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Project Avalon
Une chronique de l'éveil humain
...là où se rencontrent science et
spiritualité
C sur le Forum...
NOUVELLES ET MISES À JOUR
Climat et environnement
Ils le reconnaissent -
ils ne savent pas
quels effets les chemtrails
auront sur nous
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Message
N°1 |
22 septembre
2014 (Pour
l'original, voir ici.) |
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Ils le
reconnaissent - ils
ne savent pas quels effets les chemtrails
auront sur nous
https://www.youtube.com/watch?v=1xCEptksWFs
Commencez à 9 minutes si vous manquez de temps.
[Traduction de la vidéo :
Début d'un recours collectif exercé
contre la géo-ingénierie !!! - Ils le
reconnaissent - des chemtrails pour
réduire la population
(Ajoutée le 23 déc. 2013)
(0:49) MAIS QUE DIABLE
PULVÉRISENT-ILS DONC ?
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(7:00) [Extrait de la conférence
"Modifier le climat par la géo-ingénierie -
science, gouvernance et incertitudes",
septembre 2009, par David Keith, Université
de Calgary (Alberta, Canada)]
David Keith, géo-ingénieur : La
petite image est extraite de l'étude d'une
nano-fabrication, qui montre qu'on peut
faire de la haute qualité en une fois et de
façon très simple. Faire des particules
d'aluminium de haute qualité simplement en
pulvérisant de la vapeur d'aluminium
[inaudible]
En principe, c'est certainement
possible de le faire. Il y a toute une
documentation là-dessus, ce qui n'est déjà
pas si mal.
Et on peut le faire sans construire de
nouvelles versions d'avions existant, et
même sans les reconditionner. Donc on y
réfléchit. [inaudible] et on veut que ce ça
se fasse. ils ne disent pas que c'est plus
difficile que d'habitude, ils disent :"OK,
oui, nous pouvons y arriver."
La géo-ingénierie des aérosols semble
être si bon marché que son coût ne va pas
être en principe un problème. Son
application est liée à l'évaluation du
risque. Le risque qu'il y a à le faire par
rapport au risque qu'il y a à ne pas le
faire. Et ça rend le problème de savoir
comment nous le faisons, fondamentalement
plus difficile et différent de la normale.
Donc, je vous ai dit que c'est bon
marché, [inaudible] je pense que c'est vrai
et que cela ne va pas changer. Mais je pense
que plus nous effectuerons des recherches,
moins ça paraîtra facile, plus les effets
liés à l'environnement paraîtront complexes.
Et ça c'est une bonne chose. Parce que ça
paraît pour l'instant trop facile. Donc je
pense que si nous effectuons plus de
recherches, nous allons trouver que c'est
plus dur et plus compliqué que nous le
pensions, que les effets secondaires sont
plus difficiles à gérer, et ça c'est un
résultat sain, qui rendra les choses plus
facile à gérer(?).
Bien sûr, la réaction contraire est
possible. La question de savoir comment
les gens vont réagir en apprenant ça,
est empirique. Une autre réaction c'est de
dire : "Si ces fous de scientifiques sont SI
inquiets qu'on mette du CO2
dans l'atmosphère, au point d'envisager ces
choses-là, ça pourrait en fait vouloir dire
que nous devrions considérer plus
sérieusement les risques liés au CO2
dans l'atmosphère."
Et incidemment, il ne s'agit pas
vraiment d'un danger "moral", mais plus de
faire payer l'addition à nos petits-enfants.
(Ecran) Et incidemment, il ne s'agit
pas vraiment d'un danger moral, mais plus de
FAIRE PAYER L'ADDITION À NOS
PETITS-ENFANTS.
Dane Wigington, expert du soleil : ...études,
dont celles du CARB - le California Air
Resources Board - (qui régule la qualité de
l'air en Californie - Ndt), ont signalé des
particules plus petites que le micron comme
étant particulièrement dangereuses pour la
respiration humaine. Dans aucune des
discussions d'aujourd'hui, je n'ai entendu
mentionner ces retombées ; et est-ce que
ceci a été étudié, de même que les effets
des métaux radioactifs, comme ceux de
l'aluminium, qui intoxiquent les sols et
l'eau ?
