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Dr. Wilhelm Reich

 Cette page est la traduction, par The Avalon Translation Project,
d'une publication du site originel de Project Camelot.



Dr. Wilhelm ReichLe 28 janvier 1954, Wilhelm Reich « observa par hasard deux brillantes lueurs jaune-orangé qui passaient devant une chaîne de montagnes en se dirigeant vers un lac. » Cette rencontre était la première salve d’une « guerre » contre les OVNI, qui allait constituer pour Reich les ultimes phases d’une carrière scientifique et médicale perturbée.

Reich, psychanalyste de formation qui avait autrefois appartenu au cercle viennois des intimes de Sigmund Freud, devait déjà faire face à l’époque à ce qu’il appelait « de la misère émotionnelle et physique », causée par ses démêlés plus terrestres avec la Food and Drug Administration américaine sur l’usage de l’orgone, une forme controversée d’énergie de vie ambiante, dont il revendiquait la découverte.

Reich trouva une gamme non exhaustive d’utilisations pour sa découverte, mettant l’orgone à toutes les sauces, depuis le secret de l’antigravitation jusqu’à en faire un l’outil de contrôle météorologique, en particulier pour provoquer la pluie. Plus important encore, il découvrit qu’il pouvait utiliser l’orgone pour « se mêler » d’OVNI.

Mais pour la FDA, l’orgone n’existait tout simplement pas, ce qui rendait les thérapies de Reich à base d’orgone passibles de poursuites pour charlatanisme. Même aujourd’hui, quarante ans après cette controverse, les thérapeutes disciples de Reich affirment être capables d’obtenir, en manipulant cette énergie, toute une gamme d’effets curatifs, dont la guérison du cancer, sans avoir recours à des médicaments, ni à des rayons ou des produits chimiques. En lieu et place, Reich s’employait à créer un courant d’orgone dans le voisinage du patient afin de tonifier et de guérir la force de vie sous-jacente elle-même.

Le combat juridique de Reich avec la FDA ne s’en termina pas moins par son décès en prison, suite à son non-respect d’une injonction fédérale lui interdisant d’utiliser l’orgone à des fins médicales.

Quel qu’ait été le statut officiel de ses théories médicales, Reich attendait une réponse de l’US Air Force lorsqu’il l’informa de son observation d’un OVNI. Il tenait le raisonnement que « l’US Air Force est dans le monde occidental la force tout naturellement responsable » du traitement de ce type de phénomènes parce que « cet organisme opère dans l’atmosphère et surveille la frontière supérieure avec l’espace. » Quand il s’avéra que les militaires ne traitaient pas son rapport de manière satisfaisante, Reich se saisit lui-même de l’affaire.

Dans sa lettre à l’armée de l’air, reproduite dans son dernier livre, Contact With Space (En contact avec l’Espace), Reich décrivait une lueur brillante, qui se déplaçait d’ouest en est dans la forêt située aux abords de Rangeley (Maine). Un deuxième phénomène similaire rejoignit bientôt le premier, les deux passant à vitesse constante devant Spotted Mountain. Du fait de leur parcours et que la montagne s’interposait entre leur mouvement apparent et le ciel, il conclut que ces objets n’étaient pas des étoiles, mais apparemment sans envisager l’hypothèse qu’il ait pu s’agir d’aéronefs militaires ou d’autres objets de nature terrestre.

À peu près à la même époque, Ilse Ollendorff, sa secrétaire, déclara également avoir vu « un objet similaire, mais plus brillant et plus gros, parce que plus proche. » Tout comme le phénomène aérien observé par Reich, l’objet d’Ilse Ollendorff planait devant une montagne, mais « il s’éleva une fois verticalement, reprit sa position primitive, puis disparut. »

De son côté l’armée de l’air était soit ignorante de la dispute en cours de Reich avec la FDA, soit suffisamment intriguée par sa rencontre pour négliger la controverse. Le lieutenant Stephen J. Hebert, en poste à la base aérienne de Presque Isle, répondit à Reich, lui écrivant que « l’officier cité en objet a prévenu cet organisme de faire le nécessaire, puisque cette unité s’occupe d’enquêter sur les phénomènes aériens non-identifiés. »

