTANTS ENNEMIS."


La militarisation de la police est
une des évolutions aux
CONSÉQUENCES
les plus importantes et les moins remarquées de
notre temps, et qui commence maintenant
à affecter
LA LIBERTÉ DE LA PRESSE.
-Ryan Grim, chef du bureau de Washington du Huffington Post

7) "Dans la vie, c'est toujours l'enclume qui brise le marteau..."

Dans tout conflit, ce n'est pas le camp qui peut infliger le plus de dégâts, mais celui qui peut en subir le plus, qui l'emporte finalement. L'Histoire est remplie de cas où des militaires "ont gagné des batailles, mais perdu la guerre."

8) "Le nationaliste non seulement ne désapprouve pas les atrocités commises par son propre camp, mais il possède la remarquable capacité de ne même pas en entendre parler. "


(Photo)
Question à 100.000 $ :
Ce tireur d'élite surveille des cibles humaines dans quelle ville ?
A : Bagdad, en Irak                         B : Alep, en Syrie
C : Islamabad, au Pakistan              D : Ferguson, dans le Missouri


Haditha. Panjwai. Le district de Maywand. Mahmoudiyah. Ces noms ne vous disent sans doute pas grand-chose, mais il est pratiquement certain que le lecteur est conscient de la brutalité de ce qui s'est passé à Benghazi. La grande différence, c'est que dans les quatre premiers incidents, ceux qui ont commis les actes de brutalité portaient un drapeau américain cousu sur l'épaule.

(Bonne réponse : D)


9) "Les menaces contre les libertés de parole, d'écriture et d'action, bien qu'elles paraissent souvent mineures lorsque prises isolément, présentent un effet cumulatif qui, si on laisse faire, mène au non-respect général des droits du citoyen."

Chaque jour apparaît une nouvelle forme de censure, ou une nouvelle méthode pour forcer les gens à l'autocensure, mais ils se contentent de hausser les épaules parce que cela ne concerne qu'une petite minorité. Lorsque les gens comprennent enfin que leur capacité à exprimer leur désapprobation a été complètement limitée, il est peut-être déjà trop tard. Cela nous amène à la citation d'Orwell la plus dérangeante :


bootface

(Photo)
"Si vous voulez une image de l'avenir, pensez à une botte piétinant un visage humain -- à jamais."


10) "Si vous voulez une image de l'avenir, pensez à une botte piétinant un visage humain -- à jamais."

Une fois les gens endoctrinés par des croyances nationalistes, et en place la structure destinée à les protéger d'un ennemi qui ne cesse de se modifier et de se développer, ils ne peuvent plus reconquérir leur liberté. Avant même que tous les éléments soient en place, non seulement toute occasion de reconquérir cette liberté est déjà perdue, mais la volonté d'atteindre la liberté s'est également évaporée. Le lecteur ressentira une réelle affection pour Big Brother.

Cet article est gratuit et open source. Vous êtes autorisé à republier cet article couvert par une licence Creative Commons, en l'attribuant à Justin King et à The AntiMedia.org

http://www.theburningplatform.com/20...-2014-america/

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Pourquoi les Américains, se sentent-ils politiquement démunis ? ...Parce qu'ils le sont






La décision de la Cour Suprême concernant [la demande de] Citizens United (un comité d'action politique en faveur des grandes entreprises - Ndt) a accordé aux riches des moyens presque illimités d'influencer les élections, aux dépens de l'électeur moyen. Mais, selon une nouvelle étude, la voix des riches individus et des grosses entreprises dominait depuis longtemps celle, inquiète, de la plupart des Américains.

Dans leur ouvrage "Testing Theories of American Politics: Elites, Interest Groups, and Average Citizens” (Mise à l'épreuve des théories de la politique américaine : les élites, les groupes d'intérêts, et les citoyens moyens), Martin Gilens et Benjamin I. Page maintiennent que l'Américain ordinaire n'a pratiquement aucune influence sur la politique. "Non seulement les citoyens ordinaires n'ont aucun réel pouvoir particulier sur les décisions liées à une  politique précise ; mais ils n'ont qu'une influence indépendante limitée ou nulle sur toute autre politique", selon l'étude, qui doit paraître cet automne. 