Alan Robock, géo-ingénieur :
La question est : "Quels seraient les effets
de ces matériaux sur la santé humaine en
retombant dans la stratosphère, et en
particulier les petites particules
d'aluminium ?..."
David Keith :
Si bien que ce sont les collaborateurs de
mes travaux sur ce projet d'aérosol, en fait
Fox and [l'Université] Carnegie Mellon, qui
se sont concentrés sur les conséquences pour
la santé humaine. Et bien que ne l'ayons pas
publié, c'est la toute première chose que
nous avons faite : étudier et calculer
l'ordre de grandeur, non pas avec des
crayons et du papier, mais avec un expert
des conséquences sur la santé humaine, pour
voir si ça pouvait être un problème.
Et, en ce qui concerne l'aluminium et
les autres particules, il y a beaucoup
d'autres éléments de toxicologie, que
nous avons vraiment étudiés sérieusement.
Mais si vous pensez qu'un simple nombre
de particules, l'impact sur la santé humaine
n'est pas les particules, la réponse
c'est, bien que ne l'ayons pas publié, c'est
la première chose que nous avons examinée, c'est
que des experts réputés ont fait de
nombreuses recherches sur les
conséquences pour la santé, et on en est
même pas prêts à commencer cela.
Stewart Howe, Journaliste :
Permettez-moi de tirer au clair. Donc dix
millions de tonnes d'aluminium larguées dans
l'atmosphère n'auraient aucun impact
sur la santé humaine ?
DK : Permettez-moi d'être plus
prudent ici. Nous avons séparé les
recherches toxicologiques. Mais nous avons
seulement commencé à effectuer des
recherches sur l'aluminium et rien publié.
(Apparition sur l'écran d'une
page-titre :)
Laboratoire de
recherches de l'Armée de l'Air
Toxicité in vitro des
nanoparticules d'aluminium dans les
macrophages alvéolaires [pulmonaires] du
Rat
Andrew Wagner
Charles Bleckmann
E England
Institut de Technologie de l'Armée
de l'Air
Base Aérienne de
Wright-Patterson, OH 45433
Krista Hem (?)
Geo-Centers, Inc.
Dayton, Ohio
(Défilement du titre :) Interaction
cellulaire de différentes formes de
nanoparticules d'aluminium dans les
[macrophages] alvéolaires du Rat
[Répétition de la citation] "Nous
avons seulement commencé à effectuer des
recherches sur l'aluminium et rien publié."
Michael J. Murphy, journaliste :
Dane, donc vous me dites qu'épandre de 10 à
20 mégatonnes d'aluminium, comme vous (il se
tourne vers Stewart Howe) l'avez dit,
n'aurait aucun effet sur la santé humaine ?
Il a inspiré un grand coup, il a avalé sa
salive, et il a seulement dit :
"Permettez-moi d'être plus prudent ici."
DK : Nous n'avons
rien fait de sérieux sur l'alumine, et
donc il se peut que nous trouvions demain
quelque chose de terrible, que nous
n'aurons pas examiné.
MM : Et ça, pour moi, c'était
l'argument le plus important sur ce qui va
maintenant arriver au public.
Ce sont les effets délétères de
l'aluminium que nous sommes en train de
découvrir en quantité massive dans le monde,
auxquels sont confrontés David Keith. Et à
ce stade il donnait l'impression de venir
seulement de dévoiler le pot aux roses :
DK : Nous
n'avons rien fait de sérieux sur
l'alumine, et donc il se peut que nous
trouvions demain quelque chose de
terrible, que nous n'aurons pas examiné.
