Traduction et sous-titres, par The
Avalon translation Project, d'un document publié à l'origine sur Project Camelot.
Las Vegas, juin 2007
Tourné, édité et
réalisé par Kerry
Cassidy et Bill Ryan
Début
de l’interview
Bill Ryan : Jim Sparks, nous sommes enchantés de parler avec vous
aujourd’hui.
Je suis Bill Ryan ; je suis la moitié de Projet Camelot, l’autre moitié
étant
Kerry Cassidy. Une des choses que nous faisons c’est de présenter
différents
éléments du puzzle qui constitue une grande vue d’ensemble. Beaucoup de
gens
regardent actuellement cette vidéo, et ils auront autant envie que vous
et nous
de les assembler.
Jim
Sparks : OK.
BR :
Or, nous sommes
ensemble aujourd’hui parce que, d’après ce que nous comprenons, vous
possédez
une ou deux pièces peut-être importantes à présenter au public, et nous
allons tenter
de les faire s’emboiter, si nous le pouvons. Nous parlons ensemble
parce que
vous êtes ce qu’on appelle dans la communauté ufologique un
multi-abducté
pleinement
conscient. C’est l’expression la plus
courte que j’ai trouvée.
JS :
C’est bien dit.
BR :
Pourriez-vous y
ajouter votre propre description ? En quoi, à votre avis,
contribuez-vous
à ce puzzle ?
JS :
Pour simplifier,
la relation dure depuis environ 19 ans. Les six premières années ont
été
ambiguës – pas de système de référence - je ne pouvais pas comprendre.
Je dirais
que ça ressemblait à ce que subissent les autres abductés. Sauf, une
fois de
plus, qu’il m’en restait 95 à 98 % de souvenir conscient total.
BR :
Combien
d’enlèvements avez-vous subis, à vue de nez ?
JS :
Des centaines.
BR :
Des
centaines ?
JS :
Pas mal de
centaines.
BR :
Pas mal de
centaines ? Ça fait beaucoup !
JS :
Pas mal de
centaines.
BR :
Là encore,
d’après votre expérience, diriez-vous que c’est probablement
exceptionnel, ou
bien beaucoup d’abductés subissent-ils des centaines d’enlèvements,
mais ne se
souviennent d’aucun ? Est-ce que c’est possible ?
JS :
Je pense qu’il y
a beaucoup de vrai dans ce que vous venez de dire à l’instant, parce
que je
vois des enlèvements de masse avec des centaines de gens, et au cours
de ces
enlèvements de masse, vers la fin l’expérience est effacée de leur
mémoire.
Dans les enlèvements de masse que j’ai vus, ce sont avant tout ceux
qu’on
appelle les Gris qui sont impliqués. Les gens reçoivent des cours
d’environnement. C’est ce que je vois depuis 19 ans.
BR :
Que voulez-vous
dire par cours d’environnement ?
Qu’est-ce que vous voulez dire par là ?
JS :
Une conscience
aiguë de la situation dans laquelle nous sommes au niveau de
l’environnement.
Ce qu’ils font surtout dans ces cas d’enlèvement, particulièrement dans
les abductions
de masse qui ont ce but, au niveau mondial, c’est de faire prendre
conscience
de la beauté de notre planète, à quel point elle était belle, en
montrant
différentes images pour illustrer ça, et ces images deviennent de plus
en plus
déplaisantes en fonction de ce que nous faisons à la planète. On les
informe
que la planète est en train de mourir. Je pense qu’on leur attribue,
comme je
sais que ça a été le cas pour moi, une sorte de mission. On ne vous
oblige pas
à l’accomplir. Ils reçoivent cette mission à la fois au niveau
inconscient et
au niveau conscient. On leur en efface le souvenir conscient avant le
retour.
Je pense qu’avec ce message on atteindra la masse critique au niveau
mondial. Dans
leur vie quotidienne, certaines personnes peuvent avoir des souvenirs
fragmentaires de l’enlèvement, tandis que d’autres aucun. Ça concerne
des
dizaines, des centaines de milliers, voire des millions de gens ou plus
dans le
monde entier.
BR :
Dans le monde
entier ?
JS :
Dans le monde
entier. Mais lorsqu’on atteindra la masse critique, le timing, si le
timing est
parfait, je pense que beaucoup de gens commenceront à se souvenir de ce
qu’ils
ont à faire. Donc il semble bien y avoir une volonté chez les abductés.
BR :
Ça fait partie
d’un programme à long terme ?
JS :
Oui.
BR :
Un programme à
long terme très important ?
JS :
C’est un plan
spécial, oui.
BR :
Et ce plan, et
là j’essaie de clarifier ce que vous venez de dire, ce plan a un but
éducatif.
Sauf qu’ils ont un style d’enseignement particulier, que nous
n’aimerions pas
forcément voir utilisé avec nos enfants.
JS :
C’est de
l’enseignement, sans aucun doute, mais pas un cours, le but est d’agir.
J’ai vu
ça fleurir en moi, prendre conscience de ce qui se passe. J’ai vu ça
fleurir
chez quelqu’un que j’ai eu l’occasion de voir et avec lequel j’ai eu
une
relation personnelle à bord pendant deux ou trois heures, puis de le
revoir ici-bas
au fil des années, assimiler comme les autres ce message lié à
l’environnement.
Je le connais, mais je ne révélerai pas son identité… et nous sommes
devenus
amis. Je peux continuer à vivre avec ça, mais nous sommes amis.
BR :
Bien qu’il ne se
souvienne pas de son expérience, vous n’en n’avez pas soufflé mot,
observant ce
qui s’était passé, puis vous l’avez vu changer d’attitude, de
comportement, et
commencer à s’impliquer dans certains projets…
JS :
Absolument.
BR :
Vous avez vu… Ce
qui était EXACTEMENT le but de leur programme.