Hebert joignait un exemplaire du formulaire A de la Feuille d’information technique - le questionnaire utilisé par l’Air Force pour signaler un OVNI - afin que Reich et Ilse Ollendorff le remplissent et le renvoient. Comme il l’est indiqué avec regret dans Contact With Space, Reich ne reçut la lettre que cinq jours avant l’injonction obtenue par la FDA qui interdisait la distribution, en tant que matériel médical, d’équipements utilisant l’orgone.

Reich retourna le questionnaire accompagné d’un exemplaire d’un court essai, Survey on Ea (Un survol de l’Ea), mettant en contexte d’autres incidents qui s’étaient déroulés aux abords des installations de recherche d’Orgonon, parmi lesquels la révélation que des amis lui avaient raconté qu’ « on avait vu en 1951 des soucoupes survoler Orgonon. » Il n’avait cependant pas accordé grande importance à ces rapports jusqu’en 1953, année où sa découverte du livre de Keyhoe l’avait fait se demander si les OVNI – appelés dans sa terminologie Enigma-Alpha ou Ea –n’utilisaient pas l’orgone pour leur propulsion.

L’Air Force ne réagit pas, rebutée peut-être par la nature impénétrable des équations orgonométriques de base fournies en appendice dans Survey on Ea. Reich inclut dans l’ouvrage une note plutôt pleine d’une prétention faussement modeste précisant que « tout ne peut pas être révélé » concernant ses relations avec l’Air Force, mais dans Contact With Space ne figure aucune preuve que Reich ait été en communication avec les militaires avant octobre, six bons mois plus tard.

À la place, Reich écrit que durant cette période il se préoccupa de faire appel suite à l’injonction de la FDA et de se préparer à un voyage de recherche dans l’Arizona, où il espérait déterminer le rôle de l’orgone dans la formation des déserts.

En cherchant dans l’espace l’explication à son observation, Reich se montra tout sauf un témoin objectif. Exposé comme la plupart des citoyens des États-Unis des fifties à des années de spéculations sur la possible origine extraterrestre des soucoupes volantes, Reich croyait déjà que les phénomènes aériens inconnus étaient, en ses propres termes, plus que probablement « des contacts avec des visiteurs de l’espace. »

Reich connaissait le fameux livre de Donald Keyhoe, Flying Saucers from Outer Space (Le Dossier des soucoupes volantes), paru en 1953, le laissant prédisposé à chercher des explications extraterrestres aux lueurs inconnues qui parcouraient le ciel aux abords de ses installations de recherche du Maine. Qui plus est, cette opinion a probablement été confortée par le fait d’avoir vu La Guerre des mondes trois semaines seulement avant de rapporter son observation – et dans la mesure où Reich qualifiait ce film « d’approche plutôt réaliste de l’urgence planétaire », il est évident qu’il lui fit une forte impression.

De plus, l’environnement culturel des années 50 prédisposait Reich non seulement à regarder au-delà de la Terre, mais aussi à chercher des preuves que ses OVNI manifestaient un tempérament belliqueux.

La menace d’une guerre était dans l’air, aussi bien dans la vie personnelle de Reich, qui était sur la défensive, que dans le cadre politique général. Le livre de Keyhoe vulgarisa plusieurs rencontres apparemment hostiles entre des pilotes de l’Air Force et des phénomènes aériens non identifiés, tandis qu’un personnage aussi important que le général Douglas MacArthur, un an à peine après l’observation de Reich, prévenait que « tous les pays de la Terre auront à s’unir (...) pour former un front commun face aux attaques d’êtres d’autres planètes. »

Avec ceci à l’esprit, le refugié autrichien, arrivé aux États-Unis après avoir fui les Nazis, considérait comme un devoir non seulement scientifique mais patriotique d’alerter immédiatement de la rencontre les services de renseignements.

