Jordan Maxwell
Rencontres rapprochées & autres récits
Traduction par The
Avalon Translation Project
Mai
2010
Jordan Maxwell
(JM) : En 1990, je participais à un congrès
ufologique à Palm Springs, en Californie. Je parlais à ce
colloque et j’ai remarqué un type habillé comme un vrai
hippie, avec la chemise psychédélique et les tongs. Il
portait des cheveux longs jusqu’au bas du dos, il était
blond, parlait d’une voix calme et posée, et il s’est
présenté comme un simple hippie. Mais je savais d’instinct
qu’il ne l’était pas, parce que ses manières trahissaient
la culture et l’argent. Toutes ses manières. Il n’était
pas ce qu’il prétendait être.
Il est donc venu vers moi et m’a dit : Jordan, j’aimerais
vous inviter, vous emmener dîner en face. Je
souhaiterais vous parler.
J’ai trouvé ça intéressant, qui que soit ce gars. Il
paraissait avoir 30, 35 ans et il m’a dit : Je souhaiterais vous
parler. J’ai quelque chose à vous dire. Accepteriez-vous
de dîner avec moi ? J’ai répondu : Avec plaisir.
Nous avons traversé la rue. Nous étions à Palm Springs,
l’été. Il faisait très chaud le soir. Nous sommes allés
dans un restaurant mexicain, nous nous sommes assis en
terrasse. C’était une belle soirée.
Il m’a dit : J’ai
quelque chose à vous annoncer. Cela ne va pas arriver
tout de suite. Cela se produira plus tard dans votre
vie, donc vous n’avez pas à vous en préoccuper dès
maintenant. Mais un beau jour deux hommes viendront vous
voir et vous demanderont de les accompagner dans une
ville très importante de la Côte Est. Ils ne vous
menaceront pas. Il n’y aura pas de menaces, mais ils
vous demanderont de venir avec eux dans un endroit très
important à l’Est, où se trouvent des gens très
puissants.
Ils voudront vous
voir pour vous faire une proposition. Ils auront une
proposition à vous faire, et ils voudront en discuter
avec vous.
Vous pouvez
accepter d’aller avec eux, parce qu’ils ne vous feront
pas de mal. Ce
ne sont que des hommes d’affaires. Mais quand vous vous
y rendrez, l’édifice dans lequel vous entrerez,
comportera...
Je ne me souviens pas s’il a dit 12 ou 13 marches, je
crois que c’était 13. Peut-être 12. Bon, il m’a dit : Mais ce seront de
belles marches en marbre, il y en aura 12. Quand vous
gravirez ces marches en marbre, vous vous souviendrez de
ce que je vous ai annoncé. Et les deux gars vous feront
rencontrer un homme très important.
Voilà la nature de
la proposition : juste que, si vous pouviez faire votre
travail, en laissant de côté certains sujets, faire ce
que vous voulez, parler de tout ce que vous voulez, de
religion, de philosophie, de tous ces trucs, faire tout
ce que vous voulez, mais laisser de côté ces sujets-là.
Les oublier. Ne même pas les évoquer. Si vous acceptez
ça, alors ils vont... Il a continué : Ils feront de vous
leur « golden boy ». On vous verra sur la couverture des
magazines, vous serez dans les journaux, ils feront
votre promotion dans les films et vous aurez la belle
vie. Ils vous protégeront, vous feront de la publicité
et vous aurez la vie très belle.
J’ai donc répondu : Supposez que je refuse ?
- Ils ne vont pas
vous menacer, il s’agit juste d’un accord commercial. Et
l’homme va seulement ajouter : « Bon, si vous ne pouvez
pas nous donner votre accord, alors il nous faudra vous
considérer comme notre ennemi, et nous devrons agir en
conséquence. »
Il a ajouté, en disant qu’ils en faisaient grand cas : Ils vous affirmeront
que vous n’avez pas besoin de prendre immédiatement la
décision. Vous leur dites de combien de temps vous avez
besoin pour la prendre : 6 jours, 6 semaines, 6 mois,
c’est sans importance pour eux. Ils s’en fichent. Vous
leur annoncez le temps de réflexion dont vous avez
besoin, et ils l’accepteront de toute façon. Mais
lorsque le jour prévu arrivera, il vous faudra leur
donner une réponse : « Êtes-vous avec nous ou contre
nous ? »
Et il a poursuivi : Ce jour-là il faudra leur donner une réponse,
parce qu’ils prennent la chose très au sérieux. Ils
peuvent vous faire ou vous défaire.
Je lui ai donc demandé : Pourquoi me racontez-vous ça ?
Il m’a répondu : Parce
que cela va se produire. Cela arrivera. Pas avant
longtemps, mais cela arrivera un jour, il vaut donc
mieux que vous commenciez à y songer, parce que ce sera
sérieux. Vous serez confronté à des gens très puissants,
pour lesquels ce n’est pas un jeu. Il vaut mieux que
vous commenciez à y réfléchir.
Je lui ai demandé : Eh bien, que suis-je censé leur répondre ?
Il a répliqué : Oh
non, ce n’est pas à moi de le faire ! C’est à vous !
C’est votre problème ! Et il a ajouté : Je me contenterai de
vous dire que la décision que vous prendrez, quelle
qu’elle soit, vous affectera à votre décès. Ça, je peux
vous le dire. Si vous prenez la mauvaise décision, vous
le paierez à votre mort, de l’autre côté. Ils vont vous
y attendre.
J’en ai donc déduit que l’implication, c’était : si vous
voulez la belle vie maintenant, suivez le courant. Mais à
votre mort, il vous faudra en payer le prix spirituel,
parce que vous vous êtes en quelque sorte vendu. Il ne l’a
pas dit, mais c’est ce que j’en ai tiré. Quels que soient
vos compagnons spirituels dans l’univers, ils ne vous ont
pas envoyés ici pour que vous vendiez [votre âme].
Il m’a donc dit : Réfléchissez-y.
Ils viendront un jour. C’est tout.
Il apparaissait de temps à autre, par exemple à mes
conférences et je le voyais. Il se faisait appeler Cosmos.
Je lui ai demandé : Quel est votre vrai nom ?
Il m’a répondu: Sans
importance. Appelez-moi juste Cosmos.
Il a toujours été très bon, très courtois, très généreux
envers moi. Et il surgissait tout le temps, par exemple
chaque fois que je parlais à San Francisco.
Un jour, il y a bien des années, je donnais une conférence
à San Francisco, et une femme était en train de m’acheter
une cassette ou un livre, et le livre est tombé par terre.
Je ne pouvais pas contourner la table pour le lui
ramasser, mais Cosmos était debout près d’elle. Il s’est
donc penché pour le lui ramasser et, ce faisant, un
médaillon s’est échappé de sa chemise hippie. Dès que je
l’ai remarqué, j’ai su ce qui se passait.
C’était un très bel aigle bicéphale, un aigle maçonnique,
avec un triangle rouge, probablement un rubis. Il était à
peu près de cette taille (environ 5 cm). Ce
médaillon comportait un rubis triangulaire, avec 33 gravé dessus
et placé au-dessus de l’aigle bicéphale franc-maçon.
Et quand je l’ai vu, pendu au bout de sa longue chaîne, je
l’ai saisi et j’ai dit : Franc-maçon, 33ème degré ? Et il a répondu :
Non. Conseil des
33. Il voulait dire : pas seulement franc-maçon au
33ème degré, mais appartenant aussi au Conseil des 33.
Et à Washington, il y a 33 hommes qui dirigent la
franc-maçonnerie mondiale. Cela s’appelle le Conseil des
33 et il en faisait partie.
Je lui ai donc dit : Cosmos, étiez-vous déjà au 33ème degré
lorsque nous avons parlé ensemble à Palm Springs il y a
quelques années ?
Il m’a répondu que oui.
Et moi : Je ne
comprends pas ce qui se passe ici.
Il m’a répondu : Jordan,
vous parcourez la planète en parlant des dirigeants
politiques, de la Reine d’Angleterre, vous débinez le
Pape et d’autres gens, vous tapez sur tout le monde et
agissez comme vous l’entendez. Vous a-t-on jamais
agressé ?
- Non.
- A-t-on cherché à
vous arrêter, à vous faire peur ou à vous faire quoi que
ce soit ?
- Non.
Et il a ajouté : Vous
êtes-vous jamais demandé pourquoi ?
- Je n’y ai jamais
réfléchi.
Il a continué : On
ne vous a jamais fait de mal, grâce à nous. Nous vous
protégeons. Nous vous suivons partout où vous allez.
Nous savons exactement ce que vous faites et nous vous
protégeons. Le Conseil des 33 vous protège.
J’ai répondu : Je
ne comprends vraiment pas.
Il a poursuivi : Vous
n’en avez pas besoin. Il vous suffit de savoir que nous
vous protégeons. Nous savons exactement qui vous êtes,
ce que vous faites et où vous allez. Personne ne va vous
faire de mal. La tâche qu’on nous a assignée, c’est de
vous protéger.
Je me suis dit : Ouaouh
! Puis, le Dr. Sheyers (Il rit.)
...selon mes documents maçonniques ultérieurs. Ce qu’il
m’a annoncé ne s’est pas encore produit. Je ne serais donc
pas surpris du tout si cela se passe à l’avenir, si les
choses prennent de l’importance, si plus de gens en
entendent parler et que ça prend de l’ampleur, en cours de
route...
Parce qu’à la fin des années 1990 un agent du FBI m’a
appelé de San Diego. J’étais à Los Angeles et le gars m’a
appelé de San Diego, en me donnant son nom : Agent Spécial
Machin, de San Diego. Je lui ai répondu : Restez en ligne, je
vous rappelle. Et j’ai raccroché.
J’ai appelé les Renseignements à San Diego, j’ai eu le
numéro du FBI, que j’ai appelé, j’ai demandé à ce qu’on me
passe cet agent, je l’ai eu en ligne. Maintenant je le
sais : il appartient au FBI.
Je lui ai donc dit : OK. Maintenant racontez-moi.
Il a poursuivi : C’est
un appel personnel. Pas officiel. Je désire seulement
que vous sachiez que nous, les employés du FBI, les gens
des classes laborieuses, nous savons qui vous êtes et ce
que vous faites. Et nous l’apprécions. Cela ne nous pose
aucun problème. Nombreux sont au FBI les gens qui aiment
ce que vous racontez. Et je veux juste que vous sachiez
que votre gouvernement ne vous considère pas comme une
menace. Ils se fichent de ce que vous dites du Pape et
de la religion. Ils s’en fichent. Ils ne vous
considèrent pas vraiment comme une menace, parce que
vous ne parlez ni d’armes, ni de renverser le
gouvernement. Pour eux vous n’êtes donc pas du tout une
menace.
Mais, a-t-il
ajouté, en fait,
s’ils ne vous considèrent pas comme une menace, c’est
parce qu’ils savent que les gens vous entendent, mais
que personne ne vous écoute. Mais quand les gens
commenceront à vous écouter, là nous vous suivrons de
plus près, parce que vous pourriez devenir politiquement
dangereux. Tant que les gens vous entendent comme ils
entendent tous les autres, pas de problème. Mais si nous
voyons des gens commencer à vous écouter, nous vous
suivrons de plus près.
Mais en ce moment
même, je peux vous assurer que nous, au FBI, ainsi que
votre gouvernement, ne vous voyons pas comme une menace.
Mais si vous devez un jour avoir de sérieux ennuis,
permettez-moi de vous dire qui sera votre ennemi. Ce
sera l’Église. Plus probablement l’Église catholique.
Mais ce sera l’Église. L’Église chrétienne sera votre
ennemie, parce que l’Église chrétienne est la plus
grande organisation criminelle au niveau mondial, et
nous le savons. Les gens qui gèrent réellement la
Chrétienté dans les coulisses, qu’ils soient protestants
ou catholiques, sont réellement les pires criminels du
monde, et nous le savons.
Donc, a-t-il
continué, quand on
se frotte à l’Église, on se frotte aux organisations
criminelles de la pègre. L’argent, la politique, le
sexe, les drogues, tout le toutim. Ils gèrent tout ça et
nous le savons. Donc votre gouvernement ne vous
considère pas comme une menace mais, si vous continuez à
vous frotter à l’Église et au Pape, ils finiront par
vous voir comme tel.
Un de mes jeunes amis sortait à deux couples et il m’a
appelé ensuite, quelques jours plus tard. Il m’a dit : Oui, je suis sorti
plusieurs nuits avec ma petite amie et un autre couple.
Et il m’a raconté que l’autre gars était un agent du
Mossad : Donc à
dîner, je lui ai demandé s’il savait des choses sur toi.
Il m’a répondu : « Oui, Israël sait tout de Jordan
Maxwell. Nous sommes hélas très au courant en ce qui le
concerne. Oui. Pourtant on ne peut rien faire contre lui
parce qu’il n’encourage pas à prendre les armes, rien.
Il ne fait que parler, donc on ne peut pas y faire
grand-chose. »
Mais Israël pense
qu’il pourrait être une sérieuse menace contre le pays
s’il sape notre religion. S’il sape la religion juive,
ça se ressentira dans la politique israélienne et le
Moyen-Orient. Ce serait très dangereux, donc nous le
surveillons mais on ne peut pas faire grand-chose contre
lui pour l’instant parce qu’il n’invite pas à renverser
le gouvernement, ni quoi que ce soit, donc...
Je trouve seulement ces incidents intéressants.
********************************************
JM : Je
parlais à un congrès à Pasadena au milieu des années 90,
il y avait peut-être 600 personnes présentes, c’était un
grand congrès dans un grand hôtel, à Pasadena. J’étais
l’orateur principal le samedi matin et j’ai parlé deux
heures.
Une semaine environ avant le colloque, Norio Hayakawa –
que Bill connaît probablement – et Gary Schultz, le
mettaient en place. Il s’agissait du Need to Know seminar
(le séminaire sur le « besoin d’en connaître »- NdT).
Norio Hayakawa et Gary Schultz ont brûlé les planches, je
veux dire par là qu’ils ont été sensationnels. Vraiment un
colloque intéressant. Ils avaient d’excellents
conférenciers et ça a été un grand moment.
Mais Norio et Gary m’ont appelé une semaine environ avant
le colloque et m’ont dit : Nous allons à l’hôtel jeter un coup d’œil.
Viendrais-tu avec nous ? J’ai répondu : D’accord. Nous y
sommes donc allés.
Norio m’a demandé : Quelle sorte d’exposé vas-tu faire et de quoi
as-tu besoin ? As-tu besoin d’un tableau noir et d’un
projecteur à diapos, etc. ?
J’ai répondu : Non,
je n’utilise rien de tout ça. Trouvez-moi juste une
table longue pour que je puisse y étaler mes documents,
je veux être comme un professeur, juste la table et la
chaise sur scène. Je veux seulement parler au public.
Norio : Voici ce
que nous allons faire : nous allons placer une caméra
vidéo derrière toi, avec un type assis sur un tabouret
de bar, ici même (Il indique son dos, au-dessus de son
épaule gauche) de sorte que, lorsque tu choisiras un
document, le cadreur puisse zoomer dessus et que tous
dans la salle le voient.