JS :
Tout à fait. Ce
qui est intéressant, c’est toutes ces allusions au début de nos
relations
ici-bas, où il me confiait telle ou telle chose, un souvenir
fragmentaire,
comme la plupart des abductés et, sachant qui il était, je devais tenir
ma
langue. Bon, maintenant il sait qui je suis et il s’est complètement
épanoui.
C’est vraiment là un programme très important.
Comme
pour la plupart des
abductés, ça été pour moi six ans d’enfer, parce que je n’avais aucun
système
de référence. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Rien de ce qu’ils
faisaient n’était clair. Donc je ne veux pas dire qu’on me formait. Je
n’ai pas
trouvé de mot pour qualifier ça. Une sorte de camp d’entraînement alien.
BR :
Que pensez-vous
d’ « endoctriné » ?
JS :
C’est ça
même ! Donc vous savez quoi faire.
Point final. Parce que vous avez affaire à des créatures à
l’intelligence
non-humaine. Ils ont un esprit dix ou cent fois plus rapide. Ils
possèdent
cette haute-technologie. Ils peuvent voyager dans le temps, traverser
l’univers
instantanément, travailler avec d’autres dimensions, et ces gens ou ces
êtres
sont terriblement éloignés de nous, spécialement au point de vue
social. Ils ne
sont absolument pas sociables envers nous. Ils vous traumatisent. Une
relation
avec eux est traumatisante à tous les niveaux, sous toutes ses formes.
C’est un
bien que les gens en perdent le souvenir, et peut-être que la mémoire
leur
revient doucement pour qu’ils puissent faire face à ça.
Pendant
les six premières
années, c’était ambiguïté, paradoxe et symboles d’apprentissage. Le
problème,
c’est que je n’avais aucun système de référence pour comprendre ce qui
se passait.
Les six ou sept années suivantes, on m’a laissé me promener à bord, où
j’ai
commencé à voir des objectifs. Je savais maintenant comment me
comporter :
a) Je n’allais pas les tuer ; b) je n’allais pas chercher à mettre
le
vaisseau en pièces ; c) je n’allais pas semer la pagaille, je
n’allais pas
faire… ce que j’avais fait les six premières années. On m’avait alors
paralysé
la plupart du temps. Donc maintenant je commençais à voir ce qu’ils
faisaient.
BR :
Tout ça est très
étrange, parce que ça vous est arrivé après avoir été un rebelle,
selon leurs
critères, vous ne vouliez pas coopérer. Vous hurliez et leur criiez
après. Vous
étiez en colère. Vous étiez indigné...
JS :
Exact.
BR :
…que tout ça
vous arrive contre votre volonté, mais ils semblent ensuite vous avoir
fait confiance, jusqu’à presque vous demander
de les aider à réaliser leur programme. Je veux dire : c’est
paradoxal !
JS :
Oui, mais
nécessaire. Je veux dire que , vraiment, vous… Je ne les défends pas.
Je ne
prétends pas que… Et vous m’avez entendu dire ça auparavant, et je le
répète
maintenant, je ne prétends pas adopter la culture aliène. Je me méfie
de leurs
motifs depuis toujours. Je ne gobe pas ça en me disant « C’est
comme
ça ». Je laisse les choses se produire. C’est la sagesse même. Je
constate
que les choses se produisent réellement
et moi, je vois des signes, et qu’ils sont réellement
positifs et non négatifs.
BR :
Serait-il juste
de dire qu’il s’agit ici d’une sorte de lavage de cerveau
positif ? C’est
ma façon de voir ce qui vous arrive. Et là aussi c’est paradoxal, parce
qu’on
n’associe pas vraiment « lavage de cerveau » à quelque chose
d’un
tant soit peu positif.
JS :
Naturellement.
BR :
Mais il y a
là-dedans quelque chose de contraire au libre-arbitre.
JS :
Exact.
BR :
L’intention
paraît positive, parce qu’il s’agit de choquer les gens ou de les
pousser à
prendre plus de responsabilités en faveur de notre planète et de
l’environnement qu’avant. Agissent-ils par pur altruisme, ou par
intérêt ?
JS :
De toute
évidence, il y a de l’intérêt personnel, mais aussi des avantages pour
nous.
Mais quant au lavage de cerveau : pas de doute, il y en a. On nous
force,
c’est flagrant. Il m’a fallu des années pour en comprendre la
nécessité. C’est
parce qu’ils sont extrêmement différents de nous. Nous parlons ici
d’une espèce
à l’intelligence non-humaine, techniquement en avance sur nous de
milliers
d’années parfois, véritablement. Des milliers d’années d’avance pendant
lesquelles ils ont évolué et déjà compris des tas de choses. Ils ont
rejoint,
pour ainsi dire, leurs voisins dans la galaxie. Ils ont vaincu des
choses comme
la mort, du moins certains d’entre
eux. Ils ont une espérance de vie phénoménale et ils changent de corps
lorsque
le leur est usé.
BR :
Nous en avons
entendu parler.
JS :
Ils ont dans
leur esprit l’expérience de milliers et de milliers d’années sous forme
de
banque de données.
C’est
cohérent, c’est
pratique, cela fonctionne sous forme de groupe et quand vous avez ça en
face de
vous, qui dispose de ça dans son esprit, et que vous détruisez votre
planète,
ils voient le problème dans le temps.
BR :
S’agit-il de
« notre » planète ou de la « leur » ?
JS :
[en riant] Il y
a là des choses difficiles à avaler, que je n’appréciais pas, parce que
durant
les premières années, je hurlais : « pourquoi moi ?
