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Project Avalon
Une chronique de l'éveil humain
...là où se rencontrent science et
spiritualité
C sur le Forum...
SPIRITUALITÉ
Une extraordinaire
histoire sur les moments précédant la
naissance
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Message N°1 |
9 juin 2014 (Pour l'original, voir
ici.) |
Membre
d'Avalon |
Une
extraordinaire histoire sur les moments
précédant la naissance
Un extraordinaire récit sur les moments
précédant la naissance, quand nous avons la
possibilité de voir qui seront nos parents (la
mère dans ce cas précis). Extrait du site
suivant : http://www.nderf.org/NDERF/NDE_Exper...iend_other.htm.
Voici l'histoire :
"Mon amie et moi
nous sommes rencontrées il y a quelques
années, en tant qu'institutrices. Lorsque nous
nous sommes rencontrées, elle était enceinte
et elle m'a choisie pour être présente à la
naissance de son enfant, parce qu'elle était
mère célibataire et qu'elle avait peur d'être
seule. C'était un immense honneur d'être
invité dans la salle de travail parce que,
même si j'ai des enfants à moi, c'était là une
occasion extraordinaire d'être témoin d'une
naissance sans ressentir moi-même la
souffrance !
Mon amie mit au monde un petit garçon nommé
Michael, et ce fut une expérience incroyable !
J'ai plaisanté en lui disant que j'avais vu
son fils avant elle ! (J'ai vu sa tête pointer
avant qu'il naisse, et elle, elle n'avait pas
de miroir pour le voir par elle-même !)
Tragiquement, mon amie est décédée
brutalement, quelques mois seulement après
la naissance de son fils. Ce sont ses
[grands] parents qui l'ont élevé. Le garçon
va maintenant à l'école où sa mère et moi
enseignions, et cette année il est dans mon
cours de 4ème Grade (élèves de 9-10
ans - Ndt). C'est le cœur lourd que je lui
fais la classe tous les jours. Je ne lui ai
jamais dit que j'étais présent à sa
naissance, parce que je ne voulais pas que
les autres élèves puissent penser qu'il
avait droit à un traitement de faveur, et je
ne voulais pas le perturber en évoquant sa
mère. Ses grands-parents lui ont peut-être
dit que j'y étais, mais je n'en suis pas
certaine. Il sait néanmoins que sa mère et
moi étions amies. (C'est logique, puisqu'il
sait qu'elle enseignait autrefois dans notre
école.)
Avançons à la semaine dernière, 9 ans et
demi après sa naissance et le décès de sa
mère.
Je parlais avec ma classe de nos souvenirs,
en prélude à la rédaction d'un petit poème.
Je leur ai demandé de se remémorer leurs
souvenirs les plus anciens. La plupart des
élèves ont parlé de la maternelle, ou
éventuellement de la garderie, ou de vagues
souvenirs de vieux jouets, etc., datant de
leurs 3 ou 4 ans.
Michael leva la main et me raconta qu'il se
rappelait observer tout le monde depuis le
ciel, et avoir été dans le ventre de sa mère
avant sa naissance. Il dit que lorsqu'il
attendait de naître, il était invisible et
se trouvait avec moi, dans ma voiture GRISE,
en route pour l'hôpital, et que j'écoutais
la chanson "Hiver Printemps Eté ou
Automne". (C'était la façon dont il
appelait la chanson. Il n'en connaît
vraisemblablement pas le nom réel, et ne l'a
probablement pas entendue depuis (...) mais
il s'agissait de "You've Got a Friend",
interprétée par James Taylor. J'avais
autrefois la cassette dans cette voiture-là
!!!). C'est étrange, parce que j'avais
effectivement une voiture grise à l'époque,
et n'en ai pas eu ces 7 dernières années (2
ans après sa naissance). Je n'arrive pas à
imaginer qu'il connaisse cette chanson pour
l'avoir entendue de nos jours à la radio.