Avec une TV en circuit fermé. Cela a bien marché. J’ai
parlé deux heures ce matin-là, j’ai pris mon pied, et tout
a parfaitement fonctionné. Le gars était donc assis juste
derrière moi, avec la caméra juste ici.
Plus tard, vers la fin de la soirée, au moment de partir,
le gars, le cadreur m’a dit : Jordan, ma femme et
moi aimerions vous avoir à dîner ce soir. Nous habitons
ici même, à Pasadena. J’ai répondu : Avec plaisir.
Nous voici donc, lui et moi, assis dans le séjour, sa
femme à la cuisine préparant le dîner, et nous bavardons.
Un peu plus tard, elle sort de la cuisine et lui dit : Lui en as-tu parlé ?
Il a répondu : Non,
pas encore. Je n’avais pas l’intention de lui en parler
avant la fin du repas.
J’ai demandé : De
me parler de quoi ?
Et lui de dire : Bon,
je pourrais tout aussi bien vous en parler maintenant.
J’ai raconté l’histoire à tant de gens et ma femme l’a
entendu tant de fois, que cette fois-ci, c’est votre
tour.
Autour de l’âge de
15 ans, j’habitais sur la Côte Est. Je me rendais dans
le nord en stop, pour passer les grandes vacances chez
mon cousin. J’étais en train de faire du stop quand un
vieillard, qui conduisait un pick-up – et il était
vraiment très vieux – m’a dit que son pick-up était
aussi vieux que lui et que son engin puait, parce que
lui fumait des cigarettes, des cigares, la pipe, et que
tout ce qui pouvait brûler, il le fumait.
Il m’a raconté qu’il s’agissait d’un vieil homme, d’un
pick-up crasseux et qui sentait mauvais. Mais il a ajouté
: Dès que je suis
monté dedans, le vieux a commencé à me raconter toute ma
vie par le menu. Il savait tout de ma vie, et de celles
de ma mère et de mon père. Il savait qu’il n’ignorait
rien de ma vie et de celle de ma famille, et il avait
tout à fait raison. Il m’a parlé de ma petite amie, de
l’entreprise de mon père, de ma mère et qui elle était
avant son mariage. Il n’ignorait rien. J’écoutais ce
vieillard, estomaqué.
Quand il m’a laissé
descendre, il m’a dit : « Tout ce que je t’ai raconté,
c’était pour attirer ton attention et te distraire. Je
vais maintenant te dire quelque chose d’important. Quand
tu auras atteint 50 ans, tu vivras sur la Côte Ouest des
USA, et un matin tu seras sur une scène avec un homme
assis à une table couverte de papiers, qui parlera à un
public très nombreux. Tu seras assis derrière lui avec
une caméra. Cette caméra n’existe pas encore, mais elle
existera à ce moment-là. »
Et tu auras une
caméra spéciale, qui lui permettra de... tu auras la
caméra juste au-dessus de son épaule, et quand il
prendra un document, cette caméra permettra au public de
voir de quoi il parle. Ce type de caméra n’existe pas
encore, mais il existera à ce moment-là.
Et quand tu te
retrouveras sur scène avec cet homme assis à la table et
qui parle au public, tu lui diras que c’est moi qui l’ai
mis là. Il n’est pas là par hasard, c’est moi qui l’y ai
mis. Pour qu’il ne croie pas que l’idée vient de lui. Tu
lui raconteras que je t’ai dit que tu serais derrière
lui avec une caméra et qu’il serait assis à une table
avec des papiers dessus, et que c’est moi qui l’y ai
mis, de façon qu’il sache que rien de ce qu’il fait
n’est dû au hasard. Je l’ai mis là. Il fait ce que je
lui dis de faire. »
Et [mon cadreur] a ajouté : J’ai raconté à tout
le monde que ça fait des années que j’entends cette
histoire, mais ce n’est que ce matin, quand j’étais
assis là sur cette fichue scène avec vous et la
caméra... et j’étais tellement occupé à tout arranger
que je n’y ai songé que lorsque vous avez commencé à
parler. Ça m’a frappé !
J’ai regardé ma
femme dans le public, elle opinait du bonnet : « Ouais,
c’est bien lui. »J’étais en état de choc. Je viens d’avoir 50
ans. Me voilà assis sur scène derrière vous, avec une
caméra. Et [le vieillard] m’avait affirmé que vous
seriez assis à une table avec des papiers dessus, à
parler au public.
Il faut donc que je
vous rapporte qu’on m’a dit il y a 35 ans ou à peu près,
que je serais assis avec vous ce matin et que vous
seriez assis à cette table à faire ce que vous faites.
Et il m’a demandé de vous dire que l’idée n’était pas de
vous. Vous pouvez croire le contraire, mais il m’a
annoncé il y a longtemps ce que vous feriez ce matin.
J’ai pensé : Mince
alors !
J’étais donc visiblement secoué, très perturbé, et les
larmes me sont venues aux yeux. Je me suis levé et suis
sorti. [Mon hôte] était à l’étage. Je me souviens avoir
marché la nuit et j’ai fait un long trajet. Il est venu
m’accompagner. J’avais les larmes aux yeux, des larmes de
panique. Je trouvais ça effrayant.
Et j’ai dit : Je
ne comprends pas.
Il m’a répondu : Moi
non plus. Je raconte juste ce que m’a dit le vieillard.
Je ne sais pas non plus comment l’expliquer. Mais il m’a
dit que vous feriez ce que vous faisiez et que je serais
assis derrière vous avec une caméra. Et quand ça
arriverait, de vous dire que l’idée n’était pas de vous.
C’est lui qui vous a placé là ce matin.
J’ai pensé : Mince,
un vrai trip !
Bill Ryan (BR) :
De toute évidence, ce vieillard n’était pas juste un
vieillard.
JM : De toute
évidence.
BR : Et ça
correspond tout à fait à l’histoire du père de la jeune
fille, quand vous aviez 19 ans.
JM : Tout à
fait.
BR : En fait,
il n’était pas que le père de la jeune fille. Mais quelque
chose de complètement différent.
JM :
Complètement.
BR : Je ne
fais que deviner ici, mais peut-être n’adoptaient-ils
cette stratégie que dans le but de laisser un message. Et
dans les deux cas, ce message semblait indiquer qu’ils
savaient exactement ce que vous feriez à un moment précis
ou un certain stade de votre vie ultérieure, conformément
à un plan bien orchestré.
Et il semblerait bien qu’il s’agisse d’un plan positif...
JM : Oui, oui.
Parce que je ne ressens pas de peur, ni ne me sens
effrayé, mais mon instinct me dit, et j’en suis totalement
convaincu, qu’il existe une très puissante et invisible
force de bien, de protection, qui veille au grain et
possède le pouvoir ultime, qui surveille tout ce chaos,
etc. présent sur Terre, mais qui se situe au-dessus. Cette
force mène le jeu et elle peut, à tout moment, entrer dans
la danse et intervenir dans les affaires de l’humanité.
Tout comme un père qui regarde jouer ses gamins. Bon, les
enfants font des bêtises, et ce gamin là-bas aussi, ce
qu’ils font tous est mal, mais le père surveille. Et quand
il décidera d’intervenir, il le fera. Et tout le monde le
saura.
Mais pour le moment, il vous laisse jouer à votre manière,
faire ce que vous faites. Mais je vous ai à l’œil, je sais ce que vous
faites. Et donc, j’ai droit au même...
BR : J’ai une
interprétation un peu différente. Je la donne ici juste en
tant que suggestion intéressante.
Il s’agit plus d’un arbitre qui s’emploie à ce que les
règles soient respectées, afin que les principaux
participants puissent avoir leur chance dans ce jeu sans
être débordés, de telle manière que...
JM : Oui, ça
me plaît. Je pense que vous avez raison. Ça sonne juste.
Pour s’assurer que le jeu est équilibré.
BR : Parce que
je ne crois pas le dénouement certain, ni connu d’avance,
mais j’aime penser, comme vous le savez, d’après notre
conversation hors caméra, que vous et moi,
et des dizaines de milliers d’autres, sommes ici et que
nous ne nous serions pas apparus dans cette vie si ce jeu
avait été fixé d’avance et si tout allait être
prédéterminé avec une fin désolante. Je ne le crois pas du
tout, je pense que de nombreuses possibilités nous sont
offertes dans ce jeu, et que nous sommes ici parce que
c’est amusant.
Et de temps à autre, une intervention rétablit l’équilibre
du jeu, de manière à ce que nous puissions exercer nos
responsabilités, en vue d’une fin positive, si nous sommes
suffisamment malins. C’est ma façon personnelle de voir
les choses : Quelles
sont vos responsabilités ?
JM : Vous et
moi avons discuté de ça en long et en large, mais je suis
totalement d’accord avec vous. Oui, je pense que vous avez
raison. Qu’il existe une force supérieure... Bon, je sais
qu’il en existe une, qu’il existe une matrice supérieure
de pouvoir, cela je le sais. Et je sais qu’elle me
protège, moi et d’autres. Qu’elle a son propre ordre du
jour. De tout cela je suis déjà sûr.
*******************************************
BR : Racontez
donc cette histoire - elle est longue mais absolument
étonnante et ahurissante – et concerne votre expérience
de...
JM : Oh, Paul
Tice et...
BR : Avec Paul
et...
JM : ...Ivy,
oui.
BR : ...Ivy,
dans le désert du Nevada, près de la Zone 51, à Rachel
(Nevada), la Little
A’Le’inn dans le désert.
JM : Exact.
BR :
Racontez-nous donc cette histoire, que nous puissions...
JM : J’avais
un ami mexicain qui travaillait à General Motors.
Il était cadre à la General Motors de Los Angeles, et il allait
se marier. Il habitait Palmdale, à 80 km
au nord de Los Angeles.
Il allait donc se marier et il souhaitait que je sois le
garçon d’honneur. Il était convenu que ce samedi matin-là
- il devait se
marier le soir - je
devais venir en voiture et rester à ses côtés pendant
qu’ils préparaient le mariage de ce soir-là.
Je suis donc parti retrouver mon ami et... pendant que la
jeune femme, sa mère et ses amies faisaient les courses,
etc. Les filles sont donc parties au marché. Quand elles
sont revenues, elles étaient suivies par un vieux dans une
vieille voiture. Quand elles sont sorties de la voiture,
lui en a fait autant et les a suivies jusqu’à la maison.
Carlos et moi étions assis à regarder ce vieux qui
arrivait et il m’a dit : Qui c’est ?
- Je l’ignore.
Et donc, quand [la fiancée] est arrivée, elle a raconté :
Cet homme nous a
accostées au marché et nous a dit : « Je sais que vous
vous mariez ce soir et que le garçon d’honneur est chez
vous. Et il faut que je lui parle.»
Elle lui a répondu : Comment savez-vous que je vais me marier ?
Et lui : Je sais
déjà qui vous êtes. Je sais que vous allez vous marier,
mais le garçon d’honneur de votre mariage est chez vous
et il faut que je lui parle.
Et elle m’a informé qu’elle ne considérait de toute
évidence pas le [vieux] comme dangereux.
J’ai donc dit à l’homme : C’est moi. Qu’avez-vous à me dire ?
On m’a chargé de vous dire quelque chose : dans un an et
demi, dans un an et demi vous allez faire une rencontre
extraordinaire avec vos amis de là-haut (Jordan désigne le
haut.). Ils m’ont envoyé vous l’annoncer. Et cela se
passera au cœur du désert.
J’ai répondu : Eh
bien, il m’arrive d’aller dans le désert ici, en
Californie, et de chercher à voir des OVNI.
Et lui : Non, non,
non. Cela n’arrivera pas en Californie, cela se passera
à l’est d’ici. Et au cœur du désert. Vous allez vous
enfoncer dans le désert. C’est eux qui choisiront le
moment et l’endroit, pas vous. Mais cela va se passer
dans un an et demi.
Ils me chargent de
vous annoncer que vous serez au volant, qu’il y aura une
femme à côté de vous et un homme assis à l’arrière. Et
ils s’arrangeront pour que ce soit le cas. La raison en
est qu’ils souhaitent que l’homme et la femme soient
tous les deux témoins de ce qui va se produire.
Cependant l’événement vous concerne, vous, pas eux. Mais
ils (geste vers le haut) veulent deux témoins, un homme
et une femme. Mais c’est pour vous. Vos amis vont se
montrer à vous. Dans un an et demi.
Voilà. Et il est parti.
Un an et demi plus tard je parlais pour Bob Brown à
Mesquite (Nevada), à un grand congrès ufologique. À
Mesquite, à environ 110 km au
nord-est de Las Vegas. Et j’étais accompagné de mon amie
d’Hawaii, animatrice d’un talk-show et originaire
d’Hawaii, Ivy West. Et de mon ami éditeur qui habitait San
Diego, où je résidais aussi à l’époque, mon éditeur et ami
Paul Tice... Donc Paul était assis à l’arrière et Ivy à
l’avant. Et moi, je conduisais.
Et nous revenions de Mesquite, tôt un dimanche matin, et
juste au moment où nous entrions dans Los Angeles, je dis,
de but en blanc : Êtes-vous,
l’un ou l’autre, déjà allés à la Zone 51 ?
- Non.
- Voulez-vous y
aller ?
- Oui, allons-y !
Bon, Joe et Pat Travis, les propriétaires de l’auberge la
Little A’Le’Inn
m’avaient donné une invitation, parce qu’ils avaient
l’habitude d’écouter mon émission. Je faisais une émission
radio, un talk-show tardif à Las Vegas, et ils
m’écoutaient. Ils m’appelaient parfois pour me dire : Soyez notre invité,
venez nous rendre visite ! Mais je ne l’avais jamais
fait.
Nous nous étions finalement décidés : OK. On y va ! Je
les avais donc appelés pour leur annoncer notre venue.
Ça monte et c’est à 220 km au nord
de Las Vegas dans le haut désert du Nevada. C’est un
petit, et même très petit établissement perdu là-bas au
milieu de nulle part, en fait juste un grand bar, un
bar-restaurant, avec 6 ou 8 mobile homes loués comme
chambres, comme s’il s’agissait d’un motel, mais ce sont
des mobile homes, qu’ils louent comme s’il s’agissait d’un
motel. Il y a aussi une épicerie à l’ancienne, une petite
station service (maintenant fermée – NdT) et c’est tout.
Ça s’appelle Rachel, au Nevada.
Et bien sûr, à 1,5 km de la
montagne à peu près, de l’autre côté de la montagne, se
trouve la base militaire, le centre d’essais de l’armée de
l’air, de Nellis. Il s’y passe des choses extrêmement
secrètes.
Bon, quoi qu’il en soit, nous étions en route et je
parlais à Ivy et Paul de la prophétie. Je leur ai dit : Nous y voici,
exactement un an et demi après, et il m’a dit que je
serais au volant, une femme comme passagère à l’avant et
un homme assis à l’arrière. Donc, ai-je poursuivi, ne
soyez pas surpris si quelque chose nous arrive. J’ignore
quoi.
Je suis content de leur en avoir parlé avant que ça se
passe.