Pourquoi
moi ? Pourquoi moi ? » Et je n’obtenais pas de réponse,
il m’a
fallu cinq ans de plus pour ça, et le résultat… Les Gris et cette
espèce
particulière… Je ne parle pas de tous… Ils ressemblent beaucoup au
visage que
j’ai vu ici avant [allusion à la fausse tête d’alien de Bill Holden, v.
ci-dessous]… ils prétendent avoir manipulé génétiquement ces espèces de
singes
que j’ai vus - sous forme d’hologrammes,
pas en vrai. C’est lié au temps… Bon, ils ont fait des images de
certaines époques,
et j’ai vu à quoi ça ressemblait. Il y a quelques millions d’années,
peut-être,
ou quelques centaines de milliers d’années. Ces sortes de gorilles qui
ne
ressemblaient pas tout à fait à un singe, ni à une personne, ils
prétendent les
avoir modifiés pour en faire ce que nous sommes aujourd’hui.
BR :
Voulez-vous dire
que vous avez expérimenté ça un peu comme un des holodecks de Star
Trek ?
Comme si… comme si vous y étiez ?
JS :
Non, non.
BR :
OK. Pardon. Expliquez-nous
donc ce qui s’est passé.
JS :
Ce que nous
appelons habituellement… C’est comme une image d’ordinateur, mais
projetée
comme un hologramme. Donc on la voit dans un cadre, et il y avait
beaucoup de
ces images, du genre hologramme, carrées, en suspension dans l’air.
J’en ai vu
des milliers et des milliers au cours de ces expériences.
BR :
Donc ça
ressemble à un écran-TV large en 3D, et vous êtes juste en face de
lui ?
JS :
Oui.
BR :
OK. Compris.
JS :
Et sa dimension
indique son importance. Je vais entrer dans les détails. Si c’est en
deux dimensions,
ça peut être pratiquement plat, comme un croquis, mais… un croquis d’instantané. Si c’était plus important,
alors il prenait de l’épaisseur. Mais ces espèces de gorilles, c’est ce
que eux
prétendent, ils les ont génétiquement manipulés pour en faire ce que
nous
sommes aujourd’hui, c’est-à-dire,
selon eux, une partie d’eux-mêmes et une partie de ce qui est
naturellement ici.
BR :
Donc on nous a
greffé certains de leurs gènes ?
JS :
Si vous voulez
parler de greffe de gènes, je ne sais pas comment ils font ça.
BR :
Je n’en sais
même rien… c’est juste un terme technique.
JS :
Je pense qu’un
jour on va en entendre parler. Je sais vaguement comment. Mais ça reste
néanmoins contraire à la religion, à la philosophie et aux lois de la
nature…
C’est pourquoi j’ai été furieux là-contre pendant des années, mais plus
maintenant.
Cela
leur donne une raison
d’être, un droit, je ne veux pas dire un droit de propriété, ça n’est
pas le
mot qui convient… Ils font preuve de responsabilité là, même si je
n’approuve
pas tellement ce qu’ils ont fait : ce qui concerne leur
invisibilité,
leurs relations avec nous, leur ambiguïté ; on ne connaît pas leur
nature,
ils se cachent. Quand on regarde l’Holocauste et des choses de cette
nature,
les explosions atomiques, et ce que nous avons fait, guerre après
guerre… on
pourrait penser… ils ne semblent pas prendre de responsabilités. Eh
bien, j’en
sais plus maintenant. Je comprends leur réaction.
BR :
Vous avez écrit
un livre, intitulé The Keepers [Les
Gardiens, les Conservateurs].
JS :
Affirmatif.
BR :
Pourquoi
l’avez-vous intitulé The Keepers ?
JS :
Eh bien, au
départ il devait s’intituler The Star
People [« Le peuple des étoiles » ou « Les gens des
étoiles »].
Pendant
des années, les
premières années, j’ai voulu savoir qui ils étaient, mais ils n’aiment
pas
répondre aux questions pour différentes raisons. Ce qui me frappait à
un moment
dans cette histoire de peuple des étoiles,
c’était que j’avais… Les premières années il fallait que je fabrique
des
symboles, que je fasse des exercices et ils prélevaient du sperme. Ils
faisaient toutes ces choses traumatisantes et, si j’étais une bonne
souris de
laboratoire, il y avait des séances de récompense… C’était punition et
récompense… où on acceptait de répondre à certaines de mes questions.
Je me
rappelle une fois où j’avais fait particulièrement bien, c’était au
cours de
ces premières années. Donc je devais poser une question et je savais
que
j’allais obtenir une réponse.
BR :
C’est votre
récompense, de pouvoir poser une question ? [Bill rit] D’accord.
Continuez.
JS :
Et ma question,
c’était : « Qui, bon sang… qui êtes-vous ? » Et la
réponse : « Le peuple des étoiles ». En tant que
personne, je
n’ai pas aimé cette réponse, parce que j’ai réagi ainsi :
« Vous
pensez que je suis un singe, que je suis un idiot ? « Le
peuple des
étoiles », qu’est-ce que vous dites ? On dirait de la
science-fiction
des années 50, ouais, le peuple des étoiles. Mais ce qui est
intéressant,
concernant cette forme intelligente c’est que, certaines des réponses,
ou la
plupart d’entre elles sont si simples et si pertinentes, qu’il est
difficile
pour un être humain d’accepter quelque chose de simple.
BR :
Oui, là je vous
suis. Le mot-clé ici, c’est « people » [le peuple, ou les
gens :
terme ambigu en anglais – NdT].
JS : « people ».
BR : Oui, « people ».
JS :
Donc, les gens des étoiles [et non le
peuple des étoiles ! – NdT].
Donc, j’ai compris ce qu’ils voulaient dire. Ils se considéraient comme
des
gens et quand ils me l’ont dit pour la première fois, je leur ai collé
aux basques. A fond.
BR :
[gloussement] Exact.
