Coup d'État en cours contre Hillary Clinton : Alerte rouge
J'ignore si cela a déjà été posté...
Coup d'État en cours contre Hillary Clinton : Alerte rouge
Publié le 1er nov 2016
Dans cette importante vidéo, Steve Pieczenik ne parle pas seulement de la prise de contrôle des États-Unis par [Hillary] Clinton, mais il révèle son visage après des années loin des caméras.
Dans cette importante vidéo, Steve Pieczenik ne parle pas seulement de
la prise de contrôle des États-Unis par [Hillary] Clinton, mais il
révèle son visage après des années loin des caméras.
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[Traduction, dans la vidéo, du message de Steve Pieczenik (repère : 1:37 "Steve Pieczenik parle") :
Le 1er novembre 2016, Hillary et Bill Clinton, et l'entourage qui les assiste, ont commis un coup d'État civil. Contrairement au concept habituel de coup d'État, où les militaires sont impliqués et prennent le contrôle de la Maison Blanche et des centres de communication, dans le droit fil des scénarios qu'on voit dans les films, ce coup d'État s'est fait silencieusement, et de manière très efficace, grâce à deux méthodes : la corruption et la cooptation. Les Clinton s'emploient depuis un certain temps à coopter notre Maison Blanche, notre [pouvoir] judiciaire, notre CIA, notre Bureau Fédéral d'Enquête (FBI), notre procureure générale Loretta Lynch, et notre directeur du FBI James Comey. Ils se sont assurés qu'ils étaient intégrés à un groupe de gens reliés entre eux par le copinage politique. Néanmoins, afin de mettre fin à ce coup d'État, nous, dans la communauté du Renseignement et avec d'autres gens impliqués, nous nous sommes rassemblés de manière informelle et, avec leur permission, je commence à annoncer que nous avons initié un contre-coup d'État par le truchement de Julian Assange et de Wikileaks. Ce qui se produit en fait, quand Comey a dû ré-ouvrir le dossier d'Hillary Clinton et parler des e-mails liés à l'affaire Anthony Weiner, l'important n'était pas tant l'affaire en elle-même que le fait qu'elle constituait une entrée pour beaucoup d'entre nous, dans le contre-coup d'État, de sauver l'administration. Nous savons qui vous êtes. Non seulement nous vous connaissons, mais nous allons vous empêcher de faire d'Hillary la Présidente des États-Unis. Et dans la foulée, nous allons condamner et inculper le président des États-Unis, Loretta Lynch, et de nombreux autres qui sont impliqués dans la dissimulation de la corruption massive qui s'est produite par le biais de la Fondation Clinton. Maintenant, dans les deux cas, leur coup d'État s'est fait discrètement, et notre contre-coup d'État aussi. Tout a transgressé ou s'est déroulé sur Internet, et c'est probablement la première fois dans l'histoire d'un pays, qu'un coup d'État a été initié par Internet, et que le contre-coup d'État l'a été de la même manière. Je ne suis qu'un rouage dans quelque chose qui dépasse de beaucoup ma personne. Il s'agit d'hommes et de femmes courageux appartenant au FBI, à la CIA, le directeur des services du renseignement, au renseignement militaire, d'hommes et de femmes de 15 autres organismes du renseignement, qui en avaient plus qu'assez de voir la corruption présente à la Maison Blanche, au Département de la Justice, et dans les services secrets, et nous avons tous décidé de faire quelque chose pour sauver la République. Nous avons donc lancé un contre-coup d'État, par l'intermédiaire de Julian Assange, qui s'est montré très brave et formidable dans sa capacité à sortir de l'ombre et de diffuser tous les e-mails nécessaires que nous lui avions donnés pour saper [l'influence d'] Hillary et Bill Clinton. De nouveau, Amérique, nous sommes en train de traverser une énorme transition et, soyons francs, une seconde Révolution américaine (appelée chez nous Guerre d'Indépendance - NdT). Nous n'avons pas de fusils, nous n'avons pas d'armes, nous n'avons pas l'intention de tuer quiconque, ni de blesser qui que ce soit. Mais nous, le public américain, et ceux parmi nous qui ont servi dans l'armée -- les anciens combattants et les gens des services de renseignement, comme moi --, vont empêcher les Clinton d'assumer un pouvoir qu'ils ne méritent pas. En même temps, nous ferons en sorte qu'Obama parte sans laisser derrière lui de grâce présidentielle, ni d'autre acte de trahison. En fait, nous souhaitons une transition paisible au sein de cette grande République Américaine. Je vous apporte ces informations et je veux que vous compreniez ce qui s'est produit. Nous sommes en train de vivre un moment historique et je suis fier de vous l'expliquer.
