Traduction d'une publication originale de Project Camelot
Traduction et sous-titrage : The Avalon Translation Project PDF
de l'interview (5 pages)
Début de l'interview
RAFAEL PALACIOS (RP) : Eh bien, je suis
ici dans la partie réservée à la presse au Congrès
d’Exopolitique, avec une personne…
HENRY DEACON / ARTHUR NEUMANN (HD/AN) :
Arthur Neumann.
RP : …l’homme que vous êtes en
train de regarder maintenant est devenu célèbre à la
suite d’une interview par "Projet Camelot", dans
laquelle il n'a pas montré son visage. Maintenant, c'est
la première fois [qu’il le montre]. Quel est votre nom,
s’il vous plaît?
HD/AN : Je m’appelle Arthur
Neumann. C’est un nom de famille allemand :
Neumann.
RP : Vous avez travaillé pendant 30 ans
dans le domaine de la recherche. Dans des secteurs très
sensibles ?
HD/AN : Recherche, fabrication,
logistique… pratiquement tous les secteurs du
gouvernement, ou en contrat avec le gouvernement, mais
essentiellement pour le gouvernement.
J'ai possédé une habilitation « Top Secret
"Q" » aux laboratoires Lawrence Livermore. J'ai
possédé des habilitations au Secret dans l’aérospatiale
ou équivalent. J’ai possédé des habilitations « Top
Secret », comprenant certaines extensions,
jusqu’aux alentours de 2004, en travaillant pour
d’autres agences.
RP : Pouvez vous dire quelle est votre
spécialité ?
HD/AN : Ma spécialité englobe… un large
éventail de technologies. Des technologies. Mais aussi
de la coordination, de la gestion de projets, de la
gestion de programmes. Non seulement pour le ministère
de la Défense, en travaillant en liaison avec toutes les
forces armées, mais également avec les armées d'autres
pays.
RP : Par exemple, savez-vous quelque
chose sur les armes secrètes, soniques et
électromagnétiques ?
HD/AN : Oui, sur les armes électroniques
à pulsion en général. Je connais leur existence et les
recherches faites à ce sujet. Je suis au courant de ça,
de l’intérieur, en ce qui concerne la recherche en
armement, depuis le milieu des années 1970.
RP : Ah. Pouvez-vous nous dire quel
genre d'armes ils sont en train de développer et à quoi
elles servent ?
HD/AN : Il y a tellement d'armes. Il y a
une bombe à micro-ondes ; la bombe à neutrons, bien
sûr… quelle qu’elle soit ; des bombes à faisceaux
de particules, du type à accélération ; des armes à
faisceaux de particules ; et de nombreuses études
du même genre ; et puis aussi les armes soniques,
qui utilisent des sons très concentrés et très dirigés.
RP : Par conséquent, vous pouvez nous
confirmer que ce gouvernement a des armes pour harceler
les gens, des « personnes particulières », des
« personnes critiques » [NdE :
c’est-à-dire pour harceler certaines personnes qui
protestent contre le gouvernement ou qui le critiquent]
afin de les déprimer et même de les rendre malades ?
HD/AN : Oh oui, assurément, sans aucun
doute. Il existe de nombreuses technologies différentes,
utilisées en permanence, même dans les villes, et tout
autant sur des cibles précises.
RP : Ces hélicoptères noirs dont de
nombreux chercheurs nous ont parlé, et qui survolent les
maisons, pouvez-vous confirmer qu'ils pourraient être
utilisés dans ce domaine ?
HD/AN : Je ne sais pas qui…, je ne suis
plus là-dedans depuis plusieurs années. Les hélicoptères
noirs…
RP : Ce dont je parle… Il y a des
gens, des chercheurs… Oui.
HD/AN : Certains d'entre eux sont
des hélicoptères noirs et d'autres ont l'air
d'hélicoptères, mais n'en sont pas.
RP : Alors, qu’est-ce que c’est ?
