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En Hommage :
James Black
Cette page est la traduction, par The Avalon Translation
Project,
d'une publication du site originel de Project Camelot.
Le 1er
août 2003, on trouva James W. Black sur son lit dans son
appartement. L’autopsie fit état d’une mort naturelle,
« une crise cardiaque, peut-être. » Au moment de
son décès, il était âgé de 51 ans (étant né le 25
novembre 1951), jouissait d’une parfaite santé et
n’avait jamais eu de problèmes cardiaques.
Black avait régulièrement expédié de longs e-mails
auparavant sur son forum pour discuter de ses procès
contre les gouvernements du Canada et des USA,
concernant le vol et la suppression [de comptes rendus]
d’expériences du scientifique Hutchison sur
l’antigravitation, parmi d’autres choses.
Extrait de sa notice nécrologique :
C’est avec un
profond regret que nous annonçons le décès de James,
frère et fils bien-aimé. Pianiste doué, il demeurera
dans les mémoires non seulement pour son intelligence
hautement créatrice, mais aussi pour son profond sens
spirituel, sa gentillesse et son sens de l’humain.
Cela fait plus d’un
quart de siècle que je suis l’associé et l’ami proche
de James et j’aimerais ajouter qu’il possédait un
tempérament toujours enjoué, beaucoup d’humour, qu’il
adorait l’aventure, et n’avait peur de rien.
Son amour et sa
compassion pour le genre humain peuvent être illustrés
par les citations suivantes, tirées d’un e-mail que
j’ai reçu personnellement de James, peu de temps avant
son décès, et que j’ai conservé :
« Je ne laisse
pas le passé interférer avec les projets et programmes
de coopération destinés à améliorer l’avenir du monde,
notre environnement, le sort des habitants de tous les
pays ou l’écologie vivante de notre planète. Je suis
disposé à travailler avec quiconque œuvre sur des
projets humanitaires, commerciaux ou liés à
l’énergie. »
« Je suis un
humanitaire et c’est ce qui définit mon domaine
d’action, acceptable de tous les gens bien de tous les
pays. J’ai également envie de m’initier à la culture
des autres et de traiter décemment les gens
respectables, en êtres humains. »
Voici quelques
autres citations de James qui montrent son sens
véritable de l’amour et de la compassion pour le genre
humain :
« Nous étions
tous patriotes, tout comme ceux qui nous soutenaient,
dans une perspective universelle et humanitaire,
soutenant la bienséance, les droits de l’Homme, la
dignité, la liberté et le droit de toute personne bien
à chercher le bonheur, et c’est valable pour tous les
peuples de toutes les nations, cultures, races et
religions, tant que cette personne ne fait pas de mal
à autrui. »
« Je crois
profondément qu’il existe des hommes et femmes
d’honneur chez les militaires et dans les services de
renseignements de tous les pays de notre planète.
Aucun pays, aucune culture ou race ne peut être
accusée de la cupidité, de la corruption et des maux
qui règnent sur notre globe. J’ai toujours cru et
continue à croire que les programmes pacifiques de
coopération peuvent apporter harmonie, amitié,
compréhension et paix à tous les pays, nations, races,
peuples, religions et cultures de notre monde. On n’y
parviendra jamais en faisant du mal aux gens
respectables et aux innocents, où que ce soit sur
Terre ! »
James W Black était un homme noble, un
visionnaire, qui possédait une compassion sincère pour
le genre humain. C’était un chef d’entreprise qui
travaillait dur, un promoteur, un excellent
communicateur, et un juriste, métier dont il n’a
jamais tiré grand profit. Il était extraverti, très
intelligent, extrêmement sympathique. James était aimé
et très respecté de ses nombreux amis, mais il avait
aussi des ennemis.
Lorsque j’ai appris [écrit Bob C., ami de
Black] le décès de James Black, j’ai immédiatement
pensé que – à cause de son travail, de son métier, de
ses associés, de ses combats avec l’establishment, et
des « alertes » qu’il avaient lancées – il
avait été assassiné par des tueurs à gages. J’ai
réussi à trouver deux médiums non-professionnels, que
je ne connaissais pas, qui ne connaissaient pas James
Black, et qui ont accepté de me faire une
« communication » gratuitement, sans être
payés, sur James et sa mort. Ces communications m’ont
été données indépendamment l’une de l’autre, à des
moments différents. Dans la mesure où elles m’étaient
faites par deux inconnus, et ne faisaient l’objet
d’aucune compensation, ils n’avaient aucune raison de
« jouer les béni-oui-oui », pour de
l’argent.