Le général Michael Flynn s'indigne du scandale des e-mails d'Hillary Clinton : "J'en ai assez !"
Le général Michael Flynn a déclaré à FOX News qu'il était temps qu'Hillary Clinton "se retire de la course."
Quand on l'a questionné sur la "Russian connexion" dont fait largement et agressivement état la machine médiatique des Clinton, le général Michael Flynn s'est montré ferme et sans ambiguïtés...
"C'est du pipeau, rien que du pipeau, et un moyen de détourner l'attention de ce qu'Hillary Clinton sait avoir fait, et ce qu'elle a fait était totalement négatif. Elle devrait se retirer. Elle ne devrait pas être candidate à la présidence des États-Unis."
Le journaliste de FOX News a de nouveau questionné le général Flynn sur la "Russian connexion"...
"C'est complètement stupide. Complètement stupide. Il s'agit d'une tactique utilisée par la machine Démocrate et la machine Clinton pour tenter de détourner l'attention de ce qu'ils savent être vrai... Il y a là une escroquerie à un niveau incroyable... à un niveau incroyable."
"J'en suis écœuré."
Le général Michael Flynn a tiré à boulets rouges sur la corruption et les mensonges d'Hillary Clinton...
"Il s'agit de mensonges, de malhonnêteté, de fourberie envers le public américain, commis au niveau le plus élevé de notre gouvernement."
"Les Américains sont écœurés par cette fourberie et par cette malhonnêteté."
Le général Flynn : Clinton devrait se retirer de la course Général Flynn : Il s'agit ici de [inaudible], de malhonnêteté et de fourberie envers le public américain, au niveau le plus élevé de notre gouvernement. Pour quelqu'un qui pense qu'elle devrait être le prochain président des États-Unis, et donc ce que Donald Trump -- c'est une sorte de nouveau slogan, qu'il n'a pas aimé tant que ça ce qu'on appelle [inaudible]. Je veux dire que le peuple américain en a plus qu'assez de la fourberie et de la malhonnêteté. Et une des choses dont Donald Trump parle constamment, il dit constamment que nous devons changer ce type de comportement à Washington DC. Il nous faut nous débarrasser de la corruption. Nous avons besoin de ramener au peuple américain l'honnêteté et la loyauté... Journaliste : Avant que vous partiez, j'ai eu auparavant [inaudible] ne pas oublier tous ces e-mails, parce qu'ils viennent tous des Russes, et qu'il y a un lien entre Donald Trump et les Russes, qui veulent affecter la sélection. Vous êtes dans le Renseignement, et ils disent que pour 17 agences les ordres venaient des Russes. Une pensée rapide et votre avis sur la question. Général Flynn : J'utiliserais bien de l'irlandais ici, mais je ne le ferai pas, pour votre auditoire. C'est du pipeau (ballooney), OK ? Rien d'autre que du pipeau, et rien qu'un moyen de détourner l'attention de ce qu'Hillary Clinton sait avoir fait,
et ce qu'elle a fait était totalement négatif. Elle devrait se retirer.
Elle ne devrait pas être candidate à la présidence des États-Unis. Le public américain ne va pas gober ça de toute façon, le 8 novembre, quand ils vont élire Donald Trump comme prochain président. Journaliste : Donc, aucun lien entre un effort russe pour... Général Flynn : Non ! C'est complètement stupide. Complètement stupide. Il s'agit d'une
tactique utilisée par la machine Démocrate et la machine Clinton pour tenter de
détourner l'attention de ce qu'ils savent être vrai... Il y a là une l'escroquerie d'un niveau incroyable, Martha... d'un niveau incroyable. Je vous le dis : je suis écœuré et j'en ai assez. C'est pourquoi je fais ce que je fais. Je sais que Donald Trump dans ses discours, il parle à des dizaines de milliers de gens, à ses différents auditoires, il se déplace dans tout le pays, et il parle beaucoup de tout ça. ET croyez-moi : le public américain réagit d'une manière très positive. Et je vous le dis : le 8 novembre, pour les élections, ce sera lui le prochain président !
