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David Icke - Jordan Maxwell
Histoires reptiliennes
Transcription et traduction : The Avalon Translation Project
Le
18 mai 2010
Cliquez ici pour écouter
l'enregistrement audio MP3 (en anglais)
Bill Ryan (BR) : Bonjour ! Ici Bill Ryan,
de Project Avalon, et vous allez entendre une conversation
impromptue, spontanée, prise au cours d'un repas, entre
David Icke et Jordan Maxwell. Elle a été enregistrée le 18
mai 2010, et ils sont en train de se régaler mutuellement
avec des récits de chercheurs liés à l'activité des
reptiliens sur Terre.
C'est important car, comme beaucoup d'entre vous le
savent, David Icke a de fait été le premier à parler dans
son livre, The Biggest Secret, de ce domaine de
recherche très exigeant et très perturbant. Mais beaucoup
d'autres chercheurs, et Jordan Maxwell en particulier, ont
appris qu'il y avait là matière à enquête. Eux aussi ont
leurs récits. Ils possèdent leurs propres histoires,
recueillies auprès de témoins indépendants.
Il y a ici quelque chose d'extrêmement important à
comprendre, et les nouvelles sont alarmantes. Le sujet est
distrayant, bien sûr, pour des raisons qui lui sont
propres, mais derrière le divertissement et les histoires
intéressantes, se dissimulent des objectifs très négatifs,
qu'il est à mon avis, de notre responsabilité d'examiner
attentivement, afin de comprendre le mieux possible ce qui
pourrait arriver.
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BR : Ce groupe de gens-là rapporte une histoire
extraordinaire.
Jordan Maxwell (JM) : Oh, [qui s'est passée] dans
la Vallée ?
BR : Oui, elle vaut la peine d'être entendue.
David Icke (DI) : D'accord.
BR : Ce n'est qu'une petite histoire. Juste une de
ces choses si étranges qu'elles ne peuvent être que
vraies.
JM : Je participais à une interview à Los Angeles
pour une émission radio de Las Vegas. Ils m'avaient appelé
[peu audible] pour faire pour eux une interview de deux
heures et, en cours de route -- comme ça, en passant --
j'ai fait allusion aux dieux reptiliens et aux aliens
reptiliens. Si bien qu'après l'émission j'ai reçu un coup
de fil d'un type, dont j'ai découvert plus tard qu'il
était très riche et qui, comme je l'ai dit, possédait une
entreprise d'achat et de vente d'hôtels, des gros trucs.
DI : D'accord.
JM : Il m'a appelé et il m'a dit : Jordan, nous
vous avons écouté ce matin au bureau. Et il a ajouté
: Il faut que je vous dise quelque chose : j'ai cinq
gars qui travaillent pour moi dans mon bureau. Nous
sommes tous chrétiens et nous allons tous à la même
église. Une fois par an, j'emmène les cinq familles chez
moi et nous partons chaque fois tous
en vacances ensemble. L'an dernier -- ça devait se
passer autour de 89 -- l'an dernier, nous sommes tous
partis faire du camping dans le Colorado.
Un matin, nous avons levé le camp, nous sommes montés
en haut d'une grande colline et nous avons contemplé la
vallée, en contrebas. Dans la vallée, quelqu'un avait
fait une clairière, on avait dégagé une zone circulaire,
et il s'y trouvait des gens en robe, debout en rond. Ils
se tenaient tous par les mains, et ils se
penchaient d'avant en arrière, comme s'ils
psalmodiaient, et il y avait quelqu'un au milieu. En
regardant ça, nous étions surpris de voir ces gens venus
de nulle part.
DI : D'accord.
JM : Ils sortaient de nulle part. Ils exécutaient
un rituel, d'accord ? Et il a ajouté : Tout d'un coup
est apparu au centre quelqu'un d'autre -- comme ça, pouf
! -- mais il était bien plus grand que tous les autres.
Quand cette chose est apparue, elle nous a montrés du
doigt, et tous les chants se sont arrêtés, tout s'est
arrêté, et tout le monde s'est retourné, et a levé la
tête vers nous.
Bon, nous étions au sommet de la montagne, nous
étions sur le point de partir. Nous avons fait
demi-tour, mais c'était déjà trop tard.
La chose qui était dans le cercle était [maintenant]
derrière eux. Il a dit qu'elle mesurait au moins 2,30 m à
2,40 m.
