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Interview du Dr. Pete Peterson

2ème partie - David Wilcock

Traduction et sous-titrage, par The Avalon Translation Project,
d'une interview du site originel de Project Camelot.


Quelque part aux États-Unis, le 29 juin 2009



Cliquez ici pour la 3ème partie de l'interview (Kerry Cassidy)
Cliquez ici pour la 1ère partie de l'interview (Bill Ryan)



DAVID WILCOCK (DW) :
OK. Maintenant, Pete, voici une de mes questions à votre intention : vous avez mentionné auparavant que vous n’aimiez pas le terme de champ de conscience, auquel vous préfériez celui de champ informationnel. Pourriez-vous nous expliquer pourquoi cette distinction dans votre discussion ?

Dr. PETE PETERSON (PP) : Parce que, à mon avis, le champ de conscience a trait à la conscience et que le champ informationnel est avant tout inconscient.

DW : J’aimerais double-cliquer là-dessus et obtenir plus d’infos sur ce lien.

PP : Bon, (Il rit) le champ informationnel contient l’ensemble de l’univers connu, et il y a de la conscience – chaque personne a sa propre conscience et son propre champ de conscience. C’est une des caractéristiques de l’individualité ou, disons, du champ informationnel. Le meilleur mot pour décrire cette caractéristique est, je pense, âme ou esprit. Le champ individuel de conscience de chaque personne est très, très différent.

Le champ informationnel contient la conscience de tous, alors que le champ de conscience contient la conscience de chaque individu, ou sa... Je suppose qu’on pourrait parler de caractéristique spirituelle, bien que j’utilise le mot spirituel tout autrement que ne le font les religions.

DW : Daniel, mon témoin, se référait à l’esprit comme étant l’intellect. Il affirmait que les aspects intellectuels de l’esprit sont non-localisés, qu’ils ne se produisent nullement dans le système nerveux. Ils sont situés dans le champ où se déroulent ces processus cognitifs.

PP : J’approuve tout à fait. Ils sont assurément non-localisés. Ils se situent dans le champ de conscience, qui n’est en aucune façon localisé chez la personne. Il existe partout et en permanence.

Ce n’est pas un dispositif. Il n’appartient ni à l’anatomie neurale, ni à l’anatomie non-neurale. C’est un champ. Cela ressemble par certains aspects à un champ magnétique ou électrique, mais c’est non-local, même s’il apparaît plus ou moins centré autour de l’individu-même.

Cela peut correspondre à ce qu’on appelle parfois l’aura. Mais avec des tentacules qui, si vous voulez, s’étendent dans le temps et l’espace jusqu’à l’infini.

DW : Un scientifique russe nommé Budakovski prend une photo holographique d’un framboisier sain, projette cette lumière dans une tumeur de framboisier, et les cellules de la tumeur se réorganisent en cellules saines, permettant à une nouvelle plante de se développer. En avez-vous entendu parler ?

PP : Eh bien, oui. J’ignorais cette expérience et le regrette beaucoup, car je cherche des choses qu’on peut observer avec des instruments, afin d’en tirer des conclusions. A mon avis... il serait nécessaire qu’il en soit ainsi.

DW : Exact.

PP : J’aimerais mieux connaître cette expérience mais, par exemple, j’ai trouvé qu’en médecine humaine... je suis arrivé à la conclusion – et pense pouvoir le prouver à n’importe quel neuroanatomiste compétent – que l’ADN n’est qu’une usine à fabriquer la partie physique du corps. L’ADN obtient pour ce faire ses informations du champ informationnel. On découvre donc que le champ informationnel est éternel et contient à la perfection l’esprit, l’être ou l’information de la personne – tandis que la perfection passe ensuite par l’usine. Si l’usine rate ce qui met en route le mécanisme, ce dernier va se détériorer, si vous voulez.

Les problèmes liés à l’ADN qu’on rencontre dans la santé et l’anatomie humaines sont des erreurs présentes dans l’ADN, apparemment héréditaires. Mais d’autres informations, également héréditaires, ont été démontrées par les grands travaux de Joseph Chilton Pierce, par exemple, qu’il a rapportés dans Magical Child (L’enfant magique).

Des informations sont transmises au tissu cardiaque – en fait du tissu cérébral présent dans le cœur – et qui détient la plupart des informations de la personne liées aux émotions, et beaucoup de celles liées au goût.

On a par exemple trouvé que des transplantés cardiaques adoraient soudain la moutarde alors qu’ils la détestaient auparavant. On a découvert que le donneur adorait la moutarde, que cette personne était très affectueuse, alors que le patient a perdu son cœur à la suite de grandes frustrations, de beaucoup de stress, et que cette personne-là n’était pas affectueuse. Mais le transplanté l’est devenu et son entourage ignore totalement pourquoi.

DW : Chacun a-t-il le même degré de contact avec ce champ informationnel, ou ce champ de conscience ?

PP : J’en doute, parce qu’il est individuel. Il y a par exemple des gens qui semblent avoir des troubles informationnels, ce qui n’a rien à voir avec le fait d’être personnellement perturbé. Mais ils semblent avoir des problèmes, même si on va leur corriger...

Cela provient d’un champ lié à la santé. J’ai passé de nombreuses années dans ce domaine à élaborer des instruments médicaux. Ils sont tous informatisés et nous avions des années et des années, et des milliers de consultations par des patients auxquelles nous pouvions nous référer pour corréler les données sur le long terme. Ces instruments sont sur le marché depuis 28 ans maintenant, produits à plus de 16 000 exemplaires dans le monde, avec largement plus d’un million et demi de consultations.

Nous avons donc corrélé les données et montré que la plupart doivent correspondre à la réalité objective. De même que j’approuve totalement votre affirmation selon laquelle, par nécessité, il doit exister un champ informationnel, et toujours par nécessité, quelque chose doit exister qui commande l’ADN.

Certaines de nos expériences montrent que nous pouvons créer ce champ autour du corps qui, à son tour, agira comme si l’ADN était parfait. En cas de maladie génétique, cette maladie disparaît. Avec l’arrivée des recherches sur les cellules-souches, nous avons découvert que nous pouvions utiliser les propres cellules-souches d’un individu, amplifier le champ qui entoure son corps et les cellules de cette personne, des cellules reproductibles, atteintes d’un problème génétique, et que ce problème génétique disparaît parce que le champ informationnel détient l’information parfaite et non celle, imparfaite, du gène lui-même.

DW : Eh bien, tout comme la framboise de Budakovski dont je vous ai parlé.

PP : Exactement.

DW : La tumeur a été transformée. Oui.