Waouh ! Steve Pieczenik, lui aussi, dit littéralement que le 11-Septembre est un événement mis sur pied par le service secret israélien. Ce qui est en train d'arriver est bien plus énorme que ce que nous pensions. Il semble qu'ils possèdent également tous les éléments nécessaires contre les Bush. Ce type ne dirait rien de ce genre s'il n'était pas sûr de ses infos, sinon il serait déjà mort.
Il signale aussi que 10.000 Haïtiens ont été tués à la suite de l'intervention des Clinton en Haïti. Waouh, ce sont vraiment des fuites importantes ! Il faudrait que les preuves soient publiées dès maintenant, pour avoir le soutien du public. Et aussi qu'Hillary s'est vendue à l'Arabie Saoudite et à la Chine. Et qu'Obama a toujours marché avec la CIA.
Steve Pieczenik met en garde tous ceux qui, dans l'entourage de Clinton, ont accepté des pots-de-vin. Et il ajoute que Trump ne reconnaîtra pas Hillary comme présidente.
Il parle d'un coup d'État en douceur il y a 20 ans (ce serait lors de la présidence Clinton, bien que je pense que le véritable coup d'État a été la mort de Kennedy), d'un autre coup d'État récemment, et de la contre-offensive de la communauté du renseignement, en ce moment même.
Incroyable de la part d'un ancien membre des services secrets ! Sa vie est en jeu, il ne parlerait pas ainsi s'ils n'étaient pas totalement prêts, à mon avis.
Cela signifie également que les Rothschild/Rockefeller seraient hors circuit ???..... bizarre, presque incroyable. Il y a ici anguille sous roche, selon moi -- qui est derrière qui ? J'ai du mal à croire qu'il s'agisse d'un coup d'État authentique, causé par des personnels de base du renseignement, épuisés et écœurés. Je me demande qui est derrière eux, parce que le véritable pouvoir n'appartient pas à Clinton, à Obama ni à Trump, mais se situe derrière, en-dessous, ou au-dessus d'eux.
J'espère seulement que le pouvoir n'échouera pas à d'autres escrocs (en ce qui me concerne, je ne trouve pas Trump honnête, mais s'il donne le premier coup de balai, pourquoi pas, tant qu'il reste contrôlé et [qu'il y a] Alex Jones).
On demande directement à Hillary Clinton de se retirer, et on l'a informée des alternatives, le désistement de tous ceux qui l'ont aidée, et le sien, dans la foulée.
On demande directement à Hillary de se retirer et on l'informe des alternatives : écarter tous ceux qui l'ont aidée, elle y compris.
S'il s'agit vraiment d'une révolution fomentée par la base des agents du renseignement, je leur souhaite longue et belle vie, ils ont besoin de tous nos vœux et de toute notre énergie.
Coup d'État en cours contre Hillary Clinton : Alerte rouge
Les rats commencent déjà à quitter le navire. Huma Abedin et Anthony Weiner coopèrent à l'enquête et se retournent contre Hitlery pour (ils l'espèrent) sauver leur propre peau. Je suis certain que ce n'est pas fini...
Ces sources du NYPD ont dit que l'"équipe" de Clinton comprenait également plusieurs membres du Congrès non nommés, mais actifs, en plus de ses assistants et de ses initiés. Le NYPD a saisi l'ordinateur de Weiner au cours d'une perquisition, et les détectives ont mis la main sur un filon de plus de 500.000 e-mails datant de l'époque où Hillary Clinton était secrétaire d'État (= ministre des Affaires Étrangères), provenant d'elle, d'Abedin, ou d'autres initiés, ou leur étant destinés. Le contenu de ces courriels a convaincu le FBI de rouvrir vendredi la défunte enquête sur les e-mails.