DI : Oui, c'est un classique du genre.
JM : Hein ?
DI : Oui, c'est classique.
JM : Oui, et il a ajouté : La chose mesurait
2,30 m à 2,40 m, un reptile. Nous étions tous paralysés,
on ne pouvait plus bouger, même les enfants. Personne ne
pouvait bouger. Puis l'être nous a d'abord tous regardés,
puis il s'est finalement concentré sur les hommes.
Et quand il nous regardait, nous savions ce qu'il
pensait. Il disait en gros : "Je vais vous laisser
partir pour cette fois, mais vous avez intérêt à filer,
parce que vous avez interrompu quelque chose." Et l'être
s'est éloigné en marchant, et les gens le regardaient
s'en aller. (Jordan émet un petit bruit très bref)
Il avait disparu.
DI : Classique.
JM : Il a dit ensuite : Immédiatement après sa
disparition, tout le monde s'est mis à hurler.
Parce qu'ils étaient revenus à eux. Ils avaient récupéré
leurs facultés. Il a ajouté : Les enfants hurlaient,
les femmes criaient et pleuraient, mais nous sommes
tous, sans exception, revenus en courant aux voitures,
et nous sommes rentrés à la maison, basta.
Nous sommes tous des Chrétiens de la même église, et
nous vous avons entendu parler d'aliens reptiles. J'ai
des nouvelles pour vous : nous savons qu'il y en a au
moins un sur Terre, ça nous en sommes sûrs, parce que
nous l'avons vu, tous.
DI : Un système de contrôle.
BR : Donc, voilà l'histoire que vous avez
entendue...
DI : Ah oui.
BR : ...vous avez d'autres histoires de ce genre,
oui.
DI : Oui, et des tailles d'1,80 m, 2,30 m ou 2,40 m
sont constamment signalées dans les descriptions. Je n'en
ai jamais parlé à Bill avant. Quand je suis allé en
Amérique et que j'ai commencé à collecter pour la première
fois ces histoires -- j'y avais déjà songé, mais il n'y
avait rien de tangible et puis, tout à coup, j'ai parcouru
l'Amérique...
J'ai rencontré douze personnes différentes en quinze
jours. Elles m'ont raconté la même histoire de base sur la
métamorphose reptilienne, etc. Je suis rentré en
Angleterre, et dans la rue, dans ma ville, une femme a
voulu me rencontrer pour me parler d'un type nommé Ted
Heath, premier ministre britannique de 77 à...
BR : Oh vraiment ? Ted Heath. Oui, oui.
JM : Oh oui.
DI : Un sataniste. Je veux dire, j'ai vécu quelque
chose d'incroyable à son sujet, lui et ses yeux noirs, je
vous ai parlé de lui.
BR : Hmm.
DI : Elle m'a donc dit qu'elle s'était mariée,
victime du contrôle mental. Sophia-Ann, d'Écosse. Elle a
été élevée en Écosse par des francs-maçons de rite
écossais. Et son mari était le gardien d'un endroit nommé
Burnham Beeches.
Burnham Beeches est une zone de flics, de bois et de
clairières située à l'ouest de Londres, près de Slough, à
environ 25 minutes en voiture de Chequers, la résidence
campagnarde du premier ministre, l'équivalent de Camp
David. Et elle appartient à la City de Londres, le
district financier, d'accord. Parce que lorsque vous y
allez, vous voyez partout le logo de la City de Londres :
deux reptiles volants tenant l'écu des Chevaliers du
Temple.
BR : (Il rit.)
JM : Oui.
DI : Bon, elle m'a raconté cette histoire. Elle m'a
raconté qu'elle était en gros prisonnière, et que son mari
était sataniste, et que le gardien de Burnham Beeches est
toujours un Sataniste -- ils possèdent une maison dans le
coin, dans cette zone, en plein milieu des bois. Et il est
sataniste parce que son travail consiste à organiser les
rituels nocturnes et certains jours de rituels. Une fois
la nuit tombée, je suppose qu'on peut se balader à pied,
mais toutes les routes sont fermées.
BR : Hmm.
DI : On ne peut pas y faire entrer une voiture.
Elle m'a donc raconté : Un soir, j'étais dehors avec
le chien.
