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Le 11-Septembre : par QUI et COMMENT -
Rebekah Roth parle à Bill Ryan
11 septembre 2015
.
Musique : "Paradise Healing" de Miko Dowolla (Google Play)
(Écran)
Le Forum de Project Avalon
En mémoire et en l'honneur
des milliers de personnes
assassinées le 11-Septembre
...et des millions de personnes
assassinées à cause du 11-Septembre.
Le Forum de Project Avalon
Dans cette nouvelle interview
audio,
Bill Ryan
parle avec
Rebekah Roth,
qui écrit et effectue des recherches sur le
11-Septembre.
Le premier livre de Rebekah,
Methodical Illusion,
expliquait ce qui
s'est réellement produit
le 11 septembre 2001.
La suite qu'elle a écrite,
Methodical Deception,
vient juste de paraître.
Elle nous amène
à bien mieux comprendre
qui était derrière tout cela.
Introduction :
Bill Ryan (BR) : Bonjour ! Ici Bill Ryan, de
Project Avalon. J'ai enregistré ceci tout à fait en
fin de journée, le 11 septembre 2015. Je souhaitais
faire cette introduction à cette très intéressante
interview de Rebekah Roth, l'auteure de deux
livres : Methodical Illusion
(Illusion méthodique) son premier livre, puis sa
suite, qui vient de paraître, intitulée Methodical
Deception (Tromperie méthodique). Et comme
nous allons l'entendre, Rebekah travaille déjà sur un
troisième ouvrage.
C'est une interview intéressante, parce que certains
d'entre vous, qui m'écoutez en ce moment, savent tout
de Rebekah et de ses très importantes recherches --
que je qualifierais de novatrices -- sur ce qui s'est
réellement passé le 11-Septembre, alors qu'ils ne
savent en comparaison que peu de choses sur elle.
Le but de cette introduction, que
j'ai enregistrée après l'interview -- qui s'est
déroulée hier -- est de tenter de répondre aux
besoins des auditeurs et de leur large éventail de
connaissances. Certains parmi vous ne savent
peut-être rien d'elle, alors que d'autres auront
écouté quelques-unes de ses interviews, il y a
peut-être plusieurs mois, ou auront lu ses deux
livres, et seront très au courant de l'énorme
quantité de faits tout à fait tangibles que Rebekah
a découverts, ou déduits avec une quasi-certitude.
Et je suis personnellement tout à fait convaincu que
sa version est très proche de la réalité, à propos
de NOMBREUX détails. Après toutes ces années, il
nous faut tous l'écouter vraiment très
attentivement.
Maintenant, voici l'autre problème.
La chose ne se déroule PAS de manière linéaire.
L'affaire est extrêmement complexe, ce qui explique
pourquoi l'histoire de fond est restée floue pendant
tant d'années. Suivez donc patiemment Rebekah, car
elle nous emmène explorer avec elle le domaine vaste
et multidimensionnel qu'elle a découvert.
Comme elle nous l'explique, et comme le savent
beaucoup d'entre vous, Rebekah a été hôtesse de
l'air pendant de nombreuses années -- et possède une
grande expérience. Et les agents de bord savent
EXACTEMENT ce qui a pu ou n'a pas pu se produire
dans un avion, particulièrement lors d'une urgence.
Tout se passe comme si nous avions attendu toutes
ces années, sans le savoir, qu'une hôtesse de l'air
aussi expérimentée que Rebekah vienne tout nous
exposer.
Ironiquement -- et c'est un point très important --
certaines des hôtesses qui ont passé le 11-Septembre
les célèbres appels sur téléphone mobile -- qui,
bien sûr, ne pouvaient avoir été faits que depuis
le sol -- peuvent très bien avoir laissé dans
leurs messages des indices que seule une autre
hôtesse, tout aussi bien formée, serait capable de
déchiffrer. Qu'elles l'aient fait volontairement ou
non, déchiffrer ce qu'elles nous ont laissé, c'est
exactement ce qu'a fait Rebekah.
Dans cette interview, nous entendrons comment les
avions ont été pris en charge par un système
d'achèvement du vol ( Flight Termination
System) installé à bord (NdT - Voir par
exemple ici,
pour plus de détails), qui dirige les avions à
distance, sans que les pilotes puissent agir
lorsqu'il est activé. De fait, ils ne peuvent même
pas communiquer avec le personnel de cabine, de
l'autre côté de la porte du cockpit. Cela rend les
pilotes incapables d'intervenir.
Et ce jour-là, les quatre avions ont été dirigés à
distance vers la base aérienne de Westover, à juste
20 minutes environ de là, qui est équipée d'une
longue piste d'atterrissage de 10.000 pieds (3 km),
indispensable aux avions lourdement chargés en
carburant... et de hangars suffisamment vastes pour
abriter des C-5 de transport, bien plus gros que
n'importe quel [Boeing] 757 ou 767. Au cours de
l'interview qui suit, Rebekah nous lit même la
déposition sous serment d'une résidente de
l'endroit, qui l'a contactée après la sortie de son
premier livre, et qui a de ses yeux VU un 757 des
United Airlines atterrir ce matin-là à Westover,
volant si bas qu'elle avait cru qu'il allait
s'écraser -- exactement à l'heure adéquate -- juste
après 8h30. Elle allait à un rendez-vous tôt ce
matin-là, c'est pourquoi elle a su l'heure qu'il
était.
Peu de temps après leur atterrissage, les avions ont
été cachés dans les hangars, et il se peut qu'ont
ait raconté aux passagers qu'il s'agissait d'un
exercice, deux ou trois personnes de chaque avion
ont été choisies, amenées dans des bureaux à
l'étage, informés de ce qu'ils devaient dire sur
leur mobile. On entend même quelqu'un dire à une des
hôtesses de l'air, CeeCee Lyles, à la fin de son
appel : "Vous avez très bien fait ça !"
Tout était, dans l'ensemble, programmé. On peut
constater d'inévitables confusions ce matin-là dans
la mesure où les récits de certains appelants
semblaient se contredire... presque comme s'ils ne
savaient pas trop dans quel avion ils étaient censés
être, en ce qui concerne le lieu.
Le côté horrible de la chose est que, juste après,
les passagers auront été assassinés. Sauf un ou deux
appelants peut-être (mais personne de l'équipage),
qui pourraient avoir été dans le coup dès le début,
et rester en vie, sous une autre identité. [Ceci
dit] sans aucun manque de respect pour les
intéressés ou leur famille : c'est seulement là ce
qu'indiquent les preuves.
Ce n'est bien sûr pas tout, parce que les preuves
nous conduisent à de nombreux endroits différents.
Mais c'est là le thème principal du premier livre de
Rebekah, Methodical Illusion, sous la forme
d'un roman détaillé et facile à lire, où tout cela
est exposé. Methodical Deception, son
deuxième ouvrage, qui vient de paraître, suit le
labyrinthe des connexions qui répondent aux
questions Qui ?, Pourquoi ?, et Comment
? Et il faut dire dès l'abord, qu'en suivant
fidèlement les indices, à la Sherlock Holmes, tous
les chemins mènent en Israël, et au PNAC -- le Projet
pour un Nouveau Siècle Américain.
Il se peut que certains parmi vous soient déjà
quasiment au courant. Mais Rebekah présente ceci
avec un style coulant, vif et divertissant, et
j'espère que vous l'apprécierez autant que moi. Si
vous voulez savoir où tout cela mène, sautez presque
à la fin de l'interview, où Rebekah nous fait part
de ses craintes concernant le rôle de l'Intelligence
Artificielle, et la menace d'un nouvel événement
sous faux pavillon, bien plus traumatisant encore,
nucléaire peut-être, comportant beaucoup moins
d'erreurs d'exécution, mais beaucoup plus
destructeur, et qui changerait profondément la
donne.
Comme le dit Rebekah -- et je l'approuve, comme le
feront nombre d'entre vous -- que cet événement se
produise ou non (ou ses conséquence, s'il se
produit) dépend de vous, de moi, et du nombre de
gens conscients et informés, et capables de
comprendre ce qui se passe réellement.
Donc, profitez bien de cette conversation. Nous
allons commencer ici même.
Interview :
Bill Ryan (BR) : Ici Bill Ryan,
de Project Avalon. Nous sommes le 10 septembre. Je ne
sais pas trop ce que ça signifie, mais, Rebekah, je
sais que vous enfilez beaucoup d'interviews en ce
moment, une sorte de Water War, pas vrai ?
Rebekah Roth (RR) : Tout à fait... Deux choses
se produisent : le 14ème anniversaire du 11-Septembre
et la sortie de mon deuxième livre : Methodical
Deception (Tromperie méthodique). C'est donc une
folle période, très chargée...
Personnellement, ce qui me force à agir -- je suis un
peu tombée par accident sur toute cette histoire de
11-Septembre, je pensais écrire un roman sur ma vie
passionnante d'hôtesse de l'air pendant 30 ans, de
chef de cabine international, et je cherchais un nom
pour un personnage du Moyen-Orient, et j'ai tout juste
tapé sur Google "19 pirates de l'air 11-Septembre" et
là, devant moi, est apparue l'information que
plusieurs de ces types étaient encore vivants, que le
gouvernement saoudien poursuivait en justice le FBI
pour avoir usurpé l'identité de certains de ses
citoyens, dont plusieurs étaient pilotes de ligne. Ça,
ça a retenu mon attention.
C'était autour de 2008-2009, je ne sais pas. (Rire)
A ce stade de mon roman, je me suis juste plongée dans
les recherches, pour apprendre ce qui s'est vraiment
passé. Parce que, dès le premier jour, j'ai su
qu'aucun avion ne s'était écrasé au Pentagone. Je
pouvais le voir. J'ai entendu Jamie McIntyre de CNN le
dire, et je savais qu'il n'y avait aucun débris
d'avion là-bas, parce qu'il y aurait eu des débris sur
tout l'extérieur de ce bâtiment.
Le Pentagone venait d'être renforcé, exactement là où
cet avion était censé l'avoir touché, renforcé à
l'acier et au kevlar. Et un avion en aluminium ne va
donc pas y entrer comme un missile et laisser un trou
qui traverse complètement, même ces anneaux du
Pentagone.
Et je savais qu'il n'y avait pas eu de crash d'avion à
Shanksville, parce qu'il n'y avait pas de crash
d'avion là-bas !
Donc, quand j'ai découvert que les pirates de l'air
accusés étaient toujours vivants, je me suis plongée
là-dedans et j'ai trouvé tous les petits détails isolé
que j'ai pu.
Ma ligne de conduite, c'était de retrouver les avions,
les passagers, et les membres d'équipage. J'ai fait ça
dans Methodical Illusion, et puis j'ai voulu
que les gens le sachent.
Il s'est vraiment passé des choses vraiment
incroyables, même d'un point de vue spirituel. Depuis
la sortie de ce livre, on m'a offert presque 1
téraoctet d'informations, des données obtenues
officiellement. Et le chercheur qui avait rassemblé
tout ça, m'a dit : "[inaudible] j'en ai 1 téraoctet :
il va me falloir un autre disque externe." J'en ai
acheté un, directement acheté sur Amazon. "Je vous
paierai le transport où que je sois, quand vous
l'aurez rempli."
Il l'a fait. Il m'a envoyé par Skype une copie d'écran
: le transport avait coûté 9,11 $. Et j'ai su à ce
moment-là que je n'étais pas la seule impliquée dans
cette vérité qui émergeait. Il se peut qu'il existe
une sorte de protection divine.
BR : (Rire) Il se peut que les anges
reçoivent là un petit message : une jolie histoire !
J'ai ici une idée concernant l'organisation, si je
puis me permettre. Il se peut qu'il y ait ici des gens
qui ne soient pas tout à fait au courant de
l'itinéraire suivi par vos recherches, en deux parties
en fait. Peut-être pourriez-vous commencer par résumer
les recherches que vous décrivez comme fictionnelles
dans votre premier livre, qui sont nombreuses et
extrêmement importantes. Puis nous pourrons consacrer
une partie du temps à la suite de cet itinéraire dans
le deuxième livre.
Il nous faut probablement commencer par un
récapitulatif.
RR : Sûr. C'est une belle histoire. Je n'ai
jamais, jamais voulu qu'on me colle sur le dos
l'étiquette de "chercheuse de vérité", de "cinglée du
complot". Les lignes aériennes, c'est un peu comme
l'armée. Il y a des questions qu'on ne souhaite pas
poser, et des endroits où on ne veut pas aller.
C'était une histoire tellement étrange ! Et dès le 1er
jour, j'ai vu des choses qui n'étaient pas possible.
Et encore maintenant, des pilotes me contactent
"Avez-vous réfléchi à la façon dont ils ont fait
entrer cet avion dans ce bâtiment solide, comme un
couteau chaud dans du beurre ?" C'est
impossible, et nous le savons tous.
Donc, depuis le tout début, j'ai vu des choses
impossibles, j'ai entendu des gens à la télévision
dire des choses qui n'étaient pas possibles. On ne
nous avait jamais prévenu qu'Al-Qaida était aussi un
groupe de pirates de l'air, et je n'avais jamais
entendu parler d'Oussama ben Laden, ou de Tim Osman,
le nom de l'agent de la CIA. On ne m'avait tout
simplement pas avertie de ça.
Nous avons une formation annuelle, chaque année, et
donc, s'il y a des pirates, une quelconque menace
de quelqu'un contre l'industrie aérienne, au
niveau mondial -- parce que nous voyageons dans le
monde entier -- on nous en avertissait, nous avions
donc des images d'eux, nous connaissions leur nom...
J'ai donc été réellement choquée quand j'ai vu cet
automne-là -- heureusement je rentrais chez moi d'un
voyage international, et quelqu'un m'a appelée, et dès
que j'ai allumé ma TV, j'ai immédiatement vu ce
message et j'ai vu ce qui semblait être un 767 qui
volait vers la Tour Sud et qui y disparaissait
complètement : le bout des ailes, les ailes, la queue.
J'ai cru que c'était... Vous vous rappelez de la
"Guerre des Mondes", le truc qu'ils ont passé il y a
des années à la radio et qui a affolé les gens, du
style invasion par les Aliens. J'ai pensé en gros que
c'était une sorte de faux attentat terroriste. J'ai
d'abord pensé que la première personne qui m'avait
appelée était un (inaudible-Rire) qui vous
manipulait l'esprit, et qui trafiquait ce qui
se trouvait sur mon écran de TV...
Parce que ça, c'est une impossibilité. Et mon esprit
se demandait : "C'est quoi, ça ?" et pour
moi, c'est un trucage photographique. En me
levant, vaseuse à cause du décalage horaire, en
regardant et en écoutant ça, il m'est aussi venu à
l'esprit : "Les téléphones mobiles ne fonctionnent
pas en altitude." Donc quand j'entendais les
hôtesses de l'air ou les pilotes appeler sur leur
portable, ces coups de téléphone pleins d'émotion, et
le fait que le manifeste des passagers ait été publié
vraiment très tôt -- ce sont là des choses qui
normalement ne se produiraient pas. Et donc, j'ai vu
des tas de choses, quand j'y étais, ce que
j'appellerais de la "dissonance cognitive".
Je ne voulais pas connaître la vérité.
Et, comme je volais et qu'on ne nous autorisait pas
vraiment à poser des questions là-dessus, et ils ne
voulaient pour sûr pas entendre d'informations sur les
trous dans la sécurité que nous remarquions, nous, les
employés. J'ai donc, dans Methodical Illusion,
voulu emmener le lecteur dans ce monde-là, à l'intérieur
d'une ligne aérienne, en tant qu'agent de bord, de façon
que les gens comprennent comment nous nous enregistrons
pour un vol, et la raison pour laquelle je l'ai fait, et
que nous sommes tous un équipage de danger, nous allons à
pied à l'avion, nous allons travailler.
