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En Hommage :
Morris K. Jessup
Cette page est la traduction, par The Avalon Translation
Project,
d'une publication du site originel de Project Camelot.
L’astronome et archéologue Morris K. Jessup
s’est prétendument suicidé dans un parc du comté de Dade
(Floride) en 1959. Il est indéniable que l’auteur
d’ouvrages aussi influents que The Case for the UFO
et The Expanding
Case for the UFO soufrait de dépression. Les choses
n’allaient pas bien pour lui, et il avait confié son
pessimisme à des amis proches, tels que le biologiste Ivan
Sanderson et Long John Nebel, l’animateur radio très connu
de New York. Sanderson rapporta que Jessup était perturbé
par « une série d’événements étranges » qui
l’avaient entraîné « dans un monde complètement fou
et irréel. »
La réalité à laquelle se trouvait confronté Jessup
était-elle « complètement folle », ou bien
peut-être existait-il des forces qui poussaient Jessup à
bout, des forces qui savaient ce qu’elles faisaient ?
Anna Genzlinger a enquêté sur sa mort de manière
exhaustive. Sa conclusion : « Il subissait une
forme de contrôle. » Il faut se souvenir que c’était
l’époque des expérimentations secrètes du gouvernement
liées au contrôle mental, qui n’ont été révélées que
récemment.
Certains faits concernant l’affaire laissent supposer que
sa mort pourrait ne pas correspondre aux apparences. Au
moment de son décès, Jessup enquêtait sur l’Expérience de
Philadelphie (The Philadelphia Experiment). Contre tout
respect des lois de Floride, aucune autopsie ne fut
pratiquée. Le sergent Obenclain, présent sur le lieu du
crime très peu de temps après la découverte du corps, a
déclaré pour mémoire : « Tout paraissait trop
professionnel ». Le tuyau était fixé au pot
d’échappement avec du fil de fer, et c’était du tuyau de
machine à laver. Jessup est décédé à une heure de pointe,
où la circulation était particulièrement intense. Il avait
reçu trois jours avant sa mort la visite de Carlos Allende
et, selon son épouse, il avait reçu des appels
téléphoniques bizarres. La Marine s’intéressait beaucoup à
ce qu’il faisait, et c’est l’ONI (Office of Naval
Intelligence : le Bureau de Renseignements de
la Marine) qui, dès le départ, a été au centre de la mise
sous le boisseau du phénomène OVNI.
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Bill Ryan
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