Traduction et sous-titrage, par The Avalon Translation Project,
d'une interview du site originel de Project Camelot.
Saint-Pétersbourg (Russie), 2007
Filmé, édité et dirigé par Kerry Cassidy et Bill
Ryan.
Début de l’entretien
KERRY CASSIDY (KC) : Ici Kerry Cassidy, de Projet
Camelot. Nous sommes ici avec Valery Uvarov, et nous
sommes très heureux d’être à Saint-Pétersbourg, en
Russie, comment dites-vous en russe : Sankt-… ?
VALERY UVAROV (VU) : Sankt-Peterbourg (Rires.)
KC : Sankt-Peterbourg, d’accord ! C’est
une belle ville, et vous êtes une personne très
intéressante, nous sommes très heureux d’être accueillis
chez vous. Vous êtes un hôte très charmant et nous vous
remercions sincèrement.
VU : Vous êtes plus que les bienvenus, mes amis !
KC :(Rires.) Merci ! Alors, nous allons
commencer avec ce qui vous convient, par tout ce que
vous aimeriez nous dire de vous. Pour commencer, nous
aimerions connaître votre histoire. Comment êtes-vous
arrivé là où vous en êtes aujourd’hui ? Nous savons que
vous travaillez actuellement avec le
gouvernement, n’est-ce pas ?
(Illustration) : Valery Uvarov, Responsable du
département de recherche sur les OVNI, les
Paléosciences et la Paléotechnologie à l’Académie de
la Sécurité Nationale de Russie.
VU : Et bien, oui. Plus ou moins. Tout a basculé
dans ma vie en 1989. Avant, j’étais un musicien
professionnel, j’étudiais les mathématiques, et
j’étudiais également l’art, je peignais. A cette époque,
je me suis rendu compte tout à coup que la musique que
je jouais, que toute la vie que je menais… étaient un
peu différentes de ce qui se passait dans la réalité
autour de moi. Je venais de comprendre que notre
civilisation, notre Planète avait certains problèmes, et
que je devais faire un choix : ou bien jouer de la
musique comme je le faisais avant, ou bien essayer de
résoudre certains des problèmes que je voyais autour de
moi, dans cette vie-ci. Et j’ai fait mon choix.
En 1989, je suis allé à une conférence sur les OVNI, ici
en Russie. Et j’y ai rencontré beaucoup de gens très
intéressants (inaudible). J’ai beaucoup
d’histoires très intéressantes. Et quelque chose a
changé en moi, tout a été bouleversé, et je me suis
décidé : j’ai renié la musique, j’ai tout renié de ma
vie, et j’ai décidé de me consacrer entièrement à mes
recherches sur les OVNI, à l’histoire actuelle de notre
Planète et celle de notre civilisation, et d’essayer de
contribuer à ce que notre civilisation devienne
meilleure. Alors…
KC : Est-ce que… Est-ce une éventuelle rencontre
avec des visiteurs, pour les appeler ainsi, qui vous a
incité à aller à cette conférence sur les OVNI ?
Consciemment ? On bien y êtes-vous allé inconsciemment,
sans savoir pourquoi ?
VU : J’ai rencontré quelqu’un dans mon enfance.
Mais à cette époque, je n’ai pas réalisé ce qui se
passait. Pour moi, c’était quelque chose, je dirais,
d’habituel, d’étrange mais d’habituel. Alors, j’ai
commencé à avoir d’étranges visions, l’Univers, des
engins spatiaux volants, d’autres choses encore, j’étais
fou de tous les films, de tous les livres qui traitaient
d’extraterrestres et de science-fiction. Cela, je l’ai
toujours eu en moi probablement. Mais en cette année-là,
en 1989, c’était comme une déformation et une
transformation, et j’ai soudain clairement compris que
cette nouvelle voie était pour moi la vraie voie.
KC : Quel âge aviez-vous alors ?
Approximativement ?
VU : Et bien, approximativement ? (Rires.)
J’avais 36 ans, et tout a changé, j’en suis heureux, à
vrai dire. Vraiment, maintenant, je suis un homme qui a
beaucoup de chance, je fais ce que j’adore faire, j’ai
fait quelques très grandes découvertes, et j’espère que
je partagerai aujourd’hui avec vous quelques idées très
intéressantes.
KC : Et vous avez également écrit des livres?
VU : Oui, j’ai écrit quelques livres, et quelques
articles. Je publie également le magazine Nexus
en russe, principalement en tant qu’éditeur.
KC : Merveilleux. Et avant, je vous ai vu
interviewé dans Secret Space, c’était une vidéo
de Chris Everard sur le programme spatial, vous savez
également des choses là-dessus, n’est-ce pas ?
VU : Oui, c’est vrai.
KC : Vous avez aussi une formation en
mathématiques, pouvez-vous nous en parler, qu’est ce que
c’est ?
VU : Oui, j’ai étudié à l’Institut Polytechnique
de Saint Pétersbourg.
KC : Je vois. Avez-vous un diplôme reconnu, ou
bien s’agit-il seulement de plusieurs années
d’étude ?
VU : Juste de plusieurs années d’étude, et quand
cette année est arrivée, j’ai tout lâché, je me suis
juste concentré, complètement focalisé sur mes
recherches, alors j’ai laissé tomber tout le reste et
j’ai commencé ce que je devais commencer. Mais en même
temps, étant musicien professionnel, peintre et par
ailleurs mathématicien, c’était beaucoup plus facile
pour moi de comprendre ce qui se passait, je pouvais
voir un événement, ou disons, un objet et le voir de
différents points de vue : en tant que musicien, en tant
que mathématicien… c’était beaucoup plus facile.
KC : Donc, vous avez un côté artistique, et un
côté scientifique…
VU : Oui.
KC : C’est très intéressant. Et alors, comment
dire, la musique et les mathématiques comportent
beaucoup de similitudes, n’est-ce pas ?
VU : D’une certaine façon, oui. Je peux regarder
les choses très librement. Je ne suis pas limité au
domaine étriqué d’une science. Un mathématicien ne peut
regarder le monde que comme un mathématicien, d’accord ?