Nous sommes donc arrivés là-bas et nous avons bavardé ce
soir-là, assis au bar, et à l’heure de la fermeture j’ai
demandé aux propriétaires, Joe et Pat : Où faut-il aller
pour voir des OVNI ? Parce que la Zone 51 est un
endroit très réputé pour ses OVNI.
Avec son humour pince-sans-rire Joe a répondu : Vous n’avez besoin
d’aller nulle part. Ils vous ont vu. Contentez-vous de
vous asseoir ici, dans la voiture. Ils sauront où vous
trouver s’ils le souhaitent.
Et Pat a ajouté : Si
vous voulez aller là où vont tous les touristes,
rejoignez la grand-route. Et c’est une route au milieu
de nulle part, dans cet endroit perdu à la Mickey Mouse.
Elle a donc dit : Retournez
sur la grand-route, roulez en direction de Las Vegas
pendant exactement 30,5 km.
Regardez bien votre compteur, exactement 30,5 km.
Parce qu’à la distance indiquée, vous verrez une grosse
boîte aux lettres, un grand parking et une route.
Garez-vous à la boîte aux lettres. Une des trajectoires
de vol passe au-dessus de la montagne juste là, donc
tout ce qui arrive ou part va passer au-dessus de vos
têtes. Si vous devez voir quelque chose, ce sera très
certainement là. Donc allez jusqu’à la boîte aux lettres.
Nous prenons donc la voiture. Moi au volant, une femme à
l’avant et un homme à l’arrière. Je prends la grand-route,
mais au lieu de tourner à droite pour aller vers le sud,
comme indiqué par elle, je prends à gauche vers le nord.
Ivy ne réagit pas, Paul non plus. Nous bavardions,
bavardions, sans nous rendre compte que ce n’était pas la
bonne route.
Nous avons donc ralenti... il était peut-être 23h30 ou
minuit lorsque nous sommes partis. Arrivés à 30,5 km,
nous ralentissons et Ivy dit : Attendez, on va vers
le nord. Elle a dit d’aller vers le sud.
Et moi : D’accord,
bon, que diriez-vous de faire demi-tour et de rentrer ?
Nous avons une chambre pour la nuit et nous reviendrons
demain soir pour de bon.
Ivy a répondu : OK,
donc on arrête.
Bon, il était à peu près minuit et le ciel était
complètement couvert. On n’y voyait rien. Complètement
couvert. Il était à peu près minuit, à 30 km
au nord de la Little
A’le’Inn, située à 220 km du
départ. Nous sommes donc perdus à 250 km
au milieu de nulle part. (Il rit.)
J’ai arrêté la voiture, et de là un chemin de terre
s’enfonçait dans le désert. Un chemin de terre bien
entretenu.
Ivy a dit : Pénétrons
dans le désert, allons-y en voiture !
J’ai répliqué : Mais Ivy, vous êtes déjà dans le désert ! Vous
n’en verrez pas plus qu’ici ! Et de toute façon vous
n’allez rien voir cette nuit parce que le ciel est
complètement couvert ! Je n’ai pas envie d’aller dans le
désert.
Mais Ivy insistait et Paul s’y est mis aussi, et a dit : Pénétrons un peu
dans le désert !
J’ai demandé : Pourquoi
?
- Pénétrez dans le
désert !
Je roule donc dans le désert. J’y pénètre d’environ 2 ou 300 m
et, tout d’un coup, je suis submergé par la sensation
d’avoir fait quelque chose de travers, et j’étais à juste
titre épouvanté d’avoir fait quelque chose de mal.
Et je dis : Ivy,
je pars d’ici. Je ne comprends pas ce qui se passe.
Nous n’avons vu aucun panneau Entrée interdite,
non, rien du genre. J’avais juste la sensation que quelque
chose clochait. J’ai stoppé la voiture et enclenché la
marche arrière. Mais avant de rouler, Ivy et Paul me sont
tombés dessus pour me dire : Arrêtez-vous
seulement. Il n’y a ni panneau, ni base, ni rien.
Arrêtez-vous seulement, que nous puissions sortir une
minute.
J’ai répliqué : Ivy,
quelque chose cloche, je le ressens. Je veux partir
d’ici. Je suis sérieux.
Elle reprend : Arrêtez-vous.
Nous allons sortir une minute.
J’ai donc coupé le contact. Nous sommes sortis et, une
fois la porte fermée et les phares éteints, on ne voit ni
étoiles, ni Lune, le ciel est complètement couvert, un
noir d’encre. Aucune lumière. Point barre. Il fallait
rester contre la voiture.
J’entends des voix mais on ne voit rien. Une sensation
sinistre. Je n’avais jamais ressenti ça avant.
Et dans l’obscurité totale, la moindre lumière se voit
tout de suite.
Nous étions sortis de la voiture depuis moins de 30
secondes quand, tout à coup, les nuages s’entrouvrent, un
petit ovale de ciel apparaît. On voit des étoiles. Nous
les avons vues tous les trois, dès que cela s’est ouvert
parce qu’en l’absence de lumière, la moindre lueur se voit
tout de suite.
Et Ivy : Regardez
! Les nuages s’ouvrent !
Au moment où elle disait ça, apparaissent deux disques
blanc-bleuté, lumineux, absolument magnifiques. Ils sont
arrivés au moment où les nuages se sont entrouverts, mais
ils ne s’y sont pas précipités, ils semblaient plutôt
flotter. Ils sont arrivés en flottant, près du nuage juste
au-dessus d’eux, si bien que la lumière se réfléchissait
sur le nuage juste au-dessus d’eux, d’un blanc-bleuté. Ils
émettaient une lueur blanc-bleuté.
Pendant qu’elles arrivaient, très lentement, ces deux
choses magnifiques en forme de soucoupe, et tandis que
nous les regardions, 5 autres sont arrivées derrière. Il y
avait maintenant 7 disques blanc-bleuté, qui passaient
au-dessus de nous. Tout à coup, ils se sont arrêtés.
J’étais absolument terrorisé. Je n’avais rien vu d’aussi
beau, d’aussi impressionnant et d’aussi exotique que 5
disques d’un blanc-bleuté phosphorescent stationnant
au-dessus de soi. Et instantanément (Geste de main de
Jordan dans l’air.), en un quart de seconde, boum,
ils ont tous changé de position.
J’ai pensé : Dieu,
comment est-ce qu’ils font ça ? Et tout à coup :
boum, boum, boum, ils se redéployent et s’immobilisent.
J’étais secoué. Je sais combien de g ça représente
quand on déplace quelque chose aussi rapidement... comme ça(Geste rapide des
mains de Jordan dans l’air.), et que c’est suivi
d’une immobilisation totale.
Et j’ai dit à Ivy : Ivy, je fiche le camp. Je ne sais pas ce que
c’est. Veux pas savoir. J’ai une peur bleue et je veux
ficher le camp.
Je suis retourné à la voiture, j’ai démarré. Ivy et Paul
étaient ravis. Ils m’ont dit : Mon Dieu, regardez
ce qu’ils font, comme ils sont beaux ! Il y en a 7.
Je leur ai répondu : En voiture ! Vous allez rentrer à pied. Je m’en
vais !
Ils m’ont rejoint parce qu’ils voyaient que j’étais
sérieux. Ils ont baissé les vitres et ils observaient
pendant que j’allumais les phares et partais. Et
simultanément, Ivy et Paul se sont complètement déchaînés.
Ils commençaient à paniquer. Ivy et Paul criaient,
hurlaient et pleuraient. Elle avait maintenant vraiment
peur. Elle paniquait. Moi ? C’était déjà fait ! Mais
j’avais maintenant sur le siège avant une femme qui
piquait une crise contre moi, alors que j’étais déjà
terrorisé.
Je lui criais de la fermer, je conduisais vite, je fonçais
vers la grand-route. Je ne pensais qu’à une chose : Je ne veux pas
louper la grand-route. Non, si je sors de l’autre
côté, je casse la voiture.
Mais elle hurle et crie, et Paul aussi. Je stoppe
brutalement la voiture, vraiment brutalement. En deux
secondes peut-être. J’arrête, j’ouvre pour voir ce qui les
faisait hurler, et ces engins nous descendaient dessus,
énormes. Toujours blanc-bleuté, mais énormes. Tournant
tout autour de nous.
J’étais paniqué à mort et j’ai foncé vers la grand-route,
et dès que je l’ai vue arriver, j’ai su que j’allais trop
vite, j’ai donc freiné sec et dérapé jusqu’à la
grand-route. Lorsque je me suis retrouvé dessus, la
voiture a fait une embardée. Une fois sur la nationale,
nous nous sommes tous les 3 sentis de nouveau en sécurité.
Une fois sur la grand-route, nous sentions tous les 3 que
tout allait bien maintenant.
Les soucoupes volantes, toutes les 7, étaient retournées
dans le désert. Je ne me rappelle plus exactement comment
elles ont disparu... j’essaie de me le rappeler... elles
sont retournées dans le désert... J’étais si terrorisé, et
j’étais avec eux, les phares étaient allumés et nous
sommes sortis de la voiture, nous avons parlé ensemble, et
les soucoupes sont parties dans le désert et soudain : pof
! Disparues. C’est bien ça !
Mon cœur battait la chamade et j’étais complètement
paniqué. J’avais les larmes aux yeux et j’étais paniqué à
juste titre. Je n’ai jamais vu...
Non seulement elles étaient capables de faire des choses
qui, je dirais, ne sont pas de ce monde, et impossibles,
mais.... La technologie que j’ai vue, que nous avons vue,
n’est pas humaine. Et cela m’a épouvanté, parce qu’avant
tout, s’il s’agissait de technologie humaine, c’est que
nous aurions mille ans d’avance sur notre prétendu niveau
actuel, si vraiment c’est faisable. Sinon, ça signifie
qu’il s’agit de quelqu’un d’autre, et c’est encore pire.
D’un côté comme de l’autre, nous avons des problèmes.
Nous sommes donc restés sur cette route cette nuit-là,
dans un état émotif absolument incroyable. Ivy pleurait,
elle riait. Paul... nous avions peur. C’était beau,
impressionnant, effrayant, horrible, merveilleux. Tout ça
à la fois. Rien qu’émotions en ébullition.
Nous étions comme des enfants effrayés.
Quand nous avons finalement décidé de rentrer, j’ai roulé
lentement, je tremblais. Nous sommes rentrés, nous avions
un motel, nous couchions dans un des mobile homes. Dans
ces mobile homes, vous entrez directement par la salle
d’eau, au milieu, et de chaque côté se trouvent les
chambres. L’une avait deux lits, l’autre un.
Eh bien, après tout ça, je n’avais pas envie de dormir
seul dans mon coin. Et Ivy est le genre de femme capable
de s’en sortir par elle-même. En cas de bagarre de rue, je
la préférerais de mon côté. (Il rit.)
Je lui ai donc dit : Ivy, que diriez-vous si vous et moi prenions
cette chambre et Paul l’autre ?
Paul a répondu : OK.
Paul est donc tout seul et moi avec Ivy dans ma chambre.
Cette nuit-là donc, nous avons discuté au lit pendant 40
minutes. J’entendais Paul dans la chambre d’à côté. Nous
avons parlé de ce que nous avions vu cette nuit-là.
C’était quoi, ça, bon sang ? Notre technologie, ou celle
de quelqu’un d’autre ? Bon, nous savions tous les 3 que ce
n’était pas humain. Ce que nous avions vu cette nuit-là
n’était pas d’origine humaine.
Quand je me suis levé le lendemain matin, Ivy et Paul
étaient déjà en train de prendre leur petit-déjeuner au
restaurant. Lorsque je les ai rejoints, leur table était
entourée de gens avec lesquels ils parlaient, j’ai donc
pensé qu’ils leur racontaient ce qui nous était arrivés la
veille. En fait, non.
Ivy et Paul parlaient de l’alien venu au motel la nuit
précédente. Un alien était venu au motel. Je dormais. J’ai
dormi pendant tout ça. C’est arrivé à Paul, dans sa
chambre. L’alien est venu à lui, pas à moi. Ni à Ivy et
moi. Il est venu dans la chambre de Paul.
Il existe une vidéo, celle d’Anthony Hilder. Anthony se
trouvait à la Zone
51 quelques années plus tard, et il s’est trouvé que
Paul et moi y étions aussi. Nous parlions à Anthony de cet
incident et il a voulu enregistrer l’interview sur vidéo.
Elle s’appelle Alien
51. Il s’agit d’une vidéo d’Anthony Hilder intitulée
Alien 51, et on
y voit Paul Tice et moi, à la Zone 51, parler de la même
expérience. Vous entendrez donc Paul raconter par lui-même
ce qui lui est arrivé.
Paul n’avait pas envie d’en parler parce qu’il avait peur.
Il était effrayé, à juste titre.
L’alien est entré dans la chambre de Paul. Paul a raconté
qu’il s’était endormi ; il dormait à poings fermés et
soudain une sensation de lumière sur la tête l’a réveillé.
Une lumière verte. Très douce, pas du tout brillante,
juste suffisante pour le réveiller. Une douce lumière
verte, et il a raconté qu’il avait levé les yeux et vu un
visage d’alien, aux gros yeux, le visage d’alien
classique, mais il pouvait voir à travers. C’était un
hologramme. On voyait le plafond à travers le visage.
Il a raconté que l’hologramme est descendu du plafond, a
touché le mur, et s’est trouvé à son niveau à lui, assis
dans son lit. L’alien était à son niveau, et il lui a
demandé par télépathie : Que faites-vous ici ? Qui êtes-vous et que
faites-vous ici ?
Paul a ajouté : Je
le comprenais bien. Je savais exactement ce qu’il
m’avait demandé. Et j’essayer de penser la réponse plutôt
que de la dire. Je pensais la réponse.
Quand j’ai commencé
à lui répondre, et Paul a ajouté que tout à coup ça
lui est venu en mémoire, j’ai vu en un instant tout ce qui s’était
produit dans ma vie. Tout. Je pouvais télécharger dans
mon esprit et mon cerveau de quoi voir tout ce que
j’avais fait. Je savais que je ne pouvais pas le
contrôler, je voyais juste défiler toute ma vie. Puis
cet alien m’a dit : « Ça va, vous allez bien. »
Paul a précisé : Puis
il a traversé le mur. Paul a aussi ajouté que
pendant qu’il parlait à l’alien, la pièce bougeait : Je voyais la porte
dépasser l’alien, la fenêtre aussi, puis la porte
revenir. Je voyais dans mon esprit le mur circuler, mais
en fait il ne bougeait pas.
Ensuite Paul a dit : Quand l’alien m’a dit : « Ça va, vous allez bien
», il a reculé. Il a reculé et a traversé le mur.
Bon, Ivy a raconté qu’elle était couchée sur le côté
gauche, en direction de la chambre de Paul, et que quelque
chose l’a réveillée, et elle a vu cette couleur vert
phosphorescent sur son mur. Au moment où elle s’est
réveillée et a vu ça, un fin faisceau de lumière rouge a
rapidement traversé la chambre de Paul pour se poser sur
elle. Et elle s’est retrouvée paralysée.
Elle a ajouté : Je
ne pouvais ni bouger, ni hurler, ni rien faire. Je ne
pouvais pas bouger. Ce petit truc rouge restait sur moi,
et j’ai vu la lumière arriver, partir ; cette petite
lumière rouge est ressortie à toute vitesse, je l’ai
suivie des yeux, elle a disparu. Je me suis donc levée
et suis allée voir Paul. Vous dormiez à poings fermés.