Ça se passait entre 70 et 74. Elle ne m'a pas
indiqué l'année, mais ça ne pouvait être que ça, parce que
Heath était premier ministre alors. Elle m'a dit qu'elle
avait vu des lumières, qu'elle s'était rapprochée à pas de
loup et qu'elle avait regardé à travers les feuillages et
les buissons.
Et elle a vu des gens habillés de robes et disposés en
cercle, et elle a remarqué que le gars qui dirigeait tout
était Ted Heath et, en regardant un peu mieux, elle a vu
qu'à ses côtés, du côté droit, je crois, se trouvait un
type nommé Anthony Barber, qui était à l'époque Chancelier
de l'Échiquier (ministre des finances - Ndt).
BR : Tony Barber, oui.
DI : Tony Barber, oui...
BR : Oui.
DI : ...qui a eu un rôle dévastateur pour
l'économie britannique. Quoi qu'il en soit, ils sont dans
ce cercle, elle a dit qu'ils faisaient ces chants et ces
rituels, et elle m'a tout raconté. Et -- parce que j'avais
déjà entendu des choses sur Ted Heath par d'autres
sources, elle ne m'a pas étonné du tout -- et ce parce que
je rentrais juste d'Amérique. J'ai bu une tasse de thé et
j'ai fait : Bon, je m'en vais, et j'ai posé ma
tasse de thé, et elle, elle était assise là.
Je lui ai seulement dit : Savez-vous, je vis en ce
moment des expériences très bizarres. Je n'arrête pas de
rencontrer des personnes qui me racontent avoir vu des
gens se transformer en reptiles. J'ai tourné la
tête, et j'ai juste entendu (Il fait un bruit de forte
inspiration) ; je me suis retourné, et elle : Oh
mon Dieu, je croyais que j'étais la seule. Elle
ajoute : Je n'avais pas l'intention de vous en parler.
J'ai pensé que je vous avais déjà raconté assez de
bêtises comme ça.
Et elle a poursuivi en me racontant qu'elle avait été
témoin de ce rituel et que soudain Heath se transforme en
reptilien, grandit de 60 cm, et elle ajoute : Une fois
qu'il a fait ça... vous savez ce qui m'a le plus choquée
? Personne dans le cercle n'a bougé, ni n'a semblé
surpris, ni n'a réagi !
Puis elle a dit : Une fois en mode reptile, il s'est
mis à parler -- et elle a précisé :
comme dans les vieilles lignes téléphoniques
transatlantiques, avec des interruptions et des
choses comme ça.
JM : Oh oui.
DI : Et elle m'a dit qu'après ça, quand elle
marchait, spécialement au crépuscule, quand il commence à
faire sombre...
JM : Mm-hm.
DI : ...entre chien et loup, elle m'a dit qu'elle
voyait des gens, toujours en robe, la tête couverte, et
que leur visage était reptilien. Je suis allé voir là-bas,
et c'est un endroit horrible. C'est horrible, Burnham
Beeches.
BR : Hmm.
DI : Mais c'est comme ces gens-là. On me dit : Vous
voyez des satanistes partout ! Mais non ! Je leur
réponds que je ne vois partout des satanistes que dans les
échelons supérieurs de la société.
JM : (Il rit.) Oui.
DI : Ce n'est pas la même chose !
JM : Non.
DI : Il y en a une proportion énorme, par rapport à
la population générale.
BR : Hmm.
DI : Bien sûr que ça fait beaucoup. Partout où vous
allez dans le monde... Credo Mutwa parle des Chitauri. Ils
font entre 2,15 m et 2,45 m de haut.
JM : Mm-hm.
DI : Ça arrive constamment.
BR : Même thème.
DI : Oui.
BR : Oui.
JM : Et il y a cette autre histoire, sur Nancy.
BR : David n'en a peut-être pas entendu parler.
Vous devriez raconter l'histoire de Nancy.
DI : Qui est du même genre ?
BR : Nous l'avons déjà enregistrée, mais c'est une
histoire fantastique, fantastique !
JM : J'ai une jeune amie qui est absolument... Il
n'y a pas de mots pour le dire. Cette jeune femme est une
amie très chère. Elle connaît énormément de choses sur les
reptiliens parce que son père... Elle m'a montré toutes
les photos de famille, et tout et tout, son père était
officier dans l'Air Force, responsable du Project
Retrievables (Projet Récupération), donc chaque fois qu'un
OVNI se manifestait sur Terre...