Cette politique de la transparence était typique de Reich, qui avait pris soin de tenir depuis 1951 la Maison Blanche informée des développements de ses recherches sur l’orgone. Alors que ses critiques considèrent la chose comme un autre symptôme de ce que Martin Gardner, sceptique de longue date, appelle l’« égoïsme paranoïaque » de Reich, Reich lui-même l’envisageait comme une « importante responsabilité » et semble avoir sous-estimé l’usage potentiel de la rencontre comme véhicule d’autopromotion.

En mai pourtant, Reich fit accidentellement une découverte que quelques officiers de l’armée de l’air, dont le général Harold Watson, responsable des renseignements à la base aérienne de Wright-Patterson, trouvèrent tout à fait digne d’intérêt.

Alors que Reich balayait le ciel avec un cloudbuster, un dispositif qu’il avait conçu pour extraire de l’orgone du ciel, afin de provoquer la pluie, il vit en présence de trois autres témoins une étoile disparaître progressivement. Il dirigea les tubes du cloudbuster sur une deuxième lueur clignotante, qui perdit aussi de sa luminosité. Entre-temps, la première étoile avait retrouvé sa magnitude, une fois le dispositif pointé ailleurs.

Reich répéta l’expérience trois fois encore, en succession rapide, et obtint chaque fois des effets identiques. Comme il était scientifiquement impossible que son appareil ait agi sur de véritables étoiles – même dans les travaux orthodoxes de Reich, la portée du cloudbuster s’exprimait en kilomètres, et non en années-lumière – il en déduisit que son dispositif avait eu un effet sur deux OVNI.

Ayant conclu que son cloudbuster pouvait être utilisé comme canon spatial, Wilhelm Reich organisa son expédition dans l’Arizona comme s’il se préparait à entrer en guerre contre l’espace.

En octobre 1954, Wilhelm Reich était sous pression. Non seulement la FDA l’avait dépossédé de ses moyens d’existence, mais leurs observations presque quotidiennes d’OVNI laissaient sa famille et ses amis épuisés et terrorisés.

« Je suis sans l’ombre d’un doute en guerre » contre les OVNI, écrivit Reich quelques heures après que quatre lueurs brillantes et pulsantes étaient restées suspendues des heures au-dessus d’Orgonon, ses installations de recherche dans le Maine rural. « Ce qui, il y a un an, ne semblait être qu’une éventualité, se confirme maintenant. »

Les OVNI avaient menacé Orgonon depuis que Reich avait commencé à expérimenter l’adjonction de petites quantités de matériaux radioactifs à son cloudbuster, son appareil de maîtrise de la météo. Reich avait appris en mai qu’apparemment le cloudbuster n’extrayait pas seulement de la pluie des nuages, mais tirait aussi de l’énergie des lueurs du ciel, faisant de lui, selon ses dires, un canon spatial efficace contre les OVNI.

Le psychanalyste autrichien devenu scientifique naturel était convaincu que les OVNI utilisaient l’orgone, une source d’énergie ambiante qui a une action réciproque avec la vie et la matière organique. La FDA, contrairement aux affirmations de Reich, avait décrété que l’orgone n’existait pas, et avait donc obtenu une injonction contre tout traitement médical se proposant de guérir par la manipulation d’orgone.

Reich, cependant, resta convaincu de la réalité de sa découverte. Il braqua le canon spatial sur deux objets aériens qui planaient de façon menaçante sur Orgonon, et les fit battre en retraite. L’un disparut après avoir faibli, perdu de sa luminosité et clignoté, amenant Reich à conclure triomphalement que « ce soir, pour la première fois dans l’histoire de l’Homme, la guerre disputée sur cette Terre depuis des siècles par des êtres vivants venant de l’Espace... n’[était] plus à sens unique. »

En haut comme en bas. Le jour même, Reich informa les autorités de Portland qu’il allait recommencer à se consacrer à ses publications liées à l’orgone. Cette provocation allait l’amener à mourir en prison moins de trois ans plus tard.