Mon cœur a commencé à
battre la chamade. Comment bon sang
pouvait-il savoir ça ? Même ses
grands-parents ne l'auraient pas su, ni sa
maman avant de mourir. Même si par hasard
elle l'avait su, il n'avait que trois mois
lorsqu'elle est décédée. Comment aurait-elle
pu le lui dire ? Je ne lui ai certainement
jamais dit quelle chanson je passais dans ma
voiture en route pour l'hôpital. Donc, je ne
peux pas l'expliquer !
Michael m'a dit qu'il se souvient que je me
suis arrêtée pour faire le plein et que j'ai
demandé au pompiste comment aller à
l'hôpital (VRAI). Il m'a dit qu'il voulait
que je sois sa maman parce qu'il a aimé ma
voix quand je parlais au pompiste. (Je me
suis effectivement arrêtée pour prendre de
l'essence et j'étais plutôt perdue sur ce
trajet menant à un hôpital situé dans la
campagne, j'avais donc demandé mon chemin).
Ensuite il m'a dit qu'il se souvenait que le
parking était partiellement fermé pour
travaux, il m'a donc fallu me garer dans un
coin et courir à l'hôpital. À ce stade, je
me trouvais déjà bouche bée et toute la
classe me dévisageait. Je n'avais jamais dit
à la classe (ni à Michael) que j'avais
assisté à sa naissance. La classe a dû
penser que c'était une drôle d'histoire.
C'est alors que Michael a dit la chose la
plus incroyable -- Il a dit que pendant que
sa "vraie m'man" était en train d'accoucher,
il avait demandé à Dieu si je pouvais être
sa maman, car il savait que sa "vraie m'man"
ne survivrait pas très longtemps, et qu'il
avait peur d'être seul sur Terre. On lui a
apparemment dit qu'il ne pouvait pas m'avoir
comme "vraie m'man", mais que tout se
passerait bien et qu'il serait tout de même
à proximité de moi dans sa vie.
Michael dit qu'il a continué à implorer que
je sois sa mère. Il m'a regardé parcourir le
couloir qui allait des salles d'accouchement
à la salle d'attente pour téléphoner depuis
une cabine (vrai -- il n'y avait pas de
réseau pour le mobile à l'hôpital), et que
là-bas j'avais très froid et donc que j'ai
enfilé le chandail que quelqu'un avait
laissé sur une des chaises de la salle
d'attente. À ce stade, j'avais
déjà les cheveux qui se dressaient sur la
tête. J'ai honte de le dire, mais j'ai
effectivement trouvé un joli cardigan bien
chaud dans cette salle d'attente, et j'ai
l'ai mis parce qu'il faisait un froid de
canard. Je n'avais jamais rien fait de ce
genre auparavant, mais c'était un très petit
hôpital et il n'y avait littéralement
personne d'autre dans la salle de travail et
j'ai attendu de voir si quelqu'un venait
réclamer son chandail, mais personne ne l'a
fait. J'avais si froid ! Je l'ai mis et j'ai
fini par l'emporter à la maison. Honte sur
moi, je le sais, et je m'en sens encore
coupable. Je m'en suis senti si coupable que
je ne l'ai jamais remis, en particulier
parce qu'il me rappelle mon amie trop tôt
disparue. Quoi qu'il en soit, je dois
signaler la chose, parce que je n'ai jamais
dit à quiconque que j'avais pris le chandail
de quelqu'un d'autre, et que c'est un
élément très important de cette histoire !!!
Michael a conclu en racontant qu'il m'avait
vu téléphoner et enfiler le chandail de
l'autre personne, et il ne s'est rien
rappelé de plus. Il est né environ une
demi-heure après mon passage à la salle
d'attente et mon appel téléphonique.
Plus tard j'ai dit en privé à Michael :
"Oui, j'ai bien assisté à ta naissance.
