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D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir

Ces pages du Forum de Project Avalon sont, sauf indication contraire, traduites par The Avalon Translation Project.


Message N°1      8 janvier 2015 (Pour l'original, voir ici.)


Membre d'Avalon 


  Post D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir

(Voir message 3, ci-dessous, la traduction du même document - NdT)

Message N°3     8 janvier 2015 (Pour l'original, voir ici.)

UK
Membre d'Avalon  Cidersomerset's Avatar
  Post D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir

Je viens de poster cet article dans une autre discussion...

Un nouvel article ce matin... Quelque chose que nous soupçonnons tous.



D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir

Jeudi 8 janvier 2015 à 8h09, par David Icke





"Voilà, nous vous démolissons le système immunitaire et vous esquintons l'organisme avec du poison mortel -- ça va vous faire du bien."

"Oh, merci docteur."

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Par Waking Times, 7 janvier 2015
D'autres médecins reconnaissent diagnostiquer des cancers juste pour s'enrichir

Flickr - Doctor1 - a.drianDave Mihalovic, Prevent Disease
Waking Times


"Cela se produit plus souvent qu'on l'imagine, mais d'autres médecins se font finalement prendre sur le fait en train de trahir leur serment [d'Hippocrate] et de diagnostiquer frauduleusement un cancer à des patients en bonne santé, afin de se faire de l'argent facile grâce aux commissions sur les poisons de la chimiothérapie.

Pourquoi les Médecins ne mentiraient-ils pas alors que l'ensemble de l'industrie du cancer n'est qu'un gigantesque mensonge du début à la fin ? Est-il vraiment si surprenant que, dans le monde entier, les entreprises liées au cancer consacrent bien plus d'argent à la chimiothérapie et aux recherches concernant la radiothérapie qu'aux méthodes de prévention ? La prévention des maladies ne rapporte rien, contrairement à leur traitement.

Prenez le Dr. Farid Fata, cancérologue réputé dans le Michigan, qui a admis il y a un an avoir diagnostiqué intentionnellement mais à tort le cancer à des patients sains. Fata a également reconnu leur avoir prescrit des médicaments de chimiothérapie pour gagner plus d'argent."

Lisez la suite : D'autres médecins reconnaissent diagnostiquer des cancers juste pour s'enrichir
 

http://www.wakingtimes.com/2015/01/0...s-just-profit/

[Traduction de la suite de l'article en question :


Ses patients ont-ils été choqués ? Plutôt ! Qui suspecterait un médecin de falsifier un diagnostic pour récupérer de l'argent ? C'est inadmissible. Et pourtant cela arrive avec le cancer et presque toutes les maladies grâce auxquelles les docteurs peuvent gagner de l'argent à coups de pots-de-vin ou de commissions dépendant du nombre de patients traités avec tel ou tel médicament. Là aussi les gens peuvent être utilisés comme une marchandise.

"Nombre de ces médecins sans scrupules se comportent comme des hommes d'affaires sans conscience. La seule différence, c'est qu'ils ont entre les mains votre santé et votre confiance -- un mélange très dangereux quand il s'agit d'argent", affirme le Dr. Sayed Mohammed, un cancérologue en retraite qui reconnaît avoir détecté cette tendance il y a déjà plus de dix ans.

"C'est moi qui l'ai choisi", a déclaré de façon surprenante Fata ce mardi, concernant sa reconnaissance de culpabilité, et il a énuméré tous les noms des médicaments qu'il a prescris à ses patients au fil des années. À chaque fois, il confessait :

"Je savais que ce médicament était inutile."

Fata a été accusé d'être coupable d'une fraude au détriment du Medicare (système US de sécurité sociale - NdT) d'un montant de 35 millions de dollars, consistant à facturer au gouvernement des traitements non nécessaires, en oncologie et en hématologie. Le gouvernement déclare que Fata a fraudé de 2009 à aujourd'hui, par le biais de ses entreprises médicales, dont les Michigan Hematology Centers, qui possèdent des bureaux à Clarkston, Bloomfield Hills, Lapeer, Sterling Heights, Troy et Oak Park.

Selon le gouvernement le Dr. Fata avait la responsabilité de 1200 personnes et a reçu 62.000.000 $ de Medicare ; il a facturé pour plus de 150.000.000 $.

