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David Icke - Jordan Maxwell

Histoires reptiliennes





Transcription et traduction : The Avalon Translation Project



Le 18 mai 2010

Cliquez ici pour écouter l'enregistrement audio MP3 (en anglais)

Bill Ryan (BR) : Bonjour ! Ici Bill Ryan, de Project Avalon, et vous allez entendre une conversation impromptue, spontanée, prise au cours d'un repas, entre David Icke et Jordan Maxwell. Elle a été enregistrée le 18 mai 2010, et ils sont en train de se régaler mutuellement avec des récits de chercheurs liés à l'activité des reptiliens sur Terre.

C'est important car, comme beaucoup d'entre vous le savent, David Icke a de fait été le premier à parler dans son livre, The Biggest Secret, de ce domaine de recherche très exigeant et très perturbant. Mais beaucoup d'autres chercheurs, et Jordan Maxwell en particulier, ont appris qu'il y avait là matière à enquête. Eux aussi ont leurs récits. Ils possèdent leurs propres histoires, recueillies auprès de témoins indépendants.

Il y a ici quelque chose d'extrêmement important à comprendre, et les nouvelles sont alarmantes. Le sujet est distrayant, bien sûr, pour des raisons qui lui sont propres, mais derrière le divertissement et les histoires intéressantes, se dissimulent des objectifs très négatifs, qu'il est à mon avis, de notre responsabilité d'examiner attentivement, afin de comprendre le mieux possible ce qui pourrait arriver.

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BR : Ce groupe de gens-là rapporte une histoire extraordinaire.

Jordan Maxwell (JM) : Oh, [qui s'est passée] dans la Vallée ?

BR : Oui, elle vaut la peine d'être entendue.

David Icke (DI) : D'accord.

BR : Ce n'est qu'une petite histoire. Juste une de ces choses si étranges qu'elles ne peuvent être que vraies.

JM : Je participais à une interview à Los Angeles pour une émission radio de Las Vegas. Ils m'avaient appelé [peu audible] pour faire pour eux une interview de deux heures et, en cours de route -- comme ça, en passant -- j'ai fait allusion aux dieux reptiliens et aux aliens reptiliens. Si bien qu'après l'émission j'ai reçu un coup de fil d'un type, dont j'ai découvert plus tard qu'il était très riche et qui, comme je l'ai dit, possédait une entreprise d'achat et de vente d'hôtels, des gros trucs.

DI : D'accord.

JM : Il m'a appelé et il m'a dit : Jordan, nous vous avons écouté ce matin au bureau. Et il a ajouté : Il faut que je vous dise quelque chose : j'ai cinq gars qui travaillent pour moi dans mon bureau. Nous sommes tous chrétiens et nous allons tous à la même église. Une fois par an, j'emmène les cinq familles chez moi et nous partons chaque fois tous en vacances ensemble. L'an dernier -- ça devait se passer autour de 89 -- l'an dernier, nous sommes tous partis faire du camping dans le Colorado.

Un matin, nous avons levé le camp, nous sommes montés en haut d'une grande colline et nous avons contemplé la vallée, en contrebas. Dans la vallée, quelqu'un avait fait une clairière, on avait dégagé une zone circulaire, et il s'y trouvait des gens en robe, debout en rond. Ils se tenaient tous par les mains, et ils se penchaient d'avant en arrière, comme s'ils psalmodiaient, et il y avait quelqu'un au milieu. En regardant ça, nous étions surpris de voir ces gens venus de nulle part.

DI : D'accord.

JM : Ils sortaient de nulle part. Ils exécutaient un rituel, d'accord ? Et il a ajouté : Tout d'un coup est apparu au centre quelqu'un d'autre -- comme ça, pouf ! -- mais il était bien plus grand que tous les autres. Quand cette chose est apparue, elle nous a montrés du doigt, et tous les chants se sont arrêtés, tout s'est arrêté, et tout le monde s'est retourné, et a levé la tête vers nous.

Bon, nous étions au sommet de la montagne, nous étions sur le point de partir. Nous avons fait demi-tour, mais c'était déjà trop tard.

La chose qui était dans le cercle était [maintenant] derrière eux. Il a dit qu'elle mesurait au moins 2,30 m à 2,40 m.