HD : Ce sont juste... je ne connais pas
les détails sur ces hélicoptères, je sais uniquement que
certains d'entre eux sont seulement… Ah… comment est-ce
qu’on appelle ça ? Ils sont revêtus d’une sorte de
carapace pour les faire ressembler à des hélicoptères.
Mais ça remonte à des années, je ne sais donc pas ce qui
se passe maintenant.
RP : Mais en fait, qu'est-ce que c'est ?
HD/AN : De la surveillance.
RP : De la surveillance. OK.
HD/AN : De la surveillance et
éventuellement certains types d'enlèvement. Mais pas par
des extraterrestres [sourires].
RP : Ah-ha. Ainsi vous, le scientifique
qui travaillez, ou avez travaillé, dans ces programmes
secrets, avez-vous conscience des gens avec lesquels
vous avez travaillé, avez-vous conscience que vous avez
travaillé pour les méchants ? Ou bien faites-vous juste
votre travail en oubliant ce qu’ils vont en
faire ?
HD/AN : Il y a des gens bien qui
travaillent là-bas et il y a aussi des sales types. Et
il y a ceux qui ont une famille dont ils veulent prendre
soin. Ainsi ils sont pris au piège dans leur emploi,
parce que c’est ça ou rien.
Il y a toujours un combat intérieur - chez certaine
personnes – pour choisir entre démissionner, et se
retrouver à la rue, ou bien continuer, et alors… On en
discute beaucoup.
Dès le tout début – dès le début, quand j’étais enfant –
j’ai eu l’intention d’entrer chez les
« initiés », puis d’apprendre et d’aller
ailleurs. De retourner chez les « initiés »,
d’apprendre et d’aller occuper un autre poste, dans des
endroits différents.
Je ne suis donc jamais resté au même endroit. J’ai
travaillé au même poste peut-être trois ou quatre ans,
au grand maximum ; quatre ans. Puis j’ai changé
d’emploi.
Mais je ne faisais pas acte de candidature. Dans la
plupart des cas, je n’ai fait ni demande, ni recherche
d’emploi. On me téléphonait seulement au hasard et on me
trouvait.
RP : Pouvez-vous nous expliquer comment
ça fonctionne, ce mécanisme de classification ? Je veux
dire, vous travaillez à Los Alamos ou Livermore.
Pouvez-vous expliquer pour les personnes qui n’en savent
rien, la manière dont ces laboratoires fonctionnent, la
façon dont ils classent secrètes les informations
spéciales ?
HD/AN : Comment ils décident de les
classer ?
RP : Non, je veux dire vous êtes
dans la cuisine, dans la salle de séjour en compagnie de
tous les scientifiques. Savez-vous ce que l'autre sait
ou savez-vous seulement deux ou trois choses ? Vous
voyez ce que je veux dire ?
HD/AN : Oui. Pour de nombreux emplois,
il y a toujours des compartiments, savez-vous ?
RP : C’est ça.
HD/AN : Parce que c’est ce sur quoi
on se concentre. Donc on n’a aucun besoin de savoir ce
qui se passe ailleurs. On se concentre sur un certain
domaine.
Mais avec le temps, mes compartiments se sont élargis,
en ont englobé d’autres, jusqu'à ma dernière situation,
où il n'y avait plus aucun compartiment du tout, pour
autant que je sache, en raison de la nature du travail.
J’avais… C’était comme dans une équipe, où j’avais ce
que nous appelions des « clients », parmi
lesquels la NASA et autres agences à trois ou quatre
initiales, de différents pays, plus d’autres clients qui
n’ont pas de nom du tout.
RP : Mmh-mmh.
HD/AN : Un certain projet, en
particulier… Aux objectifs multiples, mais avant tout
celui d’essayer de trouver un moyen de faire communiquer
ces groupes entre eux tout en respectant leur
confidentialité, parce qu’ils ne désirent pas partager
toutes leurs informations au su de tous. Mais trouver un
moyen, un système, leur permettant de communiquer ce
qu’ils souhaitent communiquer en toute sécurité.