Moi – non. J’essaye de voir l’événement de différents
points de vue, et cela devient compréhensible pour moi.
Spécialement en ce moment, quand j’ai besoin de voir
quelque chose de caché, par exemple des événements dans
l’histoire de notre civilisation, j’ai besoin d’ouvrir
mon esprit et d’essayer de comprendre ce qui ce cache
derrière cet événement, c’est pourquoi j’ai besoin
d’avoir un esprit très ouvert, et d’être musicien,
mathématicien et artiste, c’est très utile.
KC : Quelle est votre fonction ou poste actuel
dans le milieu ufologique ou au sein du gouvernement ?
Avez-vous actuellement un poste précis ?
VU : Oui, cela s’est passé de la façon suivante :
ces gens de l’armée et du gouvernement, qui ont effectué
depuis de nombreuses années des recherches sur les OVNI,
ont entendu parler de moi et m’ont invité à faire partie
de leur groupe.
KC : Je vois.
VU : En réalité, c’est comme ça que ça s’est
passé. Ils m’ont invité et il y a par exemple deux ou
trois organisations qui m’aident dans mes recherches, je
m’exprime librement : j’ai recours à eux lorsque j’ai
besoin d’accéder à des banques de données secrètes, ou
bien pour accéder à des informations que je ne peux pas
trouver dans les bibliothèques. C’est pour cette raison
que je fais partie de cette organisation militaire.
KC : Vous avez effectué des recherches sur les
pyramides et également sur l’énergie des pyramides.
Peut-être vous donnent-ils accès aux Pyramides ou au
Sphinx ?
VU : Oui, c’est sûr, mais par ailleurs je
m’intéresse à la science cachée derrière les pyramides.
Je suis absolument convaincu que ces gens que nous
connaissons, que nous appelons les hiérophantes, les
anciens Egyptiens, en fait pas des Egyptiens actuels –
des prêtres atlantes, des prêtres d’après l’Atlantide.
C’étaient des scientifiques de très, très haut niveau,
j’en suis complètement sûr, et actuellement je suis
profondément intéressé par les connaissances cachées
dans les pyramides, dans les temples et dans tout ce
qu’ils ont utilisé. Tout d’abord, ils ont développé des
capacités angéliques [sic], qui plus tard les
ont aidés à s’ouvrir à une super sensibilité puis, par
ailleurs, à la voyance. Ils avaient la plupart de ces
capacités, et vous savez que ce sont des capacités
inhabituelles. C’était un peuple très, très puissant.
Nous nous développons actuellement d’une toute autre
façon. C’est pourquoi il était de mon plus grand intérêt
de voir ce qu’ils avaient éventuellement atteint, ce
qu’ils ont laissé de côté et ce qu’ils ont utilisé. Et
bien, après avoir fait des recherches sur des textes
anciens, j’en suis très tôt arrivé à la conclusion
suivante : toutes leurs connaissances, ils les ont
reçues en cadeau d’une civilisation extra-terrestre
très, très avancée. Et lorsque j’ai compris cela, je me
suis dit : « Ce que je dois faire maintenant c’est
essayer de trouver une partie de cette connaissance,
même petite, laissée quelque part : sur le mur d’un
temple, dans les pyramides, dans les textes anciens,
je dois la découvrir, l’analyser, et en extraire tout
le savoir possible. »
KC : Donc, vous avez commencé cette quête, je
suppose, après votre prise de conscience en 1989, et
maintenant nous sommes en 2007. Pendant toutes ces
années vous avez travaillé, vous avez écrit des livres
sur les pyramides et vous êtes en train de construire
une pyramide, si je comprends bien. Cela est-il exact ?
VU : Oui. Nous sommes en train de construire une
grande pyramide en pierre à partir des connaissances que
j’ai acquises en faisant des recherches sur les
anciennes pyramides de différentes civilisations.
KC : Et en quoi consistent ces connaissances ?
Pouvez-vous me donner quelques informations cruciales
sur… Vous êtes finalement en train de construire, en
fait, plus d’une pyramide, en Russie, pas très loin
d’ici ?
VU : Oui. Ce n’est qu’à une centaine de
kilomètres de Saint-Pétersbourg. Nous avons trouvé un
endroit très, très ancien où les gens pratiquaient des
sortes de rituels depuis des centaines d’années. Il
s’agit d’une faille, comme une cassure, d’où un faisceau
d’énergie s’échappe de terre… Alors, j’ai en fait tout
construit en suivant les directives apportées par le
savoir ancien. Donc, nous avons trouvé le bon endroit,
en fait, il y a là-bas trois très bons endroits. Et
maintenant, nous sommes en train de construire une
pyramide à l’un de ces trois endroits (NdT.
Construction terminée en 2009 – voir http://pyramids.iicufi.org/index.php?id=55&L=1)
KC : Je vois, alors c’est un vortex d’énergie que
vous avez trouvé…
VU : Oui, c’est plutôt un grand vortex d’énergie, et
c’est le moment idéal pour le faire. Et aussi, j’en suis
venu à la stricte conclusion que ce que notre
civilisation sait aujourd’hui au sujet des pyramides et
de leurs effets, n’est pratiquement rien en comparaison
avec la réalité. C’est pour cette raison que nous avons
décidé d’en fabriquer une à partir de nos connaissances
et non en respectant la forme ou les proportions réelles
des pyramides sur lesquelles nous avons effectué des
recherches. Non, car cela ne tiendrait pas compte de
toutes les informations. Elles ne sont pas suffisantes,
il nous en faudrait beaucoup plus. Tout d’abord, lorsque
les anciens prêtres construisaient les pyramides, ils le
faisaient en essayant de les régler sur la fréquence
d’une certaine personne, par exemple, un pharaon ou un
prêtre.
La pyramide de Chéops est un instrument un peu
différent, et j’ai toujours voulu comprendre ce qui
faisait de cette pyramide un instrument si puissant,
pouvant non seulement influencer notre système
énergétique mais également développer nos capacités.
Comment avoir accès – écoutez bien – aux dimensions
parallèles de la Terre et du Temps, nous sommes à un
moment crucial, parce que c’est là qu’on peut trouver
des informations au sujet de l’histoire de la planète
Terre, et non seulement sur son passé, mais également
sur son avenir. On peut donc glaner des choses
inimaginables. C’est ce à quoi j’ai consacré l’ensemble
du livre que je viens d’écrire et de publier ici, en
Russie.