DI : Oui, c'est un classique du genre.

JM : Hein ?

DI : Oui, c'est classique.

JM : Oui, et il a ajouté : La chose mesurait 2,30 m à 2,40 m, un reptile. Nous étions tous paralysés, on ne pouvait plus bouger, même les enfants. Personne ne pouvait bouger. Puis l'être nous a d'abord tous regardés, puis il s'est finalement concentré sur les hommes.

Et quand il nous regardait, nous savions ce qu'il pensait. Il disait en gros : "Je vais vous laisser partir pour cette fois, mais vous avez intérêt à filer, parce que vous avez interrompu quelque chose." Et l'être s'est éloigné en marchant, et les gens le regardaient s'en aller. (Jordan émet un petit bruit très bref) Il avait disparu.

DI : Classique.

JM : Il a dit ensuite : Immédiatement après sa disparition, tout le monde s'est mis à hurler.

Parce qu'ils étaient revenus à eux. Ils avaient récupéré leurs facultés. Il a ajouté : Les enfants hurlaient, les femmes criaient et pleuraient, mais nous sommes tous, sans exception, revenus en courant aux voitures, et nous sommes rentrés à la maison, basta.

Nous sommes tous des Chrétiens de la même église, et nous vous avons entendu parler d'aliens reptiles. J'ai des nouvelles pour vous : nous savons qu'il y en a au moins un sur Terre, ça nous en sommes sûrs, parce que nous l'avons vu, tous.

DI : Un système de contrôle.

BR : Donc, voilà l'histoire que vous avez entendue...

DI : Ah oui.

BR : ...vous avez d'autres histoires de ce genre, oui.

DI : Oui, et des tailles d'1,80 m, 2,30 m ou 2,40 m sont constamment signalées dans les descriptions. Je n'en ai jamais parlé à Bill avant. Quand je suis allé en Amérique et que j'ai commencé à collecter pour la première fois ces histoires -- j'y avais déjà songé, mais il n'y avait rien de tangible et puis, tout à coup, j'ai parcouru l'Amérique...

J'ai rencontré douze personnes différentes en quinze jours. Elles m'ont raconté la même histoire de base sur la métamorphose reptilienne, etc. Je suis rentré en Angleterre, et dans la rue, dans ma ville, une femme a voulu me rencontrer pour me parler d'un type nommé Ted Heath, premier ministre britannique de 77 à...

BR : Oh vraiment ? Ted Heath. Oui, oui.

JM : Oh oui.

DI : Un sataniste. Je veux dire, j'ai vécu quelque chose d'incroyable à son sujet, lui et ses yeux noirs, je vous ai parlé de lui.
 
BR : Hmm.

DI : Elle m'a donc dit qu'elle s'était mariée, victime du contrôle mental. Sophia-Ann, d'Écosse. Elle a été élevée en Écosse par des francs-maçons de rite écossais. Et son mari était le gardien d'un endroit nommé Burnham Beeches.  

Burnham Beeches est une zone de flics, de bois et de clairières située à l'ouest de Londres, près de Slough, à environ 25 minutes en voiture de Chequers, la résidence campagnarde du premier ministre, l'équivalent de Camp David. Et elle appartient à la City de Londres, le district financier, d'accord. Parce que lorsque vous y allez, vous voyez partout le logo de la City de Londres : deux reptiles volants tenant l'écu des Chevaliers du Temple.

BR : (Il rit.)

JM : Oui.

DI : Bon, elle m'a raconté cette histoire. Elle m'a raconté qu'elle était en gros prisonnière, et que son mari était sataniste, et que le gardien de Burnham Beeches est toujours un Sataniste -- ils possèdent une maison dans le coin, dans cette zone, en plein milieu des bois. Et il est sataniste parce que son travail consiste à organiser les rituels nocturnes et certains jours de rituels. Une fois la nuit tombée, je suppose qu'on peut se balader à pied, mais toutes les routes sont fermées.

BR : Hmm.

DI : On ne peut pas y faire entrer une voiture. Elle m'a donc raconté : Un soir, j'étais dehors avec le chien.