RP : Un Internet sécurisé ?
HD/AN : Oui, ça, mais avec du filtrage.
RP : Du filtrage. Mmh-mmh.
HD/AN : Cela signifie donc qu’il me
fallait avoir accès à toutes leurs informations. Donc,
cela s'est passé comme ça, voyez-vous.
RP : De même, vous savez des choses sur
les télécommunications. Pouvez-vous nous dire si…Tout le
monde s'inquiète de "Big Brother". Est-ce que ces gens
savent tout sur nous ?
HD/AN : Oh, vous ne pouvez rien cacher.
RP : Vraiment ?
HD/AN : En ce moment même, nous
avons cette interview, je suis presque certain qu’ils
ont toutes les informations. Il s'agit simplement de
savoir s'ils y trouvent leur intérêt ou non, vous
savez….
Ainsi donc, vous n'avez aucune vie privée, tout
particulièrement à l'ère électronique. Chaque
transaction que vous faites, chaque appel téléphonique,
chaque hôtel et endroit où vous séjournez, chaque
personne que vous rencontrez [Il rit.] on
croirait entendre une chanson. Ils vous observent.
Mais ce n’est pas… Rien à craindre. L’important, c’est
de cesser d'avoir peur de tout, parce que cette peur,
c’est...
Ce sur quoi il nous faut nous concentrer aujourd'hui,
c'est tout sauf la peur. C'est de regarder vers l’avenir
et de se réjouir de ce "bébé" dont j’ai parlé, qui est
en train de naître ; de célébrer le changement, et
de réaliser qu'il y a de la douleur dans ce changement.
Ces factions secrètes et autres, ces opérations
clandestines, elles manquent beaucoup de force. Elles
manquent beaucoup de force et elles sont dénuées de
pouvoir.
RP : Vraiment ?
HD/AN : Oui, elles sont très
faibles. En particulier si vous vous rendez compte, si
vous comprenez que nous vivons dans une galaxie remplie
de mondes et de gens, de gens comme vous et moi au fond,
qui sont passés par les mêmes expériences que nous ici
sur Terre. Les mêmes expériences, il y a longtemps. Cela
ne s’arrête pas, et ils savent déjà ce qui va se passer.
Mais ils observent le changement qui se produit en ce
moment. Et ils l’encouragent et y contribuent doucement
et tranquillement dans les coulisses. Et si vous êtes
conscients de cela, alors vous n'avez rien à craindre.
RP : Comment pouvez-vous en être aussi
sûr ?
HD/AN : Parce que j'en ai rencontré tant
de ces gens-là.
RP : Ah ! Racontez, racontez-nous
ça !
HD/AN : Je les ai rencontrés avant même
de commencer à travailler et pour d'autres raisons que
je ne voudrais pas exposer dans cette vidéo, à cause
aussi de l'endroit d'où je viens.
RP : D'où venez-vous ?
[Ce passage a été retiré de la vidéo à
la demande d'Arthur Neumann.]
RP : Mais pouvez-vous nous dire si le
Premier Contact est proche, comme ils l'ont dit à de
nombreuses personnes ? Le Premier Contact qui serait…
HD/AN : Eh bien, le premier contact, je
pense, celui qui est prévu, ne sera pas un contact réel.
Le plan est une menace fictive. Mais cette menace
fictive... si vous voyez des OVNI et s'ils sont plus ou
moins mécaniques, il y a de fortes chances pour que...
surtout, s'ils se présentent comme une menace ou un
ennemi, sachez simplement que ce n’est que temporaire et
qu'ils ne viennent pas d'ailleurs, d'une autre planète.
Il s’agit d’un ennemi créé de toutes pièces, dans le
cadre d'une opération gouvernementale.
