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En Hommage :
Royal Rife
Cette page est la traduction, par The Avalon Translation
Project,
d'une publication du site originel de Project
Camelot.
Royal
Rife est l’un des plus célèbres génies de la médecine à
s’être
attiré les foudres destructrices de l’
« establishment ».
Rife a
identifié en 1920 le virus du cancer humain au moyen du
microscope le
plus
puissant du monde (qu’il avait conçu de manière brillante
et
innovatrice). Il
cultiva
ce virus et l’injecta dans 400 rats qui développèrent tous
sans
exception le
cancer. Il rechercha ensuite la fréquence
électromagnétique qui
causait
l’autodestruction du virus du cancer lorsque ce dernier
était irradié
selon
certains critères précis. Il créa un appareil dans ce but
et réussit à
détruire
le virus du cancer chez des patients qui étaient placés à
moins de
trois mètres
de l’instrument.
En 1934 l’Université de Californie du Sud nomma un Comité
Spécial de
Recherche
Médicale pour transférer 16 patients cancéreux en phase
terminale, de
l’hôpital
du comté de Pasadena au laboratoire et à la clinique de
Rife à San
Diego, pour
y être traités. L’équipe comprenait des médecins et des
pathologistes
chargés
d’examiner les patients, si ceux-ci étaient toujours
vivants, 90 jours
plus
tard.
Après 3 mois de traitement, le comité conclut que 14 des
patients
avaient été
totalement guéris. On ajusta ensuite le traitement pour
les deux
derniers
patients, qui furent également guéris au cours des 4
semaines
suivantes. Le 20
novembre 1931, quarante-quatre des autorités médicales les
plus
respectées des
Etats-Unis donnèrent à Pasadena un banquet en l’honneur de
Royal Rife
dans la
propriété du Dr. Milbank
Johnson,
et dont le thème était « La fin de toutes les
maladies ».
Dès 1939 pourtant, presque tous ces médecins et
scientifiques
distingués niaient
avoir jamais rencontré Rife. Ce retournement complet fut
le résultat de
pressions extrêmement fortes exercées par les entreprises
pharmaceutiques. La
veille d’une conférence de presse qui devait annoncer les
résultats de
l’étude
de 1934 sur le traitement anticancéreux de Rife, le Dr. Milbank
Johnson,
ex-président de l’AMA (l’Association Médicale Américaine)
du Sud de la
Californie, mourut empoisonné et on « égara »
ses papiers.
Qui plus
est, après une tentative ratée de la part de Morris
Fishbein (directeur
de
l’AMA) d’acheter les droits de l’appareil de traitement de
Rife pour
l’industrie pharmaceutique, les laboratoires de ce dernier
furent
victimes de
sabotages et détruits par un incendie criminel. Le Dr.
Nemes, qui avait
reproduit une partie des travaux de Rife dans son
laboratoire à 60 km
de là, périt dans un
incendie mystérieux qui détruisit tous les documents liés
à ses
recherches. Un
incendie similaire détruisit le Burnett Lab, qui validait
aussi les
travaux de
Rife. En 1971, Rife lui-même fut tué à l’hôpital
Grossmont, par une dose
« accidentellement » mortelle de Valium et
d’alcool.
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Bill Ryan
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