Paul m’a raconté que cette chose lui avait dit : « Ça
va, vous allez bien. », et qu’elle était partie.
J’ai donc écouté ceci et précisé que je n’avais rien vu
et, juste après, la propriétaire du restaurant, Pat
Travis, qui s’y connaît bien en OVNI, m’a dit : Non, non. Ils savent
qui vous êtes. Ils ne faisaient que s’amuser de vos
amis. Ils ne font que s’amuser, ils font parfois ça avec
les gens pour les effrayer. Ils s’amusaient de vos amis.
Mais ils savent qui vous êtes et ils ne le font pas avec
vous.
J’ai donc pensé : Ouaouh,
ça veut dire que... pour qu’elle dise ça.
Bon... Mais c’est exactement ce que le vieil homme avait
dit.
Nous sommes partis quelques jours plus tard. J’ai
reconduit Ivy à l’aéroport à Los Angeles et elle est
rentrée à Hawaii. Paul et moi habitions San Diego, nous y
sommes donc revenus en voiture. Je travaillais pour une
entreprise, la Truth
Seeker Company, et Paul était mon éditeur. Tout ceci
s’est déroulé au cours de la première semaine de décembre
94. C’est en décembre 94 que j’ai vécu toute cette
expérience dans le désert, avec ces 7 OVNI et l’alien dans
la chambre de Paul.
À la fin du printemps 95 je travaillais donc à San Diego.
J’ai loué une Chrysler décapotable, sans dire à personne
où j’allais, et suis retourné tout seul à la Zone 51. Je
ne l’ai dit ni à Paul, ni à personne, pas même à mes
collègues. Je suis juste parti. J’ai loué une Chrysler
décapotable et j’y suis allé. Je voulais retourner sur le
lieu de mon expérience, et pour une raison quelconque je
souhaitais y retourner.
J’y suis donc allé et vers 4 h de l’après-midi, je suis
parti au volant, 30,5 km vers
le nord, puis je suis revenu par la même route. Je n’avais
pas l’intention d’y rester au coucher du soleil, à la
tombée de la nuit. Je voulais y rester jusqu’à ce
moment-là, mais pas après la tombée de la nuit. (Il rit.)
Je me suis assis sur l’arrière de la voiture, les pieds
sur la banquette, et j’ai parlé avec... avec eux. Je leur
ai dit : Écoutez,
je sais que vous êtes là et que vous pouvez m’entendre.
Je sais aussi que vous ne voulez pas me faire de mal. Je
le sais. Si c’était le cas, je ne serais pas ici. Je
sais donc que vous ne voulez pas me faire de mal. Je
veux que vous compreniez que j’ai l’intention de faire
tout ce que je suis censé faire de ma vie. Si je suis en
train de vivre une expérience spirituelle, je veux que
vous sachiez que j’ai l’intention de faire tout ce que
je suis censé faire.
Mais j’ai deux
choses à vous demander. Primo, ne m’emmenez nulle part.
Je ne veux pas être enlevé, je ne veux aller nulle part.
Fichez-moi la paix. Deuxio, ne m’effrayez pas dans ma
chambre. Je ne veux pas me réveiller, effrayé, dans ma
chambre. Mon cœur n’est pas en bon état, j’ai vécu trop
de choses, fichez-moi la paix et ne m’emmenez nulle part
!
Montrez-moi ce que
je suis censé faire, indiquez-moi ce que je dois faire,
et ce que je suis heureux de faire... Ne m’emmenez nulle
part et ne m’effrayez pas dans ma chambre !
Et j’ai ajouté : Merci,
au revoir, et bon courage ! J’ai pris ma voiture,
j’ai fait demi-tour et j’ai passé quelques nuits chez Joe
et Pat. Je suis ensuite revenu à San Diego sans parler de
tout ceci à quiconque.
Environ 3 ou 4 semaines plus tard, Paul Tice m’appelle
pour me signaler qu’il a entendu parler d’une jeune femme,
qui effectue des régressions de vies passées, du côté de
Coronado Island, à San Diego - Coronado est une petite île
à proximité de la côte, un grand pont y mène. [Paul] a
ajouté : On dit
qu’elle est vraiment formidable. Et si vous preniez
rendez-vous avec elle pour tester ses compétences ? Si
elle est bonne, j’irai aussi.
J’ai répliqué : Non
merci. Si vous voulez la voir, pourquoi ne prenez-vous
pas rendez-vous ?
- Non, non,
m’a-t-il répondu, vous
habitez beaucoup plus près d’elle, très près. Donc c’est
vous qui allez la voir !
J’ai répondu : OK.
J’ai donc pris rendez-vous. Elle s’appelait Kirin,
K-I-R-I-N. C’était une belle jeune fille, mais mystique.
J’y suis allé, j’ai pris rendez-vous et suis entré.
Elle vous fait enlever votre montre, votre alliance et
tous les métaux. Me voilà étendu sur une table, comme une
table de massage, elle allume des bougies autour de moi en
parlant à quelqu’un. Je pensais qu’elle parlait à
quelqu’un qui était dans la cuisine ou autre. Elle parle,
allume des bougies et je suis étendu là.
Après quelques minutes de sa conversation, il me vient
finalement à l’esprit qu’il n’y a personne d’autre dans la
maison qu’elle et moi. Je lui demande donc : Karin, à qui
parlez-vous ?
Et elle répond : Oh,
excusez-moi, je parlais à vos amis qui vous ont amené
ici.
- Que voulez-vous
dire par « qui m’ont amené ici » ? Ceux qui m’ont amené
chez vous ?
- Non, non, non.
Ceux qui vous ont amené sur Terre. On vous a amené ici
pour faire quelque chose. Ils vous ont amené ici, et je
parle à vos amis qui vous ont amené ici.
- Puisque vous
semblez en bons termes avec mes amis, pourquoi ne leur
demandez-vous pas ce que bon sang je fiche ici ? Qui
sont mes amis ?
- Vous ignorez qui
vous a amené ici ?
- Oui. Sinon,
pourquoi vous le demanderais-je ? J’ignore même de quoi
vous parlez !
- Eh bien, ils me
disent qu’ils sont Pléiadiens. J’ignore si c’est vrai,
mais c’est ce qu’ils m’affirment. Ils me disent que vous
êtes des Pléiades et qu’ils vous ont amené ici pour
faire quelque chose, qu’ils ont quelque chose à vous
faire faire.
- Ouaouh ! Bon,
pendant que vous leur parlez, demandez-leur donc ce que
je suis censé faire ici.
- Ils me demandent
de commencer par vous dire – parce qu’elle fait des
régressions de vies passées – ils me demandent de vous dire que vous n’avez
pas besoin de faire de régression de vie passée. Vous
devez réussir cette vie, sans vous préoccuper de vos
vies passées. Réussissez celle-ci.
Ils me disent qu’on
vous a amené ici pour que vous soyez un « canal ». Ils
vont « canaliser » des messages par votre intermédiaire,
mais pas avant longtemps. Pas maintenant. C’est ce
qu’ils vont faire finalement, vous utiliser comme
médium. Et ils vous mettront en situation d’être entendu
de gens importants. Quand le moment sera venu, ils
parleront par votre intermédiaire. Mais ils me demandent
de vous le rappeler : vous n’êtes pas un ambassadeur,
mais un émissaire.
Un ambassadeur
parle au nom du gouvernement qu’il représente. Vous ne
parlez au nom de personne. Un émissaire ne fait que
communiquer un message. Vous ne parlez au nom de
personne. Et ils me demandent de vous dire de vous
assurer que vous l’avez bien compris. Que vous êtes un
émissaire et non un ambassadeur. Et vous pourrez
seulement communiquer le message, qui viendra d’eux, par
votre intermédiaire. Mais pas maintenant. Il viendra un
temps où vous parlerez devant des gens importants, et
ceux qui sont censés le savoir sauront qui vous êtes.
Vous ne le saurez pas, mais eux le sauront. Et quand ils
vous écouteront, ils sauront qui vous êtes en réalité.
Ils me demandent donc de vous le dire : « comprenez bien
ça. »
Elle se met ensuite
à rire et je lui demande : Pourquoi riez-vous ?
Elle répond : Ils
viennent de me dire quelque chose de drôle sur vous. Ils
me racontent qu’il y a 4 ou 5 semaines, vous avez loué
un cabriolet Chrysler et que vous êtes allés là-bas, sur
la route où ils vous avaient vu la dernière fois, que
vous ne vouliez pas y aller cette nuit-là parce que vous
aviez peur, et que vous y êtes allé l’après-midi. Et
vous étiez assis, avec les pieds sur la banquette
arrière.
Et moi, je pensais : Je n’ai raconté ça à personne. Elle avait
tout à fait raison.
Et elle : Vous
étiez assis les pieds sur la banquette arrière, et vous
leur avez dit que vous ne voyiez pas d’objection à faire
ce que vous étiez censé faire, mais que vous ne vouliez
pas être effrayé dans votre chambre, ni être enlevé. Ils
ont trouvé ça amusant. Ça les a fait rire.
- Pourquoi
trouvaient-ils ça drôle?
- Parce que si
vous saviez d’où vous venez, et à quoi vous ressembliez
là d’où vous venez, par rapport à votre aspect actuel en
tant qu’humain, pensez-vous que vous seriez effrayé ?
Attendez de mourir et de retourner d’où vous venez. Ça
vous fera un choc. Donc ils ont trouvé ça amusant.
Vous ne voulez pas
avoir peur ? Attendez donc de mourir ! Ça va être un
sacré trip pour vous de retrouver qui vous étiez
réellement et d’où vous êtes venu !
Elle a ajouté : Ils
me demandent de vous dire ceci : « Personne ne te fera
de mal. Nous te confions une tâche et t’observons depuis
le premier jour. Rappelle-toi juste que nous
t’observons, et tu feras tout ce que nous pensons devoir
te faire faire. »
J’ai pensé : Ouaouh,
mon gars ! Je n’ai jamais rien entendu de pareil de ma
vie ! C’est une histoire incroyable.
Je ne sais pas. Je ne fais que vous rapporter ce qui est
arrivé.
BR : Et tout
s’imbrique, exact ?
JM : Oui,
apparemment.
BR : Tous ces
récits s’imbriquent les uns dans les autres, ce qui
suggère... Vous avez pas mal de données ici, que vous avez
rassemblées par vous-même, et elles disent que vous avez
été envoyé ici, que vous êtes très respecté là-haut et
ici-bas. Que vous avez une tâche à accomplir, qu’on vous
observe, qu’on vous protège. Mais vous ignorez tout de ce
qui se passe tout ce temps-là...
JM : Je
l’ignore complètement.
BR : ...ce
qu’en fait je trouve moi-même très drôle. Et vous voici à
l’âge mûr de presque 70 ans et vous continuez à vous le
demander, et vous ne savez toujours pas si vous avez fini
de faire ce pour quoi vous êtes venu ici ! (Il rit.)
JM : C’est
tout à fait vrai. Et la raison en est que je ne suis même
pas certain de ce que je suis censé faire, pour commencer
! Comment pourrais-je donc savoir si je l’ai fait ?
*******************************************
Je sais depuis toujours que j’ai ce lien avec un autre
monde. Même étant enfant, je suis sorti de mon corps, des
entités spirituelles venaient dans ma chambre lorsque
j’avais 6 ou 7 ans. Je voyais des choses et je sortais de
mon corps. Une autre expérience, quand j’avais 8 ans :
j’étais sorti de mon corps au moment d’un terrible
accident, j’ai vu l’accident se produire. Je suis revenu
dans mon corps et j’ai raconté à mes parents ce qui
s’était passé.
Le lendemain matin le journal racontait ce qui était
arrivé, exactement comme je l’avais dit, parce que j’y
étais et que j’ai vu l’accident dans tous ses détails. Et
le lendemain dans le journal, il y avait exactement ce que
j’avais raconté.
J’ai eu des aliens à ma fenêtre, la nuit en Floride. En me
réveillant la nuit, je voyais cette petite créature à ma
fenêtre. Parce que lorsque j’étais enfant, je tirais mon
lit près de la fenêtre et qu’en Floride il fait très chaud
la nuit, j’avais tiré mon lit près de la fenêtre. J’avais
une moustiquaire et... parce que j’aimais être étendu dans
mon lit la nuit, regarder les étoiles et parler aux
esprits.
Je me réveillais au milieu de la nuit et il y avait là une
petite tête qui bougeait. Elle bougeait suffisamment
lentement pour que je puisse la voir, mais elle bougeait
quand je me réveillais et je la voyais. J’ouvrais
immédiatement le grillage anti-moustiques, le jardin était
éclairé par la pleine lune, mon chien était dehors –il
n’aboyait pas du tout – et pourtant je sais que j’ai vu
quelque chose bouger. Et c’est arrivé bien des fois. Bien
des fois je me suis réveillé au milieu de la nuit et j’ai
vu une petite tête bouger vite. Mais quand je regardais
dehors, le chien ne voyait rien et il n’y avait rien dans
le jardin.
Quelque chose était pourtant là. J’ai donc grandi en ayant
des expériences d’un autre monde, en voyant des aliens,
avec la visite d’esprits démoniaques dans ma chambre....
*******************************************
BR : Certains
de ceux qui nous regardent vous auront entendu raconter
cette histoire lors de l’interview de Project Camelot de
septembre 2009. Pourriez-vous nous donner une version
abrégée de cette rencontre avec le père de votre petite
amie ?
JM : Oh oui,
oui.
BR : Parce que
c’est tellement dans la veine des histoires que vous nous
racontez ici. Cela formerait un tout, ce serait bien...
JM : Oui, oui.
Bien. Étant né en 40, j’avais donc 19 ans en 1959. Donc
59, j’avais 19 ans et j’ai atterri à Los Angeles. Il
fallait que j’aille, pour une raison quelconque, à Los
Angeles. J’ai atterri là, sans argent, j’ignorais où
j’étais, j’étais dans une grande ville, je ne savais pas
ce que j’y faisais – mais, bon, j’étais en fugue – me
voici donc à Los Angeles.
Un matin à Hollywood Nord, je suis allé dans un
restaurant, et l’endroit était plein, aucune place nulle
part, sauf un tabouret au bar. Je le prends et il y avait
une fille assise près de moi. J’avais 19 ans, elle en
avait probablement environ 17, elle était un petit peu
plus jeune que moi.
Nous commençons à bavarder et nous découvrons qu’elle
habitait à quelques pâtés de maison seulement de là où je
vivais. J’habitais à 3 pâtés de maison de la ville et elle
à 2 de moi. Elle était descendue au centre ville à pied,
et moi aussi. Nous avons donc traîné un moment en ville et
sommes rentrés ensemble. Nous avons ensuite commencé à
nous rencontrer le samedi et le dimanche. Je la retrouvais
au centre-ville, nous passions un moment ensemble, puis
nous rentrions. Elle habitait deux rues plus loin que moi,
donc je ne la ramenais pas chez elle, mais elle savait où
je vivais.