RP : Ainsi vous confirmez que le
gouvernement secret a ces outils-là, qu’il possède cette
technologie ?
HD/AN : Ça fait longtemps qu’ils
possèdent la technologie et les outils.
RP : Oui…
HD/AN : J'ai mentionné le Rapport
d’Iron Mountain, dont plusieurs personnes disent qu’il
n’est que de la science-fiction. Ce n'est pas de la
science fiction, ce matériel même m'a été remis dans une
réunion à Tucson, en Arizona, dans les années 1980.
RP : En main propre ?
HD/AN : Oui, en main propre, à une
réunion, une réunion gouvernementale à laquelle je suis
allé.
RP : Et vous l’avez lu ?
HD/AN : Et ça a été une surprise
pour moi, parce que je ne connaissais pas la nature de
la réunion.
On nous a emmenés par avion à Tucson, en Arizona, et
nous avons séjourné dans une chambre d'hôtel [sourires], puis nous nous sommes
réunis, et à la fin de la première réunion, ils nous ont
remis le Rapport d'Iron Mountain. Pas sous la forme d'un
livre, mais dans un document folio. C'est là où j'ai eu
pour la première fois connaissance des plans de la RAND
Corporation.
RP : Vous êtes la première personne que
je connaisse, à confirmer ça. A confirmer l’existence
[du Rapport d']Iron Mountain.
HD/AN : Il existe. Je n'ai plus le
rapport, mais son contenu était proche, il était presque
exactement le même que celui du livre qui est maintenant
réédité.
RP : Ainsi pour vous la pandémie de
grippe porcine, c’est juste une partie de ce plan ?
HD/AN : Je ne sais pas. Les épidémies
sont des choses naturelles. Il y a bien sûr des
épidémies naturelles, vous savez. Mais à mon avis, la
grippe porcine... dans ce cas, c'est une chose
dangereuse, mais c'est uniquement mon opinion. Je m’en
prémunis en prenant de la vitamine D3, « D »,
comme la lettre « D », 3.
RP : Qu’est-ce que c’est, ça ?
HD/AN : Une vitamine.
RP : Une vitamine. De la vitamine.
OK.
HD/AN : De la vitamine D3, 2000 UI
(2000 unités internationales) chaque jour. Jusqu'à 5000
UI. Pour certaines raisons, le soleil se transforme sur
votre peau, lorsqu'il atteint votre peau, en vitamine
D3, mais en raison de la nature du soleil actuel et à
cause d'autres facteurs, ça ne marchera pas dans ce cas.
Mais pour une « agripe » classique… c’est
comme ça que vous dites ?
RP : Ah. Agripe !
Oui.
La grippe.
HD/AN : Mais pour la grippe, tout
type de grippe, la vitamine D3 réduira grandement le
risque d'avoir n’importe quelle grippe. Donc je
recommande cela comme supplément et pour d'autres
raisons aussi, qui n’ont rien à voir avec la grippe.
RP : Et le vaccin ? Vous
recommandez aux gens de... ?
HD/AN : Je ne me ferai pas vacciner. Et
j'ai dit aux membres de ma famille d'en faire autant. Je
leur ai dit il y a deux ans, trois ans, de ne pas le
faire. Sur le site de Projet Camelot, il y certains
documents je crois, d'il y a longtemps, où j'ai parlé de
la grippe. Et c'est bien avant que ce soit devenu
actuel, donc je savais cela à l'avance.
RP : Vous savez que les Américains
disent qu'il y a certaines informations, [inaudible]
comme quoi le gouvernement va obliger les gens... les
obliger à…
HD/AN : Oui, bien entendu, il est prévu
de rendre cela obligatoire, avec de lourdes pénalités et
amendes. Mais cela ne m'empêchera pas de refuser de me
faire vacciner. Je ne me ferai pas vacciner, surtout si
on me l’impose. Et je ne prends jamais de vaccins contre
la grippe, de toute façon.