PP : Oui.

DW : Comment pouvons-nous renforcer le contact avec ce champ que nous possédons ? Avez-vous des exercices, des manières de faire, des techniques peut-être, quelque chose que nous pourrions faire?

PP : J’ai la technologie adéquate, c’est un des produits que j’ai l’intention de sortir lorsque notre laboratoire et notre usine seront terminés.

DW : Bon, terriblement excitant, mais qu’avez-vous fait ? Que pourriez-vous faire ? Que cela pourrait-il apporter ?

PP : Nous le saurons quand nous l’aurons fait et testé, donc... Je sais de quoi je le crois capable, et nous avons bien réussi avec ces instruments. L’Association Médicale Américaine publie chaque année le nombre de diagnostics cliniques que leurs médecins ont, d’après eux, réussi. Cette année le chiffre a bondi à 6 %, pour 5 % l’an dernier. 85 % de nos patients utilisent l’équipement dont je parle, et tous ces patients ont, après deux jours, l’impression qu’ils n’ont pas ce qu’ils avaient en arrivant.

DW : Croyez-vous aux points d’acupuncture, sur le corps ?

PP : Je ne peux qu’y croire, parce qu’ils y sont, et vous pouvez aller chez Radio Shack ou chez Harbor Freight acheter un compteur à 4 ou 5 dollars, le régler en conséquence, parcourir le corps avec, et trouver chacun des points, les repérer au feutre, puis aller les comparer à un tableau des points d’acupuncture, et tout correspondra exactement.

J’ai vraiment découvert comment fonctionnait le réseau des points d’acupuncture. Un certain nombre de gens l’ont postulé, mais aucun n’a démontré qu’il fonctionnait. J’ai travaillé avec le docteur Jean-Claude de Roche (?) à l’Institut Français des Sciences (NdT – à Hanoï ? Je n’ai pu trouver trace sur Internet ni de l’un, ni de l’autre.) C’est un acupuncteur très célèbre. Il enseignait l’acupuncture chinoise. On s’est débarrassé de l’acupuncture dans les années 20 et on l’a rendue illégale, bien qu’elle ait été pratiquée dans la moindre ruelle, puis on l’a réhabilitée au cours de la Révolution Culturelle.

La raison en a été qu’ils ont subi une gigantesque épidémie, que la pénicilline a pu guérir, et non l’acupuncture. Les missionnaires français ont donc apporté de la pénicilline, et ils ont abandonné l’acupuncture au profit de la pénicilline. Mais l’acupuncture a ses usages bien définis, tout comme sa sœur, la phytothérapie chinoise. Il est raisonnable de penser que si on place dans le corps certains produits chimiques et précurseurs, on va obtenir du corps certaines réactions chimiques.

Quoi qu’il en soit, le principe de l’acupuncture est très intéressant. Nous avons injecté dans chaque point d’acupuncture du potassium radioactif alors que le patient était sous scanner haute vitesse, et nous avons découvert que la radioactivité se déplaçait directement vers l’organe associé au point en question...

KERRY CASSIDY (KC) : Oh, waouh !

PP : ...après que le Neijing (la Bible médicale de la Chine ancienne – NdT) et la médecine ayurvédique en ont parlé, réciproquement depuis 3 300 ans et 6 200 ans.

Nous avons donc trouvé l’existence d’une corrélation directe, non seulement vers le système organique, mais vers certaine de ses parties précises. Par exemple, en bas sur la partie extérieure du pouce, existe un point qui donne des informations sur l’ensemble du système lymphatique – juste sous la première articulation. Mais juste au-dessus de la même articulation, il renseigne sur l’état lymphatique de l’anneau de Waldeyer.

Si on l’injecte ici (Il touche le côté de son pouce gauche.), le matériau radioactif va vers l’anneau lymphatique de Waldeyer. Si nous l’injectons ici (Il touche son pouce, près de l’articulation inférieure.), il se répand dans tout le système lymphatique.

Vous descendez (Il indique différents points, en descendant le long du pouce.), alors il descend dans le corps.

Même chose si on le fait sur la surface de la main. On a la lymphe, les poumons, la circulation, etc., etc. (Il montre différents endroits de sa main.) Ici, on a le cœur et l’intestin grêle. On peut descendre et faire une injection ici, qui ira à la valvule mitrale. Ici, le produit ira à l’aorte. Ici, il ira vers ce ventricule-ci, cette oreillette-là, etc., etc.

Ensuite, les points d’acupuncture sont identiques sur le pied. Nous avons également découvert que les points d’acupuncture, que les méridiens d’acupuncture n’étaient pas des veines, ni des vaisseaux.

Les méridiens, comme on les appelle, n’en sont pas réellement. Ils sont constitués de... Si vous avez déjà vidé du gibier ou un poulet, vous remarquerez qu’entre les organes – ou si vous avez pratiqué la chirurgie – il existe une fine couche blanche. Cette pellicule est fabriquée comme un baklava, avec de nombreuses couches, dont chacune constitue une surface capacitive, conductrice, pas conçue pour les matériaux conducteurs comme le potassium radioactif (Il rit.), mais qui fonctionne comme tout le reste du corps.

Le corps est un mécanisme biologique. Il fonctionne comme l’intestin, avec un mouvement péristaltique, tout comme le cœur. Il est de nature ionique, donc polarisé, il pulse et transporte l’information. Ce système était donc un système informationnel. Les points sont situés juste au-dessus et sous chaque articulation et vous les voyez, en descendant, de chaque côté de la main. Autour d’une zone, à un angle de 45° en direction du doigt. On peut prendre par exemple un stylo à bille – je n’en vois pas ici (Il en trouve un.) – en prenant, non pas la pointe du stylo, mais celle du capuchon, et vous testez avec un angle de 45° juste au-dessus et sous chaque articulation.

La plupart des gens ignorent qu’il existe une articulation comme celle-ci, celle-ci ou celle-ci (Il pointe du stylo le dos de sa main.), en descendant jusqu’au poignet. On peut tester ces endroits, et là où l’organe ou le système organique a un problème, on rencontre un petit nodule dur sous la peau, juste au-dessus et sous l’articulation, à environ 45°.

Si on frotte ces articulations, celles qui ne sont pas en trop mauvais état, qui ne posent pas de grave problème, on sent le petit nodule qui, au toucher, sera comme un petit grain de riz rempli de sable rugueux. On sent une texture grumeleuse ou du grain. On parcourt l’articulation de haut en bas et on peut voir où on a un problème.