Qui influe sur la politique ? Comme on pourrait le deviner, les riches et les puissants groupes d'intérêts. "On estime que les élites économiques possèdent un impact indépendant, aussi réel que significatif, sur les politiques choisies." selon l'étude, ce groupe est le plus influent lorsqu'il s'agit d'obtenir ce qu'il veut des responsables élus. Les groupes d'intérêts organisés sont eux aussi influents.

Les données qui mènent à ces conclusions ont été recueillies auprès de 1779 dossiers politiques datant de 1981 à 2002, donc certains éléments portent à croire que le problème est en fait maintenant pire que ce qu'en dit l'étude.

L'ex-ministre du Travail, Robert Reich, écrit que le déclin de l'influence de l'électeur moyen provient des changements survenus depuis 1980 environ. Auparavant beaucoup d'Américains étaient représentés par leurs syndicats, et étaient membres d'organisations civiques ou autres. Puis, écrit Reich, "quelque chose a profondément changé. Les organisations dont les membres appartenaient à la base se sont rétrécies, parce que les Américains avaient moins de temps à leur consacrer. Les salaires stagnaient, et la plupart des gens devaient consacrer plus de temps à leur travail pour pouvoir joindre les deux bouts. C'était le cas aussi des épouses et des mères, qui commencèrent à intégrer le marché du travail pour améliorer les revenus de la famille."

Pendant ce temps, l'adhésion aux syndicats commença à chuter, un phénomène que le licenciement, par le président Ronald Reagan, des contrôleurs aériens en grève, a amplifié. De plus, les entreprises locales, qui bénéficiaient souvent de l'écoute des hommes politiques locaux, cédèrent progressivement la place à des chaînes nationales qui se préoccupaient moins du travailleur de base que de leur chiffre d'affaire.

Comme l'expliquent les politologues Jacob S. Hacker et Paul Pierson dans "Winner-Take-All Politics: How Washington Made the Rich Richer--and Turned Its Back on the Middle Class" (La politique du tout ou rien : comment Washington a enrichi les riches -- et tourné le dos à la classe moyenne), un autre facteur est que, dès le milieu des années 1970, de grosses entreprises ont commencé à s'organiser en groupes de pression confortablement financés, tels que la Table Ronde des Affaires et la Chambre de Commerce US. Ces groupes, qui penchaient du côté des Républicains, se rendirent compte qu'il serait plus efficace d'influencer les membres du Congrès des deux partis.

Une partie de la responsabilité devrait en être portée par l'électorat, ou plus exactement par ce qu'il en reste. Historiquement, les gens aisés sont ceux qui participent le plus aux élections, et cette participation diminue de pair avec le revenu des électeurs. Selon les statistiques du Bureau US du recensement, 67,1 % des membres des familles au revenu annuel supérieur à 150.000 $ figuraient sur les listes électorales pour 2012. Ce pourcentage faiblit avec chaque groupe de revenu, et atteint 59,5 % pour des familles au revenu compris entre 10.000 et 14.999 $.

"Nous devons établir un nouveau pouvoir pour compenser, écrit Reich. Les financiers font ce qu'ils savent le mieux faire -- de l'argent. Nous, nous devons faire ce que nous savons le mieux faire -- nous servir de notre voix, de notre vigueur, et de notre bulletin de vote."

-Steve Straehley, David Wallechinsky

Pour en savoir plus :

Who Rules America? (by Allan J. Lichtman, The Hill)

The Disease of American Democracy (by Robert Reich)

Testing Theories of American Politics: Elites, Interest Groups, and Average Citizens
(by
Martin Gilens and Benjamin I. Page) (pdf)

Democracy and the Policy Preferences of Wealthy Americans
(by Benjamin I. Page,
Larry M. Bartels, and Jason Seawright) (pdf)

Super Rich Have Different Government Spending Priorities…and More Influence
(by
David Wallechinsky, AllGov)

http://www.allgov.com/news/top-stori...re?news=854060

Message N°2    27 août 2014 (Pour l'original, voir ici.)