Le procureur fédéral Barbara McQuade a déclaré vouloir demander la perpétuité pour Fata, et considère que son cas est "le plus flagrant" que ses services aient jamais traité. Elle affirme que non seulement Fata a escroqué le gouvernement -- ce qui est habituel dans ce type de cas --, mais qu'il a aussi fait du mal à des patients.

Tricherie sur les statistiques

Le cancer de la prostate est un autre grand exemple où les médecins font des pronostics falsifiés, sans donner aux patients les faits. Un test sanguin prostatique (PSA/APS) recherche un antigène spécifique à la prostate, une protéine produite par la glande prostatique. Des niveaux élevés sont censés être associés à un cancer de la prostate. Le problème, c'est que l'association n'est pas toujours exacte, et quand elle l'est, le cancer de la prostate n'est pas nécessairement mortel. Seuls 3 % de tous les hommes meurent du cancer de la prostate. Le test PSA mène généralement à un surdiagnostic -- à des biopsies et à un traitement dans lesquels les effets secondaires sont l'impotence et l'incontinence.  Des biopsies répétées peuvent disséminer les cellules cancéreuses le long du trajet suivi par l'aiguille, ou en déversant des cellules cancéreuses directement dans la circulation sanguine ou dans le système lymphatique. Plus de 90 % des médecins qui encouragent à un traitement de type oncologique contre le cancer de la prostate recevront une commission pour chaque traitement que le patient reçoit. Ce traitement se révèle à risques et souvent mortel à long terme pour la plupart des gens, qui ne savent pas comment prendre soin de leur santé et qui sont convaincus par de fausses statistiques.

On a fait des dizaines d'excellentes études de longue durée sur des hommes dont le cancer de la prostate a été découvert grâce à une biopsie. Dans plus de 97 % des cas, ce cancer ou bien ne se diffuse pas de manière maligne en dehors de la glande, ou bien le patient meurt d'une autre cause bien avant qu'on puisse prouver que le cancer s'est diffusé hors de la prostate. Dans les 3% de cas où le cancer se montre agressif et nuit au patient, il s'est déjà diffusé au-delà des limites de l'exérèse chirurgicale bien avant sa découverte ; ainsi ces hommes ne tirent là encore aucun avantage d'une intervention chirurgicale.

Après au minimum sept années d'études supérieures médicales sur la condition émotionnelle, mentale et physique de l'être humain, on pourrait attendre du médecin qu'il soit une source inépuisable de dévouement pour ses patients. Malheureusement, trop de médecins ne considèrent pas le bien-être de leurs clients comme une priorité ni comme leur souci principal. Le besoin qu'ils ressentent de satisfaire leur ego, d'assurer leur autoprotection, et d'avoir plus d'argent, amènent souvent des soins inadaptés et des nuisances pour leurs patients.

On raconte à la plupart des femmes que les hystérectomies conduisent à de nombreuses guérisons pour le cancer et d'autres affections. C'est falsifier la réalité. Les recherches effectuées jusqu'à présent n'ont démontré aucune prolongation de la survie, indépendamment de l'agressivité présentée par nombre de ces traitements inutiles.

Le dépistage du cancer du sein a également pour résultat une augmentation de la mortalité due à ce cancer et n'apporte aucune prévention. Malgré l'absence de preuves en faveur des recommandations concernant un dépistage et des mammographies périodiques, quel que soit l'âge, des conseils malveillants de la part de la Society of Breast Imaging (SBI) ou de l'American College of Radiology (ACR) suggèrent maintenant que le dépistage du cancer du sein devrait commencer à 40 ans, et même plus tôt chez les patientes à haut risque. Les recommandations de la SBI et de l'ACR, publiées dans le Journal of the American College of Radiology (JACR), indiquent que la patiente moyenne devrait débuter le dépistage annuel à l'âge de 40 ans. Ils ciblent aussi les femmes âgées de 30 ans ou plus, si elles sont considérées comme "à haut risque" selon leurs critères. 

Le taux de cancers du sein parvenus à un stade avancé, chez les femmes US âgées de 25 à 39 ans, a presque doublé entre 1976 et 2009, une différence trop importante pour être le fruit du hasard, et qui dépend davantage du diagnostic.

Une étude inquiétante, publiée dans le New England Journal of Medicine, attire l'attention des grands médias sur le fait que la mammographie, stratégie prioritaire dans la lutte contre le cancer du sein, a causé plus de mal que de bien chez les millions de femmes qui y ont fait appel au cours des 30 dernières années.