Reich, convaincu que les aliens faisaient la guerre contre la Terre en empoisonnant son orgone, et en créant des déserts, décida de tester son canon spatial dans les étendues de l’Arizona situées au nord de Tucson et craquelées par la sécheresse. Selon son dernier livre, Contact With Space, il n’avait pas plu à Tucson depuis cinq ans, ce qui faisait du désert un terrain d’expérimentation parfait, à la fois pour tester les capacités du cloudbuster à provoquer la pluie et sa faculté à affaiblir les OVNI.

Afin de partager le fruit de ses recherches avec l’Air Force, Reich envoya entre-temps William Moise, son assistant, à la base aérienne de Wright-Patterson, dans l’Ohio. Comme le nota Reich avec amertume, « Orgonon n’avait reçu aucune aide directe de l’Air Force, financière ou autre. » Mais il restait déterminé à maintenir les militaires au courant des utilisations de l’orgone dans le combat extraterrestre.

Moise reçut néanmoins un accueil mitigé à Wright-Patterson. Le général Harold Watson, responsable des renseignements de l’Air Force, avait semblé au départ désireux de parler avec Moise de cette affirmation de Reich qu’il avait « neutralisé deux OVNI », insistant même que Moise pouvait se permettre d’arriver en fin de journée et que les deux hommes « poursuivraient leur conversation après dîner. »
Ayant à traverser le désert, Moise était conscient que des facteurs accidentels pouvaient perturber la réunion ; il confirma donc deux fois son rendez-vous avec Watson. Malgré cela, lorsque Moise arriva à Dayton, on lui annonça que Watson était indisponible, « suite à une affaire imprévue de grande importance. »

En conséquence de quoi, il fut accueilli à la base par un certain Dr. W.H. Byers et Harry Haberer. Moise détesta Byers dès la première seconde, le décrivant comme quelqu’un « à la poignée de main molle et au regard fuyant ». Comme Watson avait exprimé la crainte qu’un groupe de la CIA puisse faire une descente cette semaine-là, il semble très plausible que Byers ait fait partie de ladite délégation. De son côté Haberer a, chez les ufologues, la réputation d’être un « excellent homme des relations publiques au service de l’Air Force ».

Moise refusa de parler aux deux hommes et attendit le lendemain, le moment où il put briefer le commandant en second de la base qui, dit-on, fut enthousiasmé par la révélation de l’existence d’une arme contre les OVNI. Haberer et Byers se montrèrent apparemment moins impressionnés, mais prirent des notes.

Selon Reich, l’armée de l’air continua tacitement à s’intéresser à ses travaux, et envoya de nombreux avions à réaction dans la zone d’expérimentation de son cloudbuster, mais sans réagir ouvertement, parce que son canon spatial était « un sujet brûlant, parce que non-officiel, et de non-officiel parce que c’était un sujet vraiment brûlant. »

Quand les membres son groupe arrivèrent le 19 octobre à Tucson, de retour du Maine très boisé, ils furent choqués par le désert de l’Arizona, apparemment beaucoup plus aride à l’époque qu’il ne l’est aujourd’hui. « Nous fûmes impressionnés par la nudité du sol, qui dégageait une impression de blancheur, de dureté, écrivit Reich. Le lit des rivières était sec depuis environ 50 ans (...) aucune herbe à prairie nulle part. »

Les semaines suivantes, le groupe, composé de Reich, de sa fille Eva et de son fils Peter, de Moise et d’un autre assistant – souffrirent presque immédiatement de déshydratation, d’épuisement et du manque de confort, toutes choses qu’ils attribuèrent à la présence de « radiations mortelles d’orgone ». Le harcèlement dû aux OVNI, cependant, n’était que sporadique, mais persistant, et amena Reich à supposer que ces phénomènes aériens « assoiffés » combattaient activement ses efforts de production de pluie.