Un soir, c’était un vendredi, un événement s’est produit.
Un vendredi soir, elle a frappé à ma porte vers 10 h et
elle m’a dit : Mon
père veut te parler. Et bien sûr je ne veux parler
au père de personne; je lui réponds : Je ne veux pas lui
parler. Je n’ai rien à lui dire. Et elle ajoute : Mon père est un
homme très important et très intéressant. Il a quelque
chose à te dire et il veut le faire. Il faut que tu
viennes avec moi.
J’ai répondu : OK.
Et j’y suis allé. Et alors que je marchais avec elle
jusqu’à la maison, il s’est trouvé par hasard qu’il en
sortait. Quand je l’ai vu, mes cheveux se sont dressés sur
la tête, parce que la sensation involontaire que je ressentais me
submergeait.
Cette sensation provenant de lui m’a choqué. Je pense que
dès l’abord j’ai su qu’il y avait quelque chose d’étrange
chez cet homme-là. Je le ressentais déjà. Mais j’adorais !
Ça n’avait rien d’effrayant. C’était comme être en plein trip ! Je ne
savais pas qui est ce type, mais je ne me rassasiais pas
de cette sensation. Il m’a donc dit (Jordan fait un
geste d’invitation.) : Entrez donc ! Et
ce que j’ai remarqué immédiatement, c’est que je n’avais
jamais vu quelqu’un de plus maître de lui. Il savait avec
précision ce qu’il faisait : sa façon de bouger, ses
manières, son maintien étaient très étranges. Il m’a dit :
Entrez donc !
Et j’ai pensé : Ouaouh,
je ne sais pas qui il est, mais je ressens quelque chose
! Je suis donc entré et nous nous sommes assis sur
un canapé. J’étais assis à un bout, lui à l’autre, ma
petite amie par terre avec sa jeune sœur d’environ 10 ans.
La mère était dans la cuisine ou quelque part dans la
pièce arrière tandis que lui me parlait, juste des
banalités, me demandant comment je trouvais mon métier et
si j’aimais la Californie, me disant que sa fille me
trouvait très gentil pour elle et qu’il aimerait me
remercier de traiter sa fille avec respect, et nous
échangions des phrases sans grande portée.
Je commençais à me sentir plus à l’aise avec lui. Il
parlait de sujets classiquement humains. Je me sentais un
petit peu mieux, un peu plus à l’aise et il le savait.
Puis il m’a dit : Vous
vous souvenez, quand vous aviez 8 ans, là-bas en Floride
et que votre père construisait un nouveau porche à
l’arrière de la maison ? Rappelez-vous : le porche
tombait en morceaux, et votre père et son frère ont bâti
un nouveau porche arrière à la maison, et votre père
utilisait du bois de charpente vert, il avait une drôle
d’odeur parce que c’était du bois vert. Vous vous
rappelez quand votre père construisait ce porche ?
Cela me choquait, et je ne voulais pas montrer mes larmes
devant ma petite amie, mais c’était choquant. J’ai répondu
Oui.
Il a renchéri : Bon,
est-ce que c’est bien arrivé ?
- Oui.
Il a ajouté : Rappelez-vous
une nuit, vous étiez au lit et vous vous êtes levé pour
aller au porche à l’arrière de la maison, vous vous
rappelez ? Et la Lune était très lumineuse.
Rappelez-vous comment vous preniez le bois avec vos
doigts ; vous épluchiez le bois parce le bois de
charpente vert avait une drôle d’odeur la nuit, et vous
le preniez pour le sentir. Vous vous rappelez avoir fait
ça ?
De nouveau, mais encore plus effrayé, j’ai répondu : Oui.
Il m’a dit : L’avez-vous
fait, oui ou non ?
- Oui, je l’ai
fait.
- Qu’avez-vous
fait d’autre ? Vous parliez à Dieu, n’est-ce pas ?
- Oui.
- Que disiez-vous
à Dieu? Rappelez-vous : vous regardiez la Lune et vous
parliez à Dieu.
Je le regardais intensément. J’étais terrorisé et il
poursuivait : Qu’avez-vous
fait ? Vous avez dit à Dieu que vous vouliez faire
quelque chose d’important de votre vie. N’est-ce pas ce
que vous avez dit ?
- Oui, je l’ai
dit.
- Eh bien, voilà pourquoi vous êtes ici. Nous vous avons
amené ici pour vous permettre de faire quelque chose
d’important de votre vie. Après tout, vous l’avez
demandé. Nous avons donc décidé de vous donner
satisfaction.
- Je ne comprends pas.
- C’est sans importance. Mais vous l’avez bien dit,
n’est-ce pas ?
- Oui.
- Comment puis-je savoir tout cela ? Comment ai-je
appris tout cela ?
J’ai répondu :
Je ne sais pas comment vous savez ça.
Il m’a dit : Je
le sais parce que nous y étions. Quand vous parliez à
Dieu, nous étions là. Vous cherchiez une occasion de
faire quelque chose, eh bien nous vous en donnons
l’occasion. (Il rit.)
J’ai demandé : Qui
est « nous » ? De qui parlez-vous ?
- C’est sans
importance pour l’instant. Vous l’apprendrez plus tard.
Vous vous intéressez beaucoup aux OVNI, aux aliens et
aux choses terrifiantes de ce genre, n’est-ce pas ?
- Oui, ça m’intéresse.
Il a répondu : Oui,
je sais. Nous le savons. Et il a ajouté: Aimeriez-vous voir
des OVNI ce soir ?
- Oui, j’aimerais bien.
- Je peux vous rendre ce service. Venez. Je vais vous
montrer.
Je me suis mis debout comme lui, les filles aussi et
nous sommes allés tous les quatre sur la pelouse de
devant. Il était probablement minuit, et nous étions en
1959. Il regarde le ciel et commence à parler tout bas. Il
bouge les lèvres, il parle, mais on ne peut pas
l’entendre. Puis il se tourne vers moi, et me dit : Ils m’ont dit qu’ils
seront là dans 2 ou 3 minutes. Ils arriveront par là...
par le sud-est. Ils vont arriver dans 2 ou 3 minutes.
J’ai demandé :
Qui ?
- Vous verrez bien ! Vous vouliez voir des OVNI, pas
vrai ?
- Oui.
- Eh bien, attendez un peu. Ils vont venir.
J’ai regardé ma petite amie, qui m’a regardé, et son
regard me disait : Oui,
je t’ai dit que mon père était un homme intéressant et
important. Je te l’avais dit. Et je la regardais en
essayant d’imaginer : Est-ce que c’est un traquenard ou bien... mais
comment pourrait-il savoir ce qu’il sait sur moi ? Et
qui est cet homme qui me fascine ?
Et pour sûr, quelques minutes plus tard, 3 OVNI, des
disques à peu près de la taille de la pleine lune dans le
ciel – c’était leur taille, pas de lumière, de la taille
de la pleine lune, au nombre de trois – arrivent dans une
formation en triangle et s’arrêtent juste au-dessus de
moi, juste au-dessus de nous. Je les regarde, – les 3
étaient identiques – n’émettant aucun son, et les trois
tournaient sur eux-mêmes, et leur partie inférieure,
découpée telle une tourte en 6 ou 8 tranches de couleur
différente, mais des couleurs qui vibraient, comme celles
des lasers. Très fluo. Orange, rose et vert. Ils
tournaient sur eux-mêmes, mais pas au point que les
couleurs se mélangent. Il y en avait 3.
Je suis là à les regarder, et je me dis : Mon Dieu, que c’est
beau ! Et un sentiment si étrange. La nuit est
calme. Il est tard. Je suis ici en compagnie d’un homme
qui m’en met plein la vue et je suis en train de regarder
3 OVNI. Il lève les yeux et recommence à leur parler de
façon inaudible. Il me dit : Ils me disent qu’ils
vont partir. Ils s’en vont. Et ils sont partis. Ils
ont commencé à bouger. Ils se sont dirigés très, très
lentement vers le nord, jusqu’à ce qu’ils soient hors de
vue.
J’ai demandé : Qu’est-ce
que c’était ?
Il a répondu : Cela,
c’est nous. Et
il m’a demandé : Pourquoi
êtes-vous en Californie ? Pourquoi êtes-vous venu ici ?
- Je ne sais pas.
Je n’en ai pas la moindre idée.
- Exact. C’est nous qui vous avons amené ici. Vous aviez
dit vouloir faire quelque chose pour Dieu, n’est-ce pas
?
- Oui.
- Eh bien, nous vous avons amené ici pour que vous
puissiez faire quelque chose pour Dieu.
- Je ne comprends
pas de quoi vous parlez.
Il poursuit : Nous
avons quelque chose à vous faire faire, et nous vous
observons depuis le premier jour. Nous avions déjà
décidé cela il y a longtemps, bien avant vos 8 ans. Nous
vous avons donc amené ici pour que vous commenciez votre
parcours, pour que vous commenciez à vivre votre vie
pour vous. Nous allons vous guider dans votre vie, afin
que vous appreniez ce que vous êtes censé apprendre.
Nous veillerons à
ce que vous viviez toutes les expériences nécessaires,
de façon à ce qu’un jour... ce que vous ferez pour nous
n’arrivera pas avant la dernière partie de votre vie,
tout à la fin de votre vie, mais quand le jour arrivera,
vous saurez ce que vous aurez à faire. Vous le saurez.
C’est sans importance pour l’instant. Vivez seulement
votre vie.
Nous veillerons à
ce que vous rencontriez qui vous devez, et que vous
appreniez le nécessaire, et quand ce sera l’heure, nous
vous informerons de ce que vous aurez à faire. Nous
serons là.
Et j’ai donc pris l’habitude d’aller chez lui. Cette
nuit-là, il m’a dit : Pour commencer votre parcours, cette nuit – je
vais vous mettre sur votre chemin, là où vous allez dans
votre vie. – Je vais vous donner un livre. Ce livre
était intitulé Les
Œuvres complètes de Charles Fort, F-O-R-T. Charles
Fort est très connu pour ses travaux.
BR : Hmm.
JM : Il a en
fait écrit trois livres, et probablement beaucoup plus,
mais les trois plus importants ont été rassemblés en un
gros volume, et on peut se le procurer sous cette forme,
avec pour titre Les
Œuvres complètes de Charles Fort.
Ce qui rendait ce livre si intéressant, et la raison pour
laquelle le père me l’avait donné, c’est que Charles Fort
a rassemblé en un gros livre toutes les choses les plus
étranges, inexplicables mais attestées, qui se sont
passées dans le monde. Personne ne s’aventure à ne
serait-ce qu’essayer de les expliquer. Juste des choses
étranges qui se sont passées, et personne ne sait comment,
ou ce que ça signifie, mais lui les consigne.
Ce qui rend son livre si intéressant, c’est qu’il donne
des détails pour chaque paragraphe. Chaque paragraphe est
documenté : où il l’a vu, où il l’a trouvé. Où il a trouvé
ce renseignement-ci, ce renseignement-là, à quelle page
c’était, qui a écrit l’article, et tout et tout. On peut
tout y trouver. Tout est là, avec les détails. Paragraphe
par paragraphe.
Et ce qu’il a trouvé est vraiment extraordinaire,
hallucinant, mais tout est là. Le monde est plein de
choses étranges qui sont arrivées, mais que personne ne
peut expliquer. Quand il m’a donné ce livre, je sais qu’il
l’a fait pour m’ouvrir l’esprit au monde de l’occulte. Occulte signifie
seulement caché.
Si bien que ce livre m’a ouvert l’esprit à 19 ans... parce
que j’avais déjà été bien impliqué au cours de mon enfance
dans la connaissance de l’autre monde et de choses
étranges.
Mais pour la première fois, je voyais ça attesté, des
trucs étranges, et personne ne savait comment ils étaient
arrivés, et le tout consigné dans un seul livre. Je pense
qu’il m’a donné ce livre pour me faire comprendre que le
monde est beaucoup plus étrange qu’on l’imagine. Bien,
bien plus étrange. J’aime cette citation d’un astronome,
je crois : L’univers
n’est pas plus étrange qu’on l’imagine. Il est plus
étrange qu’on a la capacité de l’imaginer.
BR : Il
s’agissait du grand astronome et physicien britannique Sir
Arthur Eddington.
JM : Une
incroyable citation. C’est tout à fait vrai. Et quand on
lit Charles Fort, on se dit : Ouaouh. C’est
réellement arrivé ? Tous ces incidents défient
l’imagination...
Afin de captiver mon intérêt, il m’a donc dit : Permettez-moi de
vous donner une idée de ce qu’il y a dans ce livre.
C’était un gros livre épais, qu’il a ouvert d’un air
nonchalant. Je sais maintenant qu’il n’était pas si
nonchalant que ça. Il savait exactement ce qu’il faisait.
Comment capter mon attention. Il y avait un côté
surnaturel à sa façon de percer mon psychisme et mon
esprit, de capter mon attention.
Il m’a dit : Permettez-moi
de vous lire quelque chose. La première chose qu’il
m’a lue concernait une petite ville, en Californie, au
centre de la Californie. Dans les années 1860-1870, je
crois. Cela s’est produit deux ou trois fois, dans cette
même petite ville. Par un jour ensoleillé, sans un nuage
dans le ciel, d’énormes rochers ronds, des tonnes et des
tonnes de rocher, sont tombés du ciel, par temps clair.
Des journalistes l’ont rapporté. Des habitants l’ont vu,
mais ce qui rend la chose intéressante, c’est que ces
rochers pesaient pour certains deux ou trois tonnes
chacun, et qu’ils tombaient d’un ciel limpide et bleu.
Mais ils ne tombaient pas à vitesse normale. Il leur a
fallu toute la journée pour descendre. Toute la journée
ils sont lentement descendus. Et quand ils touchaient le
sol, ils s’enterraient comme ils l’auraient fait
normalement, si leur vitesse avait été normale, et la
poussière volait très lentement, comme au ralenti. On
pouvait s’asseoir et regarder ça toute la journée. C’était
du ralenti. Mais quand les rochers s’étaient stabilisés,
ils étaient là où ils auraient dû normalement être, s’ils
étaient tombés normalement, mais il leur a fallu toute une
journée.
Il s’agissait donc de toute évidence d’une distorsion
temporelle. Ces objets-là venaient bien de quelque part,
dans une distorsion temporelle, et touchaient cette petite
ville. Ça s’est produit là 2 ou 3 fois. Il y a des
preuves, c’est réellement arrivé. Si une maison, une auto,
etc. était sur le trajet, dommage, parce que l’objet
descendait et traversait la maison, l’auto ou ce que vous
voulez, et on ne pouvait rien y faire, parce qu’on était
dans une autre distorsion temporelle. Comment l’expliquer
? Personne ne l’a pu. Puis il m’a regardé et m’a dit : Voilà juste une
histoire [parmi d’autres].
En voici une autre.
Il parcourt le livre, trouve une autre page et il me lit
un autre paragraphe. Ce deuxième paragraphe est encore
plus étrange que le premier. Il me lit encore 3 ou 4
paragraphes avant de me dire : Vous comprenez ce
que je veux dire ? Je lui réponds : Oui, j’adore ce
livre, j’adore ces choses. Alors il m’a dit : Je vous le donne.