Ça se passait entre 70 et 74. Elle ne m'a pas indiqué l'année, mais ça ne pouvait être que ça, parce que Heath était premier ministre alors. Elle m'a dit qu'elle avait vu des lumières, qu'elle s'était rapprochée à pas de loup et qu'elle avait regardé à travers les feuillages et les buissons.

Et elle a vu des gens habillés de robes et disposés en cercle, et elle a remarqué que le gars qui dirigeait tout était Ted Heath et, en regardant un peu mieux, elle a vu qu'à ses côtés, du côté droit, je crois, se trouvait un type nommé Anthony Barber, qui était à l'époque Chancelier de l'Échiquier (ministre des finances - Ndt).

BR : Tony Barber, oui.

DI : Tony Barber, oui...

BR : Oui.

DI : ...qui a eu un rôle dévastateur pour l'économie britannique. Quoi qu'il en soit, ils sont dans ce cercle, elle a dit qu'ils faisaient ces chants et ces rituels, et elle m'a tout raconté. Et -- parce que j'avais déjà entendu des choses sur Ted Heath par d'autres sources, elle ne m'a pas étonné du tout -- et ce parce que je rentrais juste d'Amérique. J'ai bu une tasse de thé et j'ai fait : Bon, je m'en vais, et j'ai posé ma tasse de thé, et elle, elle était assise là.

Je lui ai seulement dit : Savez-vous, je vis en ce moment des expériences très bizarres. Je n'arrête pas de rencontrer des personnes qui me racontent avoir vu des gens se transformer en reptiles. J'ai tourné la tête, et j'ai juste entendu (Il fait un bruit de forte inspiration) ; je me suis retourné, et elle : Oh mon Dieu, je croyais que j'étais la seule. Elle ajoute : Je n'avais pas l'intention de vous en parler. J'ai pensé que je vous avais déjà raconté assez de bêtises comme ça.

Et elle a poursuivi en me racontant qu'elle avait été témoin de ce rituel et que soudain Heath se transforme en reptilien, grandit de 60 cm, et elle ajoute : Une fois qu'il a fait ça... vous savez ce qui m'a le plus choquée ? Personne dans le cercle n'a bougé, ni n'a semblé surpris, ni n'a réagi !

Puis elle a dit : Une fois en mode reptile, il s'est mis à parler -- et elle a précisé : comme dans les vieilles lignes téléphoniques transatlantiques, avec des interruptions et des choses comme ça.

JM : Oh oui.

DI : Et elle m'a dit qu'après ça, quand elle marchait, spécialement au crépuscule, quand il commence à faire sombre... 

JM : Mm-hm.

DI : ...entre chien et loup, elle m'a dit qu'elle voyait des gens, toujours en robe, la tête couverte, et que leur visage était reptilien. Je suis allé voir là-bas, et c'est un endroit horrible. C'est horrible, Burnham Beeches.

BR : Hmm.

DI : Mais c'est comme ces gens-là. On me dit : Vous voyez des satanistes partout ! Mais non ! Je leur réponds que je ne vois partout des satanistes que dans les échelons supérieurs de la société.

JM : (Il rit.) Oui.

DI : Ce n'est pas la même chose !

JM : Non.

DI : Il y en a une proportion énorme, par rapport à la population générale.

BR : Hmm.

DI : Bien sûr que ça fait beaucoup. Partout où vous allez dans le monde... Credo Mutwa parle des Chitauri. Ils font entre 2,15 m et 2,45 m de haut.

JM : Mm-hm.

DI : Ça arrive constamment.

BR : Même thème.

DI : Oui.

BR : Oui.

JM : Et il y a cette autre histoire, sur Nancy.

BR : David n'en a peut-être pas entendu parler. Vous devriez raconter l'histoire de Nancy.

DI : Qui est du même genre ?

BR : Nous l'avons déjà enregistrée, mais c'est une histoire fantastique, fantastique !  

JM : J'ai une jeune amie qui est absolument... Il n'y a pas de mots pour le dire. Cette jeune femme est une amie très chère. Elle connaît énormément de choses sur les reptiliens parce que son père... Elle m'a montré toutes les photos de famille, et tout et tout, son père était officier dans l'Air Force, responsable du Project Retrievables (Projet Récupération), donc chaque fois qu'un OVNI se manifestait sur Terre...

DI : D'accord.