Il s’appelle The Pyramids. Le voici (Il va
chercher le livre.). Je pense qu’il va être de la
même couleur dans sa version anglaise. Je pense que le
livre sera bientôt publié en anglais. Et ici vous pouvez
voir les traductions d’anciens textes, vous comprendrez
complètement les centres d’intérêts des prêtres anciens.
Pourquoi ont-ils consacré tant d’années, ainsi qu’autant
d’argent, à la simple édification d’une énorme pyramide
? Pourquoi ? Juste comme sépulture pour le pharaon ?
Non, non, c’est pour des raisons tout à fait
différentes, et nous avons décidé d’accéder aux mêmes
possibilités maintenant en construisant notre pyramide.
Alors, nous avons trouvé l’endroit, nous avons trouvé
les connaissances. A l’intérieur de la pyramide que nous
sommes en train de construire maintenant, il y aura 25
résonateurs. Dans la pyramide de Chéops, on en connaît
au moins trois. Trois chambres. Dans notre pyramide, il
y en aura 25…
KC : Je vois. Mais êtes-vous en train de dire que
vous allez utiliser le pouvoir des cristaux ?
VU : Nous allons mettre en place là des sources
d’énergie, pas seulement des cristaux, ses sources
d’énergie, parce que si vous créez une pyramide sans
source d’énergie, vous n’obtiendrez jamais ne serait-ce
que ce que vous imaginiez obtenir.
KC : Le vortex, n’est-il pas la source principale
d’énergie… ? Non ?
VU : Non, non, c’est comme un gaz. Mais pour
utiliser la puissance de ce gaz, nous avons besoin d’un
moteur. Donc, ce que j’appelle source d’énergie,
c’est un certain dispositif que nous mettons à
l’intérieur de la pyramide, à un certain endroit, et la
pyramide influencera l’espace et le temps, en provoquant
une sorte de combustion de l’espace. Et c’est ici le
début de quelque chose de très, très intéressant et
d’insolite. Donc, nous en sommes arrivés à ce stade et
nous avons immédiatement décidé de commencer la
construction de la pyramide à la fin de l’année dernière
et je pense que nous l’aurons terminée à la fin de ce
mois d’octobre 2007.
KC : Avez-vous partagé vos connaissances avec
d’autres pays, ou ceci est-il uniquement un projet
interne à la Russie ?
VU : Actuellement, c’est uniquement en Russie.
KC : Parce que ceci pourrait être très
intéressant, j’en suis sûre, pour la plupart des
chercheurs américains – mais aussi d’autres pays.
VU : J’aime beaucoup certains chercheurs
américains, comme par exemple Graham Hancock, (deux
autres noms : Nevil Burrell ? Jill Burton ?
inaudibles) et d’autres, beaucoup d’autres. Je les
aime beaucoup, ils m’ont profondément touché. Je veux
leur dire Merci pour tout ce qu’ils ont fait.
Mais en même temps, ils ont mis en lumière certaines
idées très étranges lorsqu’ils disent: « Ecoutez,
regardez juste attentivement les pyramides », ou «
Regardez attentivement ceci ou cela … » et
d’autres choses du même style. Ils montrent qu’il y a là
quelque chose d’inhabituel mais, la plupart du temps,
ils n’apportent pas de réponses.
KC : D’accord.
VU : Ce que je fais, c’est essayer d’apporter des
réponses… Plus ou moins. J’ai la chance d’avoir trouvé
des réponses et le livre The Pyramids est le
livre qui contient des réponses.
KC : Bon, vous avez mentionné au cours de notre
bref, mais délicieux repas, que vous étiez d’une
certaine manière en relation avec ces visiteurs. Ils
vous guident en quelque sorte dans le voyage que vous
réalisez, n’est-ce pas ?
VU : Oui.
KC : Vous ont-ils suggéré où aller ?
VU : Oui. D’une certaine façon, oui.
KC : Et vous les appelez… Comment les
appelez-vous ?
VU : Je préfère les appeler visiteurs. On
peut les appeler extra-terrestres mais par
ailleurs quand vous commencez à comprendre comment cet
espace est en fait construit, vous en venez à comprendre
que le point le plus distant de notre Galaxie
est à moins d’une minute de trajet de la Terre [sic].
Moins d’une minute ! Cela veut dire, d’après ce que nous
savons sur notre planète, et en comparaison du temps que
notre civilisation a existé sur cette planète, que ce
sont les gens, les humains qui sont les visiteurs. Eux
sont ici depuis si longtemps, des milliers d’années, ils
sont venus tellement de fois, qu’ils contrôlent la
situation. Je dirais que ce sont eux qui essayent de
garder le contrôle sur la planète en suivant un certain
cap. Alors, lorsque j’ai rencontré ces visiteurs, la
première fois, il y a assez longtemps, c’était au cours
d’une expédition, ma toute première question a été : «
Que faites-vous ici ? » Comme tout citoyen ou
personne normale, même américain, j’avais quelques idées
sur leurs capacités : ils volent, ils ont des capacités
exceptionnelles… Eh bien, que font-ils ici ? Quelle est
leur raison d’être ici ? La réponse s’est révélée assez
simple, et en même temps, elle a bouleversé ma vie.
L’un de ceux que j’ai vu, m’a dit : « Si vous voulez
comprendre pourquoi nous sommes ici, il vous faut
apprendre l’histoire de votre civilisation, votre
préhistoire. Alors, tu comprendras le pourquoi de
notre présence. » A partir de ce jour là, j’ai
commencé à enquêter de mon mieux sur l’histoire de notre
civilisation, et maintenant je peux dire, j’en suis venu
à comprendre ce qu’il s’est passé et ce qui les
intéresse avant tout ici.
KC : Quel est leur principal centre d’intérêt,
pensez-vous, est-ce l’avenir et les prochains événements
qui vont arriver selon eux, ou est-ce un intérêt
génétique pour notre espèce ?