Il s'est toujours agi, et il s'agira toujours, d'une question d'argent. N'est-il pas temps de le reconnaître ?

La chimiothérapie ne guérit pas l'organisme -- elle le détruit lentement.

La chimio stimule le développement du cancer et augmente les chiffres de la mortalité à long terme. La plupart des patients sous chimio meurent ou sont frappés de maladie en l'espace de 10 à 15 ans après le traitement. Ce dernier détruit leur système immunitaire, précipite le déclin neurocognitif, perturbe le fonctionnement endocrinien et provoque de la toxicité au niveau des organes et du métabolisme. Les patients vivent surtout en état de maladie chronique jusqu'à leur décès. L'industrie du cancer marginalise les traitements sûrs et efficaces et vantent leur remèdes brevetés, coûteux et toxiques, dont les risques surpassent de loin tous les avantages. C'est là où ils sont le plus performants, et ils le font parce que cela rapporte de l'argent, tout simplement.

Ce pourquoi une durée de survie relative de 5 ans est la norme utilisée pour évaluer le taux de mortalité est dû au fait que l'état de la plupart des patients se dégrade vite ensuite. C'est très mauvais pour les affaires, et l'industrie du cancer le sait bien. Ils ne pourraient jamais présenter au public le taux statistique réel de 97 % d'échecs, ce qui est le cas dans le traitement à long terme des cancers métastatiques. S'ils publiaient effectivement les statistiques à long terme concernant les cancers où sont administrés une chimiothérapie cytotoxique, c'est-à-dire sur une durée supérieure à 10 ans, et s'ils présentaient les données objectives résultant d'évaluations rigoureuses incluant la rentabilité, l'impact sur le système immunitaire, la qualité de vie, la morbidité et la mortalité, il deviendrait tout à fait clair aux yeux du monde que la chimiothérapie contribue très peu, ou même pas du tout, à la survie au cancer. De toute l'histoire de la chimiothérapie, jamais aucune étude de ce type n'a été menée par des chercheurs indépendants. Les seules études disponibles proviennent d'institutions et de scientifiques financées par l'industrie, et aucune d'elles n'a jamais inclue la quantification des variables ci-dessus.

Pourquoi ? L'industrie du cancer est motivée par l'argent, la cupidité et les bénéfices -- rien d'autre. Dans son traitement du cancer, l'establishment concerné doit s'éloigner de la vérité, parce que jamais il ne tirera suffisamment de bénéfices en éliminant la maladie. Aucun organisme gouvernemental au monde ne protège les consommateurs de ces thérapies toxiques, ni même des substances cancérigènes connues, présentes dans notre nourriture ou dans notre environnement, parce que cela aussi empêcherait d'engranger des profits. Il s'agit d'un business aux proportions gigantesques et il faut le traiter comme tel. Il faut que les plus puissantes plantes anticancéreuses du monde, telles que le cannabis, soient diabolisées et rendues illégales, parce qu'elles tuent très efficacement les cellules cancéreuses, sans effets secondaires. Les cannabinoïdes traitent si efficacement la maladie, que le gouvernement des États-Unis les a brevetés en 2003.

Si un "remède miracle" était utilisé EN PREMIER LIEU par la médecine orthodoxe, c'est-à-dire si on évitait les traitements à base de coupures/de brûlures/de poisons, on obtiendrait facilement un taux de guérison de 90 %. Mais le fait est que les dirigeants de la communauté médicale n'ont absolument aucun intérêt à découvrir un "remède miracle". Ce dernier coûterait des centaines de milliards de dollars aux entreprises pharmaceutiques, et les patients seraient moins souvent hospitalisés, se rendraient moins souvent chez le médecin, etc.

Peut-être pourriez-vous demander à votre cancérologue pourquoi vos chances de survie ne dépassent pas 3 % (en ne tenant aucun compte de leur baratin statistique du style "taux de survie à 5 ans" et de leurs termes trompeurs du genre "rémission" et "réponse"), alors que vos chances dépasseraient les 90 % si vous utilisiez des choses comme le DMSO (le diméthylsulfoxyde - NdT). En fait, apportez du DMSO à n'importe quel cancérologue et la plupart d'entre eux ne vous en parleront même pas. Pourquoi ? Parce que le DMSO est un produit naturel, qui ne peut être breveté et qui ne peut devenir très rentable, parce qu'on le produit à la tonne dans l'industrie du bois.