JS :
Parce que je
suis une personne, vous n’êtes pas une personne, [montre Bill du doigt]
vous
êtes une personne, [pointe son doigt vers la caméra] vous n’êtes pas
une
personne, comment osez-vous vous appeler une personne ! Mais au
fil du
temps, j’ai fini par trouver le sens : oui, ils viennent des
étoiles, ils
se considèrent comme des gens ou des personnes, ou des êtres, ils
utilisent le
terme de « people » [« peuple » ou
« gens »]. Et
ils voyagent dans le temps, voyagent dans les dimensions, ils le font
depuis
des dizaines de milliers d’années. Donc ils n’ont plus vraiment de base, pour ainsi dire. Ce n’est pas une
critique. La réponse était parfaite.
OK.
Maintenant quelque
chose d’important s’est produit, qui a changé le titre en « The
Keepers » [Les Gardiens, les Conservateurs]. J’allais de Naples,
en
Floride, à Fort Meyers Beach, où j’habitais à l’époque, lorsqu’à
mi-parcours
j’ai vu quelque chose de vraiment phénoménal. Rien d’exceptionnel avec
la technologie
qu’ils ont. Mais j’ai vu un vaisseau spatial qui ressemblait à un
bateau à
voile. C’est-à-dire que j’ai vu une voile, qui traversait la route, à
une
distance d’environ 800 à 1200 m. J’habitais à l’époque un endroit où il
y avait de
l’eau et il n’est pas rare d’y voir des bateaux.
Et
tout en regardant cette
voile et en roulant sur cette route, en voyant la voile traverser la
route je
me suis alors rendu compte que je connaissais cette partie du pays,
qu’il n’y avait pas d’eau, pas de pont, et que
j’étais
en train de voir quelque chose qui semblait passer à travers la route.
Eh bien,
c’était le sommet de ce que j’appelle un vaisseau en forme de diamant,
comme
une pyramide retournée. De nouveau, les lois de la physique, comme nous
ne les
comprenons pas, ne s’appliquent pas ici. Voilà, pourquoi certains de
ces engins
semblent traverser la matière dense. On dirait… on a rapporté qu’ils
s’engouffrent dans les volcans… et toutes sortes d’histoires du même
genre. Ils
peuvent créer un champ. Ils peuvent le faire. Ça va vous intéresser.
Quand
j’ai découvert ce
que c’était, l’engin s’est élevé au-dessus de la route, puis dans le
ciel, il
était immense, silencieux – on n’entendait rien - et
il était suspendu là. Pendant que
regardais l’objet, j’ai reçu un message télépathique, très distinct et
très
clair : « Les Gardiens, les Gardiens sont ici pour ramener
leurs gens
chez eux, dans un meilleur endroit. »
Pendant
qu’on me disait
ça, j’ai clairement vu dans ma tête une image - c’est comme ça
qu’ils font, ils savent transmettre des
pensées ou une
vision. J’ai vu à l’intérieur ce qui ressemblait presqu’à un atrium.
Ils
collectaient toutes les graines de vie possibles : sperme, ovules,
graines
végétales, extraits animaux, sang, et tout cela classé et rangé de
manière très
high-tech. Donc, c’est ce qu’ils collectent. Maintenant que veulent-ils
dire
par : « Ils ramènent leurs gens chez eux, dans un meilleur
endroit » ? Cependant ils parlent d’eux-mêmes en utilisant
distinctement et clairement le terme de « Gardiens ».
Maintenant,
je pense que
ce vaisseau était une sorte de vaisseau-balise, je veux dire qu’il y a
dans le
cosmos des voisins galactiques et qu’en général ils ne sont pas en
conflit.
C’est télépathique. Même si on a un programme, eux en ont un
autre ; nous
parlons de gens évolués. De vous, dans
votre parcours en tant qu’espèce. Disons que vous êtes un Gris et que
je serai
ici l’être humain. Mon parcours se fait dans le cosmos. Nous pouvons
croiser la
route d’un vaisseau sans connaître son rôle. Donc quand ce vaisseau
particulier, une sorte de vaisseau automatique, détecte en approche
quelque
chose de lié à sa mission ou pas, il s’identifie. Et les occupants de
l’autre
vaisseau, qui peuvent appartenir à une autre espèce, savent qu’ils ont
affaire
à un engin de collecte. Que c’est un vaisseau médical automatique.
Qu’il
collecte des échantillons. Donc ils savent de quoi il s’agit et ils
continuent
leur chemin.
Donc
quand j’ai rencontré
cet engin, comme je m’en suis rendu compte avec le temps, il a repéré
quelque
chose que j’avais sur moi, lié à mes 19 années de fréquentation des
Gris. J’ai
toujours dit qu’il en restait quelque chose – la technologie, le champ,
ce que
j’irradie, quelque chose de propre à nous autres abductés - il
m’a repéré parce qu’il ne savait pas trop
ce que j’étais.
BR :
Mais ils se sont
identifiés à vous par routine.
JS :
Exact.
BR :
Fascinant.
JS :
Oui. Donc ils se
nomment eux-mêmes « Les Gardiens ». C’est la raison pour
laquelle
j’ai intitulé le livre The Keepers.
Ce qui est intéressant, c’est que cet événement-là a déclenché de
nombreux
enlèvements de nouvelles personnes qui m’étaient inconnues, pendant des
semaines, à la suite d’observations, quelque chose de phénoménal.
Ça m’a
vraiment frappé,
parce que s’il y a quelque chose de caractéristique dans tout
ça, c’est
que c’est du ouï-dire.
BR :
On ne peut
absolument rien prouver.
JS :
Exact. Pourtant,
quand vous descendez à la plage et que ce machin apparaît dans le ciel,
et
qu’il y a des tas de gens autour de vous, que c’est au-dessus de l’eau
et que
les gens en bondissent d’excitation, pendant que d’autres sont bleus de
peur,
et que tout ça et plusieurs autres expériences se déroulent sur trois
semaines... Donc le nom m’est resté en tête à cause des événements qui
ont
suivi, et ça dit bien ce que ça veut dire, « Les Gardiens ».
Donc [ces
gens] s’appelaient eux-mêmes Les Gardiens.
BR :
Très percutant.