VU : Non, non. Tout d’abord, je voudrais vous
expliquer que si vous voulez juste avoir une seule
réponse, vous n’aurez jamais la bonne réponse. C’est
assez compliqué. Alors, si vous souhaitez faire un petit
pas vers la compréhension, je vous conseillerais de
comprendre, si vous le pouvez, qu’il n’y a pas de passé
ni de futur, il y a seulement le présent. Maintenant, ce
qui se déroule maintenant.
Pour moi, au début, cela n’avait aucun sens, j’ai
pensé : « Qu’est-ce qu’il veut dire? Pas de
passé ? Il n’y a pas de futur ? Tout se déroule
maintenant? » J’ai dû faire des recherches et j’ai
dû digérer cette idée pendant un temps assez long. Puis,
j’ai compris comment cela fonctionnait. Si vous projetez
de transformer la planète ainsi que l’humanité en
quelque chose de meilleur, les faire évoluer
positivement, vous avez besoin de savoir ce qu’il va
nous arriver dans le futur.
Mais ce futur est déjà en train de se dérouler
maintenant. Donc, depuis votre futur vous pouvez aller
et entrer en contact avec vous-même dans le passé juste
pour changer quelque chose dans votre vie passée pour
l’améliorer. Alors, si quelque chose de différent
arrive, votre présent en sera modifié, et votre futur
s’améliorera. C’est seulement une possibilité. Alors,
ils sont en train de contrôler ces dimensions multiples
dans notre vie, de telle façon que nous puissions
comprendre comment tout ceci est construit. Ils
n’interfèrent jamais, ils peuvent juste vous en donner
une petite, une minuscule idée. Juste une allusion. Et
alors, si vous êtes la bonne personne, vous devriez
comprendre. Ce que vous ferez alors sera de votre propre
responsabilité et engagera l’avenir. Ce n’est pas comme
certains enseignants ou personnes qui disent : « Les
extra-terrestres et les dieux sont si parfaits qu’ils
vont me contrôler. Même si je fais une erreur, ils
vont m’aider à corriger cette erreur, alors… »
Non, en réalité, ce n’est pas comme cela. Ils ne peuvent
se permettre que quelques allusions, mais alors vous
devez prendre vos propres responsabilités.
KC : Donc, vous avez étudié la philosophie
orientale, l’illumination, les chakras, etc.
VU : Bien sûr, en profondeur. Mais au bout de
deux ans, j’en suis venu à penser que si vous essayez de
voir ce qu’il y a derrière ces enseignements comme le
bouddhisme ou l’hindouisme, vous ne comprendrez jamais
la réalité, c’est impossible. Ce n’est qu’en Egypte que
cet enseignement est resté intact. Dans mon livre, je
montre ces textes. L’enseignement de l’hindouisme ou les
traditions orientales s’est tellement déformé ! Il est
fragmenté en différentes parties, de façon telle que
vous n’obtiendrez jamais la compréhension de la réalité.
C’est la raison pour laquelle je me suis si profondément
plongé dans l’égyptologie, en travaillant à partir des
textes, parce que c’est là qu’on peut voir le début
de toute l’histoire.
Et dans ce livre, je parle de ce très ancien
enseignement qui était appelé, dans les temps anciens, Cabbala-Ohn.
C’est la connaissance de l’Unité, présente dans la
construction de l’être humain et de l’univers, la
manière dont cela a été construit, et qu’il s’agit en
fait d’une seule et même chose. Alors, si vous voulez le
comprendre, vous devez partir du début, et ce début, non
déformé, vous ne pouvez le trouver qu’en Egypte et nulle
part ailleurs.
KC : Lorsque vous avez dit que vous avez été
contactés lors d’une expédition, vous étiez en Egypte à
ce moment-là ?
VU : Non, en Sibérie.
KC : En Sibérie ?
VU : Oui, c’était une expédition en rapport avec
mon enquête sur l’événement de la Toungouska.
KC : Ah ! Maintenant, nous voulons entendre
parler de cet événement de la Toungouska parce que vous
venez de finir un nouveau livre, n’est-ce pas?
VU : En réalité, je suis en train de le terminer;
tout le livre est dédié au centième anniversaire de
l’événement de la Toungouska, l’année prochaine. Ce
livre vous donnera une idée de ce qui s’est passé
là-bas. Vous aurez des réponses. Au cours des
soixante-dix dernières années d’enquêtes, les
scientifiques ont proposé plus de 300 hypothèses, la
plupart si différentes les unes des autres que les gens
ne peuvent pas comprendre ce qui s’est passé…. Dans ce
livre, je replace tout ensemble, je décris l’ensemble de
l’événement, de façon à ce que toutes ces différentes
hypothèses se combinent en une seule.
KC : Je vois. Nous avons rencontré hier des
scientifiques et, Bill, peut-être pourrais-tu expliquer
le point de vue de Tchernobrov…
Bill Ryan (BR) : Oui, nous avons rencontré
Tchernobrov et nous l’avons questionné au sujet de
l’événement de la Toungouska, et il a dit qu’il s’est
produit un événement similaire près du Lac Baïkal,
beaucoup plus récemment.
VU : Oui.
BR : Et il croit que les traces de radioactivité
qui ont été détectées dans la région de Toungouska,
pourraient être dues à l’impact d’une comète. Quelques
uns des isotopes radioactifs découverts là sont
également présents dans les comètes. Il croit que
l’incident du lac Baïkal suggère que c’était là une
hypothèse raisonnable. Il a bien fait attention à ne pas
fournir de conclusions à ce sujet, mais il croit que
c’est sa meilleure conjoncture. Qu’en pensez-vous ? VU : Oui, je sais cela.
KC : Alors, est-ce qu’il est d’accord, ou bien
êtes-vous d’accord avec lui, ou bien vos analyses
sont-elles différentes ?