Le Dr. Farid Fata n'est qu'une conséquence du système. Tout comme lui, il existe des milliers de médecins et de cancérologues, exerçant en toute légalité aux États-Unis et à l'étranger, coupables des mêmes crimes, mais parce qu'ils se font discrets, ils ne sont pas pris.

Tant que nous continuons cette plaisanterie de faire croire au public que des poisons peuvent guérir le cancer, des gens continueront à mourir, et des médecins continueront à s'enrichir jusqu'au décès de leur patient. De temps à autre, il se peut qu'on puisse coincer quelques-uns des (nombreux) Dr. Fata, que leur propre cupidité mène à leur perte. Nous clamerons que ce sont des hors-la-loi, nous les rejetterons, nous ternirons leur réputation fondée sur la perception qu'une personne en bonne santé ne doit pas subir inutilement une chimiothérapie pour de l'argent. Nous pouvons donc juger durement et poursuivre en justice le médecin qui prescrit à tort du poison à une personne saine pour s'enrichir, mais nous sommes fiers de celui qui prescrit le poison à une personne en mauvaise santé, pour de l'argent. Je trouve cela vraiment stupéfiant !

À propos de l'auteur :

Dave Mihalovic est un médecin naturopathe qui se consacre à des recherches sur les vaccins, à la prévention du cancer, et à une approche naturelle du traitement.
[Fin de l'article traduit]


Message N°5     8 janvier 2015 (Pour l'original, voir ici.)

United States
Membre d'Avalon  mpennery's Avatar
  Post D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir

Bien sûr ! Toutes les institutions aux États-Unis sont corrompues jusqu'à la moelle, et appartiennent ou sont contrôlées par des criminels qui essaient avant tout d'en tirer des bénéfices. Les institutions médicales sont du même tonneau et je crois qu'elles sont la cause N°1 de mortalité chaque année. Ma femme est infirmière praticienne et le constate de première main depuis des années quand elle travaille pour les hôpitaux. Elle rentrait fréquemment à la maison en disant que les médecins se contentaient de faire des expériences sur les patients et qu'ils n'avaient aucune idée des résultats sur les gens des mélanges de médicaments, ou qu'ils ignoraient tout des régimes ou des traitements naturels simples.
J'accorde de l'importance à toute information qui soulève un peu plus le voile, et qui montre aux gens qu'ils doivent prendre eux-mêmes en mains leur mal-aise et éviter comme la peste les médecins du courant dominant.

Matt

Message N°8     8 janvier 2015 (Pour l'original, voir ici.)

United States
Membre d'Avalon  seeker/reader's Avatar
  Post D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir

Cette femme avait un cancer, un lymphome, et au bout de 4 ans, elle est tombée dans le coma, au cours duquel elle a fait une expérience de mort imminente (EMI). Alors qu'elle était "de l'autre côté", elle a appris que son point de vue, la valeur qu'elle s'accordait et ses angoisses étaient la cause de son cancer. Après avoir appris la vérité, elle a décidé de revenir dans son corps. Elle a changé de point de vue, s'est accordée de la valeur, s'est débarrassée de ses peurs, et de manière dramatique s'est guérie en très peu de temps, en quelques semaines. Ses médecins étaient extrêmement surpris de ce qui s'était passé, car ses tumeurs étaient grosses comme des citrons, certaines étaient des plaies béantes qu'une infirmière à plein temps devait constamment panser. Ses plaies se sont si bien guéries qu'elles n'ont laissé aucune cicatrice, et les médecins ont été incapables de trouver ne serait-ce qu'une trace superficielle de l'endroit exact où elles avaient été. Elle avait annoncé aux gens qu'elle se guérirait elle-même, et elle l'a fait. Elle a raconté son expérience dans un livre, et d'autres personnes qui ont vécu une EMI (Eben Alexander avait une méningite à E. coli) ont raconté comment ils se sont également guéris eux-mêmes, en s'inspirant de ce qu'elle avait dit dans son livre : Dying to be Me. http://www.anitamoorjani.com/

Elle raconte comment, avant sa maladie, elle se sentait cernée par le CANCER. Beaucoup de personnes proches d'elle étaient décédées du cancer et elle a eu peur, en de nombreuses occasions, de l'attraper. Elle déclare qu'en tant que société, nous sommes quotidiennement bombardés par des menaces liées au cancer.

