La France
est parmi les pays du monde qui possèdent
le plus de centrales nucléaires, et elles
sont submergées par les observations
d'OVNI.
On a de nouveau vu des OVNI au-dessus d'une centrale nucléaire en France. La dernière observation, en date du 3 janvier 2015, provient de deux vigiles en poste à la centrale de Nogent-sur-Seine, au sud-est de Paris. Les employés ont observé deux objets en train de survoler le périmètre et ils ont alerté la police. Cette dernière annonce qu'elle engagera des poursuites si elle parvient à localiser les responsables.
Les médias "supposent" que ces objets sont des drones, mais les témoins ne sont pas aussi affirmatifs. S'il s'agit effectivement de drones, le gouvernement n'a aucune idée de qui est leur propriétaire. Les OVNI sont depuis longtemps connus pour survoler les installations nucléaires, particulièrement les bases militaires, aux États-Unis et en Russie.
Il y a eu dix-huit observations différentes d'OVNI au-dessus des centrales nucléaires françaises entre le début octobre et la la mi-novembre 2014. Plusieurs centrales ont été visitées au même moment. La police pense qu'il s'agit d'une tentative coordonnée de la part d'un groupe précis.
Fin décembre, on a repéré et signalé un OVNI survolant une centrale nucléaire belge. La centrale de Doel est située à une quinzaine de kilomètres d'Anvers. Cette centrale est fermée depuis quatre mois, suite à un sabotage. Aucun autre détail n'est actuellement disponible.
Les autorités soupçonnent un groupe inconnu d'être responsable de ces incidents. Entre temps le gouvernement français reste en état d'alerte rouge concernant tout objet volant non identifié observé dans l'espace aérien d'une installation nucléaire.
Ces incidents ont déclenché un débat sur la sécurité des centrales nucléaires. Alors que le gouvernement français a insisté sur leur sécurité, les organisations écologiques ont, elles, accusé le gouvernement de minimiser les dangers.
La France possède 58 réacteurs répartis dans 19 centrales nucléaires. Aucune circulation aérienne n'est autorisée à moins de 5 km des installations des centrales.
Source
On a de nouveau vu des OVNI au-dessus d'une centrale nucléaire en France. La dernière observation, en date du 3 janvier 2015, provient de deux vigiles en poste à la centrale de Nogent-sur-Seine, au sud-est de Paris. Les employés ont observé deux objets en train de survoler le périmètre et ils ont alerté la police. Cette dernière annonce qu'elle engagera des poursuites si elle parvient à localiser les responsables.
Les médias "supposent" que ces objets sont des drones, mais les témoins ne sont pas aussi affirmatifs. S'il s'agit effectivement de drones, le gouvernement n'a aucune idée de qui est leur propriétaire. Les OVNI sont depuis longtemps connus pour survoler les installations nucléaires, particulièrement les bases militaires, aux États-Unis et en Russie.
Il y a eu dix-huit observations différentes d'OVNI au-dessus des centrales nucléaires françaises entre le début octobre et la la mi-novembre 2014. Plusieurs centrales ont été visitées au même moment. La police pense qu'il s'agit d'une tentative coordonnée de la part d'un groupe précis.
Fin décembre, on a repéré et signalé un OVNI survolant une centrale nucléaire belge. La centrale de Doel est située à une quinzaine de kilomètres d'Anvers. Cette centrale est fermée depuis quatre mois, suite à un sabotage. Aucun autre détail n'est actuellement disponible.
Les autorités soupçonnent un groupe inconnu d'être responsable de ces incidents. Entre temps le gouvernement français reste en état d'alerte rouge concernant tout objet volant non identifié observé dans l'espace aérien d'une installation nucléaire.
Ces incidents ont déclenché un débat sur la sécurité des centrales nucléaires. Alors que le gouvernement français a insisté sur leur sécurité, les organisations écologiques ont, elles, accusé le gouvernement de minimiser les dangers.
La France possède 58 réacteurs répartis dans 19 centrales nucléaires. Aucune circulation aérienne n'est autorisée à moins de 5 km des installations des centrales.
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