Lisez-le.
J’ai donc commencé à lui rendre visite. J’y allais parfois
le soir après le travail. J’allais m’asseoir et parler
avec lui, et il me racontait toutes sortes de choses
étranges sur l’aspect des autres mondes, sur qui habite la
Terre et d’où ces êtres viennent. Les différentes formes
de vie aliènes, leur origine et pourquoi elles sont ici.
BR : Vous
rappelez-vous ce qu’il vous a raconté ?
JM : Oui, eh
bien, il... Nous allions souvent à Palmdale. Deux ou trois
fois lui, les deux filles, sa femme et moi. C’étaient des
moments incroyablement précieux. La fille venait me voir
pour me dire : Nous
y allons ce matin. Viens avec nous. Je les
rejoignais et nous allions là-bas. Je montais dans sa
voiture et nous allions dans le désert, à environ 80 km
au nord de Los Angeles, en plein désert, loin à
l’intérieur du désert. Les filles restaient avec leur mère
et elles se promenaient dans le désert.
Mais lui et moi allions de notre côté, et il me montrait
des tumuli et des excavations, que je n’avais jamais vus
auparavant et il me disait : Ils ont été faits
par des aliens il y a des années et des années. Je veux
vous montrer... Nous sommes allés voir des mines
aussi. Il savait où étaient ces différentes mines. Mais il
me racontait qu’il y a certains endroits particuliers sous
terre où ces aliens vivent, où ils demeurent. Sous terre.
Il m’a dit : Je
vous montrerai quelques-uns des endroits, mais n’y allez
pas tout seul. C’est à eux, pas à vous. Et ils le
considèrent jalousement comme leur propriété. Ne touchez
donc pas à ce qui leur appartient. N’y entrez pas. Ils
ne vous ont pas demandé de le faire. Mais tant que je
serai avec vous, vous serez en sécurité, parce que je
vous indiquerai où ne pas aller.
BR : Vous vous
souvenez où c’était ?
JM : Oui.
BR : Et qui
étaient ces aliens, et que faisaient-ils là ?
JM : Je ne me
rappelle pas leurs noms, ou les renseignements exacts,
mais je me rappelle où sont ces endroits.
BR : Où
sont-ils ?
JM : Eh bien,
dommage, dirais-je, que je ne peux pas vous y amener
directement, mais je peux vous emmener dans le secteur et
vous dire : OK.
Descendons ici et vous les trouverez. C’est près de
Palmdale, près de la Pear Blossom Highway ? Je pense que
c’est ça, mais il faudrait que j’y aille et je le saurais
en le voyant. Bien que l’endroit ait beaucoup changé. Je
me rappelle être passé par là l’an dernier en revenant de
Las Vegas. Je me rappelle ce secteur : j’ai ralenti, je me
suis arrêté et je me suis souvenu de ce chemin de terre.
Donc ça existe toujours. On n’a pas encore construit à
côté ou au-dessus.
BR : Et cette
histoire de ce que font les aliens dans le secteur, selon
vos souvenirs ? Vous rappelez-vous ce qu’il vous en a dit
?
JM :(Soupir) Pas
vraiment. En gros, je pense, d’après le souvenir que j’en
ai et ce que j’en ai tiré, c’est qu’il y avait là
différentes sortes d’aliens. Qu’il y en a des bons et des
mauvais, et il a dit que même certains des bons, ici... Il
a ajouté : Mais
nous avons des ennemis. Ils sont venus ici, et nous y
avons d’autres affaires avec eux. Et puisque nous sommes
ici, ils y sont venus. Donc nous avons des ennemis ici.
Pas des ennemis humains. De sérieux ennemis. Mais nous
avons un pacte de non-intervention. Nous sommes
puissants et ils le sont aussi, mais nous avons une
sorte de pacte de non-intervention. Mais nous avons des
ennemis. Et nous sommes leurs ennemis.
Et il m’a parlé des aliens reptiliens. C’était en 1959.
BR : Et que
vous en a-t-il dit?
JM : Je ne me
rappelle pas les détails, je me souviens juste qu’il a
parlé d’aliens reptiliens, et je ne comprenais pas de quoi
il parlait exactement. Le concept me paraissait tellement
étrange. Des aliens reptiliens. En 1959. Je ne sais même
pas de quoi il parlait.
Mais ce que je garde à l’esprit de tout ça, c’est que je
savais que cet homme venait sans le moindre doute possible
d’outre-Terre, et que j’avais quelque chose à voir avec
ça. Non pas parce que je l’avais compris et que j’en
faisais partie. Non, non, ça faisait partie de moi. Cela
fait partie de ma personne, de qui je suis. Mais il m’a
initié au secret de ma véritable identité. Je le
ressentais. Je sentais que je faisais partie de lui. Je
sais maintenant qui je suis, et que je ne suis pas de ce
monde. C’était juste un sentiment que j’avais et qui me
submergeait. J’adorais ça, j’adorais être à proximité de
lui, parce que lorsque je l’étais, Je me trouvais dans mon monde.
J’étais avec mon peuple, pour ainsi dire. Et, Dieu,
c’était une expérience incroyable que d’être en sa
présence !
Et un jour – un matin, un week-end – je suis allé voir
s’il allait quelque part, et il n’y était plus. Ils
étaient partis. La maison était vide, toutes les portes
ouvertes, les fenêtres aussi. Ils étaient tout bonnement
partis, pour toujours. Et elle n’était pas venue me dire
qu’elle partait. Et ils étaient comme ma famille. Ils
m’avaient quitté. Ils n’étaient plus là. Je suis rentré
chez moi terriblement abattu. Je ne pouvais croire que ma
famille, cette association si merveilleuse, cet homme
merveilleux que je connaissais, et cette famille, que tous
avaient disparu, et qu’aucun d’entre eux ne m’avait rien
dit. Je me suis souvent demandé ce qui était arrivé :
pourquoi étaient-ils partis sans me le dire ?
Mais quand je reviens maintenant sur ces années, mon
intuition profonde c’est qu’il a fait ce qu’il était censé
faire. Il a fait ce qu’il était censé faire. Me mettre sur
la voie. D’autres gens appartenant à ce groupe vont entrer
dans ma vie et vont continuer à me faire avancer. Le
vieillard au camion a été le suivant, lui aussi était lié
à ça. Tous ces gens différents que j’ai rencontrés, toutes
ces choses étranges, faisaient partie du même groupe qui
orbitait autour de moi ; et chaque fois que j’ai besoin
d’un peu d’encouragement, ils apparaissent au bon moment,
me font vivre une nouvelle expérience hallucinante, puis
ils passent à autre chose. On dirait qu’ils vous font
avancer dans la vie, mais en vous surveillant.
BR : Certains
de ceux qui regardent actuellement cette vidéo ont
peut-être déjà vu mon interview par Freedom Central en
novembre 2009, et je ne veux pas vous gâcher vos effets en
arrivant avec mon récit, mais juste un bref résumé : dans
cette interview, j’ai raconté comment, en 1984 ou 1985 –
j’avais alors 31 ou 32 ans – j’ai commencé à me rendre
compte, après un certain nombre d’années, que ma petite
amie n’était pas un être humain ordinaire.
Et elle m’a quittée sans préavis, et ce qui a déclenché ma
petite histoire, c’est que vous étiez allé chez eux et en
êtes revenu anéanti, quand vous avez découvert qu’ils
étaient partis. J’ai été anéanti lorsque ma petite amie
m’a quitté. Et elle m’a dit – pas la manière habituelle de
finir une relation – J’ai terminé ce que j’avais à
faire dans ta vie. C’est ce qu’elle m’a dit. (Il rit.)
Je ne savais pas comment gérer ça. Je n’avais absolument
aucun moyen de gérer ça. J’ai été anéanti pendant très
longtemps. Maintenant, bien sûr, c’est beaucoup plus clair
pour moi. Je les vois exactement comme vous les avez
présentés : un entraînement, des conseils et une
initiation. J’avais besoin de ce catalyseur, de cette
expérience catalytique...
JM : C’est
vrai.
BR : ...à ce
stade de ma vie afin de... Non, permettez-moi de reprendre
cette phrase : ...sans laquelle je ne ferais pas ce que je
fais en ce moment.
JM : C’est
tout à fait vrai.
BR : Et il en
est de même pour vous.
JM :
Exactement.
BR : Tout
comme vous probablement, j’ai entendu ce genre de récit
dans la bouche de nombreuses personnes dans le monde
entier et, bien que pas deux ne soient identiques,
beaucoup traitent du même thème.
JM : Mm-hm.
BR : Je
suppose que des gens vous écrivent aussi à propos de ça.
JM : Oh,
absolument. Pour sûr.
Voilà pourquoi je sais que je suis lié à lui. Et à quelque
chose de plus grand, présent autour de nous. Je le sais.
C’est ce qui m’a guidé toute ma vie, malgré tout ce qui
m’est arrivé, tous les échecs, toutes les tragédies et
toutes les horreurs qui me sont arrivés. J’ai toujours su
que quelque chose, là, nous observait (petits rires),
et que nous ne sommes qu’un élément dans quelque chose
d’extérieur à ce monde et qui se passe. Il se passe
quelque chose d’autre sur cette Terre et qui n’est pas de
ce monde, quoi que ce soit, ce pourrait être des aliens...
Il s’agit probablement de formes de vie aliènes, mais
quelqu’un d’autre en a la responsabilité. Voilà pourquoi
j’ai dit, nous en avons parlé auparavant, que cela ne me
gênait pas de laisser quelqu’un d’autre guider ma vie. Pas
du tout.
BR : Je
pourrais suggérer une autre analogie ici, sans vouloir
banaliser : c’est comme si vous étiez un footballeur – et
je sais ce que vous pensez des jeux de ballon, mais
certains de nos spectateurs pourraient apprécier
l’analogie – c’est comme un match difficile. Vous êtes là
sur le terrain. Et on vous rentre dedans, vous êtes hors
d’haleine, on vous renverse, et on vous blesse, vous
souhaitez être ailleurs, vous passez un sale quart
d’heure... et vous vous dites : Dieu, c’est,
c’est... OK, ce jeu ne m’amuse plus vraiment.
Et pendant la mi-temps, vous allez parler à l’entraîneur.
Il vous rappelle ce que vous faites, pourquoi vous êtes un
joueur précieux, et, allons donc ! comment vous allez
gagner le prochain match, parce que vous avez gagné le
précédent, que celui-ci est dur, mais que vous ne l’avez
pas encore perdu. Vous voyez le tableau ?
JM : Oui. Et
ça vous donne une nouvelle vigueur, et quand le match
reprend, vous êtes prêt à y retourner et à continuer.
BR : Exact.
JM : Oui. Vous
avez raison.
BR : Et je ne
banalise pas cela en faisant allusion au concept de jeu,
mais si nous regardons tout ça de plus haut, quand nous
sommes impliqués dans le match, cela paraît être une
question de vie ou de mort.
JM : Vous avez
raison.
BR : À l’issue
du match, vous vous dites : Eh, c’était un beau
match. Allons nous prendre une bière !
JM : Oui.
BR :
Voyez-vous ?
JM : Vous avez
raison. Oui.
BR : Et en ce
qui me concerne, c’est un concept qui marche très bien.
JM : Je crois
que vous avez raison. Je le ressens. C’est tout à fait ça.
Quelqu’un observe, et, quand il constate que vous en avez
besoin - par exemple quand vous dérapez un petit peu parce
que vous êtes humain – lui, l’autorité supérieure, vous
donne un petit remontant pour vous rappeler qui vous êtes,
et votre mission ici.
Est-ce que je vous ai déjà raconté ce qui m’était arrivé
dans le New Jersey, quand j’ai repris l’émission de la
chaîne ABC ? Non, n’est-ce pas ?
BR : Pour
l’instant ça ne me dit rien.
JM : OK.
BR :
Racontez-le quand-même. Si vous me l’avez déjà raconté,
tant pis.
JM : J’ai
participé à une émission radio à Los Angeles. Ma première
émission radio sous forme d’interview, la première fois
qu’on m’interviewait à la radio, ce fut par Tom Leykis.
Tom Leykis, à Los Angeles ? Un très célèbre animateur de
talk-show. Et Tom Leykis m’a appelé pour m’avoir dans son
émission. Si vous êtes dans son émission, vous êtes
arrivé.
Et c’était une des plus grandes stations de Los Angeles,
et il était à l’époque le plus grand animateur de
talk-show.
J’y suis donc allé et j’ai fait une émission de deux
heures avec lui – ma première interview radio – et j’ai
obtenu une énorme réaction de la part des auditeurs. Un
type m’a appelé pour me dire : Jordan, j’habite New
York, je suis le producteur du Bob Grand Show, sur le
réseau ABC de New York City.
Accepteriez-vous de
venir à New York faire sur le réseau ABC ce que vous
avez fait dans l’émission de Tom Leykis ?
J’ai répondu : Oui,
ça me ferait vraiment plaisir. Puisque, bon, je ne
sais pas ce que je fais... Je suis donc allé à New York,
mais lorsque je suis arrivé, c’était dimanche matin, j’ai
atterri dans le New Jersey. Ils m’avaient fait prendre une
chambre à l’hôtel de l’aéroport du New Jersey, et le
lendemain, lundi, jour de l’interview, ils m’envoyaient
chercher en voiture pour m’amener à New York.
J’étais épuisé, je n’avais pas dormi depuis au moins 24
heures. J’étais énervé, ce n’était que ma deuxième
interview radio. Et c’était le réseau ABC, à New York,
comprenez-vous ? J’étais nerveux, je ne savais pas ce que
je faisais, mais je m’imaginais que j’étais fait comme ça,
donc souris et
tiens le coup !
J’entre dans ma chambre d’hôtel, j’étais si fatigué que je
m’affale sur le lit et je dis tout fort : Suis-je tout seul,
livré à moi-même, ou y a-t-il quelqu’un ici pour m’aider
?
Et soudain le lit se soulève. Et j’ai été très surpris
quand le lit a commencé à se promener dans la chambre. Le
lit semblait flotter en se déplaçant autour de la pièce !
Il est allé vers la fenêtre. Je me rappelle avoir pensé :
S’il cogne la
fenêtre, je saute du lit. Je n’ai pas envie de passer
par la fenêtre avec le lit !
Arrivé à la fenêtre, il a fait demi-tour, un demi-tour
complet, avec moi dessus : je vois ce lit faire demi-tour,
je suis surpris, ébahi. Je ne savais pas quoi penser de
ça. Puis le lit a refait demi-tour, là où il était censé
se trouver, et il s’est posé.
J’ai pensé et dit : Merci. Bon, je suppose qu’il n’y avait rien
d’autre à dire. Il valait mieux aller se coucher et
dormir. (Il rit.)
BR :(Il rit.)
JM : Je me
suis juste allongé et j’ai réfléchi à ce que, bon sang, je
venais de vivre comme expérience. Ce lit avait flotté dans
la chambre, était revenu à sa place en flottant. J’étais
trop fatigué pour penser autre chose que : Bon, ils ne m’ont
pas blessé, je vais essayer de dormir.
BR : On dirait
que l’entraîneur de votre match de football a le sens de
l’humour.