Les résultats ont été stupéfiants :
Médium N°1 :
« ...en ce qui
concerne votre ami James, ce qui m’est venu, sous
forme d’une image rapide et floue, c’est un
avant-bras... une vue interne, juste sous la pliure du
coude... peut-être un bras droit. Une petite piqûre
d’épingle, une marque rouge qui peut se révéler soit
être en rapport avec un test sanguin antérieur à son
décès (examen ou bilan de santé par exemple) ou bien
avec une injection quelconque. Pour l’instant je ne
peux rien en dire, vu la brièveté de l’image. Je ne
sais pas trop quoi en penser... On m’a aussi donné ce
terme : chlorure de potassium. » (J’ai par la suite
cherché « chlorure de potassium » sur Google
et j’ai trouvé :
« [Une
injection de] chlorure de potassium est administrée à
dose létale pour interrompre le signal électrique
nécessaire au fonctionnement du cœur. Ce qui produit
un arrêt cardiaque. »
J’ai obtenu des renseignements supplémentaires
en suivant un procès :
« En février,
le juge Hughes Randall, de la Cour Provinciale de
Halifax, a rendu une ordonnance de non-lieu concernant
les accusations de meurtre pesant sur Morrison, en
décrétant qu’il n’existait pas suffisamment de preuves
démontrant que sa prétendue tentative d’euthanasie
avait effectivement causé la mort de Mills. Le
procureur de la Couronne Craig Boterrill déclara que
l’arrêt de Randall créait « un précédent
fâcheux ». Boterrill affirma de plus que la
décision de Randall était fautive dans la mesure où
elle était en partie fondée sur le rapport d’un
coroner, ce qui indiquait que l’agent létal soupçonné
d’avoir été administré au patient Mills, du chlorure
de potassium, ne pouvait être découvert dans son
système sanguin. Boterrill fit remarquer qu’on ne
trouve jamais de chlorure de potassium dans le corps
des victimes d’un meurtre, ajoutant que c’est
« l’instrument parfait du crime parfait. »
J’ai par la suite demandé au médium N°1 s’il
avait déjà entendu parler du chlorure de potassium. Ce
médium répondit : « J’ignorais ce qu’était
le chlorure de potassium et à quoi il servait. »
Médium N°2 :
Remarque: la communication du médium N°2 s’est
déroulée après celle du médium N°1, sans connaître son
contenu.
Le médium N°2 n’accorde pas beaucoup de
confiance aux « théories de la
conspiration ». Ce médium m’a dit :
« Bon, je ne suis pas quelqu’un qui accorde grand
crédit aux théories du complot en général, pourtant...
je pense néanmoins qu’il y a ici un gouvernement ou
une grande entreprise dans le coup. Il y a ici un
aspect très X-Files. »
« Je ne pense
pas que le décès de (James Black) soit un événement
naturel, et je crois qu’il y a quelque chose derrière
les apparences. Je ressens profondément qu’une
multinationale ou par exemple un groupe gouvernemental
le surveillait depuis quelque temps. Ils ont également
écouté et enregistré ses conversations. Il faut aussi
que je vous dise qu’il y a, par exemple, une langue
d’Europe de l’Est ou d’Afrique du Sud, que je sens
liée à ça – un dialecte guttural – du russe, du
sud-africain, une langue comme ça.
Je vous dirai aussi que
James est mort à cause de quelque chose qui a pénétré
par la peau. J’ai le sentiment précis qu’il a absorbé
quelque chose – ça paraît bizarre, je sais, mais c’est
comme ça que je le ressens. Et aussi comme si
quelqu’un avait été régulièrement informé par James de
choses... je n’arrive pas à trouver son nom, quelque
chose comme Hank... Hans... un nom commençant par H
est lié à ça. Je sais que ça va vous sembler idiot,
mais j’ai l’impression qu’il allait annoncer quelque
chose, ou parler de quelque chose qu’il avait
découvert, et qu’on ne lui a pas permis de le faire.
Je dois aussi vous dire
que je sais que vous croyez le gouvernement lié à ça,
et c’est vrai. Mais il y a aussi une grande
entreprise, par exemple une firme pétrochimique... ou
pharmaceutique, liée à ça aussi. C’est en rapport avec
son travail. L’enquête sur sa mort a été bâclée, c’est
le moins qu’on puisse dire, et il y manque quelque
chose, ou quelque chose n’a pas été fait. Par exemple,
il aurait dû y avoir des photos, ou autre chose, qui
n’a pas été fait, sinon on verrait les ecchymoses. Il
avait des bleus autour des bras et sur le côté du cou.
Ces détails-là n’auraient pas paru trop suspects. Et
je ne sais pas non plus ce que signifie 1973, comme
l’année 1973, mais il me donne le chiffre 1973. Et que
vous évoque le mot TAN ? Il me dit
« tan ».
Je dois aussi vous dire
qu’en fait sa mort a été rapide et pas douloureuse. Il
est passé très vite de l’autre côté. Je ressens
quelque chose d’étrange sur la façon dont on l’a
trouvé, pas ce à quoi on pourrait s’attendre. Il
continue à me montrer une bague, avec au centre ce qui
semble être une pierre. Et j’ai aussi l’impression
qu’on a retiré quelque chose de sa poche intérieure,
une poche de veste par exemple. Il y a vraiment là un
mystère... OK. Laissez-moi vous dire qu’il a fait la
transition. Il y a vraiment un mystère lié à sa mort,
mais il semble penser que la vérité est déjà connue,
mais juste qu’elle ne peut pas être prouvée.
Laissez-moi aussi vous dire que c’est un travail de
professionnel, exécuté par des gens qui savaient ce
qu’ils faisaient. »
Pour
plus d’informations sur James W. Black et ses projets
avec le scientifique John Hutchison, merci de vous
rendre sur http://psiapplications.com/jamesblack1.html.
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Bill Ryan
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