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Project Avalon
Une chronique de l'éveil humain
...là où se rencontrent science et
spiritualité
C sur le Forum...
NOUVELLES ET MISES À JOUR
Climat et environnement
Les niveaux inégalés
de gaz à effet de serre ont un impact sur
l'atmosphère et les océans
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Message
N°1 |
9 septembre
2014 (Pour
l'original, voir
ici.) |
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Les niveaux inégalés
de gaz à effet de serre ont un impact sur
l'atmosphère et les océans
La concentration en dioxyde de carbone en
hausse
Genève, le 9 septembre 2014 (OMM) -- La teneur
dans l'atmosphère de gaz à effet de serre
présent dans l'atmosphère a atteint en 2013 un
nouveau record, suite à une forte augmentation
des niveaux de dioxyde de carbone (Ndt - appelé
aussi gaz carbonique...). Ceci selon le Bulletin
annuel de l'Organisation Météorologique Mondiale
sur les gaz à effet de serre, qui a insisté
encore plus lourdement que d'habitude sur la
nécessité d'une action internationale concertée
contre les changements climatiques de plus en
plus fréquents et aux effets potentiellement
dévastateurs.
Le Bulletin sur les gaz à effet de serre a
révélé entre 1990 et 2013 une augmentation de 34
% du forçage radiatif -- l'effet de
réchauffement sur notre climat -- dû aux gaz à
effet de serre persistants comme le dioxyde de
carbone (CO2), le méthane et le
protoxyde d'azote.
En 2013, depuis l'ère pré-industrielle (1750),
la concentration de CO2 dans
l'atmosphère a augmenté de 142 %, et
respectivement de 253 % et 121 % pour le méthane
et le protoxyde d'azote.
Les observations effectuées par le réseau de
Veille de l'atmosphère globale de l'OMM ont
révélé que les teneurs en CO2 ont
plus augmenté entre 2012 et 2013 que durant
toute autre période depuis 1984. Les données
préliminaires indiquaient que le phénomène
était peut-être lié à la moins grande absorption
de CO2 par la biosphère terrestre
liée à une augmentation constante des émissions
de ce gaz.
Le Bulletin de l'OMM sur les gaz à effet de
serre parle des chiffres de concentration
atmosphérique -- et non des émissions -- de ces
gaz. Les émissions représentent ce qui part dans
l'atmosphère. Les concentrations représentent ce
qui demeure dans l'atmosphère après le jeu du
système complexe d'interaction entre
l'atmosphère, la biosphère et les océans.
Environ un quart des émissions totales est
absorbé par les océans, un autre quart par la
biosphère, ce qui réduit donc la teneur en CO2
de l'atmosphère.
L'océan limite l'augmentation de CO2
qui autrement se produirait dans l'atmosphère,
mais avec de graves conséquences. Le taux actuel
d'acidification de l'océan apparaît sans
précédent, selon une analyse du rapport, du
moins au cours des 300 derniers millions
d'années.
"Nous savons sans l'ombre d'un doute que
notre climat est en cours de changement, et
que notre météo devient plus extrême, à cause
d'activités humaines telles que la
consommation de carburants fossiles",
déclare Michel Jarraud, secrétaire-général de
l'OMM.
"Le Bulletin sur les gaz à effet de serre
montre que, loin de diminuer, la concentration
de dioxyde de carbone dans l'atmosphère a de
fait augmenté l'an dernier, au taux le plus
rapide depuis 30 ans. Il nous faut inverser
cette tendance en réduisant les émissions de
CO2 et de tous
les autres gaz à effet de serre, dit-il. Nous
commençons à manquer de temps."
"Le dioxyde de carbone demeure des
centaines d'années dans l'atmosphère et encore
plus longtemps dans l'océan. Les émissions de
CO2 passées,
présentes et à venir auront un effet
cumulatif, à la fois sur le réchauffement
climatique et sur l'acidification des océans.
Les lois de la physique sont non-négociables",
dit Mr. Jarraud.
"Le Bulletin des gaz à effet de serre fournit
une base scientifique à la prise de décisions.
Nous avons les connaissances et les outils
pour agir et essayer de limiter l'augmentation
de température à 2°C, afin de donner une
chance à notre planète et un avenir à nos
enfants et petits-enfants. Jouer les ignorants
ne peut plus servir d'excuse à l'absence
d'action", poursuit Mr. Jarraud.
"L'ajout, dans ce Bulletin de l'OMM sur les
gaz à effet de serre, d'une section consacrée
à l'acidification de l'océan est appropriée et
nécessaire. Il est grand temps que l'océan,
qui conditionne en grande partie le climat de
la planète et atténue les changements
climatiques, devienne le centre des
discussions sur ces derniers", dit Wendy
Watson-Wright, secrétaire exécutive de la
Commission Océanographique Intergouvernementale
de l'UNESCO.
"Si le réchauffement climatique --
poursuit-elle -- n'est pas une raison
suffisamment importante pour diminuer les
émissions de CO2,
l'acidification de l'océan en est une,
puisqu'on en ressent déjà les effets et que
cela va s'accentuer dans les prochaines
décennies. Je partage les inquiétudes du
secrétaire général de l'OMM, Mr. Jarraud --
nous MANQUONS de temps !"
https://www.wmo.int/pages/mediacentr...r_1002_en.html
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Message N°2
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9 septembre
2014 (Pour
l'original, voir
ici.) |
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Les
niveaux inégalés de gaz à effet de serre ont
un impact sur l'atmosphère et les océans
Si donc 20 années consécutives
d'augmentation du CO2 ont conduit
à presque 20 années consécutives de diminution
des températures mondiales, pourquoi nous
inquiétons-nous tant à ce sujet ?
Rappelez-vous : le "réchauffement climatique" a
été/est encore utilisé par le Nouvel Ordre
Mondial pour introduire de plus grandes taxes,
moins de liberté et plus de politiques
fascisantes. Quand "ils" n'ont plus réussi à
étayer cette fausse théorie avec des preuves, le
nouveau terme est devenu les "changements
climatiques". Oubliez une seconde que nous
remarquons des changements sur toutes les
planètes de notre système solaire et que des
changements radicaux dans le climat de la Terre
se sont produits de façon naturelle pendant des
millions d'années, sans intervention humaine.