C'est tout à fait différent de se présenter en passager
pour un vol. Et la raison pour laquelle je l'ai fait ,
tandis que j'approfondissais mes recherches, c'était que
j'ai vu beaucoup d'universitaires retraités et de gens qui
IGNORAIENT TOUT du transport aérien, qui élaboraient des
théories du complot juste ABERRANTES sur notre mode de vie
et notre manière d'aller travailler, et sur ce que nous
faisions.
Donc, je voulais que les gens soient littéralement
capables de marcher et de ressentir les protagonistes --
dans l'histoire, une hôtesse qui a de l'ancienneté --,
pour qu'ils comprennent ce qu'elle subit, comment elle
briefe l'équipage, afin que tous les gens qui travaillent
avec elle soient "soudés" à l'avion. Il est donc
impossible de se faire kidnapper dans un aéroport sûr, et
j'ai lu cette théorie chez un certain (Rire) fou
qui a écrit ça ! Et moi, je faisais : "Quoi ? Que
c'est idiot !"
Il y a des tas de choses dans Methodical Illusion.
Et c'est fait de façon à ce que vous, le lecteur, vous
compreniez combien certaines de ces théories du complot
étaient complètement folles : la modification de la voix,
la fille kidnappée alors qu'elle se rendait à l'avion,
tous ces trucs-là.
Je me suis lancée dans cette recherche, et j'ai gardé des
schémas, etc, et j'ai trouvé tant de choses que je me suis
demandée comment j'allais intégrer ce que j'avais trouvé.
Des milliers d'heures passées à chercher ce qui était
arrivé. Et c'est là que j'ai décidé d'aller de l'avant, et
d'en faire un roman. Cela me donne une vague protection,
et s'ils me tuent, vous saurez que tout ce que j'ai
dénoncé dans ce livre est vrai. Et ça ferait de moi la
victime d'un meurtre, et ils n'ont probablement pas envie
d'en arriver là. Et ça pourrait être une des raisons qui
font que je suis vivante, en fait.
Donc, j'ai trouvé que tant de choses s'étaient déroulées
ce jour-là, qui vont bien au-delà de tout ce qu'on nous
avait raconté... Gardez bien à l'esprit que j'étais comme
tout le monde : je regardais tout ça se dérouler à la TV.
J'ai eu droit à la présentation par les médias, dont une
grande partie ne tenait pas debout à mes yeux.
Mais il se passait bien d'autres choses : on a volé un
chargement d'or, et je pense que des tas de gens
l'ignorent. Moi, je l'ignorais avant de rechercher ça,
qu'il y avait de l'or et des métaux précieux stockés sous
plusieurs immeubles du World Trade Center, sous les Tours,
et qu'on avait amené plusieurs camions avant
l'effondrement des Tours, qui sont repartis pleins d'or.
Cet or était assuré. Il ont prétendu l'avoir récupéré à
100 % : ils en ont en fait récupéré 10 % et le reste a été
couvert par l'assurance.
Des choses étaient en cours : l'enquête sur Enron, une
autre sur WorldCom, et sur Global Crossing, et toutes les
preuves destinées à ces procès prévus pour octobre 2001 se
trouvaient dans l'immeuble N°7, et si vous vous rappelez,
une présentatrice, Jane Stanley, de la BBC, qui nous a
annoncé, 20 minutes avant, que le Salomon Building -- le
bâtiment N°7 -- s'était effondré, et l'immeuble était
encore debout derrière elle !
Ce qui signifie que quelqu'un, dans les studios de la BBC,
leur avait dit qu'il allait s'effondrer. Y avait-il à
Londres quelqu'un au courant ? J'ai découvert un lien
intéressant : Ehoud Barak, qui était le premier ministre
israélien, était présent dans les studios de la BBC, donc
il pourrait être impliqué avec la personne qui a placé
l'information dans le téléprompteur que le Salomon
Building allait tomber.
Vous vous souvenez que cet immeuble appartenait à Larry
Silverstein. Il a dit :"Bon, tant de gens ont perdu la
vie, que j'ai dit au chef des pompiers :"Démolissez-le
!""
Jusqu'à présent les pompiers ne démolissent pas les
immeubles, mais les équipes de démolition, oui. Donc,
quand on a vu ça et que les gens regardent ça, ils n'y
voient qu'une démolition contrôlée. Ce qui signifie qu'il
a fallu tout câbler bien en avance. Ehoud Barak semblait
être au courant, quand il était là, dans les studios à
Londres.
Il y avait donc toutes ces choses. Et je voulais trouver
un moyen de révéler tout ça, afin de montrer aux gens à
quel point on nous avait trompés, en tant que nation, et
des gens d'autres pays du monde : je crois que des gens
d'autres pays ont été tués dans les Tours et les avions ce
jour-là. L'Amérique n'était pas seule à être attaquée et à
avoir été affectée.
J'ai donc créé un type, que j'appelle un [inaudible],
qui se nomme Max Hager. Et Max est un très sympathique
vétéran du Vietnam et un gentleman d'un certain
âge, et il travaille avec tout un groupe de chercheurs et
il révèle toutes les informations que j'ai trouvées. C'est
un personnage si attachant, qu'il me rappelle la cuillerée
de sucre qui aide à faire descendre le médicament. C'est
tout. Voilà pour Max Hager. Donc, il donne une grande
partie de la vérité.
Ce qui m'est arrivée, Bill, c'est qu'ayant été hôtesse de
l'air pendant 30 ans, et connaissant leur formation, quand
j'ai commencé à enquêter sur ce qui s'était produit, à
partir des appels téléphoniques provenant des avions, j'ai
vu des choses si alarmantes, qui m'indiquaient que les
hôtesses du 11-Septembre voulaient que j'entende ces
choses et, à vos oreilles, et à celles des autres gens qui
n'ont jamais volé comme agent de bord, je pense que vous
ne l'auriez même pas entendu.
Mais Betty Ong a appelé les réservations en utilisant le
"1",et ça, n'importe quelle hôtesse trouverait idiot de le
faire, de faire le "1" pour appeler "Réservations", qui
est au "2", car elle serait restée, comme tout le monde,
en ligne 10, 15 ou 20 minutes. Or, si vraiment elle avait
été prise dans un détournement d'avion, elle n'aurait eu
que 30 secondes pour dire ce qu'elle avait à dire, parce
qu'on ne veut sûrement pas être prise en train de
téléphoner par un vrai pirate de l'air. J'ai donc étudié
ça, pour y voir un scénario se former à partir de ce
qu'avait dit cette hôtesse de l'air, mais elle a dit à
l'agent des réservations : "Lui n'a pas un seul
pirate (??). C'est le Vol 11, de Boston à Los
Angeles. Lui, il a pulvérisé du poivre lacrymogène en
classe business, et nous ne pouvons pas respirer en
classe business."
Et je me suis dit : "Attends un peu..." J'ai pensé
à tous les parfums bon marché d'Hawaï, de la boutique de
"souvenirs", à des bouteilles de rhum cassées, venant de
Porto Rico, et des objets hors-taxe, des bouteilles
d'alcool ouvertes, et je me suis dit : "Non, si
quelqu'un a pulvérisé quelque chose d'aussi dangereux
que ce poivre... et ces deux choses-là ne sont pas
autorisées à bord d'un avion ! Dans une cabine
pressurisée, ça ne resterait pas en classe business, ça
serait diffusé dans tout le système, et les pirates
s'asphyxieraient eux-mêmes, parce qu'ils respireraient
le même air recyclé."
Et les pilotes, quels qu'ils aient été, et ces deux
hôtesses, et pourtant ces deux hôtesses sont restées au
téléphone 27 minutes, sans jamais se plaindre, à aucun
moment, d'avoir des yeux larmoyants, sans tousser, ni
avoir de difficulté à respirer, qui sont tous des effets
du poivre lacrymogène. Elles ont dit ces mots-là.
Puis une des hôtesses, Amy Sweeney, a fait ce qu'aucune
hôtesse ne ferait : quand elle a appelé et dit que le
pirate, de nouveau un homme, était assis au 9b. Elle a
donné son numéro de siège. Le passager qui était
effectivement au 9b était un assassin très entraîné
appartenant à une unité d'opérations spéciales que les
forces de défense israéliennes appellent "Seyeret
Matkal", également formé comme spécialiste du
sauvetage des otages, ce qui veut dire qu'il savait
comment fonctionnait le système de sonorisation, comment
fonctionnaient tous les équipement d'urgence du Boeing,
comment entrer dans le cockpit, il étudierait peut-être la
serrure pour y entrer, il savait sur un Boeing tout ce que
saurait une hôtesse de l'air.
Il faisait partie de ce qu'on appelle "l'équipe de
sauvetage des otages", et c'est avec eux qu'on aurait
travaillé en cas de vrai détournement, où nous aurions
essayé d'amener l'avion jusqu'au sol, puis nous aurions
assuré la coordination, par le biais des pilotes, avec
quelqu'un au sol, une quelconque équipe SWAT (cf.le RAID
en France), ou des Navy SEALs, ou des rangers de
l'armée, ou toute autre force de ce type, qui monteraient
dans l'avion par une certaine porte, et qui nous
préviendraient. "À 5 heures tapantes, nous arriverons
par la porte de derrière, sur le côté gauche."
A ce stade, toutes les hôtesses sont étendues par terre. "Pour
que nous ne vous tirions pas dessus !" Des trucs de
ce genre.
J'ai fait des recherches sur lui, parce qu'on ne peut
juste pas tuer un assassin très entraîné, dont les amis et
compagnons d'armes prétendent pouvoir tuer n'importe qui
avec un stylo et une carte de crédit, avec un cutter en
plastique, ces cutters en plastique qu'ils présentent
comme preuves au procès Moussaoui, et aussi aux audiences
de la Commission du 11-Septembre. Ce sont des cutters très
fins, d'environ 1 cm de large, avec une poignée en
plastique jaune vif, et une minuscule lame de rasoir qui
sort. Il serait impossible de tuer quelqu'un avec ça,
surtout s'il a une formation d'assassin !
Et aucun ne dépassait 1,68 m, parce que les pirates
étaient tous des petits gars. J'ai donc trouvé ça vraiment
curieux, parce que l'histoire officielle nous amène à
croire que ce pauvre Israélien a été tué, par ces cutters
en plastique, par ces gars de 1,68 m.
Puis j'ai cherché ce qui le concernait. Qui était-il censé
être ? Elle a rappelé, incidemment, "Oh, j'ai fait une
erreur : le pirate était en fait assis au 10b."
Eh bien, au 10b, OK, les pirates étaient assis derrière,
préparant un nouveau Pearl Harbor, que le Projet pour
un Nouveau Siècle Américain avait demandé, pour que
le peuple américain se rassemble et soutienne ces 7
guerres au Moyen-Orient, planifiées DES ANNÉES avant le
11-Septembre -- une autre découverte que j'ai faite -- Ce
type du 9b parlait couramment l'anglais, il a grandi à
Denver (Colorado), il parlait couramment l'hébreu, parce
qu'à 14 ans il est parti vivre en Israël, et il parlait
couramment l'arabe.
Donc, si nous avons des pirates qui parlent arabe, de 1,68
m-1,70 m, planifiant en arabe, à l'arrière, un nouveau
Pearl Harbor, il aurait entendu tout ce qu'ils disaient.
Parce que -- pensez à votre dernier vol en avion, et à
quel point les gens qui étaient derrière vous pouvaient
entendre la conversation, parce qu'ils ne sont pas loin de
vos oreilles, et ils parlent tournés vers vous, parce que
c'est comme ça que ça marche dans un avion. Songez
maintenant à toutes les conversations qu'elle a surprises
pendant que vous étiez passager.
Que ce type ait été tué n'a rien de logique, pour moi.
Laissez-moi vous dire ça : une hôtesse ne fera jamais, au
grand jamais, l'erreur de signaler comme pirate le mauvais
passager, parce que juste après le pilote commencerait à
faire atterrir l'avion, et la force de libération
entrerait, en risquant de tuer le mauvais gars. Ce n'est
pas le genre d'erreur que nous ferions : nous sommes
beaucoup plus malignes que ça, et beaucoup plus
prudentes... Et vous n'auriez même aucun espoir
qu'un second appel téléphonique serait même reçu, donc...
Tout ça était donc si fou... que j'ai commencé à m'en
rendre compte. Et je suis ensuite revenue à Betty
Ong, et elle disait quelque chose d'autre qui a attiré mon
attention. Cela n'attirerait pas l'attention de quelqu'un
: ça, ils ne ne le savaient pas. Elle a dit qu'il était
"debout en haut des marches." Et à propos du pirate,
qui était tout seul : "il", et ça m'indiquait 1) que le
gaz poivré ne l'affectait pas, et qu'ils n'étaient plus
pressurisés et en altitude, quelle que soit l'altitude, et
2) je savais qu'au fil des années, j'avais vu tant
d'immenses hangars à avions, qu'ils ont des escaliers qui
mènent aux bureaux de la mezzanine, dans tous les hangars,
même militaires.
Quand elle a dit la phrase suivante, j'ai compris pourquoi
c'était arrivé. Elle a dit : "Nous ne pouvons pas
communiquer avec les pilotes, nous ne pouvons pas leur
répondre au téléphone." Si nous ne pouvons pas
répondre à leur téléphone, nous ne pouvons pas communiquer
avec les pilotes.
Je me souviens, au début des années 90, que Boeing avait
essayé de vendre, avec succès dans certaines compagnies
aériennes, pas là où je travaillais, mais à United et
American, ils avait ce qui s'appelait un "Flight
Termination System", c'était un dispositif de
commande à distance, qui se branche sur le système
informatique à bord des Boeing, et ils l'ont vendu
-- écoutez bien les mots qu'ils ont utilisés ! -- "En
cas de détournement et où un pirate pénétrerait dans le
cockpit, NOUS pourrions faire atterrir l'avion à
distance où il serait libéré par une quelconque force
delta ou équipe SWAT."
Et au cours d'une conversation avec certains pilotes,
j'ai demandé à ce propos : "Qui c'est, "nous"
? Qui est le "nous" pouvant faire
atterrir notre avion à distance ?" La raison
pour laquelle les pilotes n'en voulaient pas était que
cela interrompt TOUTE communication, comme nous le disait
Betty Ong, qui ne pouvait pas communiquer avec le cockpit.
Ils ne pouvaient même pas parler avec les hôtesses/agentes
de bord dans la cabine, et nous sommes leurs yeux et leurs
oreilles, donc...
Si nous ne leur disons pas qu'il y a un pirate dans la
cabine, ils n'en sauraient rien, ou si l'avion est en feu
ou que quelqu'un est malade, ils ne sauraient rien de ce
qui se passe, parce que c'est la porte du cockpit et
qu'ils regardent devant. Si quelqu'un se manifeste pour
une raison quelconque, ils ne sauront pas ce qui se passe
en cabine, sauf si nous le leur disons.
Voilà pourquoi cette communication est si importante,
particulièrement lors d'un détournement, parce que nous
sommes leurs yeux et leurs oreilles et que nous
coordonnerions cet atterrissage avec la force delta qui
vient libérer l'avion, les passagers et l'équipage : par
quelle porte ils entreront, ce qu'ils feront à leur
arrivée, où était le pirate... Nous communiquerions tout
ça au cockpit, en utilisant des mots codés et en donnant
des informations.
Et nous perdons ça en utilisant le dispositif de commande
à distance, et nous perdrions toute communication. Donc
nous ne saurions pas si la force de libération entre par
la porte avant, ou la porte arrière, par le côté droit ou
le côté gauche, ce qu'ils vont faire une fois arrivés. Et
ils ne sauraient pas où se trouve le pirate !
Donc...