Très approprié. Où cela mène-t-il ? Y a-t-il un programme en
cours ?
Si vous étiez à leur place et leur directeur de programme, auriez-vous
l’impression
que tout va bien, que nous sommes efficaces ici ? Ou bien
pensez-vous que
cette planète a des ennuis, qu’ils ont vraiment besoin de forcer les
choses
afin d’obtenir le résultat qu’ils veulent obtenir, quel qu’il
soit ?
Avez-vous l’impression que ce qu’ils font, marche ?
JS :
En général, et
sans être trop précis et, pas trop vague mais plutôt précis…
BR :
Quel est votre sentiment sur le but de tout ça ? Et pourquoi ?
JS :
Pourquoi ?
OK . [Il rit] Une fois de plus, il s’agit de créatures ou d’êtres
à
l’intelligence non-humaine qui, là aussi, ont des milliers sinon des
centaines
de milliers d’années d’avance sur nous. Où se situent-ils socialement
et
comment se comportent-ils, où en sont-ils par rapport à nous ? Ils
possèdent une technologie qui peut les emmener dans le passé, qui peut
les
emmener dans l’avenir. L’impression générale que j’ai, c’est que nous
atteignons un point crucial, parce que je ne veux pas être celui qui
parle de
catastrophes, de ci ou ça, d’accord ? Je me garde bien d’annoncer
la fin
du monde.
BR :
Mais vous êtes
aussi très honnête lorsque vous nous racontez ce que vous avez perçu.
JS :
Nous évoluons,
vraiment…
BR :
OK.
JS :
…en tant qu’espèce.
Nous marquons réellement des points dans de nombreux domaines,
particulièrement
dans celui de la mort. Nous utilisons déjà les outils du voyage dans le
temps.
Nous parcourons le cosmos d’un point A à un point B, instantanément. La
bonne
nouvelle, c’est que nous évoluons, véritablement. La mauvaise nouvelle,
c’est
que seulement une poignée d’entre nous est censée survivre avant de
pouvoir se
repeupler et évoluer.
BR :
Survivre à quoi ?
JS :
Comme toutes les
races et espèces extraterrestres à intelligence non-humaine mettent
l’accent
sur notre environnement, je soupçonne que quelque chose de mauvais va
se
produire dans ce domaine. Cependant le défi qui se pose aujourd’hui
face à
l’avenir, c’est que nous tous, les six, presque huit milliards de gens
que nous
serons à ce moment-là, puissions survivre et nous adapter à l’avenir et
au
voisinage galactique. Rien n’est fixé.
BR :
A ce
moment-là ? Vous dites : « huit milliards à ce
moment-là ».
Quel moment ?
JS :
Quel moment, à
quel point de vue ?
BR :
S’agit-il d’une
année, ou d’un certain stade ?
JS :
OK. Voici une très
bonne remarque.
BR :
OK.
JS :
Très, très bonne.
C’est lié à mon expérience personnelle, et ça vient de la façon d’être
de ces
gars, pour ainsi dire. Je ne suis pas religieux, mais il n’y a rien de
pire
qu’un faux prophète. Même si quelqu’un a vu l’avenir - et c’est mon cas
- ils
en ont parlé de telle sorte que je ne
puisse pas dire de quand il s’agit. C’est paradoxal. Mais je comprends
maintenant qu’au cours des premières années, on me montrait toujours
des
hologrammes d’endroits et de périodes divers, et je ne saisissais pas
ce que
voyais. Maintenant, 18 ou 19 ans plus tard, je me rends compte que je
ne savais
pas, ni ne pouvais savoir ce que je voyais et quand ça se passait,
parce que
j’aurais causé des interférences. Et j’aurais agi à ma manière par
rapport à ce
que je devais faire , et les autres abductés, etc. aussi.
BR :
Nous voulons
assumer une attitude responsable en communiquant au public les
meilleures
informations possibles, à partir de témoignages, de manière à ce que
ceux qui
veulent entendre, entendent. Certains ne voudront pas entendre, quoi
que nous
fassions, et d’autres gens auront alors la capacité de leur suggérer
d’agir de
façon responsable.
JS :
OK.
BR :
Nous ne sommes
pas des catastrophistes, ni des marchands de peur. Nous ne voulons
effrayer
personne.
JS :
Exact.
BR :
Nous sommes de
votre côté. Nous voulons que l’humanité entière franchisse le cap. Mais
si,
parmi ceux qui regardent cette vidéo, quelqu’un dit : « Mon
Dieu,
vous savez quoi ? Je ferais mieux de faire attention à des choses
que j’ai
négligées jusqu’à présent », alors nous aurons fait notre travail.
JS :
Je sais quoi
faire, dans les premiers stades de tout ça. Deux choses. La première
est une
amnistie. L’idée n’est pas de Jim Sparks. Elle provient du fait d’avoir
été en
relation avec ces êtres pendant de nombreuses années. Une amnistie,
parce qu’il
y a des agences, qui ont pignon sur rue ou pas, comme celles qu’on
appelle
habituellement les Black Ops [les organismes qui exécutent les
opérations
clandestines – NdT], parce qu’il y a les gouvernements secrets, les
clubs
secrets, appelez-les comme vous voulez, tous ceux qui ont des relations
contractuelles, entre humains et espèces ou groupes à intelligence
non-humaine et
qui, avec l’aide de ces créatures, ont mis au point des technologies
comme
l’énergie libre.
Je ne
veux pas passer ici
pour un demeuré, OK ? Je ne veux pas dire :
« prenons-nous tous
par la main et invitons-nous à boire des Coca-Cola, tout le monde il
est beau,
tout le monde il est gentil, chantons tous ensemble. » Je veux
être aussi
pragmatique que possible. Il n’y a rien de mal à ça, mais je veux être
pragmatique. Il existe réellement des technologies qui changeront la
face de la
planète, telle que nous la connaissons. Et pour la première fois de
l’histoire
de l’humanité, nous serons capables d’évoluer.