Comment as-tu su tout ça ?" Ses
grands-parents n'y ont pas assisté et il
n'existe pratiquement aucune chance qu'il
ait pu apprendre quoi que ce soit à ce
propos. Comment aurait-il pu l'inventer ? Il
a dit que c'était facile : il n'avait qu'à
repenser à ses tout premiers souvenirs. Il
m'a demandé pourquoi je ne me souvenais plus
de ma naissance comme lui, et il a ajouté :
"Bon, ça ne fait rien, ma vie a bien
tourné... Ne vous tracassez donc pas de ne
pas être ma maman."
OUAH !
C'est en toute sincérité que j'écris ceci,
c'est ma preuve qu'il existe une sorte de
ciel là-haut, s'il a pu se souvenir d'avoir
observé sa naissance et d'avoir attendu de
naître. J'ai envisagé l'idée que sa maman
puisse lui parler depuis l'après-vie, ou
peut-être lui a-t-elle tout raconté, mais
alors comment aurait-elle pu même connaître
ces informations ?"
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Message N°2 |
9 juin 2014 (Pour l'original, voir
ici.) |
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Une
extraordinaire histoire sur les moments
précédant la naissance
Moi aussi je me souviens du moment qui a juste
précédé ma naissance. Je n'ai partagé cette
histoire qu'avec une seule personne et elle ne
m'a jamais posé de questions, ni même semblé
surprise. En conséquence, j'ignore si elle me
trouvait un peu bizarre, ou si elle avait peur.
Je songerai à poster un nouveau message
là-dessus.
Merci d'avoir découvert cette histoire et de
nous la communiquer.
Richard
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Message N°3 |
9 juin 2014 (Pour l'original, voir
ici.) |
Membre d'Avalon
|
Une
extraordinaire histoire sur les moments
précédant la naissance
C'est une belle histoire, merci infiniment
de la partager ! Elle me réchauffe vraiment le
cœur, car elle nous rappelle que notre âme est
éternelle, et il est probable que nos liens
affectifs le soient aussi.
Cela me rappelle une histoire que m'a racontée
ma propre mère, pas aussi étonnante, mais un bon
exemple de synchronisme néanmoins. Elle avait,
voyez-vous, un tout petit garçon né le 11 août
1979, et qui est décédé du syndrome de la mort
subite du nourrisson (SMSN) environ une semaine
après sa naissance. Elle m'a raconté comment sur
tout le trajet vers l'hôpital elle avait
pratiqué la réanimation cardio-pulmonaire, mais
n'a pas pu le sauver, et quand elle est rentrée
à la maison, un bébé chevreuil était allongé
sous le porche d'entrée. Le chevreuil l'a
regardée intensément et ne s'est levé pour
partir que lorsqu'elle a physiquement ouvert sa
porte d'entrée. Le chevreuil a continué à la
regarder et à l'observer, et cela lui a donné
l'impression que les choses allaient s'arranger.
Ma mère est rapidement redevenue enceinte, bien
qu'elle ne l'ait pas désiré. Je suis pourtant né
exactement un an plus tard, le 11 août 1980. Ma
mère pense que je suis la réincarnation de son
premier enfant et que son contact avec le bébé
chevreuil lui a donné l'impression que son bébé
reviendrait quand il serait prêt. Que ce soit ou
non une explication exacte, je dois admettre que
j'ai le sentiment d'avoir beaucoup de chance
d'être l'enfant de ma mère. Je n'aurais pas pu
imaginer choisir quelqu'un d'autre comme mère.
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Message N°5 |
6 juin 2014 (Pour l'original, voir
ici.) |
Membre d'Avalon
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Une
extraordinaire histoire sur les moments
précédant la naissance
J'ai des souvenirs du moment où j'ai été
conçu et d'avoir été dans la matrice maternelle.