Bon, les acupuncteurs ne veulent pas que vous sachiez qu’en prenant quelque chose d’un peu plus arrondi et en frottant ce point, vous vous sentirez vraiment bien si vous avez un problème là. Si on prend un morceau de métal et qu’on recommence, on ressentira des choses différentes suivant le point, parce que le métal tend à éliminer un excès de champ électrique, tandis que le plastique agit à l’inverse.

Il se trouve qu’il existe ce qu’on appelle un électret. L’électret est au champ électrique ce que l’aimant est au champ magnétique. Il existe donc un moyen de placer une charge électrique permanente sur du plastique.

Tous les micros des petits magnétophones qu’on voit, 99 % d’entre eux, sont du type à électret, avec une petite pellicule à charge permanente. Au son de la voix, le film vibre. Il y a une pièce de métal juste à côté et on mesure le voltage existant entre les deux, on l’entre dans l’appareil, et voilà d’où provient le signal voix.

On peut donc fabriquer un électret, frotter les divers points et on trouvera ça très agréable. On les frotte une fois, ou 50 fois et, tout à coup, ça cesse d’être agréable, et on passe au point suivant. Si vous faites ça sur vos doigts et sur vos pieds, vous vous sentirez vraiment, vraiment bien. Cela soulagera normalement pratiquement tous vos problèmes.

C’est ce que fait un acupuncteur. Il sait trouver les endroits qui ont besoin d’être traités et il le fait de cette manière-là. On peut aussi utiliser une aiguille d’acupuncture et la placer sur le point à charger ou à décharger, mais il y a une façon de le faire.

Nous en sommes donc arrivés à un de nos produits, composé de deux petites pièces de métal légèrement dentelées, avec lesquelles on peut frotter ses points. Elles comportent des trous, et des gens nous ont demandé à quoi ils servaient, s’ils étaient cruciaux pour l’utilisation et j’ai répondu : Non. C’est pour y attacher un lacet, et si vous prêtez l’objet, enroulez le lacet autour d’une de vos mains, parce qu’on ne va pas vous le rendre, tellement on se sent bien.

(Rires)

PP : Nous avons donc de l’outillage pour les fabriquer, et je devrais en refaire un lot. Quoi qu’il en soit, nous avons trouvé que ces points étaient là. Bon, il s’avère que ces points – comme, ici, le système lymphatique (Il montre le dos de sa main.), et ici le système pulmonaire, et si on va jusqu’au bout de... et il y a des points sur le corps. Si on suit ce méridien jusqu’au bout, ces méridiens se terminent tous à la racine d’une dent. Les dents sont piézoélectriques. Quand on presse un matériau piézoélectrique, il produit une tension électrique.

DW : Une décharge.

PP : Ou si on met du courant sur un matériau piézoélectrique, il se dilate ou se contracte. Les dents sont piézoélectriques. Voilà pourquoi vous devez prendre bien soin de vos dents et ne pas les faire dévitaliser, sauf nécessité absolue, non pas que vous en mourrez, mais votre santé se détériorera.

Certains des objets que nous avons, ces petits dispositifs, vont compenser cela et vous recharger. Particulièrement ceux à qui il manque beaucoup de dents en tirent un grand, très grand bénéfice et ils ont des petits nodules très, très marqués et durs comme du roc. S’ils les massent régulièrement, jusqu’à ce qu’ils ne sentent plus... C’est aussi agréable que de se gratter là où ça démange, et quand ça cesse d’être agréable, passez au suivant. Après un moment vous ressentirez le grain, et plus tard, cela se ramollira et vous n’aurez plus de petit nodule sous la peau.

DW : Ma mère avait un gros nodule ici même et il a fini par partir, mais elle a travaillé dessus pendant plusieurs années. Au majeur.

PP : J’en ai un ici, incidemment. (Il rit.) Il revient et s’en va.

DW : Vous dites donc que les tissus qui entourent les organes possèdent un système de transfert ionique, ce qui...

PP : Non. A l’organe. Ils entourent l’organe, mais montent tout le long du corps. Si on commence à défaire le tissu neural... c’est intéressant, en fait. La plupart des gens ignorent que les lions et les tigres ne mangent jamais le tissu musculaire : c’est très toxique. Ils éliminent les veines, les vaisseaux et le tissu neural. Ils mangent les intestins, mais aussi le cœur et les organes internes. Ils n’absorbent pas le tissu musculaire.

DW : Vraiment ?

PP : Oui. Si on ne leur donne que du tissu musculaire à manger et rien d’autre, ils l’absorberont, mais ils en seront très malades. C’est hautement toxique. Mais les gens mangent tous les tissus musculaires et laissent les bons morceaux.

BILL RYAN (BR) : Est-ce à dire que, si on aime la viande, on ne doit pas manger un bon steak bien rouge ?

PP : Malheureusement. (Soupir) Il est tout à fait évident que je mange tout ce qui est plus lent que moi. (Rires) Mais c’est bien ce que ça veut dire. Tout aussi bon que soit le goût, ce n’est pas bon pour vous.

DW : J’essaie seulement de comprendre...

PP : C’est aussi pourquoi pour les viandes kasher, on utilise une manière très spéciale de prendre l’animal au dépourvu, de ne pas l’alarmer et de le faire passer miséricordieusement... de vie à trépas. C’est parce qu’on ne veut pas que l’animal soit excité et produise beaucoup de toxines dans le tissu musculaire.

DW : Hum. Ce n’est pas...

PP : Sciemment ou non.

DW : Vous ne parlez pas du système nerveux classique, avec...

PP : Non. Il n’est question du système nerveux ici. C’est ce que je dis.

DW : Bien.

PP: Il s’agit d’un système complètement différent. Un Coréen, Kim Bong-Jung (? - NdT), a posé comme principe que... Il a dit : J’ai trouvé le système nerveux et voici des images des petits tubes qui transportent un liquide jaune, etc., etc. Il y a des traces de tout cela.

On peut voir ça partout sur Internet et dans toute la littérature médicale. Mais ce qu’on ne dit pas, c’est que quatre ans plus tard il s’est suicidé, après s’être excusé d’avoir perpétré un tel canular. Ce système n’existe pas. On l’a cherché, on ne l’a pas trouvé, et il a dû finalement admettre qu’il avait tout inventé.

DW : Hum.

PP : Et donc, ce n’est pas le bon système. Nous avons trouvé son fonctionnement en injectant du potassium radioactif, et en l’observant pendant qu’il se répandait dans le corps. C’est extrêmement rapide ! Si on prend du sang au bout de ce doigt et qu’on le suive jusqu’au cœur, il ne se déplacera pas vite. Il ira très, très lentement. Il ne se précipitera pas dans les veines.