DI : D'accord.
JM : ...il était chargé de l'enquête. Elle m'a dit
: Nous allions de base en base, et nous n'habitions
jamais longtemps au même endroit. Elle a ajouté...
qu'ils avaient chaque fois le téléphone, mais quand ce
téléphone sonnait, ça signifiait que lui, le père,
disposait alors de dix minutes pour s'habiller et être
prêt à partir avec sa mallette, et les militaires
arrivaient en voiture devant la maison, frappaient à la
porte, et elle m'a dit qu'ils ne prononçaient pas un mot.
Rien.
Des coups à la porte, il sortait, montait dans la voiture,
ils partaient, et quand ils s'en allaient, des militaires
étaient postés -- quatre, un à chaque angle de la maison
-- jusqu'à son retour. Que ça dure une semaine, ou un
mois, n'avait aucune importance : ils étaient là pour
garder la maison après son départ, même sur la base. C'est
ce qu'elle m'a dit, et donc, on ne l'autorisait jamais à
rester à la maison, même sur la base. Elle n'était jamais
autorisée à rester toute seule chez elle. Son père ne le
permettait pas.
Une fois, son père et sa mère sont allés à une soirée, à
deux ou trois maisons de là, pour rendre visite à des amis
de la base, et elle a demandé à sa mère de lui permettre
de rester à la maison, parce qu'ils n'allaient pas être
loin, mais le père a froidement refusé. Bon, la mère a
finalement pu obtenir du père qu'il accepte. Il a
finalement accepté. Ils sont donc partis chez le voisin,
et elle m'a dit qu'elle était enfin toute seule à la
maison, pour la première fois de sa vie.
Elle a raconté qu'elle était assise dans sa chambre, à se
brosser les cheveux, qu'elle avait une petite glace, et
que derrière elle se trouvait une penderie. Et pendant
qu'elle se brossait les cheveux, la porte de la penderie a
coulissé, et un reptile en est sorti, mais il a fallu
qu'il se baisse pour sortir du placard.
DI : Elle a eu de la chance !
JM : Il était debout là -- ouais -- et il touchait
presque le plafond, qui était à une hauteur de 2,30 m à
2,45 m. Elle m'a raconté qu'il l'a regardée, et qu'elle le
voyait dans sa glace, et elle m'a dit : Je n'ai jamais
eu aussi peur de ma vie, parce que c'était un reptile !
Elle l'a dévisagé, et il l'a dévisagée. Et elle a
ajouté : Il a commencé à se déplacer, mais pas
en marchant. En flottant dans l'air...
DI : Mm-hm.
JM : ...dans sa direction. Elle m'a dit : J'ai
eu l'impression qu'il lévitait vers moi. Je savais qu'il
se rapprochait, et elle m'a raconté qu'elle avait
bondi sur ses pieds, trébuché, parcouru le couloir en
courant, elle s'était précipitée dans la salle de bain,
avait verrouillé la porte, ouvert la fenêtre et s'était
mise à hurler. Bon, tout le voisinage l'a entendue !
Et puis, cet être, elle l'a senti parcourir le couloir --
il était très lourd -- il l'a suivie dans le couloir et il
s'est mis à grogner comme un animal et à se faire les
griffes sur la porte de la salle de bains. Et elle a
raconté que lorsque son père et les voisins sont arrivés
en courant, cette chose les a entendus, et s'en est
retournée.
Elle a ajouté : Il a juste refait le couloir
en sens inverse et il est retourné dans la chambre.
Et quand son père est entré, a-t-elle dit, et qu'ils l'ont
sortie de là, il y avait d'énormes traces de griffes sur
la porte de la salle de bains. Et son père a dit : Voilà
pourquoi je ne voulais pas qu'elle reste toute seule.
Voilà la raison !
Puis il leur a raconté -- à tous, il l'a dit à la famille
-- Ces reptiles aliènes nous ont prévenu qu'ils en
avaient assez de nous voir fourrer le nez dans leurs
affaires, alors ils m'ont dit : "Rappelez-vous, si vous
sortez mettre le nez dans nos affaires, nous vous
enverrons quelqu'un chez vous." Et il a ajouté : Voilà
pourquoi des militaires gardaient toujours la maison,
même sur la base, parce que ces machins sont
interdimensionnels.
DI : Oui, absolument.
BR : Ouais.