JM : Oui. Tout
à fait. (Il rit.)
Suis-je tout seul, livré à moi-même ? Non, non, la chambre
est pleine de choses qu’on ne connaît pas. Qu’on ne voit
pas.
Ils ont donc promené le lit. Je vous jure, je n’en menais
pas large... C’était une expérience que d’avoir ce lit qui
me promenait dans la chambre ! C’était incroyable !
BR : En
réponse à votre question. Vous ne... (Il rit.)
JM : Oh...
BR : ...me
l’aviez encore jamais racontée, celle-là.
JM :
...j’obtiens toujours une réponse.
BR : Fabuleux
!
JM : C’est la
chose la plus extraordinaire et réellement délirante
qui me soit arrivée, et j’en ai vu, (Il rit.) je
peux vous le dire. Mais ça s’est réellement produit. Aussi
loufoque que ça paraisse, ça s’est réellement produit.
Je passais un long week-end chez un ami à Los Angeles,
là-haut dans les canyons. Il avait une maison, tout
là-haut dans les canyons, dans les montagnes, et qui
dominait Los Angeles. Il y avait là un jeune ami à moi,
originaire du comté d’Orange, qui était aussi l’ami du
propriétaire, et ce dernier nous a donc dit : Et si tous les deux,
les gars, vous veniez passer le long week-end avec nous,
avec la famille ?
C’est ce que nous avons fait. Il nous a donné la chambre
du haut. C’était un triplex, là-haut dans les canyons,
très loin dans les montagnes, qui dominait Los Angeles.
Nous avions donc le haut, une énorme chambre avec une
table de billard et toutes sortes de choses, et nous
étions là pour, disons, 3 ou 4 jours.
Bon, nous sommes sortis la nuit, et il y avait une échelle
sur le toit à la partie supérieure. Nous avons pris des
oreillers et des couvertures, et nous sommes montés en
prenant quelques bières avec nous. Et nous avons veillé
là, allongés à la belle étoile, juste mon ami et moi,
bavardant de tout et de rien, et j’en suis arrivé à parler
de Dieu et du monde des esprits. J’ignore comment c’est
venu, mais nous étions assis tous les deux à contempler
Los Angeles, les belles lumières de la ville, sur le toit
et, pour une raison quelconque, j’ai dit : Dieu, si tu
m’entends, pourrais-tu faire qu’une météorite frappe
cette montagne ici ?
Et juste après arrive un météore (Il émet un
sifflement, puis fait boum !), qui s’écrase
sur la montagne.
Il était choqué, je l’étais aussi. Nous nous sommes
entre-regardés. Nous avons essayé pendant un instant de
comprendre ce qui s’était passé. J’ai dit à mon ami... et
je l’ai regardé. Il m’a dit : Que viens-tu de
faire ?
J’ai répondu: Je...
Je ne sais pas. J’ai juste... Je ne sais pas pourquoi
j’ai dit ça.
(BR rit.)
Et ça s’est produit. J’ai dit: Voudriez-vous frapper la
montagne avec un météore, et au moment-même, boum, il
s’écrase. Et les gens sont sortis dans les collines avec
des torches, on les voyait, ils avaient très peur. La
montagne a été secouée. J’étais assis là, stupéfait.
Pourquoi avais-je dit ça quelques secondes avant que ça se
produise ? Je trouve ça vraiment ahurissant.
Je l’ignore totalement. C’est une de ces choses bizarres
et inexplicables. J’ignore pourquoi j’ai dit ça et
pourquoi c’est arrivé. C’était vraiment extraordinaire.
Le jeune homme qui était là-haut avec moi, habite toujours
Las Vegas, et nous en parlons de temps à autre. Drôle de
truc !
Vous ai-je parlé de mon ami Bob Leeds?
J’ai un ami plus âgé qui s’appelle Bob Leeds. C’est un
gros bonnet de l’industrie cinématographique. Bon, c’est
une longue histoire. Bon, c’est une histoire en deux
parties, très longue, encore une longue histoire. Mais,
donc, Bob Leeds... Je vais vous raconter la version
abrégée.
Bob Leeds est un de mes bons amis, mais c’était un Juif
bien placé dans le cinéma à Hollywood. Lui et moi étions
très bons amis, des amis très proches. Bob m’a donc
téléphoné un matin, un samedi matin, pour me dire : Je t’invite à
prendre le petit-déjeuner quelque part. Sortons prendre
le petit-déjeuner.
J’ai répondu : OK.
- Je vais t’emmener
à un des meilleurs... à l’endroit que tu veux à San
Diego, c’est moi qui invite.
- Formidable !
- Nous irons à l’endroit que tu veux.
- OK.
Il vient donc me chercher. Dieu, j’adore Bob. Bob était
formidable.
Je lui dis donc: Je
veux aller à... Oh, comment s’appelle donc cette
ville, juste au nord de San Diego ? Une petite ville
mexicaine, au nord de San Diego. Je ne me rappelle pas son
nom pour l’instant, ça va me revenir dans une minute. Une
petite ville dingue, de rien du tout, au nord de...
Il me répond : Non,
j’avais dans l’idée de descendre au centre ville de San
Diego, dans un endroit très sympa.
Et moi : Tu m’as
dit que je pouvais aller où je voulais.
- Exact.
- Eh bien, c’est là que je veux aller, à cette petite
ville dingue, au nord d’ici.
- Mais il n’y a rien, là.
- C’est là où je veux aller !
- OK. Eh bien, allons-y.
Nous prenons donc l’autoroute, environ 20 minutes de
trajet ; nous bavardons en route. Nous abordons le sujet
des gens que nous aimerions beaucoup revoir. Des gens
qu’on a connus autrefois et qu’on aimerait revoir.
Je lui parle de quelques personnes dont j’ai perdu la
trace et que j’aimerais retrouver, et lui me dit : Eh bien, de mon
côté, il y a deux personnes dans ce cas-là : un vieux
chef amérindien, un Amérindien que je connais depuis
l’enfance et qui était pour moi comme un deuxième père.
Je l’adorais...je
donnerais tout au monde pour le revoir, lui et sa
famille. J’ignore même s’il est encore vivant. J’ai
demandé aux gens qui nous connaissaient tous les deux.
Personne ne sait où il est parti. Il a disparu, personne
ne sait où. S’il y a quelqu’un que j’aimerais revoir,
c’est bien ce vieux chef amérindien et sa famille.
Et l’autre gars,
c’est un type avec lequel je suis allé à l’école et ai
grandi. Il est devenu Mormon, et aussi très à l’aise
financièrement, il est promoteur immobilier, il
construit. Mais j’ai perdu sa trace, et c’était un de
mes amis les plus chers. Et je l’ai perdu aussi. Je ne
sais pas où il est parti. Aucun de ceux qui le
connaissaient ne le sait non plus. Voilà donc les deux
personnes que j’aimerais revoir.
Nous parlions aussi d’autres sujets. Nous quittons donc
l’autoroute, entrons dans cette petite ville à la Mickey
Mouse, la traversons, et nulle part où manger, sinon à
l’IHOP... l’International
House of Pancakes (Une chaîne américaine de
restaurants spécialisés dans les petits déjeuners – NdT).
Bon, il y en a partout.
J’ai donc fait : Oh,
il y a un IHOP. Allons-y. C’est là que je veux aller.
Et lui : Jordan,
j’allais t’emmener dans un bon restaurant de San Diego,
et tu viens dans cette petite ville, pour aller dans un
IHOP ?
Je réponds : C’est
là où je veux aller. Viens, tu m’as dit que je pouvais y
aller, c’est là où je veux aller.
Et lui : OK, nous
irons à l’IHOP.
Nous nous garons donc et entrons. Le restaurant est bondé
parce que c’est le seul endroit en ville où on puisse
manger. Ils nous trouvent finalement une place, nous nous
asseyons... Tout à coup, Bob change d’attitude. Je vois
quelque chose vraiment clocher chez lui. Je peux le lire
sur son visage et voir que quelque chose ne va pas.
Je lui dis : Que
se passe-t-il, Bob ? Qu’est-ce qui ne va pas ?
Et il me raconte : Il
y a le vieil homme, juste là, et là mon ami,
l’entrepreneur, juste à côté. Tous les deux. Voilà le
vieil homme, et voilà mon ami, l’entrepreneur.
BR :(Il rit.)
JM :Tous les deux.
Et il me dit : Je
ne sais pas comment tu fais ça mais, à partir
d’aujourd’hui, je considère que tu es quelqu’un. Je n’ai
jamais vu ça. Je venais de te dire que je souhaitais
voir ces deux personnes, nous arrivons ici par hasard,
et les voici. Tu m’as bluffé. J’ignore qui tu es, d’où
tu viens, ou ce que tu fais, mais tu as quelque chose de
bizarre.
J’étais donc stupéfait. Et lui, il en avait presque les
larmes aux yeux. Il s’est levé, est allé s’asseoir avec le
vieil homme, puis son pote l’a vu, il va là-bas, et les
voilà tous assis autour de la table à parler. ...Je ne
savais pas ce qui se passait. Je l’ignorais. Je voulais
seulement aller chez IHOP. Donc...
BR : Voilà une
charmante histoire. Une belle histoire...
JM :
Incroyable !
BR : ...belle
histoire.
JM : Il en
avait presque les larmes aux yeux. Il est revenu vers moi,
et sur la route du retour, il m’a dit: J’ignore qui tu es,
et je ne sais pas comment tout ceci est arrivé. Mais en
ce qui me concerne, je ne me poserais plus de questions.
J’ai déjà vécu pas
mal d’expériences étranges en ta compagnie, des trucs
bizarres, mais aujourd’hui... c’était le pompon. Je
n’arrive pas à croire ce qui vient de se passer
aujourd’hui : les deux personnes que je souhaitais le
plus revoir au monde, et tu m’as amené dans cette petite
ville, et par hasard à un IHOP, et ils y étaient tous
les deux ! Ouaouh !
BR : C’est là
le genre de chose qu’on n’oserait pas mettre dans un film.
JM : Je sais.
(Il rit.) Ça,
c’est bien vrai.
BR : On vous
le refuserait, savez-vous ? On vous le refuserait, parce
que... irréaliste.
JM : J’allais
vous raconter quelque chose, mais je ne sais plus ce que
c’était.
BR : Vous
étiez prêt à nous raconter tout un tas de choses.
JM : Ah oui.
Sur les reptiliens aussi.
BR : Juste
pour la gouverne de ceux qui regarde cette vidéo, nous
sommes un petit peu vaseux, parce qu’il est 3 heures du
matin passées ici en Europe centrale...
JM :(Il rit.) J’ai
dormi tard, voyez-vous, et maintenant je pète le feu.
BR : Oui,
regardez, Jordan est en forme. Il habite la Côte Ouest
[des USA], donc il est en forme.
JM : Oui, ça
va bien, je suis dans une période faste, donc...
BR : Il n’a
pas le temps, il est tout prêt à déjeuner
JM :(Il rit.)
BR : Mais vous
nous avez dit que vous vouliez nous raconter d’autres
histoires de reptiliens, et vous en avez déjà raconté une,
ahurissante, dans votre interview de septembre 2009, et
vous avez dit en avoir d’autres en réserve, et...
JM : Oh oui !
BR : ...elles
sont significatives, à mon avis, parce que vous avez
vous-même dit dans l’interview de septembre, qu’il était
très important d’aller à la rescousse de David Icke, qu’on
ridiculise comme étant le seul qui – je cite – invente
toutes ces histoires de reptiliens, alors que vous, vous
savez que ce ne sont pas des inventions. Vous avez entendu
beaucoup de ces histoires.
JM : J’entends
ces histoires depuis 1959.
BR : Et vous
avez même attiré son attention sur certaines d’entre
elles.
JM : Exact.
Oui, j’ai attiré son attention sur certaines de ces
histoires vraies.
BR : Et il a
fait preuve de beaucoup de courage en les révélant
publiquement...
JM : Je le
sais.
BR : ...pour
en faire un...
JM : Et je
crois même l’avoir dit. Sur scène à San José, à un
colloque où David et moi parlions. A l’issue du colloque,
David répondait sur scène à des questions, et moi aussi.
À ce colloque, j’ai dit : Je confirme totalement le fait qu’il existe des
aliens reptiliens sur Terre. Il n’y a pas le moindre
doute là-dessus dans mon esprit. Mais ce n’est pas parce
que David Icke le dit. Je le sais depuis bien avant que
David Icke soit apparu en public. Il y a des années, de
multiples histoires m’ont été racontées là-dessus, par
des gens très puissants, qui ont les pieds sur terre,
qui sont très intelligents. Au fil des années, des gens
très respectés m’ont parlé de leurs rencontres
personnelles, en seul à seul, avec des aliens
reptiliens.
Il me faut le croire quand tant de gens, quand ces
personnes solides et intelligentes me le racontent.
Quand des pilotes de ligne, des banquiers, des cadres
immobiliers me confient leurs expériences personnelles,
où ils se trouvent seul à seul avec des aliens
reptiliens, il me faut assumer qu’il existe quelque
chose.
BR : Eh bien,
c’est très aimable à vous d’alléger publiquement une
partie du poids qui pèse sur les épaules de David...
JM : Oui.
BR :
...puisque David s’est fait ridiculiser à ce propos,
partageons donc tous
ce ridicule...
JM : Oui, oui.
BR : ...et
peut-être que davantage de gens feront connaître leurs
récits.
JM : Je suis
intimement convaincu de leur présence ici.
BR : C’est en
ce moment sur cette planète une des plus importantes
questions, et on doit connaître la vérité, quelle qu’elle
soit. Il faut que les gens sachent. Et j’aimerais beaucoup
que vous nous fassiez d’autres récits que vous pensez
authentiques et qui vous ont été rapportés, pour les
ajouter aux chroniques.
JM : Je
faisais une émission radio, j’étais interviewé dans
l’émission de Lou Epton, à Las Vegas, il y a bien des
années, c’était en 89 peut-être, ou en 88. Il y a
longtemps donc. Et à l’époque, Lou Epton... un ami très
cher, Lou Epton. Je l’adore, c’était vraiment un homme
formidable.
Il est toujours parmi nous. Il a pris sa retraite à Las
Vegas. Mais il animait un important débat radiodiffusé à
Las Vegas, le matin. Et j’ai participé aussi à un débat le
soir. Mais j’étais à Los Angeles, et Lou m’a appelé pour
me proposer une interview. Une émission de deux heures.
C’était en 88, je crois.
Bon, ce faisant, j’ai abordé le sujet des aliens
reptiliens : de que je crois les concernant, et du fait
que les anciens peuples de l’Antiquité, les Babyloniens,
les Sumériens - eux particulièrement –, les Cananéens
phéniciens, les Égyptiens, tous les peuples antiques du
monde parlaient des reptiliens. Et j’ai donc abordé ça en
passant, en déclarant qu’il y avait des reptiliens sur
Terre. Que j’avais entendu trop de récits [pour qu’il n’y
ait rien], et j’en ai raconté plusieurs.
Après l’émission, j’ai reçu un appel téléphonique d’une
personne qui s’est révélée plus tard être un richissime
homme d’affaires de Las Vegas. Il achète et vend des
hôtels et des locaux commerciaux à La Vegas, et il était
le plus important du lieu.