Mais si on y injecte du potassium radioactif, il nous a fallu un scanner à haute vitesse pour seulement le voir. Cela va vraiment vite. C’est dû à sa fréquence. C’est comme lorsqu’on trait une vache ou une chèvre – c’est un mouvement péristaltique, et ça se déplace très vite. C’est une très haute fréquence.

DW : Bon, vous dites que tout ceci se produit en interface avec le champ de conscience, ou avec le champ informationnel ?

PP : Avec le champ informationnel.

DW : OK. Pourriez-vous nous l’expliquer ? Quelle en est le composant énergétique ?

PP : Vraiment... Oui, mais il y en a pour plusieurs heures de conférence.

DW : Bon, pourrais-je avoir la version-minute ? (Rires)

PP : Il n’existe pas vraiment de version-minute. Tout dépend d’où il est, de ce qu’il est, du problème, de quel méridien il s’agit.

DW : Si un organe fonctionne mal, quelle est l’importance de ce qui se passe dans votre main ?

PP : Cela n’en a pas. L’organe fait ce qui se produit dans votre main. Il le crée.

DW : OK. Bon, parce que ce sont des extrémités, en quelque sorte.

PP : Parce que nous sommes ainsi faits.

KC : Vous dites que vous pouvez soit le guérir sur la main, ou directement sur l’organe, n’est-ce pas ?

PP : Non.

KC : Non ?

PP : Ce n’est pas du tout ce que je disais. Ce que je dis, c’est que les problèmes de l’organe se manifestent à la fois physiquement et de manière informationnelle aux endroits appropriés du corps.

Bon, quand on y pense, quand on construit une voiture... N’importe quelle auto des 10-12 dernières années possède un connecteur électrique sous le siège. Vous y branchez un ordinateur, qui vous dira : Le capteur d’oxygène est déficient. Les freins faiblissent. Il vous dira un certain nombre de choses.

Bon, admettons que, pour des raisons divines ou génétiques, nous ayons été conçus. Pourquoi ne pas concevoir un système qui testerait la chose en question ? Nous ne sortons pas équipés d’un mode d’emploi, mais peut-être d’un système qui nous permet de trouver très facilement la cause du problème et d’effectuer des modifications.

Ce que nous avons découvert, c’est que toute substance est entourée d’un champ informationnel. Nous avons découvert un moyen de prendre cette substance, de la placer sur un dispositif, et à partir de là, de trouver une signature numérique à ce champ informationnel. Puis, donc, un moyen de le stocker dans un ordinateur.

Maintenant, nous pouvons partir de l’ordinateur, ressortir l’information et créer un champ informationnel. Le faire large, pour qu’il enveloppe le corps. Nous pouvons alors mesurer en temps réel ces points, dont certains – dont la plupart – sont des points d’acupuncture, et d’autres non. Nous trouvons que certains points d’acupuncture, bien que classiques, ne produisent aucun effet.

Bon, il y a 6 000 ans, ou 3 300 ans, on n’avait aucun instrument de mesure, nous avons donc maintenant un système de biofeedback qui remplit ce rôle.

DW : Beaucoup de ceux qui nous regardent vont penser à la machine de Rife quand vous parlez de ces signatures numériques.

PP : C’est très dommage.

DW : Vraiment ?

PP : Parce qu’il n’y a aucun point commun. Cela n’a rien à voir avec la machine de Rife.

DW : OK.

KC : N’avez-vous pas travaillé pour Royal Rife ?

PP : Si, j’ai travaillé un temps pour Rife. Je sais comment fonctionnaient ses instruments et cela n’avait absolument aucun rapport. Il s’agit de mécanique très grossière.

DW : OK.

PP : Et cela ne fonctionne pas du tout comme on pense. Mais c’est une autre histoire. Bon... j’ai été ici un peu dévié de ma pensée sur ceci.

DW : Vous pouvez reproduire une signature pour un composé précis.

PP : Oui, nous pouvons faire la signature d’un composé et le corps va réagir à ce champ informationnel comme si on avait donné la substance à cette personne. On peut donc tirer d’un point d’acupuncture des renseignements qu’on peut transcrire et présenter sur une machine, et ils diront si l’organe est en état inflammatoire, ou en processus dégénératif, et à quel point, depuis combien de temps, s’il gagne ou perd la bataille. On peut ensuite placer le patient dans le champ informationnel d’une substance dont on pense qu’elle peut résoudre le problème, et demander son avis au corps. Le corps réagira exactement comme si vous lui aviez donné cette substance-là, si bien qu’on peut sélectionner un type de traitement.

BR : Quand on donne un placébo, le champ d’information de cette personne en est-il affecté ?

PP : Absolument. Les placébos fonctionnent 50 % du temps, mais pas parce que les placébos ont un effet physique. Ils ont parfois un effet mental, et parfois aussi un effet informationnel.

BR : On devrait donc pouvoir affecter son propre champ informationnel sans placébo ?

PP : Oui. Quand j’ai construit ces machines informatiques très complexes qui font le diagnostic et choisissent le traitement, on m’a demandé : Quel est votre objectif concernant cette machine ? J’ai répondu : Mon but, c’est que le médecin jette l’engin à la benne et fasse le travail.

C’est faisable. La machine, cependant, élimine l’aspect affectif et ses interférences possibles chez le médecin, de même que l’état émotif et les caractéristiques affectives du patient.

Mais une des machines que je veux sortir plus tard est un appareil à biofeedback permettant au patient de se placer lui-même dans un état mental ou informationnel qui affecte le problème lié au corps. C’est faisable. Facilement, même pour autre chose qu’un empoisonnement ou une surconsommation évidents...

Par exemple, il est très bon d’absorber de la vitamine A. Nous n’en avons pas suffisamment dans le corps. Mais si on en absorbe trop, on fait de la rétention d’eau ou on a de l’ascite, et on peut en mourir. Beaucoup de gens manquent d’en mourir. Donc trop c’est trop, aussi bonne que soit cette chose.

DW : Beaucoup de gens vont vouloir savoir si quelqu’un utilise cette technologie. Des médecins l’utilisent-ils ?

PP : Il y a actuellement aux États-Unis, à ma connaissance, 18 000 cliniques.

DW : Dix-huit mille !

PP : Dix-huit mille cliniques qui utilisent cette technologie. J’ai enseigné à 7 entreprises à le faire. Environ 5 autres sont venues leur voler les informations, que je leur aurais données si elles me l’avaient demandé.

DW : Hum.