Perdre cette communication est très, très difficile, mais
alors, c'était le [inaudible] directement sur ma
tête, j'ai compris que le "Flight Termination System"
avait pris le contrôle. Incidemment, une fois que c'est le
cas, il fonctionne sur la même fréquence que le
transpondeur de trafic aérien de l'avion. Ce transpondeur
émet un petit point sur leur radar, qui leur dit qu'il
s'agit d'un vol d'American, que c'est un 767, et donne sa
vitesse et son altitude, de façon à éviter de se rentrer
dedans là-haut. Le contrôle aérien possède ces
informations, émises par le transpondeur.
Quand le FTS prend le contrôle de l'avion et commence à le
diriger à distance, le transpondeur est sur la même
fréquence, donc le transpondeur ne fonctionne plus. Si
bien que les pilotes ne peuvent pas parler aux autres
avions, ni au contrôle aérien, ni aux hôtesses derrière
eux.
Ce qu'ils étaient en train de vivre le 11-Septembre, c'est
qu'on a pris à distance le contrôle des avions, en gros 10
minutes après le décollage, certainement hors de Boston,
et les ont fait atterrir. Et j'ai découvert que les deux
premiers avions ont quitté Boston, qu'il leur fallait une
piste d'au moins 3 km parce qu'ils étaient pleins de
carburant, avec peu de passagers, mais pleins de
carburant. Donc, il leur fallait une piste assez longue,
et les appels téléphoniques ont débuté environ 20 minutes
après Boston. Donc, je savais qu'ils devaient être
relativement près.
J'ai pris une carte, tracé un cercle et mis Google Earth,
et j'ai trouvé une base de l'armée de l'air où les quatre
avions ont été conduits à distance. Et tout coïncide avec
l'heure à laquelle ont débuté les appels téléphoniques...
Et quand j'ai découvert ça, Bill, j'en ai littéralement eu
l'estomac retourné. J'ai littéralement... j'ai juste
reculé de mon ordinateur : je ne pouvais pas croire à ce
que je venais de découvrir...
Et j'ai dit à mon mari : "Les hôtesses disent ici
quelque chose que de toute évidence, seules mes oreilles
peuvent entendre", parce que ces informations
étaient déjà sorties. Je les lisais dans une transcription
du FBI, elles avaient été utilisées dans la Commission du
11-Septembre et le procès Zacarias Moussaoui, deux ans
plus tard...
Je ne pouvais tout simplement pas croire que j'ai souffert
pendant environ un mois et que je me suis réveillée le
jour où je contacte cet ordinateur, et j'enseigne au
lecteur comment le faire : c'est un site Internet où on
peut accéder à un calculateur de vol, y inscrire "gros
avion à réaction" et entrer "de A à B" et je leur ai donné
les codes d'aéroport, etc., et c'est presque exactement le
moment où débutent les appels téléphoniques de chaque
avion, une fois arrivés au sol...
Cette base de l'Air Force était une base de réserve. Après
la sortie de Methodical Illusion, une réserviste
en garnison là-bas m'a contactée, base de transport des C5
de l'Air Force. Ces réservistes n'étaient pas actifs, mais
on les a activés ce matin-là dans leur unité, après
l'impact du deuxième avion dans la deuxième Tour, ou du
moins de ce que nous pensions être un avion...
Et quand ils se sont signalés à la base, ils ont trouvé
qu'elle avait été évacuée, qu'ils étaient tous interdits
d'entrée et logés dans des hôtels à proximité. Et elle m'a
dit : "Je n'ai jamais pu comprendre pourquoi. Parce
que, quand nous entrons en activité, nous allons à notre
poste sur la base et on nous laisse entrer. Pourquoi
activer les gens et ne pas les laisser venir à leur
travail ?"
Elle a ajouté : "Après avoir lu une de vos
interviews, j'ai compris que vous parliez de ma base." Il
y a à peu près six hangars à avion sur cette base,
suffisamment vastes pour abriter des avions de transport
C5 -- c'est plus grand qu'un 747, lui-même beaucoup plus
grand qu'un 757, ou que les 767 censés avoir été utilisés
ce jour-là, le 11-Septembre.
Elle me l'a de nouveau confirmé depuis. Au moment où je
finissais Methodical Deception, cela m'a été
re-confirmé par un civil, une femme qui a de fait vu le
Vol United 175 à l'ouest de la base de l'Air Force, alors
qu'il tournait autour avant d'atterrir. Si proche du sol
qu'elle a pu voir les gens aux hublots.
BR : C'est vraiment super-effrayant, n'est-ce pas ?
Ça ressemble à une scène tirée d'un film, où on trouve
quelque chose d'aussi visuel.
Êtes-vous en mesure de dire où est cette base ? Je sais
que quand votre premier livre est sorti, vous ne vouliez
pas vraiment le révéler. Maintenant, c'est dans le domaine
public. Je me demande si ce n'est pas une pièce du puzzle
que vous voudriez nous communiquer à ce stade...
RR : Oui, je peux, certainement. Lorsque le premier
livre est paru, la raison pour laquelle je ne l'ai pas
fait est que je voulais que les gens lisent Methodical
Illusion pour toutes les informations qu'il
contient, et pas seulement ce petit détail, mais toutes
les informations : comment les agents de bord gèrent les
crashes, comment les incidents du transport aérien les
affectent, comment ils s'enregistrent pour les vols, ce
qu'ils font lors de leurs transits et en faisant attention
à quoi, comment tout ça fonctionne, et toutes ces choses
liées au 11-Septembre.
Il s'agit de la Westover Air Force Base, juste à côté de
Chesapeake (Massachusetts), à 130 km à l'ouest de Boston
(Massachusetts).
BR : On dirait que c'est là où mène la logique,
c'est là où vous a mené le trou du lapin (NdT - allusion à
Alice au Pays des Merveilles). Et elle ne vous a
amenée qu'à cet endroit-là. Il n'y avait qu'une
possibilité, comme je comprends les choses... Il
n'existait qu'une solution à tout ça, qui convienne à
toutes les questions sans réponse.
RR : Eh bien, ma clé a été les appels des
téléphones portables : ils ne pouvaient pas avoir eu lieu
en vol ! Encore il y a quatre ans, j'ai essayé en vol
d'utiliser mon mobile, 550 m est l'altitude maxi à
laquelle vous pouvez recevoir le sol. Il existe cependant
quelques rares avions équipés de la technologie satellite
qui le permet. Mais en 2001, il était très difficile
d'utiliser un mobile dans cette cage de Faraday qu'est un
avion en aluminium. Donc, même au sol, vous ne receviez
pratiquement rien. Tous les mobiles étaient comme ça.
Vous vous souvenez de Barbara Olson : elle a appelé son
mari, qui était à l'époque avocat-général au ministère de
la Justice. Elle a appelé depuis le Vol 77, selon les
documents officiels du gouvernement, et ils étaient à une
altitude bien supérieure à 1800 pieds (550 m), si bien que
j'ai trouvé ça vraiment bizarre : il a juste après fait
une interview avec CNN, et il a menti, je dois dire, il a
tout simplement menti. Il a dit qu'elle avait essayé
d'appeler en PCV depuis son mobile, et qu'elle a appelé 2,
3, 4 fois, et cette histoire change tout le temps. Puis il
a raconté qu'elle avait téléphoné depuis un téléphone
d'avion, le type de téléphone que possédaient les avions,
mais depuis le 31 janvier 2001, les 757 d'American
Airlines, à bord desquels elle était censée être, ne
possédaient plus de téléphones d'avion activés. Donc il a
fallu qu'elle appelle depuis son mobile, mais elle n'a pas
pu appeler en PCV depuis un mobile, c'était impossible.
Donc, non seulement il semble avoir menti, mais il a dit
qu'elle appelait depuis un mobile. Donc, je savais que
c'était faux, tout simplement pas possible ! Mais j'ai
examiné le témoignage de Barbara Olson. Après la sortie de
Methodical Illusion, j'ai regardé de près tous ces
gens, et j'ai intégré au nouveau livre les choses que j'ai
trouvées. Donc, je n'utilise plus le mot "coïncidence"...
Maintenant, je vais vous dire pourquoi. Barbara Olson a
grandi au Texas, et après deux ou trois ans de college,
elle est allée à Hollywood, travailler pour les Stacy
Keach Productions, chez HPO. Quand vous pensez à
Hollywood, HPO est associé à la CIA. Elle y a travaillé
pendant une décennie, et il est impossible de découvrir ce
qu'elle y a fait... Elle a pu jouer, prendre des
cours de théâtre, tourner des pubs, on ignore ce qu'elle a
fait à Hollywood pendant une décennie....
Elle est allée à la Yeshiva Law School de New York, une
université juive. Elle en était diplômée. Elle a grimpé
tout en haut de l'échelle à Washington DC, au sein d'un
cabinet d'avocats nommé Wilmer, Cutler & Pickering. Et
ce qui m'a semblé plus qu'une coïncidence concernant
Wilmer, Cutler & Pickering, c'est que Cutler, un des
fondateurs de ce cabinet, était au Conseil de la Maison
Blanche sous les présidents Jimmy Carter et Bill Clinton,
et qu'un autre associé, C. Boyden Gray, a été Conseiller
de la Maison Blanche auprès du vice-président, puis
président, des États-Unis, George HW Bush Sr. Un autre
associé intéressant de ce cabinet d'avocats où travaillait
Barbara Olson, était Jamie Gorelick, une des membres de la
Commission du 11-Septembre.
J'ai aussi découvert que le FBI a vraiment tout caché du
11-Septembre. Mais, ô surprise, si l'ex-directeur du FBI,
Robert Mueller, qui en était le directeur au moment du
11-Septembre -- et je crois qu'il a pris cette fonction
juste quelques mois auparavant, peut-être en juin... mais
c'est une de ces personnes qui sont arrivées à une
position cruciale, et lui aussi avait été juriste à
Wilmer, Cutler & Pickering, aux côtés de Barbara
Olsen, dans tout ça...
William Weld, également ancien gouverneur du
Massachusetts, appartenait aussi à ce cabinet juridique.
Tout ceci dépasse donc de loin la coïncidence. Puis j'ai
cherché qui étaient les clients de Wilmer, Cutler &
Pickering.
Vous vous rappelez le gars dont je vous ai parlé, "9b" ?
Celui qui avait une formation d'assassin ? Il possédait
une compagnie nommée Akamai Technologies, une entreprise
de communication : Internet, téléphonie, etc. Ô surprise !
Si la liste des clients ne commence pas dans l'ordre
alphabétique par Akamai Technologies, l'entreprise
possédée par le passager du Vol 11, assis au 9b, assassin
très bien formé, et l'agent des opérations spéciales du Seyeret
Matkal, de la Force de Défense Israélienne, Daniel
Lewin. Dont l'entreprise est Akamai Technologies...
La 2ème entreprise, cliente de Barbara Olsen et pour
laquelle elle a travaillé, est une autre entreprise
israélienne nommée M@Dox. Et si vous approfondissez, M@Dox
est une entreprise israélienne qui a établi des annuaires
téléphoniques, mais aussi aidé des entreprises aux USA
dans leur facturation. Ils ont aussi, pendant la décennie
précédant le 11/09, contrôlé chacun des appels
téléphoniques, mais ils ont manqué tous les appels des 19
pirates de l'air entre eux...
J'ai trouvé très intéressante une autre entreprise,
également cliente : AVA Technologies, qui se spécialise
dans les techniques de production vidéo et audio. Une de
leurs spécialités, c'est le montage numérique non-linéaire
(NLE), ça ressemble beaucoup à du copier-coller. Si vous
regardez n'importe quel match de football [US], on peut
voir que la ligne de mêlée qu'ils montrent d'un jaune ou
d'un orange vifs, les publicités, les logos des équipes,
ne sont pas visibles quand vous êtes sur place, dans le
stade : ça, c'est du "montage audio non-linéaire" en
direct.
BR : C'est-à-dire de l'édition en temps réel.
RR : C'est exact. Je trouve ça très intéressant,
parce que les gens me demandent constamment comment ils
ont fait pour faire croire que cet avion traversait
l'immeuble. Et nous nous rappelons avoir vu les ailes
disparaître dans le bâtiment. Donc, c'est impossible,
parce que les ailes sont creuses, en aluminium et
contiennent des réservoirs de carburant, elles ne peuvent
pas entrer comme un couteau dans un bâtiment en acier.
D'autres entreprises intéressantes, clientes du même
cabinet d'avocats de Barbara Olson, sont Boeing, City
Group, Crédit Suisse, Deutsche Bank (ils étaient là), HSBC
Finance (qui est aussi une banque de la CIA), UBS, et
elles travaillent également sans être représentées, dans
des comités d'enquête sur les directeurs du CA d'Enron, et
pour WorldCom. Rappelez-vous : tous les deux étaient dans
le Bâtiment 7.
Et il s'agit juste des liens de la firme juridique de
Barbara Olsen avec quelques-unes des choses du
11-Septembre !
OK. Autre chose concernant Barbara Olson : quand elle est
sortie de la fac de droit, elle a épousé son mari, Ted
Olson. Ted Olson était l'avocat de Jonathan Pollard,
l'espion israélien du Mossad, encore en prison
actuellement aux États-Unis.
Avons-nous encore besoin de liens entre Barbara Olson et
le Mossad ?
BR : C'est fantastiquement incestueux, n'est-ce pas
? Comme si tout revenait sur soi-même en boucle dans ce
grand imbroglio et dans cette toile d'araignée tout à fait
extraordinaire !
RR : Oui. Et c'est ce que j'ai fait avec Methodical
Deception. Bill, je voulais trouver où les gens qui
par leur position pouvaient arrêter ce prétendu attentat.
Où sont-ils allés, après avoir terminé, disons, en 2002,
2003 ou 2004, en poursuivant leur carrière ?
Et la relation entre les gens. Pourquoi n'y avait-il donc
aucune caméra à l'aéroport de Boston ? Comment était-ce
possible ? J'ai volé un certain temps, en partant de là.
Et quand vous faites ça professionnellement, vous partez
naturellement du principe qu'ils ont tout fait pour que
vous et les passagers soyez à l'abri de ce genre de
problème.
Autre lien intéressant que j'ai examiné : la femme qui à
l'époque était à la tête de la FAA (NdT - L'administration
de l'aviation civile) et son administratrice -- ô surprise
! -- avait été directrice de [l'aéroport] Logan
International de Boston, et celle qui avait été nommée en
2001 à ce poste, était une jeune trentenaire, qui avait
travaillé pour William Weld -- également du cabinet
juridique de Barbara Olson -- qui était le gouverneur.
Elle était son chef du personnel et coordonnatrice de sa
campagne, en tant que jeune femme, et il l'ont placée
comme directrice de ce qu'on appelle Massport, où ils font
tous les transports de marchandise de Boston.
Donc elle commence le travail au printemps 1999, et elle
découvre qu'aucun des directeurs qui l'avaient précédée
n'avait placé de caméras dans le terminal des passagers.
Elle annonce donc publiquement qu'avant la fin 1999 elle
garantit que des caméras fonctionneront dans le terminal.
Pourtant, le 11 septembre 2001 il n'y avait pas une seule
caméra en état de marche à Boston Logan. Nous ne savons
pas qui étaient les terroristes, parce que les 19 pirates
de l'air arabes ne figuraient sur aucune des vraies
listes des passagers. Il ne s'agit que d'une affirmation
du FBI...
Donc, nous ne savons pas. Nous ignorons qui étaient les
passagers, à quoi il ressemblaient vraiment : il n'y avait
pas de caméras.
En faisant des recherches, j'ai trouvé qu'elle s'appelait
Virginia Buckingham. Coïncidence : elle était incidemment
mariée à un avocat et un juge qui passait ses étés en
Israël, dans des kibboutz, et qui s'appelait David Lowy.
Vous vous souvenez de l'associé de Larry Silverstein au
World Trade Center, qui s'appelle Frank Lowy -- aucun
rapport à ma connaissance -- juste une coïncidence de
plus.
