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Une interview écrite de Mr. X



Traduction par The Avalon Translation Project,
d'une interview du site originel de Project Camelot.


Le 14 juillet 2006

Voici les réponses écrites de Mr. X aux questions posées par Bill Ryan et Kerry Cassidy. Celles qui sont en italique pourpre signalent son opinion personnelle actuelle, pour les distinguer des informations qu’il rapporte, souvenirs de ce qu’il a lu ou vu au cours de son emploi d’archiviste il y a plus de vingt ans.

Q : Que souhaitez-vous nous communiquer sur vous et vos antécédents ?

J’ai autour de 45 ans et habite la Côte Ouest. J’y ai vécu la plus grande partie de ma vie, bien que je n’y sois pas né. Dans le secondaire, j’étais un élève brillant et le rédacteur en chef de l’annuaire (yearbook) de mon lycée. Je suis très matheux et j’ai obtenu 798 sur 800 à mon épreuve de maths du SAT (Ndt – examen d’aptitude standardisé, utilisé sur une base nationale pour l’entrée en université) et on m’a découvert un QI de 165. J’ai un DEUG de psychologie et mon mariage est très heureux. J’ai été toute ma vie dans les arts graphiques. Je m’intéresse depuis toujours aux OVNI et à la vie extraterrestre.

Un jour que j’étais à bord d’un bateau de pêche qui quittait le port de San Diego, j’ai observé un OVNI, mais j’aurais aimé en voir beaucoup d’autres ! J’ai vu un engin silencieux, de peut-être 20 m de diamètre. Sa périphérie était entièrement couverte de lumières vertes et il se déplaçait silencieusement au-dessus du port de San Diego, à environ 30 m d’altitude. Personne d’autre sur le bateau ne l’a vu, même ceux qui se trouvaient alors sur le pont. J’ai demandé à plusieurs d’entre eux : Vous avez vu ça ?! Ils m’ont répondu : Vu quoi ?

Je ne suis pas du tout un expert. Je ne fais que raconter mon expérience. Depuis que je suis tout petit, je ressens quelque chose à propos de 2011 et 2012. J’ai même envisagé de rédiger ma propre version d’un livre racontant la vérité, bien avant d’être impliqué dans ce fameux projet. J’avais des idées et des opinions précises sur la raison de notre présence ici-bas et sur la manière dont nous y étions venus. Je ne parvenais pas à croire ce qu’on m’enseignait à l’École du Dimanche. Je me disais : Si la vie n’est rien d’autre que ça, pourquoi sommes-nous donc ici ? Il n’est pas possible que ce soit ça la vérité sur la vie !

Q : Pouvez-vous nous dire un mot de l’entreprise pour laquelle vous travailliez ?

Je peux juste vous dire qu’il s’agissait d’aérospatiale. Et d’une grande entreprise à l’époque.

Q : Comment en êtes-vous arrivé à être impliqué dans l’archivage ? Quand était-ce et quel âge aviez-vous alors ?

J’avais à l’époque 24 ou 25 ans. Cette mission s’est déroulée au milieu des années 80.

On a demandé à tout le personnel de production de mon département s’il y avait des volontaires pour « un travail spécial qui prendrait environ 6 mois ». Parmi nous, (je me souviens de 5 ou 6, des 30 ou à peu près que nous étions) plusieurs ont répondu oui. Nous n’en avons plus entendu parler pendant environ un mois, puis deux d’entre nous se sont trouvés sélectionnés pour le projet. Des membres du personnel d’un autre département m’en ont parlé et m’ont donné des instructions. Ils ne portaient pas le badge habituel, obligatoire là où je travaillais. Je n’ai jamais été briefé ou débriefé en présence de quelqu’un d’autre, même de l’autre personne choisie pour ce travail. Je ne me suis jamais rapproché de cette personne au cours de cette mission, ni après, pour parler de la nature de son travail dans le projet. Il n’a jamais été question de cette mission avec cette personne, ni avec aucun de mes chefs ou collègues. Mes chefs et mes supérieurs hiérarchiques ne m’ont jamais posé de questions sur ma mission, ni sur les tâches que j’ai accomplies au cours de cette mission spéciale. Tout se passait comme si j’avais été détaché de mon département et que j’y sois retourné environ six mois plus tard. Il était plutôt bizarre que personne ne m’ait demandé où j’étais. Comme si on leur avait demandé de ne pas me poser de questions.

Q : Comment avez-vous réagi quand vous avez su ce qu’on vous demandait de faire ?

On ne m’a jamais vraiment indiqué la nature de ce que j’étais censé faire. On m’a parlé de l’importance de la sécurité. Ce n’est qu’en commençant ma tâche que j’ai compris ce que je faisais. J’avais des sentiments mélangés à l’époque. J’étais avant tout finalement satisfait de savoir que ce que je croyais était confirmé. Cela me rendait fou de joie. J’ai toujours eu le sentiment que la vie était bien plus que ce que voulait me faire croire l’Église. Je ressentais que ma vie avait un but, que la vie sur Terre avait un but plus important, et que son histoire était plus vaste. J’étais rassuré de savoir que mes croyances correspondaient à la VÉRITÉ. Ensuite, je me sentais privilégié de pouvoir faire ce travail. Un peu effrayé aussi qu’on me parle de sécurité chaque jour. Je parlais de mon travail avec certains amis très proches, mais avec aucun de ceux qui travaillaient avec moi. J’ai aussi commencé à lire tout ce que je pouvais trouver sur les OVNI. J’étais d’autant plus satisfait de savoir que j’étais dans le vrai sur le sens de la vie. Malgré tout, la littérature que je lisais ne cadrait pas toujours avec les documents que je voyais.