PP : Parce que savais qu’il allait falloir 20 ou 25 ans pour que la technologie s’installe. J’ai donc laissé d’autres gens le faire, et j’ai couru devant eux à la manière du joueur qui court devant une pierre de curling et qui lui ouvre un passage en balayant. Je suis parti en première position leur ouvrir un passage devant la FDA (l’Agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicaux – NdT).

(Note de l’Éditeur – Pete parle du Curling, sport écossais dans lequel on pousse sur la glace une pierre de curling. Un homme armé d’un balai la précède, balaie la glace et lisse la surface pour faciliter la glisse de la pierre.)

Nous avons eu un excellent publicitaire, dont la mère s’était vue accorder une espérance de vie de peut-être 8 ou 10 semaines, et que nous avons gardée en vie 17 ans de plus.

DW : Oh, mince !

PP : Il en a été très heureux et il a donc pris notre train en marche. Par ailleurs, 10 ou 12 ans plus tard, s’est finalement constitué une autre branche médicale de la FDA, qui s’occupe du genre de machines que nous avons. Entre-temps j’ai dépensé beaucoup d’argent, de temps et d’efforts pour faire approuver cet appareil par la FDA.

DW : C’était ma question suivante. Il doit exister des publications. De la documentation.

PP : Eh bien, la seule documentation que je connaisse, c’est que, si vous entrez mon nom dans un ordinateur, on vous dira à quel point cet appareil est une escroquerie, un engin-bidon. Mais si vous trouvez qui a placé ça là, vous verrez qu’il dit la même chose sur beaucoup d’autres choses qui marchent. Si vous observez l’homme, vous découvrirez qu’il est payé par les grandes entreprises pharmaceutiques et, parfois, par le gouvernement.

DW : Exact.

KC : Quel nom doit-on donc entrer dans l’ordinateur pour cet appareil ?

PP : Je ne vais pas vous le dire. Je n’ai pas envie que des milliers de gens fassent le lien et puissent montrer à leurs amis que je suis un escroc. Que celui qui veut savoir si c’est une escroquerie vienne me voir. Je lui indiquerai le médecin le plus proche et il pourra lui demander si les 3 000, 5 000, 7 000 ou 10 000 patients venus le voir, et sortis deux jours plus tard sans leur problème, pensent qu’il s’agit d’une escroquerie !

Je sais qu’il ne s’agit pas de placébo à 100 %, puisque les placébos ne marchent que 50 % du temps. Et même si les gens de l’AMA disent que les diagnostics cliniques de leurs médecins ne sont corrects que 5 % du temps... Et si seulement 5 % – 6 % cette année - de leurs diagnostics cliniques sont corrects, quel est à votre avis la proportion de traitements corrects ? On sait pourquoi ils disent pratiquer la médecine.

Regardez par ailleurs la série TV Docteur House, et dans chaque cas ils ont tenté 5, 6 ou 7 traitements avant de trouver la solution, en tuant presque le patient à chaque fois. À la télévision, il est censé être le meilleur diagnosticien du monde, savez-vous. Mais c’est très réaliste. Cela vient du Canada. Ils sont beaucoup plus francs là-bas. Pratiquer la médecine : voilà le tableau ! Ils ignorent tout. Ils n’ont pas les moyens de savoir.

Donc, je suis prêt maintenant, après avoir eu cet appareil 28 ans et vu passer quelque chose comme, oh probablement, de 1,2 à 4 millions de consultations, toutes informatisées. Selon la terminologie médicale, c’est anecdotique, parce que le patient ne peut pas vous dire s’il se sent bien, ni que ses symptômes ont disparu – et ça, c’est illégal.

Mais je suis maintenant prêt à affronter n’importe lequel d’entre eux, parce que je peux prouver que mes diagnostics, effectués avec ce type de machine, sont absolument corrects. Parce que, lors qu’ils le vérifient avec des outils diagnostics et des équipements conventionnels, je détecte le problème parfois 20 ans avant qu’il se manifeste dans le corps, là où on peut le tester avec les moyens médicaux courants.

Comment puis-je le prouver ? Eh bien, en attendant 20 ans pour le faire. C’est ce que nous avons fait. Voilà pourquoi j’ai 27 années de tests là-dessus. Voilà pourquoi des gens sont venus, pensant à une escroquerie, ont refusé la médication, mais je les ai observés sur une certaine période et je les ai vus finalement mourir de ce que je leur avais annoncé.

Donc j’ai suffisamment de preuves maintenant. Je suis prêt à le faire, sauf que moi, je ne vais pas le faire, parce que je n’ai aucune envie de mourir assassiné. Il y a des gens avec plus de couilles que moi, prêts à le faire... Excusez-moi : 10 ans chez les Marines...

DW : Vous dites qu’il existe beaucoup de clones de cette technologie, que des gens vous l’ont dérobée, et...

PP : Ils ne me l’ont pas dérobée. Ils l’ont volée à d’autres. Je l’ai donnée, donc ils ne pouvaient pas me la voler. S’ils étaient venus me voir, je la leur aurais donnée.

DW : Est-ce que les résultats de ces autres appareils sont variables, comme... ?

PP : Oh, absolument. J’ai commencé par... Dans mon instrument, quand on touche le corps du patient, au départ il ne sait pas où sont les points, donc j’ai intégré un localisateur de points. Ce dispositif émettait une mélodie qui, pour presque tout le monde, évoquait une vache à l’agonie. (Rires) OK ?

Donc, quand j’ai indiqué comment bâtir cet objet, on l’a construit, et tous disaient : Oh, on dirait une vache à l’agonie, ils ont donc changé la mélodie. Ils ont éliminé 80 % de l’efficacité de la machine, parce que la mélodie donnait beaucoup d’informations, et si le docteur l’avait seulement conservée un mois de plus, il aurait pu entendre cette mélodie et faire passer le temps nécessaire au diagnostic de 35-40 minutes à 2½-3 minutes.

DW : Waouh !

PP : [Au bout d’un moment] cela devenait naturel : Oh, je sais ce que ça signifie. Je sais ce que veut dire cette mélodie. Laissez-moi essayer ceci, essayer ça.

Le médecin peut maintenant afficher sur sa machine quelques 850 000 substances différentes, présentes sur cette planète. Toutes les médications de tous les systèmes médicaux connus. Toutes les phytothérapies connues. Toutes les potions magiques de guérison de tous les systèmes connus. Tous les produits chimiques artificiels existants. Tous les produits chimiques trouvés dans la nature. Toutes les vitamines. Tous les minéraux. Tous les produits des pharmacopées homéopathique et allopathique. Tout y est. Donc, on peut le faire. La machine vous aidera à trier ces produits et à trouver exactement ce qui soulagera le problème.