SH : ...quelque chose de séparé
de cette crise du réchauffement climatique
mondial. Il y a de toute évidence plusieurs
autres objectifs, qu'il s'agisse de
dépeuplement, de contrôle, d'armes, de
communications, toutes sortes de choses, des
caractères de remplacement dont nous ne
savons rien. Nous ne le savons pas vraiment,
et je n'ai pas l'intention de spéculer, nous
ne savons exactement quels sont ces
objectifs, mais ils ne sont sûrement pas au
bénéfice de l'humanité. Ils profitent aux
plans de l'élite.
Ken Caldeira, géo-ingénieur : Je
pense que la question est de savoir où on
place la limite concernant une
activité autorisée qui ne nécessite pas de
gouvernance mondiale, et celles qui
la nécessitent vraiment.
Président Barack Obama (voix off) :
Le Dr. John Holdren a accepté le poste
d'Assistant du Président pour la Science et
la Technologie et d'être directeur du Bureau
de la Maison Blanche pour la Politique
Scientifique et Technologique. J'attends
avec impatience ses sages conseils pour les
prochaines années.
(Titre sur l'écran) Le chef
scientifique d'Obama examine les mesures
drastiques liées au climat
Dr. John Holdren : Mon
opinion personnelle, c'est que nous devons
garder la géo-ingénierie sous le coude,
qu'il nous faut l'examiner très
attentivement parce que nous pourrions nous
retrouver suffisamment désespérés pour y
faire appel.
KC : Que ferions-nous
donc si en 2040 ou 2060 il se produit une
grave crise climatique, par exemple de
grandes famines ou que le Groenland glisse
brutalement dans l'océan ?
Que la seule façon vraisemblable de
commencer le refroidissement de la Terre ce
siècle-ci, est d'intervenir directement sur
le système climatique, par exemple en
envoyant des particules dans la
stratosphère...
M. Granger Morgan, Département de
l'ingénierie et de la politique publique,
Université Carnegie-Mellon :
Nous agissons bien sûr constamment sur la
stratosphère, ce n'est donc pas comme si la
stratosphère était absolument immaculée,
mais on ne veut pas que les gens aillent
faire des choses qui impliquent de grands
forçages radiatifs, ou qui continuent
pendant de longues périodes ou qui, ce
faisant, provoquent de grandes surfaces
réactives qui auraient pour résultat de
détruire de façon significative l'ozone...
KC : Peut-être
qu'envoyer des particules dans l'atmosphère,
parce que j'essaie de faire de l'argent, ou
le faire parce que j'entreprends des
recherches scientifiques afin d'essayer de
comprendre la physique des nuages, ou
peut-être que j'envoie ces particules dans
l'atmosphère parce que je veux faire
pleuvoir localement pour voir les nuages,
pour obtenir plus de neige sur les pistes de
ski de la Terre...
(Titre sur l'écran :) Prêts
à renoncer au ciel bleu pour réparer le
climat ?
...ceci soulève bien évidemment toutes
sortes de questions. C'est terriblement
risqué. Cela aura probablement des impacts
négatifs sur certaines personnes, mais nous
pourrions nous retrouver dans une situation
où ces risques peuvent valoir la peine
d'être pris.
Michael J. Murphy : Une
des choses qui m'ont vraiment choqué a été,
dans un des groupes de discussion, ils
évoquaient les avantages de ces programmes,
puis les risques.
Maintenant, le seul avantage qui a été
je crois indiqué, c'était le refroidissement
de la planète. Parmi les risques, il y avait
la diminution de la couche d'ozone, la
sécheresse en Afrique et en Asie...
SH : Je dois vous dire
qu'après avoir écouté ces scientifiques
pendant quatre jours, quatre jours de
symposium, je suis sorti de cette expérience
vraiment inquiet, parce qu'il est clair
maintenant qu'ils justifient, qu'ils
rationalisent et cherchent à légitimer des
impacts vraiment, vraiment horribles, de
nouveaux impacts sur notre environnement, et
ils expriment avant tout leur stratégie de
vente, l'application de leur stratégie de
contrôle et de leur stratégie de
financement.