Parmi la littérature que j’ai lue et qui coïncidait avec ce qu’on me demandait d’archiver : Majestic, de Whitley Strieber, Hangar 18 (le film), Starseed Messages (le nom de l’auteur m’échappe), diverses conférences auxquelles j’ai assisté, du milieu des années 80 au début des années 90.

Q : Quelles étaient vos conditions de travail ? En quoi consistait la sécurité ? Pouvez-vous nous décrire une journée typique ? Quelles procédures et obligations étiez-vous censé respecter ?

Je travaillais dans une chambre forte. Qui n’était pas en sous-sol, mais au 3ème ou 4ème étage, je ne me souviens plus vraiment. Je m’annonçais à l’accueil, j’émargeais et j’allais travailler. En fin de journée on me fouillait, j’émargeais et je partais. On me rappelait l’importance de la sécurité au moins deux fois par semaine, généralement au moment de quitter la salle.

Habituellement, je prenais mon service à mon bureau, qui était une pièce où personne d’autre n’avait le droit d’entrer, sinon ceux qui m’apportaient le travail à faire. On me donnait un sac de matériel, presque toujours des documents, la plupart scellés. La personne qui me les donnait n’avait pas le droit d’ouvrir le sac. Ce dernier était généralement en toile, très lourd et très gros. Je signais pour en accuser réception et la personne qui l’avait apporté quittait la pièce. Le matériel que j’ai reçu comportait des boîtes de film, des cassettes vidéo (très grand modèle), et différentes autres choses. Les bacs où je devais classer ces documents étaient équipés de triples serrures.

Lorsque j’avais besoin de me désaltérer ou d’aller aux toilettes, j’appelais l’accueil, mettais sous verrous tout le matériel dont je disposais, et me faisais escorter pour aller aux toilettes ou à la fontaine d’eau potable. On ne m’autorisait à quitter le complexe qu’à la fin de ma journée. Sur mes huit heures de travail journalier, j’en consacrais environ six à l’archivage pur. Je passais le reste du temps à émarger, pour entrer ou sortir, pour réceptionner du matériel, ou pour le faire quitter ma pièce dans des boîtes. Je disposais également d’une heure pour le déjeuner et on m’apportait le repas, pour que je puisse le prendre dans mon bureau. Dans cette mission, je ne déjeunais pas avec les autres. J’ignore combien d’autres gens faisaient le même travail. Je faisais juste ce que j’avais à faire et je rentrais chez moi.

Q : Quel degré d’habilitation vous demandait-on ? Quels engagements de non-divulgation vous a-t-on demandé de signer ? Comportaient-ils une durée de validité limitée, ou bien s’agissait-il d’engagements à vie ?

Je ne possédais qu’une habilitation au Secret, avec quelques clauses concernant d’autres projets sur lesquels j’ai travaillé pendant mon temps dans cette entreprise. Je n’ai jamais été habilité Très Secret (Top Secret), même si c’était le cas pour certains des collègues de mon département dans mon métier normal. Pour ce qui est de la non-divulgation, je n’ai signé que deux documents officiels. Un au début de ma mission, l’autre à la fin. Pour autant que je me le rappelle, il n’y avait pas aucune mention de durée sur les deux documents.

Q : Pouvez-vous nous parler de ceux qui vous surveillaient dans votre travail ? Comment étaient-ils ? Savaient-ils sur quoi vous travailliez ? Possédaient-ils des habilitations supérieures à la vôtre ?

Les surveillants étaient en civil. Très réservés. Sans badge qui me permette de savoir s’ils appartenaient ou non à l’entreprise pour laquelle je travaillais. J’ignorais totalement leur degré d’habilitation, bien qu’il soit de toute évidence supérieur au mien. Ils n’entraient pas dans mon bureau quand j’exécutais mes tâches. Personne d’autre que moi n’y entrait.

Q : Qui étaient les cadres supérieurs de cette entreprise d’aérospatiale à l’époque ? Pensez-vous qu’ils étaient au courant de ce que vous faisiez ?

Je ne citerai pas de noms, mais je ne pense pas qu’ils connaissaient la nature de mon job. Je suppose qu’il s’agissait d’un travail sous contrat, où une partie du bâtiment était louée à l’entreprise pour laquelle je travaillais. J’étais le seul à savoir ce que je voyais.

Q : En quoi votre tâche affectait-elle la mission générale de l’entreprise ?

Je ne pense pas qu’elle l’affectait en quoi que ce soit. Nous ne travaillions pas sur une technologie type Guerre des Étoiles ni sur d’autres projets classés Secret ou Secret Défense, mais j’ignorais si ce que je faisais avait un quelconque rapport avec ça. Certains des documents que je consultais provenaient néanmoins de l’entreprise pour laquelle je travaillais.

Q : Rétroconcevaient-ils des engins spatiaux ou produisaient-ils toute autre innovation technologique à partir de la technologie aliène ? Avez-vous vu leurs produits les plus récents après votre départ ? Si oui, un lien quelconque avec la technologie aliène apparaît-il ?