Le
problème de notre
espèce, je peux le lire dans vos yeux, c’est que nous comptons trop sur
une
influence ou des sources extérieures pour nous sauver. En tant
qu’espèce, nous
avons beaucoup de difficulté à regarder à l’intérieur de nous-mêmes et
à nous
dire : « Ce n’est pas Dieu qui va le faire à notre place. Ce
n’est
pas…Je ne veux pas dire que Dieu n’existe pas, ni qu’un Grand Esprit ne
le fera
pas à notre place. Ce ne sera pas toutes ces forces externes. Ce sera
nous,
face à nous-mêmes pour la première fois, qui ferons cela nous-mêmes
afin de
rejoindre nos voisins galactiques.
BR :
Il nous faut
être adultes et balayer devant notre porte.
JS :
Il faut que nous
le fassions. Il existe ici des technologies secrètes, de l’énergie
libre, qui
nous permettent de préserver davantage notre environnement. Et ces
techniques
sont entre les mains de ces organisations secrètes, les Black Ops qui,
selon
eux, à leurs yeux, qu’elles soient légales ou non
– la plupart le sont - le font pour la
défense et la sécurité de
notre nation et des autres pays libres. Je ne suis pas égoïste en
parlant
seulement des Etats-Unis, mais nous sommes pratiquement en tête dans le
domaine, pas vrai ?
Il
faut que ces choses se
sachent, à cause du réchauffement climatique. Nous avons de sérieux
problèmes
avec la forêt tropicale. Et aussi avec la pollution océanique. Et je
pourrais
continuer des heures avec nos problèmes environnementaux. Donc, il faut
que
toutes ces choses apparaissent au grand jour. Aux yeux de ces êtres
extrêmement
intelligents et expérimentés, c’est très clair. Créer la possibilité
d’une
amnistie, parce que dans ces Black Ops, gouvernements secrets et
autres, existe
une majorité grandissante de gens qui veulent mettre ces informations
et ces
techniques sur la place publique. Très franchement, ils n’ont pas envie
d’y
laisser leur peau en le faisant. Ils ne veulent pas être exécutés,
passer
devant les tribunaux, comme malheureusement ces gens qui ont été
discrédités,
assassinés, mutilés, au nom de la sécurité nationale, des citoyens
innocents et
respectueux de la loi, beaucoup d’entre eux spécialement au cours des
40, 50 ou
60 dernières années. Qu’ils sortent de l’ombre par tous les moyens.
Soyons
pragmatiques ici.
« Oh,
c’est vous le responsable de la mort de mon père ? »
« Oh, c’est
vous le responsable du décès de ma tante ? » « Oh, vous
êtes
responsable de ceci ou cela », parce que cela fera partie des
révélations, parce que
cela fera partie des révélations. Il ne faut pas toucher à ces gens-là.
Il
faudra qu’ils aient la possibilité de tout divulguer à 100 % et ça me
fait mal
d’utiliser le mot « pardonner », mais il faudra qu’on les
pardonne et
qu’on les oublie, pour que ces techniques puissent être divulguées,
qu’elles
puissent nous sauver et contribuer à nous empêcher de faire ce que nous
faisons
à cette planète.
Un
projet concret qui est particulièrement…
une sorte de mission pour moi et pour d’autres, mais dans mon cas c’est
le
projet qui concerne la forêt tropicale. Pourquoi la forêt
tropicale ?
Parce que ce sont les poumons de la planète, ses organes internes.
C’est ce qui
lui permet de se nettoyer et de se recycler. Et nous lui avons fait
beaucoup de
mal. Et maintenant nous blessons ses organes internes. Le réchauffement
climatique en est un aspect. Mais la forêt tropicale est extrêmement
importante, parce que nous pouvons la voir, et nous la voyons régresser
ou être
agressée. Nous pouvons aussi la voir en expansion et redevenir ce
qu’elle
était, et en bonne santé. Bref, ce qu’il faut faire, c’est accomplir un
projet
concret, au niveau mondial, auquel le monde entier participe et où nous
constatons
vraiment ce que nous faisons.
Une
fois ceci accompli,
nous saurons alors dans le monde entier que nous sommes capables de
faire
quelque chose en tant qu’espèce, tous ensemble, les six milliards, ou
du moins
que beaucoup peuvent s’impliquer dans des changements aussi extrêmes
que celui
d’infléchir la direction prise par notre avenir. Ce qui rendra plus
facile de
s’attaquer aux autres défis. Quand [ces êtres] nous survolent et nous
regardent
en tant qu’espèce, ils voient un nid de frelons. Vous avez des frelons
qui
vivent peu de temps, vous en avez qui se mangent et se tuent les uns
les
autres. Vous en avez qui se battent et vous voyez des frelons qui ne peuvent pas agir ensemble et ne l’ont
jamais fait.
BR :
Et qui semblent
se ficher complètement de l’état du nid.
JS :
Et ils ne
comprennent pas. Donc il faut que les frelons se regardent en face. Non
pas
qu’ils n’aient pas envie d’aider. N’oubliez pas que ces gens, ces
êtres, ces choses
- et ce que je vous dis là est très important - interviennent de toutes
les
manières possibles depuis des dizaines de milliers, sinon des centaines
de
milliers d’années pour nous faire évoluer. Ce qui a été déterminé, tout
ce qui
était possible a été essayé, tout ce qui existait sous le soleil, sous
les
étoiles. Et nous sommes toujours les mêmes, c’est notre nature. Il faut
que
nous le fassions nous-mêmes.
BR :
Est-ce que
l’avenir est fixé, ou bien parlons-nous seulement de probabilités ?