MJM : Après San Diego,
j'étais si choqué par les programmes
proposés que j'ai décidé d'écrire là-dessus.
Cette nuit-là, mon article une fois terminé,
je l'ai envoyé à une publication en ligne,
en y joignant mon adresse mail.
A mon réveil le lendemain, ma
messagerie était submergée de réponses de
tous les coins du monde.
Pourquoi ? Parce que je venais de
révéler l'histoire de l'aluminium utilisé en
géo-ingénierie, dont j'ignorais totalement à
l'époque qu'elle était si peu connue. Ce
métal, l'aluminium, on le trouve en énorme
quantité, une quantité bien supérieure aux
niveaux normaux, dans la pluie, dans
les sols et dans la neige.
Fin de la vidéo]
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Message N°2
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22 septembre
2014 (Pour
l'original, voir
ici.) |
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Ils
le reconnaissent - ils
ne savent pas quels effets les chemtrails
auront sur nous
Obama sait que la partie est finie - les moutons
bêlants ont dépassé la masse critique - donc
c'est décidé : ils viennent seulement de
commencer la géo-ingénierie.
Nous savions que cela se produisait, mais eux
pensent que nous plaisantons, et que c'est donc
à eux [de nous l'apprendre], c'est juste que les
choses vont se produire après coup.
http://www.huffingtonpost.com/bill-c...b_5069973.html
[Traduction de l'article du Huffington Post
(6 janvier 2014) :
Obama prend une mesure audacieuse pour
changer le climat par la géo-ingénierie
Le président Obama, le
secrétaire d'État John Kerry et le
conseiller pour la Sécurité Nationale Susan
Rice. Quelques jours après son avertissement
: "J'ai un stylo et... un téléphone, et si
le Congrès ne fait pas son travail, je ferai
le mien", Obama a réuni son équipe de
sécurité nationale pour donner le feu vert
à un nouveau projet de changement
climatique. "Appelez-moi le Faiseur de
Pluie", a-t-il dit au groupe rassemblé,
faisant allusion au nom de code du plan.
(Photo officielle de la Maison Blanche, par
Pete Souza)
La cause de ce brutal hiver aux États-Unis
est finalement expliquée.
Ce n'est pas comme si Obama ne nous avait
pas avertis. Souvenez-vous de son discours
de 2013 sur l'État de l'Union
:
"Si le Congrès n'agit pas
rapidement [à propos du changement
climatique], pour protéger les générations
futures, je le ferai. J'inciterai mon
Cabinet à proposer des actions exécutives
que nous pourrons prendre, maintenant et
dans l'avenir, afin de réduire la
pollution, de préparer nos communautés aux
conséquences des changements climatiques,
et d'accélérer la transition en faveur de
sources d'énergie plus durables."
J'ai interprété l'expression "action
exécutives" comme signifiant la promulgation
de lois et règlements, qui faciliteront des
programmes au niveau de l'État
et de la communauté, et qui consacreront
plus d'argent à la recherche et au
développement d'énergies renouvelables. Il
s'avère qu'Obama a un plan beaucoup plus
ambitieux -- un programme high-tech de
géo-ingénierie qui prêtera presque
certainement autant à la controverse qu'il
est (ou a été) secret.
Un rapport secret expose le plan
Un exemple hautement remanié d'un rapport
classifié intitulé "L'Amérique cesse de
s'échauffer sur le climat" (America Cools
Down on Climate -- ACDC), obtenu par
TheGreenGrok résume ce plan audacieux qui
utilise le trafic aérien commercial pour
limiter l'impact grandissant des changements
climatiques dans tous les États-Unis.
Ce plan tombe dans la catégorie dite de la
géo-ingénierie, c'est-à-dire la tentative
par les humains de ralentir, d'arrêter, ou
même d'inverser le réchauffement
climatique mondial en manipulant
l'environnement, au lieu d'essayer de
réduire les émissions de gaz à effet de
serre elles-mêmes.
