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En Hommage :
Harry Hoxsey
Cette page est la traduction, par The Avalon Translation Project,
d'une publication du site originel de Project
Camelot.
Harry
Hoxsey n’étudia jamais la médecine, mais hérita de la formule d’un
remède à base de plantes développée autour de 1840 par son
arrière-grand-père,
qui avait vu son étalon de course se guérir lui-même du cancer en
ingérant une
variété de plantes que le cheval ne broutait pas habituellement
lorsqu’il était
au pré. Il observa et rassembla ces herbes et les utilisa pour traiter
avec
succès cancer et tumeurs sur d’autres animaux. Son petit-fils, John C.
Hoxsey,
vétérinaire dans le sud de l’Illinois, fut le premier à utiliser la
formule
pour traiter des gens contre le cancer, et il affirma obtenir des
résultats
positifs. A son décès, il transmit la formule à son fils, Harry Hoxsey,
qui
ouvrit en 1924, dans une petite ville du sud de l’Illinois, sa première
clinique contre le cancer. Des milliers de patients jurèrent que le
traitement
les avait guéris, mais les autorités médicales l’accusèrent d’être le
pire
charlatan du siècle. Ainsi commença une guerre médicale toujours en
cours.
Hoxsey ouvrit ensuit une grande clinique à Dallas, au Texas, qu’il
développa en
dix-sept cliniques réparties sur les Etats-Unis. Il était constamment
en lutte
contre l’AMA [l’American Medical Association, l'association médicale
américaine –
NdT], dirigée par Morris Fishbein, et les autorités locales. Fishbein
tenta
d’acheter la formule, mais après avoir essuyé un échec, il s’employa à
détruire
Hoxsey et ses cliniques. Hoxsey poursuivit Fishbein en justice et
l’emporta,
obligeant Fishbein à démissionner de son poste à l’AMA. Mais l’AMA
parvint en
1960 à obtenir de la FDA [la Food and Drug Administration, l’agence
fédérale
américaine des produits alimentaires et pharmaceutiques –NdT] qu’elle
ferme les
cliniques de Hoxsey. Ce dernier transmit la formule à son infirmière,
qui
partit pour Tijuana, au Mexique y établir une clinique de traitement
des
patients atteints du cancer.
La clinique texane de Hoxsey était dans les années 1950 la plus grande
du
monde, avec des succursales dans 17 Etats des Etats-Unis. Deux cours
fédérales
confirmèrent la « valeur thérapeutique » de son traitement.
Même son
pire ennemi, l’Association Médicale Américaine, admit que le traitement
de
Hoxsey avait guéri quelques patients.
Hoxsey affirmait que le cancer n’est pas seulement une maladie, mais
aussi une
sorte de psychose. Il traitait donc la personne dans son
intégralité : le
mental, l’esprit et les émotions. Dans les années 20, 30 40 et 50,
c’était là
quelque chose de très révolutionnaire. Il recommandait simultanément un
régime
alimentaire, autre chose très révolutionnaire à l’époque, car la
médecine
officielle insistait sur l’absence de lien entre régime et santé, ou
entre régime
et maladie. Hoxsey avait des décennies d’avance sur son temps.
Malgré ses succès, les batailles de procédure se succédèrent tout au
long des
années 1950, mais Hoxsey gagna presque tous les procès. En 1967
cependant, il
subit une opération chirurgicale au cours de laquelle « quelque
chose
clocha ». Il fut invalide les sept dernières années de sa vie.
Isolé et
presque seul, il était oublié de tous. Il mourut en 1974, sans même
faire
l’objet d’un article nécrologique dans les journaux de Dallas.
Pourquoi les autorités médicales n’examinent-elles pas le
traitement ?
Hoxsey allégua l’existence d’un complot destiné à supprimer les
thérapies
alternatives. Il survécut à des décennies de « chasse à la bête
sauvage », seulement pour voir ses cliniques cadenassées sans même
obtenir
l’évaluation scientifique qu’il avait demandé sans relâche. Il est mort
brisé,
miné par l’angoisse d’un avenir qui lui paraissait avoir été confisqué
à
l’humanité.
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Bill Ryan
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