Netherlands
Membre d'Avalon  Mu2143's Avatar
Default PSYOP : la "guerre contre la terreur" est une arnaque -- elle n'est pas faite pour être gagnée, mais pour durer indéfiniment

Le Dr. Carol Rosin au "Projet Révélation" (Disclosure Project)

Source : http://www.youtube.com/watch?v=7ALLUuvsVkM
 
[traduction de la vidéo :

Le Dr. Carol Rosin au "Projet Révélation" (Disclosure Project)

Dr. Carol Rosin : Bonjour. Je m'appelle Carol Rosin.

En 1974, après avoir été enseignante en 6ème, j'ai été présentée à feu Wernher von Braun, le père des fusées aux États-Unis.

Au cours de ma première réunion avec lui, au cours de ces 3 heures et demie, il m'a dit : "Carol, vous allez faire cesser la militarisation de l'espace."

Et je lui ai répondu : "Savez-vous, les enseignants ne s'arrêtent pas avant juin."

Il m'a répliqué : "Non, vous devez comprendre : nous sommes en février, et nous devons empêcher la militarisation de l'espace parce qu'on raconte un mensonge à tout le monde : que la militarisation de l'espace est maintenant d'abord dirigée contre l'empire maléfique Russe. Il y a beaucoup d'ennemis qui vont aussi bâtir un système d'armement basé dans l'espace, dont le premier était les Russes, et qui existait à l'époque.

Ensuite, il y aura les terroristes, puis il y aura des pays du Tiers-Monde, ceux qu'on appelle actuellement les "États-voyous" ou les "États inquiétants".

Puis il y aura les astéroïdes."

Puis il m'a répété, encore et encore : "Et la dernière carte, la dernière carte... la dernière carte sera la menace extraterrestre."

Bon. À l'époque j'avais tendance à rire quand il parlait d'astéroïdes, et quand il a parlé "extraterrestres", je savais que je n'allais pas m'occuper de ce sujet-là.

Et maintenant, nous avons entendu la nouvelle, aujourd'hui même, cette semaine : qu'ils sont passés à un autre ennemi. Simplement cette fois-ci, il va falloir qu'on protège nos satellites. Autrement dit, il nous faut un autre prétexte pour dépenser ces milliers de milliards, pour gâcher ces dollars en les consacrant à notre système d'armes spatiales...

ET TOUT ÇA, CE SONT DES MENSONGES !

"C'est un système, m'a-t-il dit, qui ne va jamais protéger personne."

Même déjà à l'époque, il parlait de valises piégées, il parlait de guerre chimique, virale, bactérienne, de sale guerre bactériologique, dont nous ne serions jamais protégées par ces armes basées dans l'espace...

Et puis il m'a dit : "Et de fait, si vous parcourez le monde...", ce que j'ai fait après sa mort en 1977, où j'ai rencontré des gens dans plus de 100 pays, qui étaient des amis, ils ne voulaient pas bâtir d'armes basées dans l'espace...

Je suis devenue une sorte de Consultant spatial, plus ou moins lié à la défense. Et j'ai travaillé pour des gens du monde entier. Je suis devenue un Conseiller auprès de la République Populaire de Chine : ils ne veulent pas construire un système d'armement basé dans l'espace !

Et il m'avait déjà affirmé à l'époque qu'ils n'en voulaient pas.

Il m'a dit : "Allez en Russie. On les considère comme l'ennemi." J'ai pris l'avion par moi-même, quand je suis allée en Russie avec une liste de gens que j'avais tirée des journaux, [?]denko était en fonction à l'époque. Il a été le seul que je n'ai pas eu la possibilité de rencontrer. Ils m'ont présentée à tout le monde, quand je suis allée là-bas !
Et quand je suis rentrée, je me suis dit : "Oh mon Dieu ! Cet homme dit vrai ? Il n'y a donc aucune menace ?"