J’ignore si l’entreprise pour laquelle je travaillais s’occupait de rétro-conception. Je ne possédais qu’une habilitation Secret. Beaucoup de gens là-bas avaient des habilitations Très Secret ou supérieures, et auraient pu voir ce genre d’activité. J’ignore si cela s’est produit ou non, mais je n’en ai pas été témoin.

Q : Pendant combien de temps avez-vous exécuté cette tâche ? Savez-vous pourquoi le projet s’est arrêté ? Quelle activité avez-vous exercée ensuite ?

Ma mission devait durer six mois, à quelques semaines près. Elle s’est révélée si longue que je ne me souviens pas de sa durée exacte. J’ignore si le projet s’est terminé ou non. Je sais seulement qu’on ne m’a plus demandé d’exécuter d’autres tâches en rapport. À la fin de ma mission, j’ai repris mes activités habituelles, comme si de rien n’était, sans qu’on n’y fasse jamais allusion après cette date.

Q : Pouvez-vous décrire le matériel que vous avez vu et eu entre les mains ? De quels domaines provenaient les documents ? De quels endroits ?

Des rapports, des photos, du matériel lié aux médias (bandes, films, cassettes vidéo) et du matériel provenant de soucoupes qui s’étaient écrasées.

C’était des photos d’observations. Des photos en gros plan d’engins en forme de soucoupe. Des centaines. Certaines provenant de missions spatiales étiquetées NASA et NORAD. Des vieilles en noir et blanc, d’autres en couleur. D’autres montraient des vaisseaux émergeant de l’eau (ou y pénétrant) sans faire d’éclaboussures. Sur certaines on voyait des militaires qui les regardaient, sur la même photo. Des engins en forme de cigares. D’autres qui ressemblaient à des poutres ou à des barres. La plupart plutôt floues, mais certaines montrant des détails. La plupart des clichés détaillés représentaient des vaisseaux sans raccords de soudure ni hublots. Certains avec des lumières, d’autres sans. Certaines prises de jours, d’autres la nuit. Certaines photos représentaient des engins au loin, disposés en formation. Je ne pouvais pas reconnaître le décor dans les photos qui en comportaient un. J’ignorais tout du monde des OVNI à l’époque.

Puis il y avait des documents. La plupart scellés, bien sûr. L’étiquette indiquait Majestic, Secret, Très Secret, Lecture seule, Confidentiel et Non-Classifié. Certains étaient marqués MJ-12 et MAJIC ou Majestic. Ceux-là étaient vieux et dataient de la fin des années 40, ils étaient dactylographiés, avec des marques de sécurité apposées au tampon en caoutchouc. Quelques-uns portaient même la signature de Truman. D’autres celles d’officiers de l’armée que je n’ai pas reconnues à l’époque. La plupart des documents que j’ai reçus étaient des formulaires de rapport dictés par des civils et tapés par des responsables de la recherche. Ces documents-là portaient la mention Non-Classifié. Les formulaires ne donnaient aucune conclusion à l’enquête concernant l’observation rapportée, seulement les faits tels qu’ils ont été déclarés par des civils.

Quelques documents faisaient allusion à du matériel récupéré à Roswell, tels que des disques informatiques (appelés autrement, mais j’ai oublié le mot). Ils indiquaient le contenu de ces disques, du genre vues de groupements d’étoiles et de planètes depuis un endroit inconnu de l’espace. Ils indiquaient également des zones d’atterrissage ici sur Terre. La plupart de ces zones correspondaient à des installations nucléaires. Souvenez-vous que ces éléments ont été récupérés en 1947, à l’aube des armes atomiques. Comme déjà dit, ces documents contenaient des vues aériennes d’installations d’armement et de silos où étaient stockées les ogives. Une sorte de photothèque, avec des symboles sur les clichés, les mêmes que ceux trouvés à bord des vaisseaux, dans le Livre Jaune et le Livre Bleu (Yellow and Blue books).

D’autres documents parlaient de matériaux métalliques possédant une extrême résistance à la traction. Ce matériau avait l’apparence d’un papier d’aluminium « simili-chrome ». On pouvait le froisser facilement, mais il retrouvait sa forme lisse, sans aucun pli. Il était impossible à déchirer, mais on pouvait y planter un clou.

D’autres documents parlaient de la biologie aliène. Ils expliquaient que le sang des aliens récupérés contenait de la chlorophylle et qu’elle servait probablement à une sorte de photosynthèse. Leur œsophage s’arrêtait à un endroit précis de leur thorax. Pas d’estomac, mais il était mentionné un pancréas au fonctionnement très différent du nôtre. On y signalait aussi l’appendice, mais le leur avait un rôle plus complexe que le nôtre.

Il était fait mention d’un alien vivant récupéré dans le crash, mais pas de l’endroit où on l’avait emmené, ni de son sort. Pas plus d’indications sur le lieu où ont été emportées les pièces de l’engin. Une simple mention des éléments trouvés, y compris un gros morceau du vaisseau resté intact.