Et très souvent, on trouve ce qui soulage un problème, disons, dans l’intestin grêle, mais on découvre qu’il aggrave le système nerveux. Vous vous dites alors : Bon, il doit y avoir une autre médication qui marche, sans neutraliser autre chose ici. On peut donc revenir dessus et trouver cette médication précise. Maintenant on sait quoi donner.

Bon, on peut demander : OK, si je donne ceci, quelle quantité dois-je donner ? La machine vous indiquera la quantité exacte. Et comme avec toute chose dans la nature, on a une courbe de Gauss, une courbe en cloche, et on souhaite la médication située tout en haut de cette courbe. Vous désirez juste la quantité nécessaire à la production de telle réaction et – BANG – vous la donnez.

Très souvent, lorsque nous donnons cette médication au patient, il va sauter de joie comme s’il était dans un train fantôme à Disneyland et dire : Ah, ah, ça faisait 20 ans que j’avais cette douleur, et maintenant elle est partie !

L’avons-nous rétabli ? Non. L’avons-nous guéri ? Non. Pourquoi est-ce que je dis: Non ? Parce que c’est illégal.

Se croit-il rétabli ? Oui. Croit-il avoir été guéri ? Oui. D’où vient la différence ?

DW : Une chose à mon avis très importante, c’est que si cette vidéo sort, beaucoup de gens vont prétendre avoir cette technologie pour en tirer profit.

PP : Oh, absolument.

DW : Et ce pourrait en être une autre que celle dont vous parlez.

PP : Absolument.

DW : Comment nous protéger de ça ? Peut-on indiquer aux gens un mot-clé sur Google ?

PP : Je ne sais pas comment nous pouvons l’empêcher.

DW : Ou les médecins qui utilisent la bonne machine ?

PP : Le problème, c’est que les premiers médecins que j’ai formés, environ 6 000, avaient des machines qui meuglaient comme des vaches, et c’était tant mieux, et après cela, les chiffres ont baissé. Donc, je répète, je suis en train de construire un laboratoire et une usine pour les produire et au lieu de les payer, comme c’est le cas actuellement, entre 12 et 50 000 $ par machine...

DW : Oh.

PP : J’en ai une qui tient dans un stylo et nous la vendrons probablement autour de 99 $.

DW : Waouh !

BR : Mais il existe des modalités de guérison similaires, comme...

PP : Oh, il y en a qui fonctionnent merveilleusement bien.

BR : ...la radionique. Poursuivez.

PP : Bon, oui. Les machines à radionique qui...

BR : Je ne dis pas qu’il s’agit de la même chose. Je dis juste que ça marche...

PP : Oui, ça marche très bien.

BR : ...dans le champ informationnel.

PP : Oh, ça fonctionne très bien, et ça marche avec... Tout à fait vrai. Cela fonctionne dans le champ informationnel.

DW : Avez-vous entendu parler du SCENAR, du SCENAR russe ? (NdT – Self-Controlled Electronic Neuro-Adaptive Regulator – régulateur neuro-adaptatif électronique autocontrôlé)

PP : J’ai assurément entendu parler du SCENAR, ayant passé environ, oh, huit mois avec les gens qui s’en occupaient...

DW : Vraiment ?

PP : ...et ayant travaillé avec eux. Il y a une autre machine contre la douleur. Elle s’appelle l’Acuscope, apportée aux Etats-Unis par Toni Nebrinski, qui était l’homme du KGB aux USA et qui cherchait de la technologie médicale à envoyer chez lui en Russie.

DW : Un certain Dr. Harmut Müller a construit un dispositif à LED qu’on se met sur la peau. Pensez-vous que celui-là fonctionne aussi ?

PP : Non.

DW : Il ne marche pas ?

PP : Non. Je n’ai pas dit ça.

DW : Oh.

PP : J’ai dit que d’autres choses fonctionnent beaucoup mieux. C’est ce que je voulais dire.

DW : OK. Mais on peut aussi, comme vous l’avez dit, masser les points situés sur la main.

PP : Le meilleur appareil médical que j’aie inventé a été ces deux petites choses nommées Acu-Combs (Note de l’Éditeur : j’ai effectué une recherche, sans trouver cet objet ; son orthographe exacte est inconnue.), avec lesquels vous frottez vos points d’acupuncture, et vous allez bien.

DW : Existe-t-il un moyen de les fabriquer par soi-même ?

PP : On peut sans doute le faire dès qu’on en voit un, mais il est plus simple et moins cher de m’en acheter un, parce que j’ai payé des milliers de dollars pour l’outillage et on les emboutit comme...

DW : Très bien !

PP : ...les douilles éjectées par une mitrailleuse, on les jette en vrac dans un tambour rotatif. Ils comportent en fait du matériel électrique inventé par nous pour les charger. Ce qui est intéressant, c’est que vous pouvez en prendre un et le faire.

Incidemment, vous pouvez trouver comment vous réagissez à n’importe quel aliment. Particulièrement intéressant : pour tout ce qui est ingéré, on peut dire : Comment mes organes réagissent-ils à ça ?

Ce n’est par un hasard si les médecins les mieux rémunérés sont les anesthésistes. Ce sont eux qui paient les assurances les plus chères. Je peux me tromper. Vérifiez ce qu’il en est actuellement, mais quand j’y travaillais, 2 % des gens étaient tués par l’anesthésique.

BR : C’est à peu près ça. (Ils parlent en même temps.)

PP : Cet engin vous le dira exactement, parce que ce doigt et le côté distal du majeur vous renseignent ici sur l’absorption de nourriture, et là sur l’allergie. Il vous dira si vous êtes allergique à ce médicament. Et comment votre corps va réagir à cet anesthésique.

KC : Comment vous en avertit-il ?

PP : En donnant une indication. Sur un compteur ou un tableau. Quand on apprend à lire le compteur ou le tableau, ce qui prend environ une minute, on peut dire si on va avoir une réaction allergique ou non.

Ce que nous avons également trouvé, par la section élevage d’une grande université, c’est que tous les humains et tous les animaux sont allergiques à 33 substances. La plupart d’entre elles sont des composés phénoliques dont la molécule comporte un anneau hexagonal de benzène, et plusieurs sont des hormones ou des protéines.

Nous avons découvert que nous pouvions effectuer une mesure ici et trouver exactement – en cas d’allergie - ce à quoi vous êtes allergique. Nous pouvons ensuite utiliser cette substance sous forme homéopathique et vous en donner 2 ou 3 gouttes sous la langue, et l’allergie disparaîtra entièrement.