JM : ...il était chargé de l'enquête. Elle m'a dit : Nous allions de base en base, et nous n'habitions jamais longtemps au même endroit. Elle a ajouté... qu'ils avaient chaque fois le téléphone, mais quand ce téléphone sonnait, ça signifiait que lui, le père, disposait alors de dix minutes pour s'habiller et être prêt à partir avec sa mallette, et les militaires arrivaient en voiture devant la maison, frappaient à la porte, et elle m'a dit qu'ils ne prononçaient pas un mot. Rien.

Des coups à la porte, il sortait, montait dans la voiture, ils partaient, et quand ils s'en allaient, des militaires étaient postés -- quatre, un à chaque angle de la maison -- jusqu'à son retour. Que ça dure une semaine, ou un mois, n'avait aucune importance : ils étaient là pour garder la maison après son départ, même sur la base. C'est ce qu'elle m'a dit, et donc, on ne l'autorisait jamais à rester à la maison, même sur la base. Elle n'était jamais autorisée à rester toute seule chez elle. Son père ne le permettait pas.

Une fois, son père et sa mère sont allés à une soirée, à deux ou trois maisons de là, pour rendre visite à des amis de la base, et elle a demandé à sa mère de lui permettre de rester à la maison, parce qu'ils n'allaient pas être loin, mais le père a froidement refusé. Bon, la mère a finalement pu obtenir du père qu'il accepte. Il a finalement accepté. Ils sont donc partis chez le voisin, et elle m'a dit qu'elle était enfin toute seule à la maison, pour la première fois de sa vie.

Elle a raconté qu'elle était assise dans sa chambre, à se brosser les cheveux, qu'elle avait une petite glace, et que derrière elle se trouvait une penderie. Et pendant qu'elle se brossait les cheveux, la porte de la penderie a coulissé, et un reptile en est sorti, mais il a fallu qu'il se baisse pour sortir du placard.

DI : Elle a eu de la chance !

JM : Il était debout là -- ouais -- et il touchait presque le plafond, qui était à une hauteur de 2,30 m à 2,45 m. Elle m'a raconté qu'il l'a regardée, et qu'elle le voyait dans sa glace, et elle m'a dit : Je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie, parce que c'était un reptile ! Elle l'a dévisagé, et il l'a dévisagée. Et elle a ajouté : Il a commencé à se déplacer, mais pas en marchant. En flottant dans l'air...

DI : Mm-hm.

JM : ...dans sa direction. Elle m'a dit : J'ai eu l'impression qu'il lévitait vers moi. Je savais qu'il se rapprochait, et elle m'a raconté qu'elle avait bondi sur ses pieds, trébuché, parcouru le couloir en courant, elle s'était précipitée dans la salle de bain, avait verrouillé la porte, ouvert la fenêtre et s'était mise à hurler. Bon, tout le voisinage l'a entendue !

Et puis, cet être, elle l'a senti parcourir le couloir -- il était très lourd -- il l'a suivie dans le couloir et il s'est mis à grogner comme un animal et à se faire les griffes sur la porte de la salle de bains. Et elle a raconté que lorsque son père et les voisins sont arrivés en courant, cette chose les a entendus, et s'en est retournée.

Elle a ajouté : Il a juste refait le couloir en sens inverse et il est retourné dans la chambre. Et quand son père est entré, a-t-elle dit, et qu'ils l'ont sortie de là, il y avait d'énormes traces de griffes sur la porte de la salle de bains. Et son père a dit : Voilà pourquoi je ne voulais pas qu'elle reste toute seule. Voilà la raison !

Puis il leur a raconté -- à tous, il l'a dit à la famille -- Ces reptiles aliènes nous ont prévenu qu'ils en avaient assez de nous voir fourrer le nez dans leurs affaires, alors ils m'ont dit : "Rappelez-vous, si vous sortez mettre le nez dans nos affaires, nous vous enverrons quelqu'un chez vous." Et il a ajouté : Voilà pourquoi des militaires gardaient toujours la maison, même sur la base, parce que ces machins sont interdimensionnels.

DI : Oui, absolument.

BR : Ouais.

DI : Absolument, absolument.

JM : Ils peuvent apparaître quand ils veulent.
 