Pourtant, cet article affirme que c'est dû à
l'activité humaine. La vérité, c'est que
personne ne comprend réellement (du moins en
public) la dynamique terriblement complexe des
températures mondiales. Toute personne qui
affirme "Voilà la raison" a probablement une
idée derrière la tête, et elle n'est
probablement pas très bonne !
De plus, aucun chercheur ni journaliste sérieux
ou crédible ne peut discuter intelligemment du
sujet sans inclure dans la discussion les
programmes, existant depuis des décennies, de
manipulation de la météo. Je pense aussi
personnellement qu'il est ridiculement absurde
de discuter de cela sans admettre que l'on
étouffe depuis des dizaines d'années les
technologies énergétiques de pointe qui
mettraient fin du jour au lendemain à notre
dépendance primitive vis-à-vis des carburants
"fossiles" (je conteste également qu'il s'agisse
de carburants fossiles).
Même si le réchauffement climatique était
RÉELLEMENT dû à l'homme, ce qui n'est pas le
cas, voici une opinion intéressante montrant à
quel point il serait impossible d'y faire quoi
que ce soit :
Oui, c'est FOX, mais même un écureuil aveugle
peut parfois trouver un gland. Lord Monckton
explique aussi comment les mythes sur le CO2
ont également été déboulonnés :
https://www.youtube.com/watch?v=rL-qX2GI7dc
(pour une raison quelconque, Projet Avalon ne
m'autorise pas à inclure ce lien dans une boîte
de dialogue YouTube)
(Ndt - Voir ci-dessous, en dernière partie
du message, la traduction des principaux
extraits de cette vidéo)
Si vous voulez le faire à propos de FOX, et ces
idiots de Glenn Beck et John Bolton, il y a
littéralement des centaines d'autres sources qui
déboulonnent ces foutaises.
En parlant d'objectifs, je commence à me
demander si...
[Traduction de la vidéo incrustée (mise en ligne
en 2009, mais datant probablement d'avant
- Ndt) :
Lord Christopher
Monckton vs Al Gore sur le
changement climatique. Power Shift 2011
Global Warming Climategate
Glenn Beck :
... faire des bons choix, non seulement pour
eux, mais aussi pour la planète. Je ne sais
pas pour vous, mais je préférerais choisir
par moi-même. Cela semble un choix facile,
mais pourtant, nous y voici.
De nouveau avec Lord Christopher Monckton,
ancien conseiller auprès du premier ministre
britannique Margaret Thatcher, et expert des
changements climatiques.
Et John Bolton, ancien ambassadeur des États-Unis
et ... et aussi collaborateur de Fox News...
OK.
Lord Monckton, là-haut, au tableau noir.
Mais ça, c'est intimidant. Nous vous avons
fait ça, mais c'est bien.
Oui, m'Lord.
Lord Monckton : Fais
attention, mon ami ! Cinq points en moins
[inaudible] pour avoir souri en classe.
Glenn Beck :
D'accord. Qu'avez-vous [à nous dire] ?
Lord Monckton :
Bien. Voici pourquoi il n'y a aucune raison,
d'un point de vue économique, de faire quoi
que ce soit pour diminuer nos émissions de
carbone, même si, comme nous le savons
maintenant, en fait, l'ONU se trompe.
Mais supposons qu'elle ait raison.
GB : O.K.
LM : Voici pourquoi
rien ne va fonctionner. Nous brûlons 30
milliards de tonnes de CO2
par an dans le monde. D'accord ? 30
milliards de tonnes par an.
Bon. C'est l'équivalent de 2 parties par
million (ppm) par an dans l'atmosphère. Cela
fait donc 15 milliards de tonnes par partie
par million. D'accord ? Vous suivez pour
l'instant ?
GB : Pas vraiment,
mais j'essaie, oui.
LM : C'est très
simple : 30 divisé par 2 : 15 milliards. OK.
GB : Compris.
LM : Vous suivez
pour l'instant. Bon.
L'ONU dit : "Nous allons augmenter la teneur
en CO2 dans
l'atmosphère, à moins que nous y fassions
quelque chose,
de 468 ppm, au cours du prochain siècle.
Ce qui signifie, si vous multipliez ça par
ça : vous obtenez 7 mille milliards de
tonnes, nous devons admettre, de CO2, si
nous ne prenons aucune mesure au cours du
prochain siècle. Donc 7.000.000.000.000 de
tonnes. OK.
Bon. Ils disent que ces 7 mille milliards
de tonnes vont causer une élévation de
température de 7°Fahrenheit (4°C) au cours
du prochain siècle. C'est faux, mais c'est
ce qu'ils disent.
Cela signifie qu'afin d'empêcher 1°F de
réchauffement, vous devez supprimer
l'émission de mille milliards de tonnes de
CO2.
Maintenant divisez mille milliards de
tonnes par le nombre de tonnes, 30 milliards
de tonnes par an, au départ, que nous
brûlons actuellement mondialement, combien
d'années faudra-t-il pour économiser 1°F ?
GB :
Allez-y, Bolton !
John Bolton : Je
serai mort !
LM : Aucun de vous
deux ne peut faire le calcul ! Cela fait 33
ans pour 1°F ! 33 ans, cela signifie :
aucune voiture nulle part sur la planète,
pas d'électricité, pas d'avions, pas de
trains, pas d'hôpitaux, pas d'usines, pas
d'émissions de carbone du tout pendant 33
ans, juste pour 1°F.
Voilà pourquoi il n'y absolument aucune
raison de diminuer les émissions de carbone
: cela ne fera pas la moindre différence
pour le climat.
Fin du cours.
GB : John, quand
vous étiez à l'ONU, de combien de façons
différentes s'attaquent-ils à notre
souveraineté, à notre argent ?