Ma question, c'est : Est-ce qu'on le fait exprès ? Je n'en serais pas surpris. Qui en priorité tirerait de l'argent de cette campagne anti-cancer ? Les hôpitaux (qui appartiennent à de grosses entreprises), l'industrie pharmaceutique, les assurances... toutes les grandes entreprises.





Source : http://www.youtube.com/watch?v=52QGhNGjLNQ

Message N°14     8 janvier 2015 (Pour l'original, voir ici.)

Membre d'Avalon  peterpam's Avatar
  Post D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir

J'ai moi-même été témoin de cette corruption, en tant qu'infirmière. j'ai travaillé pendant des années dans le service néphrologie/dialyse. Pendant longtemps l'entreprise Amgen a offert aux docteurs d'énormes "primes" s'ils prescrivaient de l'Epogen (une injection qui stimule l'organisme à produire des globules rouges, ce que les gens qui ont des problèmes rénaux ont du mal à fabriquer). Ce médicament est en outre très, très coûteux. Si ces médecins voulaient obtenir leur prime, ils ne pouvaient pas mettre tout de suite leur patient sous dialyse, puisque, dans ce cas, les injections auraient été faites au centre de dialyse.

Pendant la période où Amgen a offert ces énormes "primes", nous avons commencé à remarquer une nouvelle tendance. Les médecins retardaient le moment où ils allaient mettre le patient sous dialyse. Beaucoup de docteurs attendaient que leur patient soit aux portes de la mort pour lancer la dialyse. Il nous a fallu un certain temps pour le comprendre. Certains médecins retardaient le lancement de la dialyse de leur patient, de façon à pouvoir toucher les primes offertes pour chaque injection effectuée au cabinet médical.

Cela signifiait quoi pour les patients ? Avant tout qu'ils baignaient dans leurs propres toxines, qui s'accumulaient puisque leurs reins n'étaient plus en mesure de les filtrer et de les expulser par l'urine. De plus, leur équilibre électrolytique se trouvait sévèrement perturbé et les risques d'arrêt cardiaque étaient nettement augmentés. Pour terminer, leur organisme aurait à stocker des quantités énormes de fluide supplémentaire, au point d'aller jusqu'à doubler leur masse corporelle à cause du fluide en excès. Les répercussions étaient donc très, très graves.

Il est arrivé un moment où le gouvernement est intervenu et a interdit Amgen d'offrir des pots-de-vin aussi évidents, et vous savez ce qui s'est passé ? Eh bien, les patients ont commencé à faire leur dialyse plus tôt. Il est écœurant de savoir que beaucoup de ces docteurs laisseraient leurs patients souffrir afin de gagner plus d'argent.

Big Pharma continue à corrompre le monde médical, mais il leur faut être plus discret. Je peux personnellement témoigner du fait que le système médical aux États-Unis est pourri, jusqu'à la moelle.


Message N°16     8 janvier 2015 (Pour l'original, voir ici.)

Membre d'Avalon  peterpam's Avatar
  Post D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir

Donc maintenant, il nous faut non seulement faire avec le nombre énorme d'"erreurs" qui se produisent dans les hôpitaux et les établissements hospitaliers, mais il nous faut aussi tenir compte des docteurs qui nous font volontairement du mal pour s'enrichir. J'ai pensé donner des chiffres que j'ai trouvés en ligne. Quand je vois l'étendue de tout ça, j'en ai le souffle coupé. J'ai toujours dit à mes patients qu'ils devaient éviter les hôpitaux à tout prix.

En 1999, l'Institute of Medicine a publié le célèbre rapport "To Err is Human" (l'erreur est humaine), qui a fait l'effet d'une bombe dans le milieu médical, en signalant que près de 98.000 personnes meurent chaque année dans les hôpitaux, suite à des erreurs. Ce chiffre a été contesté au départ, mais il est maintenant largement admis par les médecins et les responsables hospitaliers -- et cité partout dans les médias.

En 2010 le Bureau de l'Inspecteur Général du Ministère de la Santé et des Services Humains a déclaré que de mauvais soins hospitaliers étaient partiellement responsables, dans le cadre du seul Medicare, du décès de 180.000 patients, par an.

Maintenant une étude publiée dans le numéro actuel du Journal of Patient Safety indique que les chiffres réels pourraient être bien plus élevés -- chaque année, entre 210.000 et 440.000 patients, parmi ceux  qui vont à l'hôpital pour recevoir des soins, sont victimes de problèmes de santé évitables, en partie responsables de leur décès.