Cela fait aujourd'hui 27 ans que j'attends, et je m'attends à ce que cette manipulation se produise, parce qu'il m'a expliquée que, en tant que stratège militaire, en tant que personne travaillant sur le "missile MX", ce que j'ai fait plus tard, il m'a dit : "Vous trouverez qu'il va y avoir une manipulation pour nous trouver un quelconque ennemi contre lequel il nous faudra bâtir un système d'armement basé dans l'espace."

Il faut maintenant nous attendre à ce boniment, parce que selon lui, une des méthodes des services de renseignement, c'est de dire qu'"ils" pourraient avoir une arme et qu'il nous faut faire comme s'"ils" avaient vraiment cette arme. Et maintenant, puisqu'"ils" ont ces armes, il FAUT que nous construisions ces systèmes d'armement. Voilà leur façon de procéder.

Sauf que tout est fondé sur un mensonge !

Et nous avons ici des témoins aujourd'hui, qui vous ont montré que ces êtres extraterrestres, que ces engins venus ici, ne sont pas des OVNI, non, ce sont des objets volants identifiés, et vous savez qu'ils sont [inaudible]. Et nous avons ici des témoins qui vous ont raconté qu'ils peuvent mettre hors circuit des silos à missiles, qu'ils peuvent empêcher une fusée d'aller dans l'espace, c'est un test.

Nous avons ici des témoins qui travaillaient dans des départements déclassifiés, et qui ont eu le courage de venir parler, pour confirmer ce que Wernher von Braun m'a déclaré de 1974 à 1977.

Et je témoignerai devant le Congrès, que lorsque j'ai vu à l'Institut de la Sécurité et de la Coopération dans l'Espace que j'ai fermé il y a quelques années, parce que je ne croyais pas que nous avions la moindre chance avec cet énorme système complexe d'armement intégré dans le monde entier... que nous n'avions pas la moindre chance de transformer cette industrie de guerre en une industrie spatiale, qui pourrait apporter des bénéfices, comme le Dr. Greer l'a dit, en termes de réchauffement climatique, nous pourrions mettre fin à cette situation, à ce problème, mettre fin à la crise de l'énergie, nous pourrions utiliser maintenant des technologies non-polluantes. Wernher von Braun me disait qu'on pourrait avoir des voitures, déjà à l'époque, qui se déplaçaient sans toucher le sol -- il m'a décrit tout ça -- sur des rayons, pour que nous n'ayons pas de pollution sur cette planète.

Et nous pouvons résoudre les problèmes urgents des humains, et ceux qui ont des conséquences potentielles sur les autres animaux et les autres cultures, sur Terre et dans l'Espace.

Et nous pouvons terminer la course aux armements, sans déplacer tous les emplois industriels, sans perturber l'économie, en transformant -- Wernher von Braun me l'a dit -- l'industrie de la guerre en une industrie spatiale mondiale en coopération, qui fournirait finalement -- a-t-il dit -- plus d'emplois, de bénéfices sur cette planète, en dehors de n'importe quelle Guerre Froide, des produits et des services applicables directement à la résolution des problèmes de cette planète, et nous pouvons dès maintenant avoir toute une planète en paix, la paix sur Terre, la paix avec toutes les cultures de la Terre, et avec toutes les cultures extraterrestres de l'Espace.

Et ce sont les mots que m'a dits Wernher von Braun en 1974, et je témoignerai devant le Congrès, sous serment, en répétant tout ce que j'ai dit, et plus encore.

Merci.

Fin du témoignage de Carol Rosin]

(Ndt - Sur les témoins militaires d'OVNI au-dessus de silos de missiles à ogive nucléaire, voir ici cette intéressante vidéo sous-titrée en français)







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