Il y avait aussi des emballages scellés contenant, je pense, des pièces, mais puisqu’ils étaient scellés, ce serait pure spéculation de ma part que d’en indiquer le contenu. J’ai effectivement vu une partie du « papier » déjà mentionné, un tout petit morceau. Je l’ai froissé et il s’est remis immédiatement en position. Les gros paquets étaient très légers pour leur taille. C’était le cas de tous. C’était peut-être avant tout dû au rembourrage, en tout cas ils étaient très légers pour leur taille. Je pouvais sentir des objets durs à l’intérieur, certains de taille considérable. J’ai vu un morceau de profilé à section en I, avec des symboles inscrits dessus. Il faisait environ 13 cm de long pour 2,5 cm d’épaisseur, sans aucune trace de brûlure. Il a rendu un son de plastique quand je l’ai cogné (doucement) sur le côté de mon bureau. Je ne pouvais pas le rayer. Il était enthousiasmant de le tenir. Je me disais : Ça vient d’une autre planète, d’un autre système solaire, et j’ai l’occasion de le toucher ! Je me sentais privilégié.

Dans le document sur Roswell, Zeta Reticuli était mentionné plusieurs fois. Cela m’a rappelé l’histoire de Betty et Barney Hill. Il y avait des cartes stellaires, mais j’étais incapable de les lire. Il y avait aussi des schémas de l’intérieur du vaisseau, y compris des figures, des schémas techniques d’appareils électriques et des compartiments du vaisseau. C’étaient tous des croquis. J’ai vu aussi plusieurs images d’aliens morts et disséqués. Je dirais qu’il s’agissait d’images d’autopsies. Il y avait aussi des boîtes de film (en 16 mm) contenant des pellicules. Elles étaient toutes scellées, sauf une. Je l’ai vite ouverte et j’ai regardé les premières images du film. L’image contenait juste les mots Autopsie 3. Je n’avais pas les moyens de le visionner, je l’ai donc rangé. Les boîtes de film ne comportaient absolument aucune marque de classification.

Il y avait aussi des tirages sur papier de ce qui ressemblait à des captures d’écran de balayage radar. Je ne les ai vus qu’un seul jour, mais il y en avait des tas. Certaines taches sur les papiers étaient entourées et marquées U ou bien UFO (OVNI), et quelques-unes faisaient plusieurs pages, où l’heure était tamponnée. Les indications semblaient provenir de tampons en caoutchouc ou d’horloges pointeuses. Voilà, c’est à peu près tout.

Q : Avez-vous idée de la provenance du matériel, et où il est allé après être passé entre vos mains ?

Le matériel était de toutes origines. De la CIA, de l’Armée de l’Air, de la Marine, de l’Armée de Terre, du DARPA, du NORAD, du Ministère de la Défense, du FBI et de fonctionnaires du gouvernement, pour en nommer la plupart.

J’ignore où ils sont passés, mais j’ai tendance à croire qu’ils ont fini dans un quelconque entrepôt secret d’une base telle que White Sands, Edwards ou même la Zone 51. Je pense avoir été à l’époque une des rares personnes à organiser les données et autres matériaux, afin que des gens dans le secret puissent les analyser. Voir ci-dessous, où je propose mon analyse de ce que je faisais réellement.

La manière dont je devais classer les choses était étrange. Parfois c’était par type de matériel (lettres officielles, films, rapports, photos civiles, photos militaires, photo de la NASA, etc.). D’autres fois, c’était par année, et tout ce qui concernait une certaine période devait être inclus dans le même dossier, en vrac. Les éléments étaient rangés dans des boîtes, dont la catégorie était clairement étiquetée (par exemple 1950-1955, ou bien Documents ou même Autres médias). Il n’y avait AUCUNE marque de classification sur les sacs que je recevais, ni sur les boîtes qui sortaient. Les sacs étaient soit blancs (et très sales, pourrais-je ajouter) ou vert-armée ou kaki. J’en ai peut-être vu aussi des noirs. Ils comportaient tous au moins deux cadenas, avec des combinaisons compliquées, qui, pourrais-je ajouter, devaient être verrouillés sur les sacs une fois remplis. Bizarrement, les combinaisons étaient enfermées dans les sacs une fois que j’en avais fini avec eux ! On me donnait les combinaisons au comptoir d’accueil, avec la liste des numéros de série des cadenas. Il me fallait examiner les serrures pour être capable de trouver la combinaison qui permettait de les ouvrir. Ces serrures étaient TRÈS difficiles à ouvrir !

Q : Veuillez nous dire – d’après les documents que vous avez lus – quels sont les aspects les plus importants de la question OVNI/ET.

Eh bien, ce sera un mélange de ce que j’ai vu et des conclusions que j’en ai tiré. Selon les documents, ils visitent la Terre depuis plus de 50 000 ans. Ils prétendent avoir créé l’être humain tel qu’il existe actuellement en le croisant avec des versions antérieures de l’homo sapiens qui existaient ici avant nous. En d’autres termes, ils sont le chaînon manquant.

Ils prétendent aussi avoir créé nos prophètes pour venir enseigner la spiritualité. Le message de différentes religions a dévoyé les enseignements de ces prophètes pour n’en faire guère plus qu’un instrument destiné à contrôler les masses.

Les documents évoquaient plus de 50 races d’aliens, mais ceux de Roswell sont ceux qui expriment les prétentions déjà mentionnées. Ils affirment aussi être créés par une race géante d’êtres orange très maigres mesurant de 2,10 m à 2,50 m environ. Ils prétendent que leur objectif est de répandre la vie dans tout l’univers, et qu’il existe de nombreuses planètes comme la nôtre, peuplées de créatures issues de croisements, ou créées en laboratoire, pour vivre sur ces planètes.