Message N°18     8 janvier 2015 (Pour l'original, voir ici.)

Membre d'Avalon
Delight's Avatar
  Post D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir
Quote Je me sens pris au piège.
Je prends du Coumadin comme anticoagulant, dont la dose est vérifiée chaque semaine et régulée, en hausse ou en baisse. Je prends également deux autres médicaments liés à la défibrillation
(?), etc.
Je suis allé voir un médecin naturopathe qui m'a dit de continuer à prendre les médicaments. J'ai toujours été favorable à un style de vie holistique.

J'ai l'impression qu'il n'existe aucune porte de sortie, puisque l'arrêt des médicaments n'a rien donné.

Et le médecin naturopathe n'a rien pu faire de mieux que ce que je faisais déjà.
À mes yeux, Anita Moorjani est une des porte-parole les mieux documentées et les plus franches concernant notre capacité à modifier notre corps quand notre conscience s'est développée. D'après ma propre expérience du système médical, je n'ai jamais constaté d'actions ou d'intentions malfaisantes (mais je ne sais pas lire dans l'esprit des gens). Ce que j'ai constaté, c'est quelques types de comportement :

1. J'ai vu des gens qui pensent que le fonctionnement de l'organisme est totalement mystérieux et insondable. J'ai vu des gens qui manquaient de subtilité. La douleur est forte et la maladie extrême. Il existe bien d'autres indices précoces tels que la tension et nous trouvons "normaux" la contraction due par exemple au stress, et le déséquilibre chronique. Les êtres humains qui, à mon avis, se distancient de leurs sentiments, sont perdus. Privés de notre profond lien intérieur, nous nous considérons toujours comme traités en objets. 

2. Les aveugles conduisent les aveugles et les gens acceptent la maladie comme normale, le vieillissement comme nécessaire, et que la mort est inévitable. En woundologie où nos liens [envers les autres] reposent sur des déficiences, les gens parlent de la maladie, rendent plus présents ceux qui sont malades, utilisent comme une excuse le fait d'être malade. En général, à mon avis, nous nous attendons à subir des maux physiques.

Dès leurs débuts, les médecins sont matraqués par leur formation. Les infirmières de même. Il leur manque fâcheusement, à mon avis, le moyen d'aider autrui, en apportant ce qui est indispensable à une bonne santé.

Le système de "soins" médicaux, à mes yeux, fonctionne autant grâce à des patients en état de crise qui exigent de grandes interventions, que grâce aux primes qu'on lui offre. Je suis de plus en plus compatissante envers la personne que j'étais quand j'étais infirmière. Je ressens de la compassion pour ceux qui se sentent piégés. MAIS ce n'est pas nécessaire.

Si j'étais sous coumadin, j'en prendrais, mais je commencerais aussi à rechercher tout ce qu'on sait sur le corps en tant que véhicule parfaitement capable de se guérir lui-même. Nous avons envers notre corps une relation qui va de l'intérieur vers l'extérieur. Non pas que ne soyons pas capables de parvenir à la santé parfaite, en partant de n'importe quoi... mais plutôt que nous sommes incapables de croire que nous possédons ce pouvoir de guérir n'importe quel mal tout en continuant à occuper ce corps.

Nous possédons ce pouvoir-là !!!!! Il faut faire l'effort de s'informer, et de s'engager, comme dans le cas de n'importe quel grand changement.... à mon avis.

En 1993, Dean Ornish a présenté sa découverte : une triple approche FONCTIONNE lorsqu'il s'agit d'inverser le cours d'un problème cardiaque et de diminuer les dépôts graisseux sur les parois des artères. Il a fallu utiliser une triple approche, pas une approche double :

1. Changer de régime alimentaire
2. Faire de l'exercice
3. Passer par LA grande étape immatérielle du travail sur ses émotions, afin d'évacuer la rage et la tendance à rester contracté par des sentiments de colère.

Nous sommes capables de tout faire et, à mon avis, l'action est nécessaire. Si nous ne croyons pas en nos propres capacités, nous nous sentons pour sûr piégés. Anita Moorjani parle de l'évacuation de la peur. La peur et toutes les émotions qui nous contractent, nous maintiennent dans un état de stress chronique. L'état de stress chronique est un comportement appris. Il faut le désapprendre.



Message N°19     8 janvier 2015 (Pour l'original, voir ici.)