VU : Dire : « Je suis d’accord » ou bien
« Je ne suis pas d’accord », ne vous donnerait
pas la bonne approche, mon approche. En travaillant
j’essaye de trouver une réponse à ce qu’il s’est passé à
Toungouska. J’ai étudié beaucoup de documents, beaucoup
de comptes rendus d’enquêtes de différents
scientifiques, et je leur en suis très reconnaissant,
ils m’ont fourni beaucoup d’informations. Je n’aurais
jamais pu le faire moi-même. En même temps, quand j’ai
commencé à comprendre ce qu’il s’était passé là-bas, ce
qui est crucial, c’est ce que les gens ont décrit et
expliqué sur ce qui s’est passé à Toungouska, je veux
dire l’événement lui-même - ils ont donné cette réponse
quelques années après l’événement - en fait ils l’ont
donnée presque immédiatement. Le problème c’est quand
les scientifiques, représentant différents domaines de
la science, sont venus à Toungouska et ont commencé à
demander aux témoins ce qu’ils avaient vu, ils ont pris
toute l’histoire mais en petits morceaux.
Parce que les spécialistes en botanique ont expliqué
l’événement de leur point de vue ; les astronomes l’ont
expliqué en tant que comète ou météorite ; les géologues
ont donné leur propre version. Ils ont donc découpé
toute l’histoire en plus de trois-cents petits morceaux.
Mais en même temps on devrait pouvoir comprendre, parce
que cet événement a été unique. Et il ne peut y avoir
qu’une vérité derrière ça, et en fait, si on
s’interroge, on s’accorde à penser que quelque chose de
très simple a dû se dérouler là-bas, que nous ne pouvons
voir – parce que les indices sont bien là, dans la zone
de Toungouska, tout est là – et si nous ne voyons pas
ces indices, cela ne veut pas dire que quelque chose
d’autre s’est déroulé là.
Toute cette histoire, toute cette explication, dépasse
même la capacité des humains à accepter... la réalité.
En résumé, il s’agissait d’une météorite. Mais cette
météorite transportait une bactérie dangereuse. Et
quelqu’un l’a neutralisée, l’a détruite, et ces êtres
l’ont fait de nombreuses fois. Et ils l’ont fait à
chaque siècle, plusieurs fois. Quand j’étais en train
d’analyser les documents, j’ai trouvé des histoires très
intéressantes : quand Staline prend connaissance du cas
Toungouska, et en particulier par Lavrenti Beria -
c’est un homme très, très spécial qui a fait des
enquêtes et influencé le développement des armes
nucléaires en Russie à cette époque - il dispose
d’informations au sujet d’un événement hors du commun,
qui ressemblait à une explosion nucléaire et qui s’est
produit en 1908. Donc, après examen des images, ils ont
envoyé une expédition militaire dans cette zone. Ses
membres, habillés en civil, n’avaient qu’une mission :
recueillir des informations. Quand ils ont interrogé les
autochtones de la zone de l’explosion, ceux-ci ont dit
que très peu de temps après celle-ci, les habitants ont
vu un groupe d’étranges visiteurs, avec un équipement
très sophistiqué (pour 1908) fouiller le sol.
KC : Voulez-vous dire qu’ils ont quelque chose
qui contient cette bactérie?
VU : Non. Ils sont en train de faire des
recherches sur une partie de l’équipement qui a atterri
avec la météorite. C’est sérieux.
KC : C’est l’équipement des visiteurs, non ?
VU : Oui. Je sais exactement [ce qu’il en est].
Ils l’ont trouvé et ils ont déjà examiné. Dans un avenir
proche, vous allez voir une avancée dans le
développement de certaines technologies en Chine, bien
plus que ce que l’on peut imaginer.
KC : Très intéressant !
VU : Malheureusement ils ne sont toujours pas en
train d’enquêter là-dessus en Russie.
KC : Comment avez-vous trouvé tout ça,
pouvez-vous nous le dire ?
VU : Non, si vous permettez, je préfère garder ça
pour moi, d’accord ?
KC : Ah, d’accord, très intéressant (Rires.)
VU :(En souriant) Mais croyez-moi, ils
l’ont déjà fait. Nous avons beaucoup de ce matériel, en
Sibérie, des centaines de tonnes. Mais nos responsables
scientifiques actuels ne sont pas du tout intéressés.
KC : Je vois. Vraiment pas ?
VU : Non.
KC : Bien, quand votre livre sera sorti... Il ne
l’est pas encore n’est-ce pas?
VU : Vous voulez dire, celui sur l’événement de
la Toungouska ?
VU : Non. C’est la raison pour laquelle je veux
organiser une ou deux expéditions internationales.
KC : Fabuleux !
VU : Pour que des gens des Etats-Unis, de
Russie, d’Allemagne, d’Australie aillent là-bas, et que
ce soit raisonnablement contrôlé par l’Humanité lorsque
cela se produira.
KC : Je vois.
VU : Parce qu’en ce moment précis, croyez-moi,
tout ce que je vous demande, c’est de me croire. La
technologie là-bas, en ce moment même, est très
développée, à un point que ne pouvez pas imaginer !
KC : D’accord, passons à autre chose, parce que
vous avez également dit, pendant notre conversation à
table, qu’il y avait trois objets, des météores je
suppose, qui ont heurté notre planète, à différentes
périodes de notre histoire, et qu’elle en a été
transformée. Pouvez-vous nous parler un peu plus de cela
? Vous avez dit que l’événement de la Toungouska était
un minuscule événement comparé à ces grands événements.
VU : Oui en effet, c’est certain ! Vous savez, si
vous lisez les informations amenées par les astronomes
au sujet des astéroïdes du système de défense sur lequel
les Américains sont en train de travailler, vous
trouverez l’idée que les grands astéroïdes (1 km de
diamètre) ont probablement heurté la planète une fois en
300 000 ans ou peut-être même en un million d’années. En
travaillant sur les textes anciens, j’en suis venu à
comprendre que des astéroïdes d’un diamètre de plus de 1
km ont heurté la Planète au moins deux fois au cours des
16 000 dernières années. Je donne les traductions des
anciens textes dans mon livre The Pyramids, tout
est là. En fait trois fois, mais les deux premiers,
spécialement celui que j’appelle Açores, a
heurté la planète dans la région des îles des Açores.
Cela fera exactement 13 660 années en automne de cette
année. Et dans le livre, je donne les calculs exacts et
les anciens calendriers, qui montrent la date précise à
laquelle cela s’est produit.