J'ai donc trouvé ça très intéressant. Chaque année, pour
que cet aéroport fonctionne légalement, il lui fallait
prendre son plan de sécurité, qui ne présentait aucune
caméra, devant Jane Garvey, l'administratrice en chef de
la FAA, et obtenir son approbation pour que l'aéroport
soit fonctionnel. Elle y est arrivée, en 1999, en 2000, et
de nouveau en 2001.
J'ai donc trouvé ça très intéressant que l'administratrice
de la FAA soit au courant, et que toute cette
planification ait lieu, et la plupart des grosses
entreprises impliquées étaient également basées dans le
Massachusetts.
Et, coïncidence intéressante, concernant le mari de Jane
Garvey : il se trouve qu'il est le shériff d'un des comtés
qui entourent presque la moitié de la base aérienne de
Westover, si bien que le témoin oculaire qui m'a contactée
après avoir lu Methodical Illusion, a appelé le
911 (NdT - le N° d'urgence) et l'a contacté, lui, à propos
de cet avion, qui était tellement proche du sol qu'elle
pouvait voir des gens aux hublots, et non là où il aurait
dû être. Si elle s'était tue, on aurait ignoré ça.
Difficile de dire comment ils auraient traité la chose.
Il est également difficile de dire si d'autres personnes
ont aussi téléphoné. Parce que cet avion, que j'ai suivi
-- j'ai le plan de vol (donnée fournie au titre du droit à
l'information), et je savais qu'il suivait un trajet sud.
Elle m'a contactée, quand elle m'a dit où elle était, que
j'ai regardé sur Google Map, et que je savais à quelle
heure exactement, elle le savait parce qu'elle allait à un
rendez-vous.
Alors j'ai su qu'elle disait la vérité, parce que j'avais
suivi cet avion. Si nous avons le temps, j'aimerais vous
lire ceci. J'ai juste changé son nom dans le roman, mais
c'est presque à la fin de The Methodical Deception. Voici
sa déclaration, faite sous serment devant notaire, et qui
est légale devant un tribunal. Elle est d'accord pour
porter l'affaire en justice, pour communiquer ceci :
"Je m'appelle Sarah Swayne (ce n'est
pas son vrai nom) et je vivais à Otis (Massachusetts)
le 11 septembre 2001. A environ 8h30-8h35, j'ai vu un
avion des United Airlines passer au-dessus de ma
résidence de l'époque, et j'étais choquée de le voir
aussi bas : je pouvais voir les gens aux hublots.
J'étais debout sur la passerelle/la terrasse du
deuxième étage et je regardais l'avions survoler le
toit de la maison, puis j'ai perdu sa trace, à cause
de la forme du bâtiment, mais je suis convaincue qu'il
se dirigeait vers le nord lorsqu'il a survolé la
maison, et après l'avoir perdu de vue, j'en ai parlé
avec mon voisin, et nous étions étonnés par la faible
altitude de l'avion, si bas -- je ne devrais pas
parler d'altitude -- que nous en étions abasourdis. Je
sais qu'il était environ 8h30, je dirais 8h45 au grand
maximum. Il fallait que j'aille à un rendez-vous dans
la ville voisine et que j'y sois avant 9h30. Je suis
partie peut-être 5 minutes après l'avion, et me suis
dirigée vers Great Barrington, la ville la plus
proche."
Elle a gardé ça pour elle pendant 14 ans, jusqu'à ce
qu'elle lise Methodical Illusion. Et elle m'a
envoyé un courriel : "Téléphonez-moi, je vous en
supplie. Vous avez justifié ma vie des 14 dernières
années. Les gens me disaient que j'étais folle." Elle
est allée à son rendez-vous et elle savait qu'elle allait,
en sortant, entendre parler de cet avion qui s'était
écrasé, au nord d'Otis, Massachusetts. Et elle a entendu
que deux avions s'étaient écrasés sur les Tours, à New
York, un autre en Pennsylvanie, et un autre à Washington
DC...
Cela ne correspondait pas à ce qu'elle avait vu. Il existe
donc une déclaration sous serment, signée, d'un témoin
oculaire de ce qui s'est réellement produit le
11-Septembre.
BR : C'est très alarmant, n'est-ce pas ? C'est
alarmant et c'est aussi émouvant. Et comme vous l'avez
dit, ça vous frappe quand vous l'entendez. Et, en même
temps, cela vous fait vous demander qui d'autre n'a pas
encore parlé, et qui a vu, qui a été témoin de choses, qui
sait des choses. Et il s'agit d'un énorme réseau de
complices, au niveau supérieur. Il a dû y avoir des
milliers de gens impliqués là-dedans et cela a dû avoir
été planifié en détail depuis longtemps, bien qu'il y ait
eu beaucoup de trous dans l'exécution. Ils ont essayé ici
de faire quelque chose de très compliqué, et un nombre
énorme de gens ont dû y être impliqués.
RR : Je pense que dans un projet de ce genre, les
gens ont pu être impliqués, mais sans savoir dans quoi.
Une autre chose intéressante s'est produite. Après la
parution de Methodical Illusion, mon éditeur a
reçu des coups de fil, et lui et sa femme étaient partis
en vacances, où ils ont rencontré un couple. Lui était
dans la Navy et sa femme avait en fait été au Pentagone le
matin du 11-Septembre. Il a dit "Attendez que ma femme
revienne, laissez ma femme vous raconter son histoire.
C'est son histoire à elle." Et cela a duré
une heure ou deux, mais au moins une heure, sinon deux,
avant qu'on en sache quoi que ce soit à New York. Elle
travaillait dans son bureau au Pentagone quand son
téléphone a sonné, et une voix, encore inconnue à ce jour,
lui a dit : "Fichez le camp du Pentagone, et fichez le
camp MAINTENANT !" et a raccroché. Elle a pris ses
cliques et ses claques et elle a quitté le bâtiment, puis
le reste de la journée s'est déroulé.
Des gens savaient ce qui allait se passer. Pour une raison
x, la personne qui lui a passé ce coup de téléphone
ne souhaitait pas qu'elle soit tuée. Elle ne sait pas qui
c'était. Mais ça révèle que des gens savaient ce qui
allait se passer. Bon, sachant ça, cela m'a encouragée à
continuer mes recherches sur qui aurait pu l'arrêter, les
liens qu'ils avaient avec les entreprises, avec l'État du
Massachusetts... Quand j'ai découvert qui était le chef de
la FAA, que son mari était le shériff du comté alentour,
je ne pouvais même pas croire ce que je lisais !
Je me suis dit : "Mon Dieu", si quelqu'un a vu
quelque chose, il a probablement disparu ! Il peut avoir
été suivi ou non. Je trouvais des choses et on me posait
souvent des questions, Bill : "Pourquoi y avait-il si
peu de passagers à bord de ces quatre avions
ces-jours-là ?"
S'ils avaient été remplis, comme pour la plupart des vols,
même encore souvent aujourd'hui -- ces avions contiennent
en gros 250 personnes, un peu plus, un peu moins. Ils
auraient eu 800 corps sur les bras, au lieu des 260
environ.
Quelque chose d'autre me faisait réfléchir. Tous nos vols
étaient complets à cette période-là, et cela a été une des
choses que j'ai remarquées dès le début : la charge en
passagers était étrangement faible, très étrange et
anormalement faible.
Cela m'indiquait que quelqu'un avait accès aux lignes
téléphoniques des compagnies aériennes United et American.
Il ne pouvait en être autrement. Dans Methodical
Illusion, j'ai découvert dans un document du FBI,
qu'un chef de cabine vivant à Miami -- les gens ne savent
pas comment ça fonctionne : nous faisons la navette d'une
Côte à l'autre, de la la Côte Est à la Côte Ouest, pendant
des années et des années -- pour nous, c'est
seulement à 3 heures de là, même si c'est peut-être à
l'autre bout de la planète, ce n'est qu'à 3 heures, 6
heures, ou 5 heures... Nous avons des gens qui arrivent de
tous les coins du monde !
Cette dame habitait Miami, mais se rendait par avion à
Boston. Et elle a été affectée le 9 septembre au Vol 11,
le 11-septembre ! Elle s'est donc rendue à Boston, est
descendue dans un hôtel, s'est enregistrée dans le
planning de l'équipage, et on lui a dit : "Oh nous
avons trouvée une autre chef de cabine pour ce vol."
Eh bien, ce n'est pas possible ! Quand vous être
affectée à un vol, personne ne peut vous en retirer. Si ce
vol a lieu, c'est le vôtre, et vous y restez. Personne ne
peut comprendre comment ni pourquoi c'est arrivé, mais
c'est vraiment bizarre, et c'est mot pour mot ce que j'ai
trouvé dans un document du FBI, et personne ne parle non
plus de ce point délicat, parce qu'il indique que les
lignes téléphoniques d'American Airlines avaient été
écoutées.
Les lignes aériennes ne divulguent jamais nos numéros de
téléphone et informations personnelles. Donc que cette
dame ait dû rentrer chez elle -- elle est revenue à Miami
le matin du 11-Septembre, par un vol à 6 h du matin, est
rentrée chez elle à Miami autour de midi et sur son
répondeur il y avait un message : deux messieurs à
l'anglais parfait, comme celui du gars du siège 9b, né à
Denver -- je ne dis pas que c'est lui, juste un rappel --
et une femme à l'accent très prononcé -- et sa femme, de
fait, a un très fort accent -- et elle les a entendu dire
: "Si ceci a un quelconque rapport avec Israël, il y
aura un retour de bâton contre les Juifs."
Elle a bien sûr appelé le FBI, ils sont venus et lui ont
confisqué son répondeur, qu'elle n'a jamais pu
réécouter par la suite, parce que c'était ce que le FBI
faisait avec tout, même avec les 85 caméras qui ont vu ce
qui a atteint le Pentagone -- quoi que cela ait pu être.
Et ces caméras ont été confisquées par le FBI, moins de 30
minutes après que l'objet -- quel qu'il soit -- a
endommagé le Pentagone.
Et cela m'a indiqué -- parce que ces handlers, ou
cette femme au fort accent n'auraient en aucune façon pu
connaître le numéro de téléphone de son domicile, si on
n'avait pas espionné les lignes téléphoniques.
Et, souvenez-vous de ce que je vous ai déjà dit : un des
clients du cabinet d'avocats de Barbara Olson est M@Dox. A
la date du 11-Septembre, ils écoutaient et enregistraient
déjà toutes les conversations téléphoniques des États-Unis
depuis une dizaine d'années...
Autre chose intéressante que j'ai trouvée : Rockwell
Collins, ou Rockwell, venait de remettre à niveau les
lignes téléphoniques chez American Airlines. Donc quand
Betty Ong a appelé la ligne des réservations, et qu'elle a
dit qu'elle était dans un avion qu'on détournait, mais
qu'elle n'en était pas sûre, elle a dit : "Je ne sais
pas, mais on pourrait être détournés. On a poignardé
quelqu'un..." Le système des réservation comporte un
gros bouton d'urgence qui aurait dû enregistrer chacun de
ses mots jusqu'à ce qu'elle raccroche dès la connexion. Ce
système téléphonique venait d'être remis à niveau par
Rockwell, et si bien remis à niveau que seules quatre
minutes de son appel ont été enregistrées !
Et c'est ainsi depuis la remise à niveau de Rockwell. Nous
ne savons donc pas vraiment tout ce qu'a dit Betty Ong.
Parce qu'on écoute seulement des gens qui prétendent
maintenant avoir entendu, pensent avoir entendu, ne sont
pas sûrs de ce qu'elle a dit : il n'existe aucun
enregistrement.
Ce que je laisse donc supposer, c'est que toutes ces
entreprises ont des liens entre elles, vous avez raison.
C'est une des choses que je dénonce vraiment dans Methodical
Deception. Dans un autre document de la FAA, du QG
de la FAA, il y a une autre entreprise qui affirme, bien
que nous n'ayons RIEN qui dise que cela vient des
hôtesses de l'air, juste deux personnes qui parlent du Vol
11.
Ni l'une ni l'autre n'évoque quelqu'un de blessé par
balle, mais la FAA possède un document que j'ai obtenu
officiellement (par la loi sur la liberté de
l'information) qui affirme qu'à 8 h 44, deux minutes avant
l'impact, on a tiré sur un passager -- et il fallait qu'il
ait une arme à feu pour ça -- donc si nous suivons la
version officielle du 11-Septembre, nous avions à bord des
armes, des armes à feu, des cutters, des couteaux, et une
bombe anti-agression au poivre. Toutes ces choses ne
pouvaient légalement franchir les contrôles de sécurité.
Vous vous demandez alors qui gère la sécurité ? Ô surprise
: une compagnie israélienne nommée Huntleigh USA, filiale
de ICTS, domiciliée aussi en Israël. Et dont le PDG a été
mis en prison en Israël et condamné pour falsification de
documents, entre autres choses... pour des problèmes de
financement de campagne, également.
J'étudie donc ça actuellement. American et United avaient
toutes les deux engagé Huntleigh USA, par ICTS, pour
maintenir l'ordre et la sécurité. Ils gèrent également la
sécurité aux terminaux de Newark, de Dallas, et de Boston,
ce jour-là... Je suppose que voulez savoir qui sont ces
gens. Ô surprise, j'ai découvert que le gars qui avait
lancé cette entreprise purgeait une condamnation en
Israël. Il y a derrière tout ça des choses troubles.
Ô surprise, je fais toujours ça maintenant : je regarde
qui fait partie du CA. Incidemment ICTS International gère
la sécurité à Charles-de-Gaulle, et c'est là où Richard
Reid, le terroriste en chaussures de tennis, est monté à
bord, avec des bombes dans ses chaussures de tennis. Ils
gèrent aussi l'aéroport Schipol d'Amsterdam, où
Abdulmutallab, le terroriste aux sous-vêtements piégés, a
pris le jour de Noël un avion des Northwest Airlines.
Et ICTS gère la sécurité de Schipol ! Ils ratent donc sur
tous les tableaux ! Pas vrai ? Qui siège au CA, à l'époque
du 11-Septembre, sinon le secrétaire des Transports,
Norman Mineta ? Maintenant pourquoi quelqu'un voudrait-il
s'associer à un tel loser, une firme de sécurité
aussi incapable que ICST International ou Huntleigh USA ?
Mais pour une raison quelconque, Norman Mineta siège à
leur CA...
Voilà les choses que je continuais à examiner en
poursuivant mes recherches...
Autre chose, si nous avons le temps : le Vol 93, si vous
vous souvenez, c'est Let's Roll! (Ça roule !), le
film qu'ils en ont tiré de ça juste après, à Hollywood. Au
moins trois des épouses... de ces héros ont obtenus de
gros contrats d'édition juste après le 11-Septembre, par
le biais d'un gros éditeur de New York.
Let's Roll! ! Parlons de Let's Roll ! Les
quatre personnes censées être impliquées dans la re-prise
de contrôle, selon "Let's Roll!", du cockpit aux
pirates, étaient en train de passer des appels
téléphoniques assis dans quatre rangées différentes, sans
se parler les uns aux autres, jusqu'à moins d'une minute
avant que le prétendu événement raconté dans "Let's
Roll!" se produise.
Bon, et c'est intéressant : ces quatre messieurs faisaient
de 1,85 m à 1,93 m, plus de 100 kg, et que tous jouaient
au rugby. L'un d'eux était même champion de judo en Irak,
et capitaine de son équipe universitaire. Il avaient tous
guère plus de 30 ans. Selon leurs amis, tous pouvaient se
défendre dans un combat de rue. L'un deux, un monsieur qui
ne jouait plus dans une équipe de rugby en Californie,
venait juste de repousser dans la rue un agresseur armé
d'un pistolet, un mois ou deux avant ! Tous ses amis et
collègues disaient donc de lui qu'il était incroyable. Il
était immense : si vous connaissez un joueur de rugby, ils
sont du format des joueurs de hockey !
Et incidemment, le Vol 11 avait deux joueurs
professionnels de hockey à bord.