JB : Eh bien, de
tas de façons ! Parlons d'une d'entre elles,
que Lord Monckton a mentionnée tout à
l'heure qui, je pense, est une source
constante d'inquiétude : l'idée d'une sorte
de taxe internationale.
Cela a été proposé au cours de tas de
circonstances différentes : une taxe sur les
billets des compagnies aériennes
internationales, une taxe sur les
transactions bancaires internationales, ici
à Copenhague, il s'agit d'une taxe sur des
choses liées à l'environnement...
Mais, le but est de fournir une source de
revenu pour les institutions
supranationales, ne dépendant pas des
décisions des gouvernements-membres, parce
que la gauche, au niveau international, a
reconnu que le mécanisme de financement de
l'ONU ne fonctionne pas.
Quand vous établissez les cotisations
annuelles, et que vous dépendez de ces
Américains, et du Congrès pour faire passer
ces dotations annuelles, ils craignent que
le Congrès diminue la somme.
Ils cherchent donc constamment des
sources, par le biais d'un mécanisme
quelconque de taxes, qui apporteraient des
revenus qu'ils pourraient utiliser
indépendamment du Congrès. C'est pourquoi
dans la loi du traité maritime, il y a une
source de revenu provenant de l'exploration
minière des fonds marins.
Cette question, qui paraît techniquement
irréfléchie est quelque chose qui revient
constamment, quelque chose que les membres
du Congrès et le peuple américain doivent
connaître, et dont ils doivent s'inquiéter.
GB : Quand on parle de CO2,
la théorie, c'est que plus il y a de CO2,
plus la température monte.
LM : C'est la théorie ! C'est
faux, mais c'est là l'idée !
GB : Mais nous sommes dans une
période de refroidissement.
LM : Oui.
GB : Et j'entends maintenant les
scientifiques dire que le refroidissement
actuel ne fait que prouver combien ça
se réchauffe.
LM : C'est exact. Et cela n'a aucun
sens, n'est-ce pas ?
GB : Non.
LM : Absolument aucun.
GB : Alors démontrez-le. Apportez...
Ces documents viennent de "Newsweek"
: les avez-vous vus ?
LM : Oui, j'ai vu l'article
originel, de 1975, d'où ces deux
graphiques...
GB : Montrez-moi...
Les voici sur l'écran.
LM : Ici vous avez les températures
en baisse depuis 1945 environ jusqu'à
environ 1970. Et à ce stade, ils
commençaient tous à dire : "Oh, nous allons
vers un refroidissement mondial, vers une
autre période glaciaire." Et John Holdren,
qui est maintenant -- croyez-le ou non -- le
conseiller scientifique du président des États-Unis,
disait à l'époque, en 1975 : "Il va y avoir
une telle accumulation de glace en
Antarctique, à cause du froid extrême qui va
arriver, à cause de nos activités sur la
planète, que cette glace va tomber dans
l'océan et va causer la plus grande marée de
l'histoire humaine et balayer partout les
civilisations côtières." Ça, c'était
John Holdren en 1975.
GB : Pourquoi [inaudible] ceci
arriver ?
[Brouhaha]
GB : Vous savez quoi ? Il n'y avait
pas de "FOX News" à l'époque ! Voilà
pourquoi vous ne l'avez jamais vu !
De retour dans juste une seconde...]
[Traduction de la vidéo non-incrustée, que
mpennery voulait proposer en priorité, et
tournée juste après la précédente (extraits) : https://www.youtube.com/watch?v=rL-qX2GI7dc
Lord Monckton déboulonne les
"Changements climatiques" et le
"Réchauffement climatique"
----- (1:00)
Glenn Beck : Ceci (la
Convention-Cadre des Nations Unies sur les
Changements Climatiques - Ndt),
dites-vous, est pour l'élite du gouvernement
mondial.
Lord Monckton : C'est écrit. Au
§30(?) le "Gouvernement Mondial" y est. Ils
indiquent ce que leurs pouvoirs vont être :
ils seront énormes, plus grands que ceux
qu'aucun gouvernement n'a actuellement.
----- (1:36)
GB : Tout ceci est fondé sur la
science du "réchauffement climatique", qui
paraît avoir pris un coup dans l'aile.
Parce qu'il fait plus froid, la Terre
semble se rafraîchir. Il y a tant de CO2
et la Terre semble se refroidir... Ça
n'a aucun sens, si c'est causé par le CO2
!
Mais il y a, lié à ça, une dette liée au
carbone, que nous aurons à payer pour le
reste du monde, parce que nous utilisons
tout ce carbone.
Vous dites que vous pouvez prouver que le
CO2 n'a pas de rapport avec
le réchauffement climatique.
LM : C'est exact. Il a maintenant
été prouvé que non. Pas par moi, mais par le
Pr. Richard Lindzen, du MIT. Bon, vous avez
vu le calcul économique que je vous ai
montré sur le "tableau du Lord" là-haut, et
c'est très, très simple : il dit simplement
: 1000 milliards de tonnes => 1°F =>
réchauffement prévu, et ça signifie qu'il
n'y a aucune raison d'y faire quoi que ce
soit.
Mais maintenant, si nous pouvons nous
rendre à l'autre tableau, plus judicieux,
j'aimerais vous montrer un graphique,
extrait du document de Lindzen.
Vous voyez ici 11 graphiques séparés,
représentant des modèles informatiques.
Ils montrent tous que, lorsque la
température augmente sur la surface de la
mer, de gauche à droite, le rayonnement
sortant par le haut de l'atmosphère doit
chuter, selon les prévisions, parce que les
gaz à effet de serre que nous mettons dans
l'atmosphère, empêchent le rayonnement de
s'échapper. Mais il s'agit de prédictions,
par les Xbox 360 Playstation des
Nations-Unies.
C'est ce que j'appelle de la pensée de
groupe mondialisée. Il n'y a aucune base
scientifique à ça... [Inaudible]
GB : Je suis désolé d'être aussi
stupide, mais pour moi ça n'a aucun sens.
Voyons si j'ai raison : la ligne rouge
descendante représente ce qu'on prédit, et
elle montre que ce qui s'échappe dans
l'espace...