JS :
Si vous laissez
le fleuve couler, il va suivre son cours et tout est fixé. Vous pouvez
modifier
le cours d’un fleuve, mais ce que j’ai appris au fil des années - et
j’en ai
discuté avec vous hors micro - et ce que
je continue à apprendre, c’est que la théorie du papillon ne pourrait
pas être
plus différente de ça. Si vous décidez que le temps est symbolisé par
le fleuve
- c’est plus ambigu et plus complexe que ça - s’il est représenté par
un
long fleuve
qui coule, il faut, pour modifier le cours de ce grand et puissant
fleuve,
inflexible et prévisible, déployer une énergie considérable pour le
dévier un
tant soit peu. Donc si vous laissez le fleuve suivre son cours naturel,
le
temps continuera à s’écouler.
BR :
Où va le fleuve
en ce moment même ?
JS :
Eh bien, pas en
ligne droite.
BR :
OK. [Gloussements] – Bonne réponse. Mais va-t-il dans une direction
précise ?
Etes-vous optimiste ?
JS :
Je sais que je
suis optimiste au sujet de ce que j’ai dit tout à l’heure, qu’une
poignée de
gens, par rapport à la population actuelle de la planète, survivra à
tous les
dégâts environnementaux. Juste une poignée, comparativement. Et après
ça, nous
évoluons et nous nous repeuplons.
Bon,
je connais la
technologie, mais je ne prétends pas pouvoir construire une machine à
voyager
dans le temps, pourtant j’ai vu plusieurs fois la technologie en
question, je
l’ai expérimentée plus d’une fois, de tas de façons différentes, devant
moi, en
nous voyant même revenir du futur, là devant mes yeux. Incroyable comme
les
choses ont évolué de l’horreur des six premières années à une relation
fantastique.
Pourtant,
et c’est
toujours la même chose : oui, nous réussirons, mais tout le monde
ne
réussira pas à franchir le cap. Que voulons-nous voir ? Nous
voulons nous
voir tous, ou au moins voir la plupart d’entre nous, franchir au
minimum ce
cap. Ce n’est pas du tout facile à faire, parce qu’il est difficile de
changer
le cours du fleuve du temps. Il est fort, il est réactif, il veut
reprendre son
cours d’avant. Le temps, une fois fixé, veut rester comme il est. Mais
on peut
le modifier. Mais, malheureusement, nous sommes sur une voie plutôt
pourrie,
celle de la destruction de notre planète.
BR :
Est-ce qu’on
vous a présenté un avenir possible ou probable en guise
d’avertissement ?
Du genre : « Voilà où nous allons si nous ne changeons pas le
cours
de ce fleuve. » Est-ce qu’on vous a montré quelque chose comme
ça ?
JS :
Sans entrer dans
les détails… Lorsque nous aurons évolué, et c’est là où je veux en
venir, ce
qui est [pause] fantastique, par rapport à la façon dont on voit ou
considère
les choses actuellement. Il n’est pas possible de se croiser les bras
et de se
dire : « Oh, mince alors, ce qu’on évolue ! » parce
que
nous nous repeuplons, que nous nous regroupons, etc. L’objectif, c’est
que la
plupart d’entre nous, sinon tous, y arrivions.
BR :
Les choses vont
aller plus mal avant d’aller mieux, et il nous faut nous montrer dignes
du
défi.
JS :
Oh oui,
absolument . Oh, mais quand et comment les choses vont se
dégrader, pas
besoin de beaucoup d’imagination. Vous le savez dès que vous commencez
à
regarder le niveau de CO2 ou à quoi ressemble la forêt
tropicale… Je
pourrais continuer à parler des heures de l’environnement. Nous pouvons
nous en
sortir parce que nous avons l’intelligence, les ressources brutes, les
technologies qu’on nous cache, et ceci essentiellement pour des raisons
valables. Mais à notre stade actuel, il faut que ces choses sortent, et
qu’elles changent la face de la Terre, telle que nous la connaissons.
BR :
Quel message
aimeriez-vous laisser à ceux qui nous regardent, si vous étiez en
position de
dire quelque chose dont tout le monde se souviendrait, ou prendrait
note ou qui
servirait de base d’action ? [Jim rit] Qu’est-ce que ce
serait ?
JS :
Regardez en vous et voyez, voyez bien où
nous en sommes. Visualisez la lumière dans votre esprit, visualisez-la
dans
votre cœur, visualisez-la dans votre âme. Imaginez-nous tous en train
d’y
travailler, voyez-nous comme une espèce qui a évolué, Passez en esprit
de
l’endroit où vous êtes actuellement à celui où vous nous voyez évoluer,
avec
toutes les choses merveilleuses dont je viens de parler. Par quelles
étapes
passer pour que nous y arrivions, ou pour que j’y arrive, et comment je
peux
aider à nous faire y arriver en tant qu’espèce.
BR :
Nous avons ici une
petite vidéo que nous avons enregistrée récemment, d’une personne qui a
pu se
procurer une reproduction de Gris. Nous aimerions connaître votre
réaction.
C’est impromptu, c’est en direct, vos réactions sont spontanées…
Donnez-nous
seulement vos impressions.
JS :
[qui regarde
l’écran du portable] Pour commencer, nous avons brièvement parlé au
téléphone
et sans grands détails de M. Bill
Holden, et un peu de ses antécédents. Dans cette conversation, qui
date
d’hier, je vous ai demandé quelles avaient été en réalité ses relations
avec
les extraterrestres. Dans quelle mesure il en avait vu, etc. Vous avez
mentionné hier au téléphone qu’il travaillait sur Air Force One
[l’avion du
président des Etats-Unis - NdT]. Je crois qu’il a dit qu’il était
steward. Et
aussi qu’il avait connu le Président Kennedy et, comme vous l’avez dit
également, que le Président Kennedy lui avait raconté à l’époque qu’il
avait
admis être au courant des extraterrestres et des ovnis, mais vous
n’avez pas donné
d’autres détails.