BR : Et on n'en a pas forcément besoin... Exact.
RR : Tous les pirates faisaient autour d'1,70
m, aucun ne dépassait 1,85 m, ou 1,88 m, ou 1,90 m. Vous
aviez donc tous ces types très agressifs, très
athlétiques, une des choses dont je me souviens, Bill,
c'est que je me suis remise à voler -- il m'a fallu
environ 2 semaines pour voler de nouveau après le
11-Septembre...
Chaque homme qui passait la porte, me disait : "Si
quelqu'un vous cherche des bricoles, bottez-lui le cul,
je suis dans la rangée 18J." Parfois ils écrivaient
même leur numéro, et me le donnaient sur un morceau de
papier, pour que je n'oublie pas où ils étaient.
Et je pensais : "Le 11-Septembre, si vous aviez des
joueurs de hockey à bord, ou 4 rugbymen à bord,
seraient-ils pendus au téléphone et bavarderaient-ils
avec une opératrice, comme l'a fait [le
passager] Todd Beamer, parce qu'il ne
voulait pas parler à sa femme -- ou à leur femme,
ou à quelqu'un d'autre au sol, ou bien
AGIRAIENT-ils ?"
Dans la vraie vie, oui, ils auraient agi ! Et je me suis
alors rendu compte que la nature humaine ne changeait pas,
si c'était vraiment le cas. Je me suis rendu compte d'une
petite chose, que ça ressemblait à un mauvais scénario !
Un film hollywoodien de catégorie "B". Ha ! Imaginez,
Hollywood ! J'ai dit Hollywood.
Et on en revient à Barbara Olson ! Et Hollywood, n'est-ce
pas ? Ô surprise ! Hollywood : permettez-moi de faire
allusion à ça. Un producteur d'Hollywood, assis juste de
l'autre côté du couloir, dit-on, par rapport à Mohammed
Atta, dans le Vol 11. Il y a là des liens intéressants.
Mais, je ne crois plus aux coïncidences !
BR : Élaborons un résumé provisoire. Que
pensez-vous avoir compris, de manière quasi-certaine ? Que
les coups de téléphone ont été passés au sol, dans des
hangars, à la base de réserve de l'Air Force Westover,
probablement quelques 20 minutes ou plus après le départ
des Vols ? Et que cela faisait appel à un scénario -- nous
n'avons pas vraiment discuté de ça en détail -- on leur a
dit qu'il s'agissait d'un exercice d'entraînement, ou bien
ils agissaient sous la contrainte, hors de l'avion et on
leur aurait donné des cartes aide-mémoire ou autre, et les
membres de l'équipage, ou du moins certains d'entre eux,
ont essayé de laisser des indices, qui n'ont été relevés
que bien après -- mais vous avez réussi à le faire.
Pourriez-vous maintenant donner un peu de consistance à
cette ébauche, afin que nous obtenions une image vraiment
claire de ce qui s'est réellement passé dans les avions ?
RR : Les appareils ont été pris en charge à
distance par le Flight Termination System, sinon
les pilotes auraient affiché 7500 (sur le transpondeur),
ce qui est la fréquence, et si le transpondeur n'avait pas
été mis sous contrôle, ils auraient pu le faire, dès que
quelqu'un serait entré dans le cockpit, ou qu'ils auraient
su que quelque chose se passait, qu'une personne avait été
poignardée dans le dos. Mais les pilotes n'ont pas suivi
leurs protocoles, et les agents de bord, dont Betty Ong,
ne l'ont même pas dit. Une de ses dernières paroles, c'est
: "Je ne sais pas. Il se pourrait que nous soyons
victimes d'un détournement." Lorsqu'un avion est
détourné, on le sait, et tout l'équipage le sait. Et nous
avions des étapes précises à suivre, pas à pas, en cas de
procédure de détournement.
Et aucun d'entre eux ne l'a fait. Ces deux agents de bord
du Vol 11... Voilà pourquoi je continue à écouter chacune
de leurs paroles, parce que mes oreilles ont entendu... je
l'ai même dit à mon mari : "Elle a dit ça parce
qu'elle savait que je le saurais, qu'un agent de bord le
saurait : il n'y a pas d'escalier dans un 767 ! Pourquoi
dirait-elle ça ?" A un handler, ou au FBI,
ou à n'importe qui d'autre, ça n'aurait peut-être rien
dit, mais à MOI, oui. Cela me révélait qu'elle était dans
un hangar !
Moi, je crois que du premier de ces avions à entrer dans
ces hangars on a fait descendre deux personnes. Les deux
premières étaient des hôtesses, les deux suivantes des
passagers, et dans le troisième avion, un passager et une
hôtesse.
Autre chose : Amy Sweeney et Betty Ong, les deux hôtesses
du Vol 11. Betty Ong a dit au moins une demi-douzaine de
fois sinon plus, qu'elle était assise sur son strapontin,
au 3R. C'est du côté droit de l'avion, au 3ème rang à
l'arrière. Mais Amy Sweeney a dit qu'elle était assise à
l'avant-dernier rang des sièges de la classe économique,
sur un siège passager, et elle a dit que Betty était
assise à côté d'elle. Puis Betty a dit qu'elle avait été
appelée parce qu'un des passagers avait été poignardé,
peut-être 9B, le PDG d'Akamai Technologies, et qu'ils
avaient demandé un médecin, mais que personne ne
réagissait, alors qu'Amy Sweeney a dit qu'un docteur et
une infirmière s'occupaient de lui.
Donc elles racontent les deux mêmes histoires, en se
contredisant complètement. Et une des choses que la FAA
nous a répétées, en particulier, c'est que si vous
transmettez des informations au cockpit -- c'est notre
façon normale de passer des informations, par l'interphone
-- il faut que ce soit toujours exactement la même
information ! Donc, si vous ne le savez pas, ne dites rien
! Reconfirmez-les avec la personne qui sait, et
assurez-vous que les informations sont identiques.
Ces deux filles-là racontaient exactement l'inverse. Même
l'endroit où elles étaient assises. Comme je le dis : "Si
l'équipe d'assaut Delta arrivait et que Betty est assise
là au 3, du côté droit, à l'arrière sur son strapontin --
nos strapontins sont articulés sur un mur, si bien que si
vous êtes assise dessus et que quelqu'un ouvre la porte en
se précipitant, vous pouvez vous faire casser les rotules,
et vous ne souhaitez pas que ça se produire au milieu
d'une évacuation due à un détournement !
Et donc, savoir où elle se trouvait était d'une importance
vitale. C'est le genre de donnée où il faut que tout le
monde soit sur la même longueur d'onde, et donne les mêmes
informations. Là aussi j'ai vu un drapeau rouge s'agiter
concernant les hôtesses, qui m'a fait me rendre compte
qu'il ne s'agissait pas d'une procédure de détournement
normale. Ces deux femmes se trouvaient plus que
probablement dans le hangar, à l'étage, dans deux bureaux
différents.
Si vous êtes jamais allé dans un grand hangar à avions, il
s'y trouve un niveau en mezzanine, avec beaucoup d'espace
pour des bureaux. C'était la seule chose qui me paraissait
avoir un sens.
J'ai également suivi le vol suivant au départ de Boston,
United 175, et seuls deux passagers ont ensuite appelé de
là. Et un des deux était censé être un pilote militaire,
qui était devenu consultant entre-temps. Je n'ai pas
réussi à trouver grand-chose sur lui, mais j'ai découvert
des détails vraiment intéressants dans son avis de
décès.
Il travaillait pour la Mitre Company, qui est plus ou
moins une entreprise du gouvernement-fantôme, créée au
début des années 50, une excroissance du MIT, et ils
travaillent sur le radar avec le NORAD et notre Strategic
Air Command, notre programme de sécurité aérienne pour
l'armée, pour le NORAD, et aussi avec la FAA, sur un
radar.
Pourtant, le 11-Septembre, presque 50 ans plus tard, les
radars de la FAA et du NORAD sont complètement différents.
Le 11-Septembre, un chasseur à réaction a finalement
décollé d'urgence et survolé New York vers 9h24.
L'avion avait été envoyé s'occuper du Vol 11, qui s'était
soi-disant écrasé à 8h46. Presque 45 minutes plus tard, il
voit de fait, sur l'écran-radar de son chasseur, le Vol 11
se diriger vers le sud, en direction de Washington DC.
Il faut vous demander comment cela a pu arriver. Parce que
-- attendez un peu -- cet avion-là s'était écrasé dans la
Tour Nord ! Mais il y avait deux entreprises, au QG de la
FAA, Ptech and Mitre -- une coïncidence.
Voici une autre coïncidence pour nous. Ils travaillaient
sur des jeux de guerre qui avaient lieu là-bas ce
jour-là... Ils avaient donc la capacité de transformer,
pour l'armée, les cibles en "fantômes", qui apparaissaient
et disparaissaient, qui n'étaient pas vraiment là.
Donc, on a très bien pu faire également disparaître les
avions de lignes des écrans-radar, parce que c'était ce
qu'ils faisaient ce jour-là au QG de la FAA...
J'ai fait des recherches sur l'autre gars qui a appelé ce
jour-là. Une information vraiment incroyable. Peter Hanson
voyageait avec sa femme et sa fille de 3 ans, ils allaient
à Disneyland -- ça c'est pour vous toucher un peu le cœur
-- Peter Hanson était en train d'appeler son père, et il
le fait 3 minutes avant l'impact. Incidemment, ils
affirment que l'avion était presque juste au-dessus de
l'Hudson, avec la Statue de la Liberté à gauche de
l'avion, où était assis le pilote, était l'aéroport de
Newark, et ils se trouvaient à environ 7000 pieds (env.
2150 m). Il pouvait très bien voir la Statue de la Liberté
de là-haut. Et, bien sûr, les gratte-ciels de Manhattan.
Et il raconte à son papa qu'il pense que les terroristes,
les pirates, vont les emmener à Chicago et les faire
s'écraser dans une tour. Comment le saurait-il ? Parce que
les pirates ne parlaient pas anglais -- et c'est
compréhensible. Aucun d'eux, selon la version officielle
du gouvernement, qui qu'ils aient été.
Il était assis dans la rangée 41, sur le côté droit de
l'avion, avec sa femme et sa fille. Pensez-vous vraiment
que les pirates vont aller parler avec ce gars précis, qui
voyage avec sa femme et sa fille, de leur plan d'aller à
Chicago se jeter dans une tour, hein ?
BR : Un peu comme s'ils avaient mélangé les cartes
aide-mémoire, et en avaient donné quelques-unes aux
mauvaises personnes, savez-vous.
RR : Il est également possible que ces deux
messieurs, qui travaillaient tous deux pour des
compagnies... -- Mitre est avant tout liée au gouvernement
secret. Et ça montre comme le monde est devenu petit,
Bill.
J'ai reçu un courriel du pilote d'un pilote. Il était dans
un de ces chasseurs où il y avait un pilote devant et ce
type derrière, qu'on appelle un RIO, un officier
d'interception d'ondes radar, donc un spécialiste radar,
et il était assis du côté gauche de l'avion et regardait
l'aéroport de Newark International, qui est énorme, et la
baie de New York, et il a raconté à sa mère, 3 minutes
avant l'impact, soi-disant, qu'il pensait survoler
l'Ohio.
Mais c'est impossible ! Pour moi, regarder New York
International, l'Hudson River et la baie de New York, à
une altitude de 7000 pieds, en tant que pilote, et croire
être dans l'Ohio ! C'est impossible !
Donc il peut très bien ne pas avoir été dans l'avion ! (Rire)
Parce que, selon ce qu'ils prétendent être la situation de
l'avion, est-ce que c'était comme pour ce type, Peter
Hanson, qui a raconté à son père... Et Peter Hanson a
appelé son père pour la première fois à 8 h52, et il a
raconté à son père -- c'est à peu près à l'heure où on a
fait atterrir l'avion -- il a dit ceci à son père -- et
c'est une terminologie que les Américains n'utilisent pas
-- que "the airline hostess had been stabbed"
(l'hôtesse de l'air avait été poignardée). Eh, attendez un
peu : nous n'avons jamais été appelées "hôtesses de l'air"
aux États-Unis ! Il s'agit d'un terme étranger, utilisé en
Europe, au Moyen-Orient -- El Al, d'Israël, utilise
d'ailleurs ce terme... (NdT - les Américains parlent de Flight
attendants)
Ô surprise, voilà encore une coïncidence pour vous ! Tenez
bien votre chapeau, attachez votre ceinture !
La mère de Michael Chertoff, a été la première "hôtesse de
l'air" d'El Al -- elle est également agent du Mossad --
pour El Al Airlines ! Elle était airline hostess !
C'est un homme comme lui qui utiliserait ce mot, le script
n'a pas été écrit par un Américain... OK ?
BR : Oh, bon sang ! Il est clair que beaucoup de
ces gens qui ont fait ces appels téléphoniques étaient
dans un hangar. Et tous ne savaient pas tout à fait ce
qu'ils devaient dire, où ils étaient censés être, ce qui
était censé se produire. Ils ont essayé de faire pour le
mieux, dans des circonstances que nous pouvons imaginer...
Ils ont suivi le modèle, et ils ont même découvert qu'une
des appelants -- et j'aimerais que vous en parliez aux
auditeurs -- on peut tout juste distinguer, à la fin de
l'appel, avant qu'elle raccroche, quelqu'un dire : "Vous
avez fait du bon travail !"
RR : C'est une hôtesse du Vol 93. CeeCee Lyles. Et
de nouveau, c'est le Vol 93 où tous ces héros supposés
faisaient de 1,85 m à 1,93 m, plus de 100 kg, du sport,
des silhouettes très agressives, de type athlétique...
CeeCee Lyles était officier de police pendant 6 ans avant
de devenir agent de bord. Elle volait depuis environ un
an, elle a appelé son mari et lui a laissé un message
d'adieu très, très triste sur le répondeur de la maison.
Là encore, c'est ce que ferait une hôtesse de l'air sous
la contrainte. Elle n'a pas raccroché le téléphone. Elle a
tendu le combiné à quelqu'un -- une femme, d'après la voix
-- et selon la plupart des spécialistes en voix qui l'ont
entendue, la voix de femme lui dit : "Vous avez très
bien fait ça !"
Et personne ne dirait ça à un agent de bord. Gardez à
l'esprit qu'à cette heure-là, selon les documents du
gouvernement, cet avion -- à bord duquel elle se trouvait,
et la femme près d'elle qui lui disait "Vous avez très
bien fait ça !" -- cet avion tombait du ciel à une
vitesse de 6 à 10 000 pieds (1800 à 3000 m) à la minute,
incliné à plus de 40°, et très probablement sur le dos,
parce que lorsque ces quatre héros ont pris d'assaut le
cockpit pour le libérer, l'avion était retourné, selon le
Conseil National de la Sécurité des Transports... Il ne
faisait pas bon être dans le couloir !
Je ne pense pas que c'était si bon que ça ! (Rire)
Parce que je promenais un chariot porte-repas ou
porte-boissons dans le couloir d'un 767 large d'environ 65
cm. Dans ces avions, quand il y a un chariot dans le
couloir, on ne peut pas le contourner. A moins de se tenir
debout dans une rangée de sièges. Quand l'avion est plein,
il est impossible de le faire ! Ce n'est donc pas l'avion
préféré de tout le monde. C'est un couloir très, très
étroit. J'y ai travaillé bien des fois. Je le connais
très, très bien.
La simple idée qu'ils tombent du ciel à près de 1800 à
3000 m à la minute, avec un chariot à repas ou boissons
dans le couloir est aberrante, impossible, mais alors,
quand vous imaginez une inclinaison de 40° et/ou un
retournement, selon les affirmations du gouvernement
concernant les réactions de l'avion... -- parce qu'il
fallait qu'il soit à l'envers et s'enfonce dans le sol au
point de complètement disparaître dans la poussière comme
ils affirment qu'il l'a fait à Shanksville ! D'accord ?