DI : Absolument, absolument.
JM : Ils peuvent apparaître quand ils veulent.
DI : Absolument.
BR : Non pas que placer des gardes aux coins de la
maison fasse grande différence, si le machin se
matérialise tout à coup dans la penderie... (Il rit.)
JM : Il marque un point ! (Il rit.)
DI : C'est leur façon de penser, n'est-ce pas ?
JM : Oui.
DI : C'est leur façon de penser. Je vais avoir
des hommes armés. Ça va nous en débarrasser.
JM : Oui.
JM : (Il rit) Pas du tout.
BR : Mais ça nous fait nous demander combien de
fois ces choses arrivent sans que nous en entendions
parler.
DI : Oh, absolument. Des tas et des tas de fois.
J'ai rencontré à Vancouver une femme d'affaires qui en
tremblait encore lorsqu'elle m'a raconté son histoire, et
c'était arrivé il y a des années. Elle avait rencontré un
type. Elle disait de lui qu'il avait un côté sombre, mais
aussi un bon côté.
Elle l'a ramené à la maison, et ils sont allés dans la
chambre pour faire l'amour, et il y avait là mon tout
premier livre, The Biggest Secret -- ça remonte
donc à 98 à peu près, ou 97 peut-être -- debout sur une
étagère au-dessus du lit. Il a piqué sa crise, m'a-t-elle
raconté, et il lui a passé un savon parce qu'elle lisait
ce genre de trucs.
Et elle a ajouté : Tant et si bien qu'il a fallu que
j'achète deux fois votre bouquin, parce que je m'en suis
débarrassé après cet incident. Et plus tard j'ai pensé :
maintenant je le relirais bien !
Ils commencent donc à faire l'amour, m'a-t-elle raconté,
il est au-dessus d'elle et il commence à devenir vraiment
brutal, et elle, elle se met à paniquer. Et elle m'a dit :
J'avais ma main sur le bas de son dos, tout au bas de
son dos, et soudain elle a été repoussée par quelque
chose. J'ai regardé par-dessus mon épaule et une
fichue queue lui avait poussé !
JM : Mm-hm.
DI : La queue avait repoussé sa main. Elle a hurlé
et l'a jeté hors du lit. Et il est resté debout là, une
fraction de seconde, peut-être deux, sous son aspect de
reptilien, puis il a juste repris sa forme humaine et a
quitté la maison aussi vite qu'il a pu. J'ai entendu ces
histoires-là tant de fois, savez-vous. Il a des gens qui
s'imaginent que je me suis assis dans une chambre noire,
et que je me suis dit : Ouais, je sais ce qui se
passe, c'est un reptile !
JM (Il rit.)
DI : Vous ne rencontrez rien que des gens, pas
vrai ?
BR : Mm-hm.
DI : S'ils vous racontent leurs expériences et que
vous reconstituez le fil de l'histoire, vous avez le
tableau d'ensemble. Ce sont des recherches difficiles...
BR : Est-ce que c'est évident... ?
DI : ...On ne tire pas ça de l'éther, ni d'une
simple conviction.
JM : Oh, voilà pourquoi j'ai dit ça : il existe
bien trop de preuves. Des gens qui... trop de récits, bien
trop de récits.
BR : Voilà pourquoi il est si précieux que vous
veniez avec les histoires dont vous avez connaissance,
sinon tout le monde va penser que c'est David qui est à
l'origine de tout ça, parce qu'il est vraiment difficile
de parler de ces choses-là sans attirer sur soi le
ridicule, et plus les gens en parleront...
JM : Oui ?
BR : ...mieux ce sera accepté, parce que ce sera
vu comme un phénomène, et non comme des histoires stupides
fabriquées par quelqu'un.
JM : J'ai un ami médecin qui possède plusieurs
appartements et il m'a raconté qu'il en avait mis un en
location, qu'un jeune homme était venu pour l'appartement.
Il m'a dit : Je lui posais des questions, et il était
assis sur le canapé, et il a ajouté : Je consultais
des papiers et je l'interrogeais, et quand j'ai levé les
yeux, ils étaient deux. Il était là avec son sosie.
Ils étaient deux maintenant, et ils se sont mis à se
parler ensemble, tous les deux identiques. Et mon ami m'a
dit : J'étais choqué : ils étaient deux maintenant, et
ils se sont mis à se parler ensemble. Ensuite, ils
l'ont tous les deux regardé, et il a ajouté :
J'ai dit à ce gamin : "Qu'est-ce que c'est que ça ?