RP : Pensez-vous que le gouvernement
secret a déjà eu des contacts avec d'autres
extraterrestres, tels les reptiliens de Zeta Reticuli,
etc. ?
HD/AN : Lorsque les gens parlent du
« gouvernement secret »…
Tout d'abord je voudrais mentionner que les
gouvernements… par exemple lorsque nous parlons du
niveau de pouvoir du président, ou de celui de la
famille royale ou d’autres ; ils n'ont pas accès à
ces informations ou à ces connaissances. Pour autant que
je sache
Selon l’expérience que j’en ai, ils peuvent seulement
accéder à certains niveaux de sécurité et, quant au
reste... Pour les visites [sourires],
pour [qu’ils puissent dire] : « Voici ce que
nous avons », etc., etc. Donc ils n'ont pas idée de
ce qui se passe à l’extérieur de la planète.
RP : Non.
HD/AN : Ils ne sont pas en contact
avec ces gens-là. Donc, lorsque vous posez la question
sur le « gouvernement secret », j'ai besoin de
savoir ce que vous entendez par « gouvernement
secret ».
RP : Qui a le pouvoir ? Kissinger ?
Rockefeller ? Qui ? Qui est le responsable ?
HD/AN : Vous avez le pouvoir, vous êtes
responsable de l'interview [sourires].
RP : Oui…
HD/AN : Donc il y a différents
niveaux de pouvoir, de force et de puissance, je veux
dire, en chaque personne.
RP : Donc vous ne croyez pas qu’il soit
entre les mains de trois personnes ? Quelque chose comme
ça ? Le croyez-vous… ? Il y a des gens qui
disent que deux ou trois personnes, ou quelques
personnes se partagent ce pouvoir…
HD/AN : Oh, les gens qui… Il y a de
petits groupes qui se rencontrent, qui ont du pouvoir. Y
compris un que j'ai mentionné au Colloque de Zürich,
dont je ne veux pas parler une seconde fois, une agence
à trois lettres, dont on ne parle pas beaucoup.
RP : Qui s’occupe de satellites, etc.,
par exemple ?
HD/AN : Oui, celle-là.
RP : OK.
HD/AN : Oui, mais la chose, c’est qu'en
fin de compte, ils ont encore... ils sont limités en ce
qui concerne le pouvoir qu'ils ont réellement. Ils veulent le pouvoir et ils essaient de
l'obtenir depuis longtemps, mais au cours des prochaines
années, ils perdront complètement tout leur pouvoir.
Dans très peu de temps.
RP : Pourquoi ?
HD/AN : En raison de toutes les
changements en cours et qui convergent maintenant.
RP : Quel est le rôle du genre humain
dans toutes ces histoires ? C’est quelque chose, comme
un gouvernement, quelques personnes comme ici, dans le
projet spécial, mais à un niveau supérieur. Mais nous le
peuple, que pouvons nous faire dans cette
histoire ?
HD/AN : Le mieux que les gens puissent
faire… c’est très simple. Si vous avez des systèmes de
croyances différents, des religions différentes, vous
devez ouvrir votre cœur et réaliser que nous sommes ici,
tous ensemble, et respecter nos croyances mutuelles le
mieux possible.
Comprendre que nous partageons une ascendance commune,
pas seulement ici, mais dans toute notre galaxie. Notre
galaxie, [car] nous avons en commun…
RP : Une conscience galactique ?
HD/AN : Il s’agit de la Galaxie. Pas de
l'Univers, mais de la Galaxie.
Mais pour l’instant, nous devons nous concentrer sur ce
qui se passe ici, sur cette planète, et nous aider
mutuellement. Cesser de nous battre à propos de "mon
Dieu et ton Dieu", savez-vous. Cela ne fait aucune
différence.
RP : Mais ne pensez vous pas que des
personnes dans la rue, le peuple, pourraient mettre la
pression sur le gouvernement pour qu’il divulgue les
informations ?