DI : Absolument.

BR : Non pas que placer des gardes aux coins de la maison fasse grande différence, si le machin se matérialise tout à coup dans la penderie... (Il rit.)

JM : Il marque un point ! (Il rit.)

DI : C'est leur façon de penser, n'est-ce pas ?
 
JM : Oui.

DI : C'est leur façon de penser. Je vais avoir des hommes armés. Ça va nous en débarrasser.

JM : Oui.

JM : (Il rit) Pas du tout.

BR : Mais ça nous fait nous demander combien de fois ces choses arrivent sans que nous en entendions parler.

DI : Oh, absolument. Des tas et des tas de fois. J'ai rencontré à Vancouver une femme d'affaires qui en tremblait encore lorsqu'elle m'a raconté son histoire, et c'était arrivé il y a des années. Elle avait rencontré un type. Elle disait de lui qu'il avait un côté sombre, mais aussi un bon côté.

Elle l'a ramené à la maison, et ils sont allés dans la chambre pour faire l'amour, et il y avait là mon tout premier livre, The Biggest Secret -- ça remonte donc à 98 à peu près, ou 97 peut-être -- debout sur une étagère au-dessus du lit. Il a piqué sa crise, m'a-t-elle raconté, et il lui a passé un savon parce qu'elle lisait ce genre de trucs.

Et elle a ajouté : Tant et si bien qu'il a fallu que j'achète deux fois votre bouquin, parce que je m'en suis débarrassé après cet incident. Et plus tard j'ai pensé : maintenant je le relirais bien !

Ils commencent donc à faire l'amour, m'a-t-elle raconté, il est au-dessus d'elle et il commence à devenir vraiment brutal, et elle, elle se met à paniquer. Et elle m'a dit : J'avais ma main sur le bas de son dos, tout au bas de son dos, et soudain elle a été repoussée par quelque chose. J'ai regardé par-dessus mon épaule et une fichue queue lui avait poussé !

JM : Mm-hm.

DI : La queue avait repoussé sa main. Elle a hurlé et l'a jeté hors du lit. Et il est resté debout là, une fraction de seconde, peut-être deux, sous son aspect de reptilien, puis il a juste repris sa forme humaine et a quitté la maison aussi vite qu'il a pu. J'ai entendu ces histoires-là tant de fois, savez-vous. Il a des gens qui s'imaginent que je me suis assis dans une chambre noire, et que je me suis dit : Ouais, je sais ce qui se passe, c'est un reptile !

JM (Il rit.)

DI : Vous ne rencontrez rien que des gens, pas vrai ?

BR : Mm-hm.

DI : S'ils vous racontent leurs expériences et que vous reconstituez le fil de l'histoire, vous avez le tableau d'ensemble. Ce sont des recherches difficiles...

BR : Est-ce que c'est évident... ?

DI : ...On ne tire pas ça de l'éther, ni d'une simple conviction.

JM : Oh, voilà pourquoi j'ai dit ça : il existe bien trop de preuves. Des gens qui... trop de récits, bien trop de récits.

BR : Voilà pourquoi il est si précieux que vous veniez avec les histoires dont vous avez connaissance, sinon tout le monde va penser que c'est David qui est à l'origine de tout ça, parce qu'il est vraiment difficile de parler de ces choses-là sans attirer sur soi le ridicule, et plus les gens en parleront...

JM : Oui ?

BR : ...mieux ce sera accepté, parce que ce sera vu comme un phénomène, et non comme des histoires stupides fabriquées par quelqu'un.

JM : J'ai un ami médecin qui possède plusieurs appartements et il m'a raconté qu'il en avait mis un en location, qu'un jeune homme était venu pour l'appartement. Il m'a dit : Je lui posais des questions, et il était assis sur le canapé, et il a ajouté : Je consultais des papiers et je l'interrogeais, et quand j'ai levé les yeux, ils étaient deux. Il était là avec son sosie.