Il m’a dit : Jordan,
nous écoutons Lou Epton, nous l’adorons, donc nous
l’écoutons dans son émission le matin au bureau. Mais ce
matin, quand vous êtes intervenu, nous vous avons écouté
avec tant d’intérêt que tout le monde en a quitté un
moment son travail pour vous écouter. Et quand vous avez
mentionné les aliens reptiliens, nous avons été choqués.
Il m’a dit : Je
suis chrétien, 5 hommes travaillent pour moi dans mon
bureau, ils sont chrétiens et ils appartiennent tous à
la même Église. Nous allons tous à la même église, et
nous étions tous les 6 au bureau, et nous vous écoutions
aujourd’hui.
Il a ajouté : Quand
vous avez mentionné les aliens reptiliens, il a fallu
que je vous appelle. Nous sommes chrétiens. Tous les
ans, nous partons en vacances quelque part dans le
monde, le tout payé par mon entreprise.
J’emmène donc les
six familles en vacances quelque part. Et l’an
dernier...
C’était en 88, donc il parlait de 87.
Il m’a dit : L’an
dernier, nous avons décidé d’aller camper une quinzaine
de jours dans le Colorado.
Nous étions dans
les montagnes et nous avons levé le camp un matin et
sommes monté au sommet de cette montagne. Nous n’en
étions de toute façon pas loin, au camp, et le lendemain
matin, lorsque nous l’avons levé, nous avons escaladé la
montagne pour voir le panorama. Nous pouvions voir que
dans la vallée un secteur avait été déboisé. Une zone
ronde. Il y avait là un cercle de gens, qui portaient
tous des robes de cérémonie, se tenaient par la main,
tout en se penchant d’arrière en avant en chantant et en
psalmodiant. On les entendait à peine.
Il a ajouté : L’endroit
où nous étions était très calme, et nous étions témoins
d’une sorte de rituel où ils dansaient, se penchaient en
avant et en arrière, placés en cercle. Ils se tenaient
tous par la main. Il y avait de toute évidence quelqu’un
au centre, prêtre ou autre.
Et ces gens
faisaient ça au milieu de nulle part. Il a encore
dit : Nous étions
dans la montagne à les observer d’en haut et, tandis que
nous étions là à les regarder, un deuxième personnage
est soudain apparu de nulle part. Il était plus grand
que l’homme qui était au centre. Lui aussi était au
centre, mais beaucoup plus grand. Et il nous a montrés !
Tous les chants ont
alors cessé, tous se sont arrêtés et nous ont montrés.
Et il a ajouté : Nous
savions que nous nous étions fait avoir.
Nous ne savions pas
ce qui se passait mais en tout cas, cet être est apparu
de nulle part, nous a montrés et tous nous montraient
maintenant. Nous nous sommes donc dit qu’il valait mieux
décamper.
Il a ajouté : Quand
nous nous sommes retournés, il était derrière nous.
Cette chose était là, déjà derrière nous. Il a été aussi
rapide que ça.
Quand nous nous sommes retournés pour courir, il y avait
un alien reptilien derrière nous.
Il a précisé : Cette
chose mesurait au moins 2,10 m à 2,30 m,
peut-être même 2,45 m, il
avait une tête de reptilien homme, mais c’était une tête
de reptile. Il était très musclé, son corps ressemblait
à celui d’un humain ordinaire, mais c’était celui d’un
reptilien, extrêmement musclé. Il nous regardait. Et
[mon témoin] a ajouté:
Il nous a jeté une sorte de sort, si bien que ni les
femmes et les enfants, ni personne ne pouvait bouger.
Nous étions comme paralysés.
Personne ne pouvait
dire un mot. On ne pouvait ni crier, ni courir, ni rien
faire. Nous le fixions du regard, il nous regardait, il
avait emprise sur nous. Il nous avait neutralisés pour
que nous ne puissions ni bouger, ni crier, ni rien faire.
Et cette chose nous
regardait tous dans les yeux, il a regardé les enfants,
les femmes. Cet alien reptilien. Et il a poursuivi :
Nous ne sommes que
des chrétiens, nous appartenons à une Église. Mais nous
avons vu un alien reptilien. Cette chose n’était pas de
ce monde. Il nous regardait tous, il a regardé les
hommes, et nous avons compris son regard. Il nous disait
: « Je vais vous laisser tranquilles. Mais quand je m’en
irai, vous feriez mieux de vider les lieux. »
Il a ajouté : L’alien
a parcouru quelques pas comme s’il allait partir, et
puis, pfft, il avait disparu. Comme ça, disparu. Dès sa
disparition, tout le monde est revenu à la vie. Les
bébés hurlaient, les femmes criaient et hurlaient, tout
le monde est revenu instantanément à la vie.
Nous avons couru
comme si nous étions devenus complètement fous. Nous
nous sommes précipités vers les voitures, avons descendu
en courant la colline, repris les autos, les femmes
criaient, les enfants hurlaient. Puis nous sommes
rentrés. La plus incroyable, la plus horrible des
expériences !
Tous les gars de
mon bureau vous le diront : nous avons vu un alien
reptilien au Colorado. Donc quand vous parlez de
reptiliens et du monde antique, j’ai des informations
pour vous : nous savons pour sûr qu’il y en a un dans le
Colorado. Nous l’avons vu !
La chose est partie en courant, très vite, et –bang- il
avait dispau. Et c’est à cette vitesse-là qu’il est
arrivé derrière nous. Nous savions que nous avions été
repérés, nous avions fait demi-tour, mais c’était trop
tard : il était déjà là.
Puis il a dit : Donc
maintenant, quand j’entends des histoires de gens qui
ont vu des aliens reptiliens, je peux vous dire qu’il y
a ici six familles, toutes de la même église... je peux
vous garantir qu’on en a vus un. Ça, sûr !
J’ai découvert, parce que j’ai commencé à poser des
questions sur cette homme et son entreprise lorsque
j’étais à Las Vegas, que oui, c’était un homme très riche,
et une très, très grosse entreprise, très connus à La
Vegas dans la vente et l’acquisition d’hôtels, et de
grandes propriétés.
Et il m’a dit : Je
vous raconte seulement ce qui nous est arrivé.
BR : Ce que je
soupçonne et que vous soupçonnez peut-être aussi...
JM :
Pourriez-vous répéter ?
BR : Ce que je
soupçonne et que vous soupçonnez peut-être aussi c’est
que, pour toute personne qui ose rapporter son histoire,
il en existe des centaines d’autres qui ne le font pas.
JM : Oh, c’est
probablement vrai. Vous avez probablement raison.
BR : Il se
peut que mille autres ne le fassent pas, car qui va oser
raconter publiquement une histoire comme ça ? Pas beaucoup
de gens ! Et une des raisons, bien sûr, pour lesquelles je
souhaite (Il rit.)
vous encourager à oser raconter ces témoignages, ce n’est
pas seulement pour soutenir David Icke, mais aussi pour
d’autres gens, qui ont vécu ces expériences. Parce que je
les soupçonne d’être assez fréquentes, et que personne ne
désire en parler.
JM : Eh bien, vous avez raison.
BR : C’est une
supposition de ma part.
JM : Avez-vous
déjà parlé au Dr. Roger Leir de l’affaire de Bakersfield ?
BR : Je ne
crois pas. Je connais Roger Leir, c’est quelqu’un de bien.
Je ne pense pas connaître l’incident de Bakersfield.
Parlez-m’en.
JM : Bon.
J’essaie de me remémorer l’histoire. S’il était présent,
il vous donnerait la version réelle, mais je ne me
rappelle que les grandes lignes. Il y avait à Bakersfield
un détective-incendie. Un pompier-enquêteur travaillant
pour la brigade d’incendie. Et il a vu des aliens
reptiliens venir dans sa chambre. Lui et sa femme ont vu
des reptiliens venir, dit-il, dans sa chambre. Ils ne lui
ont fait aucun mal, mais il a dit au Dr. Leir... Il avait
appelé Roger Leir, parce que Roger est reconnu pour ses
travaux sur les aliens et, euh...
BR : Sur les
implants.
JM : ...sur
les implants. Roger est donc venu le voir, ce type de la
brigade d’incendie, cet enquêteur des affaires d’incendies
criminels, qui travaille pour la brigade. Et il dit que ce
type racontait qu’une nuit, lui et sa femme étaient
couchés et que le mur devant eux s’est comme liquéfié...
il ressemblait à de l’eau. Et des reptiliens l’ont
traversé. Puis le mur est redevenu un mur.
Ensuite, a-t-il raconté, ils l’ont regardé et ils se sont
déplacés dans la pièce. Il a dit : Nous étions
extrêmement effrayés et perturbés, nous regardions ces
reptiliens se promener dans la chambre. Nous avons
ensuite ressenti une étrange sensation, et le mur est
devenu comme de l’eau.
Et je pense qu’il est intéressant que ça se passe ainsi,
c’est du Star Trek,
ou quoi ? Le mur qui ressemble à de l’eau ? Bon, ça fait
longtemps que le gars m’a raconté ça. Et il a dit que les
aliens repasseraient par là.
Il a ajouté que l’homme et la femme avaient décidé de
prendre de très grandes serviettes, de la couleur de la
moquette. Et – j’essaie de me rappeler l’expérience – ils
y ont collé au dos du papier aluminium, 6 ou 8 feuilles,
en les superposant, ils les ont collées sur la serviette
et l’ont posée, l’envers au-dessus. L’idée, c’était que
ceux qui passeraient par ce mur ne verraient pas la
serviette, parce qu’elle est de la couleur du sol, qu’ils
marcheraient, ils presseraient le papier d’aluminium,
prouvant qu’il y a quelque chose dans cette chambre.
Et il a raconté : En
effet, ces choses sont revenues. Quelques jour plus tard
elles sont revenues, elles ont traversé le mur, se sont
promenées, les ont regardés, lui et elle, ont retraversé
la chambre et sont reparties par le mur. Il a ajouté
: Je les ai eus.
Ils ont marché sur la moquette... sur la serviette.
Il l’a prise et on pouvait voir l’empreinte d’un pied avec
trois... Je crois qu’il a parlé de trois orteils sur le
pied. Il y avait encore un morceau d’ongle pris dans la
moquette. Ils l’ont récupéré, et ils ont appelé le Dr.
Leir pour le lui montrer. Et ils ont envoyé ce morceau
d’ongle à, je ne sais pas, Los Alamos, à un de ces grands
laboratoires de recherche, des labos de recherche du
gouvernement ?
Et ils ont dit qu’il était encore vivant. Il vivait
encore. C’était du tissu vivant, qui était encore vivant,
et qui semblait continuer à pousser. Quand ils l’ont
récupéré, et par rapport à avant, il s’était allongé, donc
il semblait pousser, bien qu’il ne soit plus relié au
corps, il continuait à pousser.
Voilà une histoire de plus sur les aliens reptiliens.
BR : Ont-ils
analysé ce que... Faisait-on déjà des tests ADN, quand ils
ont pu... ?
JM : Bon, oui,
vous savez quoi ? Il me racontait ça au débotté, et il
n’est pas entré dans les détails, parce que je suppose que
nous devions parler des reptiliens et il m’a dit : Je fais une enquête
sur quelque chose qui vient de se produire à
Bakersfield. Mais ils ont effectivement obtenu une
empreinte sur le papier d’aluminium, pour prouver que
quelque chose avait traversé le mur, quoi que ç’ait été.
BR : Vous
confirmez seulement qu’il ne s’agit pas là d’apparitions.
JM : Oui. Oui.
Ces apparitions ont réellement un poids.
BR : Elles
pèsent quelque chose. C’est un phénomène tout à fait
physique.
JM : Parce
qu’ils sont arrivés par le mur, et que leur empreinte
figure sur le papier d’aluminium.
BR : Oui. Ils
possèdent des capacités plus ou moins
interdimensionnelles.
JM :
Exactement. Ils ont des capacités interdimensionnelles.
Ils traversent le mur et le retraversent aussi en partant.
BR : Vous vous
en souvenez peut-être, dans l’interview Camelot de
septembre 2009 que nous avons faite avec vous, je pense
vous avoir parlé du récit que m’avait confié Barbara
Lamb...
JM : Je
connais bien Barbara Lamb.
BR : C’est une
dame charmante, qui conseille et soutient de nombreuses
personnes qui ont vécu d’étranges expériences avec des ET.
Et elle m’a raconté comment un alien reptilien était
apparu de nulle part dans sa chambre, et lui avait
silencieusement tenu la main pendant deux minutes avant de
disparaître, en la regardant dans les yeux, en lui
communiquant qu’il était amical, qu’on l’avait
spécialement formé pour qu’il entre en relation avec les
humains et leur communique le message que tous les
reptiliens n’étaient pas hostiles, ni n’avaient de
mauvaises intentions. C’était là le but de cet être, et il
communiquait ainsi avec Barbara.
JM : Ouaouh !
BR : Et donc,
juste pour compliquer les choses, je me sens moralement
obligé de vous raconter aussi cette petite histoire, parce
que nous ne devons pas laisser les préjugés dominer.
JM : Non, vous
avez raison.
BR : Et avec
ma petite anecdote, ou celle de Barbara, disons, je vais
doucement refermer ce dossier, parce que nous en sommes à
la fin de notre troisième heure de bande vidéo. Il est
quatre heures moins le quart du matin, même Jordan
commence à être fatigué. Je suis épuisé. (Il rit.) Il n’y
a que quelques jours que nous sommes tous les deux rentrés
du Vatican.
JM : Oui, nous
sommes allés au Vatican.
BR : ... et
c’est une autre histoire, et le pauvre Jordan ne sait même
pas s’il va pouvoir rentrer chez lui ou non, à cause d’un
volcan en Islande qui fait son travail de volcan...
JM : Exact.
BR : ...parce
que tout le système solaire est en train d’entrer dans
quelque chose...
JM : Des
convulsions.
BR : ...qui
active la Terre et, ça aussi, c’est une autre histoire.
Tout ça se déroule tout autour d’ici, et au cours des
quelques secondes qui nous restent, j’aimerais, Jordan,
vous remercier infiniment de nous avoir permis
d’enregistrer tout ceci, parce que nous n’avons pas parlé
cette fois-ci des Illuminati, ni du Nouvel Ordre Mondial,
mais d’un domaine différent, peut-être encore plus
important...
JM : Beaucoup
plus important.
BR : ...dans
l’élaboration du tableau d’ensemble, dont nous ici, sur
Terre, pourrions ne représenter qu’une petite partie.
JM : Hm-mm.
BR : Ma
conviction personnelle, c’est que vous avez certainement
un rôle important ici. Non seulement celui de révéler les
connaissances occultes qu’on nous a cachées, mais en fait
de communiquer sur tous ces sujets, parce qu’ils sont tous
liés. Ils sont tous liés.
JM :
Absolument. Tous liés, oui.
BR : Et il
nous faut tout comprendre. Ce sont les dernières secondes.
J’ai l’impression qu’on va bientôt me retirer de la scène,
et je veux vous remercier encore au nom des centaines de
milliers de personnes qui regardent ceci. Merci donc,
Jordan Maxwell.