BR : Oui, sûr. C'était du radio-théâtre. De façon
intéressante, vous avez évoqué tout à l'heure La Guerre
des Mondes. On a l'impression d'avoir entendu cette
présentation audio mise en scène pour nous donner une
certaine impression de ce qui s'est produit. Et seule
Barbara Olson a parlé des cutters. Absolument personne
d'autre ne l'a fait, et ils sont tous d'origine
moyen-orientale sinon, comme vous l'avez dit, je crois, on
ne nous aurait pas appris à les haïr, à leur faire la
guerre, à savoir quelle action militaire soutenir, etc.
Tout a été mis en scène, presque en amateur, comme pour
s'en débarrasser, pour s'en tirer. Tout ceci s'est déroulé
dans un hangar et rien n'est arrivé réellement.
RR : C'est exact. On me pose tout le temps la
question. J'ignore ce qui a touché le Pentagone. Je sais
juste que ce n'était pas un Boeing 757. J'ignore ce qui
est tombé à Shanksville, pour causer cette tranchée. Des
gens prétendent que cette tranchée existait sur Google
Earth des années avant le 11-Septembre. Je ne sais pas, je
ne l'ai pas regardée. Mais je sais qu'il n'y a pas eu de
crash aérien là-bas. (NdT - V. ici
par exemple.)
Je n'ai rien pu voir qui ait frappé la Tour Nord. Et les
frères Naudet ont été les seuls à avoir fait un
documentaire sur les pompiers de New York. Par hasard ils
ont pris leur caméra, levé les yeux et vu. Quand vous
regardez ça au ralenti, un 767 ne peut pas aller aussi
vite. Quel que soit ce qui a touché la Tour Nord, il vole
en spirales. Je peux le voir, et il y a une vidéo sur
YouTube annonçant Methodical Deception sur mon
compte YouTube, sous forme de petit diaporama, et une des
diapos a été ralentie au point qu'on peut voir une
spirale, comme celle qu'on en a vue dans le ciel de
Norvège, et un avion ne fait pas ça. Il laisse un vortex
sous les ailes, et sous les réacteurs, mais ne fait pas de
spirales comme ça. Ça, c'est une chose...
Et les secouristes, la police et les pompiers envoyés sur
place ont tous entendu les appelants appeler et affirmer
qu'un missile avait été lancé depuis le Woolworth
Building, dans Lower Manhattan. Ce n'est pas un avion qui
a frappé la Tour Nord !
Des pompiers se trouvaient à bord d'un bateau-pompe sur la
rivière : ils ont été appelés à la rescousse (vous pouvez
trouver ça aussi sur YouTube). Ils disent que le deuxième
avion était un avion militaire, pas un avion de ligne, il
était gris foncé, ou vert foncé, mais qu'il ressemblait à
un bombardier. Et ça, ça vient de deux pompiers qui
étaient sur la rivière. La chose les a survolés et ils ont
appelé ça un [inaudible] ils et c'est bien ce que
c'était.
BR : [Cet avion] avait cette espèce de grosse
gousse sur le ventre, qu'on voit très clairement sur
certaines des vidéos, n'est-ce pas ?
RR : Oui, exact. C'est encore autre chose. Ça, ça
n'existe pas sur les avions de ligne. Au cours d'un des
incidents judiciaires liés à Methodical Illusion,
j'ai rencontré tout un tas de professionnels des
transports aériens, et les pilotes de United et
d'American, de même, et c'était une de leurs questions : "Comment
ont-ils faut pour faire entrer un avion dans un building
en acier, comme un couteau chaud dans du beurre ?"
Il est intéressant que je trouve chez Barbara Olson toutes
les connexions. Quelles chances y a-t-il qu'un type à bord
du Vol 11, assis au 9B, dont l'hôtesse a dit qu'il était
un des pirates de l'air, soit client du cabinet d'avocats
pour lequel elle a travaillé ? Dont les associés
travaillent pour George Bush.
Intéressant ! Si nous avons le temps, j'aimerais parler
d'une connexion intéressante que j'ai découverte pour Methodical
Deception. Et ça ce sont les étudiants en art.
RB : Racontez, s'il vous plaît, cette histoire des
étudiants en art, une histoire remarquable, une autre
composante incroyable de ce mécanisme complexe, qui s'est
mis en branle des mois avant le jour J. Il comporte tant
de composantes, et en voilà une autre.
RR : C'est tout simplement stupéfiant ! Pour Methodical
Deception, j'ai utilisé tous les documents du
gouvernement US. Je me suis placée dans la peau de 3
personnages fictifs, et vous verrez que certains
commentaires personnels sont des informations
personnelles. Ce sont des choses que j'ai trouvées tout en
fouillant continuellement dans cet événement du
11-Septembre. Il a été planifié très méthodiquement,
longtemps en avance, et il a été à la fois une illusion,
et une énorme tromperie.
J'ai aussi trouvé un document -- un rapport de 61 pages du
DEA qui racontait l'histoire des étudiants en art
israéliens qui ont été découverts dans tous les États-Unis
-- on en a trouvé partout dans plusieurs villes de
Floride, du Texas, y compris au siège d'American Airlines
à Fort Worth (Texas), et dans l'Illinois, où est basé
United, dans tout le pays.
Ils faisaient du porte-à-porte chez les responsables du
gouvernement, de l'IRS (le fisc américain), du DEA (chargé
de l'application des lois sur les stupéfiants) et même des
généraux d'aviation. Ils ne faisaient que se montrer. Ils
se présentaient même au domicile de ces gars, et
essayaient de vendre 100 ou 150 $ des travaux d'art qu'ils
avaient achetés en Chine pour 8 $. Et ils se présentaient
comme étant des étudiants en art israéliens.
Ô surprise ! Ils se sont présentés à suffisamment
d'endroits pas connus publiquement, comme par exemple un
centre de fusion privé, pas dans l'annuaire. Ensuite les
agents du gouvernement ont commencé à examiner ça, le DEA
à l'époque suivait des Israéliens, à cause d'un réseau
d'ecstasy, ils allaient donc garder un œil sur ces gars de
toute façon, puisqu'ils savaient qu'ils faisaient du
trafic de ces drogues-là. Ces étudiants en art ont
commencé à apparaître, et ce responsable du DEA... ça
ressemblait à un signalement de police et à un
avertissement concernant ces gars-là. Puis les employés
fédéraux ont commencé à les ficher, et à leur demander,
pour les identifier, ce qu'ils faisaient.
Ils entraient dans ces immeubles fédéraux et en
demandaient les plans, et les plans d'architecte dans les
mains, ils posaient des questions sur la sécurité, s'il y
avait des caméras, des questions vraiment bizarres, mais
ils ont été repérés par ces agents. Donc ils ont cherché à
les ficher et, ô surprise, ces gars se sont révélés être
des forces de défense israéliennes, certains étaient
experts en bombes, d'autres étaient identifiés comme
appartenant au Mossad israélien -- c'est comme la CIA,
c'est une sorte d'opérations de renseignement.
Comme le gars du 9B : il était du seyeret matkal, ce
sont des gars spéciaux, très entraînés, des sortes de
super-héros israéliens, ces types sont des assassins
qualifiés, hautement formés pour tuer les gens, ils sont
aussi entraînés à secourir des gens. Benjamin Netanyahu et
Ehoud Barak appartiennent aussi au seyeret matkal.
Donc, si vous allez sur mon site -- je vais emmener vos
auditeurs dans tout ça -- à methodicaldeception.com,
vous verrez "Resources" sur la barre de
navigation. Cliquez dessus, cela vous mènera à une page,
et en haut à gauche de cette page, avec une boîte blanche
avec quelque chose dessus en rapport avec les étudiants en
art israélien du World Trade Center WTC. Cliquez là : cela
vous mènera à une page dérobée avec des photos. Ces
photos, je veux attirer votre attention dessus, parce que
celles-là m'ont absolument sidérée.
Quelques-uns des étudiants en art parcouraient le pays
depuis 2000 et 2001. La plupart d'entre eux ont été
ramassés et déportés, plus d'une centaine, environ
140-160. On les a considérés comme faisant partie d'un
réseau d'espionnage israélien. Certains des experts en
bombes, qui parcouraient le Texas et la Floride, ont en
fait fini à New York.
Ceci s'est produit au printemps 2000. Un groupe
d'étudiants en art étrangers s'appelait The Gelatin.
Et ils sont venus à New York réaliser un projet
artistique. Essayez d'imaginer ce que c'est. Vous en
verrez une photo en défilant vers le bas. Ils ont nommé
leur groupe Gelatin. C'est souvent un mot d'argot
utilisé dans les entreprises de démolition pour désigner
la gélignite, de la dynamique gélatinée, souvent
appelée jelly, et ils ont nommé leur projet
artistique the B-Thing, B comme dans Boy.
Vous verrez la page de couverture dans cette page
illustrée. A gauche sur leur livre. Pour le projet
artistique, ils ont construit un balcon en bois, ils
habitaient pratiquement au 91ème étage !
Il existe aussi un centre culturel dans Lower Manhattan,
également situé au 91ème étage. Il n'y avait aucun
responsable là, juste ces gars qui habitaient là. Vous
verrez leur autorisation nominative sur la droite, au
milieu de la page. C'est un papier autorisant
provisoirement des travaux, facile à reproduire, en
prévision de 2001. Ils bénéficiaient de la gestion de tout
le complexe du World Trade Center, grâce à ces
autorisations provisoires de travaux.
J'aimerais attirer votre attention sur ceci. Sur la partie
droite de l'image, on peut voir sur le jeune homme porter
quelque chose de rose, comme une chemise, il a sur lui une
sorte d'équipement de repoussage, parce qu'ils ont enlevé
une fenêtre au 91ème étage et chargé ce balcon en bois, et
ils ont fait des photos. Et leur sponsor, qui les a
parrainés pour qu'ils viennent à New York, fassent ce
projet artistique, avait loué le dernier étage de l'hôtel
Millenium, et un hélicoptère, et a pris les photos qu'ils
ont utilisées dans leur livre, intitulé The B-Thing,
qui est maintenant épuisé.
Si vous regardez le type à la chemise rose et toutes les
photos. Ces trois photos sont celles de ces étudiants en
art israélien, du Mossad, au 91ème étage du World Trade
Center. Sur le carton derrière eux sont clairement
inscrites deux lettres en gras : BB18. Elles désignent un
porte-fusible qui peut être utilisé pour la démolition
contrôlée, d'une entreprise nommé Littelfuse, de Chicago
(Illinois).
J'ai commencé à examiner cette entreprise Littelfuse. Quel
genre d'artiste utiliserait-il des centaines, sinon des
milliers de ces fusibles ?? Ces trois photos vous montrent
des boîtes de BB18 scotchées ensemble. Elles ne
contiennent plus les porte-fusibles qu'on peut utiliser
pour une démolition contrôlée.
J'ai donc regardé de près cette entreprise Littelfuse,
représentée par son BB18. J'ai découvert qu'elle
appartenait à une entreprise d'Austin (Texas) nommée
Tracor Inc., qui a fait faillite en 1991. Elle a été
divisée en trois entreprises indépendantes : Tracor
Aviation (elle n'était pas en faillite), Littelfuse Co.
(l'entreprise représentée par ces cartons, derrière les
étudiants en art israéliens du Mossad), et Tracor Defense
Holding.
Bon, Tracor était à l'époque le plus gros sous-traitant
électronique de défense nord-américain... Il a été plus
tard racheté par Marconi Electric Systems, MES comme on
l'appelle, une filiale de la compagnie General Electric
(GE) en 1998. British Aerospace a racheté Marconi Electric
en 1999, et ils ont formé BAE Systems. Je suis certaine
que tout ceci est connu de la plupart de ceux qui ont
exploré ça...
Tracor est devenu BAE Systems, puis a changé de nom -- une
autre chose que j'ai découverte -- pour devenir
Electronics and Integrated Solutions. Un autre personnage
intéressant, Bobby Ray Inman, chef des renseignements de
la Marine, le directeur de la Sécurité Nationale (NSA),
également le directeur de l'agence de renseignement de la
Défense (DIA), et le président d'une entreprise qui a
acheté Tracor, nommée Westmark Systems : une autre
coïncidence intéressante. Quant à cette Tracor Co., mon
petit doigt m'a conseillé d'y jeter un œil -- et c'est
vraiment fascinant ici -- Tracor, le propriétaire de
Littelfuse, qui est lié aux cartons situés derrière ces
étudiants, possède une histoire intéressante.
En 1950, ils ont acheté une entreprise nommée Vitro. Eh
bien, Vitro est un ÉNORME sous-traitant du ministère de la
Défense. De fait, j'ai trouvé un article de 1996 dans
lequel la compagnie Vitro, de Rockville, avait annoncé
qu'elle travaillait pour le ministère de la Défense et
réalisait un projet à 3 milliards de $ pour lui : un
contrat portant sur la création d'un logiciel destiné à
des entreprises de la Défense. Quelque chose en rapport
avec un système de guidage de missiles...
On dirait que beaucoup de gens pensent maintenant qu'un
missile a frappé la Tour Nord, pas vrai ?
Une chose intéressante sur cette compagnie Vitro, ils
avaient acheté une autre entreprise nommée Kellex. Je
continue à éplucher ici les différentes couche de
l'oignon... Kellex Co. a été créée en 1942 par MW Kellogg
Co. Vous avez peut-être entendu parler d'une compagnie
Kellogg's par les céréales, tout le monde a été élevé avec
ça. Mais cette compagnie-là a été fondée en 1942 sous le
nom de Kellex et était liée au Projet Manhattan. Donc
"Kell" vient de Kellogg, et "X" signifiait "secret". Le
but de l'entreprise était de concevoir des installations
produisant de l'uranium enrichi via une technique de
diffusion gazeuse et une diffusion gazeuse de l'uranium
235, un isotope qui pouvait être séparé de l'uranium 238
en transformant l'uranium métal en un gaz, l'hexafluorure
d'uranium .
Nous connaissons cette compagnie aujourd'hui. Comme cela
s'est su plus tard, elle est devenue une entreprise
beaucoup plus connue, Kellogg a fusionné avec Brown et
Root, devenue maintenant KBR, devenue le propriétaire ou
la filiale d'une autre entreprise, dont beaucoup de
gens se souviennent, et qui s'appelle Halliburton. Dont
l'ancien vice-président, Dick Cheney, était le PDG...
BR : Un arbre généalogique très intéressant,
n'est-ce pas ? Oh, bon sang !
RR : Que s'est-il passé quand j'ai regardé ces
cartons et que j'ai commencé à chercher ce qu'il y avait
dedans ? Nous avons ici des experts en bombes israéliens,
avec des étudiants en art étrangers qui avaient été
coincés par la CIA et d'autres agences gouvernementales,
et tous, juste après le 11-Septembre, ont été rapidement
mis dans un avion d'El Al, et réexpédiés en toute sécurité
en Israël, où rien ne pourra jamais leur arriver...
BR : Non. Cela déclenche une autre question, sur un
sujet très sensible. Dans cet imbroglio, nous voyons
apparaître à répétition : Israël, des connexions
israéliennes, des Israéliens, le Mossad, des influences
israéliennes...
Quelle est votre hypothèse préférée -- si vous souhaitez
en exprimer une -- concernant le lien avec La Pieuvre,
de Danny
Casolaro, auquel vous faites allusion dans
votre livre. Qui est, selon vos meilleures déductions, à
la tête de cette pieuvre ?
RR : Ah, c'est une excellente question, vraiment
très complexe... Vous pouvez vous rappeler que je n'ai
même pas évoqué les cinq danseurs israéliens qui ont été
arrêtés dans le New Jersey, qui sont rentrés en Israël, et
c'étaient des agents du Mossad -- tous les cinq -- et
lorsqu'il sont passés à la télévision israélienne, ils ont
dit "qu'on les avait envoyés se renseigner sur
l'Événement."