LM : Vous en avez de moins en
moins qui s'échappe dans l'espace, à mesure
que la température augmente. À mesure que la
température augmente, de moins en moins de
rayonnement s'échappe dans l'espace, parce
que le gaz à effet de serre est piégé à
cause de la température en hausse et ils
l'empêchent de s'échapper.
Ça, c'est une prédiction. C'est une
théorie. Si vous ne prédisez pas ça, vous ne
pouvez pas dire que le CO2 pose
problème.
Si nous pouvons avoir la diapo suivante,
je vous montrerai ce qui se produit
réellement.
Regardez le milieu maintenant. Cela, c'est
un résultat mesuré. Il a fallu 20 ans pour
établir ce simple petit graphique.
Le Pr. Richard Lindzen, du MIT, le
météorologue le plus avancé au monde -- il
en sait plus là-dessus que toute personne en
vie -- il a mis 20 ans. Il lui a fallu
attendre d'avoir suffisamment de points de
données pour rendre ce graphique fiable.
Et il montre qu'à mesure que la
température augmente, la quantité de
rayonnement partant dans l'espace augmente
également.
Vous voyez que l'orientation du graphique
est complètement différente. Dans le monde
réel, c'est la courbe verte, provenant du
satellite d'étude du bilan radiatif de la
Terre...
GB : Donc, OK. Le vert est ce qui
se passe réellement...
LM : Ce qui se passe
réellement...
GB : ...et les lignes rouges, tout
autour, sont les prédictions.
LM : Ce sont les Xbox 360,
exactement.
Et ce que nous avons là, c'est un résultat
mesuré qui montre que toutes les hypothèses,
que toutes les réflexions de groupe, que
tout le soi-disant "consensus" qu'on peut
voir dans ces modèles -- il existe un
consensus entre eux --, mais ce consensus,
il est maintenant prouvé faux, par des
mesures directes et méticuleuses.
Et pourquoi cet article précis, et cette
diapo précise sont-ils si importants ? Que
montre-t-elle ?
Que ce rayonnement sortant n'est pas piégé
ici, comme le disent Al Gore et d'autres,
mais qu'il s'échappe dans l'espace,
pratiquement comme il l'a toujours fait.
Et donc, au lieu d'avoir un réchauffement
de 7°F (4°C) ce siècle-ci et un doublement
du CO2, juste 1°F (0,6°C) : petit,
inoffensif et, en général, un avantage.
Et ce document, l'Histoire le considérera
comme la fin de la peur.
----- (5:10)
GB : De retour.
Lord Monckton, Monsieur l'ambassadeur
Bolton.
Lord Mockton, vous demandez depuis très
longtemps un débat avec Al Gore.
LM : Oui.
GB : A-t-il jamais réagi ?
LM : J'ai mis six mois de suite
des annonces dans les journaux, je l'ai
défié au Congrès quand j'y ai été invité par
le chef de la minorité Républicaine pour
parler de l'énergie et du commerce...
[Inaudible]
GB : ... maintenant vous passez
pour de vrai à la télé... [inaudible]
LM : ... il ne l'a pas fait.
GB : Maintenant vous êtes
réellement à la TV, bon c'est encore le
câble, mais...
LM : OK. Mais c'est quand même un
vrai plateau de télévision. Et après tout,
c'est Glenn Beck. Vous avez un certain
poids, pas trop autour de la taille, mais
bon...
----- (5:59)
LM : J'aimerais dire ceci à Al
Gore : "Al Baby, si vous croyez
réellement que vous voulez...
(Titre sur l'écran : "MONCKTON
POURSUIVI POUR VOULOIR FAIRE ARRÊTER LA
DIFFUSION DU FILM D'AL GORE DANS LES ÉCOLES DU
ROYAUME-UNI")
GB : Dites-le lui en face, ici !
LM : Oui. ...Al Baby, si vous
pensez réellement que vous voulez donner
plus d'importance à cette question, pourquoi
n'acceptez-vous pas d'en débattre avec moi
sur [une chaîne de télévision]
internationale : les indemnités que nous
toucherons, en dehors de tout le reste,
seraient énormes, et je sais que vous
aimeriez ça, parce que l'argent semble se
coller à vous très rapidement.
Je veux que vous soyez en face de moi pour
un débat sur le réchauffement mondial, et si
vous n'osez pas le faire, je veux que vous
restiez silencieux sur le sujet pour
toujours, dès maintenant.
Êtes-vous un couard, ou bien
relèverez-vous le défi ?
Êtes-vous un sportif de salon, ou bien
allez-vous vous équiper et aller sur ce
terrain-là ?
GB : Savez-vous, j'ai appris
quelque chose de Andy McLie (??) : "Ne me
traite-pas de poule mouillée !" (...)
----- (6:55)
GB : Une salve de questions : des
questions rapides, des réponses rapides :
nous avons deux minutes chrono ! Êtes-vous
prêts tous les deux ?
Monckton : les ampoules fluorescentes
compactes, censées économiser de l'argent et
de l'énergie, même si elles contiennent du
mercure toxique -- oubliez ça ! --
Sont-elles efficaces ?
LM : NON !
GB : Bolton : Les Nations Unies
cesseront-elles jamais d'être un tigre de
papier et feront-elle réellement quelque
chose comme arrêter un génocide quand il se
produit, au lieu d'écrire des lettres
vraiment méchantes ?
John Bolton : Quand allez-vous
poser des questions sérieuses ?
GB : Oh, OK. Le secrétaire à l'Énergie,
Stephen Chu, a suggéré de peindre les toits
en blanc chez nous pour mettre fin au
réchauffement climatique.
LM : J'ai calculé que cela
coûterait 51 mille milliards de dollars,
pour une diminution de la température de 0,1
°F (0,055°C) au niveau mondial.
----- (7:50)
GB : Dans les établissements
scolaires municipaux de Baltimore, ils vous
disent maintenant : "Vous ne pouvez pas
manger de viande : c'est un lundi sans
viande, c'est pour aider la planète." Cela
fait-il une différence quelconque ?