KC : Maintenant, êtes-vous en train de dire que
ceci pourrait-être un événement cyclique ?
VU : C’est l’idée la plus importante : ces
anciens calendriers, le calendrier Maya et quelques-uns
des calendriers de l’ancienne Egypte, que j’appelle les
Calendriers des Catastrophes, donnent des
informations au sujet des périodes au cours desquelles
d’ENORMES astéroïdes heurteront la planète. Et ces
anciens hiérophantes, essayent de nous transmettre
l’information suivante : qu’à un moment donné un
astéroïde va heurter la Planète, et que nous devons nous
y préparer ! Autrement, les gens pourraient… en
mourir.
KC : Alors, à partir de là, nous pouvons dire
qu’un autre événement de ce type, prévu dans notre
avenir peut survenir ?
VU : Je dirais que l’événement le plus
intéressant et le plus insolite qui nous attend est
très, très proche de nous.
KC : Voulez-vous parlez du calendrier maya et de
2012 ? A peu près à cette date ?
VU : Oui, en effet.
KC : Est-ce que c’est votre interprétation à vous
? Connaissez-vous les travaux de Zecharia Sitchin ?.
VU : Oui, je connais très bien son travail.
KC : Et êtes-vous en train de parler du retour de la
Planète X, ou bien de la naine brune, dont ont parlé les
scientifiques, parce que certains de nos contacts
parlent d’une naine brune, accompagnée d’une planète à
l’orbite, très allongée, de 26 000 [ans]… N’est pas ce
dont vous êtes en train de parler ?
VU : Je connais très bien cette théorie, mais la réalité
est tout à fait différente.
KC : D’accord.
VU : Une fois encore, j’aimerais le redire : je suis en
train de travailler sur les textes anciens, en les
lisant et en les interprétant. Ces textes anciens disent
qu’il y a 13 660 ans, lorsque l’astéroïde Açores a
heurté la Terre, celle-ci est sortie de son orbite et a
commencé à s’éloigner du Soleil. Quelqu’un, que
j’appellerais pour l’instant les Curateurs, quelqu’un a
pris un énorme morceau de la planète détruite Maldek,
devenu ce que maintenant nous appelons la Lune. Et ces
anciens textes, ces textes égyptiens, nous donnent
l’exacte description de ces êtres amenant cet énorme
morceau dans le champ magnétique de la Terre,
accroissant ainsi sa masse, et la remettant en état là
où elle se trouve maintenant. Auparavant, la période de
révolution de la Terre était de 360 jours. Lorsqu’elle
s’est éloignée du Soleil et a été stabilisée là avec
l’aide de la Lune, sa période de révolution est passée à
365 jours.
Alors, juste après, a été créée Vénus, et ils l’ont
placée là où elle est maintenant. Les textes anciens,
même le calendrier maya, disent que Vénus a été créée 3
113 ans avant J.C. D’accord ? Mais ce qui s’est
également produit, c’est que ceux qui vivaient sur Mars,
un texte ancien le dit précisément, ceux qui ont apporté
leurs connaissances aux civilisations antérieures,
provenaient de Mars et de Maldek. Or, maintenant que
Maldek est détruite, nous avons une ceinture
d’astéroïdes et non pas une planète. Mars a été la
victime d’astéroïdes, a perdu son atmosphère et s’est
déplacée par rapport à son emplacement d’origine. Mais
ce quelqu’un l’avait également placée là.
Mais ceux qui vivaient sur ces planètes ont déménagé sur
une autre planète du système solaire. Je ne sais pas
comment, mais on dit que cette planète, actuellement,
est sur la même orbite que la Terre, mais juste derrière
le Soleil. Juste à l’opposé ; nous nous déplaçons à la
même vitesse, et c’est la raison pour laquelle nous ne
pouvons généralement pas la voir. Mais il y a des
périodes pendant lesquelles on peut voir cette planète.
Et dans mon livre, je donne la description complète de
tous ces événements.
KC : Est-ce que vous appelez ces gens les Annunaki ?
VU : Oui! Mais la façon dont on les appelle n’est pas
importante.
KC : Est-ce le même nom que certains chercheurs
utilisent pour ce peuple qui est venu sur Terre à
l’origine et qui a créé génétiquement notre espèce ?
VU : Je ne dirais pas génétiquement… Non. Les effets
génétiques se sont développés sur la Terre il y a très
longtemps. Il s’agit d’autre chose. L’idée principale
est qu’en 2012, nous allons être témoins, je dirais, de
l’instabilité du système solaire.
KC : Aha, et les astéroïdes…
VU : Non, non. Ce sera en rapport avec une activité
inhabituelle du Soleil.
KC : Du Soleil ?
VU : Oui. D’une part, une activité inhabituelle du
Soleil affectera la stabilité de la planète qui se
trouve Derrière le Soleil. Il y a par ailleurs une autre
donnée très importante. Si vous vous rappelez les
anciens textes mayas, vous y trouverez une chose
intéressante : il y est dit que les anciens instructeurs
venus des étoiles s’en iront et qu’ils seront remplacés
par d’autres. Et nous, - l’équipe avec laquelle je
travaille – nous avons trouvé et compris le mécanisme
qui sous-tend tout ceci. Pour comprendre ce qui va
suivre, je dois vous donner une idée d’un certain
mécanisme énergétique de la Terre, intimement lié au
temps et à l’espace.
(Un graphique sur l’ordinateur.) : Ce que vous pouvez
voir ici, c’est l’axe géographique, d’accord ? Ça, c’est
l’axe magnétique. Alors, quand la Terre entre en
rotation, ça prend cette forme-là. Alors, le point focal
central est ici, voyez-vous ? Ceci c’est la latitude 30
et 35 degrés [nord]. C’est exactement là où toutes les
civilisations de l’ancien monde se sont développées. La
Chine, l’Egypte, les Mayas – elles sont toutes dans
cette zone.
Et maintenant, regardez : après des recherches sur des
documents scientifiques, nous avons compris que cet
endroit-ci, lorsqu’il s’élargit, cette pulsation ici et
ici a une période de quatre ans... Maintenant, quelque
chose de très inhabituel a commencé à se dérouler ;
cette partie a commencé à s’élargir, et ce point
particulier commence à se déplacer vers le Nord. En
2012, ce point sera au pôle Nord, et un champ
d’espace-temps sera ouvert.