Parmi les exemples de géo-ingénierie figure
l'injection de particules dans la
stratosphère pour renvoyer la lumière du
soleil dans l'espace, et de larguer du fer
dans l'océan pour augmenter l'absorption du
dioxyde de carbone atmosphérique par le
phytoplancton. Le plan ACDC, "Faiseur de
Pluie" de son nom de code, est considéré
comme révolutionnaire par les experts, non
seulement parce qu'il n'a pas nécessité la
construction d'une vaste infrastructure
industrielle, mais aussi parce qu'il a
contribué à maintenir les vols aériens à
l'heure.
L'inconnu n'est pas un obstacle
Bien qu'elle ne soit pas une solution
scientifique conventionnelle pour rétablir
le climat, de nombreux scientifiques
trouvent intéressante l'idée de la
géo-ingénierie. Ses partisans font remarquer
que sa présence dans un récent rapport de la
Commission Intergouvernementale sur le
Changement Climatique lui confère une
certaine légitimité. D'autres scientifiques,
de même que la plupart des décideurs
politiques et des militants comme Al Gore,
pensent que le risque que les choses
puissent mal tourner est beaucoup
plus fort que tout avantage potentiel.
Par exemple, l'injection de fer dans
l'océan pourrait en effet permettre au
phytoplancton de se développer plus
rapidement, et d'"[engloutir] le dioxyde de
carbone grâce à la photosynthèse", mais
l'usage d'un tel "engrais" se ferait au
détriment des créatures qui forment leur
coquille à partir de carbonate de calcium,
ce qui pourrait ralentir la photosynthèse --
l'effet exactement inverse à celui qu'on
attend du projet de géo-ingénierie.
Pour emprunter une expression de l'ancien
secrétaire à la Défense, Ronald Rumsfeld,
bien connu pour être favorable au respect de
l'environnement, de telles propositions
évoluent dans le domaine des "inconnues
inconnues" -- les choses dont nous ignorons
que nous ne les ignorons." Tout comme dans
le principe de précaution, bien des membres
de la communauté écologiste ont repris à
leur compte le credo de Rumsfeld et crient
des slogans du genre "Arrêtez les inconnues
inconnues" dans les rassemblements et les
manifs.
Malgré les inconnues inconnues, Obama
semble avoir choisi de jeter les précautions
par-dessus bord, pour ainsi dire, et de
faire cavalier seul en géo-ingénierie. Selon
un initié désireux de garder l'anonymat afin
d'éviter, comme il le dit, de se faire
"snowdeniser", le président a rassemblé en
mars dernier ses chefs d'état-major dans la
Salle de Crises pour lancer le plan
de géo-ingénierie.
La sécheresse à l'origine de
l'initiative "Faiseur de Pluie"
Selon le rapport ACDC, la longue sécheresse
subie par le pays a déclenché l'action du
président. Sa partie principale dit :
Les sécheresse graves et
prolongées dans le cœur agricole du pays
menacent notre capacité à nourrir notre
peuple et sapent notre économie. Nous
devons prendre toutes les mesures
nécessaires permettant d'apporter plus
d'eau fraîche au Middle West et au
Sud-ouest, en manipulant les voies
de circulation à grande échelle comme le courant-jet.
Pour parler simplement, produire de la
pluie, ou plus précisément de la neige,
est une nécessité."
L'exploitation du tourbillon
Le rapport conclut que le meilleur moyen de
mettre fin à la sécheresse des États-Unis
est d'augmenter la quantité de neige
hivernale, ce qui fournirait une ressource
cruciale en eau au printemps, au moment où
lèvent les récoltes. La meilleure façon de
le faire est de dévier le "jet
stream" vers le sud pendant l'hiver
afin de créer un tourbillon polaire qui
produirait d'intenses tempêtes de neige. Le
rapport reconnaît que ceci créerait des
conditions hivernales pénibles dans de
nombreuses régions du pays.