Je n’ai vu aucun document mentionnant un ordre du jour aliène. Le seul qui parlait de notre relation avec eux indiquait que nous nous demandions toujours pourquoi ils étaient venus ici et ce qu’ils y faisaient. Plusieurs documents mentionnaient les capacités inconnues des aliens et le fait qu’elles pouvaient se révéler une menace pour la sûreté nationale. Il y était aussi fait mention des foo-fighters, un type inconnu d’avion, provenant peut-être de l’un de nos adversaires.

Aucune mention de portes des étoiles, ni de quelconques portails temporels. La plupart des documents sur les aliens que j’ai vus dataient de la fin des années 40.

Les noms de projet et de code dont je me souviens : MAJIC, MJ-12, Bluebook (Livre Bleu), Majestic, et un projet comportant la syllabe shine dans son nom. J’ai vu très peu de documents liés à des projets. La plupart de ceux que j’ai vus correspondaient à des rapports d’observations de première main effectués par des militaires ou des civils.

Rien qui indique que [les aliens] viennent de notre avenir, rien de lié au voyage dans le temps, rien qui précise s’ils sont hostiles ou inoffensifs. Uniquement la peur de ne pas savoir quoi faire s’ils se révèlent hostiles, présentée sous forme de questions.

Les seuls endroits [cités] dont je me souvienne sont White Sands et Roswell.

Q : Avez-vous eu entre les mains du matériel que vous n’avez pas pu examiner ? Si oui, avez-vous une idée de sa nature ?

Oui, la plus grande partie de ce que j’ai eu entre les mains était scellé. On m’avait donné pour instructions de ne pas m’occuper des objets scellés. Je dirais que seulement 5 % du matériel n’était ni scellé ni emballé sous une forme ou sous une autre. La plupart des objets scellés étaient des documents placés dans des enveloppes. Certains étaient des paquets, d’autres des boîtes, mais les objets les plus grands que j’aie manipulés étaient en fait ces encombrantes cassettes vidéo. Certaines d’entre elles pesaient plus de 2 kg et elles étaient enfermées dans des boîtes ou des caisses métalliques. Quelques-uns des sacs que je recevais dépassaient largement les 20 kg. En quelques occasions, j’ai vu un type particulier d’emballage juste étiqueté Éléments d’engin (craft material). Ces paquets-là étaient généralement scellés et d’un certain volume. Plusieurs contenaient des disques de la taille des CD ou des DVD d’aujourd’hui. L’un d’eux était ouvert et j’ai examiné les disques. Ils étaient argentés comme nos DVD et d’aspect irisé (a rainbow appearance), mais ils paraissaient entièrement métalliques et ils étaient beaucoup plus légers que nos disques. On avait simplement apposé sur eux des nombres et des indications de lieu du type Roswell ou Los Alamos, ou les mots Supérieur et Inférieur sur leur jaquette. Ces dernières étaient ici en papier. Il s’agit peut-être de l’emplacement où on les a trouvés dans l’engin discoïdal accidenté, tels que le pont supérieur ou le pont inférieur. Une simple hypothèse de ma part. Ils étaient tous de la même taille - environ 13 cm de diamètre - et tous, sans exception, étaient argentés.

Q : Quel volume total de matériel avez-vous manipulé pendant la durée du projet ?

Je dirais que j’ai archivé et classé des centaines de kilos de matériel. Au minimum 150 sacs, à raison d’au moins un par jour pendant 6 mois. Certains jours j’en avais 5 ou plus, suivant le nombre d’items qu’ils contenaient.

Q : Qu’avez-vous vu ou eu entre les mains de plus intéressant ?

Les disques mentionnés plus haut et les documents qui les concernaient. Ils parlaient d’atterrissage dans un avenir proche (2011-2012) et d’intervention dans les conflits nucléaires. Les documents expliquaient que les disques étaient visionnés soit à bord du vaisseau lui-même, soit en laboratoire, dans un appareil emprunté au vaisseau. Ils contenaient aussi des symboles incompréhensibles qui traversaient rapidement l’écran. Il en était question, de même que d’un plan destiné à déchiffrer les symboles. D’après les documents, ces symboles étaient identiques ou similaires à ceux trouvés sur certains des profilés en I et autres pièces découverts sur le lieu des crashs.

Un autre aspect très intéressant de ma mission d’archivage des faits, était le matériel sur la biologie de l’esprit ou de l’âme et celui sur l’histoire humaine, qui incluait une allusion à des livres Rouge, Jaune et Bleu. Pas au Project Bluebook (Projet Livre Bleu), mais à un livre Bleu. La documentation sur la science des ET et sur leurs croyances à propos des corps biologiques était pour le moins passionnante.

Le fait qu’ils ne mangent pas et que leur sang contienne de la chlorophylle est quelque chose de difficile à avaler mais, étant donné la prochaine étape logique de l’évolution, ce pourrait très bien être un avantage. Imaginez qu’il n’y ait pas besoin de faire pousser de la nourriture et de prendre des nutriments à un soleil (ou à des soleils) ni de collecter des minéraux et des matériaux présents dans l’atmosphère. De toute évidence un pas vers l’ « être pur » au lieu de passer nos heures de veille à nous employer à alimenter et entretenir nos coquilles biologiques. La science de l’âme et celle des corps fabriqués en laboratoire, alliée à la capacité de passer à une autre coquille si nécessaire, est un concept fascinant.