HD/AN : Si vous souhaitez faire quelque
chose, faites-le de manière non violente.
RP : Oui, bien sûr. Bien sûr.
HD/AN : Si vous êtes en colère,
cela ne fera qu’apporter du soutien aux objectifs de
ceux qui tentent d'avoir du pouvoir sur vous.
Mais une fois de plus, il s’agit de quelque chose de
très temporaire. Tous ces combats et toutes ces
cachotteries, ne sont que temporaires. Et même si vous
n'y prenez pas part extérieurement, les changements…
auront quand même lieu.
La naissance d'un monde nouveau – et non du Nouvel Ordre
Mondial qu’ils veulent imposer – ce monde nouveau se
mettra en place sous peu. Et vous devriez le sentir et
en être conscients.
RP : Juste deux petites questions pour
terminer. Tout d'abord : pouvez vous nous révéler les
technologies secrètes qui pourront voir le jour, qui
pourront nous libérer quand le gouvernement secret
tombera ?
HD/AN : Eh bien, il y a bien entendu des
technologies qui utilisent l'effet Casimir ou l'énergie
du point zéro. C'est un point acquis. J'ai souligné cela
à Zürich. C’est un point acquis.
RP : Ça existe.
HD/AN : Et ce n'est même pas une
information confidentielle. C'est juste... il vous
suffit de savoir où la chercher. Je parle du
gouvernement, ce n'est même pas classé.
Pas plus que la protection anti-gravitation, similaire à
l'anti-gravitation, mais qui est une protection. On
prend le matériel, on le met ici, avec quelque chose
dessus, et il diminue le… Il fait écran à la force de
gravitation.
Cette technologie existe et il y des endroits où on peut
aller. On peut aller sur xxx.lanl.gov - Los Alamos
National Labs.gov. Allez sur ce site-là et faites un peu
de recherche. Plongez dans leurs archives, leurs
archives de physique.
RP : Donc nous pouvons avoir des
soucoupes volantes d'ici peu, qui utiliseraient ça ?
HD/AN : Oui, ça pourrait être le cas.
Mais le fait est que nous avons besoin d’une
contrepartie à toute cette technologie disponible, ou
qui peut devenir publique… Nous devons tout d'abord
travailler sur les problèmes spirituels et
sociologiques.
RP: Mais où sont les plans, pour faire
ces soucoupes volantes ? Pensez-vous que ce sera
rendu public, comme on l’a fait avec les logiciels
« open source » ? Existe-t-il un moyen,
genre Linux, de créer des soucoupes volantes ? [Il rit.]
HD/AN : Oui, beaucoup, beaucoup de
sources différentes vont le rendre public. Par le simple
bouche à oreille, même probablement ici au congrès
aujourd’hui. Il y a des gens qui travaillent sur ces
projets.
RP : Oui, vraiment ?
HD/AN : Oui, et des entreprises qui
sortent de l’ombre.
RP : Des entreprises ?
HD/AN : Oui, ce sont toutes de nouvelles
entreprises.
RP : Ah. OK.
HD/AN : Ça vient donc, tout
doucement.
RP : Brian O'Leary, votre ami, est par
exemple dans ce domaine, non ?
HD/AN : Oui, il est dans ce domaine. Je
ne sais pas ce qu'il fait avec ses machines, je ne sais
rien.
Mais en ce qui concerne la technologie de l’énergie du
point zéro... Sous sa meilleure forme, je pourrais
décrire cela de la manière suivante : vous pourriez
avoir juste une petite boîte, qui ressemble à ceci [Il forme avec ses doigts l’image d'un petit
cube.] et qui pourrait directement la convertir en
énergie électrique ou en tout ce que vous voulez.
Et il n'y a pas de parties en mouvement, ni de rotation
mécanique d'aimants, ni quoi que ce soit de ce type.