LM : Absolument aucune, parce que
la concentration atmosphérique du méthane
n'a pas beaucoup augmenté au cours de la
dernière décennie, la concentration est
seulement de 2/3 de ppm et donc son effet
dans le réchauffement climatique ne
correspond qu'à 7 ans d'émissions carbone.
Et ça c'est pour l'ensemble du méthane dans
l'atmosphère, et comme l'a dit le
Représentant Samson (?) Brenner : "Je ne
veux pas demander de taxe !"
----- (8:37)
GB : Bolton, L'ONU
conspire-t-il avec des groupes puissants et
secrets de l'élite pour diriger le monde par
l'intermédiaire d'un gouvernement autonome,
connu sous le nom de Nouvel Ordre Mondial ?
JB : Non !
LM : Peut-être bien !
GB : Les politiques nous
demandent de maintenir nos pneus bien
gonflés pour diminuer notre consommation. Ça
marche ?
LM : Non, mais c'est ça améliore
la sécurité.
-----
Fin de la traduction de la vidéo]
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Message N°5 |
9 septembre
2014 (Pour l'original, voir
ici.) |
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Les niveaux inégalés
de gaz à effet de serre ont un impact sur
l'atmosphère et les océans
Si je me souviens bien de ma biologie
du lycée... les plantes n'ont-elles pas BESOIN
du gaz carbonique pour survivre ? Si c'est le
cas, la vie végétale devrait être
florissante avec un niveau supérieur de gaz
carbonique dans l'air, pas vrai ?
Quelque chose me dépasse ici...
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Message N°8 |
9 septembre
2014 (Pour l'original, voir
ici.) |
Membre d'Avalon
|
Les niveaux inégalés
de gaz à effet de serre ont un impact sur
l'atmosphère et les océans
Soyons clairs. Détruisons-nous les capacités
de cette planète à nous faire vivre à cause de
nos armes, de nos produits chimiques, de notre
manière primitive de consommer l'énergie et de
penser ? Oui.
Provoquons-nous le "réchauffement climatique" ou
des "changements climatiques" ? A moins que nous
ne parlions précisément des programmes de
modifications météorologiques, NON. Ne croyez
pas, je vous en prie, que parce que j'appelle un
programme d'asservissement du Nouvel Ordre
Mondial par son vrai nom, que cela signifie que
je me moque de la Terre. Dans mes choix de vie,
je fais ce que je dis, et vous ? Nous ne
pourrons jamais réparer cette m... tant que
toute la vérité ne sera pas mise sur la table.
Matt
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Message N°9 |
9 septembre
2014 (Pour l'original, voir
ici.) |
Membre
d'Avalon
|
Les niveaux inégalés
de gaz à effet de serre ont un impact sur
l'atmosphère et les océans
Le "réchauffement climatique", appelé
maintenant "changements climatiques", a été
politisé. Et cela a retardé de plusieurs années,
sinon de plusieurs décennies, la science
intègre. Beaucoup de gens pensent que si vous ne
vous croyez pas au réchauffement mondial, vous
vous moquez de la planète. Rien n'est plus faux
dans notre cas : non seulement nous recyclons,
nous compostons, nous utilisons bien l'eau et
nous cultivons nos propres légumes, mais nous
limitons aussi notre consommation de tous les
carburants, pour nous chauffer et pour nous
déplacer. Nous le faisons parce que nous pensons
que c'est une façon responsable de vivre, et non
à cause de pressions ou de manipulations
politiques.
Chacun devrait faire ce qu'il peut pour protéger
et améliorer l'environnement, quelle que soit sa
position par rapport au réchauffement
climatique. Ce n'est que lorsque les questions
deviennent aussi gravement politisées, que les
gens choisissent leur camp, et tout le monde y
perd. Les médias de grande diffusion se calent
la plupart du temps sur le gouvernement et ça
fait au moins une décennie que le réchauffement
climatique est leur dada. La décennie même où
les températures mondiales sont restées
stationnaires.
Si quelqu'un croit autant dans le réchauffement
climatique, il devrait modifier son exposition
aux médias et inclure des articles et des
témoignages qui intègrent l'autre aspect de
l'équation. Quand on commence à avoir une image
équilibrée, on peut commencer à repérer la
tromperie. Quand on commence à voir la tromperie
(par omission, par manipulation des faits, par
le mensonge ou un choix subtil des mots) la
lumière se fait, éblouissante.
Voici un très
court article (en anglais) qui explique en
termes très clairs la supercherie du
réchauffement climatique/des changements
climatiques.
[Traduction de l'article (du 21 août 2013) :
Larry Bell
L'hystérie du New York
Times à propos du réchauffement climatique
ne tient pas compte de 17 années de
températures mondiales stables
Le New York Times a fiévreusement
rapporté le 10 août que le Groupe
Intergouvernemental d'Experts sur l'Évolution
du Climat (GIEC) va encore publier un
nouveau rapport effrayant sur le climat.
Négligeant les 17 dernières années environ
de températures mondiales stables, le GIEC
va affirmer que : "Il est extrêmement
probable que l'influence humaine sur le
climat est responsable de plus de la moitié
de l'augmentation des températures moyennes
constatées au sol de 1951 à 2010."
Le projet de rapport dit également :
"Il existe une forte certitude que ceci a
réchauffé l'océan, fait fondre la neige et
la glace, élevé le niveau moyen de la mer et
modifié quelques extrêmes climatiques au
cours de la seconde moitié du XXème siècle."
Et là où le rapport précédent du GIEC se
contentait d'affirmer une probabilité de 90
% que l'activité humaine en soit la cause,
ils ont maintenant rehaussé leur degré de
certitude à 95 %.
Ils doivent donc, de toute évidence,
disposer de sérieuses preuves pour
corroborer cette fanfaronnade en hausse.
Exact ? Eh bien, là encore, peut-être pas
tant que ça, après tout.
Quelles sont les preuves
d'un récent réchauffement climatique
artificiel ?