Ça veut dire qu'on les a envoyés d'Israël à New York, se
documenter sur un événement dont quelqu'un en Israël
savait qu'il se produirait. Et, pure coïncidence, nous
avons Ehoud Barak dans les studios de la BBC ce jour-là.
C'est lui qui a forgé l'expression "la guerre contre la
terreur", et nous étions certains qu'en moins de 12
heures, nous allions apprendre que c'était Oussama ben
Laden qui nous avait fait ça.
Donc, tout nous ramène à eux, et vous examinez l'histoire,
je dois honnêtement vous dire que je me suis plongée si
profondément dans cette affaire du 11-Septembre pour ce
que je trouvais et qui je trouvais, que je suis
pratiquement remontée à Babylone, et suis revenue via le
Zohar, le Talmud et l'assassinat de John F. Kennedy -- et
plusieurs autres événements sous fausse bannière, des
choses comme l'USS Liberty, auquel mon prochain
livre est consacré, à l'équipage de l'USS Liberty.
Un autre événement sous faux pavillon, exécuté par Israël
et couvert par les États-Unis -- j'ignore qui est la tête
du serpent, ou ce que c'est -- mais tout renvoie
vraiment au Mossad -- ce n'est rien d'antisémite -- c'est
leur agence de renseignement. Il y a énormément de grosses
entreprises impliquées, et c'était là un des aspects que
je voulais étudier.
J'ai trouvé entre autre, beaucoup de dissimulation de la
part de nombreux personnes appartenant au gouvernement US.
Peut-être que le Mossad faisait partie des exécutants, et
la planification, mais la dissimulation est le fait de
citoyens binationaux qui mènent la barque.
Je suis toujours stupéfaite quand je constate le nombre de
liens bizarres. Barbara Olson ne pouvait pas être plus...
incidemment, elle est également juive -- mais elle ne
pouvait pas être plus liée à Israël, au Mossad, et à la
connexion Hollywood-CIA.
Et regardez qui se trouve dans le cabinet d'avocats, dans
lequel elle s'est instantanément glissée, juste après
avoir été diplômé de sa fac de droit.
BR : Je vois que vous soupçonnez -- bien que vous
ne l'ayez pas dit du tout -- que Barbara Olson est
probablement toujours en vie, sous une autre identité.
RR : C'est tout à fait possible. Elle peut très
bien ne pas s'être trouvé à bord de l'avion, en fait. Il
existe une possibilité qu'elle n'ait même jamais mis les
pieds dans l'avion. Nous ignorons qui était dans l'avion,
parce qu'aucune caméra ne nous le montre. Même s'il y a
peut-être eu des caméras dans le terminal, leurs images
n'ont jamais été divulguées. Aucune image ne prouve donc
qu'elle ait même été dans l'avion.
BR : Ce que vous dites ici, c'est qu'il est sans
importance qu'elle ait passé son appel téléphonique du
hangar de Westover, ou d'ailleurs, et c'est en quelque
sorte rajouté dans le récit audio.
RR : Ça, c'est possible : oui, tout est possible à
ce stade. Elle a dit qu'ils avaient tous été amenés à
l'arrière de l'avion. La plupart des appelants
l'ont dit aussi. Pour votre gouverne : elle était dans un
757. C'est un avion monocouloir très étroit, dans le style
des vieux 707, et donc, si on mettait tous les passagers
-- ils étaient 56 dans son vol -- tous les passagers dans
la section de queue, l'avion n'allait pas voler
correctement.
Et puis vous vous souvenez que c'est l'avion qui a fait un
virage en spirale de 270° dans ce point précis du
Pentagone, sans que les ailes, ni les réacteurs ne
touchent jamais l'herbe, et qui pourtant a réussi à
atteindre le 1er étage du Pentagone.
C'est impossible ! C'est impossible ! Tout ça est
impossible !
J'ignore où elle était en réalité, pendant tout ça, mais
elle est si étroitement liée au complexe
militaro-industriel. Je me souviens quand j'étais enfant
avoir entendu parler de l'assassinat de Kennedy, et
d'avoir entendu les mots "complexe militaro-industriel".
Je les ai trouvés ! Et j'ai trouvé que tous les gens
qui auraient pu arrêter tout ça, empêché ça d'arriver,
siègent maintenant au conseil d'administration
d'entreprises dont je fais la liste dans mon nouveau
livre, toutes, Rockwell Collins, Dying Corp, Boeing,
Raytheon.
Raytheon avait 5 spécialistes de la guerre électronique
sur chaque vol. Beaucoup de ces gens auraient pu être des
handlers potentiels à bord. Par coïncidence nous
avons une Israélienne sur le Vol 77 qui avait également
servi dans les forces de défense israéliennes (IDF).
Quelles chances cela a de se produire ?
Quand vous entrez dans ce type de recherche, on en arrive
à un point où il n'existe pas de coïncidence. Désolé, je
sais qu'un politique, ou autre, a déjà dit ça dans le
passé... on ne peut pas continuer à se débarrasser de ça
en disant : "Oh, ce ne sont que des coïncidences
!" Parce que trop de choses s'empilent déjà sur
les cheminées de ces Tours en ce moment même.
BR : Oh, bon sang ! Oui. Absolument. Où
aimeriez-vous aller maintenant, dans cette conversation ?
Elle sort vraiment de là où mènent vos livres, parce que,
bien sûr, quand vous commencez à faire de votre récit une
fiction, que beaucoup de gens se connaissent de façon
opportune et beaucoup de choses se produisent de façon
opportune, et bien sûr je comprends ça dans le cadre d'un
roman, où vous devez tout lier de cette manière-là, mais
il est peu probable qu'il existe une telle fin heureuse
due à un deus ex machina dans la vie réelle.
Puis-je oser vous demander personnellement : "Que
va-t-il probablement se passer dans les prochaines
années, à votre avis, qui permettra à tout cela de se
dérouler devant les yeux du public, pour qu'apparaisse
une certaine forme de justice dans ce complot monumental
?"
Que va-t-il arriver probablement, à votre avis, parce
qu'on ne vous soutient pas en haut-lieu, pour autant que
vous le sachiez, et que vous n'êtes pas un paramètre,
comme les héros le sont dans les livres, et je me demande
si vous pourriez en parler de votre point de vue personnel
?
RR : Euh, si vous vous souvenez : dans Methodical
Illusion, ils trouvent le PIN d'un magnétophone que
Grace a laissé à Paris, et ils récupèrent la voix de
quelqu'un, qui n'est pas Arabe, et il a un plan, dont
ils discutent. J'ai en fait trouvé ce plan, sauf
qu'il n'y figurait pas la liste des 5 ou 6 grandes villes.
Voilà ce qui, à mon avis, va arriver. Exactement ce qu'ils
ont dit sur cette bande magnétique, et j'ai lu ça dans le
Ynetnews d'Israël. Voici ce qu'il disait :
"Le Mossad israélien a intercepté un plan
d'Al-Qaida visant à attaquer 5 ou 6 grandes villes des
États-Unis avec des ogives biologiques et/ou
nucléaires, pendant 9 jours."
L'article que j'ai lu affirmait qu'ils allaient le faire
pour commémorer la mort le 2 mai d'Oussama ben Laden. Mais
tout le monde au Moyen-Orient sait qu'il est en fait mort
le 26 décembre 2001. Il n'a donc pas vraiment été tué dans
ce shazam des [Navy] SEAL, bricolé par les sbires
d'Obama.
Donc, il ne tient pas debout de penser qu'un Arabe
célébrerait cet anniversaire de cette manière-là.
Néanmoins, j'ai découvert que grâce au logiciel PROMIS et
à toutes les entreprises israéliennes que le gouvernement
US a engagées -- et le logiciel comporte une "porte
dérobée" -- Israël contrôle l'ensemble de notre sécurité
nationale, et s'ils veulent que ce scénario se produise --
et s'ils veulent en accuser l'Iran -- cette agression sous
fausse bannière pourrait se produire, et ils y font
souvent allusion comme à un 11-Septembre nucléaire.
Et je crois qu'ils le feront, parce que, dans le monde
entier, les gens s'éveillent à leur implication dans le
11-Septembre.
Voilà mon point de vue.
Je ne pense pas, à moins de pouvoir en parler et le crier
sur les toits, et éveiller chacun, qu'on puisse voir qui
était réellement derrière le 11-Septembre.
...Et gagner, et les empêcher de réaliser leur prochain
événement sous faux pavillon, et il est planifié : je l'ai
vu imprimé, j'ai lu la chose à mon mari. Puis elle a été
rapidement effacé d'Internet. Je me suis rendu compte
alors que ce message avait été effacé parce qu'il avait
été donné à quelqu'un. Qu'il aurait pu être donné à Rahm
Emanuel, le maire de Chicago, pour autant que je sache,
mais il a été donné aux bons destinataires, qui savaient.
Peut-être que c'était lié à la shemitah, peut-être
autre chose qui est en train de se mettre en place, qui va
probablement arriver aux États-Unis.
BR : Soupçonnez-vous que cela puisse être
planifié, au stade actuel, pour se produire plutôt tôt que
tard, ou bien pensez-vous que le temps peut jouer en votre
faveur ?
RR : C'est difficile à dire. Les Israéliens ont dit
qu'ils allaient avoir recours à ce qu'ils appellent l'option
Samson, en gros ils ont dit que si les choses
devenaient délicates pour eux, [inaudible], c'est
la Samson Option, que vous pouvez chercher
sur Wikipedia, et qu'ils riposteraient avec des
ogives. Les gens suffisamment intelligents voient
qu'ils veulent désespérément que nous entrions en guerre,
et ils veulent que ce soit NOUS qui atomisions l'Iran ! Et
ils veulent atomiser l'accord de paix avec l'Iran, et ça
les rend fous. Nous sommes très, très vulnérables en tant
que nation, parce que les gens ignorent à quel point nous
sommes vulnérables, parce que nous faisons confiance à
notre meilleur ami du Moyen-Orient depuis tant d'années...
Je me souviens quand [le Vol] Panam 103 a été abattu
(C'est "l'attentat de Lockerbie" - NdT), j'étais en stage
-- ma formation annuelle -- et j'ai appris -- c'était
avant que je creuse la question du 11-Septembre -- j'ai
découvert que -- et c'était une information connue,
fournie en stage par la FAA -- que Panam avait engagé un
ex-agent du Mossad pour gérer sa sécurité à Francfort.
Plus tard j'ai lu l'histoire qu'on appelle The Trail
of the Octopus (La piste de la Pieuvre), et je me
suis rendu compte que le Mossad, la DEA et la CIA, étaient
clairement concurrents dans l'élimination de l'Iran du
Moyen-Orient, et que le Vol Panam 103 était lié à ça.
Si vous vous souvenez : comme pour le 11-Septembre, les 5
Israéliens qui dansaient ont dit : "Votre problème, ce
sont les Palestiniens, pas nous !" OK ? Ils essaient
toujours de rejeter la faute sur la Palestine. Ils ont
fait pareil avec le Panam 103, où ils ont essayé d'accuser
l'Iran, puis ils ont tenté d'accuser la Syrie, puis -- ce
sont les deux cibles suivantes -- et nous sommes en ce
moment en train d'éliminer la Syrie, vous pouvez le voir
avec les réfugiés, parce que nous les bombardons et
qu'Israël les bombarde tous les jours.
Et donc, ils essaient aussi d'accuser les Palestiniens
d'autres choses également. Ils font ça constamment, c'est
tout le temps la même chose. La fusillade de Charlie Hebdo
à Paris : le tireur a, par coïncidence, volé une voiture
appartenant au meilleur ami de l'éditeur de Charlie Hebdo,
qui était, par coïncidence, garée devant une pâtisserie
fréquentée par le Mossad. Quelles chances y a-t-il pour
que cela se produise réellement ?
Bien sûr les deux tireurs ont été tués, et tous les deux
étaient orphelins, donc personne n'est allé à leurs
obsèques et on les a oubliés. On a fait de toute l'affaire
un événement antisémite. Il s'agit, de leur part, d'un
nouvel événement sous faux pavillon, comme tant d'autres.
Et si les gens ne s'éveillent pas et ne se rendent pas
compte que tout ça est orchestré...
La semaine dernière j'ai participé à une émission radio
avec un survivant de l'USS Liberty. Et EUX savent
ce qui s'est passé ! Quelqu'un m'a également contacté pour
me dire qu'une personne avait raconté, sur son lit de
mort, qu'on avait ordonné aux militaires US de tirer sur
l'USS Liberty, de le liquider, et de le couler. Et
ces pilotes-là ont refusé d'exécuter les ordres... On a
donc mis ça entre les mains des pilotes israéliens --
comment auraient-il pu couler ce navire... ?
Cela nous ramène à la guerre de 1967 avec l'Egypte. Il
faut que les gens se réveillent et que vous sortiez la
tête... vous, qui que vous soyez ! Et commencent à
s'ouvrir à ce qui se passe. Je dis souvent aux gens : "Vous
êtes si vulnérables, aux États-Unis, face à une
nouvelle agression sous faux pavillon, dont je dirais
qu'elle sera nucléaire, et qu'on en accusera l'Iran."
Que les gens se préparent à prendre soin d'eux-mêmes et de
leur famille autant que possible...
BR : Oh, bon sang ! Vous parlez de l'éveil des
gens. Je sais, vous savez, et tous ceux qui nous écoutent
savent que de plus en plus de gens s'éveillent chaque
jour. Est-ce que suffisamment de gens s'éveillent, ou que
les bonnes personnes s'éveillent ?
Et la deuxième question est : vous avez reçu beaucoup de
retours gratifiants à votre premier livre, de la part de
gens -- qui ne sont pas des chercheurs en conspirations
jusqu'au-boutistes comme Max dans le livre -- mais
d'Américains ou d'Américaines qui ont été directement
encouragés par votre livre à comprendre des vérités par
eux-mêmes.
RR : Oui, j'ai fait une interview sur Coast To
Coast A.M., et littéralement des milliers... mon
livre a été propulsé au N°9 chez Amazon, à 8 millions et
demi de livres, et ça veut dire que beaucoup de gens le
lisaient. Je pense avoir apposé mon autographe sur 2500
livres, juste après l'émission, qui ont été envoyés à des
gens.
Et on m'a contactée. Pas seulement avec des rapports de
témoins oculaires, et de gens en garnison à la base de
Westover qui avaient été interdits d'accès, mais beaucoup
de gens sont venus et parmi eux, Joe et Mary, exploitants
agricoles dans l'Ohio, et de tout le pays, et qui me
disaient : "J'ai toujours pensé que c'était un
mensonge, j'ai toujours su qu'aucun avion ne s'était
écrasé à Shanksville, ou au Pentagone. Je ne l'ai jamais
vu."
Et en conjonction avec Brian Williams, Bill O'Reilly, et
d'autres de ces gens des informations qui se font prendre
ou dénoncer, comme Anderson Cooper de CNN, qui avaient
travaillé pour la CIA -- la plupart appartiennent à la CIA
-- et le contrôle des médias, et le fait qu'ils
aient été pris en train de mentir aux gens, semblent
confirmer ça.
Le soutien est absolument incroyable ! J'en suis
totalement sans voix. Des scientifiques ont essayé de
venir me parler des armements high-tech, peut-être
utilisés dans les Tours. Ils ont essayé de me pousser dans
la bonne direction, et je creuse actuellement la question.
BR : Pensez-vous pouvoir nous communiquer quelque
chose à ce stade précoce ?