Puis
ensuite, vous avez
rapidement mentionné que le degré d’implication de M. Holden avait
changé au
cours des années, qu’il possédait une sorte d’autorisation
confidentielle et
qu’il avait peut-être des photos, ou qu’il avait vu des ovnis, et même
les
vaisseaux, avec des aliens debout à côté. Je vous avais demandé alors
s’il
pouvait les décrire, ou si vous pouviez me raconter ce qu’il vous avait
dit.
Vous m’aviez confié que dans ce but il transportait un modèle avec lui,
une
tête, qu’il avait eue à un marché aux puces ou quelque chose comme
ça...
BR :
Il l’a surtout
dénichée.
JS :
Au cours de ses
expériences. Parce que la tête ressemblait beaucoup à ce qu’il avait
vu, pas
vrai ?
BR :
Oui, il y a des
caractéristiques particulières sur ce modèle qu’il croit exactes. C’est
ce
qu’il pense. Grâce à votre expérience unique, nous aimerions aussi vous
la
montrer.
JS :
Je vous réponds franchement et j’ai vu cette
copie-là sur le portable. Une chose que j’ai remarquée pendant la
conversation
au téléphone, c’est ce que je savais ce vous alliez dire. C’est-à-dire
qu’il
avait mentionné que c’était une réplique très fidèle, mais que le nez
et la
bouche étaient un peu moins marqués sur l’ET que sur le modèle. Ce que
j’ai
noté dès que je me suis assis, c’était à quel point cet objet
ressemblait à une
espèce que j’ai vue. Très ressemblant, même quand on est près du
visage.
Ma
première réaction a été que ça paraissait authentique. Ensuite, quand
je l’ai
regardée de plus près, comme en ce moment, une des premières
choses : le
nez n’est pas bon. Il est un peu trop marqué sur cet objet. Et aussi
que la
bouche est trop définie. Elle n’est pas comme ça. Maintenant c’est ce
que je
remarque quand j’observe cette espèce particulière de Gris, parce que
c’était dans
une situation où le visage est vraiment trop… Je garde l’aspect du
visage en
tête, je ne peux pas l’oublier.
Leur
visage
a
la
texture
du
cuir
et
on
peut
voir
des
sortes
de
rides,
qui
différencient
les
individus,
je
veux
dire que j’ai vu des clones, et ces clones sont les petits qui
mesurent
environ 90 cm.
Une énorme tête, d’énormes yeux en amande, un cou mince, etc. Ils sont
[comme] des
abeilles ouvrières et je les crois à moitié biologiques, à moitié
robots. Leur
rôle est d’exécuter des tâches. S’agit-il d’intelligence
artificielle ? Je
ne crois pas, à cause de l’aspect biologique. Pourtant, ceux que
j’appellerais
la véritable espèce, ou le véritable alien, sont ceux qui commandent,
les
« tyrans ». Celui-ci ressemble à un
« tyran ». Ceci ressemble à ce que
j’appellerais un vrai alien.
BR :
Ce que Bill a
dit, c’est qu’ils avaient à l’arrière de la tête une musculature
marquée et
très inhabituelle, et ça c’était pour lui le signe que le créateur de
la petite
reproduction savait exactement ce qu’il faisait et qu’il avait
bénéficié soit
d’une expérience personnelle, soit d’un témoignage très précis.
JS :
[désignant la musculature, à l’arrière de
la tête montrée sur l’écran] Trop marquée. Je dirais que ça serait…
Vous voyez,
là où c’est strié ? Ce que je vois, c’est… Je ne dis pas que ça
n’est pas
authentique, je parle seulement de ce que je sais.
BR :
Evidemment.
JS :
[en
montrant
la
musculature,
à
l’arrière
de
la
tête]
La
partie
ici
ne
devrait
pas
être
si
gaufrée,
pas
si
marquée ici, ça devrait être plus… le
contour
devrait être plus intégré. Sauf que j’apprécie beaucoup ces traits ici,
là où
vous voyez ces stries profondes. [Continuant à montrer la même
zone :] Une
fois de plus, le visage de l’espèce particulière que je vois en ce
moment et avec
laquelle je suis en relation très personnelle, ce visage a la texture
du cuir.
Les stries devraient être plus raffinées, former une ligne plus
subtile. Ce que
je vois ici me suggère des choses, et je vous donne simplement mes
réactions
viscérales. On dirait une tête sculptée à partir d’un alien mort.
BR :
Oh !
Bien.
JS :
Il
ne
s’agit
que
d’une
réaction
spontanée,
du
genre :
« Hé,
c’est
comme
ça. »
Je
suis
content
qu’il
ne
s’agisse
pas du visage
classique,
lisse, aux gros yeux, à petites lèvres, tous pareils. Ce que vous voyez
ici est
sans aucun doute une créature avec des traits prononcés, définis et
personnels,
différents des autres, comme vous de moi ou moi de vous. Les yeux
m’impressionnent, dans ce visage. Si vous lisez mon travail, j’ai
toujours dit,
dans d’autres interviews, chaque fois que j’ai parlé en public, que
c’était ce
que j’appellerai un véritable alien, que c’était ce qui le distinguait
des
êtres qui ressemblaient à des robots. Quand je dis véritable, les yeux
dans
cette espèce sont loin d’être aussi grands que les yeux géants en
amande des
ouvriers, mais sûrement plus grands que les nôtres. Donc, ce que je
constate
dans ce visage, c’est que les yeux sont très, très bien réussis,
d’après ce que
j’ai vu. Le nez n’est pas correct, et je trouve de nouveau fascinant
qu’il nous
l’ai signalé, à vous et à moi. Même chose pour la bouche. Là aussi je
vois une
texture du visage qui ressemble à celle de la peau, mais avec des rides
plus
subtiles.
BR :
Jim,
c’est
absolument
fabuleux.
Merci
infiniment.
Vous
êtes
sans
le
moindre
doute
l’expert
ici.
JS :
Oh, tant mieux ! [Ils rient tous les
deux.]
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