Des fluctuations cycliques, abruptes
et dramatiques, régionales ou mondiales, de
la température se produisent depuis
des millions d'années. De nombreux facteurs
naturels sont connus pour contribuer à ces
changements, même si les modèles et théories
climatiques les plus sophistiqués sur
lesquels ils sont fondés sont incapables
d'en prédire le moment, l'échelle (en hausse
ou en baisse), ou les implications futures
-- et encore moins la contribution marginale
des différentes influences humaines.
Alors que le réchauffement climatique
mondial a été claironné comme une crise
épique de changement climatique, avec la
production par l'homme de CO2,
un "gaz à effet de serre" présent sous forme
de traces dans l'atmosphère et désigné comme
le grand coupable, et un dangereux
"polluant", rappelez-vous que tout au
long des périodes plus anciennes de
l'histoire terrestre, les niveaux de CO2
ont toujours été entre quatre et dix-huit
fois plus élevés qu'actuellement, et
que les changements de température précédaient,
et non suivaient, les variations
atmosphériques en CO2.
S'est-il produit un réchauffement
"récent" ? Oui, le climat mondial s'est
effectivement réchauffé depuis le "Petit Âge
Glaciaire" (d'environ 1400 à 1700 apr. JC),
et qui va probablement se poursuivre pendant
200 à 300 ans, par à-coups, pour atteindre
une température maximale correspondant
grosso modo à celle de la période de
réchauffement médiévale. Cette époque-là a
suivi une autre, plus froide, située entre
la fondation de Rome vers 750 av. JC,
et 200 av. JC. Dès 150 av. JC le climat
s'était suffisamment réchauffé pour
permettre la culture des premières olives et
des premiers raisins dans le nord de
l'Italie. Il y a seulement 1000 ans, les
Vikings d'Islande élevaient du bétail, des
moutons et des chèvres dans les prairies de
la côte sud-ouest du Groenland.
Puis, vers 1200, les températures ont
commencé à chuter, et les colonies
scandinaves étaient déjà abandonnées autour
de 1350. La banquise atlantique a commencé à
se développer vers 1250, et les saisons de
culture raccourcies et la météo
imprévisible, y compris des pluies
torrentielles dans le nord de l'Europe, ont
mené à la "Grande Famine" de 1315-1317.
Les températures ont de nouveau chuté
dramatiquement au milieu du XVIème siècle
et, malgré des fluctuations annuelles
notables d'une année sur l'autre, le régime
le plus froid depuis le dernier âge
glaciaire (le soi-disant "Petit Âge
Glaciaire"), a dominé les 150 années
suivantes ou plus. Les pénuries de
nourriture ont tué des millions de gens en
Europe entre 1690 et 1700, suivies par de
nouvelles famines en 1725 et 1816. La fin de
cette période a vu les brutales températures
hivernales subies par les troupes de
Washington à Valley Forge en 1777, et la
glaciale retraite de Russie de Napoléon en
1812.
Bien que les températures aient
généralement été plutôt douces au cours des
500 dernières années, nous devons nous
rappeler que d'importantes fluctuations sont
normales. Le siècle dernier a lui-même subi
deux périodes distinctes de réchauffement.
La première entre 1900 et 1945, et la
seconde, à la suite d'un léger
rafraîchissement, a brutalement débuté en
1975. Lors de cette seconde période, la
température a très légèrement augmenté, si
c'est vraiment le cas, jusqu'en 1998, puis
s'est stabilisée et a commencé à
redescendre, après avoir atteint un maximum
de 1,16°F (0,64°C) de plus que la
température mondiale moyenne. Il n'y a pas
eu de réchauffement depuis au moins une
décennie et demie, et peut-être depuis bien
plus longtemps.
Il est également important de se
souvenir qu'environ la moitié de tout le
réchauffement estimé depuis 1900 s'est
produit avant le milieu des années 1940,
malgré une teneur en CO2
en hausse continuelle. Il faut aussi noter
que, même aujourd'hui, environ 97 % de tout
le CO2 actuellement dans
l'atmosphère provient de sources naturelles.
Quelles sont les preuves de
l'influence du CO2
d'origine humaine sur le climat ?
Tous les modèles climatiques du
GIEC incluent une théorie prédisant que le
réchauffement climatique "anthropique"
(causé par l'homme) se révélera par une
"amplification" de la tendance au
réchauffement en surface qui se manifeste
sous la forme d'un "point-chaud" dans la
troposphère tropicale. Au lieu de cela, les
données satellitaires et celles,
indépendantes, des ballons, montrent une
tendance proche de zéro de 1979 à 1997,
suivi d'un "pic" de température bien connu,
en 1998, universellement attribué à un
Super-El-Niño. Cette absence de
"point-chaud" observé laisse supposer que la
tendance au réchauffement des températures
de la surface terrestre (de 1979 à 1997) est
grandement surestimée, et devrait être
proche de zéro dans les Tropiques.
D'où viennent donc les preuves qui
soutiennent la revendication de certitude à
95 % du GIEC ? La véritable réponse est
qu'il n'y en a pas. Aucune. Il n'y en a
jamais eu... il s'agit seulement de modèles
climatiques théoriques non prouvés.
Si l'on souhaite un peu d'histoire des
sciences politiques dans ce domaine, il est
important de se rappeler que ce type de
déclarations de la part du GIEC suit
généralement une série de projets de
rapport, modifiés pour paraître de plus en
plus intéressants pour les médias. Par
exemple, le texte originel d'un Troisième
rapport d'Evaluation (TRE) datant d'avril
2000, déclarait : "Il existe une influence
humaine discernable sur le climat mondial."
Ceci a été suivi d'une nouvelle version, en
octobre, qui concluait : "Il est
vraisemblable que les concentrations
croissantes de gaz à effet de serre
anthropiques ont contribué de manière
significative au réchauffement observé au
cours des 50 dernières années." Puis, dans
le résumé officiel final, on a durci encore
plus le ton : "La plus grande partie du
réchauffement observé au cours des 50
dernières années est probablement due à
l'augmentation de la concentration des gaz à
effet de serre."