Nous continuons à oublier au moment de la mort, eux non. Ils ne considèrent pas leur corps comme sacré, ni comme leur appartenant, à l’inverse de la plupart des sociétés humaines. Ils ne comprennent pas notre préservation du moi, puisqu’ils n’ont pas vraiment de moi. Du moins, s’ils perdent le leur, ils peuvent s’en procurer un autre, pas de problème. Ils considèrent notre esprit ou âme comme égaux aux leurs. Il est de fait indiqué dans plusieurs documents que, selon eux, notre esprit est identique au leur. La seule différence est que nous sommes plus attachés physiquement à notre corps qu’eux. On a également remarqué qu’ils disaient que nous choisissons de rester des Terriens et revenons ici vie après vie, parce que nous connaissons notre voie et que c’est là où nous sommes censé être.

JE FAIS CECI POUR AIDER L’HUMANITÉ À ÉVOLUER EN UNE SOCIÉTÉ DE PAIX ET DE CONNAISSANCE.

Q : Dans quel genre d’ambiance avez-vous travaillé ? Comment vos collègues ont-ils réagi aux matériaux « sensationnels » que vous manipuliez ? Comment considérait-on votre habilitation au Secret chez vos collègues ? Avez-vous travaillé avec une personne que vous saviez faire la même tâche ? Si oui, la connaissiez-vous ? Restez-vous en contact avec certains d’entre eux ?

Une seule autre personne dans mon département a été sélectionnée par les mêmes gens. J’ignore ce que cette personne a fait, je ne l’ai jamais vue en mission. Mes collègues n’étaient pas jaloux de mon habilitation au Secret, car eux aussi en avaient une. Elle était nécessaire dans mon métier. Je ne divulguerai pas l’identité de l’autre personne choisie. C’est à lui/à elle de prendre l’initiative.

Q : Faites-vous des rêves inhabituels, y a-t-il des « moments d’absence » dans votre vie, ou avez-vous parfois l’impression dans votre vie « d’être conduit » dans telle ou telle direction ?

Non, rien de tout cela. Je suis néanmoins persuadé qu’un de mes buts dans la vie est de rendre les autres conscients de la présence extraterrestre dans l’univers et ici, sur Terre.

Je fais cependant une quantité inhabituelle de rêves liés à l’océan. Je rêve de 8 à 10 endroits différents, et j’y retourne périodiquement dans mes rêves. Mes rêves océaniques sont toujours paisibles. Pour autant que je sache, les lieux de mes rêves n’existent pas. Dans la plupart des cas, l’apparence physique de ces endroits est impossible sur Terre. Il n’est pas étonnant que j’aime l’océan. Je l’ai toujours aimé.

Q : Vous a-t-on jamais évalué psychologiquement, soit lors de cet emploi, soit ultérieurement ?

Non. On m’a testé avant mon entrée dans l’entreprise (et considéré comme normal), mais pas depuis. Ma vie est plutôt normale, sauf que je sais ce que je sais, mais je suppose que cela reste dans la « norme ».

Q : Aviez-vous le même médecin à l’époque ?

Oui.

Q : Existe-t-il des indices montrant que les agences de renseignements ou les militaires savent aujourd’hui qui vous êtes, ou veulent vous empêcher de raconter vos expériences ?

Pas que je sache. Des gens tâtent le terrain, mais c’est à peu près tout. Quelqu’un a prétendu savoir qui j’étais et m’avoir parlé, mais c’est tout simplement faux. Je n’ai jamais parlé à la personne qui affirme ça. Les seules personnes auxquelles j’aie parlé de manière formelle sont Jerry Pippin, Bill Ryan et Kerry Cassidy.

Je crois qu’il existe bien d’autres gens qui en savent plus et en FONT plus que moi. Des gens haut placés ont, bien plus que moi, accès à ce qui se passe aujourd’hui. J’ai quitté cette activité au milieu des années 80, et je ne suis qu’un civil. Je n’ai jamais servi dans l’armée ni été fiché par la police (pour autant que je sache). Je suppose que le gouvernement cherche plus à prévenir le terrorisme qu’à m’empêcher de dire ce que j’ai à dire. Je ne suis qu’un citoyen lambda.

Q : Vous demandez-vous parfois si vous êtes surveillé ou suivi ? Voyez-vous de temps à autre de vieilles connaissances datant de cette époque ? Vos amis et votre famille connaissent-ils votre secret ?  

Je ne me pose jamais la question. Je ne revois aucun de mes anciens collègues, ni ne suis en contact avec eux. Et bien, oui, plusieurs membres de ma famille et quelques autres personnes, triées sur le volet, savent ce que j’ai fait et vu.

Une petite remarque intéressante, en passant : beaucoup de gens me demandent si je crois aux OVNI et aux ET. Je leur réponds alors : Je ne le crois pas, je le sais. 99 % des gens commencent alors à déclarer que ce que j’ai vu de mes propres yeux n’existe pas.

On se sent seul. Quand les autres refusent de croire vos propres expériences.