Ireland
Membre d'Avalon  Snoweagle's Avatar
  Post D'autres médecins reconnaissent avoir intentionnellement dit à des gens sains qu'ils avaient le cancer, pour s'enrichir
Quote Posté par East Sun (ici)
Mon histoire est semblable à la tienne, Snoweagle. J'ai fait deux crises cardiaques et deux AVC en quelques années, et j'ai trois stents. Il y a quelques années, j'ai décidé d'arrêter de prendre mes médicaments : pas si facile que ça à cause des effets secondaires. Tout s'est bien passé pendant deux ans, j'ai eu droit au pas en arrière du Dr., à son regard courroucé et à l'accompagnement vers la sortie. Le labo pharmaceutique a continué à m'envoyer des mises en garde pour que je n'arrête pas de prendre leurs médicaments. 
J'ai eu des problèmes d'équilibre, quand je marchais, pendant deux ans, mais ça allait par ailleurs. Je suis tombé malade, me suis réveillé avec des sueurs froides et je ne pouvais plus dormir. On m'a fait toutes sortes d'examens sanguins, des échographies, et tout le bataclan, et ça a duré des semaines. Ils n'avaient pas de solutions. Puis un jour, j'ai perdu connaissance : un autre AVC, encore des examens, de nouveau les médicaments.

Je me sens pris au piège.
Je prends du Coumadin comme anticoagulant, dont la dose est vérifiée chaque semaine et régulée, en hausse ou en baisse. Je prends également deux autres médicaments liés à la défibrillation
(?), etc.
Je suis allé voir un médecin naturopathe qui m'a dit de continuer à prendre les médicaments. J'ai toujours été favorable à un style de vie holistique.

J'ai l'impression qu'il n'existe aucune porte de sortie, puisque l'arrêt des médicaments n'a rien donné.

Et le médecin naturopathe n'a rien pu faire de mieux que ce que je faisais déjà.

Oui, ce n'est pas facile. Après mon problème coronarien, le médicament a provoqué des sautes d'humeur, a fait de moi quelqu'un de très instable, en plus d'avoir une forte personnalité qui me forçait à passer toute ma vie et mon mode de vie en revue. J'ai en partie changé ma façon de vivre, mais sans intention précise ni préparation. 

C'est l'AVC qui a tout rectifié. Il m'a fait prisonnier dans mon propre cerveau. Mon hémisphère gauche avait été atteint, et il était incapable d'organiser ni de planifier ma journée. Je n'étais ni stupide ni abruti, mais c'était seulement que mon attention se concentrait sur tout ce qui se passait, seconde après seconde, et non sur ce qui s'était déjà passé, ni sur ce qui allait se passer. Lire et écrire étaient des expériences scabreuses, chaque phrase que j'essayais de rédiger commençait par une idée et se terminait sur un autre sujet. Très étrange !

Ce qui est important, c'est que j'ai vécu ma "remise en état" par mon système nerveux. Des sortes de petits chatouillements dans les profondeurs du corps. Presque imperceptibles, mais tout à fait réels. J'ai eu de plus en plus envie de légumes bouillis et de produits naturels, le tout causé par mon état. Je continue encore à ce jour de manger des légumes bouillis ; une marmite composée de 12 à 15 légumes ayant mijoté plusieurs heures, et que je mange sur plusieurs jours, jusqu'à ce qu'il faille préparer la suivante. Chaud ou froid. Vivement recommandé et pas cher du tout.

En 2014, entre août et octobre, une sorte d'excroissance située sur le côté gauche du crâne, sous la limite des cheveux, a commencé à me tracasser. Elle était apparue il y a quelques années, quelque temps après mon AVC. Je n'ai pas fait le lien à l'époque et j'ai mis ça sur le compte du vieillissement. Elle palpitait gentiment, de manière absolument pas douloureuse, mais bon, je la remarquais. Si je la touchais doucement, ses contours s'effritaient et révélaient des vaisseaux sanguins. La plupart du temps je n'y touchais pas, pour ne pas risquer une infection. En octobre, elle était tombée et avait complètement disparu. Depuis, mon monde a une fois de plus changé. Je me concentre beaucoup mieux, et ma vision de ma vie et du monde qui m'entoure dépasse le cadre de ce message, mais elle est d'une clarté absolument extraordinaire.

L'excroissance symbolisait la "purge de mon cerveau". Mon corps avait réparé ce qui était abîmé et l'avait éliminé via mon crâne. Tout seul (et avec un peu d'aide de ma marmite de légumes).
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