Ils étaient deux maintenant, et ils se sont mis à se parler ensemble, tous les deux identiques. Et mon ami m'a dit : J'étais choqué : ils étaient deux maintenant, et ils se sont mis à se parler ensemble. Ensuite, ils l'ont tous les deux regardé, et il a ajouté :

J'ai dit à ce gamin : "Qu'est-ce que c'est que ça ? Qu'est-ce que c'est que ça ? " - Et il m'a répondu :

"Oh, je suis désolé, c'est mon autre moi-même."
"Que voulez-vous dire par : 'votre autre vous-même' ?"
"Oh, je suis désolé, Monsieur. Je vous en prie, continuez !"

Et donc, son double a juste (claquement de doigts) disparu. Et il a ajouté : Je ne sais pas ce qu'il y a derrière ça, mais je ne veux pas de vous dans mon appartement. Je pense donc qu'il y a beaucoup de... qu'il se passe bien autre chose que des trucs reptiliens.

DI : Hm-hm. Attendez. Je vais faire une remarque. Il existe des tas de formes différentes.

BR : Hm-hm, ça, c'est pas mal. Hm-hm.

JM : J'aimerais vous parler de l'époque où je vivais avec ma femme à Hawaï. Et les deux types... quelqu'un est entré dans le restaurant, je ne savais pas qui c'était, et il m'a fallu partir en courant. Je vous ai raconté ça ?

BR : Oh, vous me l'avez raconté, oui. Vous nous avez raconté l'histoire, et vous avez entendu une voix dans votre tête, qui vous a dit : Cours, cours, cours, et c'est ce que vous avez fait.

JM : Tu as des ennuis. Ta vie est en danger. Cours vite ! Ta vie est en danger ! Cours vite ! Et c'était involontaire. J'ai couru sans réfléchir. Ils ont convaincu mon cerveau de le faire. Je me suis levé et j'ai couru. 

BR : C'est exact.

JM : Et je l'ai vraiment fait sans réfléchir.

BR : Oui.

JM : Et j'ai complètement traversé la rue, j'ai fait le tour de l'Hôtel Hilton, du Hilton Village, je suis allé jusqu'à l'océan, et la voix m'a dit : Tout va bien maintenant, tu es en sécurité.

BR : Hm-mm.

JM : Je me suis assis là et... Je ne pouvais pas croire ce que je venais de faire. Et ça m'est arrivé deux fois. Ça m'est arrivé une nouvelle fois, plus tard, à Los Angeles.

BR : Et bien sûr, parce que vous évitiez le danger, vous n'avez jamais su la nature de ce danger ?

JM : Uh-uh.

BR : (Il rit.) Vous n'aviez pas envie de traînasser pour savoir ce qui se passait et ce que vous alliez éviter. (Il rit.)

JM : Parce que je n'avais pas envie de traînasser pour le savoir. (Il rit.)
 
BR : Quelle histoire !

JM : Mais... maintenant que j'y repense, aujourd'hui il me paraît logique que si, comme on me l'a dit bien des fois, on t'a amené ici, c'est peut-être parce qu'il existe ici une présence aliène qui est mon ennemi naturel...

BR : Hm-mm.

JM : ... et je ne suis même pas au courant.

BR : Tout à fait.

JM : Mais quelqu'un m'accompagne ici-bas et est au courant...

BR : Oui.

JM : …et quand on se rapproche trop de moi, qu'on est trop près de moi, je ne suis pas du tout préparé à me confronter à ce type de puissance sombre. Alors ils me font dégager rapidement !

BR : C'est la solution la plus facile, oui, c'est vrai.

JM : C'est comme lorsqu'il y a un type du FBI dans une émeute et que les émeutiers le découvre ?

BR : Hm-mm.

JM : Le FBI doit intervenir et l'exfiltrer rapidement, sinon c'est un homme mort.

BR : Oui.

JM : Tous les gens qu'il évite là... sa vie est en danger. Donc... genre : 'Faut que je me tire de là en vitesse ! J'ai donc couru.

BR : Hm-mm.

JM : J'ai un excellent film en couleur de Bush père, qui fait un geste de la main à quelqu'un, et on zoome sur lui en train de faire le geste, et il est palmé.

BR : (en riant) Palmé ?

JM : Oui.

BR : Des mains palmées ?

JM : Oui !

BR : C'est bien la première fois que j'entends parler de ça !

JM : Oui, j'ai le film, je vous le montrerai.


Cliquez ici pour écouter l'enregistrement audio MP3 (en anglais)



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Bill Ryan

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