"Les Américains vont souffrir cet hiver",
prédit le rapport, "mais les consommateurs
seront reconnaissants l'année prochaine
quand le prix du Coca Cola diminuera grâce à
la baisse des prix du sirop de maïs à haute
teneur en fructose causée par une récolte de
maïs exceptionnelle."
Quand le général Martin Dempsey, président
des chefs d'état-major, s'est enquis des
risques politiques de retour de bâton, le
président Obama lui a répondu : "Marty, si
nous sommes capables de descendre Osama par
miracle, manipuler le climat est un jeu
d'enfant."
Les États-Unis
font le saut en géo-ingénierie
En août 2013, une fois le rapport
bouclé, l'administration a commencé à
exécuter le plan, un plan qui, je l'admets
-- bien que je ne sois pas du tout fan de
géo-ingénierie -- m'épate à la fois par sa
simplicité et le génie de sa conception,
sans même parler de son sacré culot. (A tout
le moins, le programme devrait clouer le bec
à tous les critiques d'Obama qui se
lamentent de sa prétendue irrésolution.)
Le programme s'articule apparemment autour
de cordes flexibles spécialement conçues,
composées de nanofibres (en gros des câbles
élastiques high tech) et une équipe de
personnels de la Marine, de l'Armée de l'Air
et du Service Météo US. Parmi les
participants involontaires : les compagnies
aériennes et tous les passagers des vols
intercontinentaux de cet hiver. James
Winkywinc, expert de la NSA, a expliqué que
le programme mettait en valeur l'esprit de
partenariat entre militaires et civils, même
si ce partenariat était caché aux
participants civils. Par un processus encore
très secret, la Marine et l'Armée de l'Air
ont relié une extrémité de ces pseudo-câbles
élastiques à des avions à réaction
commerciaux et l'autre extrémité au
courant-jet, et ils ont ensuite utilisé la
trajectoire des avions pour tirer le bébé
vers le sud afin de créer le tourbillon
polaire.
Même si ça paraît incroyable, ça a
fonctionné. L'hiver dernier, les États-Unis
ont vécu à répétition des périodes d'intense
tourbillon polaire, avec un des plus froids
hivers en 20 ans et des chutes de neige
record dans le nord-est et le Middle West.
Des Répercussions internationales ?
L'instabilité géopolitique était un des
principaux risques pris par le président
avec l'ACDC. Le programme était destiné à
aider les États-Unis
à régler le problème du changement
climatique, sans se préoccuper de la
communauté mondiale. Les chefs d'état-major
avaient peur que l'ACDC génère une série de
projets nationaux de géo-ingénierie, et
déclenche la première guerre mondiale de
géo-ingénierie, connue chez les stratèges
militaires sous le nom de WW1-G.
Pour l'instant les choses semblent
correspondre, au niveau international, aux
désirs d'Obama. Plusieurs pays européens,
selon une source proche du programme, ont
crié au scandale en apprenant le plan
étasunien. Mais leur indignation initiale
s'est apaisée à la vue des résultats de
début décembre. Au lieu de températures
glaciales, les températures plus clémentes
ressenties dans la plus grande partie de
l'Europe étaient une évolution agréable
après un été de tempêtes et d'inondations.
Le boum économique lié à la météo, qui a
engendré en Angleterre une baisse des prix
du gaz naturel et un essor de la
construction en Allemagne, a aussi été le
bienvenu. On a entendu Angela Merkel, la
chancelière allemande, dire : "Soyez-en sûr,
Obama a encore franchi les limites, mais
tout s'est bien passé pour nous, alors
pourquoi s'en plaindre ?"
Et ce n'est pas fini
Suite à l'indubitable succès de l'ACDC,
circulent des rumeurs d'un exercice estival
de géo-ingénierie : Phenological Revamping
and other Natural Keys (Remaniements
phénologiques et autres clés
naturelles), abrégé en "PRANK" (en
français : "une blague, une farce" -
Ndt). Nous vous en dirons plus là-dessus le
1er avril 2015.
Fin de l'article]
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Bill Ryan
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