Elle peut revenir ultérieurement, et nous trouverons qu’il vous faut un remède homéopathique utilisé à une dilution différente, et que vous prendrez. Il faut parfois 3 ou 4 jours pour repérer exactement ce dont vous avez besoin, mais vous y parviendrez et vous ne serez plus allergique. Pour autant que je sache, et nous testons maintenant les gens depuis 28 ans, l’allergie n’est jamais revenue chez personne.

DW : Waouh.

PP : Et nous travaillons ici strictement avec un système informationnel que la science moderne refuse d’utiliser. Mais que la science n’apprécie pas la chose semble laisser indifférents ceux qui étaient allergiques et ne le sont plus. La science ne cadre pas avec leur paradigme, ce qui est un tort.

BR : Je veux seulement ajouter, devant la caméra, que nous sommes convaincus, après avoir conversé un certain temps avec vous, que vous ne cherchez pas du tout à vous enrichir grâce à cela. Vous souhaitez juste rendre cette technologie disponible.

PP : Non. Je n’ai pas besoin d’argent. Ma seule raison de vouloir fabriquer ces engins, c’est pour qu’ils soient bien faits, qu’ils meuglent comme des vaches (Rires) – à l’agonie. Car cela permet au médecin d’établir le traitement, ou le diagnostic, pour beaucoup moins cher.

Et rappelez-vous : ce n’est pour le médecin qu’une aide dans son diagnostic. La machine ne peut établir le diagnostic, seul le médecin peut le faire.

BR : Oui.

PP : Voici pourquoi, nous ne les vendions qu’aux détenteurs d’une carte de l’AMA (l’Association Médicale Américaine – NdT), qu’aux médecins détenteurs de la carte. Nous en avons ensuite vendu quelques unes à des chiropracteurs. À des ostéopathes aussi, et à des naturopathes.

Puis le premier vétérinaire à en avoir a été la Commissaire Vétérinaire de l’État du Nevada, et elle a commencé à les utiliser. J’ai cessé de les compter quand j’ai commencé à essayer d’ouvrir la route à ces gens pour les empêcher de s’attirer des ennuis en utilisant ces machines. Et nous n’avons pas de problèmes à les utiliser, parce que nous leur avons évité les ennuis.

Bon, à l’époque – c’était il y a peut-être 18 ans – environ 350 vétérinaires les utilisaient et elles fonctionnaient parfaitement. Ils pouvaient trouver les problèmes qu’avaient les animaux, et les résoudre.

BR : Les amis, nous arrivons au bout de notre troisième heure et nous souhaiterions peut-être aborder d’autres sujets, pendant que nous en avons l’occasion. Je sais qu’il en existe beaucoup d’autres. J’ai eu ma part du gâteau. David, voyez-vous d’autres sujets que vous aimeriez traiter ? Je sais que Kerry a aussi quelques questions.

DW : Oui. Je pense à tous les courriels qui vont arriver. On va vouloir savoir comment fabriquer ces petites plaques, mais puisque vous dites que vous pouvez les re-fabriquer, pourriez-vous nous en informer, dès que vous serez prêt ?

PP : Si j’avais des commandes, je pourrais les expédier en moins de deux semaines.

DW : OK.

PP : Je ne peux pas vous donner leur prix. Je sais qu’une des pièces doit être en cuivre. Je sais aussi que l’usine qui produisait mon matériel électrique, pour une des plaques, a fermé.

DW : Hm.

PP : Il me faudra donc soit les fabriquer, soit trouver une usine qui le fasse. Mais nous avons de l’outillage utilisable sur une presse-poinçonneuse Amada, qui perfore plus vite que son ombre, et il suffit ensuite de les brasser dans les instruments adéquats pour les rendre faciles et doux à manipuler, sans angles vifs.

DW : En fin de compte, ce n’est pas si cher que ça.

PP : L’objet n’est pas si cher que ça, en réalité. Le cuivre utilisé pour la plaque coûte maintenant 7 ou 8 dollars, et à peu près autant pour la plaque électrique. Il faut ensuite l’estamper et la traiter. Il sort normalement dans un petit étui où les deux plaques sont séparées.

DW : OK.

PP : Et un petit jeu de cartes dépliantes qui montrent tous les points de la main, et tous ceux du pied. Il y a des points de pression là où c’est nécessaire, en cas d’indigestion, de maux de tête, etc.

DW : Eh bien, voilà, vous avez votre première commande. (On peut voir en bas de l’écran : dr_peterson_orders@projectcamelot.org)

PP : (Il rit.) Oui. Je les ai amenés, oh, à peut-être au moins 200 salons de la santé, aux séances de la Psytronic Association, au Global Science Congress et aux réunions de la Tesla Society, à celles des sourciers, etc. J’ai commencé par en amener 20, puis 50, puis 100, et je les ai toujours tous vendus dès avant midi...

DW : Bien.

PP : ...le premier jour. Une fois que j’en vends 3 ou 4, tout le monde... les gens ne s’arrêtent plus. Ils sont donc là, à dire : Eh bien, où avez-vous eu ça ? À quoi ça sert ?

Et un autre: Par ici, laissez-moi l’essayer !

Non, je n’ai pas de lacet de chaussure. Ensuite, j’ai commencé à y mettre des lacets, pour qu’ils puissent les récupérer.

Donc, les gens aiment ce qu’ils leur apportent, ils aiment la sensation que leur donnent leurs mains, et ils décident par eux-mêmes, sans l’aide du gouvernement, de faire quelque chose pour eux-mêmes qui leur plaît, et donc ils les achètent.

DW : Hm. Bien, oui. Je pense qu’il est très important de noter que la guérison est en soi. Nous avons en nous ce pouvoir de nous guérir.

PP : Comme je l’ai dit, dans tous les appareils médicaux que j’ai conçus... Et en utilisant la machine comme un outil à biofeedback, j’ai trouvé de nombreuses substances qui font des miracles pour le corps.

DW : Comme ?

PP : De toutes ces substances, de toutes ces machines, ce que j’ai fait de mieux, ce sont les plaques. Elles sont bon marché. Je dis aux gens : Si vous y réfléchissez bien, vous n’avez plus besoin des plaques...

...ce qui nous amène à un autre dispositif que je vais sortir, et qui ressemble à un paquet de cigarettes. – non, c’est mal – à un paquet de cartes, et ça aussi peut-être, c’est mal de l’utiliser. Mais c’est un petit appareil qui comprend un serre-tête avec une petite électrode que vous imbibez d’eau salée à l’avant et à l’arrière...

DW : De l’eau salée ?