Les chercheurs ripostèrent tout le long de novembre, et semblèrent être à l’origine de l’apparition d’une herbe de prairie d’hiver, luxuriante mais pas de la pluie. Des problèmes de transport avaient forcé Reich à laisser à Orgonon sa provision de matériaux radioactifs, désavantageant ainsi nettement les cloudbusters face aux OVNI. Privée de charge radioactive, l’équipe de Reich ne pouvait qu’agacer les lueurs du ciel, sans vraiment les gêner dans leur inscrutable activité.

Les OVNI continuèrent entre-temps à décourager les chercheurs. Un des assistants de Reich tomba en dépression alors qu’il braquait le cloudbuster dans le ciel, ce qui l’obligea à séjourner un mois dans sa famille pour récupérer. En son absence, Reich émit l’hypothèse que l’homme avait extrait trop d’orgone empoisonnée d’un objet aliène dissimulé.
Dès le 7 décembre, Reich décida qu’il était temps d’avoir du renfort en envoyant chercher sa carte perforée radioactive, deux aiguilles de radium chargées à l’orgone. Les aiguilles arrivèrent une semaine plus tard, après un voyage marqué par des mésaventures et le mauvais temps.

Reich, maintenant en possession du radium, était prêt à reprendre l’offensive, à la fois contre les OVNI et contre le désert.
« Le 14 décembre, à environ 16h30, se déclencha une bataille interplanétaire totale, rédigea-t-il. Une bataille aussi incroyable qu’incompréhensible aux yeux de toute personne ignorant les problèmes [des OVNI] ou se complaisant dans l’illusion que ni les OVNI, ni l’orgone n’existait. »

Tout d’abord l’équipe orgonienne « dut repousser un type particulier d’attaque orgonique mortelle qui les laissa en très mauvaise forme ... malades ... déprimés, déséquilibrés en quelque sorte. » Un terrible « nuage noir, évoquant la fumée d’un gigantesque incendie » se développa au-dessus de Tucson, prenant finalement une coloration d’un violent rouge cramoisi et faisant crépiter le compteur Geiger de Reich à 100 000 unités par minute. Tous les chercheurs« furent pris de nausée, de tremblements, de douleurs dans la partie supérieure de l’abdomen et d’altération des mouvements », tandis qu’« environ une douzaine d’avions de l’Air Force de différents types » survolaient le campement de l’équipe.

En mettant de côté l’orgone qu’il soit positif ou négatif, la description de l’incident par Reich rappelle un test nucléaire : forte présence militaire, radiations, fumée, nausées. Il est cependant improbable que le gouvernement fasse exploser une bombe visant apparemment directement Tucson, un centre régional et commercial prospère.

Reich mit ses aiguilles de radium en contact avec les cloudbusters et commença à tirer sur les nuages pour en dissiper l’énergie. L’opération prit environ 20 minutes, temps au bout duquel le nuage s’était dissocié et les indications du compteur Geiger étaient revenues à la normale.

Il plut trois semaines plus tard. Entre-temps, le journal de Reich se remplit de douzaines d’observations d’OVNI – « des pulsations rouge-blanc-bleu », « des pulsations jaunes », « des disques argentés », « constamment jaune-vert » – sur lesquelles braquer le viseur de son canon spatial. La plupart « s’affaiblirent », « s’éteignirent » ou bien « cessèrent de clignoter ». L’herbe qui recouvrait le désert atteignit « de quelques pouces à un pied (30 cm) de haut », encourageant les propriétaires locaux de ranches à amener par troupeaux du bétail dans la région.

Après un bref voyage d’importance secondaire à Jacumba (Californie), l’équipe rentra fin avril 1955 au bercail, dans le Maine. « Notre tâche en Arizona était terminée », dit Reich.

Dix-huit mois plus tard il était décédé, et tous les exemplaires disponibles de ses travaux brûlés par décision de justice. Seuls quelques livres survécurent, obligeant ses disciples éparpillés à se fier aux indications trouvées dans ses ouvrages – dont Contact With Space – réimprimés par des particuliers.

 

Robert Scott Martin









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Bill Ryan

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