Mais selon des sources policières, de nouvelles révélations sur le contenu de ce portable impliquent la candidate présidentielle Démocrate, ses subordonnés, et même des responsables élus choisis, pour des délits présumés bien plus graves que la simple mauvaise gestion de courriels classifiés et ultrasecrets. Selon les sources du NYPD, ces nouveaux e-mails contiennent des preuves qui lient Clinton elle-même et ses associés à des éléments tels que :
blanchiment d'argent sale
exploitation d'enfants
délits sexuels impliquant des (enfants) mineurs
parjure
"pay for play" (accès à certaines sources gouvernementales contre de l'argent), par le biais de la Fondation Clinton
entrave à l'exercice de la justice
d'autres infractions pénales
Des détectives du NYPD et un de ses chefs, dont le rang dans la hiérarchie du NYPD se situe juste en-dessous de celui de commissaire, ont déclaré ouvertement que si le FBI et le Département de la Justice n'inculpaient pas à temps Clinton et ses complices, le NYPD révélera au public les courriels compromettants actuellement entre les mains de James Comey, le directeur du FBI, et celles de nombreux bureaux régionaux.
"Le contenu des e-mails est alarmant et, en tant que père, cela me soulève le cœur", a déclaré le chef du NYPD. "Avec ce que nous avons trouvé, ils ne pourront pas s'en tirer par un tour de passe-passe. Nous possédons des copies de tout. Nous les enverrons à Wikileaks, ou bien je tiendrai ma propre conférence de presse, s'il le faut."
Le chef du NYPD a précisé que dès que Comey a vu le contenu alarmant des e-mails, il a été obligé de rouvrir une enquête criminelle à l'encontre de Clinton.
Coup d'État en cours contre Hillary Clinton : Alerte rouge
Posté par Satori
(ici) Donc, le suffrage populaire compte énormément.
Comme vous l'expliquez, le suffrage populaire, État par État, compte énormément, en pratique, pour déterminer le suffrage du Collège Electoral. Quand les Américains votent pour Trump (ou Clinton), ils votent en fait pour des [grands] électeurs, qui se sont engagés à soutenir la candidature de Trump (ou de Clinton).
Mais si [Hillary] Clinton gagne de justesse un nombre suffisant d'États, tout en subissant une défaite écrasante dans les autres États au profit de Trump, elle remporte le Collège Électoral et (sauf événement exceptionnel) devient présidente. Auquel cas, Clinton aurait perdu en grande partie le suffrage populaire (national), mais aurait gagné par la petite porte au Collège Électoral.
le terme de "vote populaire" (sauf cas contraire) signifie habituellement le vote populaire national -- [c'est-à-dire] combien d'Américains en tout (y compris les morts, les immigrants illégaux, le bourrage d'urnes et les machines à voter piratées) ont voté pour ce candidat et non pas pour l'autre.
Toutes choses égales par ailleurs, quelqu'un peut perdre le suffrage national populaire, mais remporter le Collège Électoral et devenir président. C'est ce qui s'est produit, par exemple, en 2000, dans l'élection Bush contre Gore.
Il existe néanmoins des circonstances légitimes dans lesquelles un [grand] électeur peut voter pour quelqu'un d'autre, par exemple si le vainqueur dans son État décède ou démissionne après les élections, ou se retrouve disqualifié pour une autre raison. Les [grands] électeurs ne sont pas légalement tenus de voter pour le candidat à propos duquel ils se sont engagés. C'est une caractéristique voulue de la Constitution, destinée à permettre aux grands électeurs de faire face à des circonstances exceptionnelles.
Et pas même le suffrage du Collège Électoral ne décide du résultat final. Le vote du Collège Électoral doit être avalisé par la Chambre des Représentants, qui offre une autre occasion de nommer président quelqu'un d'autre, si la Chambre rejette certains des rapports soumis par le Collège Électoral, comme c'est déjà arrivé.
La League of Women Voters a expliqué dans Who Will Elect the President? The Electoral College System ("Qui va élire le président ? Le système du Collège Électoral"),
de manière plus détaillée, avec clarté et précision légale, comment fonctionne le Collège Électoral.
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Posté par Sueanne47
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