Qu'est-ce que c'est que ça ? " - Et il m'a
répondu :
"Oh, je suis désolé, c'est mon autre
moi-même."
"Que voulez-vous dire par : 'votre autre vous-même'
?"
"Oh, je suis désolé, Monsieur. Je vous en prie,
continuez !"
Et donc, son double a juste (claquement de doigts)
disparu. Et il a ajouté : Je ne sais pas ce qu'il y a
derrière ça, mais je ne veux pas de vous dans mon
appartement. Je pense donc qu'il y a beaucoup de...
qu'il se passe bien autre chose que des trucs reptiliens.
DI : Hm-hm. Attendez. Je vais faire une remarque.
Il existe des tas de formes différentes.
BR : Hm-hm, ça, c'est pas mal. Hm-hm.
JM : J'aimerais vous parler de l'époque où je
vivais avec ma femme à Hawaï. Et les deux types...
quelqu'un est entré dans le restaurant, je ne savais pas
qui c'était, et il m'a fallu partir en courant. Je vous ai
raconté ça ?
BR : Oh, vous me l'avez raconté, oui. Vous nous
avez raconté l'histoire, et vous avez entendu une voix
dans votre tête, qui vous a dit : Cours, cours, cours,
et c'est ce que vous avez fait.
JM : Tu as des ennuis. Ta vie est en danger.
Cours vite ! Ta vie est en danger ! Cours vite ! Et
c'était involontaire. J'ai couru sans réfléchir. Ils ont
convaincu mon cerveau de le faire. Je me suis levé et j'ai
couru.
BR : C'est exact.
JM : Et je l'ai vraiment fait sans réfléchir.
BR : Oui.
JM : Et j'ai complètement traversé la rue, j'ai
fait le tour de l'Hôtel Hilton, du Hilton Village, je suis
allé jusqu'à l'océan, et la voix m'a dit : Tout va
bien maintenant, tu es en sécurité.
BR : Hm-mm.
JM : Je me suis assis là et... Je ne pouvais pas
croire ce que je venais de faire. Et ça m'est arrivé deux
fois. Ça m'est arrivé une nouvelle fois, plus tard, à Los
Angeles.
BR : Et bien sûr, parce que vous évitiez le danger,
vous n'avez jamais su la nature de ce danger ?
JM : Uh-uh.
BR : (Il rit.) Vous n'aviez pas envie de
traînasser pour savoir ce qui se passait et ce que vous
alliez éviter. (Il rit.)
JM : Parce que je n'avais pas envie de traînasser
pour le savoir. (Il rit.)
BR : Quelle histoire !
JM : Mais... maintenant que j'y repense,
aujourd'hui il me paraît logique que si, comme on me l'a
dit bien des fois, on t'a amené ici, c'est
peut-être parce qu'il existe ici une présence aliène qui
est mon ennemi naturel...
BR : Hm-mm.
JM : ... et je ne suis même pas au courant.
BR : Tout à fait.
JM : Mais quelqu'un m'accompagne ici-bas et est au
courant...
BR : Oui.
JM : …et quand on se rapproche trop de moi, qu'on
est trop près de moi, je ne suis pas du tout préparé à me
confronter à ce type de puissance sombre. Alors ils me
font dégager rapidement !
BR : C'est la solution la plus facile, oui, c'est
vrai.
JM : C'est comme lorsqu'il y a un type du FBI dans
une émeute et que les émeutiers le découvre ?
BR : Hm-mm.
JM : Le FBI doit intervenir et l'exfiltrer
rapidement, sinon c'est un homme mort.
BR : Oui.
JM : Tous les gens qu'il évite là... sa vie est en
danger. Donc... genre : 'Faut que je me tire de là en
vitesse ! J'ai donc couru.
BR : Hm-mm.
JM : J'ai un excellent film en couleur de Bush
père, qui fait un geste de la main à quelqu'un, et on
zoome sur lui en train de faire le geste, et il est palmé.
BR : (en riant) Palmé ?
JM : Oui.
BR : Des mains palmées ?
JM : Oui !
BR : C'est bien la première fois que j'entends
parler de ça !
JM : Oui, j'ai le film, je vous le montrerai.
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