Quand le "New Scientist"
interrogea Tim Higham, le porte-parole du
Programme de l'ONU pour l'Environnement, sur
le fondement scientifique de cette
évolution, il a répondit honnêtement qu'"il
n'y avait aucune nouveauté scientifique,
mais que les scientifiques souhaitaient
présenter un message fort et clair aux
décideurs politiques."
Les déclarations du rapport du GIEC
contredisent parfois directement les
conclusions publiées par les mêmes auteurs
au cours de la même période. Au sujet de
toute "influence humaine discernable sur le
climat mondial", un résumé du rapport du
GIEC datant de 1996 et rédigé par B.D.
Sander, T.M.L. Wigley, T.P. Barnett, et E.
Anyamba déclare : "...il y a la preuve d'un
schéma émergeant de réponse climatique aux
forçages par les gaz à effet de serre et aux
aérosols de sulfates (...) de modèles
verticaux, saisonniers et géographiques de
changements de température (...) Ces
résultats indiquent une influence humaine
sur le climat."
Néanmoins, une autre publication de
1996, "The Holocene", de T.P. Barett, B.D.
Sander, P.D. Jones, R.S. Bradley et K.R.
Briffa, dit : "L'estimation des...variations
naturelles est cruciale pour le problème de
la détection d'un signal anthropique
[humain]... Nous en avons estimé
l'éventail...à partir de paléotempératures
obtenues indirectement, et l'avons comparé
aux... modèles généraux de circulation
[climatique]... aucune des trois estimations
de l'éventail des variations naturelles ne
s'accorde entre elles... Tant que...ce
problème ne sera pas résolu, il sera
difficile de dire, avec certitude, qu'un
signal climatique anthropique a, ou n'a pas,
été détecté."
Bien que le GIEC soit généralement
présenté au public comme l'autorité suprême
en la matière, l'organisation ne procède en
fait absolument pas à des recherches
originales sur les climats. En lieu et
place, elle émet simplement des évaluations
que l'on suppose fondées sur un examen
indépendant des recherches publiées.
Certaines des conclusions les plus
influentes résumées dans ses rapports n'ont
cependant jamais été fondées sur des
recherches authentiquement indépendantes, ni
correctement vérifiées par des processus de
revue par des pairs.
Le GIEC a affirmé dans son rapport de
2007 que les glaciers de l'Himalaya
fondraient selon toute vraisemblance avant
2035, du fait du réchauffement mondial,
alarmant ainsi fortement toute l'Asie du Sud
et de l'Est, où les glaciers alimentent les
principaux fleuves. Il s'avéra que cette
prédiction provenait en fait d'un article de
magazine écrit par un glaciologue indien,
Syed Hasnain, qui émettait une hypothèse
totalement dépourvue de fondements
scientifiques. Hasnain travaillait pour une
entreprise de recherche dirigée par le
président du GIEC, Rajendra Pachauri.
L'auteur du rapport du GIEC, Marari Lai,
admit plus tard au "Daily Mail"
de Londres : "Nous avons pensé que si nous
pouvions insister là-dessus, cela aurait un
impact sur les décideurs politiques et les
hommes politiques, et les encouragerait à
prendre des mesures."
Tout en reconnaissant que la plupart
des nombreux évaluateurs scientifiques sont
des gens dévoués et compétents, qui prennent
leur travail très au sérieux, peu d'entre
eux ont une quelconque influence sur les
conclusions finales dont le public est
informé. Au lieu de cela, les immenses
compilations qu'ils préparent subissent des
évaluations bureaucratiques internationales,
où des personnes nommées par des politiques
les dissèquent, ligne à ligne, afin de
glaner ce qui soutient le mieux ce que le
GIEC voulait dire dès l'origine. Ces
passages sélectionnés sont ensuite
rassemblés, condensés et mis en évidence
dans des résumés pour décisionnaires
politiques, calibrés pour être placés en prime-time
ou attirer l'œil en première page.
Le rapport 1996 du GIEC a utilisé des
données sélectives, un graphique trafiqué et
des modifications du texte effectuées entre
le moment où les scientifiques l'ont
approuvé et celui où il a été publié. Ces
nombreuses irrégularités ont poussé le Dr.
Frederick Seitz, physicien de renommée
mondiale et ex-président de l'Académie US
des Sciences, de la Société Américaine de
Physique et de l'Université Rockefeller, à
écrire (en août 1996) dans le "Wall
Street Journal" : "Je n'ai jamais été
témoin d'une corruption plus perturbante du
processus de revue par des pairs que lors
des événements qui ont mené à ce rapport du
GIEC."
Des dizaines de milliers de
scientifiques ont déposé des plaintes
officielles à propos des pratiques
anti-scientifiques du GIEC. Parmi les
personnes critiques figurent d'anciens
sympathisants. L'un d'eux est le Pr. Fritz
Vahrenholt, un des fondateurs socialistes du
mouvement écologique allemand, qui dirigeait
la division énergie renouvelable de la
deuxième entreprise de services d'utilité
publique. Son ouvrage récent, en
collaboration, intitulé : "The Cold Sun: Why
the Climate Disaster Won't Happen" (Le
soleil froid : pourquoi la catastrophe
climatique ne se produira pas), accuse le
GIEC d'incompétence et de malhonnêteté,
spécialement parce qu'ils créent la peur en
exagérant l'influence connue des émissions
humaines de CO2
sur le climat.
Comme l'a admis en novembre 2010
Ottmar Edenhofer, un responsable du GIEC :
"...on doit se débarrasser de l'illusion que
la politique internationale liée au climat
est une politique environnementale. Au lieu
de cela, la politique des changements
climatiques concerne la manière dont nous
redistribuons de fait la richesse
mondiale..."
Existe-t-il une preuve
quelconque d'un problème climatique ?
Dans son discours sur l'État de
l'Union, le président Obama a déclaré : "Il
nous faire plus pour combattre les
changements climatiques (...) Il est exact
qu'aucun événement isolé ne constitue une
tendance. Mais le fait est que les 12 plus
chaudes années connues font partie des 15
dernières. Les vagues de chaleur, la
sécheresse, les feux de forêts, les
inondations -- tous sont devenus plus
fréquents et plus graves."