Je n’ai pas de preuves, ni n’en ai besoin. Quand on leur met la vérité et des preuves sous le nez, la plupart des gens trouvent des arguments contre. Ce serait « frelaté » ou mieux (mon préféré) « trafiqué avec Photoshop ». Le domaine de l’ufologie est infecté par le scepticisme et la jalousie, par la faute des centrales de désinformation. Regardez les forums. On dirait des gamins immatures en train de se bagarrer à cause de... Bon, j’en ignore même la raison. Et je m’en fiche. Je sais ce que j’ai vu, et je sais ce que je sais.

Q : Avez-vous jamais l’impression d’avoir peut-être des souvenirs enfouis qui pourraient resurgir grâce à l’hypnose ? Avez-vous consulté un thérapeute pour avoir accès, par hypnose ou régression, aux souvenirs de cette époque liés à des choses vues mais oubliées ?

Non, je ne l’ai pas fait, ni n’en ressens le besoin. Je me contente des connaissances que j’ai, et que d’autres comme moi ont également. Je veux contribuer, dans la mesure de mes moyens, au développement de l’humanité en vue d’un avenir plus paisible et conscient, mais je ne tiens pas à passer par l’hypnose.

Q : À votre avis, qu’est-il arrivé au matériel une fois sorti de vos mains ? Avez-vous la moindre idée sur l’endroit où il est allé ?

Très probablement dans un entrepôt, pour y être étudié ou stocké en sécurité. Je sais juste qu’il était parti le lendemain du jour où je faisais mon rapport. J’ignore qui le prenait, ni dans quel genre de véhicule on le plaçait, ni même s’il sortait du bâtiment.

Q : Y a-t-il quelque chose dans ce que vous avez vu que vous ne nous dites pas – que vous gardez pour vous parce que pouvant paraître trop choquant, en révéler trop sur vous, ou de valeur en cas d’urgence ?

Non. Il n’y a pas là de grand secret. Beaucoup de gens apportent ce genre d’information. Je pourrais ajouter : une femme a dit de moi, chez Jerry Pippin, que j’étais un « imposteur », parce que tout ce dont je parle se trouve sur différents sites Internet. Ma réponse à cette dame : C’est peut-être sur Internet parce que beaucoup de gens dans mon genre l’ont aussi vécu.

Et nous sommes nombreux. Nous racontons tous la même chose. Nous n’avons aucune preuve. On nous ridiculise. On refuse de croire que nous avons vécu ce que nous avons vécu. Nous sommes dingues, fêlés, dérangés, fous... la liste n’est pas exhaustive. Certaines des personnes qui sont dans le secret veulent qu’il en soit ainsi. LE DÉMENTI PLAUSIBLE. Tout tourne autour de ça. Eh bien, il ne reste que six ans avant que tout le monde sache. Les réponses seront limpides. La vérité sera révélée, et les menteurs démasqués. Je désire seulement aider. J’applaudis tous ceux qui apportent un témoignage honnête.

Q : Désirez-vous vous exprimer sur quelque chose dont nous n'avons pas encore parlé ?

Oui : mon analyse de ce qu’était mon objectif.

Voici ma conclusion sur la raison pour laquelle j’ai fait ce que j’ai fait. Je crois que je ne m’occupais que d’informations FACTUELLES. J’archivais des rapports d’observations effectuées à la fois par des militaires et des civils. J’ai archivé des milliers de photos, en provenance de toutes les branches de l’armée, d’entrepreneurs militaires et de la défense, de civils, et de participants aux missions spatiales de la NASA. J’ai archivé des rapports d’armement provenant des militaires et s’échelonnant des années 30 à la période de ma mission.

Ce dont je ne me suis pas occupé, c’est de la partie administrative ni d’autre questions liées aux projets présumés de coopération avec les EBE (Ndt - les entités biologiques extraterrestres) ou les races d’autres planètes. J’ai lu des notes de service, mais seulement celles qui rapportaient des informations sur des observations et des rencontres, et elles n’exprimaient aucune hypothèse sur leurs objectifs, ni sur l’implication du gouvernement à leur égard. Tous les documents, photos, rapports, et morceaux de l’engin spatial de Roswell étaient BASÉS SUR DES FAITS.

Je n’ai fait que collecter et classer les informations. Je pense que mon rôle était d’aider ceux qui émettaient des hypothèses et cherchaient à comprendre le matériel rassemblé, et de fournir à ces spécialistes l’occasion d’apprendre quelque chose à partir du matériel que j’ai rassemblé, parce qu’il était classé. J’assistais notre gouvernement dans ses recherches en organisant le matériau à examiner.

Je pense que c’est vraiment là la seule raison qui m’a permis d’avoir accès à ce matériel. J’étais capable de reconnaître les marques de sécurité puisque j’étais dans le département graphique et que j’en connaissais les règles. Je pouvais facilement classer les objets en catégories puisque archiver des choses faisait partie de mon travail habituel dans ce département. Nous devions tous le faire. Voilà pourquoi on a d’abord fait appel à nous. Nous étions déjà des experts dans l’objet de la mission.

Ils avaient seulement besoin d’experts en documentation pour gérer et classer des données, et c’était justement ce que nous faisions...

Q : Pourquoi avez-vous tant attendu avant de raconter publiquement votre histoire ?

Je pense que la réponse est évidente, mais puisque tant de gens témoignent, j’ai décidé de contribuer à apporter la vérité au public. D’autres, dans leur récit, ont déclaré des choses beaucoup plus spectaculaires. Je refuse de juger les déclarations de quiconque. Mon matériau est terre-à-terre, comparé au témoignage d’autres gens.