Ici, nous serons les témoins de l’apparition d’une porte
de l’espace. C’est par ce stargate que les anciens
maîtres s’en iront et que de nouveaux viendront. Et tout
cela, tous ces événements seront directement liés à
l’activité du Soleil et à l’apparente instabilité de la
planète située derrière lui. Ainsi, nous allons non
seulement voir cette planète, mais il semble que nous
soyons très proches de commencer un échange raisonnable
et compréhensible avec nos prédécesseurs.
KC : Alors, est ce que vous voyez une quelconque
influence de l’alignement, si je comprends bien, de
notre Galaxie avec notre centre galactique ?
VU : Ce que vous voulez dire c’est que, lorsque le
système solaire traverse le plan galactique, nous
croisons des météorites et des astéroïdes. C’est
pourquoi nous les rencontrons de façon périodique et que
nous avons ces impacts d’astéroïdes. Mais ce dont je
parle maintenant, c’est d’une période tout à fait
différente et très inhabituelle.
KC : Vous dites que nous sommes en train d’entrer dans
une autre dimension ?
VU : Pas nous. Nous, nous resterons ici. Nous sommes ici
et nous resterons ici, là où nous sommes maintenant.
Mais nous serons témoins du départ des Curateurs, ceux
qui contrôlaient le système solaire. Certains partiront,
et d’autres viendront ici.
KC : Je vois. Mais avec qui travaillez-vous? Pouvez-vous
me parler de votre équipe, est-ce que ce sont des
scientifiques, des philosophes….
VU : De tout cela, mais principalement des
scientifiques.
KC : Et donc il y a une base scientifique à cette
explication ?
VU : Oui. Ce que je suis en train de vous dire
maintenant, d’une façon simple, c’est de la science
pure.
KC : Je comprends. Ainsi, la Porte de l’Espace en train
de s’ouvrir se trouve au pôle Nord, dites-vous ?
VU : Oui, au pôle Nord.
KC : Et quelle sorte de préparatifs êtes-vous en train
de faire ? Est-ce en partie la raison pour laquelle vous
construisez votre pyramide ? Pour apporter de l’énergie
? Pour aider la Terre…
VU : Oui. Ce qui arrivera sur la planète Terre va
sérieusement affecter la santé des humains.
Ceux qui n’ont pas actuellement une bonne santé,
mourront d’attaques cardiaques, de problèmes
cardio-vasculaires. Nous en sommes arrivés à comprendre
qu’il s’agissait d’un moment crucial. Les personnes
développant des capacités intérieures, énergétiques, un
don de double vue, des choses comme cela, dans tous les
cas, si elles le font sans mettre en pratique les
connaissances laissées par les prêtres d’autrefois, 70 %
d’entre elles, même 80 % d’entre elles mourront du
cancer. Ce que cela signifie, et comment cela se
produit... La réponse se trouve en partie dans le champ
de force, que je vais essayer de vous expliquer.
Imaginez que quelqu’un commence à méditer, en essayant
de s’ouvrir à l’Energie Cosmique, d’accord ? Imaginez
que l’énergie rentre en lui ; c’est très bien. Lorsqu’il
est porteur de cette énergie, son propre temps
biologique ralentit. D’un côté, c’est bien. Parce qu’il
sentira beaucoup plus d’énergie à l’intérieur, ses
capacités de voyance s’ouvriront. C’est ce dont il a
besoin, mais lorsque son téléphone va commencer à
sonner, ou bien s’il doit retourner chez lui pour
s’occuper de sa famille, il se coupe de ce vortex
d’énergie. Le nouveau système essaye de revenir à sa
position de départ en accélérant le temps interne, parce
qu’avant, il l’avait ralenti. Le système immunitaire
commence immédiatement à l’accélérer. L’accélération du
temps interne provoque immédiatement le début d’un
cancer. Ceci est la raison pour laquelle des maîtres
bien connus du monde entier, comme Jidda Krishnamurti,
Ramana Maharshi, Vivekananda, Shiva Rabinda, Mira Alfas,
la mère, en fait Madame Blavatsky, Rerich, Castaneda,
Osho sont tous morts de cancer.
Nous avons trouvé cet avertissement laissé par les
anciens prêtres. Cet avertissement dit que si vous
développez vos capacités sans conscience, vous ne
franchirez jamais la frontière de la mort, vous mourrez.
Nous avons donc trouvé ces textes et nous en avons
compris le sens.
Tout d’abord, nous avons commencé par rechercher comment
développer un système de protection, pour moi-même, pour
les spécialistes et les scientifiques avec lesquels je
travaille. C’est un moment décisif. C’est la raison pour
laquelle, dans un futur très proche, lorsque 2012 sera
tout près, il faudra développer et améliorer votre
santé. Autrement, des centaines de gens, peut-être des
centaines de milliers, peut-être des millions ne
survivront pas à ces changements.
Et l’un des instruments que les anciens utilisaient pour
se préserver du cancer, pour franchir la frontière de la
mort, c’était les pyramides et ce que j’appelle les
baguettes d’Horus. Vous savez, les tubes métalliques que
tenaient en main les anciens pharaons égyptiens, d’après
des sculptures que j’ai vues représentant des pharaons
et des prêtres. J’ai écrit un livre à ce sujet qui
s’intitule The Wands of Horus (Les baguettes
d’Horus), en citant les textes anciens, ainsi que les
explications et les idées qui s’y trouvent. J’ai pour ma
part profondément compris que nous étions au moment
crucial, et nous sommes en train de mettre ceci au point
actuellement. Et c’est une des raisons pour lesquelles
nous construisons cette grande pyramide en pierre, pour
nous préparer, pour conditionner notre santé en
perspective de cet événement très important. Nous devons
nous préparer, sinon…
KC : Bien, n’est-ce pas aussi, avant tout, que la
pyramide est considérée comme une machine pour
l’ascension, et ce dont vous parlez, en un sens, c’est
de cette capacité que possède le corps de s’élever
spirituellement grâce à ce moyen ?