PP : De l’eau salée, ordinaire, salée au sel de table. Vous allumez et il émet une mélodie, et nous fournissons une petite cassette audio, qui produit une mélodie que vous essayez d’imiter dans votre tête. Par exemple, si je fredonne ou siffle Yankee Doodle 10 fois, vous pouvez le faire. Et si je sifflote Mary Had a Little Lamb, vous faites de même. L’appareil produit un son et vous apprenez à produire le même son en plaçant bien votre langue. Avez-vous déjà vu un horloger travailler ?

DW : La position de votre langue change la mélodie ?

PP : Non, ce n’est pas ce que je voulais dire.

DW : Oh.

PP : Si vous regarder quelqu’un faire du travail de précision, un graveur ou un horloger, par exemple, il le font comme ça. (Il sort la langue sur le côté.)

DW : OK.

PP : Oui, ils doivent maintenir la langue d’une certaine manière, ce qui leur permet de travailler. Mais on n’a pas besoin de maintenir sa langue dans la bonne position, c’est son cerveau qu’on apprend à maintenir en position.

DW : Est-ce que ça produit un ton régulier ? Mais le ton varie ?

PP : Non, le ton n’est pas régulier. Il varie. On dirait qu’on siffle un air.

DW : OK.

PP : Donc vous apprenez à reproduire cet air en pensant correctement, et finalement vous l’assimilez et si vous faites différentes choses, vous obtiendrez des airs différents. Vous apprenez à retenir ces mélodies, donc vous obtenez l’air que vous avez sur la petite cassette. Et quand vous en arrivez là, vous pouvez modifier les choses sans avoir recours aux plaques. Il vous suffit de le faire mentalement.

DW : Je vais avoir l’air idiot, mais ceux qui nous regardent vont comparer ça aux bandes sonores Monroe, avec la synchronisation binaurale dans les oreilles.

PP : Oui.

DW : Existe-t-il un lien entre les deux ?

PP : Aucun !

DW : Je ne le pensais pas non plus. Est-ce que ça marche comme un ECG (NdT – un électrocardiogramme), ou comme une onde cérébrale ?

PP : Non, non.

DW : OK. Qu’est-ce qui produit la mélodie ?

PP : Un champ électrique créé par le corps.

DW : Alors pourquoi ces deux points? (Il touche son front, puis l’arrière de sa tête, au milieu.)

PP : Parce que ce sont ceux qui fonctionnent. (Il rit.)

DW : Donc, cela ne sert qu’à guérir ? Ou bien y a-t-il...

PP : Ce que j’adore faire, c’est trouver un spécialiste de l’analyse cérébrale et du travail du cerveau, lui demander de me le mettre en place, et de lui jouer mentalement Yankee Doodle. Il réplique immédiatement : Euh, l’appareil est abîmé. Il faut le réparer, parce que personne ne peut apprendre à faire ça. Désolé, je peux enseigner à n’importe qui en deux semaines à jouer Yankee Doodle dans sa tête.

DW : Mais, y a-t-il...

PP : Une fois que vous avez appris à jouer Yankee Doodle, il suffit de 10 minutes environ pour passer à Mary Had a Little Lamb.

DW : Disons que vous avez un gars qui peut déplacer les objets avec son esprit. Capable de télékinésie.

PP : Oui.

DW : Et il en fait une mélodie.

PP : Il en fait une mélodie, vous lui achetez cette mélodie, comme on achète du mp3, et vous faites cette mélodie... Il y a de fortes chances pour que vous puissiez déplacer à l’aide de votre cerveau ce petit roulement à billes dans le labyrinthe.

DW : Vraiment ?

PP : Oui.

DW : Très intéressant !

PP : (Doucement) Je peux vous dire que les agences gouvernementales ont acheté ces appareils-là par milliers.

DW : Comment installeriez-vous une électrode à l’arrière du crâne ? Est-ce que ça ne va pas traverser les cheveux ?

PP : Bon, côté accessoires, j’ai acheté environ 10 000 petits rasoirs pliants utilisés par les chirurgiens pour épiler la zone qu’ils veulent recoudre. Un petit peu de crème à raser sur l’endroit, on enlève quelques cheveux...

DW : Et on porte un serre-tête ?

PP : On porte un serre-tête et il y a deux électrodes faites dans un métal spécial, recouvertes d’un peu de coton, que l'on trempe : on met de l’eau dans un bol, on mélange le sel à l’eau jusqu’à dissolution, on trempe les petits tampons, on les essore un peu. Avec un gant de toilette et du savon on élimine la graisse d’ici (Il montre son front.), et celle de la zone qu’on a dénudée à l’arrière. On met en place et ça marche impeccablement.

DW : Waouh. Quel est le degré de précision de la position? Faut-il que ce soit très bien ajusté ?

PP : Non : À 5 cm près.

DW : Oh.

PP : Non, ça ne passe pas par le troisième œil. On nous le demande souvent. Cela passe ailleurs.

DW : OK.

PP : Mais il est très facile de voir où ça va, parce que vous le mettez et si ça ne fait pas... ce que nous appelons du bruit cérébral. C’est en fait autre chose, mais si ce n’est pas directement branché sur le cerveau, ce n’est de toute façon pas du bruit cérébral.

BR : J’ai une question-minute avant que la bande se termine. Pourquoi les agences s’intéressent-elles à des trucs de ce genre ?

PP : Oh, je ne suis pas sûr de pouvoir en parler.

BR : OK. Nous le laisserons à notre imagination.

PP : Laissez-le à votre imagination.

BR : OK.

PP : Je peux vous dire qu’on en a beaucoup acheté au SRI (NdE : le Stanford Research Institute).

BR : Heu-heu.

PP : Et on en a beaucoup acheté au...

KC : Pour enseigner comment influencer à distance.

(Apparition progressive de la musique...)

PP : Cela, je ne l’ai pas dit. Ni y ai même fait allusion.

KC : Moi, oui.

PP : Je ne le ferais pas, à votre place.

KC : Oh.

PP : À moins d’avoir envie d’une visite. Vous recevrez certainement une visite si vous le mentionnez. Et ça ne vous plaira pas beaucoup.

(Fondu.)

La musique couvre en partie la voix de PP en train de dire : ... été impliqué dans une tentative de construction de soucoupes volantes – ce qu’on remarque habituellement avec les soucoupes volantes, si on regarde la plupart des films, c’est qu’il semble toujours y avoir un robot dans l’histoire...

Cliquez ici pour la 3ème partie de l'interview (Kerry Cassidy)
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pour l’interview vidéo (en anglais)




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