Je crois sincèrement que les témoignages et les récits des autres augmentent mes connaissances, parce que je ne possède qu’une petite parcelle de la vue d’ensemble. Je crois que mon rôle était de rassembler et d’organiser les faits et non les hypothèses, mais à fin d’hypothèses et d’analyses ultérieures.

Q : Quel type de réaction avez-vous obtenu jusqu’à présent de la part du public ?

C’est une question difficile, parce que la réponse est vaste. J’ai obtenu dans l’ensemble des réactions positives à mes interviews initiales. Certains m’ont mal compris et pensent que lorsque je disais qu’il y aurait de nombreux décès dans les années 2011-2012, ce serait dû aux ET. Ce n’est ni ce que j’ai dit, ni ce que je voulais dire. Les morts seront causées par la guerre, les catastrophes naturelles et la panique.

Une grande quantité d’informations sera versée dans le domaine public et ébranlera nos croyances fondamentales. Des gens paniqueront parce que leur système de croyance sera ébranlé. D’autres seront furieux qu’on leur ait menti aussi longtemps. D’autres penseront que la fin du monde est arrivée. La plupart seront au mieux perturbés par les questions religieuses, puisque la vérité sera révélée et qu’elle ébranlera TOUTES les croyances religieuses. Nous apprendrons la véritable histoire de l’homme par les ET et les pouvoirs constitués. C’est incontournable ! Si le monde reste sur la même voie – et je n’imagine pas qu’il puisse en changer ! – il faudra qu’on nous montre la vérité, et si ceux qui gèrent le monde ne le font pas, ce seront les ET qui le feront !

Q : Dans quelle mesure travailler concrètement sur ce matériel a-t-il modifié votre vision du monde ? Votre point de vue sur l’avenir a-t-il changé à la suite de ce que vous avez vu ?

Voilà pour moi LA question.

Oui, ma vision du monde est différente. Mais pas tellement différente de ce qu’elle était avant ma mission. J’ai toujours su que quelque chose ne collait pas. Pourquoi passer sa vie à lutter pour maintenir en vie une coquille ? Nous ne faisons rien d’autre. Réfléchissez-y. Nous travaillons pour de l’argent. De l’argent pour un abri, pour de la nourriture et du carburant afin de maintenir en vie notre coquille. Nous utilisons le carburant pour travailler davantage afin d’avoir plus d’argent, et d’aller chercher de la nourriture, et nous passons au minimum 5 % de notre vie à manger. Nous dormons 1/3 de notre vie, pour régénérer cette coquille. Ceux d’entre nous qui ont la chance de se faire plus d’argent que nécessaire peuvent savourer quelques plaisirs, mais pour la plupart, nous travaillons pour vivre.

Les ET n’ont pas de système monétaire. Nous ne devrions pas en avoir non plus. Je serais heureux d’exercer mon métier 8 heures par jour dans le cadre d’une vie simple et disposer d’un moyen de transport pour m’emmener à mon travail, qui consiste à subvenir aux besoins des autres. Je n’aime pas être mené par le pétrole ou par quoi que ce soit d’autre, ni avoir à détruire l’atmosphère pour aller d’un point A à un point B. Nous avons entre nos mains la technologie qui permet d’approvisionner le monde entier en énergie libre et gratuite... Imaginez un peu. Quel crasse faite à l’ensemble du monde ! Même chose en ce qui concerne la religion. Le but de tout cela est de nous contrôler et de nous faire croire que nous sommes plus faibles que nous ne le sommes réellement, et que nous avons beaucoup moins de choix qu’en réalité. Tout ça c’est la religion. Je ne me reconnais dans AUCUNE.

Je suis convaincu que les ET essaieront de nous faire sortir du gâchis où nous nous trouvons. Je pense que c’est déjà le cas. 2012 n’est pas si éloigné que cela. Nous combattons ce qu’on nomme des guerres « de religion » ou des guerres « saintes ». La Terre n’appartient à personne, et si nous ne prenons pas soin d’elle et de nous-mêmes en tant qu’espèce, nous ne survivrons pas. Cela je le garantis. Nous serons incapables d’explorer tous ces autres mondes qui nous entourent et qui attendent que nous les visitions.

Notre priorité en tant qu’espèce, c’est de nous relier davantage spirituellement avec ce qui nous entoure. Nous sommes des êtres puissants. Nous utilisons moins de 10 % de notre cerveau. Les 90 % restants n’existent pas sans raison. Il nous faut les utiliser.

Je pense que nous allons passer un sale moment à nous adapter à la connaissance de notre véritable Histoire, mais le résultat final sera positif. Cet univers sera le nôtre, comme il l’est déjà pour d’autres êtres. Nous apprendrons ensuite à répandre la vie à travers l’univers, comme nos pères et mères ET l’ont fait pour nous. Nous ferons connaissance avec les grands ET orange qui ont créé nos pères et mères ET, et nous apprendrons d’eux.

Nous verrons de belles planètes dotées de formes de vie inhabituelles. Nous comprendrons les secrets de la création de civilisations là où il n’en existe pas encore. Les autres civilisations nous considèreront comme des dieux. En réalité, nous en sommes déjà, seulement nous l’ignorons et nous n’agissons pas en tant que tels. Il nous reste encore beaucoup à apprendre avant de nous engager dans cette aventure.





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Bill Ryan

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