Je me trouvais dans un lieu très serein mais
j'avais en quelque sorte accepté d'être
volontaire, et j'ai finalement vu des "films" de
mes parents potentiels, qui étaient au pied de
ce qui ressemblait à un puits ou à un grand
télescope, mais qui était aussi une "TV"
interactive. J'ai donc choisi mes parents, après
avoir obtenu leur accord lors d'une relation
inter-âmes. Quelque temps plus tard, les êtres
angéliques supérieurs m'ont donné une étrange
espèce de "potion" à "boire" qui, je crois, m'a
énergiquement lié, je pense, à la fois au sperme
de mon père et à l'un des ovules de ma mère.
Tout s'est bientôt passé comme si j'étais
emporté par un courant d'abord faible, puis fort
comme une rivière tumultueuse. Je trouvais ça
incroyable, parce que cela me transportait à des
niveaux de plus en plus bas et de moins en moins
joyeux, mais je ne pouvais pas arrêter ce
hors-bord pour débarquer. L'instant d'après un
intense plaisir (à ne pas confondre avec de la
joie pure), et je me suis retrouvé oscillant
toutes les deux ou trois secondes entre trois
éléments avec lesquels m'identifier, sans savoir
avec lequel j'étais censé m'identifier. L'un
était mes parents faisant l'amour. Le deuxième
était un ovule, et le troisième un spermatozoïde
particulier. Le premier était mille fois plus
grand que le deuxième, et l'ovule environ mille
fois plus grand que le spermatozoïde.
Être né était l'expérience la plus écœurante et
la plus horrible qui soit, à cause de la nature
du monde dans lequel j'entrais. Et ce d'autant
plus que j'avais réussi à demeurer dans une
ambiance de bonheur ou de joie dans la matrice
maternelle.
A la fin de la trentaine, j'ai visité la ville
où j'étais né, pour la première fois depuis que
ma famille l'avait quittée, lorsque j'avais un
mois. Cinq ou dix minutes environ avant que le
train n'entre en gare, j'ai passé un village et
j'ai voulu crier : "Arrêtez le train ! C'est là
où mes parents vivaient." Il me semblait voir le
village illuminé d'une vive lumière dorée. Il me
semblait me le rappeler, mais davantage comme
une vue aérienne. Il n'était pourtant pas
logique que ce soit là l'endroit où ils avaient
vécu, parce que je les avais toujours entendus
me dire qu'ils habitaient cette ville-là et non
un village à proximité.
Je suis ensuite descendu du train et, sans
chercher mon chemin, j'ai traversé toute la
ville par le trajet le plus court, en direction
de l'un de ses cinq hôpitaux. Il s'agissait de
l'hôpital le plus éloigné de la gare, à l'époque
et même encore maintenant un hôpital militaire
qui acceptait aussi les patients civils. Je
savais pour ainsi dire où j'étais né.
Je suis rentré à la maison, et j'ai téléphoné à
ma mère, qui vivait dans une autre ville. Je lui
ai demandé dans quel hôpital j'étais né, et elle
m'a dit que c'était à l'hôpital militaire, bien
qu'on ne me l'ait jamais dit auparavant. Je lui
ai demandé dans quelle partie exacte de cette
ville ils avaient vécu. Elle m'a répondu que ce
n'était pas dans la ville elle-même, mais dans
un village nommé Golden Grove, à quelques
kilomètres de la ville. Et, oui, la voie ferrée
passait par là.
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Message N°8 |
10 juin 2014 (Pour l'original, voir
ici.) |
Membre
d'Avalon |
Une
extraordinaire histoire sur les moments
précédant la naissance
J'étais présente à la naissance de ma petite
fille, le 14 janvier 2009. J'ai été la première
à la tenir avant de la poser sur le ventre de ma
fille. J'ai la profonde intuition qu'elle a
choisi ma fille, mais qu'elle m'a choisie aussi.
J'ai été avec elle au cours de vies précédentes.
Je ne peux pas expliquer pourquoi je le sais,
mais je le sais. Je ne ressens pas la même chose
pour ma fille. Je pense qu'elle était plus liée
à son père, au niveau de l'âme.
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Bill Ryan
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