Mais on s'éloigne ici beaucoup des
faits. En réalité, il n'y a eu aucune
augmentation de la force ni de la fréquence
des ouragans des cinq principaux bassins
mondiaux au cours des 50 à 70 dernières
années ; il n'y a eu aucune augmentation de
la force ni de la fréquence des ouragans
tropicaux atlantiques au cours des 370
dernières années ; les États-Unis
bénéficient actuellement de la plus longue
période jamais enregistrée ne comportant
aucun ouragan violent des catégories 3 à 5.
Il n'y a eu aucune tendance depuis 1950
prouvant une plus grande fréquence des
fortes tornades (de F3 à F5) sur les États-Unis
; il n'y a eu aucune augmentation de
l'importance des inondations aux USA au
cours des 85 dernières années ; et
l'élévation à long terme du niveau de la mer
ne s'accélère pas.
Regardons donc l'importance de cette
concentration "alarmante" de 400 parties par
million de CO2
dans l'atmosphère, dont on entend tant
parler. Comme le montrent quelques-uns
des résultats résumés par Steven
Goddard dans un article du 10 août, qu'il a
posté dans "Real Science", nous sommes
actuellement les témoins :
* du plus frais été jamais enregistré
au Pôle Nord
* de la plus grande extension de glace
arctique d'un mois d'août depuis 2006
* d'une extension record de la glace
antarctique
* de l'absence, depuis huit ans,
d'importants ouragans
* de la moins active saison des
tornades jamais enregistrée
* de l'absence de réchauffement
climatique depuis 17 ans
* de la deuxième moins active saison
de feux jamais enregistrée
* de quatre des cinq hivers les plus
enneigés de l'hémisphère nord depuis 2000.
Quant à ces prédictions actuelles du
GIEC concernant l'accélération de
l'élévation du niveau de la mer, ne prévoyez
pas de vendre bientôt votre carré de plage
privée, du moins pas pour cette raison.
William Harper, professeur de physique à
Princeton, qui a fait des recherches sur la
physique des océans pour l'US Air Force,
constate que "le niveau de la mer augmente
depuis 1800, depuis la fin du Petit Âge
Glaciaire." Ne pouvait-on pas s'y attendre ?
De fait, même le GIEC a admis dans son
dernier rapport qu'"aucune accélération à
long terme du niveau de la mer n'a été
identifiée à partir des seules données du
XXème siècle."
Le Dr. Nils-Axel Morner, ex-président
du département de paléogéophysique et de
géodynamique à l'Université de Stockholm
(Suède), étudie depuis plus de 35 ans le
niveau de la mer et ses effets sur les zones
côtières. Il constate que "...le niveau de
la mer s'est effectivement élevé de, disons,
1850 à 1930-1940. Et cette élévation était
de l'ordre de 1 mm par an."
Morner est très critique vis-à-vis du
GIEC et de ses prédictions de fin du
monde à gros titres. Il méprise les
prétentions du GIEC à "connaître" les faits
qui concernent l'élévation du niveau de la
mer, et remarque que les vrais
scientifiques "continuent à chercher la
réponse" en poursuivant leur collecte de
données "parce que nous sommes des géologues
de terrain ; eux sont des informaticiens.
Donc toute cette histoire de niveau de la
mer qui augmente, elle provient de modèles
informatiques, pas d'observations. Les
observations ne permettent pas de la
constater !"
Le financement continu par
les États-Unis de la
propagande du GIEC est-il
sain ?
A la suite de l'engagement du
président Obama dans son discours sur l'État
de l'Union de "mettre les bouchées doubles"
dans sa guerre "verte" frénétique contre les
changements climatiques, Blaine Luetkemeyer,
le représentant républicain du Missouri au
Congrès, a présenté une loi visant à éviter
toute nouvelle écotaxe destinée à faire
progresser les programmes de l'ONU,
ravageurs pour l'économie. Le projet de loi
vise à interdire dorénavant aux États-Unis
de financer l'alarmiste Groupe
Intergouvernemental d'Experts sur l'Évolution
du Climat (GIEC), tout comme la
Convention-Cadre des Nations Unies sur les
Changements Climatiques (CCNUCC), une
arnaque dont le but est de redistribuer la
richesse américaine pour nous punir de
l'injuste prospérité de notre libre
marché capitaliste.
Le Membre du Congrès Luetkemeyer est
tout à fait contre l'utilisation par la
CCNUCC des propositions et des données
erronées du GIEC pour la mise en œuvre ici,
en Amérique, d'un programme néfaste à
l'emploi. Selon lui "Le peuple américain n'a
pas à payer la facture d'une organisation
très mal gérée, à la science peu rigoureuse,
et dont le programme destructeur pour
l'emploi va faire grimper le coût de
l'énergie aux États-Unis. Le
président semble malheureusement prêt à
financer ces groupes-là, à réactiver des
politiques dangereuses comme celle du
plafonnement et d'échange de droits
d'émission, et de donner encore un peu plus
de pouvoir non contrôlé aux législateurs
fédéraux, à un moment où nous devrions faire
le maximum pour diminuer les dépenses
inutiles, réduire la paperasserie
réglementaire, et promouvoir le
développement économique."
Sous l'administration Obama, la CCNUCC
et le GIEC ont reçu ensemble en moyenne
10,25 millions de dollars chaque année, un
montant qui s'élèvera à 13 millions selon la
demande budgétaire pour l'année 2013.
L'administration George W. Bush débloquait
jusqu'à présent environ 5,7 millions de
dollars annuels. Bien que ces montants
puissent paraître dérisoires comparées aux
largesses des dépenses gouvernementales, il
est important de remarquer que cette folie
coûte en réalité un nombre incalculable de
milliards en politique désastreuse et
conséquences réglementaires. Et cela, chers
lecteurs, c'est justement ce que souhaite
l'ONU.
Fin de l'article traduit]
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Bill Ryan
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