C'est si simple que ça paraît magique. Vous faites juste
cela et vous avez de l'énergie, avec le câblage correct.
RP : Quelle est le secret de l'énergie
du point zéro ? Quelle est le secret pour en
créer ?
HD/AN : Bon. Comment ça marche ?
RP : Oui.
HN/AN : Il existe différentes
approches. L'une d'elle est la superposition de
matériaux très très fins, presque comme dans un
condensateur. De petites couches de matériel, puis on
extrait de l'énergie de ça.
Mais c'est un type simple de technologie à base de
circuits intégrés qui peut être utilisé.
RP : L'énergie du point zéro n'a rien à
voir avec l'énergie de l'orgone ?
HD/AN : Je ne sais rien de l'énergie de
l'orgone. Je l'ai vue, mais je… je ne l’ai jamais
utilisée.
RP : Bien. L'autre question concernait
l'administration Obama. Vous attendez-vous à quelque
chose de positif concernant les questions dont nous
sommes en train de parler ?
HD/AN : Mes sentiments vis à vis d'Obama
sont en dents de scie. Je ne sais pas. En fait il ne
s’agit pas vraiment d’Obama, je ne crois pas.
C’est seulement que ce qui se passe sur l’ensemble du
globe, est à mon avis vraiment… C’est presque un
événement naturel, ou plutôt des événements, qui se
produisent. Il ne s'agit pas de savoir si une personne
au pouvoir prendra la décision de divulguer des
informations. Tout est en train de se passer très
naturellement. Il ne s’agit pas d’une décision.
RP : Nous n’avons pas besoin que le
gouvernement révèle les informations. C’est ce que… [Il rit.]
HD/AN : Non, nous n’avons pas besoin que
le gouvernement révèle les informations.
RP : Je suis entièrement d'accord avec
vous. Entièrement d’accord. Nous n'avons pas besoin de
demander au gouvernement de le faire.
HD/AN : Et ne vous attendez pas à ce que
le gouvernement vous transmette une quelconque
information, parce que les gouvernements… Comme je l’ai
déjà dit, les gouvernements n'ont pas d'informations à
transmettre.
Cette information est déjà dans le domaine public. Ça
arrive ! C'est comme des fleurs qui s'épanouissent,
sortant du sol, ça fleurit de partout.
RP : Nous avons Internet qui apporte
l’information aux gens.
HD/AN : De plus, de grandes inventions
et des choses ont été découvertes simultanément dans le
passé, en différents endroits de la planète. Comment
est-ce possible ? Parce que cela se produit dans une
autre dimension, que cela provient d'une autre
dimension. C'est ainsi que ces informations sont
données, elles ne sont pas données par les
gouvernements.
RP : L'information est sur Internet.
Juste pour la fin de l'entrevue, pensez-vous qu'ils vont
limiter la liberté sur Internet ? Peuvent-ils le faire ?
HD/AN : Eh bien, ils peuvent tenter de
le faire, et ils peuvent l’interrompre. Et Internet peut
ralentir considérablement pendant une certaine période.
Mais ensuite, nous parlons de… Qui sont-ILS, savez-vous
? [Sourires.] Internet a été initialement
structuré afin que vous ne puissiez PAS l'arrêter,
savez-vous ? Par conséquent, il peut ralentir,
c'est tout. Aller à la vitesse d’un escargot.
Songez donc à des modes alternatifs de communication.
Une nouvelle forme de communication arrivera d'ici
quelques années, où de toute manière vous n'aurez plus
besoin d'Internet.
RP : Laquelle ? La télépathie ?
HD/AN : Quelque chose comme ça.
RP : Ah, nous y voilà !
HD/AN : Et les gens feront
simplement... Ce sera aussi quelque chose de naturel.
RP : Une communication de cœur à cœur,
savez-vous.
HD/AN : Oui. Et c'est ce qui se passe
lors de ces colloques. Les gens le vivront.