RR : Non... À part avoir trouvé qu'il y avait de la
technologie capable de faire beaucoup des choses que nous
avons vues, je n'ai pas encore de quoi en parler. Je me
suis couchée hier soir en lisant ça, et j'ai lu ça
en me levant. Il y a en fait environ 5 dossiers en ce
moment devant moi sur mon bureau ! Et ils ramènent
toujours aux mêmes gens : la DARPA, la compagnie General
Atomics, CIC, Raytheon, Northrop Grumman, toutes ces
entreprises sont impliquées là-dedans, dans de vraiment
sales trucs.
BR : Vous pourriez avoir là de quoi faire un
troisième ouvrage...
RR : J'ai déjà choisi le domaine et le titre.
(Rires)
Je sais ce que me dit mon mari : je dors littéralement
avec mon ordi portable ! Et je lis jusqu'à ce que je
m'endorme. C'est drôle, parce que l'autre jour, je me
lavais les mains, au sens propre, l'eau coulait et j'ai
littéralement entendu une voix me dire : "Regarde cette
Littelfuse Company."
Et je l'ai fait. C'est comme ça que j'ai trouvé Tracor, et
ça m'a amené à KBR, à Kellex, à l'uranium, à tous ces
trucs-là. Et moi je faisais "Waouh !", j'ai appelé
mon mari : il pouffait de rire.
--Tu ne vas pas croire ce que je viens de trouver
!"
--Je vais y croire ! J'y croirai..."
--A cause de ces trucs que j'ai trouvé, et que personne
d'autre n'a trouvés ! Comment se fait-il que personne
n'en parle ?"
--Je ne sais pas. Peut-être qu'ils ne pouvaient
tout simplement pas le voir !"
Je me suis dit : "Si les handlers et les
planificateurs et les exécutants du 11-Septembre avaient
demandé à une hôtesse de l'air d'être consultante dans
ce projet, ils n'auraient pas été pris." Si vous
n'avez pas travaillé dans une compagnie aérienne, ou été
agent de bord, nous ne connaissez pas nos protocoles, vous
ne sauriez même pas qu'ils existent. La plupart des gens
ne savent même pas que les téléphones portables ne
fonctionnent pas en altitude.
J'ai essayé pendant si longtemps de me réfuter moi-même.
Et maintenant que je fais des recherches, je vois que ces
ont les gens de ce pays qui ont peur de faire remarquer ce
qui est évident. Si cela a le moindre rapport avec Israël,
le Mossad, ou quoi que ce soit avec ça -- même le FBI :
ils ont peur, la DEA [aussi] : le type qui a rempli ce
rapport de 61 pages sur cet Israélien du Mossad, expert en
bombes, de la force de défense israélienne, qui se promène
en prétendant être un des étudiants en art et qui fait la
tournée des immeubles fédéraux. Ce type-là a été décrit
comme un employé mécontent. Et, bon sang, que j'aurais
aimé lui parler !
Je suis très reconnaissante que des gens m'aient beaucoup
soutenue et m'aient apporté des renseignements, qu'ils
soient scientifiques et au courant les recherches et
développement et technologies sur lesquels on travaillait
à l'époque et les choses qui étaient disponibles ; ou des
militaires ; ou des aiguilleurs du ciel ; des pilotes ;
des agents de bord : de nombreux amis des hôtesses qui ont
été tuées m'ont contactée, qui connaissaient
personnellement Betty Ong et d'autres hôtesses.
Je suis certaine qu'elles sont mortes. Les hôtesses qui se
sont retrouvées là-dedans. Elles étaient là et elles sont
réellement mortes, et leurs enfants ont passé les 14
dernières années sans leur mère.
Je travaille en fait actuellement sur un troisième livre
et, entre-temps, je rassemble aussi des informations, sur
le "chemtrailage", parce que je n'arrête pas de trouver
des liens entre le 11-Septembre et mes recherches
concernant les aérosols, les entreprises de biotechnologie
concernées, et les mêmes personnes...
Mon petit doigt me conseille donc de suivre la piste des chemtrails.
Je fais donc différentes choses... il y aura des pilotes,
des avions, le ciel, et tout ça, mais je n'arrête pas de
trouver des connexions en approfondissant cette nouvelle
phase, en examinant certaines des armes qui existent
actuellement, nous avons aujourd'hui un avion équipé de
lasers chimiques, qui peuvent tirer des lasers, comme dans
Star Wars ! des rayons laser qui désintègrent, tout
comme les Tours qu'on a vues se désintégrer... Donc... Il
y a toutes ces choses en cours...
BR : Il existe beaucoup d'armes très sophistiquées.
Différents insiders m'ont dit que le type de
technologie qu'ils possèdent a AU MOINS 50 ans d'avance
sur ce qui est dans le domaine public. Et cela ne doit pas
du tout vous surprendre, vu ce que vous trouvez...
RR : Exact, oui. Personnellement, ma mission,
c'était de trouver les avions, les passagers et les
membres d'équipage, et c'est ce que j'ai fait dans Methodical
Illusion.
Maintenant je cherche qui l'a fait, qui l'a laissé faire,
et qui en tire avantage. Et tous ces gens qui étaient en
position de pouvoir, qu'ils aient été chez les militaires
ou dans les agences gouvernementales, ce qui se produit
c'est qu'ils sont impliqués là-dedans, et ils ont essayé
d'entrer là-dedans sans que ce soit trop compliqué dans la
tromperie méthodique.
Ptech, incidemment, qui est impliqué au terminal de 22
systèmes informatiques gouvernementaux, vient juste de
changer de nom : ils s'appelle maintenant quelque chose
comme Agile Intel, et ils continuent à tout contrôler ! Et
comme je vous l'ai dit, nous pourrions facilement subir un
événement nucléaire sous faux pavillon, je ne plaisante
pas. Et il faut pratiquement que ce soit quelque chose de
si énorme... La raison en est que, depuis le 11-Septembre,
et tous les autres vrais-faux événements, les gens savent
et examinent les choses de très près, et maintenant ils
enregistrent les choses, les repassent au ralenti -- comme
cette fusillade en Virginie, et observent de vraiment très
près. Si on veut remettre ça, il faut que ce soit bien
mieux fait que le 11-Septembre.
Et pour ce faire, il faut que ce soit aussi choquant
qu'une explosion nucléaire.
BR : Il faut que ce soit quelque chose de si
horrible, que cela cause un immense traumatisme collectif.
C'est la façon dont les insiders envisageraient
ça. Il faut que ce soit si traumatisant que même les
vrais dissidents, qui comprennent ce qui se passe,
ne seraient pas entendus.
Il faut que ce soit une menace réelle. Et c'est en rapport
avec se préparer au pire, éveiller les gens à
l'éventualité du pire, mais en restant optimiste, et en se
rendant compte que si on est guidé, d'une manière
extraordinaire, c'est sûrement la manière dont cela
apparaît de l'extérieur, et que vous vous le ressentez à
peu près ainsi.
Alors cela signifie qu'il y a de l'espoir, cela signifie
qu'il existe ici une réelle chance, qu'il existe une
réelle opportunité et que la partie n'est pas perdue.
Seriez-vous d'accord avec ça ?
RR : Je suis d'accord avec ça. Et je crois
que, tout comme de mauvaises forces semblent submerger la
planète, il existe de bonnes forces. Et il faut que je
vous le raconte : quand j'ai décidé... j'ai en réalité
écris Methodical Illusion il y a deux ans, et il
restait en suspens, je ne savais pas quoi faire : j'ai
pensé que ce serait une frappe de drones, ils seraient
tués immédiatement. Et l'an dernier, à cette époque, la
semaine même de l'anniversaire du 11-Septembre, j'ai parlé
avec un pompier new-yorkais qui avait passé un mois sur
les décombres à essayer de trouver quelqu'un, qui que ce
soit, mort, des corps, des objets.
Et quand je lui ai demandé à propos des pompiers, il m'a
dit que les corps avaient été désintégrés, il n'en restait
même pas de la poussière. Ils ont trouvé des équipements
de protection, des appareils respiratoires, mais les
corps, les corps humains... ?
C'est quand je l'ai entendu dire ça que je me suis
demandée : "Qu'est-ce qui a été utilisé, qui a tant de
chaleur et tant de pression qu'un corps humain en est
désintégré ?" J'ai parlé avec quelqu'un de
crémation, et j'ai juste découvert que cela créait des
cendres.
Il ne restait rien de ces gens-là.
Et cela m'a inspiré. Je ne suis pas le FBI. Où sont-ils,
eux ?
"Où sont-ils ?" C'est la question que devraient
poser les Américains.
Où diable sont les gens chargés de faire respecter la loi
? Je suis une hôtesse de l'air en retraite. Où diable est
donc le FBI ? Le chef de la DEA a humilié le monsieur
inquiet qu'on ait découvert des espions et experts en
bombes israéliens qui couraient partout à la recherche de
ces gens dans leurs bureaux et chez eux.
Où sont-ils ? Où sont les gens chargés de faire respecter
la loi ? Où sont nos députés et nos sénateurs ?
BR : Beaucoup de gens quittent leurs fonctions, et
cela continue encore maintenant.
RR : Oh oui ! Et tout ça par amour de l'argent.
BR : Il est difficile de savoir, n'est-ce pas ? Il
faut deviner. Nous savons qu'il existe des moyens de
persuader les gens de ne pas parler, de les convaincre de
ne pas chercher à savoir. Il y a beaucoup de chantage en
cours. Vous avez mentionné dans vos livres quelque chose
de totalement vrai : qu'il est tellement facile de placer
quelque chose dans l'ordinateur de quelqu'un
d'implicitement compromettant. Et il est si facile de le
faire, que presque n'importe quel responsable, n'importe
où, qui ne participerait pas volontairement à ce coup
monté peut être facilement encouragé à se taire.
RR : C'est exact. Et cela peut être fait avec le
logiciel Promis, maintenant probablement passé à la
version 3.0, 4.9 et que nous appelons maintenant Prism. Et
c'est ce sur quoi Edward Snowden essayait d'attirer notre
attention.
Le logiciel Promis, sorti en fait du Projet Phoenix du
Vietnam au milieu des années 1980, a été volé par le chef
du Mossad israélien, Edward Mies, du ministère de la
Justice sous Reagan, a ensuite commencé à le placer dans
les ambassades, de façon à ce qu'il puisse repérer par le
biais des systèmes informatiques de toutes les ambassades
du monde, et c'est aussi quelque chose qu'Indira Singh a
essayé de présenter au Congrès -- je crois qu'elle
travaillait pour JP Morgan Chase, et qu'elle était dans la
gestion du risque -- Puis est arrivé Ptech, qui leur a
fait des démonstrations, et elle reconnu qu'il y avait une
"porte dérobée" dans le logiciel, et qu'ils pouvaient
vider votre compte bancaire, placer de la
pédopornographie, n'importe quoi dans votre ordinateur.
Ils peuvent régler ça comme ils veulent. Ensuite ils
viennent vous voir en tant qu'IRS (Ndt - le fisc
américain).
À propos, cette compagnie Mitre, elle est derrière l'IRS,
et derrière les soins de santé, le radar, et toutes les
nombreuses entreprises qui soutiennent le complexe
militaro-industriel !
BR : Ils mangent vraiment à tous les râteliers, à
ce que je vois !
Cette menace liée à Promis. C'était déjà opérationnel il y
a plus de 30 ans. Quelles sont ses capacités actuelles ?
On ne peut que les imaginer. Elles vont probablement
au-delà de ce qu'on peut imaginer.
RR : Elles sont extrêmes. En fait, ils
utilisent maintenant des ordinateurs pour remplacer
certains de nos généraux et de nos décisionnaires et ils
vont en gros gérer la chaîne de frappe, si bien que si un
soldat veut tirer sur quelqu'un, la décision sera
désormais prise par un logiciel et un ordinateur. Donc
c'est de l'intelligence artificielle, tout du long. Voilà
la direction que prend tout ça.
Voilà où ça m'a menée. Et en cherchant ça, j'ai trouvé
beaucoup de choses, mais je ne pouvais pas tout mettre
dans Methodical Deception. On ne peut donner
qu'une certaine quantité d'informations au lecteur. Dans Methodical
Deception, j'ai mis des choses dont nous n'avons pas
parlé, et j'ai ajouté un appendice, qui ouvrira, c'est
garanti, les yeux du lecteur.
Pour qu'il n'y ait aucun doute dans l'esprit de quiconque
: tout cela a été très bien planifié, bien avant qu'aucun
avion ne décolle, longtemps avant que quoi que ce soit
arrive, et vous pourrez voir dans l'appendice du nouveau
livre.
Vous pouvez le lire dans Kindle, si vous n'habitez pas aux
États-Unis ou si vous êtes impatient de le lire. Mettez-le
sur Kindle en utilisant l'application présente sur
n'importe quel appareil électronique.
Ne manquez pas l'appendice !
BR : Absolument vrai ! C'est comme brancher une
prise : c'est une référence pour une personne que je
connais et pour laquelle j'ai beaucoup de respect : John B
Wells, qui a interviewé il y a quelque temps quelqu'un
qu'il nommait "DJ", et ici nous parlons des capacités de
l'intelligence artificielle à laquelle vous venez de faire
allusion. Nous parlons ici de la même chose, pas vrai ?
RR : C'est exact. J'ai pratiquement trouvé tout ce
dont elle a parlé. Donc, je l'ai entendue chez John B
Wells. Et j'étais, genre : "Oui ! Oui !" Tout ce
qu'elle disait était vrai, parce que je l'avais déjà
trouvé dans mes recherches sur le 11-Septembre, parce que
tous ces gens qui ont en quelque sorte contribué aux
événements du 11-Septembre, que ce soit parce qu'ils
étaient sur les écoutes téléphoniques, spécialistes en
communications, informaticiens, tout cela est sans
importance : la phase suivante, c'est l'intelligence
artificielle, c'est tout cataloguer, tout surveiller, tout
écouter.
Et si nous ne nous levons pas, et ne commençons pas à
parler, à crier sur les toits, nous n'aurons pas voix au
chapitre. À cause de ça.
Et c'est l'avenir proche -- de fait, nous y sommes déjà !
C'est un avenir très proche. C'est un plan totalitaire,
mondialiste, avec un seul gouvernement mondial, de Nouvel
Ordre Mondial. Et c'est un plan en place depuis
longtemps, et qui va juste plus ou moins [inaudible].
Elle a tout à fait raison !
BR : Merci. C'est une note finale tout à fait
appropriée, à mon sentiment. Et si vous avez quoi que ce
soit d'autre à ajouter, saisissez le micro pour le
présenter à notre audience ici. Cela ressemble tant à une
conclusion que je dois vous remercier.
Voulez-vous ajouter quelque chose ?
RR : Non, ça suffit pour le moment. C'est beaucoup
d'informations pour un auditeur, quel qu'il soit, je dois
dire.
Une chose que je peux dire, c'est qu'on peut me contacter
sur un de mes sites Internet. Il y en a trois maintenant :
methodicalillusion.com, methodicaldeception.com,
rebekahroth.com. Il y a dans chacun un bouton
"e-mail" qui mène directement à mon e-mail privé, au cas
où vous auriez quelque chose à partager, ou que quelqu'un
d'autre veuille le faire, partager le livre...
Une des choses "cool", c'est que ce livre éveille les gens
qui ne sont pas des théoriciens du complot, qui ont juste
l'impression qu'on leur ment, et ça dans tout le pays.
BR : Du très, très bon travail ! OK.
Je veux vous tirer mon chapeau : vous faites un travail
fantastique !
Soyez bénie pour tout ce que vous faites. Soyez bénie ! OK
?
RR : Merci !
Puissiez-vous être protégée !
Merci infiniment !
RR : Merci beaucoup, merci infiniment.
(Écran)
Bill Ryan parlait à
Rebekah Roth
MethodicalIllusion.com
MethodicalDeception.com
RebekahRoth.com
En mémoire et en l'honneur
des milliers de personnes
assassinées ce jour-là
...et des millions de personnes
qui ont été assassinées
à cause de ce jour-là.
11 septembre 2015

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Bill Ryan
11 septembre 2015
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