VU : Non, je ne le dirais pas comme cela. Tout
est beaucoup plus simple. Quand vous parlez d’ascension,
en réalité c’est différent. Non, beaucoup plus simple.
Ce qu’il faut faire, c’est corriger les deux flux du
temps, que nous appelons en fait yin/yang (?). Nous
pensons… Tout le monde pense que d’après les traditions
orientales, il s’agit d’une sorte de commencement
humain, de commencement masculin, de début féminin,
quelque chose comme ça, qu’on doit équilibrer ces
énergies et qu’alors, tout sera parfait, il n’y aura
plus de maladies. D’un côté, c’est plus ou moins vrai.
Mais la réalité est bien différente. Ce yin/yang, ce
sont deux flux du temps, se déplaçant l’un vers l’autre.
Alors, si ces flux du temps s’équilibrent en vous, vous
obtenez un effet très intéressant, vous vous annulez
votre temps biologique. Et on peut vivre 100 ans, 200
ans, 500 ans, 1 000 ans, sans problèmes. Mais cela doit
être équilibré. La pyramide corrige le temps, le temps
biologique de l’être humain.
KC : Mais c’est un triangle, le sommet du
triangle symbolise cette unité.
VU : Vous ne parlez là que de symbolisme. Je
parle de mécanismes, c’est différent. Bien sûr, l’être
humain est une chose, l’énergie, une autre – et la
troisième – c’est l’être humain yin/yang (?). La
Trinité. C’est comme le plus et le moins en électricité.
Si vous mettez en contact le positif et le négatif, une
réaction entre les deux commence. Trois. D’accord ?
C’est le principe. Ainsi, ce triangle n’est rien de
plus, eh bien, que le symbole de ce principe. Mais, nous
sommes en train de parler de mécanismes. Pas comment
utiliser un symbole : un symbole, on peut le mettre là (Il
montre son T-shirt.) et se promener avec. Car, si
vous avez un symbole ici, cela ne veut pas dire que
votre temps intérieur s’équilibre. Nous avons besoin de
l’équilibrer.
KC : Quel est votre plan pour aller dans la
pyramide ? Pour équilibrer cela grâce à la pyramide ?
VU : Il ne s’agit pas seulement d’y entrer et
d’équilibrer cela. Il s’agit aussi d’une pratique. Nous
sommes en train de développer la pratique. Dès que nous
avons lu certains textes anciens, nous avons compris
comment cela fonctionne. Nous avons essayé de construire
une pyramide et de l’utiliser. Nous l’avons fait, nous
avons vu les résultats, des résultats très intéressants,
et maintenant, nous voulons les développer. Pour cela,
nous avons besoin d’un véritable instrument, d’une vraie
pyramide.
Non pas comme, par exemple, celles fabriquées en Russie
par Aleksandr Golod. Il y a quelques pyramides comme
celles-là, elles sont faites en bois, même en plastique.
Non, ces pyramides doivent avoir certains angles
particuliers, être en quartz blanc, être lourdes. Ce
devrait être une très, très grande pyramide, de manière
à ce que sa propre fréquence soit inférieure ou égale ou
tout au moins, dans sa partie inférieure, en résonance
avec la Terre, de manière à synchroniser la plus
importante pulsation – je l’appelle le pouls de la Terre
– à celle des pyramides. Alors, quand elles commenceront
à fonctionner ensemble, à l’intérieur de ce champ,
l’être humain se transformera de façon incroyable. Il
nous faut donc l’expérimenter, avant d’y
parvenir. Sinon, nous nous contentons de nous raconter
des histoires, de nous faire des idées…
KC : Alors, si vous construisez ces pyramides à
cet endroit, pensez-vous qu’on va finalement en bâtir
d’autres sur la planète ?
VU : Ça serait bien. En tout cas, ici en Russie,
nous allons en bâtir d’autres. En ce moment, nous
construisons dans une certaine zone deux ou trois
pyramides. Et en même temps, nous sommes en train de
programmer la construction d’un complexe de neuf
pyramides. Il est certain que si nous construisons
plusieurs complexes autour du monde, comme le dit un
texte ancien, cela affectera positivement les capacités
énergétiques de la planète, et cela affectera
positivement l’expansion de la conscience humaine. C’est
un moment décisif. Vous ne pouvez pas le faire d’une
autre façon. Alors, si vous voulez développer [la
conscience], et la stimuler, les pyramides en sont la
clé. Mais il faudrait ériger des pyramides partout sur
la planète.
KC : Maintenant, qu’en est-il des enfants
indigo ? Nous avons interviewé Boriska il y a
quelques jours. Comme vous le savez, puisque cela a été
publié dans le magazine Nexus et vous connaissez
l’article qui a été écrit à son sujet, il a des
souvenirs de son ancienne vie sur Mars, et il parle des
guerres qui s’y sont déroulées. Il est, en gros, venu
ici en tant que garçon ayant gardé sa mémoire.
Savez-vous quelque chose sur ces enfants qui naissent en
ce moment ? D’une certaine manière, ils équilibrent déjà
ces éléments-clés du positif et du négatif, ainsi ils
n’ont pas nécessairement besoin d’une pyramide pour être
prêts. Comprenez-vous ce que je veux dire ? Et avez-vous
déjà réfléchi à ça ?
VU : Oui, je comprends parfaitement. C’est la
raison pour laquelle je dis que les pyramides ont été et
seront primordiales dans les moments-clés. Qu’en est-il
des gens ? Ceux qui ont ces capacités ? Actuellement, il
y a beaucoup plus de gens ayant ces capacités que vous
ne l’imaginez. Mais malheureusement, la plupart d’entre
eux ne sont pas capables de les développer à un haut
niveau. La pyramide est un instrument qui permet de
sauter par dessus la frontière de la mort. Je suis sûr
que le développement de certaines facultés, que vous
soyez enfant indigo ou pas, affectera votre organisme et
causera des problèmes de santé, spécialement des
cancers, c’est certain. Pour passer au travers, vous
devez utiliser les connaissances et les instruments et,
parmi eux, la pyramide est l’outil pratiquement
indispensable.